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lobby - Page 701

  • Le confinement, une occasion de faire passer des lois liberticides

    Si le gouvernement du président Micron aura montré toute son incapacité et sa légèreté à gérer la crise du coronavirus, entre volte-face incessants, contradictions permanentes, flou tenace malgré les discours fleuves, inconsistants et ennuyeux au possible du Premier ministre Edouard Philippe, il est en revanche ingénieux pour instaurer un état de droit dictatorial. 

    Car outre le confinement strict  à cause de l’incompétence de ceux qui nous gouvernent, qui aura privé les Français de nombre de leurs libertés fondamentales dont la pratique du culte public catholique, le vote des lois liberticides dans un parlement à moitié vide pour cause de crise du coronavirus est prévu au programme du 13 mai 2020 par Macron and Co.

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  • Des méfaits de l’autocensure sur l’esprit public

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    Des méfaits de l'autocensure sur l'esprit public 1.jpegNombre de journalistes - y compris dans nos rangs - estiment que l’on peut se jouer des lois liberticides muselant l'expression d'opinions réputées incorrectes en recourant à des formules convenues. Mais même en semi-clandestinité, la plume reste toujours serve. En la matière, appeler un chat autrement pourrait curieusement aboutir à le prendre pour une souris.

    Dans un papier publié sur le site libéral contrepoints.org, Patrick Smets, président du Parti libertarien belge, défend l'idée fort intéressante de la demi-mesure impossible en matière de liberté d'expression. Pour lui, « en matière de liberté d'expression, comme de peine de mort, il n'existe pas de juste milieu », ajoutant qu'en ce domaine, « être "contre la censure sauf pour les opinions abjectes", c'est être pour la censure ! » (19 janvier 2015).

    La liberté d’expression est illimitée par nature

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  • Le terrorisme intellectuel féministe arme de destruction massive

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    Apparu au sein du gauchisme idéologique d'après mai 1968, le féminisme contemporain n'est plus une idéologie de la défense et de la promotion des femmes dans la société, mais constitue une arme idéologique de destruction massive des valeurs traditionnelles de la société européenne, qui exerce son pouvoir de nuisance au travers d'un véritable terrorisme intellectuel et judiciaire.

    Le mouvement féministe des années 1950-75, celui de la génération née avant la Seconde Guerre mondiale, se préoccupait d'abord de l'amélioration des conditions sociales de la population, et en particulier de la promotion des femmes dans la société. Mais après Mai 1968, le féminisme de la deuxième vague, a muté sur le plan idéologique, il a changé d'objectif : pour le féminisme contemporain, l'Ennemi absolu, ce n'est plus le patron capitaliste rapace ou la société de consommation qui véhicule des stéréotypes machistes, mais c'est clairement l'homme blanc, le mâle blanc hétérosexuel, le super-prédateur viril et solaire qui a construit une civilisation supérieure de par son génie, sa force, sa volonté de puissance.

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  • Zemmour agressé : la gêne des médias, par Ivan Rioufol

    Les indignations des “professionnels de la profession” restent feutrées. Pourtant, jeudi dans une rue de Paris, le journaliste Eric Zemmour a subi les injures d’un jeune néofasciste, qui s’est lui-même défini comme “islamo-racaille“. Rares ont été les journalistes qui ont fait connaître leur solidarité avec le confrère. Tout au contraire, Claude Askolovitch, qui a ses partisans à Libération et ailleurs, a soutenu dans un article (Slate) que “l’homme qui crache sur Zemmour est un autre Zemmour“, sans se rendre compte que lui-même, insultant l’insulté, prenait les traits frustres de l’agresseur. C’est d’ailleurs ce dernier, habité par un visible sentiment d’impunité, qui a diffusé son attaque sur les réseaux sociaux.

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  • Immigration : Trump anticipe, l’Union européenne tergiverse et sera bientôt submergée

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    En début de semaine, Trump a annoncé une suspension temporaire de l’immigration, pour protéger les emplois des américains, alors que 22 millions d’entre eux ont perdu leur travail en un mois. Voila une mesure claire, ferme, et l’on peut compter sur lui pour l’appliquer avec opiniâtreté. En Europe, les médias semblent se demander pourquoi une telle mesure, alors que les États-Unis sont en pleine pandémie et que les flux migratoires ne sont pas forcément intenses en ce moment précis. Et de pointer, comme toujours, le prétendu populisme compulsif et pulsionnel du président Américain, sa démagogie préélectorale.

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  • Agression de Zemmour: où est passé l’esprit #JesuisCharlie?

    Eric Zemmour ne peut plus faire ses courses dans son quartier, un jeune homme l’insulte, lui crache dessus, le filme en train de porter ses victuailles dans la rue puis se met en scène : défenseur on sait de quoi, il tombe le masque et dès le lendemain recommence son numéro sur les réseaux sociaux.

    « Je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … »

    On a connu une justice plus réactive car, en ces temps de coronavirus, cracher sur quelqu’un est un acte loin d’être anodin. Mais je m’attendais surtout à une révolte de tous ceux qui défendent les libertés à longueur de temps, les journalistes défendant un confrère, les directeurs de chaîne qui ont besoin de commentateurs de talent, les femmes et les hommes politiques, le défenseur des libertés, les membres du gouvernement… Je lis les commentaires, dont certains sont assortis de la précaution « je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … ». Parce qu’il faut être d’accord avec Zemmour pour lui permettre d’aller faire ses courses comme tout Français ?

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  • L’offensive des immigrationnistes contre les centres de rétention administrative

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    La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé un étranger qui fait l’objet d’une décision d’éloignement, dans l’attente de son renvoi forcé. Ce lieu est le plus souvent un centre de rétention administrative (CRA), gardé par la police.
    Ces centres, dont l’existence et le fonctionnement sont indispensables au traitement des déboutés du droit d’asile et à la lutte contre l’immigration illégale, constituent des structures lourdes et onéreuses. Ils offrent un confort indécent à des délinquants lorsque l’on pense au sort des SDF français. Leur gestion est partagée avec des associations immigrationnistes qui sont loin de respecter le principe de neutralité qui leur est prescrit.
    On ne peut également pas dire que l’administration des CRA et l’éloignement des personnes retenues par le ministère de l’Intérieur constitue un modèle d’efficacité et de sérénité.
    Enfin, la pandémie du Covid-19 conduit les pouvoirs publics à vider les CRA des retenus qui sont ainsi largués dans la nature et contribuent au désordre public actuel.
    Même si le Conseil d’État a refusé de les fermer à titre temporaire, leur fermeture définitive demeure à terme un objectif des associations gauchistes et immigrationnistes afin de détruire un instrument de la lutte contre l’invasion clandestine.

    Éloignement et centres de rétention administrative (CRA)

    La loi permet au ministère de l’Intérieur de prendre des mesures d’éloignement forcé des étrangers illégaux ou déboutés du droit d’asile hors du territoire français. Leur application est généralement précédée d’un placement en CRA.

    Un CRA n’est pas un établissement pénitentiaire. La rétention ne doit durer que le temps d’organiser matériellement cette reconduite à la frontière.

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  • La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    Tandis qu’Eric Zemmour a été pris à partie dans la rue, le gouvernement annonce la création d’une plateforme labellisant les informations sur le Covid-19. Dans Valeurs Actuelles, le Père Danziec analyse :

    […] La domination de la gauche sur la vie intellectuelle française, on l’observe, ne fonctionne plus. Faute de renouvellement, son logiciel apparaît plus que jamais périmé. Le réel, qui finit toujours par parler, a repris le dessus. Ils nous avaient promis un monde sans barrière, un univers sans classe, du plaisir sans limite. Le résultat fait peine à voir. Les pays sont confinés chez eux. La crise économique s’annonce sans précédent. Et, comme l’a montré le mouvement des Gilets Jaunes, la société crève de l’injonction à jouir sans entraves. Les pavés n’ont pas découvert une plage mais conduit à une impasse. Dans ce contexte de faillite de la gauche, le dialogue devient menaçant pour qui veut conserver sa place ou délétère pour qui refuse de se remettre en cause.  Le progressisme l’a bien compris, à trop jouer avec le dialogue il pourrait finir par s’y brûler. Pour éviter la confrontation, il lui reste deux grands moyens : la haine ou le discrédit.

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  • Sur le gaz de schiste

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    Le 22 décembre 2017, la cour administrative d'appel de Versailles confirmait l'annulation du permis de rechercher des hydrocarbures dont le gaz de schiste dans le Sud-Est de la France. Si Total peut encore contester cette décision devant le Conseil d'État, c'est une belle victoire pour les opposants qu manifestaient en nombre à Barjac (Gard) en février 2016.

    Les méfaits du gaz de schiste ont été popularisés par le documentaire américain de Josh Fox, Gasland, en 2010, malgré un contre-documentaire, TruthLand, sorti trois ans plus tard.

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  • Charles Prats: « La fraude sociale, c’est 30 milliards d’euros par an »

    Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.

    LE FIGARO.- L’Allemagne consacre au financement de ses dépenses de santé une part de richesse équivalente à celle de la France, affiche une pression fiscale moindre, et pourtant, son système de santé a mieux résisté que le nôtre. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?

    Charles Prats.– L’Allemagne a beaucoup plus de lits d’hospitalisation par rapport à sa population que la France, et il y a plus de médecins et moins de personnels administratifs dans les établissements de santé. Schématiquement, en Allemagne, on dépense plus d’argent pour soigner que pour administrer. En France, le débat se focalise souvent sur les impôts. On se chamaille pour savoir qui va se faire taxer et de combien. La question fondamentale devrait d’abord être: comment l’argent public est-il dépensé ?

    Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB. Où va l’argent ?

    Regardez l’état de nos armées, de notre police, de notre justice… (Suite de l’interview dans le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1370115-charles-prats-la-fraude-sociale-cest-30-milliards-deuros-par-an