
Dans le dernier numéro de son magazine, Al-Qaïda a fait directement référence à la France et à la Suède, les évoquant comme cibles d'une possible attaque terroriste, révèle Le Figaro.
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La polémique autour de l’interdiction de l’abaya dans les établissements publics – ces vêtements traditionnels musulmans pour femmes – est LA polémique de la rentrée. Et l’embrasement politico-médiatique a inspiré les contributeurs de Polémia. Avant de découvrir un texte de Michel Geoffroy, voici celui de Pierre Boisguilbert qui, comme à son habitude, n’a pas peur de secouer le cocotier ! Pour lui, cette focalisation sur des thèmes islamiques pourrait bien être très dangereuse…
Alors que le port de l'abaya (et du qami) est désormais interdit dans les établissements français, le ministre de l'Education nationale Gabriel Attal a annoncé que 298 élèves se sont présentées en portant cet habit lors du premier jour de classe de la rentrée scolaire. Après une approche axée sur le dialogue et la pédagogie, la majorité des élèves a obtempéré, mais 67 auraient refusé de se plier à la nouvelle règle. Selon le ministre, ces élèves ont été renvoyées chez elles, et leurs cas seront réévalués dans les jours à venir pour voir si elles se conforment à l'interdiction.
Dans son livre “Omerta dans l’Education nationale”, à paraître le 7 septembre, l’ex-principal de collège Patrice Romain lève le voile sur les raisons du mal-être de bon nombre de chefs d’établissement.
On parle beaucoup du devoir de réserve des chefs d’établissement. C’est de cela qu’il est question ?
Disons que ce sont les chefs d’établissement qui ont tendance à s’imposer eux-mêmes ce devoir de réserve et à s’autocensurer. Car, si vous osez dénoncer des dysfonctionnements, votre carrière est fichue. C’est le fameux “pas de vagues” dont on parle tant. Si un professeur a un élève infernal dans sa classe, le signale à son principal et que ce dernier procède à une sanction, ce sera forcément consigné quelque part. Un très mauvais point pour la direction puisque, officiellement, un établissement qui fonctionne bien est un établissement où tout va bien. Il arrive donc que certains perdirs exercent une forme de pression sur les membres de l’équipe pédagogique : “Mais comment se fait-il que ce soit compliqué avec cet élève, alors qu’avec les autres enseignants tout va bien ?”
Michel Festivi
On le sait, ou on devrait le savoir, le coran ne distingue pas le politique du religieux, contrairement aux Evangiles qui ne sont pas la retranscription de la parole de dieu, mais des témoignages humains sur la vie et les actes de Jésus, fils de Dieu : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » Matthieu, XXII page 21 ou Luc, XX, 25.
Tout, absolument tout procède du dieu des musulmans dans le livre incréé, le coran (la récitation), qui n’est que la retranscription littérale en langue arabe, des ordres d’Allah dictés à Mahomet par le truchement de l’ange Gabriel (Djibril). Et ce même si le coran nous explique dans plusieurs versets que Mahomet était illettré, ce qui renforce le caractère incréé du livre.
Les étudiantes ne seront plus autorisées à porter l’abaya dans les salles d’examen, a annoncé la Commission saoudienne d’évaluation de l’éducation et de la formation (ETEC).
En une phrase, Gabriel Attal, successeur de Pap Ndiaye à l’Education nationale, est sorti du centrisme précautionneux pour avaliser la radicalité en politique. « J’ai décidé qu’on ne pourrait plus porter l’abaya à l’école », a-t-il déclaré dimanche sur TF1. L’abaya est ce vêtement féminin (similaire au qamis pour les hommes) qui est de plus en plus porté par les élèves des « cités populaires », en signe d’appartenance à l’islam démonstratif et prosélyte. De ce point de vue, cet uniforme militant, qui souligne un séparatisme, peut s’apparenter au port du voile islamique interdit à l’école par la loi de 2004 au nom de la laïcité. Bien que farouche défenseur des libertés d’expression, j’approuve néanmoins la position d’Attal. Elle vient contrer, en effet, l’expansion d’une idéologie théocratique, totalitaire, liberticide.