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lobby - Page 1755

  • Vers la fermeture des "usines à bébés" en Thaïlande

    Lu sur Gènéthique :

     [...] "[L]e 13 août dernier, la Junte au pouvoir a adopté un projet de loi sanctionnant à une peine d’enfermement de 10 ans, toute personne qui tirerait des bénéfices d'une gestation pour autrui. (Cf. Synthèse de presse Gènéthique du 18 août 2014). Ce jeudi 27 novembre, ce projet de loi a été adopté, en première lecture, "quasiment à l'unanimité", par le Parlement Thaïlandais. Le député Wallop Tungkananural a déclaré : "Nous voulons mettre un terme à cette idée qu'ont les étrangers que la Thaïlande est une usine à bébés". 

    D'après Sam Everingham, Australien fondateur de Families Through Surrogacy, la pratique des mères porteuses donnerait lieu à près de 200 naissances par an pour les seuls couples Australiens. Et selon le Conseil médical de Thaïlande, "ce serait plus d'une centaine de cliniques privées [qui] seraient spécialisées dans l'aide à la procréation", précise le site d'information France 24. 

    Si la Thaïlande s'est décidée à prendre des mesures, il ne semble pas qu’il soit prévu, à ce jour, d'interdire totalement la GPA. Elle resterait autorisée au sein des familles ou pour des amis. "

    Ce qui laisse la porte entrouverte pour le contournement de la loi et la préservation du juteux business des mères porteuses.

    Marie Bethanie

  • L’influence américaine dans le dispositif européen du TTIP

    Depuis juillet 2013, l’Union Européenne (UE) a entamé des négociations avec les Etats-Unis (USA) afin de conclure un accord commercial de libre-échange entre l’UE et les USA en 2015. Cet accord, baptisé « Transatlantic Trade and Investment Partnership »  (TTIP soit « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement ») a donc pour objectifs de réduire, voire supprimer les droits de douane, d’uniformiser les réglementations de part et d’autres de l’Océan atlantique, d’ouvrir les marchés pour les services, l’investissement et les marchés publics et de mettre en place un mécanisme de règlements des différents entre entreprises et Etats.
    Les différents éléments du mandat de négociations n’ont été diffusés que tardivement (9 octobre 2014) et partiellement. De façon générale, ces négociations restent opaques pour la plupart des élus des États membres et du grand public, contrairement à ce qui a été affirmé récemment par la Commission européenne, alors même que ce Traité engagera la vie économique et sociale de millions d’européens à long terme.
    Les enjeux de ce traité pour les Etats membres de l’UE nécessite débat démocratique et transparence à tous les niveaux. Or le constat est que ni l’un ni l’autre n’existent.
    Une réelle démarche de transparence serait en premier lieu de permettre au grand public de savoir qui sont les négociateurs mandatés par l’UE pour mener les négociations.

    1-Une équipe de négociateurs européens sous influence?

    a. Qui est M. Ignacio Garcia Bercero négociateur en chef européen pour le TTIP ? Son curriculum vitae est introuvable. Qui peut croire que cet homme est sans passé ? D’où vient-il, qu’elles ont été ses précédents postes  et missions ?
    b. Quant aux autres membres de la délégation, certains d’entre eux ont travaillé dans des instances internationales fortement orientées pour la défense d’une certaine forme de modèle de libre-échange, le libéralisme économique, et l’ouverture des marchés (OMC, FMI, banque mondiale) tandis que d’autres ont réalisé leurs études aux États-Unis (Université de Berkeley, Harvad Business School…)

    2-Une étude aux arguments orientés ?
    L’Union européenne justifie l’importance et l’intérêt du TTIP par les résultats d’une étude qu’elle présente comme « indépendante » et qui lui sert de référence dans le cadre des négociations. Cette étude intitulée « Reducing transatlantic barriers to trade and investment : an economic assessment » (mars 2013) a été réalisée par leCentre for Economic Policy Research (CEPR).
    Au-delà des résultats issus de cette étude, on peut réellement contester l’indépendance et la neutralité des dirigeants du CEPR et des auteurs de ce rapport puisque, en effet ils ont, dans le passé, occupé des fonctions en lien direct avec les intérêts économiques américains. Ainsi :

    a. Richard Baldwin qui occupe depuis janvier 2014 le poste de Directeur du CEPR. était directeur des études sur les politiques publiques (Policy Director) au moment où l’étude a été réalisée. Professeur d’économie réputé, il a occupé différents postes en Europe et aux Etats-Unis. Jusqu’en 1991, année où il est arrivé en Europe, il était conseiller auprès du Président américain Bush sur les questions économiques (Senior Staff Economist for the President’s Council of Economic Advisors in the Bush Administration). A ce titre il a participé aux négociations de plusieurs accords de coopération économique : Uruguay Round,NAFTA, US-Japan Structural Impediments Initiative, et US-Japan Semiconductor Agreement. Richard Baldwin a donc défendu les intérêts économiques américains par le passé.

    Lors de la négociation relative au traité NAFTA, des arguments basés sur des modèles économiques promettaient de la croissance et des créations d’emplois aux États-Unis ainsi qu’au Mexique. Ces prévisions ne se sont pas concrétisées. Selon l’étude « Heading South U.S.-Mexico trade andjob displacement after NAFTA » datant de 2011 et réalisée par l’Economic Policy Institute, au cours de la période 1993-1999, les Etats-Unis et le Mexique ont perdu plusieurs centaines de milliers d’emplois. En outre, les inégalités de revenus ont augmenté et l’impact sur les salaires a été négatif. La fiabilité des prévisions issues des modèles macro-économiques qui ne rendent pas compte de la complexité du monde actuel, parait donc douteuse.

    b. Guillermo de la Dehesa, également président du CEPR et économiste réputé, a occupé au cours de sa carrière divers postes dans le gouvernement espagnol, à la Banque d’Espagne mais aussi à la Banque Mondiale. Il a par ailleurs travaillé dans le secteur privé, notamment bancaire. Il a été également conseiller international de la banque américaine Goldman Sachs. Enfin Guillermo de la Dehesa est membre du « Group of Thirty », ou G30, think tank basé à Washington. Ce G30 a été fondé en 1978 à l’initiative de la fondation Rockefellerqui a également fourni les premiers fonds. Son premier président a été Johannes Witteveen, un ancien directeur du Fonds Monétaire International. Son président actuel est Paul Volcker. Le G30 regroupe des financiers importants et des universitaires qui cherchent à approfondir la compréhension des problèmes économiques et financiers ainsi qu’à examiner les conséquences des décisions des secteurs publics et privés relatives à ces sujets.

    c. Joseph François directeur de l’étude dite « indépedante » du CPER,  a été pendant longtemps en poste aux Etats-Unis en tant qu’économiste au Bureau des statistiques du travail (Bureau of Labor Statistics )(1983-1987) et directeur du bureau « économie » de la commission du commerce international (1991-1993). Cette commission est une agence fédérale qui défend les intérêts des entreprises américaines dans le cadre de plaintes pour contrefaçon, d’instruction de concurrence déloyale, de viol des barrières douanières de la part d’entreprises étrangères. Elle fournit également des études sur le commerce et la compétitivité au congrès et au Président américains.

    En conclusion et en l’état actuel des informations disponibles, tout citoyen européen peut légitimement se poser la question de la capacité de l’équipe de négociateurs européens à défendre les intérêts de l’UE dans les négociations menées pour conclure le TTIP. Manifestement, ce dispositif ne permet pas de négocier à armes égales avec les États-Unis. La communication affichée n’atténue pas l’opacité caractéristique des négociations de ce traité, on ne lève pas l’opacité par des effets de communication.

    http://www.infoguerre.fr/culture-et-influence/edito-linfluence-americaine-dans-le-dispositif-europeen-du-ttip-5544

  • Paniqués, ils voient tout dans le rétroviseur des années 30

    Le monde actuel est compliqué ? Plutôt que de reconnaître sa singularité, certains essaient de faire de notre époque un pur décalque des années 30. Et qu’importe les simplismes et les anachronismes. Pour ceux-là, la crise économique de 2008 c’est 1929, l’annexion de la Crimée c’est Munich, l’affaire Bygmalion c’est l’affaire Stavisky, "Valeurs actuelles" c’est "Gringoire", les JO de Sotchi en 2014 ceux de 1936 à Berlin

    Place de la Concorde, le 6 février 1934 - Wikimedia commons - cc

    A force d’être des réflexes, puis des rengaines, cela devient des livres. Le « retour des années 30 » est un refrain de librairie avec les ouvrages de Claude Askolovitch, Pascal Blanchard, Renaud Dély, Yvan Gastaut, Les années 30 sont de retour. Petite leçon d’histoire pour comprendre les crises du présent (Flammarion) et de Philippe Corcuff, Les années 30 reviennent et la gauche est dans le brouillard, (Textuel). Les couplets ? La crise économique de 2008 c’est 1929, l’annexion de la Crimée c’est Munich, l’affaire Bygmalion c’est l’affaire Stavisky, Valeurs actuelles c’est Gringoire, les Jeux olympiques de Sotchi de 2014 ont réédité ceux de 1936 à Berlin, le « populisme » est une réincarnation du fascisme, etc.

    Cette vulgate journalistique, peinturlurée sur des kilomètres d’éditoriaux politiques est connue. Peut-être même devient-elle trop banale, alors les assimilateurs augmentent la dose d’anachronisme comme Monsieur Plus la dose de chocolat dans les confiseries Bahlsen. Le Printemps français qui a fait défiler curés et enfants en poussette ? A rapprocher des cadavres de l’émeute liguarde du 6 février 1934. L’« islamophobie » dont Elisabeth Badinter est présentée comme une pionnière ? Assimilé à l’anti-communisme qui a conduit à l’engagement nazi dans la Légion des volontaires français. A ce rythme, Corcuff se retrouve vite à faire un « parallèle » entre Maurras et Finkielkraut : « Charles Maurras, père de l’Action française, pole d’extrême droite et d’antisémitisme dans les années 30, est élu à l’Académie française en 1938 dans un contexte antisémite. En 2014, Alain Finkielkraut est élu à l’Académie française dans un contexte islamophobe alors qu’il joue avec le feu sur des thèmes islamophobes ». De son œil exercé, Laurent Joffrin a d’ailleurs diagnostiqué dans l’indignation du philosophe une confirmation de la qualité du livre le dénonçant : « Ce livre énerve Alain Finkielkraut : il ne peut pas être entièrement mauvais ». La dialectique se renforce comme on disait plus récemment que dans les années 30…

    Une fuite... en arrière !

    Cette nouvelle mode intellectuelle trahit en fait une panique morale face au monde nouveau et à ses dilemmes. La réalité actuelle n’a rien de commun avec l’Europe des années 30. Face à la mondialisation financière, technologique (internet), culturelle, face au retour des nations à l’Est après la glaciation communiste, face aux convulsions musulmanes qui se réveillent après la parenthèse coloniale, face aux enjeux écologiques vertigineux, les catéchistes ont de quoi être désarmés. L’Histoire longue se remet en marche. D’où cette nostalgie pour le théâtre européen des années 30 : tout y est simple comme les slogans gauchistes qui ont baigné la jeunesse de nos auteurs. Perdus, ils préfèrent se plonger dans ce passée révolu pour s’y donner rétrospectivement le beau rôle plutôt que d’affronter ce monde qui bouge. [....]

    La suite sur Marianne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paniques-ils-voient-tout-dans-le

  • Résolution sur l'avortement : Marion Maréchal Le Pen aurait voté contre

    Marion Maréchal-Le Pen était absente mercredi lors du vote de la résolution sur l'avortement. Présent lui a demandé pourquoi. Extrait :

    "Je n’ai pas été volontairement absente. J’ai eu un impératif personnel qui m’a empêchée d’être là. Je l’ai beaucoup regretté. Et je n’ai pas pu déléguer mon vote parce qu’il ne s’agissait pas d’un vote solennel, ce n’était pas une loi.

    Est-ce que si vous aviez été là vous auriez voté contre ?

    J’aurais voté contre. Gilbert Collard a préféré voter l’abstention. Cette résolution est une évolution et même une rupture très violente, parce qu’avec cette apparition du « droit fondamental » de l’avortement, on va remettre en cause l’ensemble de son encadrement comme une entrave à son accès. C’est vrai, mea culpa, j’ai regretté mon absence et je m’en excuse."

    Michel Janva

  • Le monde associatif : une représentation pyramidale socialiste

    « Étrangement les trois quarts des personnalités siégeant au « mouvement associatif » sont socialistes ».

    Le monde associatif est présenté comme l’enfant chéri du gouvernement – en tout cas le monde associatif subventionné. Il y a des raisons à cela : sa représentation pyramidale fait la part belle aux socialistes.

    Le système est assez simple : des associations se regroupent en coordination. Les coordinations se regroupent en conférence permanente… des coordinations associatives. Le tout se dénomme « mouvement associatif » et est érigé en interlocuteur des pouvoirs publics. Étrangement les trois quarts des personnalités siégeant au « mouvement associatif » sont socialistes. Et les associations qui y sont représentées sont perfusées de subventions publiques de l’Etat, des régions, des départements, des intercommunalités, des communes. Polémia publie ci-dessous une étude de Julius Muzart sur la « Conférence permanente des coordinations associatives ».

    Polémia , 
    27/11/2014

    Lire la suite (pdf) en cliquant ICI

  • Mercredi 3 décembre à 19h30 : Opération #Sentinelles à l’Assemblée Nationale

    Mercredi 3 décembre à 19h30 : Opération #Sentinelles à l’Assemblée Nationale, à la veille d’une proposition de loi contre la #GPA devant les députés. Venez nombreux !

    Cette proposition de loi « visant à lutter contre les démarches engagées par des Français pour obtenir une gestation pour autrui » a déjà été rejetée par les députés socialistes et écologistes, majoritaires, en commission parlementaire le 26 novembre dernier. Elle sera discutée en séance publique à l’A.N. le jeudi 04 décembre.

    Cette proposition de loi comprend deux articles :

    • Le premier renforce les sanctions contre les entreprises proposant des contrats de mère porteuse.
    • Le deuxième prévoit de punir d’une amende et d’une peine de prison les parents effectuant des démarches en vue d’une GPA.

    Les #Sentinelles vous invitent en outre à signer la pétition de La Manif Pour Tous pour l’abolition de la #GPA au niveau européen. La France doit montrer l’exemple !

    Le Salon Beige

  • Mais pour qui roulent les Antifas ?

    Le samedi 29 novembre, les Antifas et autres antiracistes autoproclamés se sont mobilisés pour protester contre la tenue du congrès du FN à Lyon.

    On savait les Antifas assez sots ou assez pervers pour servir de milice au système tout en faisant mine de le combattre. La mansuétude dudit système à leur égard, à Nantes notamment, aurait d’ailleurs dû alerter les plus sincères d’entre eux. Les évènements lyonnais du 29 novembre permettent de se demander si leur situation n’est pas encore plus dramatique.

    Le samedi 29 novembre, en effet, les Antifas et autres antiracistes autoproclamés se sont mobilisés pour protester contre la tenue du congrès du FN à Lyon. Leur petite manifestation de 2 à 3.000 personnes (selon la préfecture comme selon les organisateurs et les journalistes) s’est déroulée comme prévu : manifestants cagoulés et armés de bâtons en tête, slogans haineux au second rang et dégradations en tout genre en arrière-plan.

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  • Béatrice Bourges : "L’abrogation de la loi Taubira est un enjeu de civilisation"

    Tribune libre. Béatrice Bourges est Porte Parole du Collectif pour l’enfant et Porte Parole du Printemps Français.

    Abroger ou ne pas abroger la loi Taubira, telle est la question. Un an et demi après l’adoption de ce texte, le sujet est encore d’actualité, tant il est clair que, justement, rien ne l’est !

    L’abroger, la réécrire, en faire une autre, y mettre un contrat d’union civile, ou pas, ou son contraire, c’est un petit jeu d’équilibristes à rendre jaloux les meilleurs acrobates et funambules.

    Nicolas Sarkozy veut deux mariages, un pour les hétéros, un pour les homos, un qui donne le droit d’avoir des enfants, l’autre pas. « Si vous préférez qu’on dise (qu’il faut) abroger la loi Taubira pour en faire une autre... En français, ça veut dire la même chose... Ça aboutit au même résultat. Mais enfin, si ça vous fait plaisir, franchement, ça coûte pas très cher » dit-il le 15 novembre dernier devant un parterre de militants réunis pour entendre les trois candidats à la présidence de l’UMP. Les militants sont contents, ils ont eu le mot magique : ouf, Nicolas a parlé d’abrogation ! Sens commun, organisateur de cette réunion se félicite de la position exprimée par l’ancien Président de la République. Chapeau l’artiste : comment prendre les gens pour des imbéciles et réussir, en plus, à se faire applaudir ! […]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Beatrice-Bourges-L-abrogation-de

  • Les femen défigurées à Brest. Les dessous de ce groupe mis à nu…

    Les portraits des “Femen” ont été détruits à Brest. Cette poignée d’agitratices, financées par des oligarques juifs, sont connues pour leurs actes de profanation réguliers contre la religion catholique.

    Mercredi après-midi, trois portraits consacrés aux pseudo “activistes féministes” ont été vandalisés, leurs visages lacérés, dans la galerie du Centre Atlantique de la Photographie, au Quartz.

    « Ce n’est certes pas un acte gratuit, réagit, devant « cet incident sans précédent et non revendiqué », l’idiot utile culturo-mondain François-Nicolas L’Hardy, directeur du CAP et commissaire de l’expo « La Vague » , où est présentée, depuis début novembre, la série des Femen.

    Le photographe Vincent Gouriou, portrait type du con de gauche à qui l’on peut faire avaler toutes les manipulations, s’explique :

    « Même si je ne me reconnais forcément dans leurs actions, je les rejoints sur leurs messages. Et ça me fait plaisir de les faire passer. En les photographiant, je prends parti, c’est ma façon de les soutenir. Artistiquement, je parle souvent de genre, d’identité sexuelle. Le féminisme en est une inspiration essentielle. »

    Femen : une association bidon manipulée par la finance cosmopolite

    Derrière un “féminisme” factice, se cachent des intérêts connus, à commencer par ceux d’organisations sionistes internationales. On relèvera ainsi que la défense, au plan judiciaire, de cette poignée de « prostituées » est assurée par Patrick Klugman, un militant pro-israélien bien connu lié à l’ambassade d’Israël et au Parti Socialiste Français.

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