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lobby - Page 1284

  • Les clandestins à l’assaut de l’enclave espagnole de Ceuta

    Chard-Clandestins-Ceuta.jpg

    8806-20170223.jpgPlus d’un millier : tel est le nombre de clandestins qui, en l’espace du week-end dernier, ont tenté – et pour la plupart d’entre eux réussi – de pénétrer dans l’enclave espagnole de Ceuta, pourtant séparée du Maroc par une clôture haute de six mètres et surveillée par d’importantes forces de l’ordre. Menés par des migrants majoritairement originaires d’Afrique subsaharienne et décrits comme « extrêmement déterminés », ces assauts répétés contre cette petite parcelle d’Europe sont les plus importants depuis près d’une dizaine d’années.

    L’enclave de Ceuta, nous le savons, est depuis des années l’un des principaux points d’entrée en Europe des clandestins. C’est la raison pour laquelle, depuis 2005, celle-ci est entourée d’une double clôture grillagée de 8 kilomètres de long et de 6 mètres de haut, surveillée par des dizaines de caméras et d’importantes forces de l’ordre. Mais cela n’a pas empêché vendredi dernier, au petit matin, plus de 700 clandestins de forcer la barrière de sécurité les séparant de l’Espagne, dont environ 500 se trouveraient désormais dans un centre de rétention.

    Forts de cet exemple, dans la nuit de dimanche à lundi, quelque 300 autres clandestins d’origine africaine devaient à leur tour franchir en force la frontière et être aussitôt pris en charge par les services de la Croix-Rouge et autres ONG.

    Une victoire pour ces candidats à l’exil, puisqu’ils savent qu’une fois accueillis au centre de séjour temporaire pour étrangers (CETI) de Ceuta, ils ont la possibilité d’y déposer une demande d’asile et que, même déboutés de celle-ci, ils ne seront probablement jamais expulsés d’Espagne. D’autant que, depuis plusieurs années, les forces de l’ordre espagnoles font régulièrement l’objet de critiques des ONG pour le traitement réservé à ces migrants, et que Bruxelles a même décidé d’envoyer une « mission de contrôle » sur les lieux…

    C’est donc fort logiquement que ces tentatives de passage ne cessent de se multiplier. Rappelons en effet que, le 9 décembre dernier, près de 400 clandestins avaient déjà escaladé cette même barrière. Puis, dans la nuit du Nouvel An, plus d’un millier…

    De véritables « assauts » encore facilités ces derniers mois par les autorités marocaines, actuellement en conflit avec l’UE au sujet d’un accord de libre-échange sur les produits agricoles et la pêche. Manifestant d’ailleurs son mécontentement le 6 février, Rabat n’a pas caché que l’Europe s’exposait à un « véritable risque de reprise des flux migratoires ».

    Franck Deletraz

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 22 février 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Affaire Théodore Louaka : la seule question qui vaille de l'être n'est toujours pas posée

    Nous auront-ils « bassinés » avec lui (et ils continuent), les journaleux ? On peut l'appeler comme on veut : Saint Théo des banlieues, Saint Théo des bobos, Saint Théo des journaleux... mais il reste un fait central.
    Ce petit saint (solide gaillard costaud d'1,90 mètre) :

    • 1 : pourquoi a-t-il été en contact avec la police ?
    • 2 : pourquoi s'est-il tant débattu ?

    Les Balasko, Benguigui et autres Olivier Py (pitoyable directeur du pitoyable Festival d'Avignon) ont beau pétitionner pour leur cher Théo (on dirait un membre de leur famille !) ; le président lui-même, qui, comme chacun sait, ne s'est pas rendu au chevet des policiers que la racaille a essayé de brûler vifs dans leur voiture, ou le renégat Ribéry auront eu beau aller le visiter ; les journaleux ont beau « en avoir fait des tonnes » (c'est curieux, d'ailleurs, c'en est presque même louche, cette énorme importance qu'on a donnée à l'affaire : voudrait-on occulter quelque chose, par toute cette fumée ?) ; ils n'empêcheront pas les citoyens ordinaires de se demander pourquoi le jeune Théodore Louaka a réagi d'une façon aussi violente à un banal contrôle, qui plus est concernant une autre personne que lui. Pour laisser du temps à quelqu'un ? Mais, à qui ? Et pour faire quoi, ce précieux temps ? 

    Eh ! oui, chers pétitionnaires de la « race des seigneurs », elle est là la question que vous ne voulez pas voir. En faisant ce qu'il a fait (s'opposer par la force à un contrôle concernant une autre personne), le « jeune » en question n'a-t-il pas voulu permettre à un - ou à plusieurs... - complices de se débarrasser de quelque chose de compromettant ? De drogue, d'arme, de téléphone portable avec informations sur des terroristes, ou de tout autre trafic, par nature illicite.

    Le Point a livré les détails suivants, que Balasko, Benguigui, Py et consorts feraient bien de lire : c'est un peu long, mais c'est à connaître. De toute évidence, sauf pour les pétitionnaires bobos/gauchos, l'affaire n'est pas close, et - sans jeu de mots - le « jeune » est tout sauf « blanc comme neige » ! Et « l’affaire » ne fait que commencer.

    Extrait du Point (16 février) :

    « Un des individus contrôlés avançait sa tête vers la mienne en signe de défiance, alors, de la paume de la main, j'ai repoussé fermement sa tête au niveau de sa joue. C'est à cet instant que l'individu [« Théo »] qui se trouvait sur sa gauche et qui n'avait pas encore fait l'objet d'une palpation s'en mêlait et que ce dernier m'attrapait au niveau du col et me disait quelque chose du genre : « Eh, tu fais quoi là ?». Je repoussais immédiatement son bras avec ma main, mais il ne me lâchait toujours pas. Un collègue intervient alors. Il lui saisissait son bras afin qu'il me lâche. Mais l'individu [toujours « Théo »] se retournait vers lui, puis un échange de coups s'ensuivait. [...] Alors que je venais de lui saisir le bras, je recevais de sa part un coup de poing au niveau de la pommette gauche. Durant quelques instants, j'ai été sonné. J'ai compris à ce moment-là que l'individu serait prêt à tout pour se soustraire. Il se débattait, portait des coups de poing à tout va, gesticulait en tous sens, même des jambes. »

    Ainsi, selon la version du policier, qui concorde surtout avec les images de vidéosurveillance scrupuleusement analysées seconde par seconde par l'IGPN, le jeune homme serait entré en violent contact physique avec les policiers pour les empêcher de procéder à la palpation d'un autre jeune homme du quartier. Ce dernier ayant pris la fuite, les trois agents auraient alors eu beaucoup de mal à maîtriser le jeune Théo qui leur résistait avec force et ont en effet dû user à plusieurs reprises de leur matraque télescopique. Le rapport poursuit : 

    « J’usais de ma matraque télescopique et lui portais des coups en visant l'arrière de ses cuisses. Il continuait de se débattre, il se retournait, gesticulait en usant de son gabarit musclé et il parvenait à se relever. Il continuait de porter des coups dans tous les sens. Là, je le voyais piétiner mon collègue qui était encore au sol dos contre terre et, subitement, un jet de gaz lacrymogène s'échappait de la bombe de mon collègue. Malgré le gaz, l'individu parvenait à se relever. [...] Il continuait de piétiner le collègue. Je décidais de lui porter des coups de matraque télescopique en visant ses membres inférieurs dans l'espoir de lui faire perdre l'équilibre et de l'amener au sol. Mon effort portait ses fruits et l'individu basculait à terre. Au sol, il continuait de donner des coups de pied, j'ai donné un coup de matraque au niveau des jambes. Enfin, nous arrivions à lui passer une menotte, puis la seconde. »

    Il apparaît en effet que l'interpellation s'est passée de manière très violente. Mais visiblement pas seulement du côté des policiers, qui seraient loin d'avoir gratuitement violenté le jeune homme. La police des polices, qui, au vu des images de vidéosurveillance, avait conclu à l'absence d'intentionnalité de la part du policier, ne contredit pas la version de ce dernier. Cette version justement, comme le souligne Le Point, a été livrée moins de deux heures après les faits, ce qui aurait laissé peu de temps au policier pour mettre en place un scénario concerté avec ses collègues... » 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • IVG.net dénonce les 8 mensonges de Laurence Rossignol

    Sur leur site :

    6a00d83451619c69e201bb097bbcb3970d-200wi.png"Pour montrer combien la désinformation est en fait du coté du gouvernement, nous avons relevés Les 8 mensonges sur l'IVG dans le site « officiel »  www.ivg.gouv.fr :

    1/ Il n'y a pas de conséquences psychologiques après une IVG. 

    Réponse du gynécologue Philippe Faucher sur le site du gouvernemet : « La majorité des études scientifiques sérieuses qui ont été publiées sur le sujet montrent qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement. Il n’y a pas de syndrome post-traumatique qui persisterait à distance, plusieurs années après un avortement. » 

    Faux !  Des centaines de d’études scientifiques qui ont été publiées dans les revues internationales depuis plus de 30 ans attestent l'existence de ces souffrances à court et long terme. Le Professeur René Ecochard du CHU de Lyon vient de compiler une partie de ces études dont la méta-analyse réalisée par Priscilla K. Coleman publiée en 2011 dans le British Journal of Psychiatry  qui de son coté fait une synthèse  portant sur 22 études, 36 critères et 877.181 femmes (dont 163.831 ayant fait une IVG). Des études controversées existent certes bien dans un sens ou un autre mais ne peuvent pas changer serieusement  le large consesus sur cette question.

    2/ Nos témoignages seraient « trompeurs », « faux » « culpabilisants », etc... 

    Faux :   Notre site dispose de plus de 1.000 témoignages authentiques de souffrance. Notre page facebook (ivg, vous hesitez ?) regorge de posts anonymes ou signés. Cela est attesté par 48.000 likes alors que la page facebook du site prônée par le gouvernement « IVG : J'ai avorté et je vais bien ! merci » n’accueille que 73 membres … !

    3/ Une IVG ne peut pas rendre stérile : 

    Une sage-femme (Mme Aunis ) répond péremptoirement: "Que ce soit par la méthode médicamenteuse ou chirurgicale, il n’y a pas de risque de stérilité . Bien au contraire, la fertilité revient assez rapidement. Il faudra donc anticiper pour que vous ayez un moyen de contraception dès le jour de l’intervention. »

    Faux:  Les études internationales montrent par exemple que les femmes ayant des antécédents d'un avortement sont face à un risque 2,3 fois plus élevé d'avoir un cancer du col utérin, par rapport aux femmes sans antécédents d’avortement. Les femmes avec deux IVG et plus sont confrontés à un risque relatif de 4,92 (M-G, Le, et al., “Oral Contraceptive Use and Breast or Cervical Cancer: Preliminary Results of a French Case- Control Study, Hormones and Sexual Factors in Human Cancer Etiology, ed. JP Wolff, et al., Excerpta Medica: New York (1984) pp.139-147; F. Parazzini, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Invasive and Intraepithelial Cervical Neoplasia,” British Journal of Cancer, 59:805-809 (1989); H.L. Stewart, et al., “Epidemiology of Cancers of the Uterine Cervix and Corpus, Breast and Ovary in Israel and New York City,” Journal of the National Cancer Institute 37(1):1-96; I. Fujimoto, et al., “Epidemiologic Study of Carcinoma in Situ of the Cervix,” Journal of Reproductive Medicine 30(7):535 (July 1985); N. Weiss, “Events of Reproductive Life and the Incidence of Epithelial Ovarian Cancer,” Am. J. of Epidemiology, 117(2):128-139 (1983); V. Beral, et al., “Does Pregnancy Protect Against Ovarian Cancer,” The Lancet, May 20, 1978, pp. 1083-1087; C. LaVecchia, et al., “Reproductive Factors and the Risk of Hepatocellular Carcinoma in Women,” International Journal of Cancer, 52:351, 1992.)

    Autre exemple : L’Endométrite est un risque post-avortement surtout pour les adolescentes, qui sont 2,5 fois plus susceptibles d'avoir une endométrite après une IVG que les femmes de 20-29 ans (Burkman, et al., “Morbidity Risk Among Young Adolescents Undergoing Elective Abortion” Contraception, 30:99-105 (1984); “Post-Abortal Endometritis and Isolation of Chlamydia Trachomatis,” Obstetrics and Gynecology 68(5):668- 690, (1986)

    Quelques études controversées existent bien dans le sens du deni mais ne peuvent pas changer sérieusement un large consensus sur cette question.

    4/ « L’IVG, c’est votre droit » dit le site du gouvernement ! 

    Incomplet donc trompeur : L’ivg n’est pas seulement un « droit» mais c’est aussi "l’obligation" pour les médecins et bien sûr pour le Gouvernement de respecter la loi en informant la femme "des risques et des effets secondaires potentiels de l'IVG" (art L 2212-3 du code de la Santé

    5/ L’ivg médicamenteuse évacue un "oeuf" : 

    Le site du gouv. affirme « Ce médicament interrompt la grossesse. Il bloque l’action de l’hormone nécessaire au maintien de la grossesse (la progestérone), favorise les contractions de l’utérus et l’ouverture du col utérin. À l’issue de cette première étape, il peut survenir des saignements plus ou moins importants. Exceptionnellement, l’oeuf peut déjà être évacué à ce stade. »

    Faux !  Quand la femme fait une ivg, elle n’évacue pas un « Œuf » mais un « embryon » . Scientifiquement la phase embryonnaire débute au 25 eme jour qui suit la conception. Le site est volontairement et grossièrement trompeur ! 

    6/ L’IVG chirurgicale consiste en une aspiration de l’œuf : 

    Faux :  La femme enceinte n’évacue pas un « Œuf » mais au moins un « embryon » ou plus souvent encore un « fœtus » car scientifiquement la phase fœtale débute à la 8 eme semaine de grossesse ! Le site gouvernemental parle de « contenu de l’utérus » au lieu d’exprimer la réalité de l’acte. Quant aux conséquences, elles sont absentes comme « évacuées » en quelques lignes fallacieusement rassurantes. 

    7/ Le site du gouvernement s'affiche "neutre"

    Faux Le numéro vert anonyme et gratuit du gouvernement 0800 08 11 11 est tenu par des opératrices qui sont des militantes du Mouvement du Planning familial ou bien formées par le Planning. (cf; communiqué de presse du Planning Familial en date 28 septembre 2015). Elles encouragent de fait l’ivg par leurs conseils. Lorsque les délais sont dépassés, elles conseillent des cliniques à l’étranger (preuves disponibles). Les liens qui sont donnés sur le site du gouv ne sont pas neutres :

    • ivglesadresses.org (site du revho qui se définit comme féministe et à « la gauche de la gauche »)
    • planning-familial.org ( cf plus haut)
    • avortementancic.net (site créé par l’Association nationale des centres d’IVG et de contraception)

    8/ Les informations trouvées sur certains sites Internet sont erronées :

    « Certains sites Internet que vous trouverez via/par les moteurs de recherche vous indiqueront qu’ils proposent une information neutre et médicale mais sont en réalité édités par des militants contre l’avortement. Il en va de même pour les forums où certains témoignages sont montés de toutes pièces par des opposants au droit à l’interruption volontaire de grossesse. Ils sont parfois difficiles à reconnaître mais méfiez-vous systématiquement des sites et numéros verts consacrant par exemple une grande part de leur contenu à la maternité et aux soi-disant complications et traumatismes liés à une IVG ».

    FAUX  Le 8eme des mensonges sur l'IVG ! On peut voir plus haut la véracité de tous nos témoignages. Le site du gouvernement est en réalité tenu par des militants pro-ivg. Il est ouvertement partisan et n’hésite pas à nous dénigrer et nous diffamer sans aucune autre argumentation que le persiflage, le sarcasme et le mensonge grossier."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/02/ivgnet-d%C3%A9nonce-les-8-mensonges-de-laurence-rossignol.html

  • Brexit : on ne sait pas ce que Valérie Pécresse a bien pu voir

    Interrogée ce matin au micro de RMC, la présidente LR de la région Ile de France a déclaré :

    Capture d’écran 2017-02-20 à 09.41.44

    Nous ignorions que la Grande-Bretagne était dans l'euro...

    Cela étant dit, sur l'apocalyptique Brexit, il faut rappeler que

    • Facebook va construire un nouveau siège à Londres : « Le Royaume-Uni est l'un des meilleurs endroits pour une entreprise technologique et est une partie importante de l'histoire de Facebook. Nous sommes venus à Londres en 2007 avec une poignée de collaborateurs et d'ici la fin de l'année prochaine nous ouvrirons un nouveau siège et prévoyons d'employer 1.500 personnes au total. »
    • Google a annoncé la construction d’un vaste bâtiment où travailleront quelque 3.000 salariés, un investissement d’un milliard de livres.
    • En septembre, Apple avait annoncé la création de son nouveau QG londonien, avec 1.400 employés.
    • Ces annonces des trois géants du numérique consacrent Londres comme capitale technologique, alors que le European Digital Forum constate dans une enquête qu'il s'agit de la meilleure ville d'Europe pour les start-up du numérique, soulignant que « malgré les craintes liées au Brexit, la ville attire encore de grands talents en provenance du monde entier ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Désinformation : Marine Le Pen n’a pas reconnu d’emploi fictif

    L’avocat de Marine Le Pen, Maître Marcel Ceccaldi, affirme que sa cliente n’a jamais « reconnu avoir salarié fictivement » son assistant. Elle aurait simplement fait procéder à une régularisation comptable.

    Cette accusation provient de l’OLAF. L’OLAF est un organisme de la Commission européenne qui a pour objectif de lutter contre la fraude et autres comportements illégaux au détriment des intérêts financiers de l’Union européenne.

    Martin Schulz, ancien président social démocrate du Parlement européen, a allégué des charges à l’encontre de Marine Le Pen avant les élections départementales de 2015. Le Front National a donc déposé une plainte contre l’OLAF pour ces raisons.

    Marine Le Pen conteste le fait que son assistant ait touché 7 200 € nets par mois. Elle se plaint aussi qu’elle n’ait jamais fait l’objet de la moindre audition par l’OLAF.

    http://fr.novopress.info/

  • Marion Maréchal Le Pen : « Le voile est une offensive de colonisation de l’espace public en France ! »

    Mardi 21 février, Marine Le Pen a refusé de porter le voile pour rencontrer le mufti de la République libanaise à Beyrouth. Elle a expliqué : « J’ai indiqué, hier, que je ne me voilerais pas. Ils n’ont pas annulé le rendez-vous. J’ai donc cru qu’ils accepteraient que je ne porte pas le voile. Je ne me voilerai pas. Ils ont cherché à m’imposer cela, à me mettre devant le fait accompli, eh bien, on ne me met pas devant le fait accompli. »

    Marion Maréchal-Le Pen réagit…

    http://www.bvoltaire.fr/marionmarechallepen/voile-offensive-de-colonisation-de-lespace-public-france,315522

  • Média / Medhi Meklat ou la haine de la France - Journal du mardi 21 février 2017

  • Trouille du peuple et perquisition, tout se tient

    Le Système panique, le  Système voit le sol se dérober sous ses pieds, constate le rejet croissant dont il  est l’objet et,  comme à chaque fois,  ses hommes-liges agitent les peurs,  les  mauvais fantasmes, le  spectre de la guerre et du chaos pour inciter le bon peuple à ne pas quitter l’enclos, à se laisser mener sans rechigner vers les lendemains qui chantent de la mondialisation ( promise enfin)  heureuse. François Hollande a profité hier de la conférence de presse clôturant  le  25e sommet franco-espagnol, à Malaga, pour conspuer les  populistes nationaux et les souverainistes.  Aux côtés du chef du gouvernement espagnol, le très européiste  Mariano Rajoy,  lequel avait déjà prédit une catastrophe pour l’Europe en cas de victoire de Marine à la présidentielle,  M. Hollande  a fait dans la surenchère. Nous aurions été pourtant  en droit d’attendre un peu plus de modestie et de retenue au regard  de  son calamiteux bilan, qui découle en partie de sa soumission aux diktats de Bruxelles. Non,  le plus impopulaire des présidents de la Vème république  a doctement expliqué  que «les nationalistes ne menacent pas simplement l’Europe, ils menacent aussi les intérêts des nations qu’ils prétendent représenter». Leur arrivée au pouvoir  a-t-il encore affirmé sans rire signifierait une «plus grande fragilité pour contrôler l’immigration» et «moins d’exportations, moins d’investissements et donc moins d’emplois»!  «Quelle est leur référence, quel est leur modèle ?» a poursuivi  François Hollande, avant de répondre à sa propre question : «le président des États-Unis et le président de la Russie (Vladimir Poutine) qui ne sont pas des modèles européens.» (sic).   «Quel est leur souhait pour (résoudre) la crise de la Syrie : de conforter M. Bachar al-Assad ?».

    Autant de réflexions assez surréalistes dans la bouche de François Hollande, dont on cherche encore les modèles européens  qui ont pu lui inspirer tant de cafouillages au sommet de l’Etat,    qui a achevé de précipiter la France dans une crise multiforme et qui a joué le rôle  nocif que l’on sait utilisant  la carte du chaos islamique pour abattre la République arabe syrienne.

    Alors oui, le Système vacille et montre les dents parce qu’il a la trouille d’un peuple qu’il n’est plus certain d’être encore en mesure de contrôler. Aristide Leucate  sur voxnr ,  dans sa présentation du livre Le Moment Populiste, (sous-titré Droite-Gauche c’est fini! )  d‘Alain de Benoist acte les  raisons de cette  fracture:  « Ne trouvant plus d’écho au sein d’une classe politique endogamique et interchangeable, le pays réel s’en est progressivement détourné, à proportion du mépris croissant dans lequel ceux-là finissent par tenir celui-ci, notamment en le diluant contre son gré dans un immigrationnisme d’indifférenciation et en immolant les patries héréditaires, indivises et charnelles aux bûchers holocaustiques du mondialisme transfrontiériste. »

    Alors il n’y a évidemment pas de hasard à la nouvelle perquisition qui s’est déroulée hier dans les locaux du FN à Nanterre, au moment ou les images des racailles qui dégradent, qui  cassent, qui brûlent, qui pillent au nom de la justice emplissent  les  écrans des chaînes d’information continue.  Une opération ordonnée  « deux ans après le début de l’enquête initiée par Mme Taubira, ministre socialiste de la Justice, sur demande de M. Schulz, président socialiste du Parlement européen» sur les assistants parlementaires des députés frontistes.  « Perquisition, des mêmes bureaux, s’agissant des mêmes faits présumés, ce qui confirme que la première perquisition a été infructueuse » comme l’indique le communiqué du Front National.

    Nous attendons déjà d’ici les commentateurs des grands médias  s’offusquer de ce que le FN crie une  nouvelle fois au complot, joue  la carte de la victimisation, les spécialistes établir  un parallèle oiseux avec l’affaire Fillon,  expliquer que le FN  est finalement  corruptible  comme les autres partis d’un  Système qu’il dénonce.  Il faudrait pourtant être bien  naïf  pour ne pas voir dans la période choisie  une volonté politique.

    Il s’agit délibérément  de polluer la communication, de parasiter la campagne de Marine, notamment lors de ses prochains passages médiatiques,  au moment ou la campagne de la candidate nationale passe un nouveau cap, gagne chaque jour en crédibilité.  C’est  le cas sur la scène  internationale avec sa rencontre officielle avec le président du  Liban, le général Aoun ; cela se vérifie  dans  un nouveau sondage qui  indique que la victoire est désormais envisageable, qui souligne que  la candidate du FN  progresse très sensiblement dans les intentions de vote face à  M Fillon ou M. Macron  au  second tour de la présidentielle…

    Interrogé hier  quelques brèves minutes sur LCI (voir ici) )à l’occasion de cette perquisition,   Bruno Gollnisch a dénoncé une procédure politique.

    https://gollnisch.com/2017/02/21/trouille-peuple-perquisition-se-tient/

  • Macron n’a rien compris !

    8804-20170221-1.jpgTenir meeting à Toulon n’était pas l’idée la plus judicieuse d’Emmanuel Macron après avoir osé, en Algérie, dénoncer la colonisation comme un « crime contre l’humanité », une « barbarie » (voir Présent du 16 février) ! C’est une des régions où le Front national connaît ses meilleurs résultats électoraux, c’est surtout le lieu où résident de nombreuses familles de rapatriés, qu’elles soient d’origine pied-noir ou harki. Elles ont été scandalisées par ses propos insultants, comme de nombreux Français. Un homme qui aspire à la magistrature suprême injurie la France et assimile son œuvre colonisatrice, c’est-à-dire civilisatrice, à un crime contre l’humanité ! C’est le chef duquel ont été poursuivis les nazis : Macron se disqualifie de lui-même.

    C’est ce que de nombreux Toulonnais entendaient lui faire comprendre en disant haut et fort leur indignation au cri de « Macron trahison ! ». Pour justifier que la salle où il se produisait était à moitié vide, il a prétendu que le Front national avait voulu empêcher sa réunion. Il est vrai que l’on peut aussi considérer que cette accusation était un hommage involontaire au FN, qui reste le seul défenseur des rapatriés, Fillon qui a protesté n’a pas appelé, au nom de son parti, à manifester : il ne pouvait renier sa filiation gaulliste.

    Néanmoins, s’il y avait des militants du Front, toujours à la pointe du combat pour la défense de la patrie, on y a surtout vu des patriotes indignés. Non seulement par l’acte d’obédience fait à Alger et les abjects propos qui l’ont accompagné, mais par la provocation que constituait sa présence là où se trouvent de nombreuses victimes de la tragédie algérienne. Remarquons, au passage, qu’il n’a évidemment pas demandé au Premier ministre algérien de faire repentance, ni même de s’excuser, pour les pieds-noirs massacrés, les soldats torturés, les harkis assassinés, les cimetières profanés. Pour Macron, le FLN n’a commis aucun crime.

    Il était venu non pour provoquer mais s’expliquer, a-t-il prétendu. Il avait commencé, peu avant, de façon particulièrement grotesque, dans une intervention télévisée où il disait aux anciens combattants d’Algérie : « Vous êtes les enfants de la France » ! Un gamin de 39 ans, qui n’a jamais fait la guerre, dit cela à des hommes, « les enfants », dont la plupart sont septuagénaires, comme s’ils avaient besoin de la reconnaissance d’un Macron pour se savoir fils de France. Quelle suffisance et quel ridicule !

    A Toulon, à ceux qu’il avait offensés, sur lesquels il avait craché, il a lancé : « Parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime ! » En entendant cela, les plus indulgents ont conclu qu’Emmanuel Macron, quoique agrégé de l’Université, était complètement ignorant de l’histoire contemporaine, ne sachant pas que le « Je vous ai compris » du général de Gaulle est inscrit dans la mémoire douloureuse de la France et la chair de ceux qui ont eu à en subir les plus terribles conséquences, les rapatriés. Si ce n’est pas par ignorance, c’est une nouvelle provocation qui s’ajoute à l’autre. Elle annonce la trahison, comme celle du général. Mais, en accusant sa patrie de « crime contre l’humanité », il l’a déjà trahie.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans le quotidien Présent

    http://fr.novopress.info/

  • L'idéologie antiraciste mène à une politique de discrimination ethnique en faveur de l'immigré

    A l'occasion de la sortie d'Une France soumise : les voix du refus, Caroline Valentin a accordé un entretien fleuve au sociologue Mathieu Bock-Côté, que le FigaroVox publie. Extraits :

    6a00d83451619c69e201bb097af8d1970d-200wi.jpg"[...] Toujours est-il que la gauche a, au fil des années, remplacé la figure tutélaire de l'ouvrier par celle de l'immigré, intronisé nouveau damné de la terre, au prix d'une interprétation dévoyée de l'idéologie antiraciste qui s'est installée en Occident au cours du deuxième tiers du XXème siècle. L'antiracisme remplaça la lutte des classes, l'exaltation des différences culturelles introduisant une nouvelle summa divisio de la société permettant de recueillir les votes d'individus que l'on a incités à s'identifier non plus sous l'angle de leurs intérêts de classe, mais de leur appartenance à une minorité ethnique, pour glaner des avantages catégoriels définis spécifiquement pour eux. Et quand la droite accéda à nouveau au pouvoir, elle ne modifia en rien cet état de fait, acquise qu'elle est, elle aussi, au multiculturalisme quoique pour d'autres raisons à rechercher peut-être dans l'adhésion à l'idée de mondialisation heureuse. C'est à cette aune que l'on comprend mieux d'où vient l'inaction de l'État, car si soumission il y a, elle est d'abord idéologique. [...]

    En pratique, cette idéologie a conduit nos responsables politiques à adopter - parfois en catimini - une politique multiculturaliste. Le critère de l'ethnie remplace celui de classe sociale. Cette politique à laquelle nos élites se sont converties est en réalité une politique de discrimination ethnique, système dans lequel le modèle républicain n'a plus sa place. Les compromissions, le fait de ne pas appliquer à certaines populations les règles qui sont appliquées aux autres, en sont une illustration. Mais la France va plus loin en adoptant de véritables lois d'exception, dont l'un des volets les plus choquants et les plus délétères est sans doute la «politique de la ville : le regroupement ethnique des immigrés et des Français issus de l'immigration dans certaines villes et quartiers est à la source de la communautarisation d'où part la sécession culturelle violente que nous décrivons. Or ce regroupement ethnique n'est ni le résultat d'une politique d'éloignement ou de ghettoïsation imposée aux intéressés par l'État, ni le fruit du hasard. Il résulte, en partie, d'une volonté commune des populations concernées de vivre près de leurs pairs (même s'ils prétendent le contraire) ; il résulte aussi de l'action de l'État, qui affecte, au bénéficie de ces quartiers et donc de facto de ces seules populations, la très abondante manne de subventions constitutive de la politique de la ville ; et en choisissant d'affecter cette manne sur un critère géographique, l'État agit au détriment des millions d'autres Français pauvres qui ne résident pas dans ces territoires. Il s'agit donc là non pas d'un texte juste qui ne reçoit pas application mais d'un texte injuste qui reçoit application. La captation de ces financements par les populations de ces quartiers, au détriment des autres composantes nécessiteuses de la collectivité nationale dans son ensemble, est aggravée par un autre phénomène qui, là encore, est au préjudice des autres Français pauvres: le très faible turnover dans les logements sociaux de ces quartiers. Comme l'explique le maire d'une commune des Yvelines qui témoigne dans notre livre, l'immigration maghrébine et plus généralement africaine (contrairement à l'immigration italienne, espagnole, vietnamienne ou portugaise) a tendance à garder et transmettre «héréditairement» ces logements sociaux, à en solliciter à côté d'eux pour leurs enfants, et préfère utiliser l'argent qu'ils gagnent ici pour l'envoyer à leurs proches restés au pays ou pour s'y faire construire une maison. Et tout cela, avec la bénédiction de l'État central (via la préfecture) et Action logement (le 1% patronal), malgré la pénurie de logements sociaux qui devraient être alloués sur la base d'un seul critère, savoir, à ceux qui en ont réellement le plus besoin.

    Et le constat ne s'arrête pas là : la France s'occupe avec une générosité qui n'a pas son pareil en Europe des étrangers présents sur son sol et leur alloue des aides et des subventions, leur donne un accès à la gratuité des soins qui n'est pas seulement équivalent à celui dont bénéficie les Français qui cotisent à notre système social, mais qui est parfois encore plus généreux (la CMU par exemple, qui permet l'accès à l'assurance maladie aux Français et étrangers non couverts par un système de sécurité sociale, a un volet mutuelle qui rembourse les frais dentaires et optiques non pris en charge par la sécurité sociale, frais que beaucoup de Français des classes populaires ont énormément de mal à financer). Ce que l'on sait moins, c'est le manque atterrant de rigueur dans l'attribution et le contrôle de ces aides, c'est le fait que ce manque de rigueur est parfois même délibéré et que les contrôles qui existent sont parfois plus souples concernant les populations issues de l'immigration. Certains de nos contributeurs témoignent ainsi, scandalisés, de ce que les étrangers en situation irrégulière sont en définitive mieux traités que des Français actifs qui, eux, contribuent financièrement, à titre d'ailleurs obligatoire et souvent à hauteur d'une partie significative de leurs revenus, pour maintenir tant bien que mal ce système à flot. Injustice violente que cette violation d'égalité flagrante, d'autant plus choquante qu'elle est imputable à un renoncement de l'administration dans un pays où pourtant celle-ci est nombreuse et vécue comme très coûteuse précisément par la partie de la population qui la finance et qui finance le système social. Dans ce contexte, où est l'égalité devant les charges publiques? [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/02/lid%C3%A9ologie-antiraciste-m%C3%A8ne-%C3%A0-une-politique-de-discrimination-ethnique-en-faveur-de-limmigr%C3%A9.html