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LA GAUCHE A UN INCROYABLE TALENT...
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Affaire de pédophilie dans le clan Clinton ? – Journal du mercredi 10 juillet 2019
Nouvelle affaire de pédophilie aux Etats-Unis.Le milliardaire, Jeffrey Epstein, a été arrêté pour des accusations de “trafic sexuel” de mineurs.Une affaire qui fait ressurgir l’affaire du Pizzagate lors de la dernière campagne présidentielle étasunienne.Quand la Coupe d’Afrique des Nations se déroule en FranceAlors que la Coupe d’Afrique des Nations se déroule actuellement en Egypte, la compétition suscite de nombreuses réactions en France dans les communautés d’origine africaines.Des réactions de joie qui se transforment comme bien souvent en scènes d’émeutes.Ville d’Orange : un monument hommage à la TerreurMardi, le maire d’Orange a inauguré une statue en hommage aux victimes de la Terreur de la révolution française.TV Libertés est allé à la rencontre de l’édile vauclusien et de l’artiste à l’origine de l’oeuvre.L’actualité en bref
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Un symbole : la France condamnée… par le terroriste Abdeslam
Salah Abdeslam est le seul rescapé du commando islamiste qui, le 13 novembre 2015, a tué 131 personnes, et en a blessé 413 autres. Il a obtenu la condamnation de la France par le tribunal administratif de Versailles. Une condamnation certes symbolique. Mais un crachat de plus sur notre pays.
L’Etat de droit est une bien belle chose, et loin de nous l’idée d’en fustiger le principe, mais certaines circonstances exceptionnelles plaident parfois pour une mise entre parenthèses. La déclaration de guerre de l’Etat islamique, les centaines de victimes, en France, les dizaines de milliers de morts dans le monde, ne correspondaient-ils pas à une telle situation ? Nos politiques nous ont dit que nous étions en guerre. Mais le prestigieux tribunal administratif de Versailles ne l’a pas entendu de cette oreille et, par une décision du 24 mars 2017, a donc donné raison au tueur.
L’assassin, qui est incarcéré à Fleury-Mérogis, avait attaqué l’Etat sur ses conditions de détention, et il avait gagné la somme symbolique de 500 euros, les juges ayant estimé que la vidéosurveillance installée dans sa cellule reposait sur une loi qui n’était pas encore votée.
Le plus extraordinaire, dans cette affaire, c’est qu’on ne connaît ce jugement qu’aujourd’hui, à l’occasion de la parution du Journal de Frank Berton (sans lien apparent avec Germaine Berton, la tueuse anarchiste de 1923), l’avocat d’Abdeslam.
La sentence était tellement incroyable, tellement scandaleuse, tellement susceptible de choquer les Français, voire d’orienter leurs votes, qu’elle est apparemment restée secrète jusqu’à ce que, au détour d’une page de ce livre paru en avril 2019, un journaliste du Figaro découvre cette décision, rendue en mars 2017 mais restée inconnue ! Mars 2017, rappelez-vous : nous sommes alors à un mois exactement du premier tour de la présidentielle. Une telle information, divulguée à cette date, aurait pu orienter, au moins marginalement, le vote des Français. Ce type de décision a en effet le don d’irriter fortement. Alors, quelle est l’hypothèse ? Un manque de curiosité des chroniqueurs judiciaires de la totalité des grands médias ?
Le silence sent la manipulation d’information
Le silence fait à l’époque sur cette décision de justice par la classe politico-médiatique sent la manipulation d’information à plein nez. Alors qu’elle était tout entière mobilisée contre une présence de Marine Le Pen au second tour, cette condamnation de la France au profit du pire des tueurs aurait pu faire l’effet d’une bombe. Mais on le voit bien : rendue publique trente mois plus tard, l’information n’est guère commentée que sur un plan technique, juridique, et ne soulève donc pas d’émotion.
Mais il n’y a pas que la dimension immorale de la condamnation de la France qu’il faut retenir, dans ce dossier. Il y a aussi le fait que la vidéosurveillance a pour but de prévenir toute tentative d’évasion, quand ce risque existe. Ce qui signifie que, dans le cas d’Abdeslam, le risque existait, et qu’à bien comprendre la décision de justice, nous aurions dû prendre ce risque d’une évasion, plutôt que de commettre la « terrible » infraction à l’Etat de droit.
Notons enfin que de malheureux militants identitaires sont parfois condamnés à payer plusieurs milliers voire plusieurs dizaines de milliers d’euros pour de pacifiques occupations de chantiers de mosquées ou de locaux du PS, tandis qu’on fait droit aux demandes financières d’un assassin de la pire espèce.Francis Bergeron
Article paru dans Présent daté du 9 juillet 2019
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Sectarisme LR
Certains élus LR se sont indignés du sectarisme de LREM, qui a exclu le député Agnès Thill qui a eu le tort de penser autrement sur la PMA. Mais cette indignation peut être retournée contre les élus LR, qui font preuve du même type de sectarisme.
Les élus régionaux des Pays de la Loire vont en effet statuer vendredi 12 juillet sur le retrait des délégations de Sébastien Pilard, en raison de la présence de ce dernier à un dîner privé (pas un meeting) en compagnie de Marion Maréchal.
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Afrique du Sud : viols et crimes dans l’indifférence internationale
Sous prétexte que les fermiers blancs ont été partie prenante de l’apartheid jusqu’en 1994, les crimes commis contre eux semblent être, pour l’opinion internationale, des crimes mineurs et non dignes d’intérêt. La terre étant aujourd’hui le principal enjeu du panorama politique sud-africain, on saccage les fermes et on tue et viole leurs occupants blancs dans l’indifférence générale du reste du monde, qui pense probablement que la couleur de peau des victimes n’est pas digne d’intérêt.
La dernière victime en date de ces attaques qui restent, la plupart du temps, impunies à cause de l’état de décomposition de la police sud-africaine est Annette Kennealy, 51 ans, tuée la semaine dernière à coups de marteau dans sa ferme du Limpopo, fief de Julius Malema, l’extrémiste qui avait déclaré, il y a un temps, « Un fermier, une balle… »
Dans le sud du pays, la Western Province, la région du Cap, qui avait été jusqu’ici plus ou moins préservée de cette violence, quatre fermes ont été attaquées, il y a quelques jours. Dans l’une d’elles, Dolla Engelbrecht, 72 ans, a été violée, tandis qu’un peu plus loin, un fermier a été abattu alors qu’il emmenait sa fille de 17 ans à l’école.
Devant cet état de choses, la communauté Afrikaner se structure pour faire connaître ce que beaucoup appellent aujourd’hui « un apartheid à l’envers », promouvoir sa culture et lutter pour les droits souvent bafoués de ses membres. C’est ainsi que fut fondée, il y a quelques années, AfriForum, une organisation qui milite non seulement pour ces droits, mais qui intervient aussi légalement à chaque fois que des scandales liés à la corruption éclatent dans ce pays. Parmi ses membres, le célèbre procureur Gerrie Nel, qui avait représenté le ministère public dans la non moins célèbre affaire Oscar Pistorius, accusé d’avoir tué sa petite amie il y a quelques années. Nel a ensuite quitté ses fonctions de procureur pour se mettre au service d’AfriForum.
Il resterait, aujourd’hui, sur l’ensemble du pays, 42.000 familles fermières, contre 60.000 il y a quinze ans. Beaucoup de ces familles ont émigré en Australie devant la détérioration constante de la sécurité dans les fermes. Ils recréent, là-bas, dans les grands espaces australiens, la même passion fermière qui a fait le succès de l’agriculture sud-africaine (et zimbabwéenne avant Mugabe). Pour ceux qui restent, il s’agira de lutter pied à pied contre le projet d’expropriation que mettra en œuvre le nouveau gouvernement sud-africain.
Leur but, et celui d’Afriforum : lutter contre cette idée préconçue selon laquelle 80 % des terres leur appartient. La communauté fermière soutient que seulement 50 % de ces terres sont exploités par elle. Les 50 % des terres restants appartiennent, selon eux, en petite partie à des fermiers noirs, mais surtout au gouvernement sud-africain qui devrait les libérer pour que les fermiers noirs les mettent en valeur, comme l’ont fait les fermiers blancs depuis leur arrivée sur cette terre, il y a plusieurs centaines d’années…
Il y a trois ans eut lieu une première tentative de distribution de fermes volontairement abandonnées par leurs propriétaires, qui furent redécoupées et données à des propriétaires noirs. La grande majorité de ces bénéficiaires s’empressa de les revendre pour empocher le fruit de la vente…
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Emmanuel Macron et le financement de l’islam
En acceptant de se rendre à la rupture du jeûne du conseil régional du culte musulman tout en évitant celle de son Conseil national, Christophe Castater a lancé les hostilités inhérentes à la réforme de l’islam voulue par Emmanuel Macron. Nul ne sait si notre Président osera utiliser la voie législative pour donner un coup de pouce à l’islam comme il l’a promis, en réformant la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État, ou s’il avancera sournoisement en choisissant la voie réglementaire, par petites touches. Mais les contours de sa structuration voulue de l’islam en France sont maintenant connus. Il s’agit d’imposer un statut cultuel « rénové » aux associations musulmanes 1901, associant une transparence dans le financement des mosquées à un élargissement de leurs sources de revenus. Mais chercher à structurer un islam que l’on veut « de France » tout en continuant à autoriser le financement provenant de l’étranger est un paradoxe et une contradiction desquels ne sort pas ce projet de réforme. Il est même à craindre que l’islam radical en ressorte finalement renforcé. Pourtant, des mesures urgentes et alternatives sont à prendre.
L’islam de France est marocain, algérien, turc ou autre, et non français. Le lien, notamment financier, avec la communauté source est essentiel pour les apparatchiks du culte et un contrôle accru de l’État français signifie la perte d’immenses ressources financières semi-clandestines (pèlerinage et halal). Cette réforme sera donc massivement rejetée par les musulmans eux-mêmes. La transparence dans le financement des mosquées n’existe pas aujourd’hui, mais cette réforme risque d’en accentuer l’opacité et de nourrir les courants salafiste, frériste, tabligh ou encore Millî Görüş turc. Ces mouvements sont dans une logique identitaire de reconquête des esprits et vont chercher à profiter de ces nouvelles dispositions pour s’enrichir par tous les moyens, tout en déguisant l’origine des fonds lors des contrôles. L’islam en France doit s’adapter à la loi 1905 et se financer sur fonds propres, comme l’église catholique (deniers, quête, offrandes, legs). La bonne réforme consisterait à imposer le statut cultuel actuel à toutes les associations musulmanes 1901 destinées au culte, tout en interdisant tout financement étranger, significatif d’une volonté d’influence et d’ingérence sur notre territoire.
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a déjà créé sa propre structure financière de type association cultuelle à l’été 2018 afin de prendre les devants, mais c’était sans compter sur Hakim El Karoui, de l’Institut Montaigne et ancien de la banque d’affaires Rothschild, sherpa d’Emmanuel Macron pour cette réforme, qui est à l’origine de la création, le 5 avril 2019, de l’Association musulmane pour l’islam de France (AMIF). À la fois association 1901 culturelle et association 1905 dans un second volet cultuel, elle est destinée à contrecarrer la volonté hégémonique de gestion financière du CFCM. Ces chicayas se produisent sur fond de guerre intestine pour savoir qui va s’imposer aux yeux de l’État. Véritable caisse de financement, l’AMIF espère obtenir la régulation économique des marchés du halal et le statut de régulateur officiel des agences de voyage qui organisent le pèlerinage à La Mecque en percevant, à ce titre, une rémunération. Au CFCM reviendrait le rôle institutionnel, bien qu’il soit de moins en moins représentatif, et à la Fondation pour l’islam de France (FIF) la partie culturelle.
C’est la laïcité et les lois de la République qui ont besoin d’être affirmées dans l’espace public, collectif mais aussi politique, et l’islam radical combattu. Or, Emmanuel Macron a souhaité un engagement politique des catholiques, notamment pour l’Europe, lors de la Conférence des évêques de France au collège des Bernardins, le 8 avril 2018. Quelle curieuse conception de la laïcité ! Desserrer l’étau de l’islam radical dans notre pays nécessite des décisions courageuses telles que l’interdiction de l’organisation frériste des « Musulmans de France » et de tous ses centres satellites, ainsi que la fin de l’expansion de l’influence des pays du Golfe qui bénéficient d’avantages fiscaux incroyables depuis 1990.
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Une juriste explique aux migrants comment obtenir l’aide médicale d’État
« Tu vis en France? Tu n’as pas de papiers? N’attends pas d’être malade, avant de te demander comment te faire soigner. Essaye d’obtenir ton AME. Je t’explique tout dans la video!«
Merci à paolus
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Dossier Trump : La preuve que Mueller est une ordure
Prenant la parole pour la première fois en deux ans, le procureur spécial Robert Mueller a affirmé mercredi que « Si nous avions eu la conviction que le président n’avait clairement pas commis de délit, nous l’aurions dit ». En d’autres mots, Mueller refuse d’exonérer le président en dépit de l’absence de preuves qu’il a, en vain, mis deux ans à chercher.
Honte à Robert Mueller d’avoir abusé de son rôle
La déclaration du procureur spécial, Robert Mueller, lors d’une conférence de presse mercredi (29 mai), selon laquelle « si nous étions confiants que le président n’a manifestement pas commis de crime, nous l’aurions dit », est pire que la déclaration faite par James Comey, alors directeur du FBI, concernant Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle de 2016.
Comey avait déclaré lors de sa conférence de presse de juillet 2016 :
« Bien que nous n’ayons pas trouvé de preuves claires que la secrétaire d’État Clinton ou ses collègues avaient l’intention de violer les lois régissant le traitement des informations classifiées, il est prouvé qu’ils ont été extrêmement négligents dans leur traitement des informations hautement confidentielles très sensibles ».
Comey a été universellement critiqué pour avoir outrepassé sa responsabilité en se prononçant sur le fait qu’il y avait suffisamment de preuves pour inculper Clinton.
Mueller, cependant, a fait pire. Il est allé au-delà de la conclusion de son rapport et a fait un cadeau politique aux Démocrates du Congrès qui cherchent à entamer des procédures de destitution contre le président Trump.
En laissant entendre que le président Trump aurait pu faire obstruction à la justice, Mueller a effectivement invité les Démocrates à engager une procédure de destitution. L’entrave à la justice est un « crime grave avec méfait » qui, en vertu de la Constitution, autorise la destitution du président.
Jusqu’à aujourd’hui, j’ai défendu Mueller contre les accusations selon lesquelles il est un partisan anti-Trump. Je ne pensais pas qu’il favorisait les Démocrates ou les Républicains, ni qu’il avait un point de vue personnel sur la question de savoir si le président Trump devait être destitué.
Mais j’ai changé d’avis.
En mettant son pouce, voire son coude, sur l’échelle de la justice en faveur de la destitution fondée sur l’obstruction à la justice, Mueller a révélé son parti pris partisan.
Il a également perverti le rôle crucial que doit jouer un procureur dans notre système de justice.
Pratiquement tout le monde convient que, dans une affaire normale, un procureur ne doit jamais aller au-delà de la divulgation publique du fait qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour porter des accusations. Aucun procureur responsable ne devrait jamais laisser entendre que la personne faisant l’objet de son enquête pourrait effectivement être coupable même s’il n’y a pas suffisamment de preuves ou d’autres raisons de ne pas l’inculper.
Les partisans de Mueller soutiendront qu’il ne s’agit pas d’une affaire ordinaire, qu’il ne s’agit pas d’un procureur ordinaire et que le président Trump n’est pas un sujet ordinaire d’une enquête. Ils ont tort. Les règles ne devraient pas être différentes.
N’oubliez pas que les enquêtes fédérales menées par les procureurs, y compris les avocats spéciaux, sont, de par leur nature même, partiales. Ils n’entendent que des preuves de culpabilité et non des preuves à décharge. Leurs témoins ne sont pas soumis au processus accusatoire. Il n’y a pas de contre-interrogatoire. Les preuves sont recueillies en secret derrière les portes closes d’un grand jury.
Pour cette raison même, les procureurs ne peuvent que conclure s’il y a ou non suffisamment de preuves pour intenter une poursuite. Ils ne sont pas en mesure de décider si la personne faisant l’objet de l’enquête est coupable ou non d’un crime.
La détermination de culpabilité ou d’innocence exige un procès contradictoire complet avec un avocat de la défense zélé, un contre-interrogatoire vigoureux, des règles d’exclusion de la preuve et d’autres garanties d’une procédure régulière. De telles mesures de protection n’étaient pas présentes dans cette enquête, de sorte que la suggestion de Mueller selon laquelle Trump pourrait bien être coupable n’a aucune crédibilité.
Sa déclaration, si incompatible avec sa longue histoire (sic), sera utilisée à des fins partisanes par les Démocrates, en particulier par tous les radicaux qui cherchent à faire destituer le Président.
Aucun procureur ne devrait jamais dire ou faire quoi que ce soit dans le but d’aider l’une ou l’autre partie.
Je ne peux imaginer une raison plausible pour laquelle Mueller est allé au-delà de son rapport et a suggéré gratuitement que le président Trump pourrait être coupable, sauf s’il vise à aider les Démocrates au Congrès et cherche à encourager le discours et l’action de destitution.
Honte à Mueller d’avoir abusé de sa position de confiance et d’autoriser qu’on se serve de lui pour un avantage partisan.
* Alan M. Dershowitz est professeur émérite de droit à la Harvard Law School. Son nouveau livre s’intitule « The Case Against the Democratic House Impeaching Trump. » (L’argument contre la mise en accusation de Trump par la Chambre des Représentants majoritairement démocrate).
© Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
- https://thehill.com/opinion/judiciary/445983-dershowitz-shame-on-robert-mueller-for-exceeding-his-role#.XO7RNRd2GnU.twitter
- https://www.rushlimbaugh.com/daily/2019/05/29/mueller-wants-to-nail-trump-but-he-doesnt-have-the-evidence/
- https://www.foxnews.com/opinion/tom-del-beccaro-robert-mueller-special-counsel-russia-investigation
- https://thehill.com/opinion/judiciary/445534-why-mueller-may-be-fighting-a-public-hearing-on-capitol-hill
https://www.alterinfo.ch/2019/05/31/dossier-trump-la-preuve-que-mueller-est-une-ordure/
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Vous avez aimé la machine à perdre ? Avec Geoffroy Didier, vous allez la garder
Geoffroy Didier, secrétaire général des Républicains, s’est livré à une charge contre “la droite”, dans une tribune publiée sur le site du Monde. N’ayant pas encore compris que les électeurs libertaires de LR sont partis chez Macron tandis que les autres se rallient au RN, il appelle à gauchir encore plus son parti :
“Je propose que la droite se pose au moins la question de l’ouverture de la procréation médicalement assistée, qui serait une avancée sociale comme le furent de fait le mariage pour tous, et avant le PACS, et avant l’IVG”.
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Attentat à Lyon : le mur du politiquement correct des grands médias
Les médias parlent des fortifications construites en Israël, ils déblatèrent sur la clôture renforcée contre les migrants en Hongrie, ils vocifèrent sur le mur que Trump tente de construire à la frontière mexicaine. Ces actions sont analysées, scrutées, dénoncées, dévoilées comme des scandales.
Il n’y a pas de phrases assez dures dans les journaux pour décrire ces « horreurs ».
Pourtant, il y a un autre mur qui existe et dont les grands médias ne parlent jamais, un mur non en pierre ou en béton mais en pensée unique et en opinion convenue : c’est le mur du politiquement correct.
Celui que les médias refusent de franchir, celui qui interdit de nommer, de discriminer (comme ils disent), celui qui transforme un descendant d’allochtones, notamment musulman, en « jeune des cités », sans plus de précision, pour ne pas fissurer la bien-pensance.
Car si radio et télévision valorisent journellement l’intégration dans les écoles ou le travail, a contrario, ils ont un regard méfiant sur ceux qui prônent la protection des frontières.
Le but est simple : laisser passer un minimum de mots sur l’insécurité terroriste ou ordinaire provenant de personnes issues de l’immigration.
Hélas, pour ces médias, il devient parfois impossible de cacher la vérité.
C’est le cas pour Mohamed Hichem M., cet Algérien qui a conçu le colis piégé dont l’explosion a fait treize blessés, le 24 mai dernier à Lyon.
Le Parisien est bien allé chercher à Oran le témoignage surprenant d’Islaam le « meilleur ami » de Mohamed.
Un ami qui déclarait : « Quand bien même il aurait des compétences pour fabriquer une bombe, jamais il ne ferait de mal à quelqu’un… Il n’est pas du tout un extrémiste. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais il n’est pas du tout extrémiste. Lorsqu’on discute de religion, c’est pour parler du prophète et des versets du Coran, mais pas de l’État islamique. »
Sauf que l’exploitation de son matériel informatique saisi au cours des perquisitions a mis en évidence des recherches sur Internet relatives au djihad et que le suspect vient d’admettre avoir fait allégeance à Daech.
Mais pour les médias du système, il ne pouvait être qu’un brave gosse à vélo, un étudiant en informatique qui était également pion au Lycée Ampère à Lyon.
Or, l’école lyonnaise, où il était censé être inscrit, a précisé qu’il n’avait jamais fait partie de l’établissement.
Ayant des visas de court séjour, il avait demandé un visa étudiant qui lui avait été refusé.
Si ce terroriste était clandestin et surveillant dans un lycée, qui l’a recruté pour cet emploi ?
Qui a signé pour sa protection sociale ?
Qui a vérifié qu’il faisait véritablement partie d’un établissement universitaire ?
Cela est le cas, aussi, de ce chauffeur de car qui, à Paris, a écrasé un automobiliste, mardi dernier, quai Voltaire.
Celui-ci, « furieux d’avoir été percuté », sort de son véhicule et se dirige vers le chauffeur du bus, la discussion s’envenime, ils finissent par se battre.
Puis le chauffeur du car touristique reprend sa place au volant, démarre et écrase l’automobiliste contre un bus.
Âgé de 56 ans, ce dernier meurt sur le coup.
Le conducteur, interpellé pour « homicide volontaire », est présenté sans plus de précision comme un simple Parisien âgé de 46 ans résidant dans le XVe arrondissement.
Il faut aller sur Valeurs actuelles pour en apprendre un peu plus : l’auteur s’appelle Omar M., né en Algérie en 1973.
On le voit, le mur vient de se lézarder par deux fois mais il tient bon.
J.-P. Fabre BernadacLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire