Hier, l’Etat s’est dit prêt à prendre ses responsabilités pour gagner la guerre économique contre le coronavirus. Edouard Philippe a annoncé une série de mesures pour sauver les entreprises françaises. Dans son allocution, le Premier ministre n’a pas exclu des nationalisations. Selon Nicolas Doze, l’Etat se garde la possibilité de monter au capital d’une entreprise. « Une entreprise qui est à 100% dans les mains de l’Etat repartira immunisée contre la faillite même si elle n’est pas viable économiquement », poursuit-il. – L’édito Eco de Nicolas Doze, du mercredi 18 mars 2020, sur BFMTV.
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Face au Coronavirus, l’Etat n’exclut pas de nationaliser certaines entreprises (Vidéo)
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Coronavirus, islamisme, chômage : l’État s’en lave les mains
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Le Gouvernement français, après des semaines d’inaction coupable, a décidé de prononcer la fermeture de la majorité des lieux accueillant du public. Il y a quelques jours – avant cette décision donc -, Michel Geoffroy rédigeait un texte qui reste aujourd’hui d’actualité.
PolémiaL’épidémie de coronavirus ? Elle est « inexorable », selon Emmanuel Macron[1], « inévitable »,selon la porte-parole du gouvernement[2]. L’immigration ?On ne peut pas l’arrêter, selon la ministre de la Justice. La radicalisation islamiste ? « L’État est impuissant face à la radicalisation de ses agents », titre Le Figaro[3]. Le chômage ? On sait depuis François Mitterrand que l’on a « tout essayé »contre lui sans succès…
Chaque jour ajoute à la triste litanie de l’impuissance publique, du « merdier français », comme l’écrit sans fard I. Rioufol[4].
Depuis 2017, la France se trouve en tête des pays de l’OCDE pour le poids des impôts, mais on se demande quand même à quoi sert tout cet argent. Manifestement pas à affronter les problèmes qui assaillent la France périphérique. -
Gâchis et trahison à Fessenheim
Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent
A seule fin de complaire aux Verts qui exercent un chantage permanent sur les dirigeants politiques de notre pays et de caresser dans le sens du poil Angela Merkel dont le pays émet 50 % de CO2 de plus par habitant que la France depuis qu’elle a décidé de fermer toutes les centrales nucléaires de son pays après la catastrophe de Fukushima en 2011, François Hollande promettait, au cours de sa campagne présidentielle de 2012, de fermer Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire française, s’il était élu. Il ne faisait que reprendre un engagement de sa rivale socialiste Martine Aubry quand cette dernière était aux commandes du PS.
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Que font donc syndicats et consommateurs contre la ruine planifiée d’EDF et de son nucléaire ?
Voilà onze ans, la mise en coupe réglée du consommateur et du contribuable français commença avec l’insolite TARTAM (tarif réglementé transitoire d’ajustement du marché) permettant aux professionnels éligibles repentis de revenir au tarif régulé (ou réglementé) seulement majoré de 10 à 23 %, après avoir subi jusqu’à 70 % d’augmentation, avec la concurrence libre et non faussée à laquelle ils eurent seuls accès, dès 2004. Cerise institutionnelle sur le gâteau, ils obtinrent de jouir d’un tel privilège sans changer de fournisseurs « alternatifs », ce qui obligea l’État à compenser les pertes de ces derniers, sur le dos des autres clients, prioritairement domestiques, et fit dire au Canard enchaîné que la notion « d’éligibilité » s’apparente au privilège donné au boursicoteur de demander à Bercy de lui rembourser l’argent qu’il a retiré de la Caisse d’épargne pour spéculer sur le CAC 40.
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Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?
Pieter Kerstens
Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.
On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.
Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.
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Boris Johnson réforme le visa de travail, «première étape d’une refonte de tout le système d’immigration»
Le Brexit derrière lui, Boris Johnson s’attelle à une nouvelle réforme, celle de l’immigration, avec un visa à points privilégiant les travailleurs très qualifiés. Une mesure qui ne plaît ni à l’opposition travailliste ni au patronat. Décryptage de ce projet de loi avec Jean-Paul Gourévitch, auteur d’ouvrages sur l’immigration.
Le visa de travail coûtera très cher au Royaume-Uni à partir de l’année prochaine. Si le projet de loi préconisé par Priti Patel, ministre de l’Intérieur, est adopté, il faudra le 1er janvier 2021 pour les nouveaux arrivants, parler anglais et présenter une proposition d’emploi avec un salaire minimum de 30.820 euros par an. 70 points seront ainsi nécessaires pour obtenir le visa. Affirmant se conformer au «message clair» envoyé par les Britanniques lors du référendum de 2016 décidant la sortie de l’Union européenne, la femme politique a envoyé un signal sans ambiguïté:
«Notre économie ne doit plus dépendre d’une main-d’œuvre bon marché en provenance d’Europe, mais se concentrer plutôt sur l’investissement dans la technologie et l’automatisation.»
Si ces mesures ne concernent pas les 3,2 millions de ressortissants de l’UE qui ont demandé à résider avant la fin de la période de transition, la réforme suscite des craintes de pénurie de travailleurs peu qualifiés dans de nombreux secteurs économiques tels que l’alimentation, la santé, la construction ou encore l’hôtellerie. Sputnik a interrogé Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, auteur du livre Le Grand remplacement, réalité ou intox? (Ed. Pierre-Guillaume de Roux).
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« Le chômage ne baisse pas vraiment… malgré ce que dit l’INSEE» L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Bon mes amis, j’ai fait une promesse à ma femme. Enfin, non, pour être plus précis ma femme a exigé de moi que je lui promette de ne pas vous parler du coronavirus pendant au moins une journée, car elle en a assez que je compte et recompte les boîtes de raviolis à la disposition de la famille en cas de disette et autre calamité calamiteuse.
Je vais donc vous parler du chômage… oui, je ne vous dis pas que c’est un sujet folichon, mais c’est quand même important, car si nous ne mourrons pas tous dans d’horribles souffrances pandémiques, notre boulot et celui de nos proches restera un sujet important. C’est vrai qu’en Chine, il y a 700 millions de Chinois qui ne travaillent plus et restent cloîtrés chez eux ce qui correspond tout de même à 10 % de la population mondiale en quarantaine, rien que cela, mais je ne vous en parlerai pas, parce que je l’ai promis à ma femme, et qu’à la maison, je ne sais pas pour vous, mais le vrai patron, c’est la patronne !!
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La « politique nataliste » n’est pas un gros mot
Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :
Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.
Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.
C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.
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Aidez Mickaël (SDF) à trouver un travail !
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La Grande-Bretagne « va fermer le robinet de la main d’oeuvre étrangère peu qualifiée »
Pays souverain, sorti du carcan de l’Union Européenne, la Grande-Bretagne peut mettre un frein à l’immigration-invasion.
Boris Johnson, le premier ministre, vient, via son gouvernement, de déclarer qu’il allait privilégier après le Brexit l’immigration de travailleurs qualifiés qui devront, pour obtenir un visa de travail, disposer d’une offre d’emploi et parler anglais.
Soumise jusqu’au 31 décembre prochain aux règlements de l’UE, la Grande-Bretagne pourra ensuite appliquer sa politique migratoire qui consiste à limiter l’arrivée d’étranger extra-communautaires.
« Notre nouveau système d’immigration va fermer le robinet de la main d’oeuvre étrangère peu qualifiée », écrit la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, dans une tribune publiée dimanche par The Sun. « A partir de l’an prochain, tous les travailleurs qualifiés devront disposer de suffisamment de points pour travailler au Royaume-Uni. Ils devront parler anglais, disposer d’une offre d’emploi ferme et satisfaire aux exigences salariales », poursuit-elle.
Le gouvernement entend attribuer des points aux candidats à l’immigration travaillant dans des secteurs où il y a une pénurie de main d’œuvre en Grande-Bretagne.
Francesca de Villasmundo
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