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Comment les associations " antiraciste " utilisent la justice pour faire condamner les patriotes ?
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Une crapulerie intellectuelle
Le Monde la résumait assez cruellement, « ironie de l’histoire, le candidat de la droite (François Fillon, NDLR), englué dans les affaires, a rencontré (mercredi) l’ancien chef de l’Etat pour obtenir son soutien, alors qu’il avait fait de la critique des déboires judiciaires de M. Sarkozy un axe de sa campagne à la primaire.» Un François Fillon qui n’a peut-être pas le cuir aussi épais que les dirigeants du FN, habitués de longue date à l’hostilité militante -« Avoir 90 % des médias contre vous, c’est inouï » confiait-il à des journalistes le 8 février- et dont l’entourage est très souvent en décalage ou opposé au discours droitier catholique-conservateur, gaullo-identitaire, élaboré lors des primaires. Déjà Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-François Copé, prenant à rebrousse-poil une large partie de l’électorat droitier de LR, ont indiqué qu’ils voteraient Macron au second tour de la présidentielle en cas de duel contre Marine. François de Voyer le soulignait aussi sur boulevard voltaire, « l’équipe molle dont il s’est d’abord entouré Raffarin, Baroin, Apparu, NKM» présage déjà des trahisons à venir. Pour ne rien dire « de ses rétropédalages, de ses lâchetés : considérer que la politique migratoire de Mme Merkel n’est pas si mauvaise par la bouche de son lieutenant - propos tenus avant l’annonce par Mme Merkel, sous la pression de son opinion publique, qu’elle expulsera des milliers de clandestins, NDLR- , envisager de gouverner avec Emmanuel Macron, biffer la mention du Qatar et de l’Arabie saoudite dans son discours par peur de déplaire… Tout cela dessine un Sarkozy au petit pied.»
La chance de François Fillon d’être présent au second tour réside dans la fragilité d‘Emmanuel Macron dont l’électorat potentiel semble assez volatile, attiré dans un premier temps par une candidature vendue comme moderne et transgenre mais dont le caractère attrape-tout, ectoplasmique, lasse désormais, voire inquiète même les plus favorables. Sur Europe 1 l’éditorialiste David Dhoukan affirmait qu’ « au moment ou Les Français sont inquiets de leur avenir », « veulent légitimement connaître le projet qu’on leur propose pour le pays », « Emmanuel Macron a commis sa première grosse bourde, avec cette malheureuse phrase : Le programme n’est pas au cœur d’une campagne, la politique c’est mystique, c’est une magie. »
Dans notre monarchie républicaine particulièrement, il y a certes dans cette rencontre qu’est l’élection présidentielle entre un(e) candidate et le peuple, dans ce phénomène d’attraction entre une personnalité et des électeurs, une part d’irrationnel, de mystère qui échappe aux calculs. Mais la machine Macron, décor Potemkine derrière lequel se cache Bruxelles et les multinationales, confond les deux dimensions de la politique, la sacrée et la profane, avec l’enfumage, les poses de télévangéliste. Les formules creuses et ampoulées commencent sérieusement à tourner à vide.
Emmanuel Macron a cependant compris, comme les calculateurs cyniques du cercle de réflexion socialiste Terra Nova bien avant lui, qu’il lui faudra séduire la France des minorités, de la diversité, des communautés pour l’emporter face à la France périphérique. Il se veut donc le recours du camp progressiste, message qu’il entonnera de nouveau samedi prochain lors d’un meeting qu’il veut symbolique à Toulon. Et qui explique ses propos provocateurs tenus lors de son déplacement mardi en Algérie. Lors d’un entretien, accordé à la chaîne de télévision algérienne Echourouk News, il a repris à son compte la déclaration du président algérien Bouteflika qui affirmait en avril 2006 que « la France était responsable d’un génocide de l’identité, de l’histoire, de la langue et des traditions algériennes ».
Ainsi M. Macron, tout à son entreprise de sidération, de séduction et d’ubérisation des Banlieues, distille une propagande qui contribue a alimenter le ressentiment anti de souche. Il a répété que la colonisation française fut «un crime contre l’humanité» – en phase une nouvelle fois avec la girouette François Fillon qui a qualifié pour sa part la colonisation «d’abomination » il y a quatre jours….- manière également de tenter de cristalliser derrière sa candidature en ce mois de février l’électorat le plus inculte, qui a intégré la doxa dominante véhiculée sur la colonisation française.
«Je pense» a affirmé l’ex ministre de l’Economie, « qu’il est inadmissible de faire la glorification de la colonisation. Certains ont voulu faire cela en France, il y a dix ans. Jamais vous ne m’entendrez tenir ce genre de propos. J’ai toujours condamné la colonisation comme un acte de barbarie.» «La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers qui nous avons commis ces gestes.» « La France a installé les droits de l’homme en Algérie. Simplement elle a oublié de les lire. »
Même François Hollande, au cours de la Journée nationale d’hommage aux Harkis, avait mis de l’eau dans le vin de la repentance et avait même fini par reconnaître « les responsabilités » de la France dans « l’abandon des Harkis (qui) ne fut jamais pleinement reconnu par la République », « les massacres de ceux restés en Algérie et les conditions d’accueil inhumaines de ceux transférés en France ». Le gourou d‘En marche! a oublié lui d’évoquer les exactions du FLN. Les crimes, les viols, les tortures dont furent victimes après les accords d’Evian du 19 mars 1962, avec hélas la complicité active de l’Etat français, au moins 80 000 Harkis et des milliers de Pieds Noirs.
Peut-on réduire la présence Française en Algérie à celle de salauds de colons illégitimes? De 1830 à 1962, la la population algérienne est passée de 2 millions à 9 millions, et c’est un pays doté de toutes les infrastructures modernes qui a été laissé au gouvernement FLN: la mise en valeur de l’exploitation du pétrole du gaz, du domaine minier; la mise en place de centrales thermiques, le développement industriel, chimique et métallurgique; des télécommunications et communications modernes qui faisaient des départements français d’Algérie le pays le plus avancé d’Afrique; des dizaines de ports et d’aéroports, la construction de milliers de logements, d’écoles, de centaines d’hôpitaux, de stades; 54 000 kilomètres de routes, 80 000 kilomètres de pistes sahariennes, 4500 kilomètres de voies ferrées…
Bien sûr constate Bruno Gollnisch, la colonisation a connu son lot de violences sanglantes, de drames, d’injustices, qui pourrait le nier ? Mais la qualifier de crime cotre l’humanité comme l’ont été les totalitarismes barbares du XXème siècle, le bombardement de Dresde, Hiroshima, Nagasaki ou le génocide perpétré par les Khmers rouges est une crapulerie intellectuelle qui disqualifie son auteur.
https://gollnisch.com/2017/02/16/une-crapulerie-intellectuelle/
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En France, on refuse de protéger les femmes par déni et par idéologie féministe
Là où la journaliste de France 2 ne voit que du sexisme, les Allemands répondent aux attentes légitimes des femmes et des mères de famille en leur réservant des places de parking adaptées et sécurisées. Quant à l'article de France Info qui commente cette information, il omet de souligner la raison majeure à l'origine de cette décision :
"Cette décision a été prise après une série d'agression" (vidéo à 0'17'')
Complément d'enquête. L'Allemagne a inventé les places de parking pour femmesInutile de faire un rapprochement avec l'entrée massive d'immigrés clandestins en Allemagne en 2015 :
"Les chiffres des agressions à Cologne et dans le reste de l'Allemagne lors de la nuit de la Saint Sylvestre se précisent. En effet, selon un rapport de l'Office fédéral de police criminelle allemand (BKA, pour Bundeskriminalamt) révélé dimanche dans les médias outre-Rhin, ce sont près de 1200 femmes qui ont été agressées, dont environ 650 à Cologne et 400 à Hambourg, par plus de 2000 hommes. Il y a plus d'agresseurs que d'agressées, car plusieurs hommes ont abusé d'une seule femme (...)
La moitié des suspects étaient en Allemagne depuis moins d'un an et la plupart sont d'origine algérienne ou marocaine. Seule une minorité des suspects serait originaire de Syrie, donc concernée par la politique d'accueil mise en place en 2015. Il s'agirait donc pour la plupart de migrants ayant profité du flux de réfugiés et de la vaste politique d'accueil lancée par la chancelière Angela Merkel pour s'introduire en Allemagne.
«Il y a un lien entre ce phénomène [d'agressions, NDLR] et la forte immigration, en particulier en 2015», a confirmé Holger Münch, le président de l'Office fédéral de police criminelle allemand au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung.
Inutile d'imaginer en France la même politique de prévention et de protection des femmes...
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Marion Maréchal-Le Pen : "Il y a une haine anti-France liée au communautarisme et à la repentance systématique"
par Philippe Carhon
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Bobards d’Or : quand la réinformation dérange
Source : Polemia – « Bobards d’Or : quand la réinformation dérange »
Effusion, applaudissements enjôleurs, en ce 6 février 2017. Sous les élégantes loges du théâtre Marie Bell, le public a tranché : au terme d’une soirée à laquelle il a fait honneur, il a couronné l’équipe de Yann Barthès du Bobard d’Or de l’année !
Le choix fut cornélien et les concurrents des rivaux de taille. Mais décidément, la balade d’Hugo Clément dans Molenbeek, ce paradis du multiculturalisme où il fait bon vivre, aura ravi la victoire. Réagissant aux sombres propos d’un Donald Trump trop prompt à dénoncer en ce quartier belge une zone de non-droit dans laquelle les forces de l’ordre n’osent plus paraître, le journaliste de l’équipe de Yann Barthès (Le Petit Journal) aura omis de mentionner l’état de siège dans lequel se trouvait plongé Molenbeek au lendemain des attentats du 13 novembre… Si l’ex équipe de Canal + (aujourd’hui partie chez Quotidien) n’est pas venue chercher sa récompense, Jacques Pezet (Désintox, Libération) a déploré, au détour d’un tweet, de ne pas pouvoir venir chercher une quelconque distinction à l’issue de la soirée. Le Bobard d’argent a, quant à lui, échu à Alain Marschall, qui avait, sur BFMTV, affublé le terroriste à l’origine du carnage de Nice d’un déséquilibre mental douteux et prétendu que l’attentat d’Orlando, pourtant revendiqué par l’Etat islamique, n’était pas islamique… Enfin, c’est Guillaume Auda, l’ancien journaliste d’i>Télé, parti raconter ses mensonges sur France 2, qui a remporté le Bobard de bronze, pour des tweets affabulateurs sur de pseudo-soutiens de Donald Trump (des activistes noirs déguisés en membres du Ku-Klux-Klan…).
Les décodeurs à l’assaut de la cérémonieDans les loges, les journalistes de TV5, du Monde et de Marianne se font discrets : si Aurélien Colly (Radio France) semble avoir rapidement déserté les lieux, d’autres assistent vaillamment à la cérémonie. Sourire figé, certains attendent patiemment la fin de la soirée pour interroger une assistance dont on salive à l’avance les « dérapages ». D’autres n’auront pas leur tempérance. À l’instar de Guillaume Meurice, « l’humoriste » de France Inter, plus pressé de déguster une bière au bar que de saisir les ressorts à l’origine de ce que sa bande de petits copains « décodent » toute la journée. L’homme est sans préjugés : les « réunions d’extrême droite » de ce type, ça le connaît ! Alors à quoi bon tenter de saisir, de comprendre la raison pour laquelle, pour la huitième année consécutive, c’est une salle comble et de francs éclats de rire qui accueillent cette cérémonie ; de saisir pourquoi, huit ans durant, les organisateurs des Bobards d’Or n’ont jamais reçu de plaintes à l’issue des dénonciations faites à l’encontre d’une sphère médiatique qui s’est érigée seule détentrice d’une pensée conformiste, au gré des accents supposés « humanistes » de ses chroniques. Le lendemain, Guillaume rate salement sa chronique ; plus fasciné par la binouze que par la critique qui lui est adressée, le chroniqueur aura eu quelques difficultés à retracer le déroulement de la cérémonie… Mais, courageux, il mijotera des heures durant dehors, son manque d’intérêt pour la cérémonie lui ayant valu, après de nombreux allers-retours au bar, d’être remercié. Un courage salué, par la présentatrice de la matinale de France Inter : « Merci, Guillaume, des risques que vous prenez ». A n’en pas douter, sélectionner trois anecdotes d’une soirée qu’on n’a daigné honorer de plus de quelques minutes de présence, ça c’est de la prise de risque !
Qu’ils fussent grossiers (comme Meurice) ou plus curieux, les journalistes des grandes plateformes subventionnées auront, quoi qu’il en soit, honoré la cérémonie de leur présence. Le Décodex, la Désintox, la chasse aux « fake news », c’est « tendance » ! En créant ces armes contre la réinformation, la grande presse ne fait pourtant que conforter celle-ci dans la certitude que l’information dispensée par l’oligarchie, tantôt tronquée, tantôt censurée, en permanence orientée, a fait son temps.
Une presse obèseAvec 2,3 milliards de subventions, les subsides octroyés à la presse représentent 30% du chiffre d’affaires de ce milieu… « Contre une moyenne européenne de 2% », souligne Benjamin Dormann. Au cours d’une démonstration solidement argumentée, l’auteur d’Ils ont acheté la presse (éditions Jean Picollec) a fait remarquer au public le véritable gouffre économique qu’incarne aujourd’hui la grande presse. « Aux mains de sept des onze plus gros milliardaires français, comment les grands titres des médias de l’oligarchie ne pourraient être influencés par leurs investisseurs et propriétaires ? », s’interroge encore l’ancien journaliste. Une problématique qui ne semble pas poser de cas de conscience au multimilliardaire Xaviel Niel, notamment actionnaire d’Atlantico, qui soulignait récemment « Quand les journalistes m’emmerdent, je prends une participation dans leur canard, et ensuite ils me foutent la paix ».
Conclusion
« Cette cérémonie vient à nouveau de le démontrer : la presse écrite subventionnée et les radios et télévisions autorisées à émettre ne sont pas des médias d’information mais des médias de propagande », conclura justement Jean-Yves le Gallou au terme de la soirée. Pour autant, face à cet état de fait, il n’est pas de désespoir permis. Car, cette année, les victoires de la réinformation ont été nombreuses : de la discréditation d’« Ali » Juppé à l’annulation du concert de Black M à Verdun, les dynamiques impulsées par les réseaux sociaux sont la preuve que le pays réel a trouvé ce canal d’expression qui lui permettra demain de faire triompher l’information factuelle sur la soupe idéologique servie dans les mangeoires quotidiennes de la presse subventionnée. « Rira bien qui rira le dernier »…
http://fr.novopress.info/203475/bobards-dor-quand-la-reinformation-derange/
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Fausses nouvelles : les médias dominants gonflent leurs chiffres de fréquentation grâce à des bots chinois
La semaine dernière, le New York Times, journal en perdition, a publié un article qui attribuait à Donald Trump et à l’élection présidentielle controversée le gain de « plus d’abonnés en trois mois que sur toute l’année 2015 », revendiquant 276 000 clients supplémentaires pour la « version numérique uniquement ».
La publication, propriété du milliardaire mexicain Carlos Slim, cernée de toutes parts, se porte tellement bien qu’elle abandonne huit étages de son quartier-général new-yorkais pour « générer des revenus locatifs significatifs », et qu’elle publie de pathétiques publicités sur Twitter proposant 40 % de réduction sur les abonnements, avec des slogans tels que « La vérité. C’est vital pour la démocratie » et « Le meilleur du journalisme indépendant ».
Alors que le nombre d’abonnés pourrait certes avoir augmenté, le trafic sur le site n’a véritablement commencé à décoller qu’à partir de la première semaine de décembre.
Le Washington Post et le Guardian ont connu des évolutions de trafic similaires durant cette période, en contraste flagrant avec leurs autres confrères.
Une rapide comparaison avant/après illustre l’énorme augmentation du nombre de visiteurs :
Classements au début du mois de décembre 2016 :
Classements au 8 février 2017 :
Le trafic commence à augmenter de manière significative vers la mi-décembre pour les trois sites. Voici une comparaison des variations de la fréquentation de ces trois sites, comparée à celle d’autres sites d’information :
Voilà qui est étrange. Voyons à présent la fréquentation du site du New York Times par pays d’origine, qui montre une augmentation significative du nombre de visiteurs en provenance de Chine, passant en deux mois de 5,1 % à 49,2 % de l’ensemble du trafic sur le site :
Ce qui est encore plus intéressant est le fait que le New York Times a été complètement bloqué en Chine depuis 2012, et que le mois dernier Apple a reçu l’ordre de retirer deux applications du NYT de son App Store, bien que les utilisateurs n’avaient de toute façon pas la possibilité d’accéder au contenu depuis l’interdiction de 2012. Le New York Times a lui-même déclaré :
Lorsque le gouvernement chinois a commencé à bloquer les sites internet du Times en 2012, il a aussi empêché les utilisateurs de Times app de télécharger du contenu nouveau.
Les personnes cherchant à contourner les filtres internet utilisent habituellement des VPN (Virtual Private Networks – Réseaux Privés Virtuels) qui tentent de se frayer un chemin à travers les murs de protection hautement restrictifs utilisés par la Chine, qui a cependant réprimé l’usage de VPN depuis plusieurs années.
À présent, jetons un œil au Washington Post et au Guardian, qui ne sont pas bloqués en Chine – un pays qui est passé pour les deux sites d’un trafic quasi-nul au 1er décembre 2016, à une fréquentation globale respective de 58,9 % et 57 %.
Ces importantes augmentations de trafic ont permis aux deux sites de voir leur classement de fréquentation sur Alexa augmenter jusqu’à 38 %, une donnée essentielle pour estimer la valeur marchande d’un site internet. On notera que le site BBC.com a connu une augmentation similaire, et c’est peut-être le cas pour d’autres. [Ndt : les sites Lefigaro.fr, Lemonde.fr et Liberation.fr ont par exemple tous connu une forte hausse de leur classement sur Alexa à partir de juillet 2016, après avoir été en chute libre dans ce classement]Il est évident que, considérant la restriction de l’URL du New York Times en Chine, on pourrait conclure que cette augmentation massive, qui représente désormais près de la moitié de la fréquentation totale du site, provient d’un type de serveur automatisé générant un trafic élevé qui ne serait pas entravé par le mur de protection restrictif mis en place par la Chine, ce qui permettrait d’augmenter artificiellement le décompte des visiteurs sur ces sites.
Les trois organes de presse ont passé la majeure partie de l’année 2016 à tenter d’influencer l’élection américaine en faveur d’Hillary Clinton, avec une couverture biaisée et en publiant régulièrement des articles à charge contre Donald Trump. Depuis sa victoire électorale, le président Trump a déclaré la guerre à la plupart des médias dominants – les qualifiant de « parti d’opposition », tout en restant la cible d’attaques biaisées. La Chine n’est pas non plus un soutien de Trump ; entre la menace sur l’augmentation des tarifs douaniers et le mépris de Trump pour la politique traditionnelle américaine de préférence pour la « Chine Unique » plutôt que pour la reconnaissance de Taïwan, la Chine a à la fois des raisons politiques et économiques de tenter de faire pression sur le discours offensif du président américain.
De plus, la société d’état chinoise JAC Motor et le fabricant automobile mexicain Giant Motors, co-détenu par le propriétaire du New York Times Carlos Slim, investissent conjointement plus de 200 millions de dollars pour fabriquer des véhicules à Hidalgo, au Mexique, suite aux querelles continuelles entre le président Trump et le Mexique au sujet de la proposition de mur à la frontière, et des taxes douanières exorbitantes qui sont censées en payer la construction. Amazon, qui a un actionnaire en commun avec le Washington Post, a récemment été autorisé par la Chine à transporter par cargo des marchandises chinoises vers ses entrepôts américains, ainsi qu’à lancer Amazon Web Services dans ce pays fortement restrictif.
Bien qu’on ne sache pas grand-chose de plus jusqu’à présent, la liste des entités capables de représenter la moitié du trafic sur plusieurs sites internets majeurs à partir de domaines chinois est sans doute relativement réduite.
Traduction de l’article Fake Newsflow: Are The NY Times, Guardian, And WaPo Buying Clicks? China Jumps From Trickle To Half Of All Traffic In Two Months
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C'EST QUOI LE 6 FÉVRIER 1934 ? #VoxAF
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Tepa debunke Rokhaya Diallo et Leonara Miano - Meta TV 1/2
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Alain Juppé permet à son adjoint Marik Fetouh de rallier Emmanuel Macron
BORDEAUX (NOVOpress avecInfos-Bordeaux) : Alain Juppé ne s’en est pas formalisé… bien au contraire ? Sur son blog, Marik Fetouh, un des proches collaborateurs d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux, voit une continuité dans son nouvel engagement présidentiel : les idées d’Emmanuel Macron, explique-t-il, « sont en total accord avec mes convictions. Sur les questions sociétales, il se situe à mon sens dans la droite lignée d’Alain Juppé, qui a été le premier à être informé de ma démarche ».
Marik Fetouh est adjoint à la mairie de Bordeaux « en charge de l’égalité et de la citoyenneté », ce qu’il traduit lui-même par cette liste à la Prévert : « droit des femmes, relations avec les cultes, lutte contre le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, dialogue inter-culturel, et questions mémorielles notamment ».
Fondateur du premier centre LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et Trans) à Bordeaux, il pourrait même rejoindre l’organigramme de campagne du patron d’En Marche !
Il a expliqué dans un entretien au Figaro qu’il comptait apporter son « expertise sur la laïcité, la lutte contre les discriminations et la lutte contre la radicalisation ». Selon cet activiste, Alain Juppé « comprend parfaitement » sa décision. Il faut dire que depuis plusieurs semaines, de nombreux juppéistes ne cachent pas se sentir plus proches d’Emmanuel Macron que de François Fillon.
Si la nomination dans l’équipe de campagne se confirme, il est clair que le projet d’Emmanuel Macron sera très libéral sur les questions sociétales, à l’image des différentes actions, comme la Quinzaine de l’égalité, mises en place dans le fief d’Alain Juppé.
Marik Fetouh en profite d’ailleurs pour attaquer François Fillon sur un registre inattendu :
« Je ne pense pas que la France est un pays catholique et de race blanche. La culture française est diverse » déclare-t-il dans le même entretien au Figaro.
Un autre façon de dire ce qu’a affirmé son nouveau grand homme le week-end dernier à Lyon : «Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. »
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Les identitaires dans la manifestation pour réclamer la fermeture du centre de déradicalisation de Pontourny
Plus de 150 personnes ont manifesté, ce samedi 11 février, à Beaumont-en-Véron, devant le centre de déradicalisation de Pontourny afin d’exiger sa fermeture immédiate.
Les manifestants ont brandi des pancartes sur lesquelles étaient inscrits les slogans suivants : « Cazeneuve, Le Roux, démission ! », « Pontourny, ça suffit ! » ou encore « Jihadiste = danger ».
Catherine Bideau, porte-parole de l’association Radicalement Digne de Pontourny, a déclaré :
Nous demandons la fermeture immédiate du centre. Nous avons eu des profils dangereux, radicalisés. Ce qui est contraire à ce qui avait été annoncé par l’Etat. On ne veut pas de moratoire. Ça ne servira à rien.
Outre des responsables du Front National – dont l’élue Véronique Péan -, des militants identitaires étaient présents ce matin à Pontourny pour soutenir les habitants dans leur lutte contre le pseudo-centre de déradicalisation. Pour rappel, dans un communiqué publié le 7 février dernier, Les Identitaires qualifient ces centres d’escroquerie intellectuelle et financière :
La méthode utilisée dans ce centre, qui vise notamment à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie », n’aura évidemment pas résisté longtemps au réel, puisqu’un des pensionnaires, Mustapha S., vient d’être interpellé dans le cadre d’une opération antiterroriste. Bien connu des services spécialisés car proche d’un des kamikazes du Bataclan, et auteur de deux tentatives de départ en Syrie, Mustapha n’a visiblement adhéré qu’en surface aux « valeurs de la République ». Financé par nos impôts, et imposé aux riverains, qui ont pourtant clairement manifesté leur désaccord, le centre de Pontourny est une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.