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  • Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu, sur Instagram, l’appel au viol des femmes blanches par un Noir

    Sur les , le compte @blackingbbc a osé, mi-juillet, lancer l’horrible phrase arguant « C’est pas un  si elle est blanche » avec, en image d’illustration, un homme noir effectuant une pression violente sur une femme blanche…

    Ce message initialement publié sur Instagram a été relayé, via capture d’écran sur et Facebook et, fatalement, l’affaire a eu une résonance compréhensible au regard de la haine qu’il véhicule.

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  • Jean Messiha : « Les GAFAM, c’est un outil, mais aussi une idéologie »

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    Tandis que son compte Twitter est suspendu dénonce cette logique de harcèlement et de censure de plus en plus pesante. Il appelle à une nouvelle jurisprudence concernant les réseaux sociaux. « Seule la loi permet d’interdire à quelqu’un de dire ou pas quelque chose. »

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  • Refus de soutenir Mila : l’échec féministe, une réponse à Lauren Bastide

    Vu sur FdeSouche


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  • RSE, inclusion... "Il est urgent de rappeler au monde de l’entreprise notre spécificité française", par Thibault Baranger.

    Au cœur de cette course à la « responsabilisation sociétale », un premier danger peut être identifié : celui de l’essentialisation.
    © NurPhoto via AFP

    Pour Thibault Baranger, consultant en affaires publiques auprès de dirigeants d’entreprises, les grands groupes prônent de plus en plus souvent un modèle sociétal dit « inclusif » d'inspiration américaine.

    Une nouvelle sémantique envahit les directions d’entreprise depuis quelques années : mission sociétale, impact, inclusion, critères ESG (environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance) ou encore ISR (investissement socialement responsable). Derrière cette nouvelle terminologie très codifiée et au-delà des effets de mode, une nouvelle réalité se dessine sous nos yeux : les entreprises sortent de leurs frontières économiques et se politisent à vitesse accélérée en s’érigeant comme les grandes garantes de l’inclusion et de la diversité.

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  • « Espèce d’animal ! » La réponse d’Alain de Benoist aux folies antispécistes

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    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Le philosophe Alain de Benoist a publié en fin d’année dernière, aux éditions de La Nouvelle Librairie, un court essai, La Place de l’homme dans la nature [1], qui mérite que l’on revienne dessus.

    L’essai se voulait d’abord en effet une réponse critique, aimable mais argumentée, au livre publié par le biologiste Yves Christen en 2009 sous le titre L’Animal est-il une personne [2].
    Mais, comme l’écrit Alain de Benoist lui-même, « je me suis vite aperçu que le sujet s’inscrivait dans une problématique beaucoup plus vaste [3] » : la place de l’homme dans la nature, la relation entre nature et culture, l’anthropologie, justement.
    C’est donc un parcours philosophique qu’Alain de Benoist nous invite, en réalité, à emprunter.

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  • « Survivre à la désinformation » : le regard éclairant d’Alain de Benoist sur l’actualité

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    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Aux éditions de La Nouvelle Librairie, Alain de Benoist, essayiste et philosophe, publie un nouveau recueil d’entretiens avec Nicolas Gauthier. Gabrielle Cluzel rappelle dans son aimable avant-propos que ces entretiens prennent leur source dans les chroniques d’Alain de Benoist publiées sur le site Boulevard Voltaire. Ce recueil prend donc la suite d’un premier volume publié en 2015 et intitulé Survivre à la pensée unique. Cette fois la rétrospective s’étend d’octobre 2015 à mars 2021 : une période particulièrement riche en « informations », donc en bobards médiatiques et en désinformation ! D’où le titre donné à ce nouvel essai.

    Réflexivité et non pas réactivité

    « Le sot n’est instruit que par l’événement », dit-on.

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  • 8 pays de l’UE refusent le matraquage LGBT

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    Ce sont les pays qui sont de l’autre côté du nouveau mur de la honte édifié par ceux qui font régner leur dictature idéologique : Bulgarie, Croatie, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Tchéquie, Hongrie.

    Ces pays ont refusé de signer la lettre de soutien à la marche des fiertés de Budapest.

    https://www.lesalonbeige.fr/8-pays-de-lue-refusent-le-matraquage-lgbt/

  • Grandes écoles : la gauche, meilleure ennemie de l’égalité des chances, par Marie d'Armagnac.

    Dans la  « Destruction d’une culture commune à tous les Français », il faut y rajouter, en cette funeste semaine, l’épisode de l’introduction de la discrimination positive dans les grandes écoles.

    Qu’on le veuille ou non, ces grandes écoles françaises où l’on rentre après deux ou trois années de classes préparatoires, c’est-à-dire de travail intensif, sont une spécificité bien française : elles visent, depuis des siècles, à créer une élite industrielle, professorale ou managériale. On pourra, bien sûr, s’insurger contre une certaine forme de reproduction sociale – la majorité de ces étudiants viennent de classes sociales privilégiées, du moins culturellement -, on pourra aussi, bien sûr, regretter que ces écoles prestigieuses forment des esprits selon « un moule », un modèle dominant peu propice à l’éclosion de personnalités originales, novatrices ou à contre-courant.

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  • Dix ans pour rien !

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    Bertrand de Saint-Vincent

    Dix ans que ça dure. A Nantes, la cour d’appel administrative vient d’annuler les autorisations d’un parc éolien dans les Côtes d’Armor, en raison de son impact négatif sur le paysage. Les travaux avaient déjà démarré et la société responsable a annoncé se tourner vers le Conseil d’État. Près de Saint-Brieuc, malgré la colère croissante des pêcheurs, l’érection de soixante-deux mâts de 207 mètres de haut a été validée le long de côtes labélisées Grand Site de France. Dans le Nord, la Belgique saisit la justice pour tenter de faire annuler un vaste projet offshore du côté de Dunkerque... Quel gâchis ! De temps, d’argent, d’énergie. À quoi servent les dirigeants s’ils sont incapables de fixer une ligne claire sur un point aussi fondamental que la politique énergétique de la France ? À nourrir l’abstention. Malgré les recours, les dossiers alarmistes, les critiques étayées, les éoliennes continuent, dans un va-et-vient chaotique, à tracer leur sillon de laideur inutile. Coulés dans le béton, nourris de métaux rares, à l’extraction polluante, alimentés par des centrales à gaz, ces candides moulins à vent persistent à faire figure de sauveurs de la planète. Tous les rapports sur leurs limites – faible rendement, coût exorbitant, impact désastreux sur le patrimoine et l’environnement – n’y font rien. Aux yeux de leurs partisans les plus acharnés, ces encombrants pylônes demeurent le seul moyen d’avancer sur la voie magique de la neutralité carbone. Quoi qu’il en coûte.

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