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lobby - Page 1217

  • Il faut beaucoup d'optimisme pour applaudir

    En dehors de Daniel Cohn-Bendit, fidèle soutien d’Emmanuel Macron, qui n'hésite pas à saluer ce qu'il considère comme un "coup de génie", peu nombreux semblaient en cette après-midi retardataire les enthousiastes du nouveau gouvernement.

    Certes l'équipage ne se compose pas uniquement de gens irrespirables. On répétait depuis plusieurs années, par exemple, et à l'envi, que Le Drian connaissait une solide popularité en milieu militaire. Ceci justifiait, pouvait-on penser, qu'il soit maintenu en poste. Eh bien, non : il ne le désirait pas, dit-on, et sa vision de la défense s'écarte de celle du président, le voici donc aux Affaires étrangères.

    Quant aux armées, elles seront confiées à Mme Goulard dont on croyait savoir la compétence et l'engagement dans les institutions européennes mais, sans préjudice de sa réussite future, dont on ignorait l'intérêt et la compétence pour la chose militaire.

    Finalement les responsables de droite sont restés chez eux, préférant sans doute la proposition hybride de Juppé : je me rallierai, mais après la victoire, et au camp qui l'aura emporté. En bonne chauve souris je trouverai d'excellents arguments prouvant que de toute éternité j'appartiens à cette catégorie politologique qui mérite de s'appeler la droite-gauche : "je suis oiseau voyez mes ailes, je suis souris vivent les rats."

    L’absence d’un ministère dédié officiellement à la famille désole, par exemple, les cercles catholiques. Et elle ne peut pas être considérée comme absolument innocente. (1)⇓

    Mais observons plutôt les ministères effectifs.

    Leur caractère de combinaison typiquement technocratique, de gens, tous ou presque sortis du même moule, et dont les flatteurs vantent la compétence, ne peut échapper à personne.

    Faut-il considérer à cet égard comme une heureuse exception le retour de François Bayrou dans les cercles de pouvoir qu'il avait quittés en 1997, il y a donc 20 ans, après 5 années d'immobilisme à l'Éducation nationale, sous Balladur puis Juppé ?

    En dehors de son honnête désir de combattre les phénomènes de corruption et les "abus de pouvoir" (2)⇓ on peut se demander si la préoccupation actuelle des Français, en matière de politique pénale et pénitentiaire, dont il reçoit la charge, ne requiert pas d'abord un garde des sceaux enterrant radicalement l'ère Taubira.

    Guillaume Tabard dont habituellement nous partageons les conclusions entomologistes relatives à la classe politique, ne nous convainc donc qu'à moitié, quand il écrit : "l'équipe mise en place autour d'Édouard Philippe tourne radicalement la page Hollande." (3)⇓

    Tout dépend en effet de ce qu'on appelle la page François Hollande.

    Pour l'instant par exemple on ne perçoit guère l'intention macronienne novatrice en matière de lutte contre le totalitarisme islamique.

    Hélas, au contraire, dans la foulée de la campagne électorale, on perçoit la même volonté que sous Hollande : celle de ménager l'électorat communautariste, auquel furent vouées tant de déclarations du candidat Macron, parfait héritier sur ce point des pires aspects du hollandisme.

    Oui, véritablement, il faut pas mal d'arrivisme pour se rallier, et beaucoup d'optimisme pour applaudir.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    (1) cf. "Après la nomination du gouvernement" par Tugdual Derville.
    (2) Titre du virulent livre à charge qu'il publia en 2009 contre les années Sarkozy.
    (3) La gauche tonne et la droite marmonne, développe-t-il dans Le Figaro. Et d'ajouter : Mélenchon est énervé et le Medef soulagé. Les réactions politiques à ce premier gouvernement Macron en montrent le centre de gravité idéologique. 

    http://www.insolent.fr/

  • Passé Présent n°151 - Aux origines du Front Républicain

  • Selon que vous serez enseignante franc-maçonne ou enseignante catholique…

    Le mercredi 31 mai, dans les locaux du Grand Orient de France rue Cadet, la franc-maçonnerie organise la 4ème journée de la jeunesse et de l’école sur le thème « Pour une culture humaniste, une école républicaine ». Sont notamment prévues des interventions de Florence SAUTEREAU, Professeure des écoles, École élémentaire, rue de Marseille, Paris 10e ; Sébastien CLERC, Professeur, Lycée professionnel Hélène Boucher Tremblay-en-France (93) ; Christiane FERRER, Principale, Collège Édouard Vaillant (REP) Gennevilliers (92) ; Sophie MAZET, Professeure au Lycée Auguste Blanqui Saint-Ouen (93), et Alain SEKSIG, Inspecteur de l’Éducation Nationale Académie de Paris.

    Après cette brochette de l’éducation nationale, les conclusions seront prononcées par Philippe FOUSSIER, Grand Maître Adjoint du Grand Orient de France.

    Que ces enseignants et cet inspecteur de l’éducation nationale interviennent au titre de leur activité professionnelle lors d’un colloque organisé par la secte maçonnique, voilà qui n’émeut aucun média du système.

    Par contre, voilà déjà quinze jours que le canard boîteux Nord Littoral et l’extrême gauche locale se déchaînent quasi quotidiennement contre une enseignante nommée Marie-Jeanne VINCENT parce qu’elle est, à titre privé, candidate Civitas à Calais pour les élections législatives. Des ayatollahs de la laïcité ont même saisi – sans succès – le rectorat pour tenter de faire virer cette enseignante sous prétexte qu’elle serait candidate d’un parti « catho-intégriste ». Raté car elle est considérée comme une « enseignante exemplaire » s’abstenant de faire part de ses opinions politiques et religieuses devant ses élèves.

    http://www.medias-presse.info/selon-que-vous-serez-enseignante-franc-maconne-ou-enseignante-catholique/74355/

  • Les Républicains En Marche ! | Législatives 2017

  • Notre peuple est en face de menaces définitives : Remplacement culturel, destruction territoriale.

  • Najat Vallaud-Belkacem réinvente l’eau tiède !

    Soyons indulgents : le français est une langue très compliquée.

    On savait l’ancien ministre de l’Éducation nationale un peu fâché avec l’orthographe. Qu’elle salue les « equipes » de la gendarmerie de Tulle pour leur « professionalisme », félicite le PSG d’avoir « fait rêvé notre jeunesse » ou méprise le « gros rouge qui tâche », il arrive plus souvent qu’à son tour à Mme Vallaud-Belkacem de dépasser allègrement les bornes autorisées par la réforme de 1990.

    Eh oui, malgré qu’on en ait, et n’en déplaise aux détracteurs de l’ex-locataire de la rue de Grenelle, cette réforme date bien de 1990. Aussi, à ceux qui prétendent la lui imputer, Mme Vallaud-Belkacem pourrait-elle rétorquer, tel l’innocent agneau de la fable : « Comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né[e] ?/ […] je tette encor ma mère. » Mais sans doute goûte-t-elle plus l’agneau en méchoui que le charme suranné des vers de La Fontaine. Pour répondre à Vanessa Burggraf, qui lui reprochait, sur le plateau d’« On n’est pas couché », d’avoir mené cette tristement fameuse réforme, elle a préféré s’esclaffer bêtement, d’un rire de gorge forcé, avant de crier à la « fake news ! »

    Mme Vallaud-Belkacem, visiblement, manie un peu mieux le franglais que la langue de Molière : « C’est incroyable, poursuit-elle, cela fait trois ans que je suis sujette à toutes les insanités de la Terre. » On se gratte la tête… On attrape le Larousse pour vérifier… Mais oui ! C’est bien cela ! Si l’on essaie de traduire ce français approximatif, la candidate aux législatives (donnée battue par un sondage IFOP-Fiducial pour le JDD et Sud Radio), est tout bonnement en train de dire qu’elle est « naturellement encline » à proférer toutes les âneries possibles. Ce n’est certes pas précisément un scoop mais, dans une bouche aussi arrogante, un tel aveu, même involontaire, fait rudement plaisir à entendre !

    Soyons toutefois indulgents : le français est une langue très compliquée. Ce n’est pas Jean-François Copé, qui n’entretient pourtant pas avec Najat Vallaud-Belkacem des relations franchement cordiales, qui lui jettera la première pierre. Lui-même n’avait-il pas écrit dans un tweet : « Ma mission c’est de tout faire pour que notre famille politique reconquérisse le cœur des Français aux prochaines élections » ? Les mathématiques aussi, il faut l’avouer, sont bien difficiles. Et si M. Copé excelle à multiplier les pains au chocolat à 15 centimes, Mme Vallaud-Belkacem, elle, n’a jamais fait mystère de ses difficultés dans cette discipline. À une époque où tant de politiques s’inventent de faux diplômes, on ne peut qu’être touché de cette franchise.

    Malheureusement, elle semble également assez hermétique à la physique, même la plus élémentaire. Selon L’Express, pour nous faire comprendre « que la stratégie d’Emmanuel Macron de placer des personnalités de gauche comme de droite dans le même gouvernement, ne peut fonctionner », elle aurait eu recours à cette étonnante analogie :

    « Ce n’est pas parce qu’on mélange de l’eau froide et de l’eau chaude que ça donne de l’eau tiède. »

    Quand on n’a pas inventé l’eau tiède, on peut toujours, pour donner l’illusion de brasser de grandes idées, essayer de la réinventer !

    http://www.bvoltaire.fr/najat-vallaud-belkacem-reinvente-leau-tiede/

  • Cannes : Le festival de La bien-pensance - Journal du lundi 22 mai 2017

  • Accueil des clandestins en Europe et condition de la femme : une équation impossible

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Le Parisien du 18 mai nous livre un témoignage glaçant sur le quotidien cauchemardesque des femmes du XVIIIe arrondissement de Paris depuis l’installation des clandestins

    Le constat est sévère, tranchant, et figure le quotidien d’une France occupée par l’islam radical et les clandestins : insultes, harcèlement, viols, vols, trafics, bagarres, alcoolisme. En France, en plein cœur de Paris, dans le XVIIIe arrondissement, les femmes sont abandonnées à l’obscurantisme islamique et privées de leurs droits les plus élémentaires.

    Cela a commencé il y a plus d’un an, au moment où l’Union européenne, Angela Merkel en tête, décide de l’accueil des premiers flux d’envahisseurs africains

    Désormais, les femmes ne sont plus libres d’aller dans les cafés, les restaurants, les parcs, de se vêtir, de circuler dans les rues, ni même d’emprunter les trottoirs… Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles suite à des viols. Les femmes le savent, porter plainte ne sert à rien et même si la présence policière a été renforcée, elle est trop peu efficace pour assainir le quartier.

    La faute à la lâcheté de nos politiques, qui sont à genoux devant l’islam pour des raisons électoralistes

    On observe une absence de réaction des élus, trop soumis à Bruxelles et tétanisés par le politiquement correct. On constate également que ces clandestins, qui véhiculent un soubassement culturel et cultuel ont des mœurs incompatibles avec les nôtres. Pour eux la femme est un être inférieur, propriété d’un homme.

    Cependant, parce qu’ils sont riches et puissants, les oligarques mondiaux qui commandent cette invasion depuis leur tour d’ivoire, sont eux protégés de ce marasme. En 2017, l’Europe compte accueillir encore 3 millions d’immigrants économiques. Cela se fera au détriment de notre liberté, de notre culture, de notre civilisation. La situation du XVIIIe arrondissement de Paris pourrait bien être une projection de ce que sera la France dans les années à venir.

    https://fr.novopress.info/205894/accueil-des-clandestins-en-europe-et-condition-de-la-femme-une-equation-impossible/

  • ça fait très mauvais genre dans sa chapelle

    Afin de sensibiliser à la lutte contre les inégalités femmes-hommes – il ne faut plus dire inégalités hommes-femmes c’est déjà la marque d’une dérive fascisto-sexiste – les lycéens dans tous les établissements de France et de Navarre étaient invités vendredi à se rendre en cours en jupe, à l’appel d’un collectif regroupant syndicats de gauche comme de droite libérale -Syndicat général des lycéens, l’Union nationale lycéenne, la FIDL et l’UNL. Emmanuel Macron n’a pas jugé utile de doter le gouvernement du LR Edouard Philippe d’un ministère de la Famille -l’immigration a vocation à suppléer aux familles françaises devenues ringardes- mais il a été créé un Secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes. Une jeune femme Marlène Schiappa en a pris la tête. Décrite comme un écrivain et une femme politique de gauche par Wikipedia, elle fut notamment en 2014 adjointe au maire du Mans, chargée de l’égalité, de la lutte contre les discriminations et de la charte Lesbienne-Gay-Bisexuel-Transexuel (LGBT). Les féministes lui reprochent cependant la publication en 2010 de Osez l’amour des rondes, ouvrage paru dans la collection érotique Osez des éditions La Musardine – « une collection décalée de vulgarisation des pratiques sexuelles» -, livre « érotico-rigolo» précise-t-elle, qui accumulerait les poncifs et les stéréotypes …

    Rassurez-vous, Marlène Schiappa était cependant en phase avec les plus enragées des chiennes de garde en se félicitant, sur le site militant féministes les nouvelles news de « cette (nouvelle) journée (de la jupe qui) montre que les jeunes générations font de l’activisme et sont prêtes à innover dans leurs modes d’action. Cela doit aussi interroger les politiques publiques que nous mettons en œuvre dès le lycée, et même avant : il est impératif d’agir dès le plus jeune âge, au moment où se construisent les premiers stéréotypes de genre ».

    Une journée de la jupe qui même dans les quartiers bobos de nos centre-villes n’a pas du tout séduit les adolescents – ne parlons même pas des lycées des quartiers pluriels ou de la France rurale… Les femmes françaises préféreraient de loin l’abandon de ces pitoyables gadgets là  au profit de mesures efficaces des autorités afin d’enrayer la montée des harcèlements, des menaces,  des violences dont elles sont victimes. Le politiquement correct dût-il en souffrir, il faut dire franchement ce que les Français pensent et savent pertinemment à savoir que cette situation découlent directement de la babélisation de zones entières de notre territoire sous l’effet de l’immigration-invasion.

    La publication d’un article du Parisien il y a quatre jours expliquant les intimidations, les insultes, et les comportements déplacés dont est victime la gent féminine  dans les Xe et XVIIIe arrondissements de la capitale, le quartier immigré La Chapelle-Pajol,  appelé pluriel, populaire, métissé dans la novlangue politico-médiatique,  a fait un certain bruit. Une pétition (déjà 1500 signatures)  a été signée par des riveraines pour alerter sur la dégradation alarmante de la situation. «Désormais la place de la Chapelle, la rue Pajol, la rue Philippe de Girard, la rue Marx Dormoy, la station de métro et le boulevard de la Chapelle sont abandonnés aux seuls hommes : plus une femme, dans les cafés comme la Royale ou le Cyclone. Pas un enfant dans le square Louise de Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles»… Certes,  Paris a voté Macron à 90% le 7 mai…

    Le site RT rapporte qu’après cet article du Parisien, « Elizabeth de Rozière, candidate Les Républicains (LR) dans la circonscription comprenant le quartier de La Chapelle, a appelé les riverains à se mobiliser contre ce phénomène dans l’après-midi du 19 mai. Des militants de gauche, soutien des migrants présents en nombre dans le quartier, sont venus contre-manifester afin de dénoncer une stigmatisation de la population immigrée, allant jusqu’à qualifier les riverains venus au rassemblement de  racistes».

    La situation ne serait pas si insupportable en ce qu’elle révèle un affaissement, une démission de l’Etat de droit, une soumission devant la loi du nombre, les réactions des bien-pensants progressistes seraient risibles. Le maire de Paris, Anne Hidalgo, fervente immigrationniste prônant l’accueil des immigrés clandestins, a promis le renforcement des contrôles de police. Bien  sûr,  une fois que la patrouille sera passée, les problèmes seront toujours là.  Sur un mode plus viril (et homérique) le député PS de de l’Essonne, Malek Boutih, a estimé hier sur BFM Business qu’«il faut dégager tous les gens qui emmerdent les femmes » . Les dégager au pays? M. Boutih ne dit pas où il souhaite les renvoyer…

    Le pompon a cependant été décroché haut la main par la candidate écologiste de la circonscription,  Caroline De Haas, qui  entend défier dans les urnes Myriam El Khomri. C’est une ancienne secrétaire générale de l’Unef, « ex du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem du temps des Droits des femmes, initiatrice d’une pétition au printemps 2016 contre la loi Travail qui a recueilli 1,3 million de signatures ». « A ceux qui lui demandent au côté de quelle gauche elle siégera demain, elle rétorque: J’irai dans le groupe le plus à gauche à l’Assemblée. Et s’il y en a un encore plus à gauche, j’irai.» Fondatrice d’un petit bidule médiatique baptisé Osez le féminisme, dont l’outrance n’a rien à envier à celle des Chiennes de garde, un de ses faits de guerre est d’avoir exigé et obtenu du tandem Sarkozy-Fillon début 2012 la suppression de la case « mademoiselle» des documents administratifs, mention jugée discriminatoire…

    Elle fut aussi la directrice de la campagne, particulièrement  médiocre et ratée,  de Cécile Duflot lors des primaires d’EELV. Dans la même veine  la brave Caroline a proposé un remède miracle pour rendre leur liberté de circulation aux femmes du quartier La Chapelle-Pajol: il faut «élargir les trottoirs» et « mettre de l’éclairage».  «Dans tous les quartiers où il y a un problème d’espace (…) il y a des violences à l’encontre des femmes.» On se pince!

    Relevons encore que la présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, a été aperçue à la manifestation des riveraines organisée  par Elizabeth de Rozière. «Il faut dire au président de la République et au ministre de l’Intérieur qu’il y a des zones de non-droit dans la République. Il y a des zones dans lesquelles les femmes se font agresser», a déclaré Mme Pécresse. Laquelle feint d’ignorer souligne Bruno Gollnisch,  que le quinquennat Sarkozy fut  un des plus catastrophique en terme d’immigration  (un million d’immigrés supplémentaires).  Et que le principe même de la  babélisation-tiersmondisation du territoire français n’a jamais  été remis  en cause par la droite aux affaires, en dehors des intermèdes que sont les discours de campagne. Une réalité dont nos compatriotes doivent se souvenir alors que débute aujourd’hui officiellement la campagne des législatives.