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lobby - Page 1345

  • L’aviation russe bombarde l’EI en Syrie tandis que les autorités françaises viennent au secours des terroristes islamistes

    Moscou communique ce jeudi que deux bombardiers russes ont anéanti en Syrie un centre de commandent, un camp islamiste, deux raffineries de pétrole, éliminant par la même occasion un grand nombre de combattants et de matériel ennemi. La nouveauté de ces actions c’est qu’elles sont lancées à partir du territoire de la Fédération de Russie.

    La semaine dernière deux pilotes russes ont trouvé la mort suite à la destruction en vol par l’EI, d’un hélicoptère de combat syrien dans lequel se trouvaient deux pilotes russes. La Russie ne pouvait évidemment pas laisser passer ces deux morts sans réagir. Sans doute est-ce la raison de son regain d’activité en Syrie puisque ces derniers jours elle a frappé très durement le groupe islamiste. Le ministère de la Défense russe précise dans un communiqué:

    « Ce matin, six bombardiers à long rayon d’action Tu-22M3 ont décollé de bases aériennes situées sur le territoire de la Fédération de Russie pour porter la deuxième frappe concentrée contre des objectifs de l’État islamique nouvellement identifiés dans les régions est de Palmyre, ainsi que dans les villes d’Es-Suhne et d’Arak et contre la station de pompage de pétrole T-3 dans la province de Homs ».

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  • Attentat de Nice : la vidéo du moment où les policiers ont abattu le terroriste

    Sur la Promenade des Anglais, devant le Palais de la Méditerranée, les policiers assaillent Mohamed Lahouaiej Bouhlel, toujours dans la cabine du camion au volant duquel il vient de faire 84 morts, dont dix enfants et adolescents, et 202 blessés. Le terroriste islamiste avait lui-même ouvert le feu à 300 mètres de là, devant le Negresco. Le tir est nourri. Mohamed Lahouaiej Bouhlel sera abattu.

    http://fr.novopress.info/

     
  • La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros

    Pour infowars.com, Paul Joseph Watson revient sur la polémique actuelle sur les violences policières aux Etats-Unis, et notamment le retour au devant de la scène du mouvement Black Lives Matter, financé par le milliardaire cosmopolite George Soros…

  • Tués parce que Blancs, par Guy Rouvrais

    A Dallas, cinq policiers ont été assassinés par un Noir, Micah Johnson, parce qu’ils étaient blancs. Cette tuerie raciste a eu lieu au cours d’une manifestation sur le thème Black Lives Matter (la vie des Noirs compte). Selon le chef de la police de Dallas, pour expliquer son geste, l’assassin « a dit qu’il était en colère contre les récentes fusillades impliquant des policiers, en colère contre les Blancs, il voulait tuer des policiers blancs ».

    Bien entendu, tout le monde condamne cette attaque « haineuse, calculée et méprisable », a affirmé le président Obama sans toutefois la qualifier de raciste,ce qu’elle est, de l’aveu même de son auteur. Barak Obama venait quelques jours auparavant de fustiger la mort de deux Afro-Américains, selon la terminologie officielle, et ce sont ces deux victimes-là qui auraient décidé Micah Johnson à passer à l’acte.

    Mais la condamnation de principe n’empêche évidemment pas que l’on murmure dans les milieux officiels ce qui se dit tout haut dans la communauté noire et dans certains médias : ça devait arriver, « ils » l’ont bien cherché. « Ils », ce sont ces policiers blancs qui abattraient les Noirs, si ce n’est à la chaîne, du moins sans trop de scrupules. En somme, l’assassin aurait appliqué la loi du talion.

    C’est un parallélisme mensonger. Les Noirs sont tombés sous les balles de policiers qui agissaient dans l’exercice de leurs fonctions, ils ont utilisé leurs armes soit pour arrêter un individu n’ayant pas répondu à leurs sommations, soit pour se défendre ou encore pour protéger leurs concitoyens. Et non pas parce qu’ils voulaient tuer des Noirs parce qu’ils étaient noirs. La justice, quand elle est saisie, dit si l’usage de la force a été légitime ou non, rien à voir avec on ne sait quelle sauvage chasse aux Noirs à laquelle se livrerait la police. Laquelle, d’ailleurs, comprend de plus en plus en d’Afro-Américains – dont le chef de la police de Dallas – conformément à la politique du gouvernement.

    Même s’il y en a davantage, ce sont toujours les policiers blancs essentiellement qui paient de leur vie la protection de leurs concitoyens, selon les statistiques officielles : depuis le début de l’année, vingt et un policiers ont été tués par arme à feu : dix-neuf Blancs, un Noir et un Hispanique. Selon ces mêmes statistiques, 509 personnes ont été abattues par la police, 238 Blancs, 123 Afro-Américains, 79 Hispaniques et 69 « autres. »

    Sur environ 320 millions d’Américains, on ne saurait dire qu’il s’agit d’une hécatombe, comme on pourrait le croire en lisant les propos effrayés et alarmistes selon lesquels les policiers d’outre Atlantique auraient la gâchette plus facile que d’autres. Certes, par rapport à leur taux de population respective, il y a, proportionnellement, un peu plus de Noirs que de Blancs, mais c’est une analyse simpliste et partisane que d’imputer cette surreprésentation au facteur ethnique, il y a également un taux de délinquance plus grand à prendre en compte.

    Il est certain en tout cas que la mort sous les balles de la police d’un Blanc n’a pas le retentissement de celle d’un Noir, et que des manifestations ne sont pas organisées pour protester et pourtant White Lives Matter (la vie des Blancs compte), quoique médiatiquement un peu moins sans doute.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 12 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Journal du Lundi 11 Juillet 2016 : U. E. / Barroso et Goldman Sachs officialisent leur relation

  • L’inénarrable propagandiste de la bien-pensance Jean Quatremer affirme : « le referendum c’est l’inverse de la démocratie »

    De Jacques Bompard à propos du Brexit :

    "Le gouvernement socialiste est un expert en racket fiscal. Et en promesses non tenues comme les 50 milliards d’euros d’économies ou l’affinement du CICE. Il n’en reste pas moins que François Hollande et Anne Hidalgo ont fait un rêve : attirer dans l’hexagone les 225 000 Français résidant actuellement dans le Grand Londres. Le paquet d’annonces chocs est cependant décevant : une hypothétique baisse de l’impôt sur les sociétés, la pression pour la réduction des impôts locaux, et l’aide au logement en Ile de France. On imagine aisément un trader londonien s’installer par grâce fiscale à Stains ou Bobigny…

    Depuis que la Grande Bretagne a eu l’indélicatesse de s’exprimer à une large majorité pour la sortie de l’Union Européenne le 23 juin dernier, le ton de la presse française est à l’apeurement. La livre a baissé pendant une semaine et quelques institutions financières ont pris leurs précautions, il n’en faut pas plus pour satisfaire les prévisionnistes échaudés par le bote anglais. N’évoquons même pas les horribles technocrates au pouvoir à Strasbourg et Bruxelles, dont l’épigone Jean-Claude Juncker cède  à l’ivresse du pouvoir et de l’autocratie. A encore 27, l’Union Européenne essaye de continuer son OPA sur l’Europe, alors-même qu’elle n’a justement cessé de trahir et de corrompre la civilisation européenne. L’invasion migratoire et la soumission à Ankara le prouvant largement.

    Il faut lire l’inénarrable propagandiste de la bien-pensance Jean Quatremer affirmer que : « le referendum c’est l’inverse de la démocratie », pour comprendre que le sujet de ce Brexit est d’abord une révolte des humbles contre la superbe de ceux qui leur ont imposé une machinerie néfaste et incompréhensible. Le débat n’est pas alors entre monnaie unique ou commune, entre Schengen ou non, entre commission et parlement. Il se réduit bien plus simplement à cette donnée : les peuples n’en peuvent plus d’organes intrus promus et dirigés par la corruption des sens et de la conception du politique.

    On rappellera le propos de Peter Sutherland, un des principaux dirigeants de Goldman Sachs,  : « L’un des paradoxes les plus désolants au sujet d’un éventuel Brexit est que Londres a remporté un grand succès en façonnant une Union Européenne libre échangiste à sa propre image. »  Plus de précision est nécessaire : après avoir participé à la mise sous tutelle du continent par l’OTAN et par les marchés financiers, les Anglais nous abandonnent au sort qu’ils ont participé à faire.  Pour eux, l’UE devrait revenir au propos de Margaret Thatcher : « Tout le grand marché et rien que le grand marché. »

    C’est bien la question du sens de l’histoire qui est alors posée. Et l’excellent Laurent Dandrieu écrit d’ailleurs dans le Valeurs Actuelles de cette semaine : « La victoire du Brexit, au contraire, a été l’occasion de rappeler qu’il n’y d’autre sens à l’histoire que celui que les hommes veulent bien lui donner. » Une phrase qui fait justement écho aux analyses de Marcel Gauchet sur l’évolution des idées en France depuis 30 ans : «  Voilà l’évènement central des trente dernières années : l’écroulement de l’idée de l’histoire comme porteuse d’une nécessité intrinsèque qui conduit vers l’émancipation. » C’est cela le Brexit : la première fois que l’oligarchie n’arrive pas à ses fins depuis plusieurs dizaines d’années. Et la doxa de l’idéologie du vide ne sait plus comment réagir : ni le mondialisme, ni la dénaturation de l’homme, ni le magma des identités supplantées par le Grand Remplacement n’ont plus aucune prise sur les peuples.

    La solution à cette question viendra sans doute de la mise à distance de la forme « Union Européenne » pour réfléchir au sens et au devenir de l’Europe dans un monde en pleine mutation. Comme souvent, c’est à un retour à l’essentiel que cette crise nous appelle. Benoît XVI nous donnait à Prague le 27 septembre 2009 une excellente solution : « Quand l’Europe écoute l’histoire du Christianisme, elle entend sa propre histoire. Sa notion de justice, de liberté et de responsabilité sociale, en même temps que les institutions culturelles et juridiques établies pour préserver ces idées et les transmettre aux générations futures, sont modelées par l’héritage chrétien ». Ecoutons notre histoire et inscrivons ses enseignements dans le réel. C’est par là que nous sauverons l’Europe de tous les Juncker, les Sutherland et autres Quatremer…"

    Michel Janva

  • La guerre en Ukraine va-t-elle reprendre ?

    Pour rappel, car cela a été bien mis sur le côté par nombre de médias depuis quelques temps, une véritable guerre a éclaté en Ukraine en 2014. Elle oppose les forces du gouvernement ukrainien (pro-OTAN et soutenu par les BHL et consorts) à ce qu’on appelle les rebelles « pro-russes » et qui sont en fait les populations russophones de l’Est de l’Ukraine (le Donbass).
    Un cessez-le-feu très fragile a été signé en 2015 et est régulièrement violé par les belligérants qui continuent à se faire face.
    Mais les violations du cessez-le-feu ont rarement eu lieu au niveau de ce qu’on connaît actuellement. Les forces ukrainiennes ont effectué de nombreux bombardements et d’importantes concentrations de blindés ont été observées à certains endroits de la « ligne de front ».
    Alors, on peut se demander pourquoi les autorités ukrainiennes voudraient reprendre des hostilités qui, jusqu’à maintenant, ont souvent tourné au désavantage d’une armée démoralisée et de groupes para-militaires plus mafieux que nationalistes.
    Il est possible que ce soit une sorte de fuite en avant du régime ukrainien dont la gouvernance est calamiteuse et qui pourrait relancer une guerre afin de détourner la colère de la population.
    Il est possible que ce soit lié au sommet de l’OTAN qui vient d’avoir lieu afin de donner des raisons à l’OTAN d’encore renforcer son dispositif militaire contre la Russie.
    Il est tout aussi possible que les Ukrainiens, en faisant monter la tension, espèrent recevoir plus de soutien financier de l’UE et de l’OTAN.
    Ou peut-être un peu des trois à la fois ! Mais quoi qu’il en soit, il s’agit d’un jeu très dangereux qui pourrait relancer, voire aggraver un conflit armé au cœur de l’Europe !
    Pour sa part, le Mouvement NATION :
    déplore toute guerre entre peuples européens.
    soutient le droit à l’autodétermination des populations du Donbass.
    condamne les agissements du gouvernement mafieux d’Ukraine qui est totalement sous le contrôle des forces mondialistes.

    Nation :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuylkkVZkESpMGNwiz.shtml

  • Terrorisme racial contre les Blancs aux États-Unis : quels responsables ?

    « Le suspect a dit qu’il en voulait aux Blancs, qu’il voulait tuer des Blancs, en particulier des policiers blancs »

    Cinq policiers abattus de sang-froid. Six autres gravement blessés. Ils étaient ciblés par des terroristes, racistes anti-blancs dont l’idéologie haineuse se nourrit des moindres faits divers relayés par les médias, et la caste « peopolitique » états-unienne. « Le suspect a dit qu’il en voulait aux Blancs, qu’il voulait tuer des Blancs, en particulier des policiers blancs », expliquait, peu après les attentats, le chef de la police locale (David Brown), lui même afro-américain. Les motivations sont connues, irréfutables. L’hypothèse de l’émergence d’un terrorisme racial, dirigé contre les Blancs américains, est désormais une réalité sur laquelle il faudra compter dans les années à venir.

    Depuis plusieurs mois, les États-Unis souffrent d’émeutes raciales fustigeant la police, souvent nourries par une haine des Américains blancs. Le mouvement Black Lives Matter, né en 2012 suite au décès de Trayvon Martin, jeune Afro-Américain abattu par un gardien de voisinage latino-américain, est à l’origine directe de l’escalade de violence. Il n’est qu’à lire les tweets de ses partisans pour comprendre leur ressentiment et leur violence.

     

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  • Le FN laissera-t-il insulter les pieds-noirs impunément ?

    Alexandre Benoît salit votre image et vous fait perdre des voix qui vous seront bien utiles l’an prochain.

    À titre posthume, on devient presque toujours un être exceptionnel, une figure marquante d’une époque, même lorsqu’on a été critiqué, vilipendé, mis au placard, etc. N’est-ce pas le cas de Michel Rocard ? Il a, paraît-il, fait des réformes extraordinaires… puisque nos élites le disent !

    Ce que je retiens surtout de Rocard, c’est qu’il se vantait d’avoir participé au financement du FLN, ennemi de la France, au cours de la guerre d’Algérie, lui permettant de se procurer des armes et des explosifs qui ont tué de jeunes appelés français, vos enfants métropolitains, nos enfants, alors que François Mitterrand, lui, faisait exécuter des dizaines de terroristes (45 personnes ont été guillotinées tandis qu’il occupait les fonctions de garde des Sceaux).

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