Dans la France d’aujourd’hui, on trouve des clandestins en nombre, une aide médicale de l’État qui explose (plus d’un milliard d’euros pour 335.000 immigrés illégaux « officiels ») et une gestion calamiteuse du problème.
La France a le cœur sur la main au fond du portefeuille. On accueille, on bichonne. Surtout, on n’est guère regardant sur qui, pourquoi et comment. On se targue de n’être pas comme les autres, ou pas comme on était autrefois quand on attirait sur notre sol, au lendemain de la guerre, une immigration de travail.