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lobby - Page 1198

  • Terrorisme : l’inaction des dirigeants de l’Union européenne

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    Dénoncée par Nigel Farage, ancien leader de l’UKIP et chef de file de la campagne pour le Brexit, dans un entretien sur Fox News. L’inaction des dirigeants de l’Union européenne est responsable de la poursuite des actions terroristes dans l’UE revendiquées par l’Etat islamique. Ils se contentent d’affirmer leur « solidarité » face au terrorisme, « mais pas une seule fois nous n’entendons un seul dirigeant de l’Europe proposer quelque solution politique que ce soit ».

    « Ils sont toujours dans le déni parce qu’ils sont tellement gênés par le fait qu’ils sont à la racine de tout cela ». « Il y a un lien direct et une relation entre le nombre de personnes de religions et de cultures différentes que vous faites entrer et le nombre d’attaques terroristes ».

    Nigel Farage a rappelé que l’Europe centrale et orientale est à l’abri des attaques terroristes de l’Etat islamique, car les gouvernements s’opposent aux quotas de migrants que tente de leur imposer Bruxelles. La Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie refusent d’accueillir les migrants islamiques d’origine africaine et proche-orientale qui réussissent à pénétrer dans les pays frontaliers de l’Union – Italie, Espagne, Grèce…

    Les Britanniques ont choisi le Brexit pour des raisons de protection et de sécurité :

    « En réalité, nous voulons contrôler nos frontières, non parce que nous en avons contre tel ou tel, mais parce que nous croyons avant toute chose au contrôle sensé des frontières. » « On peut dire que l’Union européenne a payé le prix politique fort à travers le Brexit ».

    Michel Janva

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  • Les vérités d’Elon Musk sur l’effondrement démographique de l’homme blanc

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    Le milliardaire Elon Musk, PDG de Tesla et de SpaceX avec des ambitions pour la planète Mars, garde les pieds sur Terre ! Il vient de publier un tweet prémonitoire en juillet 2017 à propos de la population mondiale et de ses inquiétudes quant à l’effondrement de la natalité de l’homme blanc ! Elon Musk ne fait que reprendre d’une façon médiatique les thèses de La Peste blanche (Gallimard, 1976) du grand historien et démographe Pierre Chaunu.

    Que dit Elon Musk ? La propagande anti-populationniste fait croire d’une façon malthusienne aux Occidentaux qu’il ne faut plus faire d’enfants car la planète a trop d’enfants ! Mais le drame, nous dit Musk, c’est qu’« au Japon, dans la plus grande partie de l’Europe et en Chine », la natalité « atteint seulement la moitié du taux de remplacement des populations ». Musk nous met en garde en nous disant que « tout cela va s’effondrer. Cela ne peut pas tenir debout. Le taux de dépendance sera trop élevé. Le nombre de personnes à la retraite par rapport aux producteurs nets sera trop élevé. Le filet de Sécurité sociale ne pourra pas tenir. » Alfred Sauvy avait aussi, depuis longtemps, remarqué qu’en matière démographique, « les pays riches se mettaient à la diète sous prétexte que les obèses habitaient la maison voisine ».

    Il n’y a, en effet, comme a pu dire Jean Bodin, « de richesses que d’hommes ». Et selon Winston Churchill, « il n’y avait pas de meilleur investissement que de mettre du lait dans le biberon des enfants ». Valéry Giscard d’Estaing nous a aussi mis en garde tout en ouvrant malheureusement avec Simone Veil la boîte de Pandore de l’avortement : « S’il y a une décadence possible de l’Occident, c’est la démographie. » Quant à Michel Rocard, il ne disait pas autre chose, mais sans jamais, lui non plus, prendre des mesures concrètes adéquates : « La plupart des États d’Europe occidentale sont bien en train de se suicider, de se suicider par la démographie, sans même en avoir conscience. » 

    Le recours à l’immigration avec l’impossibilité de « vivre ensemble » au lieu de relancer la natalité des populations de souche européenne est une imbécillité, un acte de haute trahison, depuis quarante ans, des dirigeants de l’UMPS, Macron inclus. Le taux de fécondité des populations européennes en France est de 1,6 enfant par femme, soit nettement en dessous du taux de remplacement à l’identique des populations qui est de 2,1 enfants par femme, tandis que celui des populations immigrées extra-européennes est de 3,4 enfants par femme. 

    Il importe donc en France, d’une façon urgentissime, de mettre fin à l’immigration extra-européenne, de relancer le taux de natalité avec des mesures fiscales, sociales et des allocations familiales substantielles, de juguler et de mettre fin à l’avortement criminel scandaleux (payé par la Sécu) de 200.000 bébés par an, de retrouver et de défendre les valeurs sociétales traditionnelles de la famille qui ont fait la grandeur de l’Europe, bref, tout le contraire de ce que croit le technocrate financier libéral Macron des « entreprises jeunes pousses », mais sans enfants en chair et en os et avec une grand-mère divorcée comme épouse !

    L’Europe ne représente plus, aujourd’hui, que 10,3 % de la population du monde, contre 25 % en 1900. La population de l’Afrique passera de un à deux milliards d’ici à 2050 et le Nigeria pourrait alors dépasser la population des États-Unis ! C’est donc à l’Afrique seule de baisser son taux de natalité, pas à l’Europe qui doit se défendre manu militari face à l’invasion programmée.

    Elon Musk a 1.000 fois raison ! En Russie, Poutine, lui, a mis en place immédiatement des allocations financières substantielles à la naissance et honore à nouveau les familles nombreuses traditionnelles. L’avortement n’est plus à la mode et le taux de fécondité de 1,3 enfant par femme, en déclin accéléré sous Eltsine, est déjà remonté à 1,8 !   

  • "GPA reconnu en France" Ludovine de La Rochère s'exprime sur CNews le 5 juillet 2017

  • Quand le sage désigne la lune…

    Les Etats-Unis  détiennent  le triste record du nombre d’ homicides et des violences au sein des pays occidentaux, mais il y a des décès plus médiatiques que d’autres. C’est le cas avec  la mort d’une militante d’extrême gauche tuée à Charlottesville (Virginie) le 12 août. Un drame intervenu lors d’une contre-manifestation organisée par la nébuleuse antifa, notamment des membres des Black  Lives Matter, organisation très trouble  financée par le sinistre George Soros,  contre un rassemblement dénonçant la campagne visant à  déboulonner les statuts du (populaire) général  Lee.  Rassemblement au sein duquel, c’est vrai, étaient aussi visibles avec leurs panoplies folkloriques   quelques militants-provocateurs de groupuscules extrémistes, des suprémacistes blancs. Héros confédéré de la guerre de sécession, Lee est (était?) une figure suffisamment consensuelle -les amateurs  s’en souviendront- pour que  Général Lee  soit le surnom donné à la voiture flanquée du drapeau sudiste (une Dodge charger 1969) dans  la série télévisée à succès des années 80,  Duke of Hazzard (Shérif fais-moi peur) qui voyait  les deux cousins de la famille Duke au volant de leur bolide faire la nique au shérif du Comté de Hazzard dans l’Etat de Géorgie… Sud profond ou non, il est établi que le général Lee était tout sauf une brute sanguinaire pétrie de haine raciale comme l’ont rappelé fort justement Pierre Terrail sur boulevard voltaire ou encore un communiqué de l’Agrif.

    Invité de RTL matin  la semaine dernière, Bruno Gollnisch a été interrogé sur cet incident dramatique de Charlottesville. Il a refusé de hurler avec les loups,  de se servir de ce drame pour débiter les poncifs habituels, accabler Trump qui a eu le front de condamner toutes les violences d’où qu’elles viennent,  ou de ressasser les formules incantatoires  sur les abrutis de petits blancs et autres red neck qui n’ont pas voté pour Hillary Clinton… « Je condamne évidemment le meurtre. Je le condamne de la façon la plus claire qu’il soit »; pour autant « quand on connaît les faits, l’initiative des violences a appartenu aux contre-manifestants »  a  noté le député frontiste. « Mais je ne suis pas là pour arbitrer les conflits ethniques ou politiques extrêmement violents aux États-Unis», « J’essaye d’éviter à la France les problèmes que connaît la société multiculturelle, multiethnique et multiconflictuelle des États-Unis ! ».

    L‘amalgame est paraît-il un travers qui touche tous les mauvais esprits qui osent rappeler le lien entre immigration de peuplement et échec de l’assimilation, développement de foyers islamistes et de cellules djihadistes dans toute l’Europe. La  Finlande dans la ville de Turku avec une attaque au couteau le 18 août et, pire encore, l'Espagne la veille à Barcelone avec un véhicule fonçant dans la foule, viennent d’en payer le prix fort. Les  adversaires de l’opposition nationale et les progressistes de tout poil ne s’en privent pourtant pas.  Bel exemple en date,  la compilation  commise par Cécile De Sèze , «journaliste RTL », qui apprenait à ses lecteurs sur le site de la station qu’une même infamie, les mêmes relents nauséabonds  de la  bête immonde relient les défenseurs de la mémoire du général Lee à Charlottesville et les partisans Américains, Européens, Français  de la République  arabe syrienne, du  maintien au pouvoir de Bachar-el-Assad.

    « Selon le politologue Ziad Majed, spécialiste de la Syrie – et militant antinational de gauche ce qui n’est pas précisé ici, NDLR- (Bachar el-Assad) représente une figure, il est devenu le modèle de cette extrême-droite occidentale (…). Cette frange pense alors, selon le politologue, que le régime en place impose l’ordre et la stabilité face à des indigènes de couleur, de race inférieureL’extrême droite française est aussi concernée (…)  lors de la campagne présidentielle, Marine Le Pen avait déclaré dès le début du conflit syrien que contribuer à la chute de Bachar el-Assad, c’est permettre à l’EI de gouverner la Syrie. » Quant à  Jean-Marie Le Pen,  il  « louait déjà les qualités de l’héritier syrien (…).  Précédemment, il avait également regretté le temps où Kadhafi était à la tête de la Libye ou avait encore soutenu Saddam Hussein. (…).   Sylvain Crépon, spécialiste de l’extrême droite française et chercheur à Sophiapol -lui aussi un sociologue  juge et partie clairement marqué à gauche, NDLR- , explique qu’à la fin des années 1980, le Front National s’est posé  comme défenseur de l‘Occident chrétien  face au communisme. Quand le communisme s’est effondré, il a fallu trouver une nouvelle stratégie internationale et puiser dans les pensées de groupes qui développent la pensée du différencialisme culturel et s’opposent au métissage ».

    Ce mélange d’approximations, de raccourcis biaisés, de mauvais fantasmes, de duplicité intellectuelle et de simplisme bêta prêterait presque à rire s’il n’y  avait pas encore quelques lecteurs de bonne foi pour prendre pour argent comptant ce type d’élucubrations. Mais ce qui est une incontestable  réalité dont il faut se réjouir, c’est le recul constant de  l’Etat Islamique sur le terrain en Irak comme en Syrie ces derniers mois. Une  République arabe syrienne qui est en passe, fort du soutien déterminant  de ses alliés,  de gagner la bataille de sa survie face à l’hydre islamiste.

    Une dépêche de l’AFP rapportait notamment que si «6 millions de Syriens restent déplacés à l’intérieur du pays alors que plus de 5 millions ont trouvé refuge à l’étranger »,  « l‘Organisation internationale des migrations (OIM) a déclaré le 14 août que plus de 600 000 Syriens qui avaient quitté leur foyer en raison de la guerre, étaient rentrés chez eux entre janvier et juillet 2017 (…). En 2016, la moitié des retours avait eu lieu dans le gouvernorat d’Alep, et selon l’OIM, des tendances similaires ont été observées en 2017. La libération d’Alep en décembre 2016 et sa reprise aux terroristes de Daesh, ainsi qu’à d’autres forces rebelles djihadistes par les forces de l’armée syrienne, appuyées par l’aviation russe, a joué un rôle crucial pour le retour des déplacés au sein de la deuxième ville du pays. »

    Il faut aussi le noter, un certain nombre de vérités sur le conflit syrien finissent aussi par affleurer même dans les médias relayant habituellement la doxa officielle… et certaines hautes autorités morales ont été contraintes de lâcher du lest vis-à-vis de la propagande officielle. C’est (en partie) le cas de Carla Del Ponte ancienne présidente du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et membre jusqu’à une date toute récente  de la  Commission d’enquête de l’ONU sur la Syrie,   qui a annoncé  le 6 août qu’elle allait en démissionner. Dans le journal helvétique Blick, Mme Del Ponte confie : « Je ne peux plus être dans cette Commission qui ne fait absolument rien ».  « Au début il y avait le bien et le mal. L’opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal », et si  le gouvernement syrien affirme t-elle a  « perpétré de terribles crimes contre l’humanité », désormais « tous en Syrie sont du côté du mal ». 

    Sur le site de RT Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France,  estime que Mme Del Ponte « est loin d’adopter une approche équitable à l’égard de Bachar el-Assad et de son gouvernement, reprenant les poncifs ou mensonges des révolutionnaires et de leurs parrains occidentaux ou islamistes. Il est étonnant que cette femme de haut vol soit si obtuse, après six ans et demi d’une tragédie dont la véritable nature, les mobiles et objectifs, sont affichés par les agresseurs de la Syrie avec tant de cynisme (…).  Je suis frappé de constater que madame Del Ponte, membre d’une commission onusienne censée être impartiale, partage apparemment sans réserve la position des responsables et intellectuels occidentaux. Elle est venimeuse concernant Bachar el-Assad, chef d’un Etat agressé, qui défend la souveraineté, l’intégrité et l’indépendance de son pays ; elle est aveugle et sourde face aux voix venant de Syrie. »

    Reste que Mme Del Ponte admet cependant dans son entretien dans la presse suisse que «l’opposition (au gouvernement de Bachar el-Assad)  n’est désormais composée que d’extrémistes et de terroristes ». Une prise de conscience (partielle) dont  elle fit également  preuve  en admettant  l’utilisation de gaz sarin par les terroristes islamistes en Syrie en 2013. Quelques années auparavant , en 2008,  dans un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d’origine croate, Carla  Del Ponte,  avait aussi pris à  rebrousse-poil  le discours dominant en accusant  les chefs Albanais duKosovo, les islamo-mafieux de l’UCK, de s’être livrés, entre autres monstruosités,  au  trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes. Certes, à  l’époque où elle poursuivait de sa vindicte  les méchants serbes, relevait alors Bruno Gollnisch, Mme Del Ponte était « une vraie pasionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais. »

    D‘impunité  il est encore question aujourd’hui affirme Michel Raimbaud quand il souligne que Carla Del Ponte  « n’évoque aucunement l’urgence de traduire devant les tribunaux tous ceux qui, en Occident ou en Orient, dans les cercles d’influence et les rouages de l’Etat profond de leurs pays respectifs, ont conçu, financé, soutenu, armé les opérations de déstabilisation, de destruction et de mise à mort en Syrie comme tant d’autres pays. » Nous savons en effet que l’élimination  de la République arabe syrienne avait été planifiée et décidée par des commanditaires d’un tout autre calibre que les décérébrés sanglants des milices islamistes qui occupent le devant de la scène médiatique.  Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt…

    https://gollnisch.com/2017/08/22/sage-designe-lune/

  • Qui déboulonnera la statue du franc-maçon Albert Pike, fondateur du Ku-Klux-Klan ?

    De Bernard Antony :

    "La récente volonté d’abattre systématiquement partout aux Etats-Unis les statues du Général Robert Lee, alors que nul, curieusement, ne conteste celle du Général Albert Pike, au cœur même de Washington, est un nouvel exemple d’une instrumentalisation sélective, révisionniste et négationniste de l’histoire à des fins de dialectisation – subversion.

    Elle appelle les brefs commentaires suivants :

    C’est au mépris de ce que fut réellement, selon les historiens non idéologues, la carrière et l’œuvre du Général Robert Lee que déferle planétairement la cataracte des commentaires de la médiacratie de l’idéologie antiraciste qui n’est qu’un racisme en sens contraire.

    Brillant officier américain issu comme eux de West-Point, le Général Lee fut estimé et souvent admiré par tous ses grands adversaires. Après la paix suivant enfin la guerre de Sécession, il œuvra à la réconciliation au sein des Etats-Unis, respecté par ses gouvernants.

    Ce n’est pas pour défendre l’esclavage qu’il accepta finalement, la mort dans l’âme, de diriger l’armée des confédérés en Virginie mais pour la défense des libertés des Etats menacées par l’impérialisme jacobin du capitalisme yankee qui d’ailleurs fut souvent très raciste dans la réalité.

    Le Général Lee fut bien moins défenseur de l’esclavage que Georges Washington dont il fut familialement l’héritier. Il émancipa les esclaves de la plantation de ce dernier et affirmait qu’il faudrait dès la fin de la guerre abolir le funeste système esclavagiste. Des dizaines de milliers d’esclaves s’engagèrent alors dans les forces sudistes.

    La paix signée, il s’opposa à tout esprit revanchard et œuvra notamment en faisant du Washington College une université prestigieuse. Grand héros du Sud, sa popularité ne cessait de croître dans le Nord.

    Alors que, en juin 1975, avec le président Gerald Ford, tous les sénateurs et la quasi unanimité des représentants ont solennellement honoré sa mémoire et à leur suite le président Carter, voilà qu’aujourd’hui les révisionnistes et négationnistes, spécialistes du passé recomposé s’emploient avec l’internationale néo marxiste-léniniste des « antifas » à faire du Général Lee une sorte d’adepte du Ku-Klux-Klan.

    Ils rencontrent d’ailleurs pour cela la complicité objective des membres de cette horrible organisation raciste, anti-noirs et anti-juifs, et plus que tout anti-catholique, faisant flamber les crucifix dans ses cérémonies d’épouvante.

    Cependant, nul ne s’en prend à la mémoire du Général Albert Pike, un des sept fondateurs du Ku-Klux-Klan et dont la statue importante s’élève de surcroit au cœur de Washington, Judiciary Square, de surcroit domaine non municipal mais de l’Etat fédéral ! Cela, ni aux Etats-Unis, ni dans la médiacratie mondiale !

    Pourquoi cette fantastique différence de traitement mémoriel des statues de Lee et de celle de Pike ?

    Ne serait-ce pas en raison de ce que le sudiste Pike, nonobstant son rôle dans la création du Ku-Klux-Klan, est toujours honoré dans toutes les obédiences maçonniques comme un des plus grands maîtres, un des plus éminents ritualistes de la franc-maçonnerie universelle, ayant été au sommet de la hiérarchie des hauts grades du Rite Ecossais. Pike ne fut-il pas le plus sublime des grands maîtres toujours modèle dans l’ésotérisme et le symbolisme luciférien ?

    On attend avec impatience de savoir qui lancera le déboulonnement de la statue d’Albert Pike."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Lutte contre l'immigration : les ONG déchantent face aux succès des Identitaires

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    Médecins sans frontière (MSF) vient de suspendre ses opérations de sauvetage des immigrés en mer Méditerranée suite à une circulaire des autorités libyennes qui veulent restreindre l'accès à leurs eaux internationales aux navires étrangers. Ce document crée une très vaste zone maritime dans laquelle les bateaux étrangers n'ont plus le droit de naviguer sans autorisation. Les ONG qui collaborent à l'invasion de l'Europe sont donc particulièrement touchées par cette circulaire.
    Dans le même temps, le C-Star, navire affrété par des militants identitaires luttant contre l'immigration en Méditerranée, est reparti après cinq jours de blocage en face de la Tunisie. Il avait simplement arrêté ses moteurs pour résoudre un problème technique.
    Bloqués depuis dimanche dernier au large de la Tunisie, où des pêcheurs et un puissant syndicat s'opposaient à leur ravitaillement, les militants du C-Star étaient sortis jeudi soir de leur silence. "Notre bateau à été ravitaillé, tout va bien, il retourne sur zone", a lancé Clément Galand, militant français à bord. 
    Le C-Star navigue au large de Zouara, dans l'ouest de la Libye. Le C-Star, un navire de 40 mètres qui bat pavillon mongol, a été loué à Djibouti par le groupe "Génération identitaire". A bord, des militants allemands, français, italien et autrichien, financés grâce à un appel aux dons sur internet qui a récolté plus de 215 000 dollars depuis mi-mai, entendent s'assurer que les immigrés secourus dans les eaux internationales au large de la Libye soient reconduits en Afrique. Ils révèlent aussi les pratiques scandaleuses des ONG, qui collaborent au trafic d'êtres humains
    La semaine dernière, ils ont appelé deux navires d'ONG présents au large de la Libye à quitter la zone. "Vous agissez comme un facteur incitatif pour les trafiquants d'êtres humains", ont-ils dénoncé par radio. 
    Cette initiative est baptisée "Defend Europe". Dans un communiqué, l'association indique : 
    "Defend Europe fait actuellement la Une des médias italiens : reportage dans les journaux télévisés, émissions de radios, articles dans la presse écrite… Notre impact est énorme dans un pays frappé de plein fouet par les activités des ONG et des passeurs d’immigrés clandestins. 
    Dans le même temps, une partie de la gauche activiste italienne nous accuse d’avoir joué un rôle dans l’immobilisation du Juventa, ce navire de l’ONG Juggend Rettet’s, pris la main dans le sac il y a une semaine, en train d’échanger des informations avec des passeurs tout en embarquant des clandestins. Hier, nous avons intercepté un échange radio entre le Golfo Azzuro de l’ONG Open Arms et la marine italienne. Cette dernière ayant remarqué que le Golfo Azzuro était entré dans les eaux libyennes pour récupérer des clandestins lui interdisait de remonter vers les ports italiens. Suite à quoi, nous nous sommes mêlés à la conversation pour dire à l’équipage du Golfo Azzuro qu’il n’était plus le bienvenu au large des côtes de Libye
    Enfin, une autre bonne nouvelle ! Médecins sans frontières qui refuse de signer la charte proposée par l’Italie aux ONG prévoyant notamment la présence d’un policier à bord, lance un cri d’alarme : les campagnes engagées récemment contre les ONG portent un coup très dur à ses finances. MSF parle d’une « chute verticale des dons, une véritable catastrophe sur le plan financier qui risque d’entraver notre action ». Moins d’actions des ONG, c’est moins de clandestins, et donc en bout de chaîne une baisse du chiffre d’affaires des réseaux de passeurs." 
  • Derrière l’islamisation rampante de la France, ne pas oublier la fracture raciale [rediffusion]

    Par Jean Dutreuil, journaliste ♦

    Notre communauté de la ré-information patriote, si faible numériquement soit-elle, n’en témoigne pas moins d’un extrême dynamisme. Néanmoins, ce foisonnement d’idées, de livres et d’initiatives émanant de la « réinfosphère », pèche par une insuffisante prise en compte de la fracture raciale de notre pays. On doit cette lacune au fait que la majorité des blogs de la réinfosphère sont animés par des catholiques imprégnés d’universalisme chrétien voyant l’Autre comme un frère et concentrant principalement leur lutte contre l’islam politique.

    Ainsi, par exemple, le charismatique François Billot de Lochner, directeur du collectif France Audace, ne propose pour résoudre le malaise identitaire, dans son dernier ouvrage Échapper à la mort de la France, que le tarissement des flux migratoires, alors même que les naissances extra-européennes sur notre territoire dépasseront dans 10 ans celles des autochtones.

    Son site, Liberté Politique, souhaite convertir les musulmans au christianisme afin de les assimiler. Mais ce désir se bloque à plusieurs problèmes concrets. D’une part, il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’un peuple en train de devenir démographiquement minoritaire puisse intégrer à sa culture et à sa religion des minorités en passe de le dominer par le nombre. D’autre part, si la conversion avait lieu, elle serait minée par des différences identitaires. En effet, l’universalisme des grandes religions planétaires butte systématiquement sur la diversité ethnique qui a tendance à modifier le dogme originel en fonction des spécificités ethno-culturelles. Pour pouvoir divulguer leur foi à l’humanité, le christianisme et l’islam postulent que les êtres humains sont identiques. Or ce paradigme est faux. Les distinctions culturelles et sociologiques ont pour source des différences biologiques irréfragables.

    Exemple chrétien : le dogme de l’incarnation du Christ a été défini non pas à l’aube du christianisme mais plusieurs siècles plus tard au travers des conciles œcuméniques organisés par une élite impériale européenne dont les aïeux vénéraient des dieux et héros païens incarnés, engendrés de vierges. Mais ce dogme fut majoritairement rejeté par les chrétiens sémites d’Afrique du Nord et du Moyen Orient qui adoraient dans leur passé pré-chrétien des dieux purement spirituels. Aujourd’hui comme hier, 90% d’entre eux sont donc monophysites (voir Le dictionnaire de l’Histoire, monophysisme, monothélisme, orthodoxie), excluant pour certains la nature humaine et pour d’autres la nature divine du Christ.

    Ces fractures existent aussi dans l’islam, même radical. Celui-ci émane des bédouins de la pureté du désert de la péninsule arabique et considère qu’on ne doit rendre un culte qu’à un Dieu absolu et uniquement spirituel. Toute vénération des saints est donc totalement prohibée. Or l’islam radical qui gagne toujours plus d’Africains subsahariens ne parvient guère à les extraire de leur culture animiste ancestrale. La secte islamiste nigérienne Boko Haram qui souhaite étendre l’islam radical dans tout l’arc saharo-sahélien a eu beaucoup de mal à conclure une alliance avec l’organisation Daesh implantée en Libye, répugnée par ses pratiques animistes jugées infâmes. Comme l’a exprimé avec justesse le romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’islam ».

    Pour finir, quand bien même tous les extra-Européens seraient de fervents cathos-tradis, la France resterait un enfer. Il suffit simplement de voir ce que sont devenues les Amériques, dont l’écrasante majorité des populations est chrétienne. Comme nous pouvons le constater sur la carte Sécurité voyageurs de notre ministère des Affaires étrangères, les pays d’Amérique latine les plus sûrs sont ceux où l’homogénéité raciale à dominance européenne est la plus forte, comme par exemple l’Argentine (87% de blancs) et le Chili (58% de blancs). Plus la société est diverse et plus elle est dangereuse à l’instar de la Colombie (37% de blancs, 49% de métis 10,6% de noirs et 3,4% d’amérindiens) ou du Mexique (15% blancs, 70% métis, 12% indigènes, 3% autres).

    Les Etats-Unis n’échappent pas à la règle. Ces fractures se montrent au grand jour lors des élections. Les Blancs qui seront minoritaires en 2060 votent à plus de 60% pour le parti républicain, alors que les Noirs donnent 90% de leurs voix et les Latinos 70% des leurs au parti démocrate. Au sein de ces populations, il y a une ethnicisation du christianisme : les Latinos pratiquant un catholicisme quasi-identitaire, aux côtés de protestants divisés, si l’on schématise, entre baptistes afro-américains et méthodistes anglo-américains. Dans ce pays multiracial dont nous avons une image tronquée par les réussites de Facebook, Google et de l’industrie hollywoodienne, le reporter Michel Floquet nous rappelle qu’un enfant sur quatre mange à la soupe populaire alors que 50% du budget annuel sont consacrés à une armée qui perd toutes ses guerres, que 30 personnes environ meurent quotidiennement sous les balles d’armes à feu et qu’un quart des jeunes noirs est dans des prisons contenant la plus grande population carcérale, dépassant proportionnellement celle de la Chine et de la Corée du Nord !

    Comme chez nous, l’écrasante majorité des extra-Européens s’est implantée à partir des années 1970 grâce à la loi du Président Johnson libéralisant l’immigration. Les Afro-américains issus de cette nouvelle vague récente sont beaucoup plus nombreux que les descendants d’esclaves et de la ségrégation. De mémoire, il y a 50 millions d’hispaniques dont 11 millions d’illégaux. Un flux continu d’immigrés se déverse du Mexique charriant un grand nombre de criminels et de trafiquants de drogues. Ils émanent des cartels mexicains qui ont en 2015, torturé et tué, à proportion égale, deux fois plus de victimes que Daesh, selon le géopolitologue Alexandre Del Valle. Un grand nombre de Latinos ne s’intègre pas, refusant de parler l’anglais et souhaitant rattacher les Etats du sud au Mexique qui les avaient perdus lors de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). En ayant ces données en tête, on comprend la popularité d’un Trump !

    Par conséquent, au côté d’une lutte implacable contre l’islam radical, le redressement de la France – puisque c’est elle qui nous intéresse au premier chef – nécessitera la mise en place, sur une période de 40 ans, d’une remigration de tous les extra-Européens ne pouvant ou ne voulant s’intégrer économiquement et culturellement. Au côté de cette remigration, notre diplomatie devra favoriser l’émergence de pouvoirs forts et durables en Afrique afin qu’ils mettent en place des politiques de régulation des naissances à l’instar de la Chine afin d’enrayer une démographie suicidaire, principale cause de la paupérisation et de la radicalisation islamique du continent noir et du déferlement migratoire sur l’Europe.

    Jean Dutreuil 12/04/2016

    Sources bibliographiques :
    – Triste Amérique de Michel Floquet
    – Osons dire la vérité à l’Afrique de Bernard Lugan
    – Immigration : la catastrophe. Que faire ? de Jean-Yves Le Gallou
    – Pour les statistiques ethniques de l’Amérique latine : Wikipédia

    Source : ndf.fr

    https://www.polemia.com/derriere-lislamisation-rampante-de-la-france-ne-pas-oublier-la-fracture-raciale/

  • L'alliance qui unit extrême-gauche et islamistes

    Dénoncée par Alexandre Del Valle sur Atlantico :

    "Le "Calife" de l'Etat Islamique, Abu-Bakr al-Bagdadhi, avait déclaré en 2014 que l'Etat islamique s'étendrait jusqu'à Rome, indiquant par là une volonté de convertir le monde entier à l'Islam. Face à l'accumulation des attentats en Europe, l'Occident n'aurait-il pas intérêt à réaffirmer son identité chrétienne, en termes culturels et civilisationnels, afin de décourager l'adversaire, et de lui signifier l'impossibilité de la tâche qu'il se donne ?

    Il faut remonter pour comprendre cela à l'alliance qui unit extrême-gauche, politiquement correct et islamistes. Ce sont cette extrême-gauche et ce politiquement correct que l'on peut globalement définir comme les plus hostiles à la civilisation judéo-chrétienne ont laissé prospérer sur le sol occidental les forces islamistes parce qu'elles avaient un même ennemi : l'Occident. Votre question d'une certaine façon induit la réponse : si l'Occident arrivait à vaincre le totalitarisme rouge, l'idéologie communiste et tiers-mondiste qui continue à diaboliser la société occidentale et à valoriser tout ce qui ne l'est pas – l'extrême gauche ayant toujours été l'allié des forces qui détestent notre civilisation – nous aurions plus de facilité à gérer notre sécurité. Nous aurions plus de facilité à contrôler les flux migratoires, les juges pourraient plus facilement appliquer les lois, les politiques ne seraient pas systématiquement traités de racistes ou de fascistes lorsqu'ils veulent défendre leur civilisation. On se rappelle sur ce point du cas Guéant, diabolisé parce qu'il avait osé parler du choc des civilisations pour exprimer l'opposition de l'Occident et de l'Islam. [...]

    On voit bien que ce qui nous empêche aujourd'hui de lutter contre le totalitarisme islamique, c'est l'influence dans nos rangs du totalitarisme rouge qui contrôle les médias, le système universitaire et une partie du système judiciaire. Il agit comme une force qui empêche de lutter contre l'ennemi islamiste et de préserver nos valeurs. La dernière revue créée par Daech s'appelle Rumia, qui symbolise l'objectif très important pour les islamistes de conquérir un jour la chrétienté. Il faut évidemment reconquérir Al Andalus, la perle de l'ancien califat perdue au profit des rois très catholiques, mais aussi prendre Rome et c'est un élément très important de la propagande de Daech et de nombreux islamistes : selon un hadith– une parole attribuée à Mahomet qui a valeur de texte sacré - très souvent cité par des islamistes, y compris les non-terroristes tel Qardawi des Frères Musulmans, après Constantinople, Rome sera prise et l'Europe sera islamisée.

    Cette idée est très présente dans toute la logique de l'islamisme mondial : on voit donc bien qu'il ne s'agit pas de cas de terroristes isolés mais que cela découle d'un mouvement mondial de néo-impérialiste. C'est un combat civilisaitionnel, et puisqu'il est pensé tel quel et que cette guerre est livrée non seulement par des terroristes mais aussi grâce à l'appui d'États tel l'Arabie Saoudite, le Pakistan ou d'association comme les Frères Musulmans. Face à une agression qui est le résultat d'un projet de révolution civilisationnelle revanchard, la réponse ne sera pas par la guerre mais la défense et le refus du vide. Le vide que nous produisons aujourd'hui dans la détestation de notre propre religion et de notre propre identité et est le meilleur allié des islamistes. Il nous manque aujourd'hui un projet civilisationnel comme. Nous devons mener cette politique des civilisations. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’aluminium, un poison légal dans les vaccins ?

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    Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?

  • L’ISLAM? IL FAUT PRENDRE DES PRÉCAUTIONS AVEC LA VÉRITÉ. MARSAUD CLAQUE LA PORTE DE BFMTV

    Une vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux. Celle où l’on voit Alain Marsaud, ancien magistrat antiterroriste et ancien député LR, quitter, désabusé, le plateau de BFM TV devant l’incroyable cécité des deux journalistes présents et de leur second invité, lui aussi journaliste.

    Le matin, Alain Marsaud s’était déjà accroché avec Alain Marschall sur RMC, l’équivalent radio de la chaîne télé, et pareillement propriété de Patrick Drahi, l’éternel ami d’Emmanuel Macron. Cause de ces accrochages ? Barcelone, bien sûr. Et peut-être même, implicitement, Sept-Sorts. Mais les autorités françaises n’ont vu, dans ce dernier acte, qu’une malheureuse bousculade due à un déséquilibré dont le nom nous a été épargné, mais qu’on sait algérien, donc forcément un peu musulman… Mais cela est une autre histoire qui refera parler d’elle le moment venu.

    Donc, vendredi, en début de soirée, sur le plateau de BFM TV, nous avions, en face du duo paritaire des deux journalistes, en l’occurrence Alexis Cuvillier et Caroline Dieudonné, Alain Marsaud et le journaliste Anthony Bellanger, chroniqueur forcément de gauche puisqu’il commente l’actualité internationale sur France Inter. Je mentionne ce que pense de ce dernier un lecteur de Boursorama prénommé Ddrek, qui le décrit comme « un petit arrogant, la chevelure grisonnante, maniéré et bavard qui a eu cette phrase culte : il faut prendre des précautions avec la vérité ». Une phrase qui allait déclencher le buzz grâce au départ brutal de l’ancien magistrat.

    Alain Marsaud est l’auteur de cette réplique indiscutable : « À force de ne pas nommer l’ennemi, l’ennemi nous vaincra. » Eh bien, justement, qui nomme cet ennemi ? Personne, bien entendu. Personne de la sphère du politiquement correct, dont heureusement Alain Marsaud ne fait pas partie car il va oser prononcer cette phrase qui tue. Qui tue ses trois interlocuteurs : 

    « Nous sommes en guerre contre l’islamo-fascisme. Personne n’a dit que c’était un attentat islamiste. Personne ne parle d’islamisme radical. On a peur de quoi, bon sang ? Pas un seul journaliste ou responsable politique n’a dit, depuis deux jours, que c’était un attentat islamiste ! »

    Et le chevelu maniéré de s’énerver à son tour et de lui rétorquer : « Vous dites absolument n’importe quoi, tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes. Les journalistes ne sont pas là pour dire ce que vous voulez mais pour dire les choses telles qu’elles sont. » Et de poursuivre sa diatribe : « Vous êtes libre de faire le commentaire que vous voulez, ils sont libres de faire leur métier. Leur travail, c’est de prendre des précautions avec la vérité ! »Anthony Bellanger aurait mieux fait de dire que le travail de ces journalistes-là, et lui en particulier, est de travestir la vérité. Puis, sur un ton péremptoire, comme si c’était lui le maître sur le plateau, il lance un martial : « Continuons ! »

    À ce moment-là, Marsaud, stupéfait, réfléchissant à ce qu’il va répondre, se lève en disant : « Si c’est pour me traiter comme ça, vous continuerez sans moi. » Et il quitte le plateau. Dire qu’un tel expert s’est fait blackbouler de l’Assemblée… Il y a de quoi se poser des questions sur l’intelligence des électeurs, quand on sait qu’ils lui ont préféré, à 70 %, la macroniste Amal Amélia Lakrafi !

    Une fois de plus, l’information se limite à ce que la bien-pensance exige. L’islamisme intégriste n’existe pas, il est donc inutile et vain de le nommer.

    http://www.bvoltaire.fr/lislam-faut-prendre-precautions-verite-marsaud-claque-porte-de-bfmtv/