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l'emploi - Page 35

  • Les délocalisations à l’origine de la pénurie de médicaments en France

    INFOGRAPHIE – 80 % des principes actifs sont fabriqués hors d’Europe, contre 20 % il y a trente ans.

    Le diagnostic a déjà été posé, mais le mal ne cesse de s’étendre. En juin, 2318 médicaments étaient «en tension» dans les 21.000 officines de l’Hexagone. Parmi eux, vaccins, antibiotiques, antiparkisoniens et anticancéreux. De 2008 à 2018, le nombre de ruptures a été multiplié par vingt. Près d’un Français sur quatre y a été confronté. À l’automne 2018, un rapport sénatorial sur les pénuries de médicaments et de vaccins pointait leur «inquiétante amplification, que ne semblent pouvoir endiguer les mesures prises par les pouvoirs publics» et «des risques financiers très importants pour l’Assurance-maladie et un gaspillage global de temps médical, paramédical et logistique à tous les niveaux de la chaîne du médicament». […]

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1248099-les-delocalisations-a-lorigine-de-la-penurie-de-medicaments-en-france

  • Requiem pour les caissières

    Le Géant Casino de la Roseraie à Angers (5.000 m²) sera, à partir de fin août, ouvert le dimanche après-midi avec seulement trois vigiles et une animatrice de caisse automatique, tous salariés de sociétés extérieures.Les syndicats renâclent. La CFDT dénonce un contournement de la loi, au préjudice des autres commerces. 
    Avec FO, ils prédisent à terme la fin des emplois de caissières. 
    C’est vrai, quoi, le client pose le contenu de son chariot sur le tapis roulant, attend que ses achats soient scannés par la caissière, puis range ses produits. 
    Le processus est tellement plus simple et plus rapide si le client qui vide son chariot scanne son achat et le range d’un seul geste.
    Être caissière dans la grande et moyenne distribution, c’est un travail répétitif, où une cadence de travail élevée peut être exigée aux heures de pointe, où l’on doit supporter la mauvaise humeur et les exigences des clients. 
    Il est peu rémunérateur, et il oblige bien souvent à travailler en horaires décalés par rapport à la masse des clients, entraînant une vie familiale et sociale qui l’est d’autant. 
    Il offre peu de perspectives d’évolution « naturelles ». 
    C’est sans doute le travail par défaut auquel toute personne sans qualification peut accéder, donc une voie de garage sociale réservée à un « lumpenprolétariat ». 
    Bref, c’est un travail réputé aliénant, sans doute autant qu’un travail à la chaîne en usine ou en atelier. Mais c’est un travail qui fait vivre de nombreuses femmes, dont certaines sont parfois seules dans la vie et n’ont pas les moyens d’accéder à d’autres emplois plus gratifiants.
    Il y a quelques années, dans le centre de Paris, je faisais assez fréquemment quelques menues emplettes alimentaires, le soir, dans un petit supermarché près de mon travail. 
    Dans ce magasin, il y avait une caissière qui souriait en faisant son travail, qui échangeait quelques mots aimables, blaguait de tout et de rien avec ses habitués. 
    Si elle se plaignait de sa fatigue quand on lui demandait comment elle allait en fin de journée, c’était avec un grand sourire jusqu’aux oreilles. 
    Quand plusieurs caisses du magasin étaient ouvertes, c’est derrière la sienne que s’agglutinaient le plus de clients. 
    Certains snobaient délibérément les autres caisses : des Parisiens pressés (oui, c’est pléonasme) préféraient perdre un peu de leur si précieux temps pour ces menus échanges avec elle. 
    Une tâche aliénante occupait ses jours, mais qu’elle avait su transformer : du fait de son heureux caractère, de sa volonté de laisser à chaque personne qu’elle croisait son sourire, elle restaurait ou instaurait la dignité de ce travail ingrat.
    Je suis, pour une fois, d’accord avec ces syndicats, c’est assez rare pour être noté. 
    Le capitalisme financier outrancier, l’économie qui perd de vue la finalité du service de l’homme (et de sa dignité), le monde du travail qui broie les personnes à grands coups d’uberisation précipitent notre monde dans le mur, et nous le savons tous.
    Merci à cette caissière pour tous les sourires échangés et pour m’avoir fait comprendre que c’est aussi le regard que nous portons sur un travail, que ce soit le nôtre ou celui d’un tiers, qui le rend aliénant ! Nombre de fois, en quittant son magasin, je pensais à la phrase de Guy de Larigaudie dans Étoile au grand large : « Il est aussi beau de peler des pommes de terre pour l’amour du bon Dieu que de bâtir des cathédrales. » 
    Rémy Mahoudeaux

  • Chômage : demain, tous précaires de la start-up nation ? J. SAPIR | H. STERDYNIAK | R. DALMASSO

  • Chronopost emploie des clandestins : allô, Muriel Pénicaud ?

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    Cela fait des semaines que ça dure. Mais cela ne semble scandaliser personne. Personne ? Personne sauf l’extrême gauche, bien sûr, qui nous apprenait dès le mois de juillet, via L’Humanitéou Révolution prolétarienne – des journaux qui ont parfois leur utilité -, que des sans-papiers employés par Chronopost, filiale du groupe La Poste, manifestaient devant le siège de La Banque postale, à Alfortville. D’après le second titre, la grève durait depuis le 11 juin et, évidemment, ces journaux demandent une « régularisation » immédiate. Après une manifestation, jeudi dernier, puis un nouveau rassemblement samedi à Montreuil, BFM TV a donné une plus grande audience au mouvement et au campement revendicatif des clandestins installé à Alfortville.

    Dans la torpeur de l’été, tout le monde semble se contenter du silence des ministères concernés. Ministre de l’Intérieur ? Muet, scotché par Édouard Philippe depuis une semaine. Ministre du Travail ? Au coin, occupée à effacer ses tweets maladroits qui chassaient sur les terrains vagues du ministre de la Culture. Réaction de La Poste ? D’un élu francilien qui aurait, je ne sais pas, été inspectrice du travail dans une autre vie ? D’élus du Val-de-Marne ? Rien.

    Faute de réactions à transcrire, il ne reste donc plus qu’à imaginer le tollé, les cascades d’indignation, les tsunamis de tweets si ces personnes, venues du Mali, de Guinée, du Sénégal, “derniers maillons intérimaires d’une longue chaîne de sous-traitance“, pour reprendre les mots de Libération, avaient été employées par un artisan, un agriculteur, un commerçant ! Ou à se demander, en bon complotiste, quelle stratégie révèle ce silence consistant à laisser l’extrême gauche hurler, dénoncer, ne mettre en avant que la régularisation, comme pour la rendre inévitable, selon la pente que prendra l’opinion publique ?

    En tout cas, quand Muriel Pénicaud aura fini sa tournée des campings où ses chefs l’avaient envoyée pour rencontrer de « vraies gens » (Le Point du 27 juillet), quand elle aura lu tout Toni Morrison et toute la littérature noire, peut-être trouvera-t-elle un moment pour nous expliquer le cas Chronopost ?

    Dominique Monthus

    https://www.bvoltaire.fr/chronopost-emploie-des-clandestins-allo-muriel-penicaud/

  • UN PILLAGE FRANÇAIS #1 : L'aéroport de Toulouse

  • CETA (III/III) : Et, pour couronner le tout, Castaner qui parle d' "attentats" !

    L'incompétent en chef qui sévit à la Place Beauveau, d'où il aurait être démissionné depuis novembre dernier, ne sera donc jamais en retard d'une gaffe !

    Et, là, on ne peut même plus parler de gaffe, de bourde ou d'écart de langage : c'est un scandale pur et simple !

    Les vraies victimes de vrais attentats apprécieront : les victimes des attentats à Nice sur la Promenade des Anglais, à Magnanville pour ce couple de policiers assassinés devant chez eux, à Paris aux terrasses de bar et au Bataclan, à l'Hyper Cacher de Vincennes ou à Charlie Hebdo (même si nous n'aimions guère la rédaction...) et à d'autres endroits encore...

    C'est à lire dans Boulevard Voltaire :

    https://www.bvoltaire.fr/permanences-de-lrem-taguees-christophe-castaner-plus-fort-que-linspecteur-clouseau-dans-la-panthere-rose/?fbclid=IwAR2LzargMKf9TABEWhfHSFkvfioYx89aMEEz0202iGzLet0lNFEmiAIyf0Q

    larem.jpg

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/02/ceta-iii-iii-et-pour-couronner-le-tout-castaner-qui-parle-d-6168062.html

  • La République liquide le patrimoine industriel et commercial français pour payer ses frasques et ses cadres corrompus !

  • «Virés comme des malpropres» : Ford Blanquefort ferme définitivement ses portes en catimini

    «Virés comme des malpropres» : Ford Blanquefort ferme définitivement ses portes en catimini 
    Source: AFP
    Des employés de la multinationale Ford et des membres de la Confédération générale du travail (CGT) attendent le 2 juillet 2019 la délibération de la 6e chambre civile de la Haute Cour de Bordeaux sur la fermeture de l'usine Ford à Blanquefort (illustration).
    25 juil. 2019   
    - Avec AFP
    La plus grande usine d’Aquitaine, soutenue pendant des années par les pouvoirs publics et les collectivités locales a fermé définitivement ses portes, une semaine avant la date prévue.
    Emotion parmi les derniers salariés.                       
    L'usine de boîtes de vitesse de Ford à Blanquefort (Gironde) a arrêté définitivement sa production le 24 juillet, épilogue de plus d'un an de conflit social pour tenter d'empêcher la fermeture de ce site qui a employé jusqu'à 3 600 salariés dans la banlieue de Bordeaux.
    Graffitis sur le panneau du constructeur automobile américain Ford devant l'entrée de l'usine Aquitaine Industries de Ford à Blanquefort, dans le sud-ouest de la France, le 18 février 2019.  
    Ford écarte la reprise de l’usine de Blanquefort, 850 emplois menacés             
     «Les gens sont arrivés ce matin et on leur a dit de rentrer chez eux et que ce n'était plus la peine de se présenter», a déclaré à l'AFP Eric Troyas, ancien secrétaire FO, en préretraite depuis juin.
    «Les gens étaient en pleurs. Ils ont été virés comme des malpropres», dénonce-t-il, accusant la direction d'avoir profité de la faible présence syndicale pendant l'été. 
    En effet, l'arrêt de cette usine implantée depuis 1972 était programmé pour le 31 juillet.
    «Les lignes ont été vidées et Ford n'a pas cherché à occuper les collègues, qui ont vidé leur placard et sont partis», a indiqué Gilles Lambersend, secrétaire CGT du comité d'entreprise. 
    «La production est effectivement terminée», a confirmé à l'AFP Fabrice Devanlay, porte-parole de Ford France, selon qui le niveau de production était de toute façon déjà «très faible».
    Le groupe américain avait annoncé dès février 2018 son intention de se désengager définitivement de Blanquefort. 
    Mais, malgré la forte implication du gouvernement, le constructeur a finalement refusé l'offre du seul repreneur en lice, le strasbourgeois Punch-Powerglide, préférant appliquer son plan social.
    A l’époque le ministre de l’Economie Bruno Lemaire avait jugé ce choix «incompréhensible»
    Sur Twitter il s’était même emporté, déclarant : «Je suis révolté, écœuré par cette décision. Je dénonce la lâcheté, le mensonge et la trahison de #Ford vis-à-vis de ses salariés. L’offre de Punch est crédible et solide. J'appelle #Ford à réviser sa décision.»
    Seuls la moitié des salariés ont reçu une proposition de reclassement, préretraite ou formation
    Sans grand effet, car du point de vue de Ford la revente du site aurait pu s’avérer plus onéreuse que sa fermeture pure et simple. 
    En effet, en cas d’échec du plan de reprise par l’entreprise belge spécialisée dans la construction de boîtes de vitesses, Ford aurait pu conserver des responsabilités sociales vis-à vis des salariés de l’usine.

    Aujourd'hui, les syndicats s'opposent au constructeur devant les tribunaux, sans grand succès jusqu'à présent. 
    Depuis l'homologation en mars du Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) pour le site, seuls la moitié des 850 employés de Ford-Blanquefort ont trouvé une solution, entre préretraites, reclassements, formations, transferts, selon un décompte syndical.
    RT France

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/vires-comme-des-malpropres-ford.html#more

  • La grande question des retraites. Partie 1 : Travail et retraites.

    Il n’est pas possible de penser la question des retraites sans poser celle du travail, de ses finalités, de ses aspects et de ses possibilités. Or, trop souvent, les retraites ne sont évoquées que sous l’angle financier ou social, en oubliant que la retraite en elle-même est d’abord la sortie, plus ou moins ordonnée, du monde du travail et de la condition de travailleur, dernier terme que l’on limite trop aux seules classes populaires productrices dans l’idéologie marxiste en oubliant ces classes moyennes, voire supérieures, qui elles aussi sont engagées dans le processus de production de biens et de services, plus dans le secteur tertiaire et dans celui des échanges que dans les usines ou les champs. En fait, c’est le travail qui doit ou devrait déterminer les retraites (ce qui n’est le cas qu’en partie, paradoxalement), leur financement comme leur gestion sur le long terme, et cela nécessite aussi d’en examiner les conditions, autant d’accès que d’exercice et cela sans en oublier à la fois la nécessité et la motivation dans le champ économique comme social.
    Aujourd’hui, le travail « professionnel » recouvre un temps qui paraît bien moins long qu’il y a une quarantaine d’années, mais il apparaît aussi moins bien distribué, le nombre de chômeurs ou de travailleurs à temps partiel ayant fortement progressé quand, dans le même mouvement, l’accès à l’emploi salarié est devenu plus tardif et, souvent, moins assuré. Cela entraîne donc une fragilisation des modes de financement des retraites, sans oublier que l’espérance de vie s’est aussi élevée et que le nombre de retraités a, lui aussi, augmenté mécaniquement et, disons-le, heureusement ! Désormais, la charge des retraites est devenue « trop » lourde pour un monde de l’emploi qui, en comparaison et en proportion, s’est rétréci de façon fort embarrassante pour leur financement : de quatre cotisants pour un retraité au milieu des années 1940, nous sommes passés à moins de deux, ce qui, évidemment, change la donne initiale de la retraite par répartition. Cela est évidemment lié à la quantité horaire de travail fourni, mais aussi à la situation démographique moins favorable et qui « se retourne » avec l’arrivée des classes d’âge nombreuses à l’âge de la retraite quand la natalité, elle, s’essouffle. Tout cela est connu et évoqué à raison souvent, mais aussi à tort et à travers parfois. L’erreur serait de se contenter de ces données, importantes mais pas toujours suffisantes pour saisir tous les enjeux de la question et tracer des perspectives qui satisfassent autant l’économique que le social.

    Un des premiers leviers dans la résolution de la question des financements est celui de l’emploi : faire baisser le nombre de chômeurs, réellement et non artificiellement par des entourloupes comptables ou des radiations exagérées, est un premier moyen de répondre efficacement à cet enjeu du financement, et c’est là-dessus qu’il faudrait insister. Mais il semble qu’il y ait, qu’on le veuille ou non, un certain renoncement en France sur ce sujet, et cela depuis la fameuse phrase du président Mitterrand qui affirmait que « contre le chômage, on a tout essayé », phrase du fatalisme étatique par excellence et véritable scandale économique autant que social. Or, il reste beaucoup à faire, et le fatalisme est anti-politique quand il faudrait que, justement, le politique (à travers l’Etat souverain) reprenne la main, non par étatisme mais pour garantir son rôle de justice sociale et de protection de ses nationaux et citoyens-contribuables. De nombreuses pistes restent à creuser, en particulier à travers le redéploiement rural et la reconstruction d’un véritable tissu d’activités de productions et de services dans des zones aujourd’hui déclassées par la mondialisation et la métropolisation mais qui constituent ce que l’on pourrait nommer, sur le plan de la conquête démographique, économique et sociale, « le far-west français » (mais sans l’aspect destructeur des origines et des traditions locales que l’original états-unien a pu représenter). Là encore, au lieu de fermer des écoles de campagne (près de 400 cette année encore), il faudrait en ouvrir et en rouvrir, y compris avec un nombre d’élèves inférieur aux obligations administratives, et cela serait le meilleur moyen d'attirer de jeunes familles et de pérenniser leur installation, sachant qu’une école ouverte dans ces conditions particulières, c’est aussi le maintien ou la création de trois emplois en moyenne, pour l’enseignement proprement dit et pour l’entretien de l’établissement, autant ménager que technique et informatique. Ce n’est qu’un exemple de ce qui pourrait être fait, parmi mille d’entre eux et initiatives possibles en ce domaine.Un autre élément du travail à prendre en compte est son « temps long » et sa distribution avant de pouvoir accéder à la retraite professionnelle. Si les générations présentes travaillent moins que les précédentes, c’est aussi parce que leur productivité est plus élevée et qu’elles « rapportent » plus, mais souvent plus par leur consommation elle-même (et par les charges fiscales…) que par leur seule production. Mais la demande des générations actuelles s’est adaptée aux possibilités, jusque là assumées et garanties (mais cela est de moins en moins vrai, semble-t-il), de l’Etat-providence, devenu un « Etat-nounou » qui a fortement déresponsabilisé les populations tout en les aliénant de plus en plus à une société de consommation exigeante et addictive… Cette évolution a constitué un piège qui, désormais, paraît se refermer complètement sur ceux qui ont cru en les promesses d’un « bonheur si je veux », fondé sur l’individualisme et le « consommationnisme », devenu « consommatorisme » : ainsi, les retraités peuvent mal vivre, parfois, leur situation financière qui paraît les déchoir de ce statut confortable de consommateur et d’assuré social (qu’ils restent pourtant et malgré tout) de salarié (ou indépendant) cotisant. D’autre part, le travail n’a pas la même valeur ni le même statut selon les professions et les secteurs d’activité, et les hiérarchies des uns et des autres, sans oublier les fortes disparités dans les conditions mêmes du travail effectué : cela se ressent dans l’espérance de vie elle-même, et encore plus dans celle « sans incapacité », qui correspond à la « bonne santé », qui sont toutes deux très différentes selon que l’on est cadre, professeur ou ouvrier métallurgiste ou du bâtiment, et qui montrent un écart pouvant atteindre treize ans entre un travailleur « manuel » et un travailleur « intellectuel ».Sans doute ne faut-il pas oublier aussi la nature du travail effectué, qui peut être fort différent selon les étapes de la vie des cotisants, et l’évaluer ainsi à l’aune des différents aspects reconnus de pénibilité, ce qui renvoie également à la question de l’âge effectif de l’accès à la retraite qui, si l’on y réfléchit bien, ne peut être tout à fait le même selon les professions considérées. N’est-ce pas une erreur de vouloir imposer un âge légal de départ à la retraite et un nombre minimal d’années travaillées et cotisées ou, du moins, une certaine « injustesse » sociale qui pourrait bien être ressentie comme une véritable injustice ? Ces questions méritent au moins d’être posées, à défaut de trouver des réponses totalement satisfaisantes aujourd’hui.(à suivre : Le travail au-delà de l’âge légal de la retraite ; des propositions pour de nouvelles formes de financement ; la Monarchie royale et la question des retraites : quelles possibilités ? ; etc.)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1567:la-grande-question-des-retraites-partie-1-travail-et-retraites&catid=53:2019&Itemid=64

  • « Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien … » (fin)

    Sur la délinquance, la police, la justice

    (affaire Daval) Les crimes de Blancs sont une aubaine pour le Système : il les exploite jusqu’à plus soif pour détourner l’attention de ceux de ses protégés, autrement plus nombreux…

    Comparer la brutalité de la police et de la justice à l’égard des gilets jaunes et leur absolu laxisme depuis 40 ans vis à vis des « quartiers »…

    A propos de délinquance rappelons les chiffres. Par rapport aux 3,5 millions de délits et crimes officiellement recensés chaque année, on ne compte que 80.000 entrées en incarcération par an. Autrement dit, la plupart des délinquants sont… en liberté

    Autre chiffre : la plupart des 80.000 délinquants qui entament chaque année un séjour en prison ne vont y rester que quelques mois : 5 ans d’incarcération effective, en moyenne, pour un crime ; 7 mois pour un délit.

    Les juges libèrent les racailles et rêveraient d’emprisonner les populistes…

     L’histoire de ce Romand est un vrai feuilleton

    (des cartouches de cigarettes de contrebande saisies) C’est un type de cartouches qui ne tue que lentement

    (une magistrate de cour d’assise agressée à son domicile) Si elle appartient au SM, le syndicat qui aime les coupables, c’est sa propre photo qu’elle devra mettre sur le Mur des cons…

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    (les principaux responsables de l’UE viennent d’être nommés) Quiz : lequel est plutôt proche de 1) Rothschild 2) Goldman Sachs 3) Monsanto 4) Total ? Cocher la case qui convient…

    Si l’on est favorable à l’Europe, on ne peut qu’être hostile à l’UE, qui n’est qu’un maillon de la mondialisation…

    L’UE n’a pas été conçue pour être souveraine mais pour constituer un maillon de la mondialisation, sous direction américaine…

    L’UE n’est qu’un maillon de la mondialisation. Elle organise une concurrence sauvage entre les Etats membres et entre leurs populations. Elle encourage l’invasion de l’Europe par l’immigration. Elle est un ennemi des peuples européens et de leur civilisation

    Rappelons que l’UE a en 1988 libéralisé les mouvements internationaux de capitaux, avec deux objectifs : rendre possibles les délocalisations ; permettre l’évasion fiscale, au bénéfice des hauts revenus et des détenteurs de patrimoine…

    La France est le pays le plus taxé du monde. Et pourtant la dette a explosé. Et en plus ils privatisent… Soit ils sont nuls soit ils trahissent…

    Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien…

     Pour casser les salaires, ils ont envoyé les emplois en Chine… Pour les emplois non délocalisables, ils font venir des immigrés.

     Les Français moyens de souche qui travaillent doivent travailler davantage pour pouvoir financer les besoins croissants 1) des politiciens 2) des assistés 3) des immigrés…

     La mondialisation est une catastrophe. Le mieux pour l’intérêt des peuples; serait que chaque grande région du monde organise son économie de façon autonome…

     Les soi-disant pauvres ne paient pas grand-chose et reçoivent énormément. Les riches paient de moins en moins. Le matraquage des Français moyens qui travaillent ne peut que s’accentuer…

    (une salariée de Michelin se plaint de harcèlement) Elle est gonflée…

     Sur l’environnement

    Eh oui la dégradation du climat est bien triste… Mais nous avons choisi l’industrialisation au 19e siècle. La société de consommation au 20e. La mondialisation au 21e. Au passage nous avons cru bon de donner des vaccins à l’Afrique… Et maintenant il va falloir payer….

    Tiens à propos, le kérozène des avions dont sont friands les cadres sup et leurs amis bobos n’est pas taxé… Le carburant des gilets jaunes si…

     La technique du « Et vous que faites vous pour l’environnement ? », pour culpabiliser les Français moyens et dédouaner ceux qui dirigent…

    Les zozos marchent pour le climat pendant que la « république en marche » signe Mercosur et Ceta…

    (Hidalgo veut végétaliser Paris) Quel délire… La ville n’est pas le lieu du végétal mais du bâti, des perspectives, du minéral…

    Ils bétonnent la campagne à tout va et veulent mettre des forêts dans les villes…

    (bientôt la viande sera d’origine artificielle ou végétale) Et les belles Charolaises qui broutent la Bourgogne on en fait quoi ?

    Sur l’école

    (des profs ne rendent pas les copies de bac) L’insubordination des profs, qui n’obéissent à personne, est une des causes de l’effondrement de l’éduc-naze…. Ils changeraient de comportement si on ne leur versait pas leur paye à temps…

     (copies du bac bloquées et résultats retardés) Le suspens est à son comble : le taux de réussite sera-t-il enfin supérieur à 100 % ?

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct 

    Remplacer les hétéros par des homos, les hommes par des femmes, les vieux par des jeunes, les blancs par des gens venus d’ailleurs…

    Promotion des comportements libertaires et puritanisme féministe, deux des dogmes du Système, paraissent en contradiction. Il n’en est rien en réalité : il s’agit dans les deux cas de détruire ce qui reste de la société d’antan. Les réformes libertaires pour détruire la famille. Le féminisme pour annihiler le rôle masculin traditionnel…

    Le handicap, encore une vache sacrée du Système… Le top c’est la femme homosexuelle en situation de handicap et issue de la diversité…

     Le foot féminin : enfin un somnifère qui ne grève pas les comptes de la sécu…

    Sur la modernité, la république, la démocratie, la bourgeoisie

    Dans leur grande majorité les Français ont décidé de se débarrasser de leur religion et de renoncer à leur civilisation : la destruction de Notre-Dame est une punition. Pas la dernière. Ni la plus terrible…

    Eh oui, la modernité individualiste est souvent synonyme de frustration, de doute sur soi, de sentiment d’échec et d’angoisse existentielle… Fallait pas casser la société traditionnelle…

    Les gilets jaunes ont fait apparaître la république dans sa vraie nature : la cupidité des bourgeois, qui s’enrichissent sans limites grâce au capitalisme mondialisé ; le mépris pour les Français moyens ; la corruption de l’Etat ; la pseudo démocratie manipulée ; l’individualisme sans morale ; l’idéologie universaliste, qui débouche sur l’invasion migratoire et détruira l’Europe…

    L’individualisme est le fondement de l’idéologie moderne, dominante depuis 200 ans : il aboutira à la destruction de la civilisation européenne…

    Sur le vaste monde

    Rappelons que les Anglais moyens de souche qui ont voté pour le Brexit espéraient avant tout arrêter l’invasion migratoire…

    En Algérie les militaires sont contraints de changer d’homme-de-paille : cela relève du détail et rien d’important n’a bougé pour l’instant… L’arrivée au pouvoir des islamistes, qui est la prochaine étape, n’est pas encore à l’ordre du jour

    New-York, la ville-culte des admirateurs du Système

    (Joe Biden accusé de comportement sexuel non approprié) Les gens de gauche passent leur temps à faire la morale alors qu’ils ignorent même que le concept existe…

    (découverte d’une nouvelle espèce humaine, aujourd’hui disparue) Moins il y a d’espèces plus nous sommes nombreux

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/07/03/la-france-devient-lafrique-les-celsius-y-compris/