L’assassinat de Samuel Paty par un immigré musulman tchetchène qui s’est radicalisé sur notre territoire remet en lumière, une fois de plus, la problématique plus générale de notre politique d’immigration et de droit d’asile. Les nations européennes, dont la France, se sont petit à petit liées les mains au fil des traités et ont organisé et amplifié l’appel d’air immigrationniste que nous connaissons aujourd’hui. Toutefois, les pays du groupe de Visegrád (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie) refusent ce diktat et arrivent à limiter la submersion migratoire.
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Immigration : reprenons notre liberté d’action !
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Enseignement médical : le triomphe de l'idéologie du médicament (texte de 2013)
Depuis 2004, le concours de l'internat a été remplacé par des Épreuves classantes nationales (ECN) Un examen attentif des sujets montre l'ampleur de la dérive de l'enseignement médical.
L'examen des sujets de concours est édifiant. Huit des neuf « dossiers » de l'internat, maintenant dénommé Épreuves classantes nationales (ECN), comportent un bilan biologique des cas de patients soumis à la réflexion des candidats. La plupart sont complétés par une imagerie. Ils relèvent presque en totalité des urgences hospitalières. Les annotations relatives à la pâleur tégumentaire, aux bruits respiratoires ou cardiaques, à la palpation abdominale sont rarissimes. Les douleurs provoquées à l'effort, aux mouvements actifs ou passifs, à la flexion ou à l'extension, sont inexistantes. Aucune douleur n'est localisée précisément, et la distinction entre les algies vasculaires, organiques, sensitives, musculaires ou articulaires n'existe plus. Cet ensemble de constats résume l'état de l'enseignement médical, qui semble avoir à peu près tout abandonné de la clinique classique.
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Lettre à un prof gauchiste
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Conseil de surveillance de Facebook, Soros et consanguinité
Nous avons déjà parlé du « conseil de surveillance mondial » de Facebook. Un passionnant article d’Antipresse sous la signature de Julien Di Gregorio cerne les profils de certains de ses membres, la plupart liés aux réseaux Soros.
FACEBOOK • Un conseil de surveillance chimiquement pur à 90%
« Nous venons de tous les horizons politiques ! » Les coprésidents du « nouveau » conseil de surveillance de Facebook sont fiers de la « diversité » de leur board. « Les membres du conseil d’administration sont issus de différents milieux professionnels, culturels et religieux et ont des points de vue politiques variés », écrivaient-ils dans une tribune du New York Times le 6 mai 2020. Les médias de grand chemin ont repris ces autocompliments en applaudissant des quatre mandibules.
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Les islamistes ne cherchent pas le séparatisme ; ils veulent soumettre l’ensemble de la société française aux règles de la charia
Extraits d’une tribune de Marion Maréchal dans le Figarovox :
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
L’histoire semble se répéter dans l’horreur mais celle-ci se distingue en ce qu’elle met en exergue les multiples complicités, la chaîne humaine qui a désigné la cible à abattre, la fatwa 2.0 avant que l’assassin ne passe à l’acte. On y découvre des élèves, des profs, des associations locales, des imams, de multiples relais anonymes sur le net. Un cas de dénonciation qui ne semble pas isolé dans l’Éducation nationale mais qui, cette fois, a trouvé le bourreau pour la mise à mort.
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Trois Verts, bonjour les dégâts! Bordeaux, Lyon, Grenoble, par Elisabeth Lévy.
Eric Piolle, au lendemain de sa réélection à la mairie de Grenoble, 30 juin 2020 © ALLILI MOURAD/SIPA
Les nouveaux maires écolos veulent faire de leurs villes des fabriques de l’homme nouveau. Conjuguant mépris du populo et détestation de la France, ils sont aussi sensibles au malheur des bêtes qu’ils sont insensibles au bonheur des hommes.
Leur rêve est notre cauchemar. Et il est en train de devenir réalité. Les écolos qui, lors des municipales de mars et juin, ont ravi au socialisme bourgeois les métropoles les plus riches de France – à l’exception de Paris, mais c’est tout comme – n’en font pas mystère. Nos grands maires ne font pas que du vélo. Les villes sont leurs laboratoires, le chaudron où ils inventent le monde magique de demain. Et bien sûr, nous sommes, au choix, les papillons ou les grenouilles sur lesquels ces savants fous testent leurs diaboliques inventions. De notre alimentation à nos déplacements (on dit mobilité), du bureau à la chambre à coucher, ils s’évertuent donc à placer toute l’existence sous surveillance.
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L’islam à l’école : pas vraiment une surprise
La mort par décapitation du professeur français d’histoire-géographie Samuel Paty, près du collège où il enseignait, oblige dramatiquement la France à regarder les choses en face : l’islam gangrène l’école. Le fait que les musulmans bénéficient d’un statut particulier au sein de l’école est un secret de polichinelle. Champ de bataille et de conquête des musulmans, l’école a été le lieu de tous les reculs devant l’islam depuis 40 ans. Les exemples d’activisme musulman sont légion et anciens : cela n’a jamais cessé depuis l’affaire du voile des collégiennes de Creil en 1989. La situation n’a fait que s’aggraver ; que l’on se souvienne du comportement de nombre d’élèves après les attentats contre Charlie Hebdo, refusant de respecter la minute de silence, comportements répétés par certains élèves du collège de Samuel Paty, considérant que le professeur avait « insulté le prophète » ou jouant à se montrer des photos de sa tête décapitée. Une aggravation due au prosélytisme mais aussi à la complicité des pouvoirs publics.
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"Décolonisation : du sang et des larmes". Le cours magistral de France 2 sur la décolonisation (ou le décolonialisme…?), par Jean-Paul Gourévitch
Merci à Joël Brocquet pour ce partage de publication.
Chers amis,
Le documentaire "Décolonisation: du sang et des larmes" a été diffusé ce mardi 6 octobre sur France 2.
Il faut remercier Jean Paul Gourévitch (membre du comité de pilotage du Partenariat Eurafricain) d’avoir immédiatement commenté (voir lien ci-dessous) ce « documentaire » diffusé le 6 octobre 2020. Ce débat sur la décolonisation est appelé à rebondir dans le contexte général de la bataille engagée apparemment sur le terrain historique mais dont la portée politique et idéologique aboutit, de fait, à saper les fondements de la cohésion sociale.
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Dissoudre le CCIF sans toucher à SOS Racisme et à la LDNA, c’est de la poudre de perlimpinpin !
Même si certains peuvent considérer qu’il s’agit d’un coup de communication opportuniste visant à rassurer l’opinion publique, force est de constater que les décisions de Macron et Darmanin de demander les dissolutions d’associations islamistes sont approuvées par beaucoup de Français, notamment sur les réseaux sociaux.
On peut être contre cette majorité et avoir l’honnêteté de reconnaître que c’est bien la première fois qu’un gouvernement ne se contente pas d’éteindre la tour Eiffel, d’allumer des bougies et d’organiser des marches blanches.
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HALTE AU BAVARDAGE PRÉSIDENTIEL !
Le 22 Avril 2016, le futur président avait déclaré avec la fermeté de la certitude éclairée : ” une société sûre est une société d’individus libres”. Récemment, le “Président” coincé entre le séparatisme islamiste et la panique virale appelait les Français à être des “citoyens solidaires”. On prend, dans cette conversion radicale, le grand bobard du “en même temps la main dans le sac. Il y a un principe logique constant depuis l’existence du monde, inhérent à la raison humaine : celui de non-contradiction, “une chose ne peut être en même temps une chose et son contraire.” Un individu émancipé dans une société liquide ne peut être le citoyen solidaire d’une cité bâtie sur du roc. C’est Camus qui disait que le grand choix de l’existence tenait à une lettre : “solidaire ou solitaire”.