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l'emploi - Page 35

  • La grande question des retraites. Partie 1 : Travail et retraites.

    Il n’est pas possible de penser la question des retraites sans poser celle du travail, de ses finalités, de ses aspects et de ses possibilités. Or, trop souvent, les retraites ne sont évoquées que sous l’angle financier ou social, en oubliant que la retraite en elle-même est d’abord la sortie, plus ou moins ordonnée, du monde du travail et de la condition de travailleur, dernier terme que l’on limite trop aux seules classes populaires productrices dans l’idéologie marxiste en oubliant ces classes moyennes, voire supérieures, qui elles aussi sont engagées dans le processus de production de biens et de services, plus dans le secteur tertiaire et dans celui des échanges que dans les usines ou les champs. En fait, c’est le travail qui doit ou devrait déterminer les retraites (ce qui n’est le cas qu’en partie, paradoxalement), leur financement comme leur gestion sur le long terme, et cela nécessite aussi d’en examiner les conditions, autant d’accès que d’exercice et cela sans en oublier à la fois la nécessité et la motivation dans le champ économique comme social.
    Aujourd’hui, le travail « professionnel » recouvre un temps qui paraît bien moins long qu’il y a une quarantaine d’années, mais il apparaît aussi moins bien distribué, le nombre de chômeurs ou de travailleurs à temps partiel ayant fortement progressé quand, dans le même mouvement, l’accès à l’emploi salarié est devenu plus tardif et, souvent, moins assuré. Cela entraîne donc une fragilisation des modes de financement des retraites, sans oublier que l’espérance de vie s’est aussi élevée et que le nombre de retraités a, lui aussi, augmenté mécaniquement et, disons-le, heureusement ! Désormais, la charge des retraites est devenue « trop » lourde pour un monde de l’emploi qui, en comparaison et en proportion, s’est rétréci de façon fort embarrassante pour leur financement : de quatre cotisants pour un retraité au milieu des années 1940, nous sommes passés à moins de deux, ce qui, évidemment, change la donne initiale de la retraite par répartition. Cela est évidemment lié à la quantité horaire de travail fourni, mais aussi à la situation démographique moins favorable et qui « se retourne » avec l’arrivée des classes d’âge nombreuses à l’âge de la retraite quand la natalité, elle, s’essouffle. Tout cela est connu et évoqué à raison souvent, mais aussi à tort et à travers parfois. L’erreur serait de se contenter de ces données, importantes mais pas toujours suffisantes pour saisir tous les enjeux de la question et tracer des perspectives qui satisfassent autant l’économique que le social.

    Un des premiers leviers dans la résolution de la question des financements est celui de l’emploi : faire baisser le nombre de chômeurs, réellement et non artificiellement par des entourloupes comptables ou des radiations exagérées, est un premier moyen de répondre efficacement à cet enjeu du financement, et c’est là-dessus qu’il faudrait insister. Mais il semble qu’il y ait, qu’on le veuille ou non, un certain renoncement en France sur ce sujet, et cela depuis la fameuse phrase du président Mitterrand qui affirmait que « contre le chômage, on a tout essayé », phrase du fatalisme étatique par excellence et véritable scandale économique autant que social. Or, il reste beaucoup à faire, et le fatalisme est anti-politique quand il faudrait que, justement, le politique (à travers l’Etat souverain) reprenne la main, non par étatisme mais pour garantir son rôle de justice sociale et de protection de ses nationaux et citoyens-contribuables. De nombreuses pistes restent à creuser, en particulier à travers le redéploiement rural et la reconstruction d’un véritable tissu d’activités de productions et de services dans des zones aujourd’hui déclassées par la mondialisation et la métropolisation mais qui constituent ce que l’on pourrait nommer, sur le plan de la conquête démographique, économique et sociale, « le far-west français » (mais sans l’aspect destructeur des origines et des traditions locales que l’original états-unien a pu représenter). Là encore, au lieu de fermer des écoles de campagne (près de 400 cette année encore), il faudrait en ouvrir et en rouvrir, y compris avec un nombre d’élèves inférieur aux obligations administratives, et cela serait le meilleur moyen d'attirer de jeunes familles et de pérenniser leur installation, sachant qu’une école ouverte dans ces conditions particulières, c’est aussi le maintien ou la création de trois emplois en moyenne, pour l’enseignement proprement dit et pour l’entretien de l’établissement, autant ménager que technique et informatique. Ce n’est qu’un exemple de ce qui pourrait être fait, parmi mille d’entre eux et initiatives possibles en ce domaine.Un autre élément du travail à prendre en compte est son « temps long » et sa distribution avant de pouvoir accéder à la retraite professionnelle. Si les générations présentes travaillent moins que les précédentes, c’est aussi parce que leur productivité est plus élevée et qu’elles « rapportent » plus, mais souvent plus par leur consommation elle-même (et par les charges fiscales…) que par leur seule production. Mais la demande des générations actuelles s’est adaptée aux possibilités, jusque là assumées et garanties (mais cela est de moins en moins vrai, semble-t-il), de l’Etat-providence, devenu un « Etat-nounou » qui a fortement déresponsabilisé les populations tout en les aliénant de plus en plus à une société de consommation exigeante et addictive… Cette évolution a constitué un piège qui, désormais, paraît se refermer complètement sur ceux qui ont cru en les promesses d’un « bonheur si je veux », fondé sur l’individualisme et le « consommationnisme », devenu « consommatorisme » : ainsi, les retraités peuvent mal vivre, parfois, leur situation financière qui paraît les déchoir de ce statut confortable de consommateur et d’assuré social (qu’ils restent pourtant et malgré tout) de salarié (ou indépendant) cotisant. D’autre part, le travail n’a pas la même valeur ni le même statut selon les professions et les secteurs d’activité, et les hiérarchies des uns et des autres, sans oublier les fortes disparités dans les conditions mêmes du travail effectué : cela se ressent dans l’espérance de vie elle-même, et encore plus dans celle « sans incapacité », qui correspond à la « bonne santé », qui sont toutes deux très différentes selon que l’on est cadre, professeur ou ouvrier métallurgiste ou du bâtiment, et qui montrent un écart pouvant atteindre treize ans entre un travailleur « manuel » et un travailleur « intellectuel ».Sans doute ne faut-il pas oublier aussi la nature du travail effectué, qui peut être fort différent selon les étapes de la vie des cotisants, et l’évaluer ainsi à l’aune des différents aspects reconnus de pénibilité, ce qui renvoie également à la question de l’âge effectif de l’accès à la retraite qui, si l’on y réfléchit bien, ne peut être tout à fait le même selon les professions considérées. N’est-ce pas une erreur de vouloir imposer un âge légal de départ à la retraite et un nombre minimal d’années travaillées et cotisées ou, du moins, une certaine « injustesse » sociale qui pourrait bien être ressentie comme une véritable injustice ? Ces questions méritent au moins d’être posées, à défaut de trouver des réponses totalement satisfaisantes aujourd’hui.(à suivre : Le travail au-delà de l’âge légal de la retraite ; des propositions pour de nouvelles formes de financement ; la Monarchie royale et la question des retraites : quelles possibilités ? ; etc.)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1567:la-grande-question-des-retraites-partie-1-travail-et-retraites&catid=53:2019&Itemid=64

  • « Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien … » (fin)

    Sur la délinquance, la police, la justice

    (affaire Daval) Les crimes de Blancs sont une aubaine pour le Système : il les exploite jusqu’à plus soif pour détourner l’attention de ceux de ses protégés, autrement plus nombreux…

    Comparer la brutalité de la police et de la justice à l’égard des gilets jaunes et leur absolu laxisme depuis 40 ans vis à vis des « quartiers »…

    A propos de délinquance rappelons les chiffres. Par rapport aux 3,5 millions de délits et crimes officiellement recensés chaque année, on ne compte que 80.000 entrées en incarcération par an. Autrement dit, la plupart des délinquants sont… en liberté

    Autre chiffre : la plupart des 80.000 délinquants qui entament chaque année un séjour en prison ne vont y rester que quelques mois : 5 ans d’incarcération effective, en moyenne, pour un crime ; 7 mois pour un délit.

    Les juges libèrent les racailles et rêveraient d’emprisonner les populistes…

     L’histoire de ce Romand est un vrai feuilleton

    (des cartouches de cigarettes de contrebande saisies) C’est un type de cartouches qui ne tue que lentement

    (une magistrate de cour d’assise agressée à son domicile) Si elle appartient au SM, le syndicat qui aime les coupables, c’est sa propre photo qu’elle devra mettre sur le Mur des cons…

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    (les principaux responsables de l’UE viennent d’être nommés) Quiz : lequel est plutôt proche de 1) Rothschild 2) Goldman Sachs 3) Monsanto 4) Total ? Cocher la case qui convient…

    Si l’on est favorable à l’Europe, on ne peut qu’être hostile à l’UE, qui n’est qu’un maillon de la mondialisation…

    L’UE n’a pas été conçue pour être souveraine mais pour constituer un maillon de la mondialisation, sous direction américaine…

    L’UE n’est qu’un maillon de la mondialisation. Elle organise une concurrence sauvage entre les Etats membres et entre leurs populations. Elle encourage l’invasion de l’Europe par l’immigration. Elle est un ennemi des peuples européens et de leur civilisation

    Rappelons que l’UE a en 1988 libéralisé les mouvements internationaux de capitaux, avec deux objectifs : rendre possibles les délocalisations ; permettre l’évasion fiscale, au bénéfice des hauts revenus et des détenteurs de patrimoine…

    La France est le pays le plus taxé du monde. Et pourtant la dette a explosé. Et en plus ils privatisent… Soit ils sont nuls soit ils trahissent…

    Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien…

     Pour casser les salaires, ils ont envoyé les emplois en Chine… Pour les emplois non délocalisables, ils font venir des immigrés.

     Les Français moyens de souche qui travaillent doivent travailler davantage pour pouvoir financer les besoins croissants 1) des politiciens 2) des assistés 3) des immigrés…

     La mondialisation est une catastrophe. Le mieux pour l’intérêt des peuples; serait que chaque grande région du monde organise son économie de façon autonome…

     Les soi-disant pauvres ne paient pas grand-chose et reçoivent énormément. Les riches paient de moins en moins. Le matraquage des Français moyens qui travaillent ne peut que s’accentuer…

    (une salariée de Michelin se plaint de harcèlement) Elle est gonflée…

     Sur l’environnement

    Eh oui la dégradation du climat est bien triste… Mais nous avons choisi l’industrialisation au 19e siècle. La société de consommation au 20e. La mondialisation au 21e. Au passage nous avons cru bon de donner des vaccins à l’Afrique… Et maintenant il va falloir payer….

    Tiens à propos, le kérozène des avions dont sont friands les cadres sup et leurs amis bobos n’est pas taxé… Le carburant des gilets jaunes si…

     La technique du « Et vous que faites vous pour l’environnement ? », pour culpabiliser les Français moyens et dédouaner ceux qui dirigent…

    Les zozos marchent pour le climat pendant que la « république en marche » signe Mercosur et Ceta…

    (Hidalgo veut végétaliser Paris) Quel délire… La ville n’est pas le lieu du végétal mais du bâti, des perspectives, du minéral…

    Ils bétonnent la campagne à tout va et veulent mettre des forêts dans les villes…

    (bientôt la viande sera d’origine artificielle ou végétale) Et les belles Charolaises qui broutent la Bourgogne on en fait quoi ?

    Sur l’école

    (des profs ne rendent pas les copies de bac) L’insubordination des profs, qui n’obéissent à personne, est une des causes de l’effondrement de l’éduc-naze…. Ils changeraient de comportement si on ne leur versait pas leur paye à temps…

     (copies du bac bloquées et résultats retardés) Le suspens est à son comble : le taux de réussite sera-t-il enfin supérieur à 100 % ?

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct 

    Remplacer les hétéros par des homos, les hommes par des femmes, les vieux par des jeunes, les blancs par des gens venus d’ailleurs…

    Promotion des comportements libertaires et puritanisme féministe, deux des dogmes du Système, paraissent en contradiction. Il n’en est rien en réalité : il s’agit dans les deux cas de détruire ce qui reste de la société d’antan. Les réformes libertaires pour détruire la famille. Le féminisme pour annihiler le rôle masculin traditionnel…

    Le handicap, encore une vache sacrée du Système… Le top c’est la femme homosexuelle en situation de handicap et issue de la diversité…

     Le foot féminin : enfin un somnifère qui ne grève pas les comptes de la sécu…

    Sur la modernité, la république, la démocratie, la bourgeoisie

    Dans leur grande majorité les Français ont décidé de se débarrasser de leur religion et de renoncer à leur civilisation : la destruction de Notre-Dame est une punition. Pas la dernière. Ni la plus terrible…

    Eh oui, la modernité individualiste est souvent synonyme de frustration, de doute sur soi, de sentiment d’échec et d’angoisse existentielle… Fallait pas casser la société traditionnelle…

    Les gilets jaunes ont fait apparaître la république dans sa vraie nature : la cupidité des bourgeois, qui s’enrichissent sans limites grâce au capitalisme mondialisé ; le mépris pour les Français moyens ; la corruption de l’Etat ; la pseudo démocratie manipulée ; l’individualisme sans morale ; l’idéologie universaliste, qui débouche sur l’invasion migratoire et détruira l’Europe…

    L’individualisme est le fondement de l’idéologie moderne, dominante depuis 200 ans : il aboutira à la destruction de la civilisation européenne…

    Sur le vaste monde

    Rappelons que les Anglais moyens de souche qui ont voté pour le Brexit espéraient avant tout arrêter l’invasion migratoire…

    En Algérie les militaires sont contraints de changer d’homme-de-paille : cela relève du détail et rien d’important n’a bougé pour l’instant… L’arrivée au pouvoir des islamistes, qui est la prochaine étape, n’est pas encore à l’ordre du jour

    New-York, la ville-culte des admirateurs du Système

    (Joe Biden accusé de comportement sexuel non approprié) Les gens de gauche passent leur temps à faire la morale alors qu’ils ignorent même que le concept existe…

    (découverte d’une nouvelle espèce humaine, aujourd’hui disparue) Moins il y a d’espèces plus nous sommes nombreux

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/07/03/la-france-devient-lafrique-les-celsius-y-compris/

  • « Les emplois sont partis en Chine. Le climat est bousillé. Tout ce qu’ils nous vendent est empoisonné. L’Europe est envahie. Tout va bien … »( 1ère partie )

    Paysan Savoyard sur Facebook

    (mars à juin 2019)

    INFO L’alias Hubert Defrasses tient toujours…

    Juin 2019. 7 jours de bannissement sur Facebook pour le commentaire suivant (à propos de cet enfant Turc écrasé par un chauffard maghrébin à Lorient) : « Dans la France envahie, auteurs et victimes de la délinquance seront de plus en plus fréquemment des immigrés… » Avertissement de Facebook : « You can’t post or comment for 7 days. Vous avez publié du contenu qui va à l’encontre des Standards de la communauté. Ce commentaire va à l’encontre de nos standards en matière de discours haineux. Nous sommes convaincus que les discours incitant à la haine créent un environnement propice à l’intimidation et à l’exclusion »

    Sur l’invasion

    Deux catégories de musulmans : les musulmans pressés (islamistes, djihadistes…) ; et les musulmans « modérés », qui savent que le temps et la démographie jouent pour eux. Au rythme actuel de l’invasion, il leur suffit d’attendre pour que l’Europe tombe comme un fruit mûr…

     Dans le foot français, il n’y a plus que des remplaçants…

     Pour la nounou, vous êtes plutôt voile ou boubou ?

    Derrière la crise des urgences, comme en toile de fond de la plupart des graves difficultés auxquelles la société française est confrontée, l’immigration…

    (un tableau de maître sur un yacht) Le turban de travers, à poil à la fenêtre
    L’émir jette un œil torve sur le tableau de maître Tandis qu’il rote, qu’il sue et qu’il songe à la REM Ses mains moites tripotent les mouquères du harem

    La France devient l’Afrique, les Celsius y compris…

    Tout le monde il est Français. Même ceux qui ne le savent pas. Même ceux qui haïssent la France. Même ceux qui ne sont pas encore nés…

    (le journaliste tahas boulafh placé en garde à vue pour rébellion) Ce Français de papier doit être un journaliste de presse écrite….

    Ce journaliste est sans papier semble-t-il. Heureusement de nos jours la presse est avant tout numérique

    Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents

    (Merkel prise de tremblements) Sans doute à l’idée du procès pour Haute trahison qui l’attend un jour ou l’autre, elle qui a importé à la demande du patronat plus d’un million d’immigrés inassimilables..

    (Pour la justice allemande, une demandeuse d’asile risque des « traitements inhumains » en France) Si seulement ça pouvait être vrai…

    Dans le monde de fou qui s’installe, les hommes sont comme des femmes, les assistés des travailleurs comme les autres, les squatteurs des occupants légitimes et les immigrés des Français comme vous et moi

    Prendre aux Français de souche pour donner à ceux qui les envahissent… Plus de quarante ans que ça dure…

    Tout ce que le Système prétend est mensonge. Tout ce qu’il nous vend est empoisonné.

    Chaque jour les médias du Système nous livrent un article anti Trump, un autre anti Poutine et une centaine en faveur de Macron…

    (Sea Watch) Collabo c’est un métier

    « Je trouve qu’il y a trop d’immigrés » : interdit. « Je ne trouve pas qu’il y a trop d’immigrés » : autorisé. « Je trouve qu’il n’y en a pas assez » : recommandé…

    A partir d’aujourd’hui il est interdit de haïr… Amour de l’Autre obligatoire… Sinon gare…

    Il est interdit de haïr : la haine de l’Autre est haïssable…

    Beaucoup de cathos aspirent à mourir en martyrs : dans l’Europe envahie ils vont être servis

    Pour les aveugles volontaires, il n’y a jamais de rapport et tout est plus compliqué que cela…

    Trois catégories d’immigrationnistes : les dirigeants, , qui nous trahissent, représentés par Macron ; les collabos, comme ces gens des ONG ; et l’immense majorité des résignés, qui, par lâcheté et calcul, continuent à voter pour la classe dirigeante organisatrice de l’invasion…

    La France vend des armes aux pays qui veulent les utiliser, pour attaquer ou se défendre… Quant à elle, elle se laisse envahir sans lever le petit doigt…

    On se battait autrefois pour défendre son pays. En nous laissant envahir sans la moindre réaction, nous nous déshonorons face à tous ceux qui sont morts

    Revenir jusqu’à plus soif sur l’invasion d’il y a 80 ans pour détourner le regard de l’invasion en cours…

    (la BD qui dénonce l’absurdité de la guerre) La guerre c’est pas beau. La maladie non plus. Quant à la mort ça ne devrait pas exister…

    Sur les politiciens, la sphère politico-administrative, la gauche, la droite, la classe dominante

    Macron représente à la fois la gauche et la droite : la fausse droite type Sarko ou Wauquiez n’a plus de raison d’être…

    Trois grandes catégories dans l’électorat Macron-Rothschild : 1) les bourgeois, gagnants de la mondialisation  2) les naïfs qui croient aux sornettes du « monde nouveau », beau, moderne et gentil  3) les retraités et les fonctionnaires, qui votent pour le Système et le statu quo afin de préserver leur salaire et leur pension.

    La bourgeoisie de gauche a rejoint celle de droite autour de Macron… Quant à la gauche anticapitaliste, elle s’abstient au moment décisif et laisse hypocritement Macron arriver tranquillement au pouvoir…

    Quel génie ce Macron… Il n’avait derrière lui que Rothschild, le CAC 40 et les médias… Et il a réussi à s’imposer… Trop fort…

    Pour manifester le mépris qu’il éprouve pour les Français moyens de souche et pour les provoquer, Macron-Rothschild aime à s’entourer de personnages comme Sibête, Ben Allah, Guerradj…

    Sibête la bien nommée

    Les convictions écologiques de Macron-Rothschild-Ouibus ne peuvent que sauter aux yeux…

    Macron-Rothschild peut bien essayer de rivaliser avec Trump : il ne sera jamais que le président des bourgeois et des retraités français

    (Macron rend hommage aux sauveteurs du SNSM) Macron-Rothschild rend hommage aux sauveteurs, lui qui coule la France…

    (tensions en vue des municipales à Bordeaux) Ali Juppé contre Macron-Rothschild…

    Le programme de Macron-Rothschild : alléger l’impôt des riches ; matraquer la classe moyenne de taxes et cotisations ; harceler les Français moyens sur les routes ; laisser filer les racailles ; et surtout accentuer le Grand remplacement…

    La crise des gilets jaunes à peu près surmontée, le pouvoir macronien va probablement en rajouter dans l’arrogance et la brutalité…

    (Succès du parti animaliste). Le sort des Français de souche européenne étant désespéré, autant effectivement se consacrer désormais aux animaux…

    Comparés aux écolos, les macroniens pourraient presque, par contraste, passer pour honnêtes et désintéressés…

    Parties intégrantes du Système, les pseudo écolos, sont en réalité des libertaires, mondialistes et immigrationnistes

    Une seule petite chance pour la France : le FN et la droite doivent s’unir pour arrêter l’invasion…

    Tiens à propos, Wauquiez, le chef de la fausse droite, vient d’accorder aux demandeurs d’asile une réduction de 75 % sur les billets de train régional…

    Faut pas exagérer : la collaboration des communistes avec les nazis n’a duré que deux ans pas plus. Dès 1941 elle était terminée…

    Le Pen ne réunit que 10 millions de voix…. Les autres Français sont contents d’être envahis…

    (au parlement européen Loiseau s’est moquée des vieux de la vieille) On lui fait un mauvais procès : en parlant de vieille c’est à elle qu’elle pensait… Cette Loiseau en effet est loin d’être un perdreau de l’année…

    (La justice oblige France 2 à inviter Hamon, Asselineau et Philippot à un débat) Ce n’est pas parce que ce sont des tocards qu’il faut les retoquer

    Michel Serres : un optimisme de commande pour mieux se soumettre aux évolutions catastrophiques en cours…

    Trop de fonctionnaires inutiles dans les collectivités locales. Pas assez dans les fonctions de contrôle que l’Etat est censé exercer (notamment le contrôle des élus locaux…)

    La CNIL, un de ces machins pour placer des copains par où s’engouffre notre argent…

    La grève devrait être interdite dans le service public. Parce qu’il est service public…

    À suivre

  • Ni CETA ni TAFTA : Stop au libre-échange !

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    Communiqué de la Dissidence française :

    Mardi prochain sera examiné à l’Assemblée Nationale le projet de ratification du CETA, traité de libre-échange global entre l’Union Européenne et le Canada. Négocié en coulisses, soutenue par la majorité LREM et le gouvernement Macron, ce texte a pour ambition de faire tomber les barrières douanières entre les espaces économiques européen et canadien, et de développer le commerce international au nom de l’idéologie du libre-échange.

    Dans les faits, ce traité exposera notre économie – et en particulier notre modèle agricole – au dumping social, fiscal et environnemental exercé par les entreprises canadiennes qui ne sont pas tenues par les mêmes règles que les entreprises françaises. Le CETA prévoit également, dans la droite ligne des préconisations de la Commission Européenne, l’ouverture à la concurrence des services publics et donc, à terme, leur démantèlement. Pire, ce texte offrira la possibilité aux multinationales d’attaquer en justice les Etats grâce à un « Système de Cour sur l’Investissement » (ISC) : les lobbies financiers et industriels pourraient ainsi faire condamner des Etats souverains, coupables d’avoir adopté des mesures (nommées « barrières non-tarifaires ») qui entraveraient le commerce transatlantique (telles que l’interdiction des OGM, la prohibition des farines animales ou du glyphosate, et évidemment la mise en oeuvre d’une politique protectionniste). Il est par ailleurs évident qu’en accroissant les flux commerciaux et les exportations transatlantiques, et donc le transport naval de marchandises, ce traité contredit les ambitions prétendument écologistes du gouvernement.

    En résumé, le CETA – à l’instar du TAFTA, le traité transatlantique UE/USA – constitue un texte éminemment favorable aux grandes multinationales au détriment des peuples européens, de nos entreprises et de notre agriculture. Contre cette logique libérale et mondialiste, la Dissidence Française propose l’abandon immédiat des négociations de ratification du CETA et du TAFTA, l’instauration d’une politique protectionniste et localiste qui favorise les circuits courts par la détaxation de proximité, qui protège nos entreprises de la concurrence déloyale en taxant les importations, et qui assure une relocalisation des activités économiques par une baisse drastique de la pression fiscale qui pèse sur les PME.

    Pour la France et les Français d’abord ! 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/19/ni-ceta-ni-tafta-stop-au-libre-echange-6165175.html

  • Pendant que Rugy tombe, le dépeceur d’Alstom, le bradeur des aéroports de Paris, l’homme aux réseaux obscurs est toujours en place à l’Elysée

    Pendant que Rugy tombe, le dépeceur d’Alstom, le bradeur des aéroports de Paris, l’homme aux réseaux obscurs est toujours en place à l’Elysée

    D’Etienne Defay dans Présent :

    […] Au tableau de chasse de Mediapart : Eric Woerth (affaire Bettencourt), Alain Joyandet (jet privé à 100 000 euros), Jérome Cahuzac (compte suisse), Aquilino Morelle (souliers de luxe), Thomas Thevenoud (phobie administrative), Denis Baupin (agressions sexuelles), Laura Flessel (raisons fiscales) et enfin François de Rugy.

    Un tableau de chasse impressionnant en neuf ans. Un tableau de chasse qui en dit long sur l’incroyable force de frappe d’Edwy Plenel et qui entretient la crainte que tous éprouvent à l’encontre de ce petit bonhomme moustachu aux yeux plissés et au rictus qui oscille entre l’amusement et la défiance. […] Pourtant, de tous ces massacres exhibés fièrement dans le « hall of shame » du média créé en 2008, il manquera toujours les rois des gibiers. Las, Rugy faisait une piètre bartavelle, exit donc le mangeur de homards amateur de grands crus, exit l’homme qui avait trahi ses engagements lors de la primaire du PS pour rallier Macron en laissant choir Benoît Hamon.  Bon débarras serait-on tenté de dire. Mais pendant que Rugy tombe, le dépeceur d’Alstom, le bradeur des aéroports de Paris, l’homme aux réseaux obscurs est toujours en place à l’Elysée.

    C’est bien là que Mediapart déçoit. Comme si les prédateurs qu’ils prétendent être se muaient en chiens se disputant un os à défaut d’avoir la carcasse, Mediapart offre des seconds couteaux comme pour asseoir sa légitimité sans jamais mettre en danger réellement ceux dont ils se réclament le contre-pouvoir par excellence. Mediapart joue finalement un jeu assez confortable dont le pouvoir peut s’accommoder assez bien. Laissez-nous piller la Banque et nous vous donnerons des voleurs à l’étalage.

    Les liens entre Mediapart et le pouvoir s’apparente davantage à ceux liant le SAC et les Lyonnais qu’aux Incorruptibles et Al Capone. On serait, en désespoir de cause, tenté de féliciter Macron de ne pas céder aux chantages de Plenel, car il y aurait pire qu’un consommateur de homards payés avec des deniers publics : un Edwy Plenel en Secrétaire général de l’Elysée, faisant et défaisant les ministres à son goût.

  • Chronopost : l’immigration clandestine illustrée – Journal du 17 juillet 2019

     

    Chronopost : l’immigration clandestine illustrée

    Depuis le 11 juin dernier, des clandestins employés par un prestataire de Chronopost occupent illégalement une plateforme du service de la Poste. Ils réclament une régularisation et leur titularisation… TV Libertés part à leur rencontre !

    Union Européenne : des nouvelles têtes toujours plus loin des citoyens

    La commission européenne se dote d’une nouvelle tête avec l’Allemande, Ursula von der Leyen. Son élection par les députés européens n’aura pas été sans difficulté dans un environnement politique communautaire divisé où les citoyens paraissent plus que jamais éloignés de la chose publique.

    5G : les télécoms passent la vitesse supérieure

    Après l’Italie et l’Allemagne, la France a lancé sa procédure d’attribution des fréquences 5G aux opérateurs télécoms. Beaucoup plus rapide que la 4G, cette nouvelle génération de réseau téléphonique devrait révolutionner nos vies quotidiennes alors qu’un risque sanitaire n’est pas exclu.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/chronopost-limmigration-clandestine-illustree-journal-du-17-juillet-2019

  • Licencier 1000 personnes, cela vaut au moins la Légion d’honneur

    Licencier 1000 personnes, cela vaut au moins la Légion d’honneur

    Emmanuel Macron a accordé la Légion d’honneur à Corinne de Bilbao, directrice générale de General Electric France de 2016 à 2019. Aujourd’hui le groupe américain supprime 1000 emplois sur son site de Belfort.

    Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, a favorisé la vente de la branche Énergie d’Alstom à General Electric en 2014. Le 28 mai dernier, le site de Belfort annonçait la suppression de 1000 emplois.

    Corinne de Bilbao fut directrice générale de General Electric France, de mars 2016 à avril 2019, avant que son successeur Hugh Bailey ne prenne les commandes pour mieux mettre en œuvre la communication du plan de licenciement. Hugh Bailey était conseiller pour les affaires industrielles d’Emmanuel Macron à Bercy quand ce dernier a acté la vente d’Alstom Énergie à General Electric, en 2014.

    General Electric avait promis au gouvernement français, lors du rachat d’Alstom, lde créer 1.000 emplois ! Dès le mois d’octobre 2017, le fossoyeur d’Alstom Énergie annonçait la suppression de 350 postes sur 800 sur son site de Grenoble, avant de mettre en place un plan de départs volontaires concernant 280 emplois dans sa division Énergie début 2019, en lieu et place d'”Alstom Power System”.

    Le Journal officiel de la République française nous apprend que Corinne de Bilbao est nommée chevalier de la Légion d’honneur en sa qualité d'”ancienne présidente et directrice générale d’un groupe industriel, directrice générale d’un groupe spécialisé dans l’ingénierie”, et rend hommage à ses “30 ans de services”.

    https://www.lesalonbeige.fr/licencier-1000-personnes-cela-vaut-au-moins-la-legion-dhonneur/

  • Face au chômage. Partie 1 : Chômage et mondialisation.

    Le chômage est un mal endémique qui touche notre société depuis les années 1970, devenant structurel après être resté longtemps conjoncturel et limité. Aujourd’hui, c’est un véritable fléau qui mine l’harmonie sociale et fonde le ressentiment profond d’une part des catégories sociales, souvent populaires et, parfois déracinées ou dépossédées, mais aussi de plus en plus des classes moyennes et des catégories tertiaires. Le président François Mitterrand, qui s’était fait élire en 1981 sur la promesse d’un chômage qui n’atteindrait jamais les deux millions de personnes (ce qui se produisit quelques mois après…), avait baissé les bras et son action s’était réduite à créer quelques pansements sociaux, au grand dam des mineurs et ouvriers qui, dès 1984, brûlèrent son effigie lors des manifestations lorraines et parisiennes en criant à la trahison : la Gauche entamait alors son grand déclin et entérinait ses grands renoncements, au nom d’une Construction européenne qui remplaçait désormais la résolution de la question sociale… Et le chômage, presque cinquante ans après la fin du plein-emploi, est toujours là, inquiétant, épuisant, destructeur autant des métiers que des vies et des familles.

    Mais si l’on veut le combattre, car il faut le combattre (ce dont ne sont pas sûrs un certain nombre de libéraux qui y voient un mal nécessaire), encore faut-il en discerner les causes et s’y attaquer, non par de simples lamentations ou gesticulations mais par une véritable politique d’Etat, une politique qui ne vise pas à « tout faire » mais à impulser des initiatives et à soutenir des projets (y compris privés), à financer des grands chantiers et à penser des stratégies à long terme. Le fatalisme serait la pire des choses, et le « laisser-faire, laisser-passer » un abandon des responsabilités de l’Etat qui, pour conforter sa légitimité politique, ne doit pas négliger ses devoirs sociaux et nationaux de protection de ses citoyens-contribuables, travailleurs et producteurs. Bien sûr, l’étatisme serait aussi absurde que l’indifférence, et tout aussi dévastateur car il déresponsabiliserait les Français comme il dessaisirait les entrepreneurs quand il faut responsabiliser les uns et les autres et les protéger tout autant dans le cadre social et politique, en assurant l’équilibre social et en rassurant les acteurs et investisseurs économiques.

    Les causes du chômage contemporain français (car il y a des particularités françaises qui nous rappellent que l’économie dépend largement aussi des politiques nationales, et cela ne peut être ignoré) sont multiples et non uniques : parmi celles-ci, la mondialisation elle-même dont les aspects bénéfiques sont de moins en moins évidents. Bien sûr, aujourd’hui, la mondialisation est un fait mais il reste tout aussi vrai qu’elle n’est pas forcément un bienfait, et elle prend des formes qui sont celles que ses initiateurs souhaitaient, libérales, capitalistes, financiarisées. Des formes qui, à bien y regarder, pourraient bien être… le fond, ou, au moins, les fondements.

    Dans sa chronique hebdomadaire de Marianne, Henri Pena-Ruiz rejoint la critique (qui ne leur est pas exclusive d’ailleurs, mais qui n’est ni celle des libéraux ni celles des internationalistes marxistes) d’un La Tour du Pin ou d’un Bernanos, voire d’un Maurras quand il s’intéressait, au début du XXe siècle, aux questions économiques et sociales : « D’où vient le chômage ? En très grande partie de la désindustrialisation du pays. D’où vient cette désindustrialisation ? Du jeu pervers par lequel le capitalisme mondialisé entend profiter de l’inégal développement des droits sociaux pour localiser les productions là où le coût de la main-d’œuvre est le moins cher. » N’est-ce pas là la logique même d’une mondialisation qui ne s’est jamais pensée autrement que comme le moyen de maximiser les profits d’individus pour qui le monde n’est qu’une seule et même planète ou, plutôt, qu’un seul et même Village (à la façon de celui du Prisonnier, série anglaise des années 1960 ?), et qui ne doit, pour eux, avoir « ni frontières ni Etats », du moins pour les capitaux, mais qui jouent dans le même temps sur leur présence et (sur le plan économique) sur leur concurrence, en attendant que le moins-disant social mondial l’emporte par le biais d’une gouvernance qui s’imposerait aux gouvernements ? Cette logique est mortifère pour les travailleurs comme pour la notion même de travail, car elle les soumet à la logique pure du profit et aux détenteurs de capitaux, et non plus à celle de la production ou de la subsistance, tout en évacuant le souci de la qualité des produits ou des services, et celui de la simple justice sociale, souvent « oubliée » des discours économiques et des grandes multinationales qui préfèrent, parfois, évoquer le « bien-être » ou le « développement », notions moins « dérangeantes » et plus statistiques que concrètes…

    Cette logique est aussi celle de l’exploitation des plus faibles (économiquement et, surtout, politiquement) par les plus forts (classes dirigeantes et dominantes locales, souvent mondialisées, et grandes entreprises, souvent transnationales), et elle s’appuie sur l’espérance d’un sort meilleur qui est celle des ouvriers exploités (voire pire, d’ailleurs) à qui la société de consommation mondialisée fait miroiter « le paradis des choses » et qui désarme ainsi nombre de révoltes potentielles. Ces « classes sacrificielles » sont une des meilleures garanties de la mondialisation, et leur sacrifice le malheur des classes travailleuses de notre pays, comme le souligne M. Pena-Ruiz : « Ainsi (le capitalisme mondialisé) rattrape par la géographie ce qu’il avait perdu par l’histoire. Il s’agit de mettre en concurrence les classes ouvrières de tous les pays du monde pour s’affranchir des lois sociales qui permirent un partage plus équitable de la richesse produite. » Les lois sociales sont, effectivement, nationales quand la gouvernance, elle, se veut mondiale (et transnationale plutôt qu’internationale, ce dernier terme figurant encore l’existence de nations et leur éventuelle coopération), et c’est par la mondialisation que les financiers et les entreprises mondiales contournent les exigences sociales que seuls des Etats solides peuvent leur imposer sur l’espace de leur souveraineté. C’est là que l’on ressent la forte nécessité de l’Etat mais de celui qui incarne et impose la justice sociale : quand les Capétiens gouvernaient, ils brandissaient le sceptre du commandement mais aussi la main de justice, et il n’est pas tout à fait étonnant que la formule même de « justice sociale » soit née de la bouche du roi Louis XVI quand elle était déjà dans l’esprit de nombre de ses prédécesseurs.

    (à suivre)

    https://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1562:face-au-chomage-partie-1-chomage-et-mondialisation&catid=53:2019&Itemid=64

  • Drame social sans importance ?

    Les élections sont passées et les plans dits sociaux reprennent, à peine gênés par les déclarations martiales d’un gouvernement qui semble ne plus être qu’un Etat-ambulance quand il faudrait un Etat politique, actif, voire directif, capable de s’imposer aux féodalités financières et économiques : en fait, nous sommes bien loin de la formule célèbre du général de Gaulle qui considérait que la politique de la France ne se faisait pas à la Corbeille, et qui fixait le cap pour la France sans avoir besoin d’étatiser l’économie. En cela, il pratiquait une politique que n’aurait pas renié un La Tour du Pin, ce royaliste social soucieux d’une forme d’« économie d’entente » qui ne laisse pas les puissances patronales s’émanciper de leurs devoirs sociaux. Mais aujourd’hui l’Etat est faible quand les féodalités sont fortes et arrogantes, fixant leur calendrier selon le temps des actionnaires et non selon les intérêts des travailleurs, simples rouages productifs d’une Machine-Marché qui les dépasse et, plus certainement encore, les méprise.

    C’est aujourd’hui Belfort qui est témoin de cette suffisance d’une multinationale, en l’occurrence General Electric, celle-là même qui a mis la main sur la branche énergie d’Alstom en promettant des créations d’emplois auxquelles le gouvernement socialiste de l’époque fit semblant de croire mais qui ne vinrent jamais en réalité : « les promesses n’engagent que ceux qui y croient », disait Charles Pasqua, et ce qu’il formulait pour les élections s’avère tout aussi vrai pour les affaires économiques. Toujours est-il que désormais mille emplois directs sont condamnés et que c’est toute une ville qui est concernée et blessée, encore une fois : ce mouvement entamé à la fin des années 1970 semble sans fin, et rien ne semble pouvoir tenir tête à ce rouleau compresseur de la mondialisation qui déshabille Paul en France pour rhabiller (souvent moins bien encore) Pierre dans des pays aux faibles coûts salariaux, et qui, en définitive, profite toujours plus aux détenteurs du capital et des actions qu’aux ouvriers.

    Dans cette nouvelle affaire, il est néanmoins un élément qui frappe l’observateur, c’est la discrétion des médias qui n’y consacrent que quelques lignes et quelques minutes vite oubliées, et les découpes de presse sur ce dossier tiennent peu de place sur le bureau, comme si, déjà entendue, la cause ne valait pas plus qu’un grand article en pages intérieures, même pas annoncé en couverture. Cette indifférence à ce nouveau drame social est fort révélatrice de cette accoutumance aux mauvais us et coutumes de notre modèle économique dominant et mondialisé, et elle n’a rien de rassurant ! Et si, par malheur et dans un moment de dépit fort compréhensible, des ouvriers brisent quelques vitres et séquestrent quelques dirigeants indélicats, ils seront dénoncés comme d’odieux factieux qui méritent bien ce qui leur arrive ! Le cynisme de cette République si peu sociale (à rebours des souhaits d’un de Gaulle, si marqué par le catholicisme social qu’il rêva d’en faire une politique sous le nom de « participation ») me navre et m’encolère, mais elle ne me surprend plus. Mais doit-on se contenter de ces sentiments-là, de ces poings serrés de rage et de ces jurons lancés à la face de multinationales qui s’en moquent bien ?

    La réponse à ces drames sociaux mille fois renouvelés est politique, éminemment politique ! Il faut en finir avec ce fatalisme d’Etat et renouer avec une volonté politique qui sache poser et imposer, par la décision rigoureuse mais réfléchie, par une stratégie de politique économique qui place les hommes et leur travail avant les seuls profits des actionnaires ou des dirigeants d’entreprise. Il ne s’agit pas de faire du socialisme mais d’être « social ». Et l’Etat a, depuis les Capétiens, un devoir qui est de protéger ses sujets qui ne sont pas des objets jetables : s’il doit le faire sur le plan de la sécurité civile et nationale, il doit aussi l’assumer sur le plan social. C’est un devoir régalien, et à celui-ci, il faut un pouvoir régalien véritable : en France, malgré Clemenceau ou de Gaulle, régalien signifie royal, rien de plus mais rien de moins…

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com

  • Emploi : l’été des licenciements de masse

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    La rentrée s’annonce morose. Semaine après semaine, des entreprises d’envergure annonce des plans de licenciement et des restructurations de grande ampleur. 
    Des milliers de Français vont perdre leur emploi lors des prochains mois.

    Conforama : de la Ligue 1 à la fermeture de 42 magasins

    42 magasins fermés et 1900 emplois supprimés. 
    Conforama, l’un des géants du meuble, a présenté son plan choc qui sera mis en application au début de l’année 2020. 
    La nouvelle a provoqué l’émoi et des syndicats se sont introduits dans la réunion tenue par la direction.
    Les dirigeants justifient leur décision par la perte de 500 millions d’euros depuis 2013.
    Cela n’avait pas empêché la marque d’investir 25 millions d’euros pour devenir le sponsor principal du championnat de France de football de Ligue 1 en 2017. 
    Une somme qui n’aurait pas comblé le déficit mais aurait permis de sauver plusieurs magasins et des centaines d’emplois.

    Bic, Canal+, enseignement professionnel, Neovia : plus de 1 300 licenciements

    En plus de Conforama, d’autres sociétés renommées licencient à tour de bras. 
    C’est le cas de Bic, fabricant de stylos et de briquets, qui a annoncé début juin la suppression de 450 postes à travers le monde dont 100 à Clichy, son principal lieu d’implantation en France. 
    Quelques reclassements seront proposés, mais une soixantaine d’employés seront bel et bien au chômage.

    Canal+ n’a plus la tête à la fête, la chaîne cryptée prévoyant le départ de 544 de ses salariés. 
    La perte de droits de retransmission d’événements sportifs majeurs comme la Ligue 1 ou la NBA ont contribué au désamour des téléspectateurs qui se sont tournés vers d’autres offres.
    La Bretagne n’échappe pas à l’hécatombe avec 127 postes supprimés par Neovia, entreprise de nutrition animale, désormais aux mains du groupe américain ADM.
    Enfin, le syndicat de l’enseignement professionnel public lutte toujours avec vigueur contre la réforme Blanquer qui devrait supprimer près de 600 places dans leur secteur à la rentrée.
    Ces licenciements ou restructurations colossaux interviennent quelques semaines seulement après les dernières manifestations d’envergure des gilets jaunes et pourraient bien relancer les hostilités.
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