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  • SI VIS PACEM, PARA BELLUM *

    Pieter Kerstens Notre correspondant à Bruxelles

    Ce 22 mars 2016 restera un cas d’école pour la plupart des responsables de la Police, des Services de Renseignements, de l’Armée et de la Justice. Leurs carences se paient dans le sang.

    Preuve a été faite (malheureusement) que malgré les mises en garde, les niveaux de sécurité maximum, les plans « Vigipirate » ou « Sentinelle » et malgré les chamailleries autour de la déchéance de nationalité, le terrorisme frappe où il veut, quand il veut et comme il veut.

    RESTEZ CHEZ VOUS !

    Ce fut la consigne donnée le matin du 22 mars à l’ensemble de la population belge par le gouvernement, en charge de la sécurité première de nos libertés. Et l’on est maintenant en droit de se demander si réellement les Ministres, les responsables de l’Administration, les Chefs des Services de Renseignements, de la Sécurité, de la Justice et l’ensemble de la classe politico-médiatique sont compétents, expérimentés et efficaces. Comment l’ennemi n°1 en Europe, Salah ABDESLAM a-t-il pu échapper aux recherches durant plus de 4 mois ? Comme Superman ?

    A croire le criminologue Xavier RAUFER qui s’exprimait ce 22 mars sur Boulevard Voltaire : « Les services en charge du terrorisme sont une véritable usine à gaz, en France, comme en Belgique ». Et selon Johan LEMAN (ex-président du Centre pour l’Egalité des Chances) « c’est vrai qu’il existe depuis longtemps une nébuleuse terroriste à Molenbeek » (Le Figaro du 23 mars).

    Depuis de nombreuses années et très certainement depuis le début de 2015, le coût de la peur, entretenue par des dirigeants belges incapables, s’élève à des centaines de millions, sans pour autant garantir, on l’a vu, la sécurité dans les lieux publics, protégés par la Police et par l’Armée, avec même des déploiements de blindés. On est dans la posture, dans l’ubuesque théâtral.

    Pour un doigt, tout le bras. Pour un œil, toute la gueule !

    La Belgique aussi a connu de grandes catastrophes et le peuple a su faire front, comme lors de l’incendie du grand magasin Innovation le 22 mai 1967 avec 323 morts et 150 blessés, puis le 29/5/1985 avec le drame du Heysel avec 39 morts et 454 blessés. Mais il apparait que les leçons du passé ne servent à rien et que nos ministres sont atteints d’amnésie pour ce qui est des attentats, de leurs origines, de leur préparation et de la recherche des renseignements.

    A Paris, le 27/5/1995, c’est le GIA qui est responsable de 8 morts et de 117 blessés.

    A Paris, le 3/12/1996 c’est un nouvel attentat (GIA ?) qui cause 4 morts et 91 blessés.

    A Madrid, le 11/03/2004 c’est Al-Qaïda qui revendique 191 morts et 1.900 blessés.

    Puis à Londres, le 7/7/2005, 4 musulmans britanniques tuent 56 personnes et en blessent 700.

    A Paris encore, le 13/11/2015, des attentats de DAESH causent 130 morts et 413 blessés.

    A Bruxelles, le 22 mars 2016, DAESH revendique 31 morts et 306 blessés.

    Au grand désarroi des pourriticards à la tête de nos gouvernements, les assassins sont issus de l’immigration arabo-musulmane de la 2ou 3e génération. STUPEUR : alors l’intégration ne fonctionne pas ? L’assimilation est en panne ? L’ascenseur social est bloqué ? N.T.M ?

    OUI, Messieurs les Gouvernants, vous avez du sang sur la conscience ; vos tergiversations et votre société « citoyenne » ne servent plus à masquer vos veuleries, vos hypocrisies et vos lâchetés, destinées à nous imposer vos utopies de l’immigration-invasion qui nous conduisent à un choc sanglant de civilisations. Et si l’on essayait le contre-terrorisme ? Par anticipation….

    * "Pour éviter d’être attaqué, le meilleur moyen est de se mettre en état de se défendre". Végèse (IVe siècle)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/24/si-vis-pacem-para-bellum-5779289.html

  • Christopher Caldwell : «Les intuitions de Houellebecq sur la France sont justes»

    2997283469.jpgDans son livre, une Révolution sous nos yeux, le journaliste américain Christopher Caldwell annonçait que l'islam allait transformer la France et l'Europe. En exclusivité pour FigaroVox, il réagit aux attentats de bruxelles.
    Après Paris, Bruxelles est frappée par le terrorisme islamiste. A chaque fois la majeure partie des djihadistes sont nés dans le pays qu'ils attaquent. Cela révèle-t-il l'échec du multiculturalisme?
    Peut-être, mais je ne suis pas sûr que le mot «multiculturalisme» signifie encore quelque chose. Il ne faut pas être surpris qu'un homme né européen commette des actes de terrorisme européen. C'est pour l'essentiel une question pratique. Le terrorisme requiert de la familiarité avec le terrain d'opération, le “champ de bataille”. C'est une chose très difficile que de constituer une équipe de terroristes en passant plusieurs frontières pour mener à bien une opération dans un pays étranger - même si cela peut être réalisé, comme les attentats du 11 Septembre l'ont montré.
    Au surplus, l'ensemble des droits et libertés constitutionnels de l'Union européenne, en commençant par Schengen, donne un éventail particulièrement large de possibilités à tout jeune Européen en rupture. Regardez ces terroristes belges. L'artificier Najim Laachraoui est allé en Syrie pour se battre aux côtés de Daech, mais personne n'a su comment il était revenu à Bruxelles. Ibrahim el-Bakraoui a été condamné à 9 ans de prison pour avoir tiré sur un policier en 2010. Mais il a également été arrêté plus récemment par la Turquie à Gaziantep, à la frontière syrienne, et identifié comme un combatant de Daech. Et tout cela est resté sans conséquences.
    Diriez- vous que derrière l'islamisme guerrier de Daesh, l'Europe est-elle également confrontée à une islamisation douce un peu comme dans le dernier livre de Houellebecq, Soumission ?
    Quand j'ai lu le livre de Houellebecq, quelques jours après les assassinats à Charlie Hebdo, il m'a semblé que ses intuitions sur la vie politique française étaient tout à fait correctes. Les élites françaises donnent souvent l'impression qu'elles seraient moins perturbées par un parti islamiste au pouvoir que par le Front national.
    La lecture du travail de Christophe Guilluy sur ces questions a aiguisé ma réflexion sur la politique européenne. Guilluy se demande pourquoi la classe moyenne est en déclin à Paris comme dans la plupart des grandes villes européennes et il répond: parce que les villes européennes n'ont pas vraiment besoin d'une classe moyenne. Les emplois occupés auparavant par les classes moyennes et populaires, principalement dans le secteur manufacturier, sont maintenant plus rentablement pourvus en Chine. Ce dont les grandes villes européennes ont besoin, c'est d'équipements et de services pour les categories aisées qui y vivent. Ces services sont aujourd'hui fournis par des immigrés. Les classes supérieures et les nouveaux arrivants s'accomodent plutôt bien de la mondialisation. Ils ont donc une certaine affinité, ils sont complices d'une certaine manière. Voilà ce que Houellebecq a vu.
    Les populistes européens ne parviennent pas toujours à développer une explication logique à leur perception de l'immigration comme origine principale de leurs maux, mais leurs points de vues ne sont pas non plus totalement absurdes.
    Dans votre livre Un révolution sous nos yeux, vous montriez comment l'islam va transformer la France et l'Europe. Sommes-nous en train de vivre cette transformation ?

    Très clairement.
    Celle-ci passe-t-elle forcément par un choc des cultures ?
    C'est difficile à prévoir, mais ce qui se passe est un phénomène profond, anthropologique. Une culture - l'islam - qui apparaît, quels que soient ses défauts, comme jeune, dynamique, optimiste et surtout centrée sur la famille entre en conflit avec la culture que l'Europe a adoptée depuis la seconde guerre mondiale, celle de la «société ouverte» comme Charles Michel et Angela Merkel se sont empressés de la qualifier après les attentats du 22 Mars. En raison même de son postulat individualiste, cette culture est timide, confuse, et, surtout, hostile aux familles. Tel est le problème fondamental: l'Islam est plus jeune, plus fort et fait preuve d'une vitalité évidente.
    Certains intellectuels comme Pierre Manent propose de négocier avec l'islam. Est-ce crédible? Les «accommodements raisonnables» peuvent-ils fonctionner?

    Situation de la France de Pierre Manent est un livre brillant à plusieurs niveaux. Il a raison de dire que, comme pure question sociologique, l'Islam est désormais un fait en France. Manent est aussi extrêmement fin sur les failles de la laïcité comme moyen d'assimiler les musulmans, laïcité qui fut construite autour d'un problème très spécifique et bâtie comme un ensemble de dispositions destinées à démanteler les institutions par lesquelles l'Église catholique influençait la politique française il y a un siècle. Au fil du temps les arguments d'origine se sont transformés en simples slogans. La France invoque aujourd'hui, pour faire entrer les musulmans dans la communauté nationale, des règles destinées à expulser les catholiques de la vie politique.
    Il faut aussi se rappeler que Manent a fait sa proposition avant les attentats de novembre dernier. De plus, sa volonté d'offrir des accomodements à la religion musulmane était assortie d'une insistance à ce que l'Islam rejette les influences étrangères, ce qui à mon sens ne se fera pas. D'abord parce que ces attentats ayant eu lieu, la France paraîtrait faible et non pas généreuse, en proposant un tel accord. Et aussi parce que tant que l'immigration se poursuivra, favorisant un établissement inéluctable de l'islam en France, les instances musulmanes peuvent estimer qu'elles n'ont aucun intérêt à transiger.
    «Entre une culture qui doute d'elle-même et une culture forte, c'est la culture forte qui va l'emporter...» écrivez-vous en conclusion de votre livre. L'Europe des Lumières héritière de la civilisation judéo-chrétienne et gréco-romaine est-elle appelée à disparaître?
    L'Europe ne va pas disparaître. Il y a quelque chose d'immortel en elle. Mais elle sera diminuée. Je ne pense pas que l'on puisse en accuser l'Europe des Lumières, qui n' a jamais été une menace fondamentale pour la continuité de l'Europe. La menace tient pour l'essentiel à cet objectif plus récent de «société ouverte» dont le principe moteur est de vider la société de toute métaphysique, héritée ou antérieure (ce qui soulève la question, très complexe, de de la tendance du capitalisme à s'ériger lui-même en métaphysique). A certains égards, on comprend pourquoi des gens préfèrent cette société ouverte au christianisme culturel qu'elle remplace. Mais dans l'optique de la survie, elle se montre cependant nettement inférieure.
    Christopher Caldwell est un journaliste américain. Il est l'auteur de Une Révolution sous nos yeux, comment l'islam va transformer la France et l'Europe paru aux éditions du Toucan en 2011.

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVlAVuAVymdOxBZvd.shtml

  • ANTI RACISME : DES SPOTS « PUBLICITAIRES », VRAIMENT ?

    2689171778.jpgLe bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Depuis lundi une campagne « contre le racisme et l’antisémitisme » envahit nos petits écrans avec des spots d’un goût douteux et, surtout, d’un scandaleux parti pris. On ne visionne que des agressions de personnes de confession juive, des africains ou des maghrébins, avec en fond sonore des commentaires haineux ou sarcastiques dignes des « brèves de comptoirs » du café du commerce…

    Vous pensiez que le Service d’Information du Gouvernement (SIG) serait objectif et qu’il n’oublierait pas les nombreux actes anti-chrétiens ou anti-Français qui, de jour en jour, émaillent le quotidien de vos… quotidiens ? Que nenni. Rien sur les insultes du type « sale Français » ou « têtes de fromage », rien sur les aimables slogans « Français dehors » qui fleurissent sur les murs antillais ou corses – j’ai des photos à la disposition de ce « SIG » - rien sur les agressions des forces de l’ordre, pompiers et autres praticiens de SOS médecins qui sont, forcément, Français… Pas un mot pour les « petits blancs » qui survivent dans les « cités de non droit » et autres « quartiers difficiles » en rasant les murs ou pour les commerçants qui désertent ces mêmes quartiers pour cause d’insécurité, une insécurité due, essentiellement, à leurs origines autochtones. Et que dire des aimables paroles qui fleurissent dans les litanies des rappeurs ? Le « cassage de gueule » du « de souche » ou la profanation du cimetière chrétien, cela ne semble pas intéresser, pas vraiment, les ligues de vertu comme SOS RACISME, la LICRA, le MRAP ou la LDH. Pourquoi ?

    Les victimes, pour ces associations-là dont certaines vivent grâce aux subventions, ce sont forcément les immigrés ou les descendants de migrants pour utiliser un mot à la mode. Mais les faits sont têtus et des slogans comme « Tous unis contre la haine » sont cruellement démentis par une brûlante actualité. Car tous ne sont pas « unis contre la haine », tant s’en faut. Après les massacres de Charlie Hebdo  et du supermarché kasher, après les exactions commises par des gens « dérangés » contre un commissariat ou une rame Thalys, après les mitraillages des terrasses de restaurants et de la salle du Bataclan ou encore le froid assassinat d’une jeune femme à Villejuif - j’en oublie - on peut effectivement dire que « Le racisme commence par des mots, ça finit par des crachats, des coups, du sang » et on pourrait même ajouter, « par des bombes », comme à Bruxelles ! Depuis des années, des torrents de haine se déversent sur nos vieux pays d’Europe, des torrents alimentés par une pensée religieuse pervertie sans aucun doute, poussée au paroxysme, chauffée jusqu’à l’incandescence.

    Une bande de saltimbanques du PAF, de Claire Chazal, vous savez la smicarde du petit écran, à Sébastien Folin en passant par le précieux Stéphane Bern, parrainent cette initiative à sens unique. Cela ne fait pas honneur à leur sens de l’équité, mais que pouvons-nous attendre de ces gens-là qui vivent dans leurs ghettos de riches ?

    UNE PROPAGANDE DIGNE D’UN ETAT TOTALITAIRE

    L’INED, l’Institut National des Etudes Démographiques qui ne saurait être soupçonné de sympathie pour « l’extrême droite », avait reconnu et identifié dans une étude rendue publique en 2008, les termes de « majoritaires » pour désigner les « blancs » et « minoritaires » pour les autres ethnies. On pouvait lire, sans rire, que « le racisme des minoritaires à l’encontre des majoritaires peut blesser verbalement, voire être agressif physiquement ». Mais c’était aussitôt un rétropédalage pour minorer ce constat et pratiquer la politique de l’excuse : « 15% seulement des majoritaires en ont été victimes » et cela n’était « qu’une réaction face à des personnes qui, par leur origine, leur apparence, leur couleur, leur position sociale ou leur comportement peuvent incarner la classe ou la “ race ” - le vilain mot ! – des dominants et des racistes ». Fermez le ban ! Et si ces gens là, les « riches », forcément « blancs », avaient utilisé la cinglante répartie de Jean Gabin, « salauds de pauvres » dans le merveilleux film La traversée de Paris ? Le clivage social recoupant le clivage « racial » ? La vérité est toute autre. Alors que cette campagne « publicitaire » - « propagandastaffel », vous avez dit « propagandastaffel » ? – va s’étaler sur nos petits écrans pendant une bonne semaine, les fous furieux se réclamant d’une religion de « paix et d’amour » fourbissent leurs armes. Hier Londres, Madrid, Paris et Copenhague, aujourd’hui Bruxelles, à qui le tour demain ? Nous, en bons citoyens, nous ne pratiquons pas l’amalgame, nous sommes cohérents avec nous-mêmes… Nous savons que si tous les musulmans dans leur immense majorité ne sont pas, Dieu merci, des « terroristes », tous les terroristes islamistes se réclament du Prophète. Alors, dans cette ambiance nauséabonde, à qui sert cette campagne qui stigmatise, qu’on le veuille ou non, les « majoritaires » pour emprunter le vocable de l’INED en 2008 ? Elle ne rend pas service au pays et, au pire, risque d’aboutir à l’opposé de ce que recherchent leurs initiateurs.

    Nous savons que « Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre ». Alors nous, les Français nationalistes, identitaires et nationaux, gardons la tête froide et ne tombons pas dans le piège tendu par nos adversaires. Mais disons tout haut et bien fort que nous ne sommes pas dupes…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tous unis contre le racisme anti-blanc : la vidéo de Génération identitaire

    (NOVOpress) : Un petit clip a été oublié par le gouvernement français dans sa campagne antiraciste #TousUnisContreLaHaine. Génération Identitaire s’est occupé d’y remédier.

    http://fr.novopress.info/

  • « Diversité apaisée »

    Le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé hier soir que le «Français» Reda K.; qui, selon France info, aurait été condamné par contumace à 10 ans de prison en Belgique pour appartenance à une filière envoyant des djihadistes en Syrie a été arrêté hier soir à Boulogne-Billancourt. Il était semble-t-il en train de préparer un attentat, le suspect étant en possession, selon ses propres déclarations affirme i-télé, «d’armes et d’explosifs». Plus de 75 «Français» en lien avec des activités terroristes ont été interpellés depuis le début de l’année sur notre territoire,  débouchant sur 37 mises en examen et 28 incarcérations. La presse belge nous apprend pour sa part que le Premier ministre Charles Michel a refusé les démissions des ministres de l’Intérieur et de la Justice, Jan Jambon et Koen Geens. Ces derniers  ont demandé à quitter  leurs fonctions  jeudi, après les accusations  sur leur légèreté coupable dans leur lutte contre le terrorisme – voir notre article publié hier. Un terrorisme qui prospère à l’ombre de l’échec de l’assimilation et de son corollaire, l’immigration-invasion, laquelle ne saurait être remise en question  par  les propagandistes des sociétés ouvertes, plurielles et sans frontières. C’est ce  modèle «européen », « bruxellois » qui était encore défendu hier soir par un BHL sur le plateau de l’émission deFrance  2 «Des paroles et des actes».

    Cette incapacité à remettre en cause le dogme cosmopolite, autre signe de la fossilisation intellectuelle de nos vieilles élites, s’étale partout. Significativement, L’Express a publié ces dernières heures sur son site un article consacré à Schaerbeek, ville natale de Jacques Brel, devenue très largement une zone non européenne du « plat pays ». C’est dans cette commune, au nord de Bruxelles que  vivaient les kamikazes qui on frappé le 22 mars.  Pour autant, est-il écrit,  «Schaerbeek refuse d’être comparée à Molenbeek. Habitants et élus soulignent sa diversité apaisée Diversité apaisée ? Cet avis n’est pas partagé par tous les habitants ni pas  les policiers Belges…

    Pour minorer les effets délétères de la trop forte concentration de populations étrangères en un même endroit, la solution choisie  notamment  en France  par nos dirigeants n’est pas de donner un coup d’arrêt ferme à l’immigration massive, au regroupement familial. Non, la «solution» trouvée consiste à disperser cette immigration sur l’ensemble du territoire et notamment dans les zones rurales, les plus excentrées, pauvres, sinistrées par un  chômage qui a encore  battu un record historique  en février, mais  jusqu’alors alors préservées  des joies de la diversité apaisée.

    Notre ami Julien Sanchez, maire de Beaucaire (Gard), reste particulièrement actif   dans sa   dénonciation de cette  politique irresponsable. Julien, qui vient d’obtenir au début du mois du tribunal correctionnel de Nîmes la condamnation de l’enseignante et militante antinationale  Sylvie Polinière, pour l’avoir traité lui et son adjoint Stéphane Vidal de «membres d’un parti raciste et xénophobe»,  s’est rendu le 23 mars dans le village cévenol de Monoblet (Gard).

    Accompagné de plusieurs militants et du secrétaire départemental FN  Yoann Gillet, il entendait protester contre l’arrivée programmée par l’Etat de 22 migrants logés a proximité  dans les locaux d’un futur  Centre d’accueil et d’orientation. Au cours de conférence de presse qu’il a tenu, Julien Sanchez a posé  clairement les termes de l’alternative qui se pose à nos compatriotes : « Il y a bientôt des élections présidentielle et législatives.  Soit on vote pour ceux qui vont nous faire des mini-Calais partout en France, soit on vote pour ceux qui veulent rétablir les frontières et sortir de Schengen, ce qui est le programme de Marine Le Pen.» Comme le disait l’élu frontiste le 13 mars  dans l’émission « La voix est libre » sur France 3, il s’agit de « (stopper)  les largesses avec l’immigration qui arrive, ces avantages auxquels parfois nos retraités n’ont pas droit !»

    Toute laisse à craindre pourtant, note Bruno Gollnisch,  que nous ne sommes qu’au début de cetsunami migratoire, si électeurs français et européens ne se donnent pas des dirigeants capables de rompre avec l’impuissance congénitale des sociaux-libéraux, des européistes bruxellois. Invité jeudi de l’antenne d’Europe 1, Jean-Yves Le Drian a évoqué les conséquences de la destruction de la Libye de Kadhafi en 2011,  programmée par le trio Sarkozy-Juppé-BHL avec le feu vert de Washington et l’appui de l’Otan, livrée aujourd’hui au chaos et aux islamo-mafieux

    Le ministre de la Défense a précisé qu‘environ 800 000 migrants attendaient sur le sol libyen de gagner l’Europe. «Il faut éviter que le trafic de migrants ne renforce Daech par des ressources financières supplémentaires qui lui seraient allouées». La  diversité à son prix.

    http://gollnisch.com/2016/03/25/diversite-apaisee/

  • Racisme : Big Brother en action…

    C’est à des signes comme ceux là qu’on peut mesurer la distance qui sépare nos « élites » officielles et privilégiées, du reste de la population française.

    A leurs yeux , ce qui menace dans notre pays, c’est la montée du racisme et si on n’ y voit pas l’ombre menaçante du Front National derrière , c’est qu’on a pas compris le message. Car bien sûr , il ne s’agit pas du racisme que subissent chaque jour, les jeunes filles dans le métro, les adolescents blondinets à la gare du nord, les personnes âgées dans les moyennes ou grandes surfaces commerciales. On est en droit de se demander , sans sombrer dans la paranoïa qui pourtant nous guette, si tout cela ne s’inscrit pas dans un plan réfléchi et concerté. Doit on encore invoquer les tendances lourdes de ceux qui construisent le nouvel ordre mondial ? Michel Onfray parle de la présence de 8 millions de musulmans dans notre pays, mais il ne faut surtout pas dire invasion ou grand remplacement. Plus les terroristes terrorisent et plus on nous alerte sur la montée du racisme. [....]

    Olivier Dejouy et Laurent Obertone

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Racisme-Big-Brother-en-action

  • L’Etat trouve encore 500 000 € pour accueillir 140 migrants près de Lyon

    LYON (NOVOpress) : La Verpillière est une ville de 6 000 habitants située dans l’Isère, à une vingtaine de kilomètres de Lyon. Elle est limitrophe de Saint-Quention-Fallavier, célèbre dans le monde entier depuis que, en juin 2015, l’islamiste Yassin Salhi y a décapité un chef d’entreprise. Autant dire que l’état d’esprit de la population n’est pas à l’accueil de tous les migrants du monde…

    L’Etat vient pourtant d’annoncer au maire UDI de La Verpillière, Patrick Margier, que le Centre d’accueil des demandeurs d’asile (Cada), fermé en 2013 pour insalubrité, allait être rouvert, alors que la ville s’était portée acquéreuse du site. L’élu vient d’en informer son conseil municipal : « À l’automne prochain, 140réfugiés (dont 60 % de familles), venant de Syrie et d’Irak, seront affectés au Cada. Ce dernier va être restauré, pour un montant estimé à 500000 €, les travaux sont lancés. »

    Et qui dit familles dit enfants… « Le maire a ajouté, relate Le Dauphiné, que les écoles vulpilliennes ne pouvant recevoir le nombre d’enfants annoncé, la préfecture recherche des places dans les écoles des communes environnantes. »

    En réalité, le maire centriste n’a pas voulu – pensant peut-être à sa future réélection – qu’un afflux d’enfants dans les écoles primaires entraîne une augmentation des dépenses, donc des impôts locaux. Il avait fait entériner par la préfecture, dès janvier dernier, que « l’accueil de migrants ne doit pas impacter le contribuable vulpillien ». A charge aux communes des alentours de se débrouiller.

    http://fr.novopress.info/199816/letat-trouve-encore-500%E2%80%89000-e-accueillir-140-migrants-pres-lyon/

  • La question islamique : ils se mettent à table

    L’armée syrienne marque des points dans la lutte contre les brigades internationales islamistes. Elle est désormais aux porte de Palmyre, poursuivant, avec l’appui de l’aviation russe, une progression susceptible de libérer cette ville-martyre, classée au patrimoine mondial de l’humanité, en partie vandalisée et  détruite par les terroristes de l’Etat islamique. La prise de Palmyre permettrait aux forces fidèles à l’Etat laïque  de libérer 30 à 40% du territoire syrien aux mains des djihadistes. Sur le front européen, les trois kamikazes qui se sont fait exploser dans les attentats bruxellois du 22 mars ont été identifiés. En l’espèce les deux frères Khalid et Ibrahim El Bakraoui, et Najim Laachraoui, qui était activement recherché pour son rôle d’artificier dans les  attentats de Paris du 13 novembre. La capacité du gouvernement belge à prendre ces derniers mois  la mesure de la menace a été mise en cause par le président turc. Hier, Recep Tayip Erdogan a indiqué qu’Ibrahim El Bakraoui avait été arrêté en juin 2015 à la frontière turco-syrienne, puis expulsé vers la Belgique.  Les autorités belges a-t-il ajouté auraient été prévenues de la dangerosité du personnage et de ses liens avec le milieu djihadiste. Une information aussitôt démentie par le ministre belge de la Justice…

    Pendant ce temps, à défaut d’agir concrètement sur les causes qui ont permis en France l’incrustation de foyers islamo-djihadistes,  François Hollande essaye de se dépêtrer  des oppositions à la loi sur la déchéance de nationalité qu’il appelle  de ses vœux, souhaitée antérieurement  par le FN pour les criminels  binationaux. Une mesure symbolique qui a été votée en des termes différents par l’Assemblée nationale et le Sénat. Soucieux pour sa part de ramener  ses rivaux Juppé et Sarkozy à leurs amitiés islamiques, le candidat à la primaire « de la droite et du centre », Bruno le Maire, reprend lui aussi à son compte des  critiques et des vœux  du Front National.

    Invité mercredi de l’émission Questions d’info LCP/France Info/Le Monde/AFP, M. le Maire a affirmé que s’il était élu président de la République en 2017, il réexaminerait les relations diplomatiques entre la France et «un certain nombre d’États du Golfe», notamment l’Arabie saoudite et  le Qatar , «en fonction de la capacité qu’ils auront à remettre en cause leurs liens avec les mouvements islamiques.» «On ne peut pas combattre l’islam politique en France et remettre la Légion d’honneur au ministre de l’Intérieur saoudien sans faire la moindre critique sur la manière dont l’Arabie saoudite se comporte.»

    Critiques sur la collusion entre les dirigeants LRPS et les bailleurs de fonds du fondamentalisme islamique, une réalité établie depuis fort longtemps, que l’ex ministre découvrirait opportunément aujourd’hui ? Très fier de son «intelligence supérieure», Bruno le Maire serait tout de même bien inspiré de ne  pas prendre  les Français pour des imbéciles.

    Autre idée agitée cette fois par Nathalie Kosciusko-Morizet, dans le but de favoriser l’émergence d’un islam gallican, la taxation des produits halals. Il s’agit, rapporte Marianne, de «constituer une cagnotte régulièrement approvisionnée destinée au culte musulman, afin d’éviter le recours à des financements étrangers.» «Ce principe n’est pas nouveau: Charles Pasqua avait préconisé une taxe sur l’abattage, Dominique de Villepin avait proposé qu’elle finance la Fondation des œuvres de l’islam en France (FOIF) qu’il a instituée.»

    Interrogée sur le site du journal, la sociologue Florence Bergeaud-Blacker, chargée de recherche au CNRS, à l’Institut de recherche et d’étude sur le monde arabe et musulman (IREMAM), souligne que «l’idée» de NKM «c’est une contribution de 1% sur un marché de 6 milliards, qui rapporterait donc 60 millions d’euros par an», mais  «il y a plusieurs problèmes.» «Si l’Etat prélevait directement une taxe, ce pourrait être considéré comme une entrave à la liberté de circulation des marchandises. S’il accordait à la FOIF le pouvoir de prélever cette taxe, il se poserait le problème de la redistribution et on pourrait lui reprocher de financer indirectement un culte, de s’ingérer dans les affaires cultuelles. Un autre problème est que les industriels estimeront qu’ils n’ont pas à rémunérer le culte car ils paient déjà des agences de certification halal privées. Les industriels se sont exprimés très souvent à ce sujet et notamment avec cette formule politiquement dévastatrice : Nous ne paierons pas l’impôt islamique ».

    Mme Bergeaud-Blacker relève également que « cette proposition est communautariste. En parlant de taxer tout ce qui est labellisé halal, NKM valorise indirectement une conception du halal très large qui inclut les produits halal non carnés, pourquoi pas les hôtels et le tourisme halal, ce qui est une manière de reconnaître et d’accompagner l’extension du périmètre du halal. Cette extension est voulue par le marketing islamique et par les courants puristes du halal, qui transforment le licite en pur. L’autre problème plus direct d’une telle incitation est qu’elle risque d’accentuer le contrôle social entre musulmans (…).  Le halal peut devenir un problème plutôt qu’une solution.»

    En février 2012, en pleine polémique sur la généralisation de l’abattage rituel, nous rapportions les propos de Florence Bergeaud-Blackler, qui indiquait  que «c’est la troisième génération issue de l’immigration maghrébine et subsaharienne qui promeut la consommation halal», pour laquelle elle a «un attachement très fort, paradoxalement encore plus fort que chez leurs parents.»

    La croissance du marché halal est aussi un indicateur des bouleversements démographiques en Europe. En 2006, nous nous faisions l’écho sur ce blogue d’un article paru en octobre de la même année  dans le magazine Terres de Bourgogne. Il était indiqué  qu’au niveau européen le marché de la viande halal  se situait  «aux alentours de 15 milliards d’euros, dont trois milliards d’euros pour la France»… aujourd’hui six milliards d’euros, le double  dix ans après,  si l’on en croit le chiffre avancé par NKM.  «Dans l’Hexagone, les consommateurs musulmans représentent entre 10 et 15% de la consommation bovine, ovine et avicole nationale, soit à peu près 400 000 tonnes par an ». «La France est le premier marché en volume, suivi de près par la Grande-Bretagne, la Belgique, l’Allemagne et la Hollande. Avec les flux migratoires, de nouveaux marchés apparaissent comme l’Espagne et l’Italie » était-il précisé.

    Certes, les interdits religieux librement acceptés, ici alimentaires, relèvent d’un choix personnel, privé, que notre République laïque, c’est-à-dire religieusement neutre, n’a pas à juger  indiquait Bruno Gollnisch. On peut cependant s’interroger sur le fait de savoir si cet essor du marché halal traduit un échec de l’assimilation à la culture française, qui peut être plus qu’ailleurs passe aussi chez nous par « l’assiette », ou si l’essor en question matérialise tout simplement la poursuite de l’immigration de peuplement ; l’un n’empêchant pas l’autre, bien au contraire…

    http://gollnisch.com/2016/03/24/question-islamique-se-mettent-a-table/

  • La FNSEA, un syndicat dans le système

    Le syndicat majoritaire dans le secteur agricole est co-responsable, avec l’État , des difficultés qu’affrontent les paysans.

    Beulin n'est pas Dorgères et la FNSEA, premier syndicat d'agriculteurs aux élections professionnelles, n'a pas grand-chose de commun avec les chemises vertes des années 30, en dépit de l'exaspération de ses « troupes ». On l'a bien vu après la bruyante réception que les paysans présents au salon de l'Agriculture ont réservée le 27 février à François Hollande, copieusement conspué. Dès le lendemain, le « patron » de la FNSEA présentait « des excuses pour les noms qui ont été prononcés à l'égard du président »...

    Au reste, la FNSEA elle-même n'est pas innocente de la situation actuelle. Les choix qu'elle a faits depuis les années 1960, et sa collusion avec le pouvoir politique, n'ont pas été sans conséquence sur le sort des paysans. Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles était une composante de la Confédération Générale de l'Agriculture (CGA), structure fondée par le gouvernement provisoire de la République française et dominée par la gauche socialiste, radicale et communiste. La majorité des dirigeants de la FNSEA, au contraire, étaient issus de la Corporation paysanne créée par le gouvernement de Vichy, et guère portée à gauche.

    Par ailleurs, en 1954 la FNSEA se dota d'une structure « jeunes » qui donna naissance au Centre national des jeunes agriculteurs (CNJA), animée par des cadres de la Jeunesse agricole catholique (JAC), qui militaient pour la modernisation des petites structures agricoles et s'opposaient à la politique de soutien des prix (défendue par les « vieux » de la FNSEA), au motif qu'elle favorisait les exploitations importantes au détriment des petites.

    Le double jeu du CNJA

    Jusqu'alors, la FNSEA s'était méfiée des immiscions de l'Etat dans les affaires agricoles. Mais, au début des années 1960, le CNJA travaille en entente avec le gouvernement gaulliste et le Commissariat au Plan pour casser les « féodalités » rurales et moderniser l'agriculture française, notamment en favorisant l'agrandissement des exploitations, par absorption des petites - il est vrai que beaucoup avaient une taille insuffisante pour assurer de quoi vivre au paysan et à sa famille. Le gouvernement, en quête de main d'œuvre pour son programme d'industrialisation (on fait appel à la même époque à l'immigration maghrébine), appuie ces transformations et prépare avec les dirigeants du CNJA les lois sur l'agriculture de 1960 et 1962. En juin 1964, Michel Debatisse, l’une des figures du mouvement « jeunes », devient secrétaire général adjoint de la FNSEA, avant d'accéder à sa présidence en 1971. Dorénavant, le syndicat adopte une conception productiviste de l'agriculture et cogère les structures chargées de mettre en œuvre la restructuration de l'agriculture française (Safer et Cnasea). L'heure est à la spécialisation sur les cultures à hauts rendements. La FNSEA participe aussi avec l'Etat aux négociations sur la PAC, dont les subventions vont en majorité aux plus grosses exploitations... Signe de cette entente avec l'Etat, Michel Debatisse devient en 1979 Secrétaire d'Etat aux Industries agricoles et alimentaires. En 1986, un autre ancien président de la FNSEA, François Guillaume, sera nommé ministre de l'Agriculture dans le gouvernement de Jacques Chirac.

    Résultat, entre 1970 et 2010, la surface moyenne des exploitations agricoles a augmenté de 21 à 55 hectares ; mais le nombre des exploitations est tombé de 1,6 million à 490 000 et la part de la paysannerie dans la population active a chuté de 32,4 % en 1950 à environ 3 % aujourd'hui. Par ailleurs, ces changements ont eu et continuent d'engendrer un coût humain considérable. Selon une étude de l'Institut de veille sanitaire (InVs), 485 agriculteurs se sont suicidés entre 2007 et 2009, ce qui fait du suicide la troisième cause de mortalité dans cette profession. La situation se dégrade d'autant plus que la politique productiviste s'est heurtée à partir des années 1990 à un problème de surproduction, le marché européen étant devenu excédentaire. Lors de son congrès de 1995, la FNSEA a d'ailleurs convenu qu'il fallait désormais « sortir de la culture quantitative ». Mais pour de nombreux agriculteurs, lourdement endettés (comme les élevages industriels de porcs), il ne sera pas facile de sortir du système.

    Yves Kerhuon monde&vie 16 mars 2016