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lobby - Page 1200

  • Ce que les médias vous cachent : ces Noirs qui ont défendu hier et aujourd’hui le drapeau confédéré

    Les récents incidents de Charlottesville sont l’occasion pour les médias dominants d’une fois de plus tenter de manipuler l’opinion publique.

    Rappelons que ces incidents sont la conséquence d’une provocation absurde : la volonté de déboulonner la statue du Général Lee, commandant en chef de l’armée confédérée et véritable héros pour tout le sud des Etats-Unis.

    Or, dans cette histoire, les médias dominants manipulent l’opinion publique à plusieurs titres.

    D’abord, en continuant à propager le mythe que la guerre de sécession avait pour motif principal la volonté du Nord d’abolir l’esclavage. C’est là une réécriture de l’Histoire destinée à entretenir une légende dorée en faveur des vainqueurs (les fédérés) et fermer les yeux sur toutes leurs exactions.

    Un autre mensonge des médias dominants consiste à faire croire que seuls les Blancs racistes sont encore attachés au général Lee et au drapeau confédéré. C’est tout simplement nier la réalité du Sud des Etats-Unis.

    Et ce que ces médias dominants veulent à tout prix éviter de vous montrer, ce sont ces citoyens noirs du Sud des Etats-Unis qui défendent le drapeau confédérée et la mémoire du général Lee et de l’armée confédérée.

    Car il y a une autre réalité qui va à l’encontre de l’histoire tronquée racontée par les médias dominants : ce sont les soldats noirs qui ont fièrement combattu dans les rangs de l’armée confédérée.

    L’histoire des confédérés noirs est sans doute le sujet le plus controversé de la guerre civile car il dérange la version officielle.

    250.000 noirs libres ont été recrutés en tant que soldats et des milliers d’esclaves loyaux se sont battus à côté de leurs maîtres, bien que la Confédération l’ait théoriquement interdit.

    Bien sûr, les historiens politiquement corrects refusent de voir l’importance (et même simplement l’existence) de ces confédérés noirs dans la guerre de sécession. 

    Ce qui dérange le plus le politiquement et historiquement correct, c’est l’énorme poids symbolique que représentent ces Noirs esclaves qui ont volontairement combattu avec leurs maîtres, car ils explosent le mythe selon lequel un esclave ne se battrait pas au nom des maîtres. Les historiens sérieux reconnaissent pourtant que tout au long de l’histoire, les sociétés pratiquant l’esclavage ont eu des esclaves armés, parfois promis à la liberté. Ils reconnaissent également qu’un petit nombre d’Afro-Américains étaient des propriétaires d’esclaves (environ 3.700, selon Loren Schweninger). En fait, la plupart des 3 700 «maîtres noirs» dans la décennie avant la guerre civile vivaient dans ou autour de Charleston, Natchez et la Nouvelle-Orléans . En plus de posséder des esclaves, ils ont créé des églises, des écoles et des associations de bienfaisance dans leurs efforts pour s’identifier aux blancs.

    Les Afro-Américains ont été les premiers à rappeler à l’opinion publique la présence des confédérés noirs.

    Selon les documents et témoignages d’époque, on s’aperçoit par exemple que trois régiments de Noirs se battaient pour la Confédération à Manassas. La plupart des soldats noirs ayant combattu à Manassas étaient des Noirs libres.

    Un autre exemple significatif des troupes confédérées noires libres est le Louisiana Native Guards, basé à la Nouvelle-Orléans. Quelque 1 500 hommes se sont enrôlés au début de la guerre et ont annoncé leur détermination à « prendre les armes à tout moment et à se battre avec les autres citoyens » en défense de la ville.

    http://www.medias-presse.info/ce-que-les-medias-vous-cachent-ces-noirs-qui-ont-defendu-hier-et-aujourdhui-le-drapeau-confedere/78744/

  • Donald Trump rappelle à la presse les violences de la gauche alternative

    VIDEO  : «J'apprécie @StephenBannon,c'est mon ami,un homme bien, il subit un traitement injuste de la presse»@realDonaldTrump pic.twitter.com/rpqsVLxCqv

    VIDEO⚡ sur  : «Que dites-vous de la "Gauche alternative" qui a chargé la "Droite alternative" avec des  ?» pic.twitter.com/fQ4d13pAb7

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Émission : les 300 ans de la franc-maçonnerie et les sources occultes de la philosophie moderne

    Pour cette émission diffusée en direct sur Radio Courtoisie le 8 juin 2017 à 21h30, je recevais :

    Annonces :

    ♦  Samedi 24 juin, à Paris : Grand colloque « le vrai visage de la franc-maçonnerie ».

    ♦  Dimanche 25 juin, à Paris : Fête de la Courtoisie. J’y aurai un comptoir.

    http://thibautdechassey.com/emission-8-juin/

  • Cédric Herrou : derrière l'humanisme, une dangereuse remise en cause de l'Etat

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    Par Gaël Nofri

    Cédric Herrou a été condamné ce mardi en appel à quatre mois de prison avec sursis pour avoir aidé des migrants. Dans cette tribune sur figarovox du 9 août, Gaël Nofri, élu municipal de Nice, démontre avec pertinence que cette condamnation qui demeure symbolique est surtout une publicité pour les actions contestables d'activistes qui remettent en question l'idée même de frontière. On peut en débattre mais Lafautearousseau partage cette analyse.  LFAR

    Le premier mot qui vient à l'esprit lorsque l'on évoque l'affaire Herrou c'est tristesse.

    Tristesse d'abord, parce que derrière tout cela il y a, quoique l'on veuille bien en penser, de la misère humaine et que la misère humaine est toujours triste.

    Tristesse ensuite, parce qu'il y a souvent aussi beaucoup de bêtise dans les propos les plus simplistes tenus, à l'emporte-pièce, par les plus radicaux des deux camps qui s'affrontent, et que la bêtise humaine aussi est triste.

    Tristesse enfin, par ce que cette affaire nous dit beaucoup de la crise qui traverse l'Etat en France aujourd'hui, de sa remise en cause et des doutes qui accompagnent son action. Or pour tout observateur de la vie politique française, cette misère de l'Etat est une incontestable source de tristesse, mais aussi de préoccupation quant à l'avenir.

    La condamnation de Cédric Herrou à une nouvelle peine, plus sévère, est certes un bon signe, mais, s'agissant de prison avec sursis, elle ne réglera en rien le problème qu'a fini par incarner l'agriculteur azuréen: l'Etat va continuer son jeu du chat et de la souris. Celui-ci ne cache pas en effet son intention de réitérer ses actes, de «mieux s'organiser pour mieux agir» et ses appels à la désobéissance sont constants. Avec une certaine lucidité il déclare lui-même «Ils n'ont qu'à me mettre directement en prison». Depuis des mois en effet les arrestations et les gardes à vue succèdent aux libérations et aux violations de la loi selon un schéma désormais assez bien rodé, qui n'a d'autre bénéficiaire que la publicité rendue à sa cause.

    Car le combat entre Hérrou et les autorités n'est pas l'histoire d'une action, il est un combat de fond entre celui qui entend «se substituer à l'Etat» et un Etat qui doute de sa propre légitimité à agir. Tout se passe comme si, sur cette affaire comme sur bien d'autres hélas, l'Etat avait honte de lui-même, peur de son autorité, n'était pas certain de son bon droit. «L'Etat, c'est-à-dire la société où il y a des Lois» disait Montesquieu, qui ne jugeait sans doute pas en son temps nécessaire de compléter sa formule par «et dont on assure le respect effectif» est en crise. Cette crise, qui trouve sans doute ses racines françaises cinquante ans en arrière dans le triomphe des idées de mai 68, témoigne de la défiance de notre époque et de notre société vis-à-vis de l'autorité, des institutions, de l'Etat-Nation ; par là même, elle fournit un argument supplémentaire à ses détracteurs.

    En matière migratoire, il faut convenir que la Loi du 31 décembre 2012 a ouvert une voie dangereuse dans ce sens. Alors que l'aide à un migrant dans le cas d'un danger grave et imminent était déjà exclue de toute poursuite depuis 2003 - ce qui s'entend -, le texte porté par le Gouvernement de Gauche a introduit dans la Loi le fait de ne plus poursuivre l'assistance à une personne en situation illégale, c'est à dire qu'il légalise l'assistance à la violation des lois… un Etat qui légalise la violation de ses propres Lois, voilà bien la preuve d'un trouble profond ! Pire, non content de l'ouvrir à des citoyens, cette Loi a élargi l'immunité à des organisations entières, faisant dès lors de la violation des Lois un droit et une activité du dimanche. Dans l'indifférence générale, des structures se montent et s'affirment donc afin d'entraver l'action de l'Etat, de faire échec à ses politiques publique, d'empêcher l'application des choix arrêtés par les autorités légales et légitimes du pays... mais il est vrai que l'on parle là d'associations qui se sont auto-proclamées «pro-migrants» !

    Encore conviendrait-il de réévaluer ce titre. Car il ne serait pas inutile de s'interroger en quoi est-il moins favorable, digne et humain pour les migrants d'attendre à Vintimille plutôt que de l'autre côté de la frontière ? Le vrai terme, le vrai combat, la motivation véritable de ces associations n'est pas tant dans le sort des migrants que dans la dénonciation de la frontière, jugée coupable de tous les maux… La Justice ne s'y est pas trompée lorsque, justifiant la condamnation de Cédric Hérrou malgré la Loi de 2012, elle exprime son sentiment que celui-ci inscrit l'accueil des migrants non dans une action de solidarité individuelle mais dans le cadre d'une «contestation globale de la loi (…), une cause militante» qu'il entend ainsi servir.

    Dénoncer la frontière, attaquer l'Etat, voilà le programme bien connu qui se cache, ici, sous les apparences d'un humanisme radical et de bons sentiments portés en bandoulière. Mais il faut avouer que les habits de l'humanisme radical permettent beaucoup de choses, notamment de faire oublier que c'est justement la déstabilisation des Etats du sud de la Méditerranée en Egypte, en Lybie, en Tunisie et la disparition effective de leurs frontières qui seuls ont permis ses grands mouvements migratoires, transformant la Méditerranée en un vaste linceul…

    Méfions nous donc de l'avenir que certains nous promettent. Car les critiques et les attaques contre l'Etat et les frontières peuvent paraître belles, nobles et généreuses vu de loin, mais elles sont un luxe que ne peuvent se permettre que ceux qui vivent à l'abri de ces mêmes frontières, encore protégés par l'Etat qu'ils prétendent abattre… réaffirmons le ensemble: non la Libye n'est pas une perspective enviable!

    «Si l'État est fort, il nous écrase. S'il est faible, nous périssons» rappelait Paul Valéry.  

    Par Gaël Nofri 

    Gaël Nofri est conseiller municipal et métropolitain de Nice et président du Groupe des élus niçois indépendants (DVD).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • LES VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS SUR LES ALLEMANDES SE POURSUIVENT DURANT LES VACANCES

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    Depuis l’ouverture des frontières au cours de l’été 2015 par la chancelière Angela Merkel, les agressions sexuelles et viols commis par les migrants se poursuivent jour et nuit à travers l’Allemagne. Durant les vacances d’été, aucun répit n’est constaté. Même un âge avancé ne protège pas les victimes potentielles, qui sont attaquées dans l’espace public ou à leur domicile.

    Ce 10 août 2017, à 6 h 20 du matin, une étudiante de 20 ans se trouvant dans le métro à Munich, en Bavière, a été agressée par un Noir qui lui a peloté les seins à plusieurs reprises. Le même jour, à Bonn, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un homme au teint sombre s’exprimant en anglais a harcelé sexuellement des femmes seules à différents endroits de la ville. Le 9 août, à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, un Somalien de 53 ans a touché, dans une gare, les fesses d’une dame de 23 ans et harcelé sexuellement un enfant ainsi qu’une autre femme. Le 8 août 2017 au matin, quatre Arabes ont harcelé sexuellement deux filles à Görlitz, en Saxe. Un passant est intervenu et a été menacé avec un couteau. Ce 7 août au matin, une dame de 56 ans promenant son chien a été violée à Erfurt, en Thuringe, dans un bois, par un homme d’origine étrangère au teint sombre. Le 6 août au soir à Vöhringen en Bavière, une Allemande de 16 ans à vélo a été attaquée sexuellement en rue par un Noir originaire du Mali qui a pris la fuite sans avoir pu passer à l’acte après que la victime s’est fortement défendue. L’agresseur a été finalement arrêté par les forces de l’ordre. Ce 5 août 2017, à 5 h 25 du matin à Halle, en Saxe-Anhalt, une femme de 27 ans a été agressée par deux hommes au teint sombre qui ont tenté de pénétrer à son domicile alors qu’elle refermait la porte. La dame a crié à l’aide. Lorsqu’un autre habitant de l’immeuble est intervenu, les deux agresseurs sont partis. La victime, sous le choc, a été hospitalisée.

    En ouvrant les frontières, la chancelière Angela Merkel a jeté les femmes allemandes en pâture aux violeurs migrants. La presse du système, à l’époque si favorable à cette politique d’accueil, est désormais contrainte de relater les agressions sexuelles commises par les nouveaux venus originaires de pays au sein desquels le statut de la femme est souvent très bas et qui ne peuvent retenir leurs pulsions de testostérone face aux physiques attrayants des Allemandes. La présence de ces migrants modifie profondément le fonctionnement de la société allemande au sein de laquelle les femmes ne se sentent plus en sécurité comme autrefois. Les statistiques criminelles officielles produites par la police allemande montrent que les étrangers, et tout particulièrement les demandeurs d’asile, sont plus que massivement impliqués dans les agressions sexuelles et viols. Ainsi, en 2016, les demandeurs d’asile ont été proportionnellement plus de 1.200 fois surreprésentés dans ce genre de délit que les Allemands, et les étrangers près de 50 fois plus que les autochtones.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • CONSANGUINITÉ ENTRE MÉDIAS ET POLITIQUES : LA PREUVE PAR SÉBASTIEN PIETRASANTA

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    Lors de l’attentat contre des militaires de l’opération Sentinelle à Levallois-Perret, quelle n’a pas été ma surprise de découvrir Sébastien Pietrasanta, consultant « terrorisme » pour BFM TV ! L’ex-député et secrétaire national chargé des questions de sécurité au sein du Parti socialiste avait renoncé à se représenter aux législatives 2017, un peu « lassé par le jeu politique » selon ses propos. On ne peut pas lui reprocher de chercher à se recycler afin de profiter de son carnet d’adresses sans doutes bien rempli, mais de là à le voir rebaptisé consultant « terrorisme » dans un grand média populaire alors que son principal exploit aura été d’être le chantre de la création de centres de déradicalisation en France, avec les résultats que l’on sait, il faut le faire ! Car on peut douter à la fois de son objectivité et de ses réelles compétences sur la question du terrorisme islamiste.

    Concernant son objectivité, son parcours politique engagé et idéologique est éloquent. Vice-président du syndicat lycéen FIDL, bien connu de Julien Dray, puis militant à SOS Racisme et enfin au Parti socialiste. Engagé dans le milieu associatif de la ville de Clichy, il crée en 1998 une association pour lutter contre le racisme et les discriminations. Le décor est planté. Sébastien Pietrasanta fait partie de ceux qui dénient la réalité du phénomène qui nous mine et préfère y voir la faute de la société française qui n’a pas su intégrer une jeunesse qui se cherche ailleurs une raison de vivre… ou plutôt de mourir. Il a aussi été l’auteur, en 2014, d’un rapport sur le projet de loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme, là aussi avec les résultats que l’on connaît depuis, et il est donc un des leaders de la philosophie néfaste de notre politique de lutte contre le terrorisme.

    Sur le plan de ses compétences, en 2015, après six mois passés auprès du ministre de l’Intérieur, il publie un rapport intitulé « La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme » dans lequel il veut persuader l’opinion que les djihadistes de tout poil sont des victimes du système qu’il est nécessaire de prendre en charge et de réinsérer, en ouvrant notamment des centres de déradicalisation. Il privilégie la réinsertion des djihadistes à la sécurité des Français. Il va même jusqu’à souligner que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation » et comparer l’engagement djihadiste à un « nouvel engagement politique d’une frange de notre jeunesse qui se traduit par la participation ou le soutien à ces groupes terroristes ». Il fallait oser. Quel angélisme, quelle perversion intellectuelle, mais surtout quelle erreur de diagnostic ! Comment voulez-vous qu’avec de tels raisonnements, on puisse mener une véritable lutte contre le terrorisme ? Alors, maintenant, la commenter dans les médias… 

    Il pousse même l’outrecuidance à s’en remettre à la Justice et aux services de renseignement pour rester particulièrement vigilants, ce qui est une belle façon de se défausser. Son rapport propose aussi la création d’une fondation pour le contre-discours afin de contrer la déferlante de vidéos de propagande, portée entre autres par des interlocuteurs du culte musulman avec arguments théologiques afin d’éviter la radicalisation et le départ djihadiste. Silence assourdissant du CFCM ! Et pour cause : aucun contre-discours n’a réussi au monde, y compris en pays musulman.

    Autre exemple d’incompétence, dans le rapport de la commission d’enquête sur les attentats de 2015, dont il a été le rapporteur, Sébastien Pietrasanta préconise, à terme, « la fusion des trois forces d’élite » (GIGN, RAID et BRI). Or, les spécialistes savent bien que, dans ce domaine, on a besoin de diversité des compétences et de complémentarité plutôt que d’uniformisation et de fusion des services.

    En résumé, un bilan désastreux de Sébastien Pietrasanta dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Cette cooptation politico-médiatique chez BFM TV relève bien d’une consanguinité congénitale néfaste à une information objective et éclairée due aux Français.

     Consultant en sécurité

    http://www.bvoltaire.fr/consanguinite-entre-medias-politiques-preuve-sebastien-pietrasanta/

  • Climat : Au-delà du tollé !

    par Felix D. Sbirov.

    Dans la foulée de la sage décision de l’administration trump de se retirer de la calamiteuse & coûteuse COP21 & derrière l’onanisme desKhmers verts & la doxa pseudo-scientifique du GIEC, qu’en est-il réellement de l’environnement ? Petit rappel à l’ordre de Jean Cuny sur le sujet.

    Le retrait des États-Unis de l‘Accord de Paris sur le climat a suscité un tollé dans la classe politique française qui une fois de plus fait preuve de sa grande hypocrisie. Le fameux accord sur le climat n’est qu’une déclaration d’intentions ne comportant aucun engagement juridique effectif.

    Selon l’article 2, le réchauffement climatique devra être contenu « bien en deçà de 2°C » par rapport à l’ère préindustrielle. Pour atteindre cet objectif, les émissions de gaz à effet de serre devront atteindre « un pic aussi rapidement que possible ». Tous les cinq ans, un bilan sera effectué.

    Le dogme de base est que le « réchauffement climatique » est d’origine humaine.

    Et de pointer du doigt les émissions de carbone dues à l’automobile, à l’industrie et à la production d’électricité. Curieusement on ne se préoccupe pas de celles des avions(1) et des navires.

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  • Immigration et manipulation en Allemagne

    Giampaolo-Rossi.jpgpar Giampaolo Rossi

    Journaliste italien ayant étudié l’archéologie, se défini lui-même ainsi : « D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. À leurs risques et périls.»

    LES MENTEURS DES REDACTIONS

    Ceci est un acte d’accusation sans précédent contre les médias allemands : en pleine urgence migratoire, entre 2015 et 2016, les principaux journaux d’Allemagne ont délibérément falsifié la réalité en publiant une information unilatérale et dénuée de toute critique du phénomène, embrassant exclusivement le point de vue d’Angela Merkel, de son gouvernement et des élites politiques et économiques qui voulaient imposer à l’opinion publique la « culture de l’accueil sans discrimination ». L’accusation ne vient pas des habituels polémistes réactionnaires, des blogueurs sans vergogne ou des xénophobes qui servent de prétexte pour empêcher toute opposition au délire du multiculturalisme idéologique. Non. L’accusation vient cette fois  d’une recherche de la Fondation Otto Brenner réalisée par un pool de chercheurs de l’Université de Leipzig et de la Hamburg Media School, recherche coordonnée par le prof. Michael Haller ; son titre : « La crise des réfugiés dans les médias ». C’est l’étude la plus complète et la plus élaborée méthodologiquement sur ce thème.

    UNE ÉTUDE RAVAGEUSE

    Cette recherche a analysé plus de 30.000 articles des principaux journaux nationaux et régionaux allemands entre 2015 et 2016. Plus de 200 pages de chiffres et de statistiques détaillés sur les articles des journaux Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt, Bild, ainsi que sur des publications en ligne et 85 journaux régionaux.

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  • 225 000 IVG/an et le gouvernement crée un "délit d'entrave numérique" !