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lobby - Page 1285

  • Immigration : S’il n’y a pas de culture française on s’assimile à quoi ?

    Jean Messiha, Egyptien copte naturalisé français, coordinateur du projet présidentiel de Marine Le Pen, a été interrogé par Lengadoc Info. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b8d262289b970c-800wi.jpgVous êtes un exemple d’assimilation réussie en France, est-ce que vous pensez que l’assimilation est possible aujourd’hui pour l’ensemble des populations étrangères présentes sur le territoire ?

    L’assimilation est possible mais tout dépend de la façon dont nous allons remettre le creuset républicain et le creuset français au centre de la citoyenneté. On ne peut pas reprocher aux générations des Français d’aujourd’hui, d’hier et d’avant hier, de ne pas se sentir français alors même que nous avons eu une idéologie pendant ces quarante dernières années qui a diffusé l’idée que, finalement, la France n’était rien, que c’était une page blanche. D’ailleurs les représentants de cette idéologie se sont encore exprimés par la voix d’Emmanuel Macron qui prétend, aujourd’hui, qu’il n’y a pas de culture française. S’il n’y a pas de culture française on s’assimile à quoi ? On ne s’assimile pas à rien. Pour pouvoir s’assimiler il faut bien un identifiant, il faut bien qu’on indique le chemin, qu’on érige un phare vers lequel les navires en perdition se dirigent. Or ce phare, non seulement on le détruit mais il est presque honteux de dire qu’il existe. On ne peut pas reprocher à des gens de ne pas s’assimiler si nous même nous n’avons pas fait le travail sur nous même pour reconstruire notre citoyenneté autour des valeurs historiques qui ont toujours été celles de la France et qui nous ont toujours unis."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Montauban, le retour du déséquilibré - Journal du lundi 20 février 2017

  • Démission de Michael Flynn : le recours au Logan Act pourrait faire comparaître les membres du groupe Bilderberg

    Intéressante analyse de Réinformation.tv :

    "Après la démission de Michael Flynn lundi dernier, tombé sous le coup du Logan Act, une loi de 1979 à laquelle personne jusqu’ici n’avait eu recours, les Démocrates, les globalistes, les médias assermentés à l’establishment, en un mot toutes les forces d’agitation anti-Trump s’aventurent sur un terrain miné. Car nombreux sont ceux qui, parmi eux, pourraient se retrouver derrière les barreaux !

    Michael Flynn poussé à la démission par l’establishment américain

    Michael Flynn a été poussé à la démission de son poste de conseiller à la sécurité nationale parce qu’il aurait laissé entendre fin décembre à l’ambassadeur russe, lors d’une conversation téléphonique, que les Etats-Unis abandonneraient les sanctions d’Obama à l’égard de la Russie, une fois Trump au pouvoir. Même si le détail de cette conversation n’est pas clair, Michael Flynn a soulevé contre lui l’opposition virulente des propagandistes et du monde politique anti-Trump. Leur arme : le Logan Act, une loi qui interdit à un citoyen sans permission officielle des autorités américaines d’influencer les décisions politiques d’un pays étranger. Lundi dernier, les Démocrates demandaient au président du House Oversight and Government Reform committee, Jason Chaffetz, de poursuivre les investigations sur Flynn. Mais ont-ils choisi la bonne stratégie ? Barack Obama et Nancy Pelosi, la chef de file des Démocrates, pourraient bien en faire les frais.

    Le recours au Logan Act : un jeu à double tranchant

    En 2008, sous la présidence de Bush, le sénateur Obama se rendit en Irak « en privé » pour tenter de persuader les dirigeants irakiens de reporter après les élections, un accord sur le retrait de la présence militaire américaine, sans l’accord de Bush bien sûr. A l’époque, malgré la violation manifeste du Logan Act, les médias n’avaient rien dit. Dans le même ordre d’idées, Nancy Pelosi se rendit en 2007 en Israël et en Syrie. A Damas, elle aurait dit au président syrien Bashar al Assad que les dirigeants israéliens étaient prêts à engager des négociations de paix. Ces derniers restèrent abasourdis, et le département d’Etat américain dut présenter ses excuses pour cette visite, demandant à Pelosi de ne plus se mêler des affaires de la Syrie ou de tout autre pays. Beaucoup de confrères de Pelosi pourraient aussi bien être poursuivis au nom du Logan Act : « Si Flynn a eu des entretiens avec Kislyak, et par là-même, avec les Russes (…), il faut vite oublier le Logan Act parce que la moitié du Congrès depuis les années 1980 serait en prison si le Logan Act était appliqué », explique Ed Turzanski, membre du Foreign Policy Research Institute.

    Le groupe Bilderberg dans le viseur du Logan Act

    Et que dire du très secret groupe Bilderberg, ce puissant réseau qui rassemble des mondialistes plus ou moins connus dans les sphères diplomatiques, économiques, politiques ou médiatiques ? « C’est illégal, déclarait l’animateur de radio Alex Jones ; des représentants du gouvernement qui rencontrent des intérêts privés ou des représentants d’autres gouvernements et discutent de sujets politiques, cela constitue une violation du Logan Act ». Chaque année, de nombreux Américains éminents participent à ce sommet secret. Aucun d’entre eux n’a jamais été poursuivi. En 2014, Diederik Samson, dirigeant du parti travailliste néerlandais, invité au sommet Bilderberg à Copenhague, reconnut ouvertement que les participants cherchaient à influencer les décisions politiques, bien que le groupe le nie officiellement.

    On pourrait multiplier les exemples ! David Rockefeller, une des figures en vue du Council on Foreign Relations, se vante dans son autobiographie d’être un mondialiste, conspirant, avec des complicités étrangères, en vue de la construction d’une structure politique et économique globale. Et on ne compte plus les visites de l’ancien secrétaire d’Etat, adepte du « nouvel ordre mondial », Henry Kissinger aux dirigeants étrangers, en particulier à Vladimir Poutine et au dictateur chinois.

    Démission de Michael Flynn : on se trompe d’accusé

    En définitive, Démocrates et médias se sont ridiculisés dans l’affaire Flynn : celui-ci n’était pas une « personne privée », mais bien un haut-fonctionnaire du président entrant. En revanche, ce récent recours au Logan Act pourrait donner des idées à l’Attorney General américain, Jeff Sessions qui, au nom de cette même loi, pourrait citer à comparaître les membres du groupe Bilderberg !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pierre Sautarel : Medhi Meklat, « le Maghrébin modèle de la bobosphère », postait des tweets odieux

    Le journaliste et réalisateur Medhi Meklat, qui faisait, le 1erfévrier, la une des Inrockuptibles avec Christiane Taubira, est l’auteur, sous le pseudonyme de Marcelin Deschamps, de tweets extrêmement violents dans lesquels il fait l’apologie du djihadisme, de Ben Laden et Hitler. Ce chouchou de la bobosphère prétend s’être construit un personnage de beauf franchouillard et raciste pour faire de l’humour, sans que cela suscite de réaction de la part de la presse de gauche, pourtant si moralisatrice…

    http://www.bvoltaire.fr/pierresautarel/medhi-meklat-maghrebin-modele-de-bobosphere-postait-tweets-odieux,315198

  • Non à l'opération Macron

    Tout est fait, c'est désormais parfaitement clair, pour préparer un second tour dont le vainqueur serait presque obligatoirement le candidat issu de l'écurie Hollande, le chouchou des médias, l'homme au programme vide, Macron. Certes quelques naïfs droitiers et centristes, éternels continuateurs de ceux que Beau de Loménie appelait les "grands habiles" misent à nouveau sur cette écurie et son poulain pour promouvoir ce qu'ils appellent les "réformes" sans jamais que soit précisé de quelles dispositions législatives il s'agirait.

    Interrogeons-nous d'abord sur l'environnement institutionnel qu'utilise la manœuvre.

    Tout est véhiculé bien sûr via les gros moyens de la désinformation, eux-mêmes fabriqués par une corporation qui veut nous faire croire qu'elle est objective, qui se veut intouchable, mais qui vote à gauche à plus de 85 %.

    Précisons au besoin que la Cour des comptes quand elle ouvre les dossiers de France-Télévision, c'est-à-dire du cœur de ce quatrième pouvoir dépendant de l'exécutif en tire des conclusions effarantes. Les gens qui prétendent incarner la "morale" ne se l'appliquent certainement pas à eux-mêmes. (1)⇓

    N'est-il pas pittoresque de s'interroger quant à une autre partie du pouvoir d'État, l'autorité judiciaire, et donc de se souvenir comment a été constitué le parquet national financier. Celui-ci a été créé par Christiane Taubira 
en 2014. Garde des sceaux celle-ci y a placé ses amis. Le procureur de ce parquet, Éliane Houlette, 
était commissaire du gouvernement auprès du Conseil des ventes volontaires.

 Elle doit sa brillante promotion à la ministre, laquelle a également constitué une équipe de procureurs adjoints
 et vice-procureurs parmi ses très proches … Rappelons aussi à ce sujet qu'en France, le parquet, et particulièrement le parquet national financier, n'est pas indépendant du pouvoir exécutif.



    Les derniers soubresauts médiatiques de la campagne électorale n'ont donc, eux aussi, à cet égard, pas manqué de produire leurs effets sondagiers. Pour la première fois en effet un des deux plus récents sondages, celui commandé par Les Échos et Radio Classique à la société Elabe, plaçait, dès le 1er février, le candidat Macron favori de l'élection présidentielle où il arriverait second au premier tour. (2)⇓

    Rien n'étant plus mouvant et plus incertain, en fait, qu'un sondage d'opinion, on ne disputera pas ici de la qualité respective des deux. On se contentera de noter que celui d'Elabe, institut présidé par Bernard Sananès, popularisé par Radio Classique et les Échos entre parfaitement dans le dispositif, réel et non virtuel de ce qu'il faut bien appeler l'opération Macron.

    Ce à quoi vise ce mécanisme est vieux comme la cinquième république. Mais, depuis un demi-siècle, le projet n'avait jamais abouti au résultat désiré par ses promoteurs. Depuis le complot de l'Alma puis du cartel des Non de 1962 jusqu'aux premières illusions de la campagne Hollande de 2012 la grande idée de tous ces intervenants a, bel et bien, toujours été de tendre à un retour de la IVe république par une coalition socialo-centriste. Mais comme le pâté d'alouette cet assemblage inégal composera un cheval social démocrate et une alouette centriste voire droitière. Ne nous laissons pas prendre à cette candidature qui ne repose sur aucune doctrine, qui se refuse à développer, pardon à "dévoiler" un programme et qui laisse entendre qu'il acceptera généreusement les voix de la "droite orléaniste" (sic) en passant par "l'écologie réaliste" et le gaullisme social. Il prend cependant bien soin, quand il révèle, chichement, certains points de sa doctrine, globalment secrète, de ménager les pires poncifs du socialisme, tels que l'État stratège ou le modèle social, etc.

    Il faut donc dire clairement non à cette opération Macron.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. cf. Les Échos du 24 octobre "France Télévisions : les perles du rapport de la Cour des comptes"
    2. réalisé au même moment un sondage IFOP ne le place certes qu'en troisième position. Mais, depuis plusieurs jours, les commentateurs agréés raisonnent tous sur la base du sondage Elabe sans tenir compte de l'étude IFOP

    http://www.insolent.fr/2017/02/non-%C3%A0-lop%C3%A9ration-macron.html

  • Frédéric Boccaletti : « Ce n’est pas le FN qui pourrit les meetings de Macron, mais ses déclarations! »

    Le conseiller régional Frédéric Boccaletti dénonce l’utilisation brutale de gaz lacrymogènes contre des anciens combattants âgés de 80 à 90 ans venus protester contre les déclarations d’Emmanuel Macron sur la colonisation. Après sa déclaration d’Alger, son meeting de Toulon, dans une région où les militaires, les pieds-noirs et les harkis sont nombreux, a été un échec, avec une salle à moitié vide.

    Des propos recueillis par Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/fredericboccaletti/nest-fn-pourrit-meetings-de-macron-declarations,314969

  • La Belgique va libérer 57 islamistes ayant prêté allégeance à Daech !

    Fouad-Belkacem-Daech-600x300.jpg

    C’est le quotidien belge La Dernière Heure qui le révèle ce matin : 57 islamistes fichés comme tels, dont certains ont prêté allégeance à l’Etat islamique (Daech) durant leur séjour en prison, sont sur le point d’être libérés !

    « Au moins neuf doivent à coup sûr retrouver l’air libre cette année parce qu’ils ont purgé leur peine, mais si l’on tient compte des libérations anticipées légales – au tiers de la peine ou aux deux tiers pour les récidivistes –, on arrive à une liste de 57 personnes. »

    Pire encore : parmi ceux-ci figure « quelques noms bien connus comme Fouad Belkacem » (photo), la figure de proue de Shariah4 Belgium, « qui a envoyé une centaine de combattants en Syrie » ! Ou encore « Soufiane Alilou, une figure du réseau qui entourait Abdelhamid Abaaoud, responsable des attentats de Paris » : lui devrait sortir le 5 avril prochain.

    La Dernière Heure cite encore un certain nombre de noms, comme celui de Mohammed Azzedine Keraï, « membre des Kamikaze Riders, dont plusieurs membres sont partis en Syrie, et soupçonné, mais sans qu’on puisse le prouver, d’avoir planifié des attentats en Belgique pour la nuit du Nouvel An 2015 ». Lui est assuré d’être libéré au plus tard… le 25 décembre prochain. Joyeux Noël !

    Le quotidien Le Soir précise qu’il ressort par ailleurs de la liste « que plus d’un tiers des détenus en question sont emprisonnés pour d’autres faits (abus, homicides…) et ont prêté allégeance derrière les barreaux ».

    Mais, pas de panique, la situation est sous contrôle. C’est le ministre belge de la Justice, Koen Geens, qui le dit : « La base de données centrale des prisons est liée à la base de données de la police fédérale. De cette manière, les détenus peuvent être mieux suivis. » On est pleinement rassurés.

  • Macron en Algérie : un crime contre la vérité En Marche pour caresser un certain électorat

    En visite en Algérie, Emmanuel Macron a qualifié la présence française dans le pays (1830-1962) de « crime contre l'humanité ». Une ficelle électoraliste aussi grosse que honteuse. La critique qui en est faite ici [Causeur, 16.02] est, en elle-même, pleinement justifiée. Elle confirme les analyses déjà publiées sur ce triste sujet dans Lafautearousseau. S'il en est un pour qui patriotes et royalistes ne voteront pas à la présidentielle, c'est bien, en toute certitude, Emmanuel Macron.  LFAR

    « C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie, et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes »

    Voici ce qu’a affirmé, en Algérie, Emmanuel Macron, candidat autoproclamé à la Présidence de la République Française, lors d’une interview au média local Echorouk News.

    Lyautey et Goering, même combat !

    Crime contre l’humanité. Si les mots ont un sens, cela veut dire que l’on met sur le même plan qu’Adolf Hitler, Joachim von Ribbentropp, Hermann Göring, Ernst Kaltenbrunner, Wilhelm Keitel, Alfred Rosenberg, les Français Jacques Cartier, Joseph-François Dupleix, Louis Antoine de Bougainville, Thomas Robert Bugeaud, et les maréchaux Joseph Simon Gallieni et Hubert Lyautey entre autres. Et bien entendu les penseurs de ce crime contre l’humanité, Colbert, Duplex, Jules Ferry et tant d’autres…

    Il conviendra donc, si l’on suit ce bel esprit, de débaptiser toutes les rues, tous les lycées Jules Ferry, les places Lyautey, les avenues Gallieni…

    Avec ces propos dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils sont navrants, on voit bien où le candidat autoproclamé veut en venir : au vote des musulmans des banlieues, bien sûr. Un électorat à caresser dans le sens du poil.

    Ces propos révèlent qui est Emmanuel Macron, que beaucoup fantasment comme un homme providentiel, au-dessus des querelles partisanes… C’est clairement un héritier de François Hollande, un socialiste qui a inspiré le quinquennat, et il sera prêt, lui aussi, à crier, « reviens, Léonarda ! » et à faire dans la contrition pour s’attirer les bonnes grâces des indigènes de la république, qui, c’est sûr, veulent beaucoup de bien à la France…

    Des crimes de guerre largement partagés

    Puisqu’il s’agit de l’Algérie, il convient toutefois de rappeler quelques vérités historiques. Que jusqu’en 1818, l’un des repaires des pirates barbaresques qui infestaient la Méditerranée depuis trois siècles, était précisément le port d’Alger, célèbre pour son marché aux esclaves, et que deux pays occidentaux, avant la France, avaient fait la guerre au Dey d’Alger pour faire cesser – outre la piraterie – ce qui était, précisément, un crime contre l’humanité, l’esclavage subi par les chrétiens et les chrétiennes. Les États-Unis, on le sait peu, ont fait la guerre aux barbaresques de 1801 à 1805, puis à nouveau en 1815 ; les Anglais en 1818, toujours pour libérer les esclaves chrétiens.

    J’ai grandi sous la présidence du Général de Gaulle. J’ai 59 ans. Je ne suis pas d’origine pied-noir. Alors que les armateurs nantais et bordelais s’enrichissaient dans le commerce triangulaire, mes aïeux crevaient de faim dans les Hautes-Alpes. Je ne me sens, contrairement à Emmanuel Macron, en tant que Français, coupable de rien, de rien du tout, et je n’ai d’excuses à faire à personne.

    Jacques Cartier, Bougainville, Lyautey… Le père Bugeaud et sa casquette… Tous ces héros ont peuplé mon enfance. Car jamais personne ne pourra me faire avaler – car il s’agit bien de cela – que ces héros, dont certains, je pense à Gallieni et Lyautey, ont sauvé la France et son empire durant la Guerre de 1914-18, sont des criminels contre l’humanité. Jamais leur image ne pourra être associée aux bouchers des camps d’Auschwitz et de Treblinka.

    Une ambition pour la France ?

    Je ne suis pas en train de dire que la France n’a rien à se reprocher. Notre pays n’a pas su mener la décolonisation, celle de l’Indochine, celle de l’Algérie. Des crimes de guerre ont été commis. Mais ces crimes de guerre ont été largement partagés : le Viet-Minh et le FLN aussi ont du sang sur les mains, du sang français, comme l’armée française a sur les siennes du sang vietnamien et algérien.

    C’était il y a longtemps. Les sujets, les enjeux, désormais, sont ailleurs. Il serait peut-être temps d’en parler.

    Il paraît que M. Macron serait un philosophe. Qu’il serait un littéraire. En tout cas, ce n’est sûrement pas un historien.

    Pour qu’Emmanuel Macron devienne Président de la République, il faudrait qu’à côté de l’ambition et du sens des affaires qu’on apprend à l’École Nationale d’Administration, il ait aussi de l’ambition pour la France ; une vision.  Cela s’appelle le sens de l’histoire.  

    Bernard Domeyne
    docteur en histoire.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/02/17/histoire-actualite-macron-en-algerie-un-crime-contre-la-ve-5912116.html

  • Ludovic Torbey - Les députés votent une loi qui protège les corrompus

  • Trump ressuscite en 80 minutes !

    Trump a taillé un costume à la presse comme aux politiciens trahissant l’électorat…

    « Donc, la presse est le vrai parti d’opposition (les démocrates ne comptent plus). Et ce nouveau parti de la haine et de la désinformation s’acoquine avec les groupes d’intérêt qui profitent de notre crise, avec le soutien de certains éléments félons des services secrets, en vue de déstabiliser, fuites à l’appui, le seul représentant du peuple qui prouve qu’il tient ses promesses sur les fronts du travail, de l’économie, de la sécurité des frontières, comme de la défense nationale.

    Ces fuites sont criminelles, passibles de prison, et seront sévèrement punies. Plus grave encore : en freinant la constitution de mon gouvernement tout en déployant massivement la “ruse” de votre intox sur la Russie, vous avez forcé Poutine à montrer les crocs à Washington, pour la première fois depuis des lustres. Pourquoi ? Vladimir Poutine commence à se demander, depuis deux semaines, si Trump pourra vraiment mettre en œuvre sa politique de détente dans ce chaos antidémocratique…

    En fait, l’actuelle “coalition Folamour” qui tente de priver mon gouvernement de ses prérogatives constitutionnelles met notre pays en danger d’une guerre nucléaire. Mesdames et Messieurs les bellicistes, vous êtes ici à deux doigts de la haute trahison ! »

    Tel est le message – décodé – de la décoiffante conférence de presse tenue le 16 février par un président Trump qui relance sa campagne électorale, puisqu’il n’a pas encore le pouvoir.

    Certes, mais il compte – selon Rasmussen, le seul institut de sondage qui ne se soit jamais trompé pendant la campagne présidentielle – sur le soutien de 55 % des électeurs, comme sur celui des chefs d’entreprise, syndicats et investisseurs qui défilent quotidiennement à la Maison-Blanche, enfin heureux de parler à quelqu’un qui connaît le langage des affaires.

    Résultat : depuis son élection du 8 novembre, la Bourse américaine a gagné en valeur près de trois mille milliards de dollars. Bon pour les fonds de retraite…

    Car les milieux économiques attendent impatiemment que la bombe financière du système de santé soit désarmée, que les mètres cubes de réglementations accumulés depuis huit ans soient allégés, que les deux mille milliards de dollars de fonds privés parqués à l’étranger soient fiscalement incités à revenir, que les taxes ne pénalisent plus l’exportation, l’investissement, ou la consommation, bref, que l’on puisse investir ce mille milliards de dollars en infrastructures qui fait tant défaut. Le moteur…

    Trait de génie ou coïncidence, Trump a en fait visé les républicains du Congrès, qui eux aussi le ralentissent. Le message, ici, est clair : si vous ralentissez mon plan, la Bourse va redescendre brutalement, gare aux conséquences…

    Trump a donc taillé un costume à la presse comme aux politiciens trahissant l’électorat ; il a recadré les technocrates républicains et implicitement ironisé sur les Folamour du Sénat (McCain, Graham et Rubio… qui sont comme un poisson dans les eaux du renseignement). Guerre totale…

    Réussira-t-il à déplacer le débat sur l’essentiel ? Il se rend, ce 18 février, en Floride pour son premier bain de foule qui devrait être à la fois programmatique, offensif et divertissant. En attendant, les fuites continuent. Il a fallu, hier, tuer un canard de l’Associated Press : une rafle à venir de la Garde nationale sur des millions de sans-papiers. Plus ça change…

    http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/trump-ressuscite-80-minutes,314610