Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1365

  • Trump joue à qui perd gagne… doublement

    Il reste moins de 80 jours à Donald Trump pour atteindre son objectif « métapolitique » : la création d’un empire médiatique multimédia voué à la destruction de l’oligarchie, que Trump gagne l’élection présidentielle ou non. Le vrai pouvoir…

    Il avait lancé aux primaires sa « nouvelle lutte des classes », révolte contre les « ceux-qui-savent-mieux » de la mondialisation. En désignant un ennemi – l’establishment – sans distinction partisane. Résultat : 14 millions d’électeurs grâce à des sujets qui prennent aux tripes (immigration, sécurité).

    Vint ensuite le Moyen Âge de sa campagne, période de bourgeoise respectabilité intérimaire qui, grâce à Paul Manafort, neutralisa les caciques républicains lors de la convention de juillet. Enjeu : les 33 millions d’électeurs républicains des primaires à rallier par la raison (Cour suprême, politiques économiques).

    C’est maintenant la synthèse qui prend le relais, avec la nouvelle équipe de campagne, qui s’adresse au cœur (rassemblement du« peuple tout entier ») afin de consolider les électeurs républicains comme indépendants, et de capter une portion des électorats minoritaires tenus pour acquis par les démocrates (afro-américain, hispanophone, musulman) en leur proposant une sorte de nouveau pacte social.

    Lire la suite

  • Jean Raspail en Bretagne : c'est maintenant que commence le Camp des Saints...

    Un entretien avec Breizh info cliquez ici :

    20/08/2016 – 07H00 Fréhel (Breizh-info.com) – Jean Raspail, l’auteur notamment du Camp des Saints, terrible best-seller prophétique, est un amoureux de la Bretagne. Il passe régulièrement ses vacances à Fréhel (22) – un coin qu’il apprécie particulièrement – où il nous a fait l’honneur de nous accorder une interview.

    L’occasion pour nous de l’interroger sur sa relation avec Fréhel et ce secteur si particulier de la Bretagne. Mais aussi sur son rapport à la Bretagne. Et bien entendu, sur son oeuvre, et notamment Le Camp des Saints. Enfin, nous en avons profité pour questionner Jean Raspail sur l’actualité, et notamment sur l’islamisation, mais aussi sur la vague migratoire sans précédent qu’il avait prédit.

    Jean Raspail s’est totalement prêté à l’exercice, et ses réponses pimentées ne manqueront pas de surprendre nos lecteurs. De son attachement à l’identité bretonne, au clan breton, et à son enracinement, à sa volonté de faire abolir les lois Pleven-Gayssot-Taubira, en passant par son constat sans fioriture sur la montée de l’islamisme ou l’invasion migratoire, on ne s’ennuie pas un instant durant les 35 minutes d’entretien qu’il nous a accordé.

    Il y a plus de quarante ans, en 1973, Jean Raspail faisait scandale en publiant « Le Camp des Saints », roman dans lequel il imaginait le déferlement de populations du tiers-monde, poussées par la faim et la misère sur les côtes françaises. Un million de boat people prenaient pied sur notre territoire, en avant-garde d’une inéluctable invasion. Le gouvernement atermoyait, puis cédait. Mais une poignée de patriotes résistait jusqu’au bout, les armes à la main…

    Aujourd’hui, force est de constater que l’Histoire valide la thèse de son roman. Un roman dont il a refait la préface, en 2011, que Polémia analysait ainsi : « L’Europe, la France vivent sous le joug d’une idéologie unique : Big Other. Une admiration sans bornes de l’autre, doublée de la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation. Une idéologie unique qui nous assujettit grâce aux méthodes de Big Brother : la société de surveillance que nous connaissons où la police de la pensée est omniprésente. Une idéologie unique qui s’impose d’autant plus facilement aux individus qu’ils sont affaiblis par la tutelle de Big Mother : le principe de précaution qui doit s’appliquer du berceau à la tombe. Sauf dans un domaine, semble-t-il, celui des… politiques migratoires ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Explosion du nombre de clandestins dans la jungle de Calais selon la préfecture

    Entre le recensement du 13 juin 2016 et celui du 17 août la préfecture du Pas-de-Calais annonce une progression spectaculaire du nombre de clandestins dans la Jungle, qui est passé de 4.486 à 6.901. Malgré le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne, les immigrés continuent de venir s’agglutiner à Calais. C’est le nombre le plus élevé depuis la création du camp au printemps 2015. 

    Probablement que le nombre réel des clandestins est beaucoup plus élevé puisque l’association L’Auberge des Migrants estime pour sa part qu’il y aurait prés de 9000 immigrés dans le camp de la Jungle de Calais. D’autres associations dépassent même ce chiffre, elles constatent que les files d’attente pour la distribution des repas a doublé en un mois. Ce recensement, ainsi que les estimations des associations démontre que les clandestins sont arrivés massivement cet été. Des chiffres qui ne tiennent pas compte de ceux du mois d’août qui n’est pas fini.

    La préfecture du Pas-de-Calais se souciait d’ « une solution pérenne pour chaque migrant« , elle avertit que  « L’installation durable sur le campement de la Lande de Calais qui devra, à terme, être démantelé, ne peut en aucun cas être considérée comme un projet de vie acceptable« . D’autant moins acceptable pour les habitants du cru!

    Des immigrés dispatchés sur tout le territoire, mais toujours plus nombreux

    En 2015 le gouvernement s’était engagé à ramener à 2000 le nombre total des « réfugiés » dans le camp. Dans ce but la superficie du camp a été réduite de moitié, alors que plus de 5000 demandeurs d’asile de la Jungle ont été répartis dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) dispercés un peu partout en France. Ce qui met plus encore en lumière l’afflux permanent de nouveaux immigrés à Calais, qui à leur tour sont mis à la charge des communes françaises, au lieu d’être redirigés à la frontière par laquelle ils sont rentrés ou bien renvoyés dans leur pays. Des frontières qui sont donc amplement perméables.

    La préfecture du Pas-de-Calais rapproche cet afflux de celui de 2015. Au printemps dernier la population était tombée à 3.500 dans le camp. Une clôture d’une hauteur de 4 m le long de la route qui longe le camp de la Jungle a été élevée dans le but de garantir le libre passage des camions à destination de l’Angleterre. Pourtant les poids lourds continuent d’être pris d’assaut sur la rocade portuaire…  Ces dispositifs ne découragent donc pas les nouveaux arrivants, qui peuvent espérer fonder un commerce sans taxes et loin du regard du fisc dans la Jungle où ils peuvent faire leurs petites et grandes affaires, puisque l’État a été débouté de sa demande récente d’éradiquer tous les commerces « illégaux«  de cette zone par le tribunal administratif de Lille, -saisi en référé par des associations-, qui a estimé qu’il n’y avait pas urgence et qui a contesté l’opportunité de mesures aussi radicales. Les commerces « illégaux » sont ainsi légalisés par la tribunal de Lille! Sauf qu’il faut être clandestin pour avoir droit à ce privilège!
    .
    Les commerçants légaux qui reversent parfois plus que la moitié de leur chiffre d’affaires aux organismes de l’État, apprécieront…  Voilà des immigrés clandestins qui bénéficient de privilèges exorbitants sur le sol français où ils échappent à la loi et où la « Justice » leur accorde le droit de contourner la loi!
     
    La Préfecture a beau mentionner que  « Le Conseil d’État sera saisi à bref délai en cassation » de ce jugement, les magistrats qui ont rendu un tel jugement s’en moquent puisqu’ils ne sont pas responsables devant la loi de leurs décisions…
     
    La Jungle de Calais est également le lieu des enfants demandeurs d’asile non accompagnés qui ont fait l’objet d’un rapport du Refugee Youth Service qui s’inquiète de leurs conditions de vie. Or ces enfants, plus ou moins grands,  jouent aussi de leur manque de papiers d’identité pour accomplir n’importe quel délit que leur prétendue jeunesse met à l’abri des sanctions.
     
    Une présence policière massive -dont le reste de la France est dépourvu pour prévenir les attentats islamiques-, n’empêche pas les délits de toutes sortes, ni les combats ethniques puisqu’une rixe a même été mortelle cette été. Et l’été n’est pas achevé…
    .
    emiliedefresne@medias-presse.info
  • Le bikini serait donc une valeur républicaine

    143681258.jpgLa chronique

    de Philippe Randa 

    Eurolobertés cliquez ici
    L’islamophobie rend fou nombre de nos concitoyens, mais avec l’apparition, cet été, du burkini sur les plages françaises, nous aurons également appris qu’il peut rendre également – surtout ? – ridicule.

    Manuel Valls, Premier ministre en exercice, a ainsi clamé haut et fort – menton haut perché et mâchoires plus crispées encore qu’à son habitude – que le port du burkini ne serait « pas compatible avec les valeurs de la France et de la République ».

    Voilà au moins un mystère citoyen résolu ! Depuis le temps que certains autoproclamés républicains brandissent ces fameuses valeurs républicaines comme épouvantail anti-mouvements populistes, on attendait jusqu’à présent en vain que quelqu’un nous en précise tout de même la teneur…

    Le maillot de bain serait donc l’un des emblèmes républicains, fort bien ! Et plus il serait réduit, plus il renforcerait les valeurs républicaines, CQFD… Le maillot une pièce serait-il à peine tolérable – remplissant tout juste les conditions minimums de républicanisme – et le deux-pièces déjà plus acceptable, tandis que le monokini serait le modèle républicain quasi-idéal ?

    À titre personnel, je ne me savais pas si expressément républicain dans mes aspirations de visions estivales… Comme quoi je serais moins « mauvais citoyen » que certains pourraient le penser, la preuve !

    Mais dans ce cas, les naturistes ne seraient-ils pas de fait les plus grands défenseurs des valeurs républicaines ? Sans doute… Il fallait oser ! Mais Vals et Cie, ça ose tout et c’est même à ça qu’ils ont nous ont habitués à les reconnaître depuis le début du quinquennat actuel.

    Enfin ! Trêve de sarcasmes, si mal venus en une époque de sanglants attentats : le burkini des musulmanes – le sont-elles toutes, d’ailleurs ? – ne serait rien d’autre qu’une provocation islamiste, une de plus !

    Et nombreux sont ceux qui veulent l’interdire, à commencer par certains maires, soutenus expressément par Matignon : « Les plages, comme tout espace public, doivent être préservées des revendications religieuses. Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme… », a encore martelé Manuel Valls.

    La France était déjà connue pour l’extrême sévérité de sa police de la pensée, voilà donc une police du vêtement officiellement proclamée… et quasi instaurée, bien que notre sévère Premier ministre prenne soin, tout de même, d’indiquer qu’il ne croit pas « qu’il faille légiférer en la matière : la réglementation générale des prescriptions vestimentaires ne peut être une solution […] Avant de penser à légiférer, nous ferons appliquer la loi interdisant le port du voile intégral dans l’espace public – nous le rappellerons, avec le ministre de l’Intérieur, aux préfets et aux forces de sécurité. »

    Quel rapport ? Que l’on sache, le burkini ne cache en rien le visage de la femme, seulement son corps, contrairement au voile intégral !

    Il est à ce titre surprenant – pas tant que ça, en fait ! – que les chiennes de garde du féminisme qui s’époumonent à dénoncer les publicités dénudant les femmes soient tout aussi virulentes à exiger que celles-ci s’exhibent en très petite tenue sur les plages…

    Que ceux qui dénoncent le burkini en tant que provocation religieuse dans l’espace public réfléchissent aussi à la conséquence de son éventuelle interdiction : suivront alors, logiquement, celle des cornettes des religieuses, le scapulaire des bénédictines et carmélites ou encore les chapeaux et papillotes des religieux juifs pour ne citer que ceux-là…

    PS : On lira avec intérêt deux autres chroniques, défendant l’une et l’autre des points de vue complémentaires :

    Yann Vallerie sur Breizh info cliquez ici

    Les observateurs.ch cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Dire la vérité sur Midi Libre, ce n'est pas attaquer la presse, c'est vouloir la libérer du pouvoir de l'argent et du pouvoir politique

    Communiqué de la ville de Béziers:

    "Journalistes de Midi Libre : encore un peu de courage !

    Dans un article intitulé « Ménard calomnie la rédaction de Midi Libre », paru le 19 août, la rédaction du quotidien parle, à propos de la campagne d’affichage réalisée par la ville, d’un « caprice » du maire de Béziers. Reprenons donc point par point les explications déjà données à la presse mais quasiment jamais reprises par elle.

    Le premier objectif de cet affichage était d’informer les lecteurs de Midi Libre de la situation très particulière de ce journal. En effet, il n’est pas sans intérêt de savoir que Midi Libre appartient à Jean-Michel Baylet, le ministre de l'Aménagement du Territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, et que celui-ci en a confié la direction à son ex-épouse, aujourd’hui compagne de Laurent Fabius, encore ministre des Affaires étrangères il y a peu

    Si cela se passait au-dessous du tropique du Cancer – un baron politique local propriétaire de l’unique quotidien tout en étant ministre à la capitale – on parlerait de république bananière. Ici, la rédaction de Midi Libre semble trouver cela normal ! On a connu des journalistes plus sourcilleux de leur indépendance…

    Second objectif de cette campagne d’affichage : dénoncer l’attitude de Midi Libre qui ne se soucie pas d’informer ses lecteurs de ce qui se passe à Béziers mais préfère mener un combat de tous les jours contre la municipalité. Les exemples sont légion. Citons-en quelques-uns parmi les plus récents.

    Aux lendemains de l’attentat de Nice, la ville organise un rassemblement devant l’Hôtel de Ville. Dans l’édition de Midi Libre qui rend compte de cette manifestation, pas un mot du discours du maire ou même de sa présence ! Mais, en revanche, colonnes ouvertes aux autres responsables politiques du Biterrois… Drôle de conception du pluralisme.

    Au mois de juin, la Ville perd un procès contre l’ABCR, une association qui domicilie des clandestins. Midi Libre en fait sa Une. Le mois suivant, la Ville gagne le deuxième procès contre l’ABCR. Rien dans les colonnes du journal. Pas une ligne, pas un mot !

    La messe aux arènes, en début de féria, regroupe 4.000 personnes dans une ambiance lourde des menaces qui pèsent sur la France. Encore une fois, pas le moindre compte-rendu dans Midi Libre. Tout cela au nom de la « hiérarchisation de l’information » selon les journalistes du quotidien. Qui peut les croire ?

    Toujours selon ces mêmes journalistes, cette campagne d’affichage qui dénonce une « info en laisse » renverrait « à un passé funeste de notre histoire ». Mettre en cause le traitement que ce journal réserve à Béziers relèverait donc, selon eux, d’une pratique digne de l’occupation nazie. Un parallèle que ces journalistes devraient éviter de faire quand on sait que Midi Libre appartient au groupe La Dépêche du Midi qui a compté parmi ses administrateurs, dans les années soixante et pendant plus de dix ans, un certain… René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy, organisateur de la rafle du Vel' d’Hiv'.

    Dernier point. Cette campagne d’affiches - 51 au total - a coûté la somme faramineuse de… 190,94€ TTC. Pour mémoire, le groupe La Dépêche du Midi, propriétaire de Midi Libre, a bénéficié, en 2011, de 1.820.838€ d’aides de l’État ! À noter que Jean-Michel Baylet, son propriétaire, n’a jamais trouvé problématique de voter ces subventions de sa main de parlementaire - il fut sénateur et député - et de les empocher de l’autre main comme patron de presse… Drôle de mélange des genres.

    Face à cette situation, il est hors de question de se taire. Bien des élus qui font les frais de cette situation de monopole de Midi Libre n’osent rien dire de peur des représailles. Bien des journalistes de ce quotidien voudrait bien dénoncer ce mariage malsain entre la politique, les affaires et la presse mais craignent de se retrouver à la rue. Certains aimeraient travailler dans un journal libre. Mais parler, c'est la porte assurée pour eux.

    Dire la vérité sur Midi Libre, ce n'est pas attaquer la presse, c'est vouloir la libérer du pouvoir de l'argent et du pouvoir politique. Dire la vérité sur Midi Libre, ce n’est pas mettre en cause la liberté de la presse, c’est, au contraire, se battre pour le pluralisme et l’indépendance des médias. Il faut en finir avec les aides publiques à la presse. C’est à cette condition que nous aurons une presse réellement libre, qui ne soit pas une presse aux ordres ou de caution.

    Les journalistes de Midi Libre le savent. Il leur manque juste le courage de le dire. Dommage."

    Michel Janva

  • Un nouveau scandale à Bruxelles : le rapport In’t Veld

    Le Parlement européen prépare un texte qui permettra d’évaluer le niveau de démocratie des États-membres.

    J’imagine que peu de personnes ont entendu parler du Rapport 2015/2254 (INL) qui sera voté en octobre. Pour tous les lecteurs qui ne sont pas hauts fonctionnaires à la Commission, on peut dire, plus simplement, le rapport In’t Veld. Une députée européenne totalement inconnue, Sophia in ‘t Veld, de l’ALDE (Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe), a rédigé un texte sur « la création d’un mécanisme de l’Union pour la démocratie, l’état de droit et les droits fondamentaux et un tableau de bord européen de la démocratie, de l’état de droit et des droits fondamentaux ». Vous n’avez pas compris de quoi il s’agit : c’est bon signe, vous n’êtes pas des robots européistes !

    Pour ramener le propos à la portée des pauvres citoyens lambda que nous sommes, expliquons-nous. Le Parlement européen prépare un texte qui permettra d’évaluer le niveau de démocratie des États membres. Un groupe d’« experts indépendants » sera chargé de mettre en place cette grille d’évaluation. Bien évidement, les critères de notation ne laissent pas de place au doute concernant les intentions du rapporteur. Ainsi, un bon État démocratique devra faire respecter les « droits » LGBT, promouvoir l’avortement et accueillir le plus de migrants possible, par exemple.

    Lire la suite

  • En attendant la sortie du livre "POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES" prévue le 2 octobre*, le nouveau numéro du "Crapouillot" traite le sujet

     

    876460177.jpg

    Le Crapouillot, magazine non conformiste,

    est en vente dans les kiosques au prix de 7.50 €

    * POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES (Alban d'Arguin, Les Bouquins de Synthèse nationale, 200 pages, 20 €) sortira à l'occasion de la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre prochain.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sisco : la famille maghrébine a voulu s’approprier la plage et la privatiser

    Le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessone, a confirmé que l’origine des incidents entre « une famille maghrébine » et des habitants du village de Sisco dans le Cap Corse samedi, incombe « à l’évidence » à « des membres de la famille ». Les premières versions de l'histoire qui décrivaient une opposition autour d'une femme en "burkini" photographiée par des touristes n'est absolument pas prise au sérieux par l'enquête.

    « A l’évidence, à l’origine des incidents se trouvent des membres de la famille maghrébine ». « Ils ont voulu, dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». « Ils ont multiplié (…) des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ».

    La famille d’origine maghrébine avait installé un panneau «interdiction de circuler» au dessus de la crique. Ces gens se croient chez eux. Ils font pareil dans les cités de l'immigration. Sauf qu'à Sisco, les Corses ne se laissent pas faire.

    Michel Janva