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l'emploi - Page 30

  • Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?

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    Pieter Kerstens

    Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.

    On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.

    Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.

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  • Boris Johnson réforme le visa de travail, «première étape d’une refonte de tout le système d’immigration»

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    Le Brexit derrière lui, Boris Johnson s’attelle à une nouvelle réforme, celle de l’immigration, avec un visa à points privilégiant les travailleurs très qualifiés. Une mesure qui ne plaît ni à l’opposition travailliste ni au patronat. Décryptage de ce projet de loi avec Jean-Paul Gourévitch, auteur d’ouvrages sur l’immigration.

    Le visa de travail coûtera très cher au Royaume-Uni à partir de l’année prochaine. Si le projet de loi préconisé par Priti Patel, ministre de l’Intérieur, est adopté, il faudra le 1er janvier 2021 pour les nouveaux arrivants, parler anglais et présenter une proposition d’emploi avec un salaire minimum de 30.820 euros par an. 70 points seront ainsi nécessaires pour obtenir le visa. Affirmant se conformer au «message clair» envoyé par les Britanniques lors du référendum de 2016 décidant la sortie de l’Union européenne, la femme politique a envoyé un signal sans ambiguïté:

    «Notre économie ne doit plus dépendre d’une main-d’œuvre bon marché en provenance d’Europe, mais se concentrer plutôt sur l’investissement dans la technologie et l’automatisation.»

    Si ces mesures ne concernent pas les 3,2 millions de ressortissants de l’UE qui ont demandé à résider avant la fin de la période de transition, la réforme suscite des craintes de pénurie de travailleurs peu qualifiés dans de nombreux secteurs économiques tels que l’alimentation, la santé, la construction ou encore l’hôtellerie. Sputnik a interrogé Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, auteur du livre Le Grand remplacement, réalité ou intox? (Ed. Pierre-Guillaume de Roux).

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  • « Le chômage ne baisse pas vraiment… malgré ce que dit l’INSEE» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Bon mes amis, j’ai fait une promesse à ma femme. Enfin, non, pour être plus précis ma femme a exigé de moi que je lui promette de ne pas vous parler du coronavirus pendant au moins une journée, car elle en a assez que je compte et recompte les boîtes de raviolis à la disposition de la famille en cas de disette et autre calamité calamiteuse.

    Je vais donc vous parler du chômage… oui, je ne vous dis pas que c’est un sujet folichon, mais c’est quand même important, car si nous ne mourrons pas tous dans d’horribles souffrances pandémiques, notre boulot et celui de nos proches restera un sujet important. C’est vrai qu’en Chine, il y a 700 millions de Chinois qui ne travaillent plus et restent cloîtrés chez eux ce qui correspond tout de même à 10 % de la population mondiale en quarantaine, rien que cela, mais je ne vous en parlerai pas, parce que je l’ai promis à ma femme, et qu’à la maison, je ne sais pas pour vous, mais le vrai patron, c’est la patronne !!

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  • La « politique nataliste » n’est pas un gros mot

    La « politique nataliste » n’est pas un gros mot 

    Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :

    Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.

    Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.

    C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.

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  • La Grande-Bretagne « va fermer le robinet de la main d’oeuvre étrangère peu qualifiée »

    Pays souverain, sorti du carcan de l’Union Européenne, la Grande-Bretagne peut mettre un frein à l’immigration-invasion.

    Boris Johnson, le premier ministre, vient, via son gouvernement, de déclarer qu’il allait privilégier après le Brexit l’immigration de travailleurs qualifiés qui devront, pour obtenir un visa de travail, disposer d’une offre d’emploi et parler anglais.

    Soumise jusqu’au 31 décembre prochain aux règlements de l’UE, la Grande-Bretagne pourra ensuite appliquer sa politique migratoire qui consiste à limiter l’arrivée d’étranger extra-communautaires.

    « Notre nouveau système d’immigration va fermer le robinet de la main d’oeuvre étrangère peu qualifiée », écrit la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, dans une tribune publiée dimanche par The Sun. « A partir de l’an prochain, tous les travailleurs qualifiés devront disposer de suffisamment de points pour travailler au Royaume-Uni. Ils devront parler anglais, disposer d’une offre d’emploi ferme et satisfaire aux exigences salariales », poursuit-elle.

     Le gouvernement entend attribuer des points aux candidats à l’immigration travaillant dans des secteurs où il y a une pénurie de main d’œuvre en Grande-Bretagne.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/la-grande-bretagne-va-fermer-le-robinet-de-la-main-doeuvre-etrangere-peu-qualifiee/117870/

  • 72 MILLIARDS : LE COÛT RÉEL DE LA BAISSE DU CHÔMAGE

  • Le chemin du droit de l’entreprise : de la perte de la souveraineté de l’Etat à la dictature universelle

    Une récente manifestation médiatique arrive à point nommé pour illustrer la réalité politique de la question juridique de l’entreprise.

    Le droit de l’entreprise est au cœur de la souveraineté des États car il est le lieu privilégié où s’affrontent les forces économiques globalistes menées par les banquiers et les forces politiques légitimistes menées par les États. N’en déplaise aux esprits faux, la traduction de la souveraineté est éminemment juridique, aussi il n’existe pas de souveraineté politique sans souveraineté juridique. Dit autrement, la souveraineté politique passe de façon essentielle par la souveraineté juridique. Derrière tous les faux semblants et les jérémiades des actuels dirigeants économiques, qui contrôlent en réalité l’État français, est un principe général : « Dieu se rit des hommes – et des États – qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » On ne peut dans le même temps à la fois jouer le jeu globaliste de ses adversaires, tout de droit anglo-saxon vêtu, et déplorer son propre asservissement, c’est-à-dire son impuissance et sa domination !

    Qu’en est-il de la souveraineté juridique française ? Sa disparition est parfaitement illustrée par l’évolution juridique du droit de l’entreprise. De ce point de vue, la France, comme la plupart des pays du monde, a abandonné son pouvoir régalien de régulation au profit de la mise en œuvre réglementaire illimitée du pouvoir de ses créanciers – les banquiers globalistes. Concrètement, la France a abandonné sa capacité a générer une économie politique autonome – comprendre « non contrôlée par les banquiers globalistes » – lorsqu’elle a refusé au Général De Gaulle la mise en œuvre juridique de la souveraineté économique, qui passait par un renouveau du droit de l’entreprise.

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  • La domination des machines n'est pas innocente

    Les manuels d’histoire sont étrangement discrets sur ce qui peut gêner l’idéologie dominante, et il est très rare de lire une évocation des lois d’Allarde et Le Chapelier de 1791, entre autres, comme il est encore plus rare de trouver une référence à cette autre date tragique de l’histoire sociale, celle de février 1812, inconnue de la plupart des enseignants d’histoire que j’ai rencontrés dans ma vie.

    Et pourtant ! Elle mériterait des livres, des articles, voire des films, et elle passe totalement inaperçue alors qu’elle me semble l’une des plus significatives de l’ère industrielle européenne, et qu’elle ouvre ce règne dénoncé autant par le républicain Michelet que par le royaliste Bernanos, celui des Machines…

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