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lobby - Page 1757

  • Pourquoi la liberté accordée à Charlie Hebdo est-elle refusée à Zemmour et tolérée chez Houellebecq ?

    Lu dans les Echos : 

    "Avec ses dessins, Charlie Hebdo a pu choquer certaines sensibilités. Avec leurs mots, Michel Houellebecq et Eric Zemmour ont pu en faire autant. Pourquoi défendre la liberté d'expression des uns quand on conteste celle des autres ?

    La tuerie dans les locaux de l’hebdomadaire satirique est inqualifiable. L’émotion légitime et l’élan de solidarité que suscite ce drame nous incitent à nous interroger sur cette notion de liberté à laquelle ses victimes étaient tant attachées.

    Éric Zemmour est voué aux gémonies pour un mot qu’il n’a pas prononcé. Michel Houellebecq est salué pour un roman tendancieux. Et Charlie Hebdo est pleuré pour des caricatures jugées offensantes par certains. Pourquoi la liberté accordée à Charlie Hebdo est-elle refusée à Zemmour et tolérée chez Houellebecq ? Qu’y a-t-il d’offensant chez l’un qu’on ne retrouve pas chez les autres ? Qu’elle est cette liberté qui nous est si chère ?

    "La liberté pour quoi faire ?"

    Clémenceau nous demande d’en faire bon usage : "la liberté c’est se discipliner soi-même pour n’être pas discipliné par les autres". Bernanos, dans un ouvrage intitulé : "La liberté pour quoi faire ?", s’interroge sur ce que nous en faisons. Chacun de nous a son idée de la liberté.

    Cette idée qui nous est propre, s’inscrit dans une vision plus large de la société telle que nous la concevons. Pour les uns, il est interdit d’interdire, selon la formule soixante-huitarde. Pour les autres, tout doit être normé. Entre ces deux extrêmes s’inscrivent de nombreuses variantes. 

    Quelle que soit notre vision, nous souhaitons qu’elle s’impose aux autres. Éric Zemmour est libre d’écrire ce qu’il veut, mais par l’oukase que nous lui adressons , nous bornons sa liberté. Ainsi, par un cheminement imprévu, la liberté se transforme-t-elle en instrument politique" (suite).

    Le Salon Beige

  • Le réveil des Français

    Bien sûr que « Le Gaulois » ne partage pas les mêmes opinions que « Charlie Hebdo » sur un certain nombre de sujets… sur beaucoup, pourrait-on même dire.

    Il n’empêche que, après l’attentat islamiste d’aujourd’hui, « Le Gaulois » apporte son soutien sans réserve à l’hebdomadaire satirique.

    Par-delà les divergences de points de vue, c’est le combat anti-islamiste qui doit en effet primer. À tous les niveaux.

    Christine Tasin l’a dit et redit : « L’islam est une saloperie ! ». Pour ses propos, après jugement, elle a été relaxée par la Cour d’Appel de Besançon. Alors, n’hésitons pas à répéter sans cesse cette vérité non condamnable. 

    Les médias auront beau se faire l’échos de l’imam de Drancy venu sur les lieux de l’attentat pour nous expliquer que celui-ci n’a rien à voir avec l’islam, les Français ouvrent enfin les yeux. Il suffit de lire ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux et d’entendre ce que disent les gens dans la rue concernant leur refus de l’immigration/islamisation.

    De ce point de vue, les « pseudo-politiques » de Hollande à Sarkozy vont-ils continuer encore longtemps de tergiverser lâchement à force de ne pas vouloir « stigmatiser » et de « ne pas faire d’amalgame » ?...

    La Mairie socialiste de Paris fêtera-t-elle toujours le ramadan tout en parlant de laïcité ?...

     Les enfants des écoles devront-ils être obligés de manger « halal » pour ne pas vexer les musulmans ?...

    Tolérerons-nous encore les plaintes contre les crèches et les sapins de Noël ?... alors que ces mêmes musulmans ne rechignent pas à recevoir la « prime de Noël » ?...

    Les morts et les blessés d’aujourd’hui seront-ils vengés ?...

    Alors oui, les Français en ont marre ! Ils sont excédés de tant de veulerie devant une religion qui n’a rien à voir avec notre identité, avec nos racines et que certains essaient de nous imposer par le chantage, la culpabilisation et l’attentat.

    Gageons que les élections départementales et régionales de cette année montreront le réveil des Français.

    Marc NOÉ http://www.francepresseinfos.com/2015/01/le-reveil-des-francais-par-marc-noe.html

  • Non, je ne suis pas Charlie !

    Je ne crois pas qu’il faille se sentir obligé de répéter cette phrase toute faite comme une incantation pour avoir le droit d’exprimer sa compassion, de plaindre les victimes et les familles, de dire son inquiétude.

    « Non, je ne suis pas Charlie. » Et je ne crois pas qu’il faille se sentir obligé de répéter cette phrase toute faite comme une incantation pour avoir le droit d’exprimer sa compassion, de plaindre les victimes et les familles, de dire son inquiétude.

    Je ne suis pas Charlie parce que ce serait faire injure aux policiers qui sont morts, eux aussi. Ou alors, il faudrait dire également « je suis flic ».

    Je ne suis pas Charlie, parce que j’en ai toujours détesté le contenu, et que je n’envisage pas de le prendre aujourd’hui à mon compte. Pour être solidaire de leur calvaire, pour être indignée par ces sordides exécutions, la France entière n’est pas forcée de s’identifier à Charlie Hebdo.

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  • France 2 publie de nouvelles images de l’assaut contre le magasin Hyper Cacher

    Attention, ces images peuvent choquer la sensibilité des plus jeunes et des personnes non-averties.

    http://www.contre-info.com/

  • Coulibaly et les bons calculs de la Justice : 2013+5 = 2014

    Coulibaly fut condamné à 5 ans de prison en décembre 2013 :

    "Amedy Coulibaly avait été condamné pour le projet d'évasion d'un autre djihadiste présumé, Smaïn Ait Ali Belkacem, en 2010, dossier dans lequel Chérif Kouachi avait lui-même été mis en examen avant de bénéficier d'un non-lieu. Smaïn Ait Ali Belkacem avait été condamné en novembre 2002 à une peine de prison à perpétuité pour sa participation à l'attentat de la station RER Musée d'Orsay, en octobre 1995.

    Le procureur de la République de Paris avait requis trois ans d'emprisonnement à l'encontre d'Amedy Coulibaly en novembre 2013 «pour avoir préparé un projet d'évasion et un attentat de grande ampleur», selon des témoins de l'époque. En décembre 2013, celui qui est surnommé par ses complices «Doly de Grigny» ou «le petit noir de Grigny» a été condamné à cinq ans ferme.

    Le Salon Beige http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le préfet interdit la manifestation contre l'islamisme radical

    Par l’arrêté n°2015-00014, le Préfet de Police de Paris Bernard Boucauld a interdit le rassemblement Place de la Bourse contre l'islamisme radical.

    Prenant prétexte de l’attentat perpétré le mercredi 7 janvier contre le journal Charlie hebdo et invoquant le niveau alerte « attentat » du plan vigipirate ainsi que le caractère prétendument provocateur de ce rassemblement « à l’égard d’une parte de la population de cet appel et de la thématique développée et défendue par cette association », le Préfet a cru bon devoir interdire le rassemblement.

    Un recours a été fait contre cet arrêté. L'audience est prévue devant le juge adminisitratif demain à 10 heures.

    S’il n’est pas contesté que l’odieux attentat justife un niveau d’alerte élevé, ce dernier n’a cependant pas empêché l’organisation de centaines voire de milliers de rassemblements (souvent non déclarés) dans tout le pays. Pour autant, aucune préfecture n’a cru bon devoir interdire ces rassemblements bien que ces derniers comportaient en risque pour les manifestants.

    La liberté d'expression, ce n'est pas pour tout le monde.

    Michel Janva

  • La France menacée par l'islamisme et l'angélisme

    D'Ivan Rioufol :

    "Le danger islamiste en France ? Fantasmes xénophobes ! La nation invivable ? Élucubrations réactionnaires ! Dans l’univers cotonneux de la Hollandie, où les peurs sont bruyamment moquées, l’inquiétude est bannie. L’optimisme d’État est repris par le chœur médiatique, prêt à avaliser les fadaises du Politburo sur le doux vivre ensemble et l’avantageux socialisme. On connaît la fin de l’histoire : mercredi, tandis que la France cédait à la Grande-Bretagne sa place de cinquième puissance mondiale, deux djihadistes faisaient un carnage à Charlie Hebdo (12 morts, dont six fameux journalistes). Une fusillade mortelle éclatait aussi jeudi matin dans une rue de Paris. Bien plus qu’une attaque contre la presse et la liberté d’expression, ces tueries sont une déclaration de guerre à la France. Elles obligent l’État pantouflard à se confronter à ses ennemis intérieurs, qu’il n’ose nommer par angélisme.

    Les propagandistes du "Tout va très bien" peuvent mesurer leurs sottises, eux qui brocardent les "déclinistes" coupables de s’affoler de ce qu’ils voient. Depuis le 7 janvier - date qui clôt quarante années de désastres idéologiques - les dénégationnistes sont en sursis. Certes, ils persistent à édulcorer les dangers, obscurcir les causes, désigner de faux coupables. Ils ne peuvent admettre leur responsabilité dans le déclassement de la nation et son éclatement. Le complexe politico-médiatique, qui verrouille encore le Système, va ainsi s’accrocher à son pouvoir, et méchamment. De ce point de vue, 2015 promet son lot de faussetés qu’il faudra combattre. Mais les réalités brutales sont les meilleures alliées de ceux qui somment les autruches de relever la tête, ou de déguerpir.


    S’observe, dans la France de ces faiseurs de morale, une odieusecomplaisance pour le fascisme qui s’installe dans les cités et qui vient de tuer : tel est le scandale qu’étouffe la bonhomie élyséenne, qui se contente de répéter avec ses perroquets :"Pas d’amalgame !""

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’unité nationale n’est pas possible !

    Hélas la réalité finit toujours par nous rattraper et elle fait mal.

    Après le drame de Charlie Hebdo, la prise de conscience amère, et les réactions, l’espace d’un instant, on a cru pouvoir retrouver une unité nationale que l’on croyait perdue. La France est attaquée et les Français se retrouvent pour faire front commun contre la barbarie.

    Très vite sont organisés, partout en France, des rassemblements en soutien aux victimes et surtout à leurs familles. Des foules disparates, de toutes obédiences politiques et religieuses. J’ai espéré y voir la réponse appropriée au Suicide français. Non, M. Zemmour, le peuple français ne meurt pas, il se révolte !

    Lire aussi : Non, je ne suis pas Charlie !

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  • Marine Le Pen et le FN ne seront pas présents à la « marche républicaine »

    Marine Le Pen et le FN ne seront pas présents à la « marche républicaine ». Il est vrai qu’elle n’y a pas sa place, ne serait-ce que pour la raison qu’elle ne doit pas défiler aux côtés de ceux qui indéniablement, par leur politique, ont une responsabilité dans le carnage de Charlie Hebdo.

    Mais Marine est fine tacticienne, elle s’y est pris de manière très intelligente. Alors que tous les suiveurs – y compris le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman) – accouraient pour annoncer leur participation à cette marche, Marine Le Pen s’est étonnée de ne pas y avoir encore été invitée. D’où l’embarras de ses adversaires politiques qui sont bêtement tombés dans le panneau : faut-il oui ou non inviter Marine le Pen ?

    Les plus intelligents – et les plus redoutables – comme Alain Juppé et Julien Dray ont vite flairé le piège et dit qu’il fallait que tout le monde soit uni, comprenez donc, y compris Marine Le Pen. Les plus sectaires et les plus stupides ont hurlé leur indignation d’une telle proposition, écartant Marine Le Pen d’une marche à laquelle elle ne désirait pas franchement participer !

    Résultat, la présidente du Front National gagne sur les deux tableaux : elle apparaît encore un peu plus comme la solution sécuritaire face à l’Islam, solution rejetée encore une fois par une classe politique qui montre un peu plus sa réelle uniformité.

    Bien joué Marine !

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-et-le-fn-ne-seront-pas-presents-a-la-marche-republicaine/22378

  • Les « élites » contre Pegida (Présent 8267)

    « Nous sommes le peuple ! », voilà plus de deux mois que des foules de plus en plus nombreuses défilent avec ce slogan dans les rues des principales cités allemandes. On notera qu’elles ne disent pas « Nous sommes le peuple allemand. » Néanmoins, la droite du CSU comme des alliés sociaux-démocrates du SPD de la coalition en place ne veulent voir dans ces démonstrations que l’expression d’une « haine »nationaliste. Ainsi Angela Merkel a-t-elle déclaré : « Nous devons dire (…) que l’extrémisme de droite, l’hostilité envers les étrangers et l’antisémitisme ne doivent avoir aucune place dans notre société. »

    Les « élites » contre Pegida (Présent 8267)Nul n’a jamais entendu dans ces défilés le moindre cri hostile aux juifs, ce qui n’empêche pas Mme Merkel d’en fustiger l’antisémitisme. Et si tous les manifestants étaient d’extrême droite, alors cet extrémisme-là serait singulièrement puissant qui, tous les lundis, réuniraient depuis des semaines des dizaines de milliers de participants dans de nombreuses villes ! En réalité, c’est le tout-venant des citoyens allemands que l’on retrouve sur le pavé, las de se sentir de moins en moins chez eux dans leur pays.

    Les étrangers ? Outre-Rhin, nos voisins n’ont rien contre les Suisses, les Français ou d’autres Européens qui se fondent dans le paysage. Le problème, ce sont ceux qui se réclament de l’islam, d’où le nom du collectif qui appelle à manifester « Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident » (Pegida). Aussitôt, en un réflexe conditionné, la classe politico-médiatique pavlovienne a répliqué : « islamophobie ! »

     

    Comment les dirigeants pourraient-ils comprendre ce qui se passe en Allemagne – et ailleurs en Europe – s’ils continuent à n’y voir que ce qu’ils veulent : la haine, le racisme, l’extrémisme, l’islamophobie ? Ce genre de manifestations est sans précédent en Allemagne. Cela mériterait que Mme Merkel s’y arrêtât. Mais non ! Elle réduit cette nouveauté à des slogans éculés. Car c’est rassurant pour elle et la prétendue élite qui fait chorus.

    Crier « Nous sommes le peuple », ce n’est pas une manifestation de xénophobie, c’est revendiquer d’être écouté et compris par les pouvoirs en place. C’est dire que la politique d’immigration ne doit pas être décidée d’en haut, sans les citoyens et contre eux. Depuis 2010, l’Allemagne est la première destination des demandeurs d’asile. Pegida demande que soit mis fin à cela et au « fanatisme religieux et à toute forme de radicalisme » suscité par l’islam.

    Tous les pouvoirs se liguent contre ce peuple-là. Le pouvoir politique, certes, mais aussi le pouvoir religieux, le cardinal Woelki a éteint l’éclairage de la cathédrale de Cologne car les « pegidistes » devaient défiler devant. Le pouvoir culturel : l’opéra lui aussi est resté dans l’obscurité. Le pouvoir économique : le bâtiment de Volkswagen n’a pas été éclairé ce soir de manifestation. Le pouvoir médiatique: le quotidien Bild a pris position contre Pegida. C’est une nouvelle « sainte » alliance des « élites » conte le peuple, c’est-à-dire de ceux qui, dans leurs quartiers protégés, ne souffrent ni de l’immigration ni de l’islamisation et voudraient que les humbles qui en sont les premières victimes courbent l’échine.

    Guy Rouvrais

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