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lobby - Page 1998

  • 6 février 1934 : 80 ans après, l’Action française bouge encore

     

    Avec un effort louable d’information et une bonne dose de ... désinformation...

    Où l’on y apprend que l’AF « promeut le retour aux provinces de l’Ancien Régime, avec leurs parlements régionaux. » Même Maurras, en 1898, dans L’Idée de Décentralisation, juge déjà les anciennes provinces dépassées ! Et le retour au carrosses, aussi ?

     

    « Je t’emmerde ! » La dernière saillie de Manuel Valls a beaucoup fait parler d’elle, dans la presse et les couloirs du Palais-Bourbon. Le ministre de l’intérieur répondait au député UMP Pierre Lellouche qui lui reprochait d’avoir fait un parallèle entre la situation actuelle et celle de l’Europe d’avant-guerre. Dans une interview au JDD, Manuel Valls dénonçait alors une fronde d’« anti-républicains » et un climat comparable a celui des années 30, de la part d’une partie de la droite qu’il qualifiait de « réactionnaire ». Cette polémique a éclaté deux jours avant la commémoration des 80 ans d’un événement historique un peu oublié : le 6 février 1934.

    (Photo : D.R.)Ce jour-là, dans un contexte de crise politique et économique, auquel il faut ajouter un très fort anti-parlementarisme, environ trente mille anciens combattants et membres de ligues d’extrême droite, rassemblés place de la Concorde, tentent de marcher sur l’Assemblée nationale. La répression policière qui s’ensuit fera 15 morts et 2.000 blessés. La « crise du 6 février 1934 », comme on l’appelle encore, entraînera la chute du gouvernement Daladier et marquera longtemps aussi bien l’imaginaire collectif que l’histoire politique française. [...]

    La suite sur Fait religieux

  • Gender : Eric Zemmour répond à ses contradicteurs

  • Strasbourg, nouveau faubourg d’Istanbul ?

    Le dossier de la nouvelle mosquée de Millî Görüş poursuit tranquillement son cours...

     
     

    « Une faculté de théologie islamique, un lycée en prévision, de nouvelles mosquées… les projets de la communauté d’origine turque à Strasbourg, forte de 15 à 20.000 personnes, sont nombreux », apprend-on ces jours-ci sur le site Rue 89 de Strasbourg. Véritable mine d’informations sur la Turquie, Rue 89 salue entre autres, béat d’admiration, « le projet de construire une nouvelle mosquée, plus grande, plus belle et digne d’accueillir la plus importante communauté d’origine turque de France ». Une demande de permis de construire a même été déposée en ce sens en décembre dernier par une association qui dépend du mouvement Millî Görüş (« Voie nationale religieuse »).

    Débouté à Mulhouse, Millî Görüş remet le couvert à Strasbourg où l’on semble ignorer ses attaches extrémistes que l’on connaît pourtant bien outre-Rhin.

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  • Quand Laurent Fabius ment ouvertement sur l'attaque au gaz attribuée à Bachar Al Assad en Syrie

  • Révélation sur un mensonge : Najat Belkacem aura-t-elle l'honneur de démissionner ?

     

    C'est une bombe que révèle l'hebdomadaire Valeurs Actuelles ce soir :

    V"Après avoir menti aux Français sur la théorie du genre à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, ministre déléguée des Droits des femmes, tente désespérément de se raccrocher aux branches en faisant signer aux partenaires sociaux, une tribune rédigée…par son propre cabinet !

    [...] Il est proposé à des organisations de plusieurs sensibilités (CFDT, FO, CGT, CFTC, Medef entre autres), de cosigner un texte, défendant les ABCD de l'égalité. Les ABCD, très critiqués depuis le succès de La Manif Pour Tous du dimanche 2 février, ont pour but d'inculquer aux enfants la théorie du genre, de manière déguisée. [...]

    Valeurs actuelles a pu consulter ce document. Il ressort de son étude que ce texte n’est pas l’œuvre des partenaires sociaux, mais qu’il a été rédigé par un proche conseiller de la ministre : Thierry Breton, chargé de l'égalité professionnelle à son cabinet. En outre, la dernière relecture du texte a été supervisée par Jérôme Teillard, directeur adjoint du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem !"

    Voici ce texte de propagande :

    "« Nous ne ferons pas l’égalité dans l’emploi sans un apprentissage de l’égalité à l’école ! »

    NIl n’est pas habituel pour nous de prendre la plume sur une question dont beaucoup nous considère éloignés, celle de l’éducation à l’égalité à l’école.
    Notre attachement à l’Ecole de la République est celui de tous les citoyennes et citoyens de ce pays. L’école est le lieu des apprentissages ; c’est aussi le creuset où se fonde le « vivre ensemble » indispensable à la cohésion sociale, où se transmettent les valeurs auxquelles nous sommes tous  attachés, la liberté, l’égalité, la fraternité.
    Et, soyons clairs, la transmission d’une culture de l’égalité ne peut se faire, aujourd’hui comme hier, sans aborder la question de l’égalité entre les filles et les garçons, l’égalité entre les femmes et les hommes.
    Ce n’est évidemment pas une question de théorie. C’est une nécessité démocratique mais c’est aussi un impératif pour lutter et annuler des inégalités professionnelles.
    En tant que responsables d’organisations syndicales et d’organisation patronales, nous sommes mobilisés pour réduire les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes qui perdurent sur le marché du travail. Par le dialogue social, sous l’impulsion de la loi, nos organisations s’engagent pour supprimer les écarts de salaire, les différenciations injustifiées de parcours professionnels, pour lutter contre des représentations dépassées qui renvoient femmes et hommes à des activités hiérarchisées et enferment encore trop souvent les femmes entre plafond et parois de verre.
    L’égalité sur le marché du travail ne se fera pas de manière isolée. Elle est complémentaire et solidaire d’un progrès de toute la société, d’une société dans laquelle les responsabilités entre femmes et hommes sont mieux partagées.
    C’est à la société dans son ensemble de se mobiliser. Et l’Ecole joue évidemment un rôle fondamental. Inutile de croire qu’un jour nous pourrons supprimer les écarts de salaire et le plafond de verre, si l’apprentissage de l’égalité ne commence pas dès le plus jeune âge. Inutile d’imaginer que nous pourrions faire la mixité des métiers si nous ne donnons pas confiance à nos enfants, si nous ne leur expliquons pas que tous les horizons professionnels sont possibles, que tous les métiers sont ouverts, que toutes les responsabilités peuvent être assumées, à égalité.
    Parce que nous voulons réussir l’égalité professionnelle, parce que la transmission d’une culture de l’égalité dès le plus jeune âge est une nécessité et qu’elle contribuera à la compétitivité de notre économie, nous soutenons l’esprit et la démarche des ABCD de l’égalité."
  • Théorie du genre – La vidéo du défi lancé par Civitas à Vincent Peillon déjà vue par plus de 100.000 Français

  • Manifestation pour la dissolution des femen : ce sera place Vauban

    ACommuniqué de l'Agrif :

    " Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation. Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté. L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban."

    Ce sera une manifestation statique ponctuée de discours.

    Concernant la demande de retrait du timbre FEMEN, vous pouvez rejoindre la page Facebook dédiée.

    Michel Janva

  • stéréotypes

    Il y a peu un reportage dans une maternelle touchée par le programme ABCD, nous montrait deux bambins de quelque trois ans en train de baigner, apparemment sans grande conviction, chacun une poupée dans une baignoire en plastique. L’amusant était d’ailleurs qu’une des poupées était noire et l’autre de type asiatique. A l’évidence on voulait les convaincre que malgré les stéréotypes, des garçons pouvaient jouer à la poupée. Visiblement les gamins, pas très convaincus, agissaient sur ordre.

    Des stéréotypes chez des enfants de trois ans, mais où vont ils chercher ça ? Ils les auraient acquis où et quand ? Il n’empêche les institutrices très excitées avaient l’air convaincues de la menace et de la nécessité de réagir.

    On ne peut qualifier ça que de lavage de cerveau, et laver le cerveau d’enfants de maternelle, c‘est grave, genre totalitaire, Goebels n’est pas loin.

    On me dira que j’ai des fantasmes et que tout ça c’est anodin et pour le bien des enfants qui pourront apprécier plus tard les joies des « tâches ménagères (qui) ne sont pas sans noblesse. »

    Peut être mais avec un ministre qui veut remplacer la religion catholique qui s’oppose à tout « progrès », par une religion qui défende les valeurs de la république, je me méfie. D’autant que l’autre, la jeune Najat Belkacem, me semble un mauvais exemple question stéréotype, car, à la voir toujours pomponnée, elle doit en passer du temps chez son coiffeur et devant son miroir. Autre chose que Mélenchon qui n’a pas du suivre en son temps le programme ABCD.

    Il n’est que de feuilleter la presse féminine, on voit bien que ces dames n’ont pas les mêmes préoccupations  que les lecteurs de l’ Equipe, de Paris Turf et de l’Auto Journal.

    Ce qui est remarquable avec les socialistes c’est qu’ils veulent faire le bonheur de gens qui ne leur ont rien demandé. Croit-t-on que la préoccupation actuelle du menu peuple est le mariage pour tous, la libéralisation de l’avortement et les langues régionales ? Au contraire comment peut-t-on faciliter l’avortement dans un pays qui se dépeuple, pousser les mères de famille au travail avec trois millions de chômeurs, et enseigner le ch’ti quand personne n’écrit plus correctement le français.

    Il est faux de prétendre que l’égalité c’est l’identité : il est bien évident que les hommes et les femmes n’ont ni les mêmes aptitudes ni les mêmes appétences : si une fille, veut être policière, il me semble évident qu’elle ne rendra pas les mêmes services qu’un homme. C’est ce que l’on peut constater d’ailleurs, les patrouilles sont maintenant de trois au lieu de deux autrefois, la norme étant maintenant deux hommes et une femme. Par contre je le dis tout net, j’aime mieux me faire soigner par une infirmière, les femmes sont beaucoup plus douces, patientes et gentilles.

    Il faudrait quand même se préoccuper de certains domaines monopolisés par les femmes, l’enseignement d’abord et surtout la justice – 80% de filles à l’Ecole de la Magistrature - car être jugé par une femme ou par un homme, pour certains délits et crimes, n’est pas indifférent.

    Du reste la libération de la femme n’a guère eu de conséquences bénéfiques sur la société, multiplication des divorces, des familles monoparentales ou recomposées, enfants livrés à eux mêmes et pas élevés. Quand on voit ce qui se passe dans les établissements scolaires de « quartiers sensibles », on se dit que c’est plus à ce niveau qu’il y aurait lieu de reprendre en main l’enseignement du « vivre ensemble » et de la discipline.

    http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com/

  • Le statut de « beau-parent », arme de dilution de la famille

    À la Une des journaux, le statut du « beau-parent » est revenu récemment sur le devant de la scène avant de disparaître – pour l'instant – avec la loi Famille finalement repoussée par le gouvernement. Mais l'idée fait son chemin, et comme l'euthanasie, comme l'avortement, comme toutes ces lois subversives, elle reviendra d'une façon ou d'une autre. Publié dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, cet article fait le point sur le sujet. À lire et à conserver pour préparer l'avenir. La famille n'est pas un lien d'expérimentation.  

    Un phénix dangereux

    Tel le phénix qui renaît de ses cendres, le statut du « beau-parent », maintes fois annoncé, chaque fois contesté, chaque fois abandonné, réapparaît encore comme soi-disant nouveauté dans les annonces du gouvernement.

    Rien de nouveau sous le soleil, et la même histoire se répète. On part d’un constat imaginaire selon lequel la vie quotidienne dans les familles recomposées serait très compliquée, à cause du droit. Cela sert de prétexte pour annoncer avec solennité des mesures qui existent déjà, pour remédier à ces problèmes imaginaires, le tout en officialisant au passage le statut du « beau-parent », comprenez l’adulte non parent impliqué dans l’éducation de l’enfant parce qu’il vit avec le père ou la mère de ce dernier.

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  • Farida Belghoul sur Meta TV – Libre Antenne du 31 janvier 2014