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  • Tommy Robinson : « Le viol de la Grande Bretagne »

    Voici la bande-annonce du documentaire qui va bientôt sortir. Regardez-la, elle dure 3 minutes, et, en seulement 3 minutes, elle dit parfaitement l’horreur vécue par des milliers de gamines et elle dit aussi le fabuleux travail de Tommy Robinson, qui, bien que harcelé, lourdement menacé, notamment de prison interdit d’oublier, interdit de mettre la poussière sous le tapis.

    Tommy Robinson prépare un documentaire-choc sur les gangs de violeurs en masse (en anglais: "grooming gangs"), issus pour la plupart de la communauté pakistanaise, de jeunes Anglaises, à une échelle industrielle, et sur les complicités parmi les autorités qui ont permis le plus grand scandale du pays de ce siècle : une véritable trahison.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/29/tommy-robinson-le-viol-de-la-grande-bretagne-6154774.html

     
  • Les lois attentatoires à la liberté d’internet, de la presse et d’expression peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère»

    Les lois attentatoires à la liberté d’internet, de la presse et d’expression peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère»

    De Jean Rouxel sur Les 4 Vérités :

    Voici un an que le feuilleton de l’affaire Benalla n’en finit pas de «rebondir».

    L’étrange collaborateur du chef de l’État qui, manifestement, ne peut ou ne veut pas lui refuser grand-chose, bien que viré de l’Élysée depuis des mois, continue à hanter l’actualité.

    Tout récemment, le feuilleton a connu une nouvelle phase avec la convocation de la journaliste du «Monde» Ariane Chemin par la DGSI par la cellule en charge des atteintes au secret de la défense nationale. Sont en cause les informations du «quotidien de référence» sur Chokri Wakrim, compagnon de l’ex-chef de la sécurité de Matignon, Marie-Elodie Poitout, et sous-officier de l’armée de l’air. Ce Wakrim se trouvait lié par un contrat à un oligarque russe sur lequel pèse une enquête pour corruption.

    Nous assistons donc à la situation (qui serait cocasse, si elle n’était préoccupante sur le n’importe quoi qui règne au sommet de l’État), où Emmanuel Macron, grand pourfendeur d’influence russe devant l’Éternel, se trouvait confier des responsabilités de sécurité à des personnes liées à un homme d’affaires russe!

    Mais revenons à Ariane Chemin et à sa convocation. Pour que la DGSI prenne le risque d’ameuter toute la presse, il faut qu’elle soit sous pression élyséenne. En tout cas, alors qu’Emmanuel Macron doit son élection à un massif soutien des oligarques et des médias dominants, non seulement il semble progressivement «lâché» depuis quelques mois (et on peut dater ce lâchage du déclenchement de l’affaire Benalla), mais encore il prend le risque d’affronter ses anciens soutiens. Car il force ainsi les médias dominants à se solidariser avec Mme Chemin et avec «Le Monde».

    Peut-être mes excellents confrères vont-ils enfin s’apercevoir que les lois attentatoires à la liberté d’internet, à la liberté de la presse et à la liberté d’expression, qui s’accumulent à grande vitesse, peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère» honnie. Il était ironique que la première censure liée aux lois Macron contre la liberté d’internet vise une campagne du gouvernement; il est intéressant que l’on mette les grands moyens de l’État contre «Le Monde» – et non contre un vulgaire site de russosphère! Serviteurs zélés de l’oligarchie, les médias dominants découvrent ainsi la versatilité des puissants. En tout cas, pour une fois, je m’offrirai le luxe d’assurer ces confrères de toute ma sympathie, car, bien que «Le Monde» soit hostile à notre liberté, nous sommes, nous, favorables à la sienne – au moins contre le pouvoir!

    https://www.lesalonbeige.fr/les-lois-attentatoires-a-la-liberte-dinternet-de-la-presse-et-dexpression-peuvent-ne-pas-viser-seulement-la-fachosphere/

  • France. De qui, de quoi parle-t-on ?

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    Jarente de Senac

    On le savait, mais on en a désormais la confirmation, le paysage politique français, bien dévasté, se résume à un face à face entre la République en marche (LREM) et le Rassemblent national (RN). La gauche, qui n’était déjà pas bien vaillante, devient ectoplasmique. Les seuls bénéficiaires, si l’on peut employer ce terme, ce sont les Verts. Mais leur voix reste faible. Car ce qui vaut eux européennes ne s’est jamais appliqué aux législatives comme aux municipales.

    A droite on assiste à la fin d’une imposture qui de RPR en UMP pour finir Républicains, n’avaient de droite que le nom. Avec Chirac, l’ex-parti dit gaulliste était devenu une simple machine électorale, un truc à fournir des élus. On n’a d’ailleurs jamais vu la clique du claque gaulliste transcendée par une idée. C’était plutôt un conglomérat de libéraux dont la notion a fluctué au gré des circonstances jusqu’à venir échouer sur l’ultra libéralisme d’un Emmanuel Macron. Que cette droite-là disparaisse, on n’ira franchement pas chialer.

    Mais que la droite soit désormais incarnée par le Rassemblement national n’est pas satisfaisant pour autant. En dehors de l’immigration et d’un vague euroscepticisme, on en voit mal les lignes de force. Il n’a échappé à personne que cette confrontation Marine Le Pen – Emmanuel Macron ne bénéficiait qu’à ce dernier. Cet ultra libéral a phagocyté tout le centre, de droite à gauche, et on voit mal, a priori, ce qui pourrait lui faire obstacle.
    Sauf le peuple, même.

    Car ce qui est tout de même nouveau – enfin pas tout à fait – c’est que nous sommes face à une France fracturée, non entre riches et pauvres, mais entre une France de nantis qui jouit des bienfaits de la mondialisation et une France laborieuse dirons-nous, encore majoritaire électoralement, où nichent les classes moyennes qui demeurent le vrai moteur de la croissance et n’en bénéficient guère. Une France populaire d’un côté et enfin une France d’immigrés où l’on trouve un panel racial des plus variés, qui n’ont que peu à voir avec notre culture et notre civilisation, et qui survivent comme un kyste sur une richesse nationale à laquelle de près ou de loin – voire de très loin -, ils participent.

    A défaut de venir des partis qui ne représentent plus rien aux yeux des Français, c’est du peuple - façon Gilets jaunes -  que pourrait venir l’explosion du couvercle de la marmite sociale. Il n’y a plus de filtre désormais entre le pouvoir et la rue. Emmanuel Macron marche sur un champ de mines, ça peut péter à tout instant pour des raisons qui nous échappent encore. Car de très nombreux secteurs industriels et agricoles sont au bord de la rupture. Et le jour où certaines catégories de canuts n’auront plus rien à perdre, elles descendront dans la rue.

    Voici maintenant une bonne décennie que des intellectuels anticonformistes, c’est-à-dire débarrassés des scories socialisantes, tirent la sonnette d’alarme. Et, tous ceux qui crient au fascisme oublient qu’il s’incarne dans un homme. Où est donc cet homme providentiel et futur Castro ? Nulle part. L’horizon est vide.

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  • La droite conservatrice et populiste (LR délestés de leur aile gauche, DLF, PCD et RN) peut être la première force du pays mais est impuissante tant qu’elle reste divisée

    La droite conservatrice et populiste (LR délestés de leur aile gauche, DLF, PCD et RN) peut être la première force du pays mais est impuissante tant qu’elle reste divisée

    Analyse du scrutin et perspectives politiques par Guillaume Bernard :

    Ce nouveau clivage droite gauche qui s’installe en silence, n’en déplaise à ceux qui s’en pensaient débarrassés. Une clarification doctrinale et une réorganisation partisane de la nouvelle droite sont par ailleurs nécessaires pour qu’elle pèse davantage qu’En Marche, son adversaire de gauche.

    Les listes qui n’ont pas de positionnement clair, qui ont joué sur l’ambiguïté idéologique (LR) ou stratégique (DLF qui a torpillé son alliance avec le PCD) ont échoué. Celles qui ont une identité plus claire – le souverainisme (RN), le libéralisme (LREM) et l’écologisme (EELV) – ont tiré leur épingle du jeu.

    Le vainqueur de ce scrutin, c’est le RN. Donné à 17 % des intentions de vote un an avant l’élection, il finit à presque 24 %. Il a donc à peu près retrouvé son score de 2014 et, avec une participation en hausse (plus huit points) résultant d’une mobilisation peu prévisible des catégories populaires de la « France périphérique », il a donc augmenté son nombre de voix d’il y a cinq ans. Pour autant, sans allié, il reste toujours dans l’incapacité de gagner seul une élection au scrutin majoritaire à deux tours. L’échec et le discrédit de Marine Le Pen à la présidentielle n’ont pas tué le RN, mais ce parti ne connaît pas de forte dynamique puisqu’il ne profite pas vraiment (encore qu’il a bénéficié de transferts de voix) de l’effondrement de LR et encore moins de celui de LFI.

    Le principal perdant de l’élection, c’est bien entendu LR qui enregistre son plus mauvais score aux européennes, faisant même moins bien que les 13 % de 1999. Cet échec s’explique par l’incohérence doctrinale de son offre : le grand écart idéologique entre la tête de liste (appréciée de l’électorat conservateur) et nombre de ses colistiers. C’est donc moins l’échec de François-Xavier Bellamy (encore qu’il ait commis des maladresses voire des lapsus révélateurs en se déclarant plus proche de Juncker que d’Orban) que celui de la stratégie attrape-tout (c’est cette même distorsion qui a conduit à la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012) : à vouloir plaire à tout le monde, on finit par déplaire à tous. L’électorat libéral (préférant ses intérêts à ses idées…) a glissé cers LREM. Toutefois, ce parti n’est pas encore mort étant donné qu’il dispose, pour l’heure, d’un tissu social d’élus locaux que son concurrent RN n’a pas. Pour continuer l’oeuvre accomplie et, peut-être aussi, afin de conserver leurs mandats, un certain nombre d’entre eux pourraient trouver judicieux de se débarrasser de leurs étiquettes partisanes nationales pour constituer, lors des prochains scrutins territoriaux, des listes d’alliance (de fait « divers droite ») réunissant toutes les « sensibilités » de la droite, y compris nationale…

    Quant à la gauche (PS, LFI, etc.), elle est d’autant plus en perdition qu’elle est divisée : elle fait, en tout, moins de 30 %, y compris les Verts (qui sur de nombreux points, en particulier sociétaux, convergent assez aisément avec LREM), ce qui relativise l’importance de leur résultat qui n’est certes pas négligeable (13, 5 %) mais pas nouveau pour ce parti qui réussit régulièrement des percées aux régionales et aux européennes (16 % en 2009) pour ensuite retomber assez bas aux autres scrutins.

    Pour Macron, la seconde place de LREM (22,5 %) est un échec puisqu’il avait cherché à transformer l’élection en un duel avec le RN et s’est investi personnellement dans la campagne. Cependant, l’écart entre les deux partis est faible et le  positionnement central du macronisme lui donne un avantage incontestable pour rassembler les modérés lors d’un second tour d’une présidentielle. Après avoir quasiment liquidé le PS en 2017, Macron a siphonné une partie de l’électorat LR. Il se retrouve dans cette étonnante situation qu’il est objectivement minoritaire dans le pays (il a été élu par défaut, il a connu une contestation d’ampleur avec les Gilets jaunes) et qu’il est cependant le plus susceptible de l’emporter en 2022 si n’émerge par une force politique capable de créer une unité (doctrinale) et une dynamique (électorale) de la droite.

    La recomposition du spectre politique français se fait selon un double mouvement. D’une part, on assiste à un fort affaiblissement des anciennes forces politiques (PC, PS, droite modérée), un enracinement de LREM et un maintien-stagnation du RN. D’autre part, la tripolarisation issue de la présidentielle (gauche, centre et droite) ne sera vraisemblablement que temporaire : le socialisme est discrédité et ne survivra pas malgré ses appels du pied au communautarisme, le libéralisme (économico-sociétal) glisse vers la gauche du spectre politique tout en empiétant sur le centre-droit (Verts, LREM et MoDem), la droite conservatrice et populiste (LR délestés de leur aile gauche, DLF, PCD et RN) peut être la première force du pays (35 % a minima) mais est impuissante tant qu’elle reste divisée. Seule une alliance, non pas des appareils parisiens mais des forces vives du pays, partout dans le tissu social de la France, sur la base de valeurs claires (identité, autorité, souveraineté, subsidiarité, dignité) pourrait permettre de constituer un programme commun (ne confondant pas libertés économiques et libéralisme ni question sociale avec étatisme collectiviste) et de faire émerger une force politique qui, parce que renouvelée dans sa doctrine et ses incarnations, sera débarrassée des actuels handicaps des différentes composantes de la droite (la suspicion de schizophrénie visant les uns, le blocage psychologique vis-à-vis des autres).

    Macron est, certes, en passe de faire table rase de l’ancien monde politique, mais il n’est pas pour autant, à lui seul, le nouveau monde : il n’est que l’instrument du chaos entre les deux. Le nouveau spectre politique opposera à nouveau une droite à une gauche incarnant l’une l’identitarisme l’autre le multiculturalisme, l’une le protectionnisme l’autre le libre-échangisme, l’une la subsidiarité l’autre libéralisme, l’une la solidarité sociale l’autre l’étatisme, l’une l’autorité l’autre le dirigisme technicien, l’une la maîtrise de son destin l’autre le mondialisme, l’une la défense d’un ordre naturel des choses l’autre l’écologisme malthusien, l’une le conservatisme sociétal l’autre le progressisme libertarien… Autrement dit, ce sera le retour, à plein, de l’affrontement doctrinal fondamental opposant, la pensée classique à l’idéologie moderniste.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-droite-conservatrice-et-populiste-lr-delestes-de-leur-aile-gauche-dlf-pcd-et-rn-peut-etre-la-premiere-force-du-pays-mais-est-impuissante-tant-quelle-reste-divisee/

  • Intouchables

    par Louis-Joseph Delanglade

    La sécurité intérieure et extérieure de la France reste à bon droit un domaine régalien et le secret absolu la condition bien compréhensible de l’efficacité de certains de ses services.

    Cela n’empêche pas de prétendus « pouvoirs » de tenter de s’y immiscer. Ainsi en est-il des velléités récurrentes du Parlement pour exercer un droit de contrôle accru sur les services secrets (dernier épisode en date, celui de la délégation parlementaire au renseignement, fin novembre 2018). On peut pourtant se demander si un contrôle parlementaire de ce qui relève de la sécurité fondamentale du pays est vraiment opportun : appréciation sans doute fort peu démocratique, mais réaliste. Plus récemment, c’est le « pouvoir médiatique » qui s’est manifesté, une fois de plus, en suivant ses errements habituels. 

    Du coup, suite à leurs révélations sur des ventes d’armes et sur l’affaire Benalla, la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) a convoqué plusieurs journalistes oeuvrant pour le compte d’un journal (Le Monde), d’une radio (Radio France), d’une émission de télévision (Quotidien) et d’un site d’investigation (Disclose). Indignation et postures de martyr dans les rédactions concernées, et même au-delà (une quarantaine de rédactions se sont solidarisées), toutes dénonçant un moyen de pression pour contrer « le secret des sources ». On doit d’abord s’interroger sur le  bien-fondé de cette notion. Existent aussi, par exemple, le secret de la confession, le secret médical ou le secret des délibération d’un jury d’assises. Mais que pèsent tous ces secrets en cas de nécessité supérieure et ultime ? 

    On ne peut pas accepter que des documents estampillés « confidentiel défense » fuitent dans la presse (en l’occurrence des documents concernant les ventes d’armes à l’Arabie séoudite et aux  Emirats Arabes Unis) ou que soit divulguée l’identité d’un membre des unités des forces spéciales (en l’occurrence un sous-officier de l'armée de l’air, nommé dans l’affaire Bennala). Mme Ndiaye, porte-parole du gouvernement a donc eu raison de rappeler (Europe 1, jeudi 23) qu’il est normal et « qu’un État protège un certain nombre de données nécessaires à des activités de défense extérieure et militaires » et « que l’Etat français s’interroge sur le fait qu’il puisse y avoir des fuites en son sein ». Rappelons tout de même la réaction bien différente de Mme Loiseau sur le sujet : « ma conviction, c'est qu'il y a un devoir de vigilance extrême sur la protection de la liberté de la presse, des sources » (France Inter, 23 mai)… 

    Mme Ndiaye, ayant affirmé en préalable que « les journalistes sont des justiciables comme les autres », a fait frémir les diverses rédactions de France et de Navarre, dénonçant à l’unisson « ces convocations qui ressemblent à de nouvelles tentatives d’intimidation de journalistes qui n’ont fait que leur travail : porter à la connaissance des citoyens des informations d’intérêt public. » Diable ! Il serait donc d’intérêt public de discréditer le commerce des armes qui constitue une source de revenus importants pour notre pays et qui, s’il était suspendu, n’empêcherait nullement ceux qui en ont envie de continuer à s’entre-tuer. il serait donc d’intérêt public de porter à la connaissance de tous l’identité d’un de ces soldats qui, on l’a vu tout récemment au Mali, sont capables de mourir pour leur mission. 

    Nous préférons penser qu’il serait plutôt d’intérêt public de faire en sorte que les journaleux ne se croient plus intouchables. 

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/26/intouchables-6153995.html

  • Attentat de Lyon : Mohamed Hichem M., Algérien et auteur… d’« explosions », par Franck Deletraz

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    Une chose est d’ores et déjà certaine : la couverture politico-médiatique de ce nouvel attentat islamiste, perpétré à Lyon vendredi dernier en fin d’après-midi par un Algérien de 24 ans répondant au doux nom de Mohamed Hichem M., restera dans les annales comme un chef-d’œuvre de désinformation et d’intoxication à quelques heures d’un scrutin électoral capital. Des membres du gouvernement aux journalistes des grands médias, tous se seront en effet efforcés de minimiser, et même de cacher, par tous les moyens possibles, à nos compatriotes, l’évidence d’un nouvel attentat musulman commis sur notre sol. Y compris même, en osant parler d’« explosion » pour ne surtout pas prononcer le mot « attentat »…

    Un acte terroriste évident

    Un comble quand on sait que, dès l’annonce de cet événement, la nature terroriste de l’acte ne faisait absolument aucun doute. Alors que le suspect avait déposé dans une rue piétonne très fréquentée de Lyon, juste à côté d’une boulangerie, un sac contenant un détonateur à distance, une quantité non négligeable d’explosif TATP, et de nombreuses piles, billes et vis qui, en explosant, ont fait 13 blessés, dont une petite fille, le gouvernement et les médias se bornaient à parler pudiquement d’une… « explosion », comme si une conduite de gaz avait éclaté ! De la même manière, alors que la volonté du suspect de faire un maximum de victimes était elle aussi manifeste, les médias, incitant à la plus grande prudence, évoquaient un possible règlement de comptes dans le cadre d’une « affaire conjugale » ou encore « professionnelle »…

    L’extraordinaire travail des enquêteurs

    Grâce à la police, dont les enquêteurs ont une fois de plus accompli un travail extraordinaire, la vérité n’aura cependant pas tardé à éclater au grand jour. En exploitant au maximum les images des caméras de vidéosurveillance montrant le suspect circuler à vélo et déposer son colis piégé, en épluchant les quelque 300 témoignages recueillis grâce à l’appel à témoins lancé dès vendredi soir, mais, surtout, en comparant des composants de la bombe, encore intacts, relevés sur la scène de crime avec les achats de particuliers dans la région lyonnaise, les enquêteurs de la DCPJ et de la DGSI sont rapidement parvenus à identifier et à interpeller le suspect, lundi matin à Lyon : Mohamed Hichem M., un Algérien né à Oran en 1995, étudiant en informatique, qui a rejoint sa famille près de Lyon au cours de l’année 2017, et a effectué en mars dernier « un certain nombre d’achats suspects, en grande quantité » sur le site Amazon, dont des piles type LR6, des circuits électroniques, des litres d’eau oxygénée et d’acétone qui ont pu servir à la composition de l’engin explosif. Lors de la perquisition qu’ils ont effectuée au domicile de l’individu, les policiers ont d’ailleurs retrouvé des éléments chimiques entrant dans la composition du TATP.

    Jusque-là inconnu de la police, non fiché S, le suspect, placé en garde à vue avec quatre membres de sa famille, se refusait toujours mardi à donner la moindre explication aux enquêteurs. Cependant, l’interpellation depuis, par la BRI et la SDAT, et le placement en garde à vue d’un « deuxième suspect », lui aussi « de nationalité algérienne », pourrait bien accélérer l’enquête.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 28 mai 2019

    https://fr.novopress.info/214676/attentat-de-lyon-mohamed-hichem-m-algerien-et-auteur-d-explosions-par-franck-deletraz/

  • Pour Steve Bannon, le projet d’intégration européenne est mort

    28/05/2019 – EUROPE (NOVOpress)
    Steve Bannon dresse le bilan des élections européennes, et estime que la donne en Europe a changé après la défaite de la liste Renaissance, parlant d’humiliation d’Emmanuel Macron.

    Il voit en Marine Le Pen une stratège qui pourra monter avec ses alliés politique européens un supergroupe ayant une masse critique suffisante pour réorienter l’UE.

    https://fr.novopress.info/

  • VOTEZ CONTRE LE CLIMAT : LE TOTALITARISME QUI VIENT

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    Franck Buleux Métainfos cliquez ici

    Lors de ces élections européennes, il est de notoriété publique que la surprise est venue des voix écologiques. Le total des voix EELV (Europe-Écologie-Les Verts), Génération écologie (GE), le Parti animaliste et Francis Lalanne, proche de l’Alliance indépendante écologique (AEI) s’élève à 18 %.

    Bien entendu, les médias et l’Éducation nationale ont beaucoup œuvré à ce résultat, intégrant dans l’esprit des plus jeunes électeurs, l’ennemi principal, c’est-à-dire le climat.

    Comme nos ancêtres les Gaulois (réfractaires ?) qui avaient peur que le ciel ne leur tombe sur la tête, les néo-électeurs ont peur du climat.

    Cette orientation de l’opinion permet de conjurer d’autres phénomènes graves : le phénomène migratoire et les orientations de l’Union européenne. D’ailleurs, on en arrive même à dire que les phénomènes migratoires sont liés au climat, cela pour éviter de limiter les migrations aux guerres (ce qui, de facto, permettrait de rejeter la plupart des migrants), voire même de « surfer » sur cette vague dite populiste en affirmant que la limitation des migrants s’opérera quand le Soleil perdra de son rayonnement… En ce sens, le vote vert est démagogique et d’un populisme exacerbé. Il repose sur un préjugé, celui du réchauffement climatique ou plus exactement, du dérèglement climatique. En effet, si le réchauffement n’est pas avéré, il s’agit probablement de dérèglement. Et si vous n’y croyez pas, les ayatollahs verts vont feront la morale. Le danger c’est le climat vous dis-je, le climat ! Les climato-sceptiques n’ont guère droit à la parole, les médias les traitant même de « révisionnistes », renvoyant le traitement de leurs idées au néant intellectuel. Vous n’avez pas la parole car vous contestez le dérèglement climatique.

    Souvenez-vous de la mise à l’écart de l’ancien ministre socialiste de l’Éducation nationale, Claude Allègre, parce qu’il avait osé remettre en cause le dogme, celui du climat déréglé.

    Le vote contre le climat représente le choix électoral le plus mondialiste qui soit. Le thème de l’écologie traditionnelle, dite « de droite » est à redécouvrir avec l’expression du localisme. Mais nous en sommes loin et ce n’est pas le propos de ce billet. Aujourd’hui, les défenseurs auto-proclamés de la planète veulent totalement modifier notre système.

    Les khmers verts sont près du pouvoir, d’ailleurs ils ont déjà participé au gouvernement de la gauche plurielle de Lionel Jospin, entre 1997 et 2002. En effet, ils n’hésiteront pas à servir de roue de secours de La République en marche (LRM), s’il en était besoin. Comme en Allemagne, ou au choix, ils peuvent soutenir les démocrates-chrétiens d’Angela Merkel comme les sociaux-démocrates.

    Le totalitarisme qui vient, ce n’est pas le populisme qui n’a aucune structure idéologique commune si ce n’est la reconstitution des frontières, c’est ce mode de pensée du quotidien, avec des règles alimentaires strictes (les végan), l’énergie du soleil et du vent, la culture sans engrais.

    Le modèle écologique est bien plus qu’un mouvement politique, c’est le mouvement qui définira, si l’on n’en prend pas garde, notre quotidien.

    Nous nous émouvons, parfois et à juste titre, de modes de vie différents de notre culture européenne mais ces modes de vie ne concernent que des minorités. Ici, le danger ne vient pas de l’étranger mais d’une mouvance occidentale qui n’a qu’un seul but : transformer le quotidien de tous et de chacun.

    Bien sûr, cette poussée n’est pas nouvelle, les mouvements écologiques avaient déjà fait l’objet de poussées électorales. En France, la « poussée verte » a fait tomber de nombreuses mairies de droite en 1977. Depuis 1977, les élections européennes ont vu les mouvements verts avec des scores à deux chiffres, d’Antoine Waechter avec 12 % en 1989 jusqu’à Daniel Cohn-Bendit avec 16 % il y a dix ans, mais ce qui est interpelant aujourd’hui, c’est la conjonction entre des institutions, une certaine jeunesse déconnectée des problèmes culturels et sociaux et les urnes.

    Ces mouvements n’ont rien de scientifique, ils sont la réponse de l’irrationnel. Ils ne voient pas, ils estiment. Le climat a été remplacé, selon eux. Ils sont les chantres d’un certain remplacement.

    Le clivage de demain s’inscrit dans les élections d’hier. Les Gilets jaunes sont loin, j’entends déjà parler d’espérance verte. Une couleur dont il faut se méfier.

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  • Nos voilées ne veulent plus que des médecins hommes les examinent

    Un vent de révolte souffle sur la France.
    Après les « Gilets jaunes », voici les « Femmes voilées ».
    On souhaiterait savoir ce qu’en pensent les responsables de la liste UDMF (Union des démocrates musulmans de France) : approuvent-ils ou condamnent-ils ?
    Grenoble devient manifestement la capitale française de l’islamisme.
    Avant la récente occupation de force de la piscine municipale par des femmes musulmanes exigeant de pouvoir se baigner en « burkinis » et se plaignant, par la même occasion, d’être écartées des activités sportives à cause de leurs voiles, la ville avait eu droit à une autre manifestation, plus importante, le samedi 6 avril en plein centre-ville, place de la Cymaise, où une cinquantaine de femmes musulmanes voilées, mais revêtues de tee-shirts bleus, aux couleurs de l’association « Alliance Citoyenne » qui non seulement les soutient mais les mobilise.
    « On ne touche pas à mon hijab ! » lancent-elles.
    Elles exigent de pouvoir consulter des médecins sans être discriminées, notamment par uniquement des femmes médecins, lors des consultations hospitalières mais également de pouvoir accompagner leurs enfants, lors des sorties scolaires, tout en étant voilées.
    Cette association, née à Grenoble, est l’organisatrice de ces manifestations choquantes. 
    Les responsables, Assia, Leila ou Taous, toutes voilées, estiment qu’interdire le voile est indigne d’un pays où les femmes sont supposées vivre librement.
    Elles entendent changer les règles de notre société, édictées à cause de « tous ces fachos ».
    « On est là pour défendre nos droits de citoyennes françaises et dire stop à l’islamophobie et à l’exclusion des femmes musulmanes voilées des activités sportives. On courra même si les racistes ne le veulent pas. On courra pour un monde meilleur. »
    Se rendent-elles compte que ce sont elles qui sont la cause justement de ce racisme dont elles se plaignent ?
    De telles manifestations contre les lois de la République ne devraient-elles pas interpeller le ministre de l’Intérieur ? 
    Et si une telle association est subventionnée par la ville de Grenoble, pour le moins la lui supprimer !
    Après Grenoble c’est à Montpellier (34) où vendredi matin une centaine de femmes musulmanes se sont fait entendre et se révoltent devant l’école Léopold Sedar-Senghor et la mairie du quartier de la Mosson, contre le projet d’interdire le voile lors des sorties scolaires.
     « On est toutes françaises. Pas de foulards, pas de sorties scolaires »
    Ne devraient-elles, bien au contraire, manifester comme le font les femmes musulmanes de tous ces pays où on les oblige à porter un voile, où il est imposé ?
    Elles déclarent « avoir un cerveau sous leurs voiles », qu’il nous soit permis d’en douter !
    À Soisy-sous-Montmorency (95) – Une jeune femme de 28 ans a été attaquée par un groupe de trois adolescentes, âgées de 18 et 19 ans, mardi soir, à 22 h 30, sur le parking du magasin Leader Price.
    À l’aide d’un couteau, elles lui ont tailladé le visage sur une longueur de 15 centimètres et une profondeur d’un centimètre.
    Très sérieusement blessée, elle a été prise en charge par les ambulanciers et les policiers présents ont remarqué ce groupe de trois jeunes filles qui assistait à la scène un peu à l’écart.
    L’une des trois a pris la fuite à leur approche et les deux autres ont été interpellées.
    Originaires d’Épinay-sur-Seine, dans le département de Seine-Saint-Denis, elles ont été placées en garde à vue.
    Nous ignorons leurs identités, mais elles n’étaient pas voilées pour se livrer à cette activité interdite également par la loi !
    Manuel Gomez

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/nos-voilees-ne-veulent-plus-que-des.html

  • LE DÎNER DU SIÈCLE – Les Reportages de Vincent Lapierre