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lobby - Page 1397

  • Billet d'humeur de Bertrand Venteau : les Verts m'ont tué !

    Parfois, je fais l’inventaire des projets tués par l’obscurantisme de collectifs animés par une écologie intégriste dénuée de sens critique. Malheureusement, la liste est longue :

    • OEDA (collectif Oui à l'Etourdissement Dans les Abattoirs) qui a fait capoter le projet du nouvel abattoir de la Creuse. D’ailleurs, depuis il n'y en a plus dans ce département très spécialisé dans l’élevage,
    • OEDA, encore et toujours, qui utilise tous les moyens possibles de désinformation pour empêcher le projet d’engraissement collectif de 50 éleveurs du plateau de Millevaches qui ont eu toutes les autorisations des services de l’Etat,
    • ONG Allassac Environnement qui pratique une véritable croisade face aux arboriculteurs corréziens qui sont de véritables empoisonneurs aux yeux de cette association,
    • nos « amis » les zadistes et surtout leurs alliés qui sont venus à bout du projet de Sivens,
    • L214 par ses campagnes anti-viande et intrusions illégales chez des exploitants et entreprises agroalimentaires, a réussi avec le rapport de l’OMS sur la viande et le reportage fond de caniveau « l’animal est une personne », l’incroyable exploit de faire chuter la consommation de charcuterie sur 1 mois de 28 % et de 20 % pour la viande bovine alors que les animaux ne partent pas de nos fermes !

    Que dire des 6 millions d’euros alloués au Parc Naturel Régional Périgord Limousin pour sauver la moule perlière alors que sa population augmente, fait constaté depuis 10 ans de comptage ?Cette moule est un indicateur d’une qualité des eaux parfaite, malgré des travaux de drainage, de nombreuses retenues d’eau, de l’élevage hors sol, de l’élevage de ruminants et de cultures telles que les céréales à paille, le maïs grain et les fourrages ! 

    Alors moi, le paysan du Sud-Ouest, je fais comment pour exister si je ne peux plus avoir aucun projet ? 

    Car quand je monte un bâtiment d’élevage, j'ai une association qui m’attaque juridiquement parce que ça pue ou que je vais polluer, malgré toutes les autorisations légales ? 

    Car quand je veux irriguer, les productions végétales et animales ont aussi besoin d’eau pour être en bonne santé, règle physiologique de base, je ne pourrai plus parce que c’est écologiquement irresponsable, malgré toutes les autorisations légales une fois de plus ! 

    Car il me sera aussi bientôt impossible de pouvoir traiter mes vignes, mes arbres parce qu’ils ont attrapé une maladie nouvelle, un nouveau parasite arrivé par avion et bateau grâce à ce gros mot qu’est la mondialisation … mais surtout parce que je n’ai plus le droit ou que mes voisins sont venus me lyncher ? 

    Je suis fatigué de montrer patte blanche en permanence sur les contrôles PAC, face aux services de l’Etat, face aux services fiscaux et sociaux qui me ponctionnent à hauteur de 66 % de mon revenu …

    Je suis fatigué d’être le coupable idéal du dérèglement climatique et de toutes les pollutions !

    Je veux juste pouvoir travailler en prenant du plaisir pour en vivre dignement, faire de la culture du vivant sur ma propriété, de moins en moins privée suite à l’inquisition permanente de Bruxelles, Paris et des intégristes de l’écologie !

    Bertrand Venteau,

    Eleveur de bovins viande à St Yrieix la Perche,

  • Affaire Barbarin : « Chacun jette son fagot dans le bûcher médiatique », constate Zemmour

    Le cardinal Philippe Barbarin nie « avec force » avoir couvert « le moindre acte de pédophilie » dans son diocèse de Lyon. Manuel Valls l’a appelé à « prendre ses responsabilités », mardi 15 mars. « Il ne manquait plus que lui. Il ne pouvait pas rater ça », tacle Zemmour. « Il n’y a pas de fumée sans feu, et le feu prend bien », poursuit le polémiste. « Le bûcher médiatique a été dressé à la hâte, et chacun y jette son fagot ». Il cible ceux qui, « confondant perversion et frustration, incriminent le célibat des prêtres. Comme s’il n’y avait pas de pédophiles mariés, comme si les prêtres étaient les seuls coupables ».

    http://fr.novopress.info/

  • PMA : Hervé Mariton veut attaquer en justice les médecins qui violent la loi

    Enfin quelqu'un qui appelle la justice à faire son travail à l'encontre des 130 médecins qui ont violé la loi :

    Michel Janva

  • La pitrerie Antifa fait toujours recette auprès des media, beaucoup moins auprès des électeurs

    Dr Bernard Plouvier

    On le sait depuis des siècles : la propagande cible les masses, soit – en tout continent et dans toutes les races et leurs sous-variantes – les 75% de sous- et de moyennement doués, qui forment l’écrasante majorité des opinions publiques et des électorats.

    Il est réconfortant de constater qu’aux USA également, la comédie burlesque du « combat antifasciste » exerce ses charmes ravageurs. Du coup les Européens en paraissent (un peu) moins idiots dans leur acharnement à poursuivre cette vieille lune.

    Les méthodes sont inchangées depuis les années 1920. Des « pacifistes », des « antiracistes », des « antimilitaristes », bref des tas de gens autoproclamés « non-violents » usent de la force, de l’hystérie médiatique, du matraquage publicitaire, et volontiers d’arguments « démocratiquement frappants », pour interdire de parole des hommes politiques qu’ils sont incapables de contrer par le raisonnement.

    C’est toujours d’un gros rendement, auprès des faibles en esprit critique, que d’user et d’abuser du sentiment, de la noble indignation hypocrite, de la plus basse démagogie (étymologiquement : ce qui plait au peuple inculte et irréfléchi) pour s’attaquer à des orateurs trop efficaces dans le déroulement logique de leur argumentation. Cela vaut en Europe occidentale pour la diabolisation des mouvements populistes. La pré-campagne des présidentielles aux USA nous apprend que cette pratique y (re)devient à la mode.

    En l’occurrence, Donald Trump vole de succès en écrasement de ses adversaires (remportant jusqu’à présent 70% des primaires), parce qu’il refuse le discours gnan-gnan, à la sauce de feu Walt ‘’Disney’’-Elias, de la politicaille US et qu’il propose des solutions dictées par la froide raison et le pur bon sens, en matière d’immigration, de coût en dépenses de santé, de réduction du déficit de l’État central, de politique fiscale, de régulation du commerce international, de relations politiques cordiales avec la Russie et de lutte impitoyable contre toutes les formes de terrorisme. Contrairement à ce qu’assène la « presse internationale », Trump est l’unique candidat présentant un programme cohérent, antidémagogique, fort peu favorable aux maîtres de la globalo-mondialisation.

    Cela ne fait absolument pas les affaires d’un candidat démocrate, lamentablement dominé par l’épouse la plus trompée des USA, lady Clinton, et qu’il ne parvient même pas à capter l’attention et les subsides de sa très riche communauté judéo-US… à dire vrai, qui veut encore d’un « socialiste » aux USA, où ce terme n’a jamais signifié que : « marxiste qui n’ose pas avouer son obédience » ? On comprend que cet authentique démagogue ait besoin de coups de publicité pour ne pas sombrer.

    D’un autre côté, quelques Noires, partisanes d’une immigration noire massive aux USA, ont profité d’affrontements violents entre des voyous noirs et des policiers blancs pour lancer un mouvement « pacifiste », intitulé Black Lives Matter (les vies de Noirs sont d’une grande importance)… ce qui, pour des militants noirs, n’est qu’une lapalissade.

    Or, les nervis du « socialiste » Bernie Sanders et les « pacifistes » à gros bras du mouvement BLM ont organisé des émotions populaires à Chicago pour protester contre un meeting électoral prévu par le candidat populiste républicain. Pour éviter toute effusion de sang, Trump a fort justement annulé ce meeting, le vendredi 11 mars 2016… ce qui a entraîné la fureur des « pacifistes » qui s’en sont pris à la police et aux partisans de Trump (des gens coupables d’arborer une cocarde ou un insigne, comme cela se fait couramment aux USA). La presse internationale, qui ne rate jamais une ânerie quand il s’agit de défendre de très gros intérêts, dénonce la haine de… Trump !

    De même, le spéculateur juif le plus connu de la planète, le sieur György Schwartz, plus connu sous le nom de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme), vomit Trump, coupable d’excès de popularité, alors que Soros accumule vainement les œuvres dites philanthropiques pour faire oublier ses spéculations sur les monnaies et les matières premières qui font de lui un être méprisé par tous les honnêtes travailleurs de la planète. Condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière, Soros est partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance… on se venge comme l’on peut !

    Le locataire, sur le départ, de la Maison Blanche, qui hait tous les candidats et qui estime que « tout va bien aux USA », joue les bons apôtres en prêchant le retour au calme, sans condamner le moins du monde les vrais responsables ; bien au contraire, c’est Trump qu’il conspue ! C’est comme cela que l’on se prépare une confortable retraite : des conférences dans les riches Universités US, payées 20 000 $ de l’heure.

    La comédie Antifa reste immuable dans ses procédés, prouvant à la fraction la moins sotte de l’humanité que la bête immonde marxiste et trotskiste n’est pas morte et que le racisme anti-Blancs est devenu une valeur sûre, un peu partout dans notre monde frelaté, saturé de bêtise, d’hypocrisie et de pseudo-humanisme de pacotille. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/16/la-pitrerie-antifa-fait-toujours-recette-aupres-des-media-be-5775268.html

  • Mariage LGBT et polygamie : il n'y a pas de dérapage

    Selon Thibaud Collin,, qui prend la défense de Marion Maréchal Le Pen, en montrant les conséquences de la loi Taubira :

    "[...] Non seulement le propos de Marion Maréchal-Le Pen n’est pas un dérapage mais il exprime fort bien la logique sous-jacente aux législations redéfinissant le mariage civil. Que cette logique ne soit pas perçue ou qu’elle soit l’objet d’un déni ne change rien à son existence.

    En effet, quelle était, avant la loi Taubira, la référence dont on déduisait les conditions objectives du mariage civil: différence des sexes, interdit de l’inceste, monogamie, âge des conjoints ? La transmission de la vie humaine ; celle-ci ne pouvant être assurée que par l’union d’un homme et d’une femme, ce qui fait… deux personnes et non pas trois ou quatre! Or puisque la revendication homosexuelle veut à tout prix maintenir le lien entre mariage et filiation (« sociale »), il faut trouver un substitut à cette référence. Par quoi la remplacer ? Les volontés contractuelles d’individus, quelle que soit leur orientation sexuelle.

    Triomphe de la volonté

    Mais si la seule volonté suffit à légitimer l’articulation entre mariage et filiation, au nom de quoi continuer à rendre obligatoires les autres conditions, elles aussi déduites de l’étayage sur la procréation naturelle ? Pourquoi, par exemple, conserver la monogamie ? Pourquoi ne pas enfin reconnaître que jusqu’à maintenant seuls les monogames ont pu se marier et qu’ainsi les polygames ont été injustement discriminés puisqu’ils n’ont pu se marier qu’en niant leur désir polygame ? A cette question, que j’ai posée lors de mon audition à la Commission des lois de l’Assemblée nationale (13 décembre 2012), il m’a été répondu, en la personne du député EELV Sergio Coronado, que le peuple français n’était pas (encore) prêt à accepter cette grande réforme sociétale. Il est donc évident que la loi Taubira reste « polyphobe » et qu’aucun argument sérieux ne peut être opposé à la revendication de l’ouverture du mariage civil aux individus voulant contracter un mariage à n partenaires. S’ils s’aiment et qu’ils veulent vivre ensemble, s’ils désirent assumer un projet parental à trois, quatre ou cinq, au nom de quoi les clercs officiant dans leur chaire médiatique pourraient-ils leur interdire le bonheur ?

    Polyamour et polygamie

    On pourrait m’accuser de chipotage ou d’aveuglement, car enfin comment mettre sur un pied d’égalité le « polyamour » d’habitants de Belleville ou de Montreuil vivant en « trouple » et le huis-clos sordide de femmes musulmanes contraintes de vivre avec leur potentat de mari? Outre son caractère « nauséabond », une telle différenciation des situations oublie que la revendication des droits de l’individu = x fait, par définition, abstraction des contenus de vie concrets.

    Il y a donc bien une alliance objective entre les libertaires réclamant à la suite de Jacques Derrida un mariage à n partenaires et les partisans traditionnels de la polygamie. Les cris d’orfraie poussés en réaction aux propos de Marion Maréchal Le-Pen manifestent l’inconséquence des progressistes béats qui pensent que la volonté peut, à elle seule, déterminer une limite infranchissable. L’arbitraire de la volonté est potentiellement sans limite. Pour une fois, Sergio Coronado est d’accord avec Marion Maréchal-Le Pen."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/03/mariage-lgbt-et-polygamie-il-ny-a-pas-de-d%C3%A9rapage.html

  • Pédophilie : la presse de gauche amnésique ?

    Libération publiait, mardi, un article au vitriol dénonçant, à juste titre, les actes pédophiles ô combien honteux d’une minorité de prêtres catholiques et la non moins honteuse couverture qui leur aurait été offerte – la justice n’a pas statué – par le cardinal Barbarin.
    À la lecture de cet article, on est néanmoins en droit de se demander si les journalistes, et en particulier ceux de la presse subventionnée aux ordres du Parti socialiste, souffrent d’amnésie ou se moquent ostensiblement de leurs lecteurs toujours moins nombreux.
    En effet, il y a de quoi rester pantois devant l’impunité d’une certaine caste d’intouchables, celle des intellectuels de gauche. Spécifiquement face au crime terrible qu’est la pédophilie, peut-être le pire d’entre tous. Nombre d’entre eux ont, par le passé, franchi la ligne rouge en assouvissant et en assumant ouvertement leurs plus abjectes pulsions sans jamais être inquiétés par la justice ni freinés dans leurs carrières respectives.
    Revenons sur les faits, au hasard de ma connaissance, qui bien entendu est loin, très loin d’être exhaustive.
    En 1977, trois inculpés pour attentat à la pudeur sur mineur de moins de 15 ans (excusez du peu) croupissent à la place qui est la leur, à savoir en prison, et ce depuis trois ans. Un certain nombre de personnages, parmi lesquels Guy Hocquenghem, Patrice Chéreau, Philippe Sollers et Gabriel Matzneff, de grands penseurs français, mais aussi Jack Lang, Bernard Kouchner, ex-ministres de la République, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, deux philosophes portés au pinacle pour leurs combats ainsi que leurs écrits, signent une tribune de soutien dans Le Monde, parue le 26 janvier 1977 sous le titre « Trois ans de prison pour des caresses et un baiser, ça suffit ! »
    Quelques temps plus tard, Libération publie un long papier titré « Apprenons l’amour à nos enfants », à l’illustration tristement non équivoque. Je me garderai bien de la publier ici, mais grâce à notre ami Google, elle demeure assez simple à retrouver pour ceux qui auraient la curiosité et le courage de chercher.
    On verra aussi, au début des années 80, le même journal Libération donner la parole à un certain Jacques Dugué, pédophile notoire arrêté un peu plus tard dans le cadre d’une affaire de viol et de pornographie enfantine (là encore, excusez du peu), et militer ouvertement pour la sexualisation des enfants à travers des articles de son fondateur Serge July, qui défendait l’idée que l’on puisse aimer des enfants physiquement. Bien entendu, quiconque se permettra d’émettre la moindre critique quant à la morale douteuse de telles pratiques sera aussitôt accusé d’être réactionnaire. Déjà, à l’époque, les vieilles méthodes de terrorisme intellectuel étaient utilisées.
    Évidemment, il ne faudrait pas omettre l’inénarrable Daniel Cohn-Bendit, dit Dany le rouge, chef de file des Verts et député européen, qui se vante à travers son livre Le Grand Bazar se faire ouvrir la braguette et chatouiller par des enfants, et d’en être tout excité.
    Tout cela est passé de mode vers la seconde moitié des années 80. Probablement le monde n’était-il pas prêt, que voulez-vous : les « réacs » et les « bourgeois » avaient triomphé pour cette fois. Néanmoins, le mal était fait. Et comme je le disais plus haut, aucun de ces individus n’a été inquiété. Pire encore : tous ont été érigés en « grands » de leur époque et ont occupé, voire occupent encore, les plus hautes fonctions politico-médiatiques et dispensent à tout va leurs vérités absolues et autres leçons de morale comme si de rien n’était.

    Jérémie Massart - Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVlkEAyplERTijyfJ.shtml

  • Enquête cinglante sur la politique migratoire de l’UE

    La Cour des comptes européenne dévoile une enquête cinglante sur la politique migratoire de l’Union européenne, à la veille d’un Conseil européen sur le sujet. Danièle Lamarque, rapporteur sur le sujet, explique :

    « C’est une politique qui manque de stratégie. On a des objectifs généraux, avec une politique au fil de l’eau en fonction des priorités du moment. Ce qui aboutit à négocier à l’arraché le renvoi de migrants en échange de politiques de visas plus accommodantes, ce qui fait peu de sens ».

    Le sommet européen qui démarre jeudi 17 mars doit notamment définir les conditions de renvoi en Turquie des réfugiés arrivés illégalement sur le sol européen, et principalement les Syriens.

    Les dépenses regroupées au sein de mécanismes au nom barbare, comme le « programme thématique dans le domaine des migrations et de l’asile », ou l’ « instrument européen de voisinage et de partenariat » font désordre : entre des objectifs peu clairs et un suivi des projets hésitant, le bilan est faible. Or, ces deux programmes, d’un montant de 742 millions d’euros sur 5 ans, ne concernent qu’une partie de ce que l’UE fait en matière de migration ; d’autres fonds sont attribués par le biais de l’aide au développement notamment, sans que l’on sache bien quel euro fait quoi.

    Sur les 23 projets examinés par la Cour, en Algérie, Géorgie, Libye, Moldavie, au Maroc et en Ukraine, 5 n’ont fait l’objet d’aucun bilan, et 18 présentent des évaluations très partielles, ou peu précises. Beaucoup d’entre eux portent sur des questions sécuritaires, ce qui n’est pas forcément l’objectif prioritaire. Cela reflète l’action globale de l’UE en matière migratoire : la majorité des budgets des programmes examinés porte sur la surveillance des frontières ou le suivi des flux migratoires, ce qui, selon le rapport,

    « confère un caractère secondaire à d’autres objectifs mis en avant par l’approche globale, comme le développement du lien entre migration et développement, et le souci d’organiser une gestion efficace des migrations conforme aux besoins économiques des pays d’accueil ».

    Et le traitement comptable aléatoire de certaines dépenses fait passer des dépenses de sécurités sous d’autres domaines. Ainsi, l’achat de 55 4×4 pour les gardes-frontières de l’Ukraine est associé à une « politique de gestion administrative » dans la comptabilité européenne.

    Et pour les auditeurs qui adorent les chiffres, la question migratoire est particulièrement frustrante : ni Etats membres ni la Commission ne souhaitent en fournir, notamment en ce qui concerne les entrées irrégulières sur leur territoire.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les migrants ou la société du spectacle

    Passage difficile de migrants vers la terre promise....
    Côté pile:
    Côté face:
    Un des articles narrant ce storytelling bien rodé: le nouvel obs . Où l'on découvre quelques collabos qui aide le passage à l'ouest de cette bombe atomique qui a déjà commencé à nous submerger...
    Vu ici