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  • Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !

    Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !
    Vendredi 16 octobre 2020, un professeur d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine a été décapité par un islamiste. Selon les premières informations, l’auteur de l’attentat aurait voulu « punir » le professeur pour avoir montré à ses élèves une caricature de Mahomet publiée dans un numéro de Charlie hebdo. Retour sur cette énième « réplique » de la publication initiale des caricatures de Mahomet.

    Charlie hebdo, une vieille histoire de bouffeurs de curés… et d’imams

    L’attentat de vendredi ne peut se comprendre qu’en le replaçant dans un contexte plus large que le seul geste horrible de l’islamiste qui a décapité un professeur d’un collège des Yvelines.

    Le journal satirique Charlie hebdo s’inscrit dans une longue tradition française d’humour paillard et anticlérical. Une tradition dont Rabelais n’est pas le moindre des piliers. On peut ne pas apprécier les représentations de prêtres sodomisés ou pratiquant la fellation, mais c’est aussi cela, la liberté d’expression.

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  • Couvre Feu - Privilège Musulman - Censure Globale

  • Non, Monsieur Mélenchon, il n’y a pas « un problème avec la communauté tchétchène » mais avec votre aveuglement sélectif !

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    Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais non. On avoue partout qu’on n’en sait rien, cela, au motif que la France ne fait pas de statistiques ethniques. Officiellement ils sont entre 15 et 20.000 sur notre sol (selon Europe 1), beaucoup plus certainement, exilés d’un pays qui compte environ 1,3 million d’habitants.

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  • La « République » : que ce mot-là à la bouche !, par Georges Michel.

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    Ils n’ont que ce mot-là à la bouche : « République ». Le terroriste islamiste de Conflans-Saint-Honorine « a voulu abattre la République dans ses valeurs », déclarait, vendredi soir, le président de la République. « Celles et ceux qui tiennent la République et, à leurs côtés, magistrats, élus, enseignants… toutes et tous, nous ferons bloc », ajoutait-il. Samedi matin, le ministre de l’Éducation nationale ne pouvait que plagier le Président : « Ce professeur a été assassiné à cause de ce qu’il représentait : la République. »

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  • Petite généalogie du Pacte budgétaire européen

    Petite généalogie du Pacte budgétaire européen.jpeg

    L'objet du présent article est de repérer la filiation néo-libérale dans l'histoire de la construction européenne* et de montrer en quoi le Pacte budgétaire, innovant par certains aspects, s'inscrit cependant pleinement en continuité avec des choix fondamentaux exprimés dès les années 1980, au moment de la diffusion des idées néo-libérales en Europe** et de l'adoption de l'Acte unique européen (1986), qui traduit en langage juridique les principes du néo-libéralisme

    « Dans le contexte de la montée générale du néo-libéralisme, écrit Perry Anderson, l'autosatisfaction des élites européennes et de leurs porte-parole accompagne le mépris des populations »(1).

    Ce mépris des populations n'est cependant pas de la condescendance, mais un projet politique, qui transparaît très clairement dans un rapport de la Commission Trilatérale, en 1975, intitulé The Crisis of Democracy(2). Invités à formuler un diagnostic, les experts, Michel Çrozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki, constataient que les gouvernants étaient devenus incapables de gouverner du fait de la trop grande implication des gouvernés dans la vie politique et sociale et se lamentaient de l'excès de démocratie. Le développement de l'Union européenne est depuis venu compenser cet excès démocratique par un déficit qui n'est donc pas un défaut, mais un projet. Que le fonctionnement de l'Union ne doive pas être trop démocratique, c'est aussi ce que s'est attaché à démontrer et à justifier l'historien américain Andrew Moravcsik dans un ouvrage qui est aujourd'hui un classique de l'histoire de la construction européenne, The Choice for Europe(3). Nul doute que le Pacte budgétaire européen - un « pacte contre la démocratie »(4) - qui doit entrer bientôt en application illustre cette tendance.

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  • Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Furieux que la loi Avia ait été censurée par le Conseil constitutionnel, nos apprentis dictateurs profitent de tout évènement pour revenir avec leur projet de censure d’internet (encore un virus chinois).

    Le porte-parole du gouvernement l’annonce :

    Xavier Bertrand, l’idiot utile d’Emmanuel Macron, a dénoncé à son tour le rôle des réseaux sociaux :

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  • Les complices de l’islam terroriste

    Les complices de l’islam terroriste

    La décapitation de vendredi montre dans l’enchainement des faits une accablante complicité d’un certain nombre d’acteurs.

    Samuel Paty s’apprêtait à être sanctionné par l’Académie des Yvelines pour avoir osé montrer des caricatures du prophète Mahomet.

    Abdelhakim Sefrioui, prédicateur islamiste connu du renseignement, a été placé en garde à vue. Le 8 octobre, il avait appelé à la mobilisation contre l’enseignant. Son CV dévoile un profil d’islamiste expert de l’agit-prop.

    L’islamiste qui a décapité ce professeur d’histoire est un tchétchène de 18 ans né à Moscou, nommé Abdoulakh Anzorov. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge. Il n’était pas connu pour sa radicalisation mais ferait partie d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché “S”. Sa famille est originaire d’un village au sud de Grozny, en Tchétchénie, et est arrivée en France en 2008. Leur demande d’asile pour obtenir le statut de réfugié politique leur a été refusée par l’administration, mais cette décision a été cassée en 2011 par la Cour nationale du droit d’asile. La famille Anzorov a donc obtenu le statut de réfugié et l’assaillant a reçu automatiquement une carte de séjour valable 10 ans en mars 2020, à sa majorité. Si la justice, en 2011, avait suivi l’administration, cette famille aurait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.

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  • “Collabos, collabos !”,”dégagez !” : l’intervenante de l’UNEF huée à Paris lors de l’hommage à Samuel Paty

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    De nombreuses manifestations ont été organisées dans la plupart des villes françaises pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire décapité le vendredi 16 octobre à , par un Tchétchène islamiste ayant obtenu le statut de réfugié en mars dernier.

    A Paris, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées place de la République. Munies de pancartes « Non au  de la pensée » ou « Je suis prof », la mémoire de Samuel Paty a été saluée dans le calme. « Je suis Samuel », « Liberté d’expression, liberté d’enseigner », scandaient les manifestants. Des applaudissements ont été entendus, puis une minute de silence a été respectée et une Marseillaise a été chantée vers 15h30.

    “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !”

    En revanche la tension est montée lorsque la représentante du syndicat étudiant UNEF a pris la parole pour rendre hommage au professeur. Son intervention à la tribune a été couverte par des huées et des sifflets. Malgré l’appel au calme d’un des organisateurs, elle a eu du mal à terminer sa brève  allocution, comme en témoignent des vidéos postées sur Twitter. “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !” pouvait-on entendre dans la foule.

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  • Dix professeurs de droit contre "la police de la pensée" à l'université

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    Ils dénoncent, dans une tribune, le « lynchage » dont serait victime l'un de leurs collègues de Paris-1, après un cours controversé sur le mariage pour tous.

    Une dizaine de professeurs de droit (*), parmi lesquels le constitutionnaliste Olivier Beaud (Paris 2-Panthéon-Assas) et le civiliste Rémy Libchaber (Paris-1-Panthéon-Sorbonne) dénoncent, dans une tribune transmise au Point, le « lynchage médiatique » et la mise « au pilori » de leur collègue Aram Mardirossian. Cet historien du droit de Paris-1 a suscité une vive polémique après son cours d'histoire du droit de la famille, le 29 septembre, dans lequel il revendiquait haut et fort son hostilité au mariage pour tous, avant de se lancer dans une improbable comparaison chevaline : « Donc, il va y avoir forcément quelqu'un, un jour, qui va aller devant un tribunal et qui va dire : “Voilà, je suis discriminé, j'ai une jument, je l'adore, je ne peux pas l'épouser, c'est un scandale. C'est une discrimination !” » avait-il lancé à ses étudiants de L2. Le cours avait été filmé par l'un d'eux et aussitôt mis en ligne sur les réseaux sociaux, déclenchant une avalanche de réactions hostiles, sur Internet, de nombreux militants LGBT, dénonçant notamment « une comparaison scandaleuse entre homosexualité et zoophilie ».

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  • Échec à l'intox pseudo humanitaire

    6a00d8341c715453ef0263e96e1f5a200b-320wiVotre chroniqueur tient à saluer aujourd'hui une analyse, enfin, réaliste de la situation migratoire aux frontières de l'Europe. C'est, en effet, l'honneur du quotidien Présent d'avoir publié en ligne ce 14 octobre l'article d'Olivier Bault, spécialiste de l'Europe centrale et danubienne, que l'on trouvera dans son intégralité ci-dessous.[1]

    Ce regard tranche avec le lot quotidien fielleux des gros médias parisiens, alimentés par la désinformation pro- Frères musulmans qui s'emploient au désarmement moral de l'Europe, au nom du politiquement correct. Ce qui reste de la Chrétienté doit se ressaisir et se mobiliser pour défendre les confins de l'Europe, de la Baltique à la Mer Égée.

    Voici donc l'article auquel L'Insolent n'a rien à ajouter, sinon le petit commentaire qu'on trouvera en bas de cette chronique :

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