Un reportage diffusé sur M6 et les réactions qu’il a suscitées ont remis la question de l’islam radical sur le tapis. Masqué depuis ans par le Covid, le phénomène poursuit sa progression.
Poupées sans visage, boucheries halal, femmes et fillettes voilées, prosélytisme fréro-salafiste sous couvert de soutien scolaire, élus complaisants, écoles et restaurants pratiquant la ségrégation sexuelle : le reportage de Zone interdite diffusé sur M6 le 23 janvier dernier cochait presque toutes les cases. Consacré à l'emprise de l’islamisme radical en France, il lui manquait pourtant un volet important : la violence, au moins verbale.
Lire la suite