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  • Hollande aux commémorations du 19 mars 1962 : un autre affront

    Le 19 mars, François Hollande se rendra devant le mémorial national de la guerre d’Algérie. Il prononcera un discours. C’est une première.

     

    Le 19 mars prochain, François Hollande se rendra devant le Mémorial national de la guerre d’Algérie, situé au quai Branly. Il prononcera à cette occasion un discours. C’est une première. Aucun Président ne s’était abaissé à célébrer la date du 19 mars avant François Hollande, par égard pour les rapatriés d’Algérie et les appelés du contingent morts au combat. Les commémorations du 19 mars 1962 ont été inscrites dans la loi par une proposition socialiste adoptée le 8 novembre 2012. Le jour du cessez-le-feu en Algérie est officiellement devenu la « journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie ». Concession aux Français d’origine algérienne faisant fi de l’Histoire, ces commémorations sont particulièrement indécentes.

    Je suis petit-fils d’un mort au combat en Algérie en 1959. Jamais les appelés n’ont été honorés à la hauteur de leur sacrifice pour la France. Les appelés ont été accueillis sous les quolibets d’une grande partie de la gauche d’alors, les ancêtres politiques de Christiane Taubira. Aspirant officier de l’École militaire d’infanterie du Cherchell, promotion « Sous-Lieutenant Yves Allaire », mon grand-père n’avait que 27 ans lorsqu’il s’en est allé. Malheureusement, les anciens combattants sont principalement représentés par la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA), qui a honteusement préempté le souvenir de cette guerre. Son président, Guy Darmanin, célèbre le 19 mars 1962 avec « joie », alors que cette date est une tâche indélébile dans notre histoire. [....]

    Gabriel Robin

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Hollande-aux-commemorations-du-19

  • Immigration : l’Europe est à elle-même son pire danger

    Extrait d'une tribune de Thibaud Collin dans l'Homme Nouveau sur la crise migratoire :

    6a00d83451619c69e201b8d1aeb265970c-200wi.jpg"[...] le phénomène actuel est effectivement révélateur de la crise de la civilisation européenne atteinte d’angélisme nihiliste. Car peut-on penser qu’il est anodin que des millions de musulmans arrivent en Europe alors même que l’Europe refuse de se dire à elle-même son identité ? Nous voyons ces derniers jours que l’Union européenne se fracasse sur ce sujet car certains pays, eux conscients de leur identité, refusent la solution procédurale et purement économiste que l’Europe de Bruxelles voudrait leur imposer. Comme le dit magnifiquement Rémi Brague dans Europe, la voie romaine il est urgent que l’Europe assume sa romanité, terme par lequel est désignée la manière dont l’Europe se reçoit de sources qui lui sont antérieures et supérieures, symbolisées par les noms d’Athènes et de Jérusalem. Ce n’est qu’en se plongeant dans sa matrice chrétienne que l’Europe pourra relever le défi de ces grandes migrations afin de transmettre à ceux qu’elle aura choisi d’accueillir la vérité sur l’homme qu’elle a elle-même reçue. « Ce qui serait grave ce serait que l’Europe considère l’universel dont elle est porteuse comme une particularité locale ne valant que pour elle, et qui n’a pas à s’étendre à d’autres cultures. » Dans cette affaire, l’Europe est à elle-même son pire danger."

    Michel Janva

  • La Chancelière fait la loi

    Angela Merkel ne laisse d'étonner la classe politique européenne dans sa gestion germano-allemande de la crise migratoire du Proche et Moyen Orient. Ledeal conclu avec le Premier ministre turc Davutoglu a été mis au point la veille du sommet européen lors d'un dîner de travail à l'ambassade de Turquie à Bruxelles auquel participaient le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, au titre de la présidence semestrielle du Conseil de l'Union, la chancelière allemande et c'est tout ! Ni Donald Tusk, président du Conseil européen, ni Jean-Claude Juncker, président de la Commission, ni Federica Mogherini, chargée des affaires extérieures de l'Union, n'étaient convoqués. Le paquet est arrivé tout ficelé sur le tapis vert de la conférence le lendemain 7 mars. A prendre ou à prendre ! Son contenu n'est pas le sujet du jour (1 asile accordé en Europe pour chaque migrant expulsé en Turquie, 6 milliards d'euros de concours européens à Ankara en plusieurs tranches) mais le diktat prussien, si !
    Coup d'Etat, coup fumant ? Un coup pour sûr ! Le deal est dans la droite ligne du pacte d'Ankara négocié un mois avant sur place et personnellement par la chancelière avec le Sultan Erdogan. Sans voiles vaporeux qui masqueraient la diplomatie de Berlin, l'Allemagne a pris la crise migratoire à bras le corps, laissant glapir autour d'elle qui veut glapir. Elle n'en a cure, elle l'a dit, elle n'a pas de plan B ou C, elle gouverne ! Sans attendre l'exégèse des droits de l'homme et du réfugié, les je-veux-tu-veux-pas de son partenaire historique (c'est nous), la peur panique de ses clients orientaux devant les hordes basanées, elle renforce le pan low-cost de son économie, dut-il en cuire d'ailleurs aux Tchèques rétifs qui hébergent encore de l'industrie teutonne.

    (Aparté : la France est complètement gommée de l'épure. Est-ce une réplique aux déclarations avantageuses de notre Premier ministre qui, menton haut, débinait la politique immigrationniste à Munich ? Peut-être bien, quoique M. Valls compte pour du beurre à la Chancellerie, ce qui reste de l'attelage franco-allemand étant géré à l'Elysée, ils le savent.)
    On feint d'oublier que la relation germano-turque est ancienne et plus solide qu'on ne veut l'accepter ici. C'est le 24 mai 1902 que le Grand Vizir ottoman, Mehmed Said Pascha, reçut l'ordre du Mérite de la Couronne de Prusse. Cette décoration consacrait les efforts de Guillaume II à attirer dans son camp l'Empire ottoman promis au dépeçage par les hyènes anglo-françaises. Ce sera le Bagdadbahn Berlin-Byzance-Bagdad, l'alliance militaire qui sera actionnée lors de la guerre pour les détroits dans la Bataille des Dardannelles (1915), une coopération intense etc... jusqu'à aujourd'hui. Plus de cinq mille entreprises allemandes prospèrent en Turquie et la République fédérale "détient" quatre millions de citoyens turcs sur son sol. De quoi discuter concrètement !


    Pourquoi dès lors engager des négociations visqueuses avec vingt-sept partenaires de l'Union puisque le programme allemand est déjà affiché : on prend tout ce qu'il y a de bon dans les colonnes de réfugiés et migrants, on expulse les indésirables quand on a un motif même mince¹, mais il fallait pour cela disposer d'une poubelle : la Turquie veut bien gagner quelques sous. On décourage les autres, les pas qualifiés mais en règle, en les poussant chez les voisins qui ont des systèmes sociaux en capilotade et n'y verront que du feu. Le Pacte deVarsovie Visegrad ayant bloqué ses frontières, on déversera les migrants à recycler sur les plaines du Bénélux et de France ! Le Danemark qui a vu venir le coup a bouclé ses accès, comme ses voisins scandinaves. L'Autriche est du même avis comme sa colonie slovène. De fait l'Allemagne va inonder la rive gauche du Rhin !
    Que conclure ?
    Que l'Allemagne est gérée.
    On peut critiquer la Chancelière de Prusse sur la pertinence de ses décisions solitaires (elle consulte peu en fait au sein de son cabinet) mais nous, Français, ne pouvons qu'être étonnés de voir un chef de gouvernement gouverner. Ici, tout est com, tables rondes ou carrées, bavardages, procès d'intention, hystérie pour des choses minuscules, voyages de la Cour au soleil, célébration des pizzaioli au Palais Bourbon (mdr).
    Entre-temps notre cousin germain a terminé l'exercice 2015 sur "une croissance à 1,7%, un chômage au plus bas depuis 24 ans à moins de 5%, une dette publique en chute libre à 71,4% du PIB, un excédent budgétaire de 0,9% du PIB, un excédent commercial record de 248 milliards d'euros, et un record d'exportations à 1196 milliards d'euros" (source Marc Fiorentino).
    Alors dites-vous bien qu'en dépit des sourires et des politesses diplomatiques, la Chancellerie du Reich nous conchie !
    Et il ne nous reste qu'à la boucler, hélas. Serons-nous critiques qu'au prochain conseil européen ils étaleront à plaisir notre gouvernance gélatineuse, notre incurable gabegie, notre impuissance à la tarir, le risque que nous représentons pour l'Europe sérieuse !
    Trois quart de siècle plus tard, nous sommes toujours des Französisch Schweinen ! Rien compris, rien appris !
    (1) D'après l'ambassadeur d'Allemagne à Paris ce matin sur Europe 1, le taux de rebut est actuellement de 50%.
  • Immigration : 3 militants de Génération Identitaire condamnés à de la prison ferme

    6a00d83451619c69e201b8d1aeb2a3970c.pngSamedi dernier, 80 militants de Génération identitaire bloquaient des ponts à Calais. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, ils se sont allongés sur les ponts en attendant d'être délogés. Ce qui a été fait, mais la police de Bernard Cazeneuve a voulu réprimer ces militants. Génération Identitaire dénonce le 2 poids 2 mesures du régime socialiste : "Suite à l’action de Calais où Génération Identitaire a occupé trois ponts afin d’en bloquer l’accès aux immigrés clandestins,trois de nos militants ont été condamnés à trois mois de prison ferme et à des amendes pour « faits de rébellion ». Heureusement, le juge n’a ordonné aucun mandat de dépôt, les militants identitaires dormiront donc auprès des leurs ce soir.

    Cette action symbolique a duré deux heures, avant que les forces de l’ordre ne délogent violemment nos militants. Au sol et non-violents, ces derniers ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos que nous avons publiées. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat.

    La sévérité de la justice socialiste contraste fortement avec sa clémence pour les casseurs d’extrême-gauche et les immigrés clandestins qui font tant souffrir Calais depuis des années."

    Michel Janva

  • La Grande Trahison

     Les « élites » ne sont pas au service du peuple : elles servent avec cynisme le mondialisme qui détruit les peuples. Ce ne fut pas toujours le cas : voici une petite histoire d’une grande trahison.

    Jusqu’en 1789, les élites françaises s’organisent principalement autour d’une aristocratie héréditaire qui se veut la fine fleur du peuple de France. Ces élites conçoivent le peuple comme un ordre vital et hiérarchique dont elles occupent le sommet : autrement dit, elles ne se pensent pas extérieures au peuple. Le pouvoir qu’elles exercent repose sur la Tradition.

    Ce pouvoir a donc une assise sacrée liée à une histoire, une culture et une religion spécifiques. Toutes proportions gardées, ce pouvoir est ethnologiquement de même nature que celui des chefferies africaines ou amérindiennes : c’est un « pouvoir traditionnel » organique indissociable du « peuple ».

    A partir de 1789, ces élites traditionnelles vont être décimées. La violence et le meurtre vont imposer  artificiellement de nouvelles élites. Le réfractaire ne peut comprendre ce qu’il se passe aujourd’hui, le Grand remplacement par exemple, s’il n’a pas compris que ces élites nouvelles sont d’une toute autre nature. Alors que les anciennes élites se voulaient liées par l’histoire, la culture, la religion, les coutumes… à un peuple particulier et comparable à nul autre, les nouvelles élites ne jureront que par « l’Homme ». Alors que les anciennes élites se justifiaient par une Tradition enracinée, les nouvelles s’imposeront par le « Droit universel ». En 1789, pour la première fois dans notre histoire, une « aristocratie » justifiée par une idéologie s’empare du pouvoir politique par un coup d’Etat. Cette aristocratie ne raisonne plus selon les normes traditionnelles du système Westphalien ou en fonction des seuls intérêts nationaux mais selon les critères d’une idéologie à prétention universelle : une idéologie mondialiste. Pour cette aristocratie républicaine mondialiste, la France est un moyen, un laboratoire, une étape nécessaire qui doit mener à un monde organisé selon le système républicain. Dans ce contexte, le recours à une « patrie » assimilée à la République,  apparaît comme une technique de manipulation qui entraînera le pauvre peuple de France dans des conquêtes sans utilité autre qu’idéologique : abattre des « tyrans » pour installer des « républiques sœurs ».

    Cette nouvelle aristocratie républicaine se veut « française », mais cela est strictement juridique. Elle appartient au genre humain et prétend représenter l’humanité globale. Elle ne s’adresse pas à des « Français », mais à l’Homme en général. Elle se veut universelle par ses principes, ses aspirations, ses lois, son droit, son esprit. Elle transcende la francité : tous les hommes, sans distinctions, peuvent et doivent reconnaître la prééminence de ses valeurs. Autrement dit, pour la première fois dans notre histoire, les élites font sécession du peuple pour rejoindre l’Universel. Pour la première fois dans notre histoire, notre peuple est dissocié de ses élites et trahi par celles-ci.

    Entre 1799 et 1875 auront lieu plusieurs tentatives pour installer ou restaurer des élites nationales (nouvelle noblesse militaire de Napoléon Ier, Contre-révolution, Ordre moral mais aussi, un peu plus tard, syndicalisme révolutionnaire).

    A partir de 1875, les mondialistes républicains reprennent définitivement le pouvoir. Leur stratégie politique va s’exercer dans deux directions complémentaires.

    D’une part identifier la République à la France et la France à la République de manière à manipuler le sentiment d’appartenance et le patriotisme (enseignement scolaire d’un « roman national » dont la République est l’aboutissement lumineux, le 14 juillet devient « fête nationale » (1880), le drapeau tricolore s’impose comme le « drapeau français », Marianne symbolise la France (1877), la Marseillaise devient le chant national français (1879), la République se dit « française », la devise républicaine devient celle de la France (1880)…).

    D’autre part reprendre la stratégie de conquête territoriale afin de mondialiser le républicanisme. Le patriotisme dévoyé est alors utilisé pour coloniser des continents et les « civiliser » selon les principes républicains. Il est aussi le vecteur principal, par le culte de la revanche et d’une germanophobie militante, d’une guerre pour le « droit » et la « liberté » (commencée en 1914 et terminée en 1945) qui va définitivement éliminer les aristocraties traditionnelles européennes.

    A partir de 1945, deux faits historiques bouleversent les rapports de force. D’une part le mondialisme l’a définitivement emporté dans le monde occidental : la conquête idéologique commencée avec les guerres de la  Révolution se termine avec la guerre mondiale. D’autre part, la bombe atomique et la dissuasion nucléaire rendent inutile le « peuple en arme ».  Autrement dit, le discours patriotique des républicains, qui jurait avec le mondialisme affiché, n’a plus lieu d’être.

    Commencent alors à fleurir les propos antimilitaristes, l’objection de conscience, la redutio ad hitlerum du patriotisme, du drapeau, de l’armée, des CRS ou de la Police. La « France » doit rendre compte jusque dans la loi de son histoire, de ses colonies, de la traite négrière, de Vichy… Or, tous ces gens, sans exception, qui vomissent notre pays sont des républicains. Le contexte est désormais favorable à un mondialisme intégral et non pollué par un discours patriotique nauséabond. Ils ne s’en privent pas. On parle de la fin des Nations, on parle « Europe » ou union transatlantique. C’est l’époque du mondialisme triomphant, des sociétés ouvertes, de la fin de l’histoire, de la Trilatérale, du groupe de Bilderberg et du Siècle (cf. notre article). Les élites républicaines tombent les masques !

    Les élites tombent les masques, mais trop vite et trop tôt ! A peine le temps de souffler que déjà émerge Al-Qaïda et Daesh, que surviennent le 07 janvier 2015 et les attentats : retour de l’histoire, retour des identités, remise en cause radicale du mondialisme occidental. Fin de la dissuasion nucléaire aussi : que peut fait faire une bombe face à une foi ? Brutalement, notre apprenons que « nous sommes en guerre », nous basculons en 1914, si ce n’est en 1900 au temps de la laïcité militante. Et que voyons-nous ? Les élites mondialistes qui salissaient notre pays il y a peu, se mettent soudain  à parler de la France avec des trémolos dans la voix, réhabilitent le patriotisme, en appellent au peuple pour sauver la République, c’est-à-dire leur rêve de société mondiale.

    Ces « élites » qui se sont installées par la violence en 1789, qui nous gouvernent depuis les années 1880, ont fait sécession de notre peuple, l’ont trahi et n’ont cessé de le manipuler pour servir les intérêts mondialistes. Ne soyons pas dupes de ces discours patriotiques dépoussiérés dans l’urgence. Ne soyons pas dupes des identifications de la République à la France ou de la réduction de notre identité enracinée à de dérisoires « valeurs universelles ».  Trop des nôtres, déjà, sont morts pour le mondialisme en croyant mourir par la Patrie. Notre peuple a été victime d’une grande trahison. Il faudra que cela se paie.

    Antonin Campana, 1/03/2016

    Source : Perspectives Autochtones

    http://www.polemia.com/la-grande-trahison/

  • De l’utilisation politique des subventions

    Le ministère de la Culture envisage de suspendre sa subvention aux Chorégies d’Orange. En cause, le « coup de force » de la municipalité de Jacques Bompard (Ligue du Sud) sur le festival. Une décision en forme de vengeance politique.

    Le ministère de la Culture a confirmé qu’il souhaite faire respecter « les règles de gouvernance » des Chorégies d’Orange et pourrait suspendre la subvention qui représente 6 à 7 % du budget du festival lyrique. « La ministre Audrey Azoulay constate qu’il y a une situation qu’elle considère comme anormale et, en accord avec Christian Estrosi (le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur), elle en tirera les conséquences en tout début de semaine », a déclaré à l’AFP un porte-parole du ministère. Audrey Azoulay et Christian Estrosi « ont échangé samedi sur le sujet et sur la conduite à tenir dans cette affaire »

    En cause, le présumé « coup de force » de la municipalité sur la direction du festival. L’affaire remonte à janvier, lorsque le député Thierry Mariani avait annoncé sa démission de la présidence du festival. Selon les statuts de l’association, il revient à Marie-Thérèse Galmard, adjointe à la vie sociale à la mairie, d’assurer l’intérim de la présidence, avant que le conseil d’administration élise un nouveau président. Mais Marie-Thérèse entend rester à la présidence jusqu’à la fin du mandat de Thierry Mariani en 2018, selon le directeur général du festival, Raymond Duffaut, qui a annoncé vendredi sa démission pour dénoncer « ce coup de force ».

    « On a une position simple : l’équipe dirigeante des Chorégies a été élue à l’unanimité. Le président démissionne et le texte dit que quand le président est empêché, c’est la vice-présidente qui préside », a pour sa part déclaré dimanche le maire d’Orange, Jacques Bompard. « Il y a un accord [avec le ministère] valable encore deux ans, donc (en menaçant de suspendre les subventions), la ministre affirme qu’elle méprise la loi », a-t-il ajouté. « Par ailleurs, est-ce que la ministre va rembourser toutes les subventions de la ville aux Chorégies depuis 20 ans ? » s’est-il interrogé.

    Un bel exemple de chantage politique aux subventions et de l’alignement de Christian Estrosi sur les positions du PS à qui il doit sa victoire aux régionales.

    http://fr.novopress.info/

  • Ras-le-bol du « pluri-quelque-chose », par Marc NOÉ

    J’aime beaucoup les reportages diffusés par différentes chaînes de télévision sur tous les pays, leur population, leurs villes, leurs mœurs et Traditions. Dans ma vie, j’ai eu la chance de pouvoir visiter quelques contrées étrangères mais en découvrir d’autres, ne serait-ce que par le petit écran, est toujours un réel plaisir.

    Qu’il s’agisse de Bombay, d’Hanoï, de Caracas, de Douala, d’Alger, de Paris, de Lisbonne… ou de n’importe quel pays ou ville, l’intérêt et la curiosité sont toujours les mêmes.

    Les commentaires de ces reportages sont également souvent très instructifs et on sent bien que les auteurs de ces productions sont eux-mêmes passionnés par leur sujet. Les particularités locales, traditions ethniques et culturelles sont présentées de manière attrayante et laudative. Ce qui me convient au plus haut point car j’ai toujours attribué beaucoup d’importance et de valeur aux mœurs et Traditions de quel qu’endroit que ce soit car « tout cela » est création des gens du cru.
    Mais alors, pourquoi, s’agissant de villes occidentales doit-on immanquablement subir les phrases de commentaires obligés du type « Paris ou Marseille ville multiculturelle ». Il faut obligatoirement que, chez nous, il y ait toujours du « pluri-quelque-chose ». Nous sommes là en plein « politiquement correct ».
    N’importe quelle contrée ou ville du monde a droit à sa propre spécificité, à sa particularité et à juste titre. Mais, dès lors que, s’agissant d’une ville ou d’un pays occidental, il nous faut avaler la couleuvre du « multi-quelque-chose ». Comme si les occidentaux de souche étaient trop limités pour avoir leurs créations propres !

    Le dernier exemple remonte à quelques instants, sur « la Une » : un reportage très intéressant sur Lisbonne avec de belles images et des commentaires appropriés. Malheureusement, tout à coup, le reportage est gâché par un commentaire stupide présentant Lisbonne comme étant une ville pluriculturelle. Tout cela, au motif que le cameraman vient de filmer quelques Africains en train de jouer du tam-tam dans une rue de la capitale. La bêtise à l’état pur.

    La connerie n’a pas de limite. Notre patience, si !...

    http://www.francepresseinfos.com/2016/03/ras-le-bol-du-pluri-quelque-chose-par.html#more

  • Mardi 15 mars Journée de mobilisation contre la GPA

    La Manif pour Tous alerte sur l'urgence de se mobiliser contre la GPA :

    ALERTE : la Commission des Questions sociales du Conseil de l'Europe s'apprête à voter en faveur de la GPA !

    Participez aux actions près de chez vous :

    • à Paris, de 8h30 à 9h30, devant les bureaux du Conseil de l'Europe, 55 avenue Kléber, Paris 16e
    • à Strasbourg, de 8h à 9h, devant le Conseil de l'Europe
    • à Cognac, de 17h30 à 19h30, avenue d'Angoulême au rond-point entre l'hôpital de Cognac et le centre commercial Lidl
    • à Epinal, de 16h30 à 17h, place des Vosges, « opération caddies »
    • Opérations de collage et tractage à Clermont-Ferrand,Montpellier et dans de très nombreuses villes... (Contactez votre équipe locale)
    La GPA, une seule option : l'abolition !
    La GPA, c'est comme l'esclavage,
    on ne l'encadre pas, on l'interdit ! 

    Marie Bethanie

  • « Vous en boufferez ! »

    On veut nous faire avaler l’anglais – le globish - jusqu’à le substituer à nos langues européennes de culture, a fortiori aux autres. L’empire et ses « collabos européens de la pub et du fric » (Michel Serres) veulent l’imposer, par tous les moyens dont l’empire dispose encore. Le Figaro a pu intituler le 24 février 2016 un article : « La France fait tout son possible pour la suprématie de l’anglais ». Telles les oies, Européens et Gaulois sont gavés à la fois au hallal et au globish par subreptice, force, et loi. D’un côté : voile intégral, hallal et pouvoir d’Allah ; de l’autre poulet aux hormones, macdos, maïs aux OGM et pouvoir impérial par le globish : même combat, mêmes méthodes des prédateurs ; et mêmes inconscience et atonie suicidaire des cibles !

    Tout se passe, dans les deux cas, comme si une planification était à l’œuvre, avec des états-majors à la manœuvre. La méthode : l’accoutumance progressive, devenant tolérance, puis acceptation, approbation, délectation, soumission, enfin disparition.

    Le califat impérial états-unien (des EU) est la menace la plus immédiate. Mieux installée, elle rencontre le moins de défenses immunitaires. Le califat EU peut, lui, jouer à fond de la fraternité d’armes, de la prétendue communauté de civilisation, de la reconnaissance pour la Libération, et de ce qu’il appelle son « soft power », la « conquête des esprits ». Dès 1946, dans l’attribution du Plan Marshall, les EU ont imposé aux « libérés » des quotas minimaux de films de Hollywood sur leurs écrans ; ce fut 30%, en France, par les accords Blum-Byrnes. En somme, le Joueur de flûte (« Rattenfänger ») de Hameln qui entraîne notre jeunesse dans les flancs des Rocheuses. Gavage aux OGM, aux bons films comme aux séries B, au « globish ». Dans nos écoles, on renforce sans cesse l’anglais précoce au détriment des horaires d’histoire, du latin et du grec qu’on assassine, des autres langues vivantes que l’on évince, ainsi que, de plus en plus, du français que l’on dégrade. Dans les universités et grandes écoles, l’anglais devient de plus en plus langue d’enseignement, au mépris de la Constitution et de nos lois, dont la loi Fioraso elle-même (22 juillet 2013). Celle-ci interdisait au moins d’offrir des formations diplomantes exclusivement en anglais. Foin de cet amendement obtenu par nos amis parlementaires tant PS qu’UMP : des universités et grandes écoles pensant rester impunies en ont offert et les ont, par défi, annoncées comme telles uniquement dans cette langue. Nos associations ont donc déposé en 2014/15 des recours collectifs, d’abord gracieux, puis juridictionnels. Nous attendons les jugements avec un vif intérêt, mêlé d’une sourde crainte, tant le rouleau compresseur est puissant…On promeut l’anglais langue étrangère unique jusque dans le concours d’entrée à l’ENA : nos associations ont perdu le recours en Conseil d’État contre ce pur scandale. Anglais presque seul aussi au colloque tenu en mai 2015 sur les « jeunes pousses », appelées « start ups » (« oups ! »), à l’Hôtel de Ville de Paris, là même où l’on fête chaque année non le carême, mais le ramadan. Les publicitaires et les médias nous instillent langue et culture des États-Unis à haute dose, jusqu’au « 20heures » des principales chaînes, bien nommées. Les affiches de films étrangers sont en anglais ; les titres et marques de diverses manifestations, entreprises, rencontres, jeux vidéo, pourtant français, sont imposés en anglais. Cette langue est partout. Vaste entreprise de démolition de la France, de sa langue, de sa culture ; de soumission à tout ce qui peut contribuer à la tuer. Il faut éveiller les consciences. Comme le refus de « bouffer hallal », il faut le refus d’obésifier au « macdococa » et d’être gavé de ce qui va avec. Résistez ! Rejoignez notre Résistance.

    Albert Salon, ancien ambassadeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vous-en-boufferez