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lobby - Page 2001

  • La théorie du genre et le rapport Lunacek

    Avec une mauvaise foi crasse, quantité de médias complices du pouvoir clament ces jours-ci que la théorie du genre n’existerait pas et qu’elle serait une fabulation réactionnaire.

    Il suffit pourtant  de prendre connaissance de la « Feuille de route de l’UE contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre » pour s’apercevoir qu’il ne s’agit pas d’un épouvantail mais d’un vrai danger qui s’étend. Bien entendu, ce rapport est indigeste, rédigé dans un langage de technocrate et rebutera la plupart de ceux qui voudraient s’y intéresser pour comprendre l’esprit – l’idéologie, faudrait-il écrire – de ce document officiel.

    C’est le député européen autrichien Ulrike Lunacek, Vice Président de l’Intergroupe du Parlement européen sur les droits LGBT qui en est le rapporteur. Ce qui explique que certains parlent du « rapport Lunacek ».

    D’emblée, il saute aux yeux que les auteurs du rapport sont des adeptes du mondialisme et n’ont aucune intention de laisser les Etats membres conserver la moindre souveraineté dans les domaines traités. Le concept de subsidiarité est inconnu, place à la globalisation.

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  • Atteintes à la liberté et répression policière : Manuel Valls vs Béatrice Bourges

    Communiqué de Jour de Colère :

    WP_20140130_018"Ce jeudi 30 janvier à 12h30, une important intervention de police s'est déroulée dans le 7ème arrondissement de Paris, aux abords de l'Assemblée nationale. Après un bouclage de la place Edouard Hériot par un imposant dispositif policier, un car de la Préfecture de Police de Paris a été amené sur les lieux afin de procéder à des mises en garde à vue.

    Objectif de cette opération : interpeller une femme assise sur un banc. Son nom : Béatrice Bourges. Son crime : avoir entamé depuis 5 jours un jeûne complet pour enjoindre la représentation nationale d'assumer ses responsabilités face à la crise politique que traverse notre pays.

    L'enjeu : permettre la mise en oeuvre de la procédure de destitution du Président de la République pour manquement à l'exercice de ses fonctions, selon les termes de l'article 68 de la Constitution. Cette procédure est en effet aujourd'hui bloquée par une sorte de pacte mafieux entre les parlementaires et le pouvoir, qui prétendent que l'article 68 de la Constitution est inapplicable.

    WP_20140130_006Pour faire taire Béatrice Bourges, le gouvernement a décidé d'employer les grands moyens. Interpellée onze fois dans la seule journée de lundi, alors qu'elle a été rejointe dans son jeûne par une autre femme, elle a également subi des pressions psychologiques et physiques. La police, en particulier, a cherché à la priver de sommeil la nuit, qu'elle passe à proximité du Mur de la Paix sur le Champs de Mars, avant de rejoindre la place Edouard Hériot la journée. Sur cette place, d’innombrable atteintes à sa liberté de mouvement ont pu être constatées par des supporteurs venus la saluer, eux-mêmes victimes des tracasseries de la police.

    Mardi, la police est intervenue une première fois pour l'interpeller sur ordre du Ministre de l'Intérieur, qui se rendait à l'Assemblée pour les questions orales au gouvernement. Le député Guillaume Larrivé a demandé, lors de cette séance, la démission du gouvernement. Jeudi 30 janvier, Béatrice Bourges a de nouveau été interpellée malgré son état de faiblesse intense. Ne voulant pas provoquer, par sa présence dans la rue, un trouble à l'ordre public, elle a résolu de se réfugier temporairement dans un établissement proche. Un policier lui a barré la route, et elle a dû s'asseoir par terre à ses pieds. Des proches se sont alors interposés. Finalement, Béatrice Bourges a été autorisée à subir un examen médical, ce qui lui a évité une arrestation sans motif. Une de ses proches, qui gardait ses effets personnels, a été menacée d'arrestation par une demie-douzaine de policiers en tenues de maintien de l'ordre, qui l'ont finalement laissée partir.

    Jour de Colère rappelle que la liberté d'aller et venir est garantie par l'article 4 de la Déclaration des Droits de l'Homme qui figure au préambule de la Constitution de la Vème République. Jour de Colère condamne avec la plus extrême fermeté les abus flagrants auxquels se livrent des policiers sommés d'obéir à des ordres illégaux par une hiérarchie complice du pouvoir politique. A l'heure où l'opinion découvre que plus d'un millier de jeunes français s'initient au jihad en Syrie, la police du gouvernement Ayrault traite en terroristes deux femmes qui poursuivent un jeûne de protestation pacifique et non violent. Jour de Colère demande qu'il soit mis un terme immédiat à ces agissements, qui ont pour objectif avoué d'empêcher Béatrice Bourges de diffuser son message auprès des députés. Malgré ces intimidations, plusieurs parlementaires sont cependant venus la saluer depuis mardi."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une ancienne icône gay se convertit et épouse une femme

    Lu ici le récit de la conversion et du mariage de Michael Glatze :

    "L'information est passée inaperçue en France, et pour cause ! Elle ne plaît guère aux lobbys LGBT qui réclament une tolérance qu'ils sont totalement incapables de manifester...

    Michael Glatze - véritable icône du milieu gay - s'est marié le 26 octobre 2013 avec une femme prénommée Rebekah. En 2007, quelques années avant cet heureux événement, il avait quitté le magazine homosexuel "Young Gay America" - qu'il avait co-fondé et pour lequel il occupait le poste de Rédacteur-en-Chef -, en raison de sa conversion au Christianisme. En effet, au grand dam des lobbys LGBT, Michael Glatze est devenu un «born again», autrement dit : un chrétien «né de nouveau», en référence aux paroles du Christ, lors de son rdv avec Nicodème" (suite).

    Lahire

  • Les grandes banques françaises profiteraient de l’équivalent d’une subvention de 48 milliards !

    Les banques européennes bénéficient d’un « soutien » de 200 à 300 milliards d’euros par an, grâce à la garantie implicite que les États leur fournissent. L’équivalent de 1,5% du PIB européen ! Et près de deux fois le budget annuel de l’Union européenne !

    Telle est la conclusion d’une étude réalisée par l’expert financier indépendant Alexander Kloeck, à la demande des eurodéputés écologistes.

    Cette garantie implicite concerne principalement les banques « mixtes », qui combinent deux types d’activités au sein d’une seule entité juridique : banques de dépôts, elles gèrent l’épargne des particuliers ou des entreprises, et leur octroient des prêts ; banques d’affaires, elles interviennent sur les marchés financiers. En cas de faillite bancaire, les États sont garants « en dernier recours » des dépôts des épargnants. Sauf que dans le cas de ces banques mixtes, cette garantie de l’État s’étend de fait au département « marché » de ces mêmes banques. Car les investisseurs anticipent le fait que malgré les risques pris par une banque d’affaire, l’État sera toujours là en cas de faillite. Une telle garantie permet aux banques mixtes de bénéficier sur les marchés financiers de taux d’intérêts plus bas que ceux des banques d’affaires « pures » (celles qui ne sont pas aussi des banques de dépôt).

    Les agences de notation évaluent deux fois ces banques mixtes : une évaluation « stand alone », sur la banque seule, et une évaluation « all-in » – bien plus favorable – qui intègre la garantie des États. L’étude d’Alexander Kloeck se base notamment sur cet écart de note et les taux d’intérêt différents qui en résultent, en faisant la synthèse de nombreuses études déjà réalisées sur le sujet.

    Résultat : grâce à ces taux d’intérêt plus favorables, en 2012, le secteur bancaire européen a perçu l’équivalent de 234 milliards d’euros de subvention implicite des États, selon l’estimation moyenne la plus probable.

    Réformer le secteur bancaire
    En France, les quatre plus grands établissements bancaires sont des banques mixtes : BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE (Banque populaire – Caisse d’épargne).

    Cette garantie implicite de l’État français leur rapporterait l’équivalent d’une subvention annuelle de 48 milliards d’euros, selon l’économiste Gaël Giraud, chercheur au CNRS (lire notre enquête : Réforme bancaire : comment le gouvernement s’est écrasé devant le monde de la finance).

    En plus de ce cadeau substantiel, ces taux d’intérêt préférentiels encouragent les banques à développer leurs activités de marché et à prendre davantage de risques, analyse Alexander Kloeck. Ils favorisent ainsi la déconnexion entre spéculation financière et économie réelle. C’est également une distorsion de concurrence flagrante en faveur des banques mixtes par rapport aux autres banques.

    Une façon de mettre fin à cet incroyable avantage serait d’opérer une claire séparation entre banques de dépôts et banques d’affaires – en revenant ainsi à la situation qui prévalait dans les années 1990. Les banques mixtes ont été autorisées en France par la loi bancaire de 1984. Les premières banques mixtes françaises sont nées avec la fusion du Crédit Agricole et du Crédit Lyonnais, et celle de BNP et Paribas en 2000. Le gouvernement français, avec la réforme bancaire votée en 2013, n’a pas voulu s’opposer aux intérêts privés des puissantes banques françaises. L’Union européenne, qui planche actuellement sur une réforme des activités bancaires, osera-t-elle aller un peu plus loin ?

    Bastamag.net

    http://fortune.fdesouche.com/326852-les-grandes-banques-francaises-profiteraient-de-lequivalent-dune-subvention-de-48-milliards

  • L'avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle

    De Jean-Pierre Maugendre :

    "Qu’il s’agisse d’une manœuvre politicienne pour faire oublier la progression continue du chômage et de l’insécurité, les galipettes du locataire de l’Élysée, la détérioration régulière de nos finances publiques ou la montée des « grognes » sectorielles, cela ne change rien à l’affaire : l’avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle.

    La bataille sémantique n’a pas été gagnée par les désinformateurs. Si les élus socialistes, bien formatés, ne parlent que d’« IVG », beaucoup de journalistes et d’intervenants emploient le terme d’avortement qui correspond, lui, aux faits. En effet, le terme IVG est une manipulation de la réalité car une interruption (« nous vous prions de nous excuser pour cette interruption momentanée du son… ») n’est que momentanée alors que l’avortement est, lui, définitif.

    Le discours idéologique martèle que l’avortement est un droit des femmes, remis en cause par une minorité obscurantiste. Face à cela, le défenseur de la vie le plus sollicité par les médias, Jean-Marie Le Méné (président de la Fondation Jérôme-Lejeune) revient en permanence à la réalité de l’enfant qui existe déjà et il parvient généralement à faire admettre à son interlocuteur, ou le plus souvent interlocutrice, qu’il s’agit en fait pour la femme d’avoir la liberté de « garder ou non son enfant » (Axelle Lemaire, député socialiste sur BFM-TV le 20 janvier). Face à ce fait – l’existence de l’enfant – l’argument est alors souvent qu’il faut « s’adapter aux réalités de la société ». Dans ces conditions, il serait logique de légaliser les règlements de compte entre truands à Marseille ou les tournantes en banlieue. Quand le fait crée le droit c’est qu’il n’y a plus de droit.

    Un sujet demeure cependant très largement occulté dans ces débats : c’est la responsabilité du père dans la conception de l’enfant et, partant, son rôle ou plutôt son absence de rôle dans la prise de décision d’avorter ou non. Il a été abondamment glosé sur les femmes poussées à l’avortement par le conjoint, la famille, les amis… C’est une réalité qui en cache une autre, occultée celle-là : celle des pères qui auraient voulu garder leur enfant, car il s’agit aussi de leur enfant, et qui en ont été empêchés par la mère qui souhaitait avorter. Juridiquement, les pères n’ont aucun droit sur la vie ou la mort de leur enfant déjà conçu ! Peut-être un amendement sur ce sujet, au nom de l’égalité homme-femme, eut-il été opportun ?

    Le poids de la pensée unique s’avère terrifiant. Lorsque Jean-Marie Le Méné ose affirmer qu’il est pour l’avortement zéro dans tous les cas et toutes les circonstances, ses interlocuteurs affirment en rester sans voix, avant de se remettre à débiter leur discours idéologique. En effet, qui peut s’arroger le droit de décider de la vie ou de la mort d’un autre être humain, innocent, déjà existant ? Personne ! On doit cependant observer qu’aucun député, hormis Jacques Bompard, n’imagine de revenir sur la loi Veil qui semble intouchable. Nous ne sommes pas en Espagne où le gouvernement prévoit de faire voter une loi de progrès au service de la défense de la vie.

    Alors que toutes les campagnes de prévention routière usent et abusent d’une stratégie compassionnelle multipliant les témoignages de vies brisées par un accident de voiture, en ce qui concerne l’avortement il est interdit de mentionner le cœur de l’enfant qui bat à partir de quatre semaines, soit bien avant le terme du délai légal d’IVG, ou le sort des embryons détruits. C’est la diffusion de ce type d’informations que souhaite supprimer, par la loi, Najat Vallaud-Belkacem dans un déni de réalité typiquement orwellien. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février !

    Pour défendre la famille et l'enfant !
    Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris ou à Lyon, dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées dans de multiples domaines :
    Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.
    Alliance VITA, membre du collectif de La Manif Pour tous, soutient cette initiative et invite ses sympathisants à répondre présent à cet appel.
    Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte parole de La Manif Pour Tous, insiste dans son message sur la défense des plus fragiles, des enfants, des sans-voix : « Ils sont notre avenir. C’est pour eux que nous devons tenir et durer. C’est en leur nom que nous descendrons à nouveau dans la rue le 2 février, pour deux manifestations capitales à Paris et à Lyon ! »
    Cette nouvelle journée de mobilisation ne sera pas seulement nationale, puisque d’autres citoyens européens manifesteront dans leur capitale en même temps : Bruxelles, Budapest, Luxembourg, Madrid, Riga, Rome, Varsovie (et même Buenos Aires, Taïwan…).
    Aucune voix ne doit manquer pour défendre les familles !
    Des cars et des trains spéciaux sont organisés depuis tous les départements
    Si vous n'avez pas déjà réservé votre place, rendez-vous sur www.lamanifpourtous.fr

  • L'IVG est un crime contre la Vie, par Éric MUTH

    Ils ont médicalisé le crime, tué le Créateur à travers sa Création. À Quoi ça leur sert de tuer ces enfants ? Deux amendements, qui viennent d'être votés, banalisent encore l'IVG.
    La suppression de la notion de « détresse de la Femme » qui tend à faire de l'avortement un acte banal et un « droit » au lieu d'une tolérance. Et le début d'entrave de l'IVG qui est étendu au domaine de l'information.
    Cela signifie qu'un site comme IVG.NET risque de subir des procédures judiciaires qui entraveront fortement son efficacité et son activité vers les femmes qui appellent et qu'on peut mettre en garde contre les dangers de l'IVG. Car ce site les aide et les encourage dans l'accueil de la Vie.
    ABUS DE POUVOIR SCANDALEUX
    Les ministres Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem viennent de présenter conjointement un site « officiel » du gouvernement (à proscrire) pour accentuer la promotion du « droit à l'IVG ». L'objectif affiché est de délivrer une fausse information sans aucune précaution ni mise en garde. On préfère nier les problèmes plutôt que de donner des contre-indications à un « droit ». Car il faut oser inciter les Femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Naturellement aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.
    Il y a quarante ans, Simone Weil, en faisant voter la loi sur l'IVG qui porte son nom, rappelait à la tribune de l'Assemblée qu'elle voulait que l'IVG soit une « possibilité » et non un droit.
    Elle voulait faire une « loi dissuasive ». Faire obligation au médecin « d'informer complètement la Femme des risques médicaux de l'IVG » et faire prendre conscience à la Femme qu'il ne s'agit pas d'un acte normal ou banal, mais d'une décision grave qui ne peut être prise sans avoir pesé les conséquences et qu'il convient d'éviter à tous prix. Et le recours à l'IVG a de nombreuses incidences sur la vie des Femmes.
    Les Femmes qui ont recours à l'IVG sont très souvent marquées, d'une façon ou d'une autre par cette expérience. Chaque jour, en consultation, de nombreuses femmes racontent leur souffrance psychologique et leur mal être parfois des années après. Une IVG peut marquer douloureusement une vie et la santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques. Il ne faut pas ignorer les difficultés psychiques des Femmes qui ont subi une IVG.
    FAIRE RECULER LES PRÉTENTIONS LIBERTICIDES DE NAJAT BELKACEM
    Les Femmes enceintes ont besoin de réfléchir avant d'accepter cet acte grave, défendons ce droit. Elles ont besoin de parler sur IVG.NET : « Bonjour, j'ai besoin de parler à quelqu'un, il y a trois semaines, j'ai tenté de m'ouvrir les veines, mes parents sont arrivés à temps, on m'a envoyé chez un psy, mais je n'arrive pas à lui dire que j'ai 26 ans et qu'il y a 4 ans, j'ai avorté à 10 semaines. Je pensais être remise de ça, malheureusement ce n'est pas le cas, j'ai fait une erreur, je me suis laissée convaincre, je n'aurais pas dû avorter, et j'ai beaucoup de mal à vivre avec ce que j'ai sur le cœur ».
    Mais parce-que IVG.NET donne de précieux conseils, cela dérange au plus haut point Mme Belkacem et ses amies qui veulent fermer ce site. Nous pouvons faire reculer les prétentions liberticides de cette ministre sans scrupules et de la sénatrice Rossignol qui ont fait voter au Sénat un amendement visant à sanctionner ceux qui tentent d'empêcher les Femmes de s'informer sur l'IVG. La vie des Femmes en dépend.
    Parce que l'IVG n'est pas un acte banal, que trop de personnes le prennent comme un moyen de contraception comme un autre, alors que ce n'est pas le cas. L'IVG est un crime contre la vie, ne l'oublions jamais.

  • Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère

     Partie 1

    Partie 2 :

  • Loi de programmation militaire et neutralité du réseau, vie privée et démocratie en danger ?

  • Cette guerre culturelle qui nous est faite

    L’inquiétant Vincent Peillon. Le ci-devant ministre de  la propagande progressiste, à la tête d’un ministère qui mérita à une époque déjà lointaine l’appellation d’«Education nationale» (« Instruction nationale » eut été un terme plus juste tant il est vrai que l’éducation relève non de l’Etat mais des familles…), assure en bon franc-maçon la main sur le cœur, que la polémique sur l’enseignement de la  théorie du genre dans les écoles n’a pas de raison d’être. A l’entendre,  cette aberration idéologique  née dans « les cerveaux malades » selon l’expression à la mode, de certaines figures de  la contre culture gauchiste californienne des années 60 , en l’espèce notamment Judith Butler (qui n’est pas sans  nous rappeler au physique comme au mental  la délicate Caroline Fourest), ne sera pas enseignée et/ou distillée aux enfants et adolescents  

     Vincent Peillon ment  et les exemples concrets de ses mensonges sont nombreux, nous l’avions déjà écrit sur ce blog et ils sont récapitulés sur de nombreux sites. Citons  la promotion faite par un important  syndicat d’enseignants de l’école primaire en faveur de l’utilisation en classe des livres non-genrés ( du style Papa porte une robe); la diffusion aux enfants de CE2, CM1, CM2  du film prosélyte «Tomboy»; la mise en place souhaitée par  Najat Vallaud-Belkacem de crèches neutres et «l’expérimentation du dispositif « ABCD égalité » sur le « modèle» suédois; l’éducation sexuelle enseignée dés l’âge de six ans par des militants associatifs; la circulaire de M.  Peillon adressée aux recteurs en ce début d’année, faisant la retape pour l’association « Ligne Azur», chargée de faire la propagande dans les  écoles et qui explique sur ses plaquettes que «l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti…».

     Si les mots ont un sens, il est donc très difficile de camoufler cette offensive là. Un nouveau développement de celle  plus générale visant à couper nos compatriotes de leurs racines civilisationnelles, du combat engagé  contre les valeurs helléno-chrétiennes. Un combat qui s’inscrit dans la guerre menée contre nos identités particulières par les idéologues du mondialisme et autres propagandistes d’une société hors sol, peuplée d’individus interchangeables, réduits à leur rôle de consommateurs.

     Cette guerre visant à saper les bases de  notre culture se poursuit aussi dans les coups  portés contre la langue française par ceux là même qui devraient la défendre, ce dont s’inquiète à juste titre l’‘Association de défense de la langue française,  (ADLF) qui demande solennellement  aux candidats aux élections  municipales de s’engager  à respecter et faire respecter la langue française. Ce qui  exige notamment, de faire appliquer le petit effort qui avait été fait en ce sens au travers   la loi Toubon de 1997 qui commandait  aux  élus (mais aussi aux auteurs des visuels des campagnes publicitaires…)  une traduction en français de tous les anglicismes.

     Hier, cela ne sera pas pour surprendre, les soutiens de la sœur jumelle de Nathalie Kosciusko-Morizet, Anne Hidalgo, organisaient ainsi en faveur de la candidate socialiste à la mairie de Paris une réunion pour tweeter et la supporter sur les réseaux sociaux an cours du  débat télévisé entre les cinq candidats sur LCI. Pour singer leur modèle américain et celui de la campagne de l’icône Barack Obama,  cette réunion de soutien a été baptisée « Support party ».

     Pour anecdotique que cela puisse paraître, la pseudo branchitude consistant à utiliser l’anglais en lieu et place du français est un autre signe de la démission coupables de nos élites soumises.

     Le phénomène n’est pas nouveau, la prépondérance de l’anglais est considéré  comme un fait acquis et cela fait belle lurette que notre Académie des sciences  publie ses comptes-rendus en Anglais. Dans son livre déjà ancien, « La guerre culturelle » (1979), Henri Gobard  notait que «cet acte de soumission linguistique nous indique ce qui nous attend : la rédaction de tous les travaux de recherche en anglais sous  prétexte de diffusion internationale. Et Le Monde, dans son édition du 30 avril 1974 constatait déjà que  le Français est considéré «comme une langue morte » ! Le  projet de loi sur l’enseignement supérieur et la recherche (ESR), défendu par le  ministre Geneviève Fioraso  -voir notre article en date du 7 mars 2013 -  illustre aussi  cette soumission.

     Or notait M. Gobard, « si l’anglais devait définitivement l’emporter, ce ne serait une victoire pour personne, ni pour le français ni pour les autres langues » et « c’est l’anglais lui même qui peu à peu ne serait plus qu’un charabia international, un basic english qui rendrait Shakespeare et Dickens totalement périmés ». Une évolution bien perceptible aujourd’hui, et pas seulement à l’écoute du sabir parlé par de nombreux Américains…

     Dans son livre « Le syndrome de l’ortolan » (1997), Arnaud-Aaron Upinsky (alias  Bertrand d’Entremont),  affirmait très justement  que « c’est la langue qui nous permet de nous représenter le monde qui nous entoure. C’est elle qui commande l’information (…). En nous réappropriant notre propre langue, nous sommes en position de contrer les Etats-Unis. Historiquement et intrinsèquement, le français est même le seul capable de contrer l’anglais. Seule la France peut contrer le modèle universel quantitatif des Etats-Unis en lui opposant son modèle universel qualitatif.

     «(…) Notre langue c’est ce que nous sommes, c’est notre plus grand bien, c’est notre vision. C’est en revenant à notre langue que nous gagnerons cette guerre inconnue que nous font  les Etats-Unis.»

     « Notre langue est porteuse de tout ce qui nous sommes, de notre civilisation, notre représentation du monde, notre manière de penser et de sentir, nos schémas de conceptualisation et de défense. Elle intègre 4000 ans d’histoire. La Fontaine reprend Esope. Notre langue est porteuse de l’intelligence grecque, du pragmatisme romain, de la base gauloise, de l’apport franc chrétien, de la réflexion de la spiritualité et de l’expérience nationale. Elle est la boussole de  notre esprit. C’est en elle que se trouvent et que nous trouverons toutes les ressources dont n nous avons besoin pour résoudre nos problèmes et  pour vaincre (…).»

     « L’esclave parle la langue du maître. Le fait que  l’Europe parle anglais est le signal fort qui désigne le maître » indiquait-il  encore dans ce livre, virulente  mise en garde contre   l’Europe bruxelloise,  création et  colonie américaine.  Une réflexion qui n’a pas pris une ride sur cette facette de la  « guerre à mort »  livrée  par Washington à la France selon les propres termes de François Mitterrand et dont il  fit la confession  dans ces derniers jours , comme   le rapporta Georges-Marc Benamou dans « Le dernier Mitterrand » (1997) ;

      Bruno Gollnisch ne peut que constater  que les Français ne peuvent compter sur  les supplétifs atlanto-bruxellois  de l’UMPS, les  amis de NKM ou de Mme Hidalgo pour mener ce combat vital de restauration nationale.

    http://gollnisch.com/2014/01/30/cette-guerre-culturelle-qui-nous-faite/