Jean-Marie Le Pen a réagi par communiqué au discours du président du CRIF.
http://www.medias-presse.info/jean-marie-le-pen-denonce-le-racisme-biologique-du-crif/50754
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Jean-Marie Le Pen a réagi par communiqué au discours du président du CRIF.
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Gènéthique relaie une pétition d'une jeune femme contrainte d'avorter sous la pression de son entourage :
"Madame Touraine,
Je m’appelle Laura, j’ai 24 ans. Il y a 15 mois, je suis tombée enceinte. Tous mes proches m’ont poussé à l'IVG. Mon copain m’a dit de choisir entre lui et le bébé. J’étais totalement seule, et carrément harcelée.
Je m'en suis pris plein la figure. Au bout de plusieurs jours, j’ai cédé et le rendez vous a été pris. Alors que je voulais faire marche arrière, mon copain m’a injuriée et menacée. Le médecin se taisait.
Finalement, n’en pouvant plus, et perdue, je me laissais faire... C’était le 21 janvier 2015. Toute ma famille disait que j'avais fait le « bon choix », sauf que malheureusement ce n'était pas le mien ! J'ai pensé à leur « confort » plutôt qu'à moi ! Plus d’un an après, je regrette encore, alors que plus personne ne me soutient et ne pense à ma douleur présente. Ma vie a basculé. Je ne m'en remets toujours pas.
Cette situation est scandaleuse : comme moi, de nombreuses femmes sont harcelées dans ces situations d’avortement. J’en veux pour preuve tous ces témoignages postés sur la page « IVG : vous hésitez ? ». Les cas sont nombreux et différents, tous plus choquants les uns que les autres !
Pourtant, à l’occasion de la Journée des Femmes du 8 mars, François Hollande a déclaré qu"aucune femme ne doit rester seule face au harcèlement". C’est exactement ce que nous avons besoin d’entendre !
Mais il faut désormais passer à l’acte. Car c’est un fait, Madame la Ministre : aucune loi ne nous protège contre cette pression psychologique insupportable au motif que « cela n’était pas prévu ». Nous ne voulons plus subir ces harcèlements : nous voulons décider librement !
Madame Touraine, faites enfin voter par le Parlement une loi qui nous protège, nous les femmes, contre ces harcèlements dommageables et sournois qui portent atteinte à notre dignité de femme, de future mère, de compagne et d’usagères des services de Santé.
Laura"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
(Présent 8562)
Gribouille se jetait à l’eau pour éviter d’être mouillé par la pluie. Hollande et Merkel, nos Gribouille, ont poussé l’Union européenne à se livrer à la Turquie musulmane pour éviter d’être envahie par des « migrants » musulmans. C’est ce qui vient de se décider au sommet européen, en présence du Premier ministre turc ; on discutera des détails et des modalités pendant quelques jours encore, mais le principe est acquis.Ankara gardera les candidats au départ vers l’Europe chez elle et acceptera même le retour de ceux dont nous ne voulons pas, en échange de six milliards d’euros. En novembre dernier, il n’était question que de la moitié. Mais, depuis, la Turquie a fait monter les enchères. Elle aurait tort, de son point de vue, de ne pas profiter de la situation : l’UE est aux abois, prête à se soumettre aux exigences de ceux auxquels elle a remis son sort. Mais ce volet financier n’est pas le pire ! La Turquie entend que ses ressortissants soient dispensés de visa pour pénétrer dans l’espace européen et ce dès le 1er juin, et que les négociations en vue de son adhésion à l’UE reprennent. « Nous voulons que cinq chapitres de négociations soient ouverts aussi vite que possible », a exigé le chef du gouvernement turc, Ahmet Davutoglu. Il dit « nous voulons » et l’Europe s’incline.
L’Allemagne et la France, entre autres, étaient hostiles, jusqu’ici, à faire de ce pays à 85 % musulman le 29e membre de l’Union, pas seulement pour cette raison culturelle, mais aussi parce que plus il y a d’adhérents, moins elle est gouvernable. Et puis, les droits de l’homme n’y sont pas respectés. Ils ne le sont toujours pas, le gouvernement vient d’interdire un journal de l’opposition. Peu importe ! Aujourd’hui, foin de ces considérations, devant l’urgence, les dirigeants européens cèdent sur tout, ou presque, pour arrêter ces millions d’individus qui se pressent à nos frontières.
Faire appel à la Turquie scelle l’impuissance de l’Europe face à une situation dont elle est responsable. Elle a décrété la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’espace Schengen sans avoir rendu ses frontières hermétiques. Puis Mme Merkel a crié « bienvenue ! » à tous ceux qui voulaient venir, ils sont venus et ils continuent. On ne sait qu’en faire ! Il était question de les répartir : sur les 160 000 prévus, il y a six mois, il n’y en a que mille qui ont été acceptés ailleurs. Les pays de l’Est étant les plus réticents, ce sont eux aussi qui ont bataillé pour que l’on ne cède pas tout à la Turquie.
La route des Balkans étant fermée, les « réfugiés » s’entassent dans des conditions épouvantables en Grèce devenue cul-de-sac. Alors que, dès novembre, Erdogan s’était engagé à empêcher l’embarquement pour les îles grecques, 15 000 à 20 000 candidats à l’exil continuent d’y arriver chaque semaine depuis les côtes turques. Bruxelles n’a pourtant déboursé pour Athènes que 380 millions, alors qu’elle est prête à donner six milliards à Ankara, qui ne fait pas (encore) partie de l’UE ! Dès le 1er juin, les 75 millions de citoyens turcs pourront librement venir chez nous, sans visa. Ils ne s’en priveront pas. Ce ne sera pas le remplacement de musulmans par d’autres : ils s’ajouteront à ceux que nous avons déjà.
Guy Rouvrais
Bernard Antony communique :
Étant donné, selon lui, la diversité des formes familiales, François Hollande, qui en effet s’y connaît sur la question, vient de réaliser encore une de ces grandes réformes sociétales par lesquelles il demeurera dans l’histoire : le ministère de la famille est désormais devenu le ministère des familles.
On se demande pourquoi il n’a pas, dans la foulée, pluralisé tous les autres intitulés ministériels demeurant archaïquement au singulier. Cela nous donnerait selon le même argument des ministères des justices, des cultes, des agricultures, des éducations nationales, des santés…
Tous ces domaines ne recouvrent-ils pas aussi des réalités plurielles ?
Cette dernière trouvaille d’un gouvernement à l’agonie s’inscrit dans la continuité d’une gauche souvent appuyée par une droite gauchie, incapable de mener d’authentiques réformes sociales pour le bien commun.
Faisant alors fi du « social » qu’elle abandonne désormais totalement au courant national, elle fait du « sociétal » ou plus exactement, selon le vocabulaire du néo-totalitarisme nihiliste, de la « déconstruction sociétale ».
Tout doit y passer :
Contre le respect de la vie innocente, la légalisation-promotion de l’avortement et l’instruction de l’euthanasie.
Contre le respect de l’écologie humaine, les manipulations génétiques et l’introduction de l’idéologie du genre dans les programmes scolaires.
Contre la défense de la famille, cellule de base de la société, le pseudo-mariage homosexuel.
Contre le sentiment d’appartenance à la patrie française, communauté historique de destin, la « déconstruction » de l’enseignement chronologique et cohérent de l’histoire et de nos racines de civilisation.
Contre la langue française, élément premier d’identité culturelle et nationale et premier moyen d’assimilation, la dévaluation-destruction de l’enseignement du vocabulaire et de la grammaire.
On se prendrait quelquefois à éprouver de la commisération pour François Hollande devant les affligeants lieux communs qu’il déverse avec sa manière reniflarde et pleurnicharde en un français hasardeux.
On est affligé pour lui, indécent chef de l’État, lorsqu’il donne les preuves de son idéal féministe en racontant combien jadis il était un bon compagnon de Ségolène en faisant le marché et en changeant les couches des enfants.
On imagine ce que pensent de pareilles confidences les Poutine, Erdogan et Xi-Jinping.
Mais l’homme ne mérite hélas aucunement de l’indulgence. Ne s’illustrant que dans la déconstruction sociétale, c’est-à-dire la destruction sociale, il aura sa triste part de responsabilité dans l’entreprise de génocide français.
Les causes du chômage français : Syndicats, Fonctionnaires, Socialisme, Libre-échange mondialiste !
On le sait : il faut, partout dans le monde, beaucoup de sueur, d’abnégation, de courage et de persévérance pour créer et faire vivre une entreprise. En France, les obstacles administratifs, économiques ou sociaux rendent la tâche encore plus ardue, ce qui explique un taux de chômage structurel élevé.
En revanche, partout dans le monde, foirer une entreprise est assez simple et en France, ça l’est encore plus puisqu’il suffit de faire intervenir l’Etat, les syndicats ou la justice.
L’affaire qui nous occupe aujourd’hui se déroule au sein de la société Desseilles, qui, bien qu’un des fleurons de la dentelle de Calais, n’en est pas moins en difficulté. Elle est même en liquidation judiciaire avec quelques jours de sursis, suite au jugement du Tribunal administratif de Lille tombé en décembre, qui ordonne la réintégration de cinq syndicalistes licenciés en 2013 : l’entreprise doit à présent payer les deux ans et demi de salaires non versés pour chacun d’entre eux, ainsi que les indemnités prud’homales qu’ils vont demander pour les dommages et intérêts, soit entre 700.000 et un million d’euros, qui ne sont évidemment pas disponibles dans la trésorerie de l’entreprise.
Le hic, c’est que les syndicalistes licenciés l’ont pourtant été dans un cadre bien spécifique, celui du licenciement économique, validé par l’inspection du travail ainsi que la DIRECCTE (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) et le ministère du Travail, et ce, malgré les recours des licenciés.
Heureusement, la conjonction d’un syndicalisme utile et bien compris avec une justice taillée au cordeau par le tribunal administratif va donner à l’affaire un tour croustillant en imposant donc la réintégration des salariés, au motif que l’entreprise aurait dû proposer des reclassements en interne à ces salariés. Un reclassement interne dans une entreprise qui calanche, c’est croquignolet, on l’admettra.
Quant à la réintégration, selon toute vraisemblance, elle fera fermer l’entreprise complètement, entraînant ainsi la transformation d’une poignée de licenciements économiques par une faillite complète avec 74 nouveaux chômeurs à la clé. Réintégration qui, de surcroît, n’est souhaitée par aucun des salariés actuels de l’entreprise, qui comptent pourtant des délégués syndicaux des autres centrales, et ont même monté un collectif pour que les licenciés ne soient pas réintégrés, et qui soutiennent la direction.
Seul un appel de la décision au tribunal permettra, s’il passe, de sauver les meubles et de permettre à un repreneur chinois de rattraper l’entreprise en difficulté. Mais si l’appel est rejeté, le repreneur a déjà fait savoir qu’il n’irait pas plus loin.
Belle affaire, ne trouvez-vous pas ?
En tout cas, tout y est réuni pour déclencher une tempête de facepalms violents.
Tout d’abord, sur le plan philosophique, on pourra se demander à quoi sert la multiplication des instances validant un licenciement, fût-il économique. En effet, même si l’inspection du travail, la DIRECCTE et le ministère lui-même semblaient d’accord sur le principe, il n’aura suffi que d’une petite décision de justice pour remettre en cause toute leur belle assurance. Les entreprises et, de façon plus générale, la société française y gagneraient si on pouvait se passer de leurs services compte tenu des résultats observés ; autant aller au procès directement, ce qui évitera d’occuper bêtement le temps des directions, inspections et autres encombrants ministères.
D’autre part, cette affaire prouve encore une fois la difficulté même de rompre un contrat de travail, notamment pour des syndicalistes, et même dans le cadre pourtant extrêmement balisé d’un licenciement économique. En outre, cette difficulté entraîne assez directement des conséquences néfastes imprévues et catastrophiques. Ici, très concrètement, cette surprotection des salariés va directement aboutir à multiplier par près de 15 les dégâts des 5 licenciements initiaux pour les transformer en 74. Certes, les syndicats ont clairement eu leur rôle à jouer dans cette consternante démonstration de force obtuse, mais à ce point de la réflexion, on en vient à se demander chafouinesquement si ces lois ne sont pas justement écrites pour donner in fine un pouvoir immense à des irresponsables trop heureux de résister encore et toujours contre le méchant patronat, quitte à tuer tout emploi autour d’eux…
Enfin, on devra noter l’incroyable incohérence de la protection sociale française que le monde nous envierait tant, qui oscille ici entre l’incohérence la plus crasse et l’hypocrisie la plus débridée.
Car c’est bien d’incohérence et d’hypocrisie qu’il faut parler ici lorsque, d’un côté, on se barbouille bruyamment du collectif et qu’on prétend chercher le bien commun, et que, de l’autre, on bousille consciencieusement le moyen d’existence de salariés qui sont très heureux de leur condition.
En somme, on détruit le bien commun et ce lien social du travail dont les syndicalistes, les inspecteurs du travail, les juges administratifs, les ministres et tant d’autres acteurs se gargarisent à longueur de journée, sur les plateaux télé et dans les plus palpitants articles de presse, et on le fait au profit de personnes qui ont largement démontré leur toxicité au point de déclencher chez les autres salariés le besoin de vouloir se protéger d’eux (ici, en créant un collectif pour éviter leur réintégration).
Oh, j’entends bien les arguments dégoulinant de duplicité de ceux qui viendront, droits comme des I et la main sur cœur, prêts à jurer de leur rectitude morale, nous expliquer que le tribunal n’a fait ici que respecter la Loi, toute la Loi, rien que la Loi et qu’elle ne permet pas, aveugle qu’elle est, la moindre interprétation. C’est trop chou.
Mais voilà : ici, la justice (administrative) est devenue complètement autiste, rejetant l’esprit de la loi, le bon sens et la recherche du moindre mal au profit d’une application stricte, rigide même, de textes impénétrables dont elle entend rester la seule à pouvoir faire l’interprétation. Elle n’est plus que l’expression d’une forme de jusqu’au-boutisme, ne cherchant pas, comme jadis saint Louis sous son chêne, à équilibrer les sentences mais à rendre un verdict qui soit conforme à l’idéologie qu’elle entend promouvoir ainsi, cette idéologie qui commande que le patron est un fourbe, que le travail aliène, et qu’il faut donc lutter, par tous les moyens, pour libérer les travailleurs et asservir les patrons.
En revanche, cela ne choquera personne que la même justice, aux mains d’autres tribunaux, voire aux mains de nos parangons de moralité, n’aura aucun mal à passer outre les petits écarts des uns ou des autres s’ils sont dans le Camp du Bien, élus ou syndiqués. Cette même justice saura se montrer accommodante ou vraiment très aveugle lorsqu’il faudra oublier certains comportements.
Et là où chaque article de chaque livre de loi sera épluché pour n’en oublier aucune subtilité s’il s’agit de faire rendre gorge à un salaud-de-patron, la loi deviendra un maquis d’interprétations et de latitudes généreuses lorsqu’il s’agira de juger l’un ou l’autre privilégié de la République, l’enfant sacré du syndicalisme, ou lesocialement proche victime d’une trop méchante société.
Le sort de cette fabrique de lingerie calaisienne apparaît aussi sombre qu’incertain. Mais une chose est sûre : si elle disparaît définitivement, les syndicats et le tribunal administratif pourront se vanter d’y avoir grandement contribué. Dans un pays où près de 5 millions de personnes se battent pour trouver un travail, c’est toujours bon à savoir.
H. Seize, 8/03/2016
(*) Petites chroniques désabusées d’un pays en lente décomposition.
Source : 24hgold.com
http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-l-incalculable-contribution-des-syndicats-francais-au-chomage.aspx?article=8202368470H11690&redirect=false&contributor=H.+Seize
http://www.polemia.com/lincalculable-contribution-des-syndicats-francais-au-chomage/
Ce n’est pas « un bruit de chiotte », pour reprendre l’expression élégante du ministre de l’Education Nationale Najat Vallaud-Belkacem, commentant les rumeurs d’une démission de Manuel Valls en cas de recul de François Hollande sur le projet de loi El Khomry. La preuve, le président de la république s’en est félicité, bien plus bavard pour l’occasion que pour sa remise de la Légion d’honneur la semaine dernière à l’islamiste « modéré » et « grand ami » de notre civilisation helléno-chrétienne (non?), le prince héritier et ministre de l’Intérieur d’Arabie saoudite Mohamed Ben Nayef. M. Hollande a en effet jugé positif le sommet UE-Turquie qui s’est achevé dans la nuit de lundi à mardi à Bruxelles pour régler le problème de l’invasion migratoire de ces derniers mois, via (notamment) le territoire turc. Cet accord sera-t-il plus efficace que le plan d’action élaboré déjà fin novembre entre Ankara et l’Union européenne pour stopper les migrants? Ces derniers continuent de débarquer quotidiennement par milliers depuis les côtes turques sur les plages grecques. Emporté par l’enthousisame, le président du Conseil européen, Donald Tusk, veut y croire. Il a promis hier que « le temps des migrations irrégulières en Europe est révolu ». « C’est un bon accord, qui va changer la donne », a acquiescé le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Une nouvelle réunion se déroulera les 17 et 18 mars pour peaufiner les détails.
Certes les observateurs n’ont pas manqué de relever que Berlin s’est opposé dans la déclaration finale, à la phrase mentionnant triomphalement que « la route des Balkans » -par laquelle 850 000 immigrés ont pénétré en Europe ces derniers mois- « est désormais fermée ». Mme Merkel ne voulait pas donner raison au pays qui ont (ré)instauré frontières, filtres et quotas (Slovaquie, Croatie, Autriche…) pour freiner l’invasion…
D’ailleurs les Bruxellois se sont empressés de réaffirmer leur souhait de la disparition des contrôles aux frontières instaurés par certains Etats européens, d’un rapide « retour à la normale » , à la libre circulation au sein de l’espace Schengen « d’ici la fin de l’année. »
Mais la mesure-phare qui a fait l’objet de tous les commentaires et dont François Hollande s’est réjoui comme d’un « acte très important », c’est l’annonce par le Premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, de « la décision audacieuse (de la Turquie) d’accepter le retour de tous les migrants irréguliers en provenance de la Grèce, quelle que soit leur origine ». Une audace très largement soufflée à Ankara par l’Allemagne et la Commission européenne.
Ainsi indiquait succinctement le site de France info, « en échange (de la reprise par les Turcs de certains immigrés, NDLR), les Européens s’engageraient à reprendre, par des voies légales et sûres, le même nombre de réfugiés syriens directement depuis le sol turc. Quelques 70 000 places théoriques, déjà réparties entre les 28 l’an dernier, serviraient à accueillir ces réfugiés, selon une source européenne. Cet engagement de la Turquie s’ajouterait à celui d’accélérer la mise en œuvre d’un accord dit de réadmission, qui prévoyait qu’elle reprenne à partir de juin les migrants économiques pour les expulser à son tour vers leurs pays d’origine. »
François Hollande n’y trouve rien à redire et a jugé que la Turquie devait « être aidée, puisqu’elle accueille 2,5 millions de réfugiés aujourd’hui », « être soutenue pour ce qu’elle doit faire »; « la Turquie bénéficiera de trois milliards d’euros. Si c’est nécessaire, l’aide pourra être augmentée. »
Si tu croises un ours sur un pont pourri, appelle le cher oncle dit un proverbe turc. Il est flagrant que la situation très alarmante à laquelle est confrontée une Europe faible et dépassée par les événements la pousse à accepter bien des choses d’Ankara. Les contreparties exigées par le gouvernement islamiste turc en paiement de sa générosité sont assez exorbitantes.
Ainsi le gouvernement Erdogan, en échange de la promesse de ne pas accabler l’Europe davantage sous le flots des migrants, exige non plus les trois milliards d’euros évoqués par M. Hollande, comme cela avait été décidé ces derniers mois, mais six milliards, le double, pour l’accueil des réfugiés.
Entendons nous bien, et si l’on veut bien laisser de côté les responsabilités du gouvernement de Recep Tayip Erdogan (comme celles de notre gouvernement socialiste), dans la déstabilisation de la Syrie et de la région , l’aide apportée à la Turquie par l’UE n’est pas illégitime. Et ce, d’autant que la Turquie elle même est fragilisée, pourrait entrer dans une spirale de violence et de terrorisme qui ajouterait du chaos au chaos à la frontière immédiate de l’Europe.
Pour autant, les autres exigences portées par ce chantre du néo-ottomanisme qu’est le brillant Premier ministre Davutoglu lors de ce sommet ne sont pour nous absolument pas recevables. Il a ainsi demandé la suppression « d’ici juin » des visas pour les ressortissants Turcs circulant dans l’espace Schengen. Mais aussi l’ouverture « aussi vite que possible de cinq chapitres de négociations » pour l’adhésion de la Turquie dans l’UE.
Faut-il le rappeler avec Bruno Gollnisch, la Turquie n’est pas géographiquement, culturellement, physiquement européenne et ce grand pays n’a donc pas vocation à rejoindre l’UE.
A fortiori en pleine poussée islamiste, et sous la gouvernance d’un parti comme l’AKP, qui a comme objectif principal, défini comme tel, la ré-islamisation des Turcs et qui demande à la diaspora turque en Europe de ne pas s’assimiler. Tout en menant dans le même temps une politique très libérale d’acquisition de la nationalité turque en faveur des Azéris, Kazakhs, Ouzbeks,Turkmènes, de tous les citoyens musulmans issus des ex-républiques turcophones de feu l’URSS.
Certes, les obstacles sur la route d’une entrée de la Turquie dans l’UE sont nombreux, mais si l’on pouvait faire confiance à l’Europe de Bruxelles pour défendre une Europe européenne cela se saurait.
http://gollnisch.com/2016/03/08/leurope-pris-a-gorge-ankara-pousse-son-avantage/
Qui dirige vraiment la France ? Poser la question aussi brutalement, c’est insinuer qu’il est possible que cela ne soit ni le président de la République ni son Premier ministre, c’est ressusciter le vieux mythe de la main invisible et, par la même occasion, se jeter dans la gueule du loup, celle en l’occurrence de tous ceux qui vont se faire un malin plaisir de vous traiter de conspirationniste ou d’antisémite. Mais comme, par les temps qui courent, les questions qui dérangent sont souvent les bonnes questions, alors allons-y !
Au sujet du prochain dîner du CRIF, L’Express parle de « grand-messe incontournable pour les politiques ». Pourquoi incontournable ? Ce mot signifie littéralement que cet événement politico-mondain, organisé par les instances d’une communauté qui ne pèse même pas 1 % de la population française, serait un passage obligé pour accéder aux instances dirigeantes de notre pays. Voyons la liste des invités : tous les courants de pensée y figurent sauf deux, les représentants du Front national et (à gauche) les partisans du boycott d’Israël. Pour le second groupe, la logique saute aux yeux, mais pourquoi le Front national, qui mobilise aujourd’hui près de neuf millions d’électeurs et dont pas une ligne de son programme ne laisse supposer une quelconque hostilité à l’égard d’Israël ? Cela semble vouloir dire qu’entretenir des relations amicales avec Israël est une condition nécessaire mais pas suffisante. Si c’est le cas, alors, que faut-il de plus ? L’adhésion aux valeurs républicaines semble être la réponse communément admise. Or, en vertu de quoi le CRIF s’arrogerait-il le droit de designer qui est et qui n’est pas républicain ? Le FN n’est-il pas un parti légal régulièrement présent aux élections ?
« Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journéeinternationale de la femme.
« 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine », peut-on lire sur l’affiche soviétique ci-dessus : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la « libérer », en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…
Malgré la propagande communiste et libérale, malgré l’obligation qu’ont beaucoup de femmes d’avoir un travail rétribué pour subvenir aux besoins de la famille, malgré l’idéologie dite « féministe » qui fait partie de l’idéologie officielle, un sondage de 20 minutes montrait récemment que la loi naturelle ne se détruit pas si facilement qu’on le croit, et constitue une claque retentissante pour tous les valets du politiquement correct :
82% des femmes jugent plus important d’être mère que d’avoir une carrière professionnelle. »
Source Y. Daoudal
Marisol Touraine l'avait annoncé à maintes reprises : conformément à son programme national d'action pour améliorer l'accès à l'interruption volontaire de grossesse (IVG), 2016 sera l'année du remboursement intégral des actes y afférents (...) Voilà qui sera effectif dès le 1er avril 2016, comme l'indique l'arrêté publié ce jour au journal officiel, relatif "aux forfaits afférents à l'interruption volontaire de grossesse".
Ainsi, à partir du 1er avril 2016, la sécurité sociale prendra en charge des forfaits bien plus élevés que jusqu’à présent, englobant l'ensemble des actes préalables et ultérieures à l'IVG, ainsi que l'IVG instrumentale et médicamenteuse elle-même.
Ces forfaits varient en fonction des établissements publics ou privés, ainsi qu'en fonction du type d'avortement pratiqué, instrumental avec ou sans anesthésie générale, ou médicamenteux.
•Dans les établissements publics et privés à but non lucratif (mentionnés aux a, b, c de l'article L162-22-6 du code de la sécurité sociale) : le forfait prévu pour une IVG instrumentale augmente d'environ 30 euros par IVG. Le forfait prévu pour une IVG médicamenteuse augmente d'environ 90 euros par IVG.
•Dans les établissements privés ayant conclu "un contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens avec l'Agence régionale de santé" (mentionnés au d de l'article L162-22-6 du code de la sécurité sociale) : le forfait prévu pour une IVG instrumentale augmente d'environ 30 euros par IVG. Le forfait prévu pour une IVG médicamenteuse augmente d'environ 60 euros par IVG.
De manière générale, le forfait relatif à l'IVG médicamenteuse prend désormais en charge les investigations préalables par méthode échographique et biologique, les investigations ultérieures à l'intervention par méthode biologique, et éventuellement la réalisation d'une échographie de contrôle ultérieure à l'intervention. Le prix fabricant hors taxe des boîtes de comprimés utilisées pour procéder à une IVG médicamenteuse est moins cher de deux euros.
Autant de mesures qui pèseront lourd sur le contribuable qui finance désormais intégralement les 220 000 IVG réalisées par an. Une prise en charge totale qui n’a pas d’équivalent pour les femmes enceintes qui donneront naissance à leur enfant."
Hans-Werner Sinn, directeur de l’Institut Ifo de Munich pour la recherche économique, dresse un sombre tableau des coûts de l’accueil des demandeurs d’asile.
Selon les calculs des chercheurs de cet institut, l’Etat providence allemand va devoir débourser au moins 450 milliards d’euros pour le million de demandeurs d’asile qu’elle a laissé entrer.
Cela signifie 450.000 euros par immigré. Mais en vérité, ces coûts pourraient être encore beaucoup plus élevés.
Car les calculs sont vraisemblablement trop optimistes au sujet de l’arrivée des immigrés sur le marché du travail. La plupart d’entre eux n’ont aucune formation. Près de 20 % sont mêmes analphabètes. Comment imaginer qu’ils trouveront un emploi après leur régularisation administrative ?
Déjà aujourd’hui, en Allemagne, les immigrés représenteraient au moins 25 % des dépenses de l’aide sociale.