
Le pronom sujet « iel » est transgenre et inclusif, et aussi inutile qu’inutilisé. Son entrée dans Le Robert ne relève pas de l’évolution d’une langue vivante mais d’une soumission militante à l’idéologie du genre.

La soumission à l’air du temps et la volonté de plaire aux lobbys les plus médiatisés du moment sont deux des maux les plus destructeurs de notre temps. Pour nouvelle preuve, la décision des éditions du Robert d’intégrer l’absurde pronom neutre « iel » (contraction de « il » et « elle », promue par les militants LGBTQI+) aux éditions numériques de son dictionnaire.








