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Polémique au sujet d’une affiche de la FCPE, l’association de parents d’élèves laissant apparaître la photo d’une femme voilée pour promouvoir « une laïcité apaisée ». Qualifiée d’« erreur » par Jean-Michel Blanquer, mais totalement assumée par la FCPE, selon BFM TV.
Réaction de Jean-Paul Brighelli au micro de Boulevard Voltaire
Jean-Michel Blanquer s’est positionné vis-à-vis d’une affiche de la FCPE. Cette affiche mettait en avant une femme voilée. Le ministre a trouvé cette sortie regrettable. Partagez-vous ce point de vue ?
Je partage totalement le point de vue du ministre. Je trouve cela inapproprié. C’est un euphémisme qui est tout à fait blanquerien. Il faut bien rappeler qu’une telle initiative s’oppose à la loi. La loi a été rappelée très clairement par Luc Chatel dans les années 2009. Une sortie scolaire, c’est l’établissement hors les murs. Les règles de laïcité, la loi de 2004 s’appliquent intégralement. Il y a eu un flottement dû à Najat Vallaud-Belkacem, pour les raisons que vous imaginez. Se voiler pour escorter les élèves relève du militantisme extrémiste. Or les superstitions religieuses n’ont rien à faire à l’école, que l’école soit à l’intérieur des murs ou hors des murs. Il faut vraiment être clair là-dessus. La FCPE est une organisation de parents d’élèves qui reçoit, à ce titre, d’importantes subventions. Si j’étais le ministre, je les couperais instantanément.
Cette affaire rappelle l’affaire du voile qui avait éclaté en 1989. Trois élèves avaient refusé d’ôter leur foulard islamique. Est-on en train de revivre la même polémique ? À l’époque, les personnalités comme Ghaleb Bencheikh avaient déclaré que la République avait manqué d’autorité. La République doit-elle marquer son autorité sur ce sujet-là ?
En 1989, les islamistes mettaient le doigt. Actuellement, ils mettent le bras. En 1989, on a été faible. On n’aurait pas eu tous ces problèmes par la suite. Soit on est encore une vraie République et on réagit, soit on est une démocratie à la con et on laisse couler. Si on laisse couler, on coulera avec !
C’est en ne cédant pas sur ces « petites choses », qu’on ne cédera pas sur les grandes.
Il n’y a pas de petites choses en termes de laïcité. Il faut bien comprendre quels sont les enjeux du voile. Les enjeux du voile sont des enjeux politiques, bio-stratégiques. J’habite à Marseille, des voiles on en a tous les cinq mètres dans la rue. Il est évident que c’est une façon de s’annexer des pans de territoire et d’occuper à la fois l’espace et les esprits. Si j’étais à la place de la FCPE , je ne serais pas fier d’entrer dans ce genre de jeu. Beaucoup de parents comprennent très mal ce genre de prises de position.
BFM /em> nous a appris que la FCPE assume son affiche avec une mère voilée.
Cela fait plusieurs années que la FCPE est à l’ouest concernant les revendications des parents. Des gens s’affilient encore à cette organisation infiltrée. Grand bien leur fasse ! Il faut en tirer les conséquences, arrêter de les alimenter et d’en parler. Pour moi, ils n’existent plus !
La presse à scandale n’en a rien dit, mais il faut se rendre à l’évidence : il y a de l’eau dans le gaz entre Emmanuel et Greta. Tout avait pourtant bien commencé. Reçue gentiment à l’Élysée, envoyée à l’Assemblée pour porter le message réchauffant, le Président tenait sa mascotte. Une petite fille avec des couettes qui tentait d’échapper au grand méchant loup climatique ; lui, bombardé champion de la Terre en 2018. Une amitié était née.
À coup sûr, dans son discours de l’ONU, elle allait glisser un mot pour les efforts de son copain Macron dans la chasse au CO2. Entre potes, c’est bien naturel. Au pied de la tribune, Emmanuel écoutait Greta la larme à l’œil. Une fille qu’il avait connue haute comme trois pommes bio, pensez, une amie de trente ans, une… « Ah ! elle est virulente, la bougresse… Oh ! elle est drôlement énervée… Mais je rêve, elle s’en prend à la France ! »
Eh oui, Emmanuel Macron dut se rendre à l’évidence : du haut de la tribune, la bonne Greta mordait la main qui lui avait ouvert les portes du Palais, puis de l’Assemblée, une main qui n’aurait pas hésité à lui accrocher des médailles de toutes les couleurs… Et, comble de trahison, elle portait plainte avec quinze autres jeunes devant le Comité des droits de l’enfant contre cinq pays dont – je vous le donne en mille – la France. L’Argentine, le Brésil, la Turquie et l’Allemagne dans le même bateau. Et voilà le travail. Trente ans d’amitié foutus en l’air. Enfin, presque.
À peine remis de sa douche froide, l’ami éconduit s’en fut riposter : « Je n’ai pas le sentiment que les gouvernement français ou allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer. » Parlant des mobilisations : « Il faut qu’elles se concentrent sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer. » Propos traduits par un spécialiste de l’ONU en ces termes : « Que la môme s’en prenne d’abord aux plus gros pollueurs, à savoir, la Chine, l’Inde, les États-unis… Mais pas nous. Ah, c’est bien la peine qu’on se décarcasse… »
Une ingratitude justifiée par un protocole optionnel de la Convention des droits de l’enfant qui autorise ceux-ci (depuis 2014) à porter plainte devant le Comité des droits de l’enfant de l’ONU s’ils estiment leurs droits bafoués. Or, les cinq pays incriminés « font partie des 44 pays ayant ratifié ce protocole, ce qui n’est pas le cas des États-Unis, de la Chine ou de l’Inde », selon Le Figaro. Et c’est çui qui dit qui y est.
« Non, tu n’es pas seul, Emmanuel. Une de perdue, dix de retrouvées… » À ses côtés, ceux qui avaient été les témoins de cette belle histoire d’amitié ont su trouver les mots pour remonter le moral de leur chef.
Brune Poirson, ministre de la Transition écologique : « Mais quelles sont les solutions qu’elle met sur ma table ? Je ne sais pas. On ne peut pas mobiliser avec du désespoir, presque de la haine. » Incitation à la haine ? Son compte est bon. Jean-Michel Blanquer : « Il ne faut pas créer une génération de déprimés autour du climat. » Trop tard. La psychose s’installe. Yves Cochet annonce un effondrement global avant 2030, le GIEC confirme une montée des océans d’un instant à l’autre…
« Pfff… Après une pareille trahison… De toute façon… À quoi bon lutter contre le CO2 ? »
Emmanuel Macron pourrait rejoindre le camp des humano-sceptiques…
Les mondialistes, rejetés par les peuples fragiles, se maquillent désormais en vert forêt. Sans doute espèrent-ils ainsi, sous la bannière écologiste, passer inaperçus, voire sympathiques. Les plus exaltés, qui annoncent la fin du monde si l’actuel système libéral et financier n’est pas démembré en urgence, ont néanmoins la subtilité des promoteurs du communisme de jadis. Ceux-ci promettaient un monde meilleur à coups de triques et de propagandes. A l’époque, la jeunesse embrigadée n’était pas en reste pour sublimer le nouvel universalisme fraternel du prolétariat. Celle d’aujourd’hui, qui partout dans le monde répond aux peurs (“I want you to panic”) du jeune robot Greta Thunberg, a gardé un même air de famille, avec son fanatisme juvénile et sa croyance post-religieuse en l’apocalypse.
Difficile à ce stade de faire la part entre l’endoctrinement, la rééducation, l’inquiétude raisonnée. Reste néanmoins un profond malaise devant cette nouvelle idéologie mondialiste, qui ne supporte pas les contradictions. Qui ose émettre des réserves sur l‘urgence climatique est bon pour la camisole et le cabanon. Or c’est ce monde enfiévré qu’est parti rejoindre, ce lundi à New-York, Emmanuel Macron, à l’occasion du sommet des Nations-Unies sur le climat.
L’échec de la Marche pour le climat, samedi à Paris, rassure sur la lucidité de la jeunesse française. Il est vrai que l’infiltration du défilé par les black blocs et leur violence a pu avoir un effet répulsif. Encore que ceci mériterait d’être approfondi. Car il existe des similitudes entre le projet révolutionnaire des black blocs – lutte contre le capitalisme, le libre-échange, les démocraties libérales – et celui des écologistes radicaux qui rêvent pareillement de la table rase au nom d’une conviction totalitaire. En revanche, ceux qui espèrent une convergence des luttes avec les Gilets jaunes n’ont rien compris de cette autre révolte populaire : elle rejette la mondialisation et ses effets dévastateurs pour les nations souveraines.
Les Gilets jaunes du 17 novembre 2018 – qui ont progressivement laissé le terrain à l’extrême gauche – se sont d’abord mobilisés contre l’écologisme punitif, qui entendait faire payer à la classe moyenne française les pollutions en CO2 de la Chine, de l’Inde ou d’ailleurs. Si leur mouvement s’est inscrit en rupture avec des élites aveugles et sourdes, il est resté libéral dans son essence : ce sont des additions d’initiatives privées et de débrouillardises individuelles qui ont su ébranler la République. Et ce n’est probablement pas fini.
Quatre ans après la fusion des régions, c'est un bilan accablant que publie la Cour des comptes.
La Cour des comptes estime que le passage de 22 à 13 régions n'a pas permis de réduire les budgets. Bien au contraire, il y aurait notamment des surcoûts sur la question des salaires des agents. C'est le cas en Occitanie.
Voici un documentaire de la chaine Arte révélant le financement par l’ONG Qatar Charity de projets de mosquées, de centres islamiques et d’écoles en Europe, tous liés aux Frères musulmans.
À l’origine de cette investigation, une clé USB, livrée en 2016 par un lanceur d’alerte aux journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot, laquelle contient des milliers de documents confidentiels émanant de l’opaque Qatar Charity, une ONG fondée en 1992 et aujourd’hui présente dans soixante-dix pays. Listes de donateurs (dont des membres de la famille régnante Al-Thani), virements bancaires, mails… : cette fuite sans précédent révèle l’offensive prosélyte de l’émirat en Europe, la puissante organisation finançant quelque cent quarante projets de mosquées, de centres islamiques et d’écoles, tous liés à la nébuleuse des Frères musulmans. Malgré les dénégations de Doha concernant cette implication religieuse, les journalistes ont enquêté pendant deux ans sur le terrain pour mettre au jour l’influence du Qatar sur l’islam du continent.
Du centre islamique An-Nour à Mulhouse, le plus grand chantier en Europe dans une région frontalière qui compte 200 000 musulmans, au dispositif d’accueil des migrants en Sicile en pleine crise syrienne en passant par le musée des Civilisations de l’islam (Mucivi) en Suisse ou encore un centre de formation des imams à Château-Chinon, ce film plonge au cœur de ces réseaux.
Qatar, guerre d’influence sur l’Islam d’Europe : Documentaire de Jérôme Sesquin (France, 2019, 1h30mn) :
La banque centrale américaine n’est pas obligée d’injecter des centaines de milliards de dollars par hasard.
Il y a une raison, ou éventuellement, une conjonction de raisons qui montre que le système financier reste d’une fragilité inouïe comme d’ailleurs l’ensemble de notre système « monde » dans la globalité.
Premier élément le pétrole !
Comme je vous le rapporte dans cette édition, la production saoudienne de pétrole retrouvera son niveau normal d’ici quelques jours.
Mais, jusqu’à quand ?
Car ce que montre cette histoire, c’est que quelques camarades gueux (comme nous par rapport aux grands mamamouchis de ce monde) appelés Houthis ont réussi à faire péter les installations pétrolières du géant saoudien, ce qui a fait péter le marché des dérivés de pétrole en une seconde ou presque.
Les Saoudiens vont réparer. Fort bien.
Les Houthis recasseront le tout… puis cela pourra durer longtemps ainsi.
Si tous les mois, les Saoudiens mettent un mois à réparer le truc cassé le mois d’avant, nous allons avoir un problème durable.
Nous avons donc comme mèche qui alimente la crise de liquidité et de confiance, cette histoire de dérivés de pétrole.
Bien évidemment les marchés dérivés même si les montants en jeu sont colossaux, sont censés être des jeux à sommes nulles.
Ce que je perds, tu le gagnes… certes.
A ceci près que s’il y a un gros béta (comme le gus de Mitsubishi) qui a joué à la baisse quand il ne fallait pas, on peut se trouver avec une grosse main, une institution, une grande banque qui aurait un énorme trou…
Du coup, qui dit trou, dit crainte et syndrome Lehmann… personne ne sachant qui a perdu quoi, plus personne ne veut plus prêter à personne.
Deuxième élément le déficit budgétaire américain
Tout ceci arrive effectivement à un moment, où la FED a globalement cessé ses rachats d’actifs, donc ses injections.
Du coup, c’est le marché (censé le faire librement) qui finance le déficit budgétaire de l’État fédéral qui compense allègrement les non-injections de la FED par un énorme déficit qui assèche en partie le marché des liquidités.
Troisième élément les impôts
C’est vrai que tout ceci arrive comme le dit la thèse officielle au moment où il faut (comme tous les ans) payer les impôts, et chaque année quand il faut payer les impôts ce n’est pas la FED qui fait le chèque pour chaque contribuable.
Cela a beau être la thèse officielle, c’est difficilement crédible.
Quatrième élément le cadavre en décomposition dans une banque
Cela fait des mois que circulent des rumeurs insistantes de faillite d’une énorme banque dans le monde.
Tous les regards se portent sur… la Deutsch Bank qui est la nominée à l’Award du bilan bancaire le plus moisi.
Il se pourrait que la banque allemande particulièrement active sur les marchés des dérivés connaissent quelques déconvenues amplifiées par la forte hausse suivi d’une baisse des cours du pétrole.
Enfin, l’Allemagne est frappée de plein fouet par la récession industrielle qui pointe le bout de son nez et qui touche en particulier le secteur automobile.
Et justement, le secteur automobile en Allemagne c’est 50%, oui la moitié, de l’excédent commercial allemand !
Si le monde entier cesse d’acheter les bagnoles allemande, nous aurions un voisin nettement moins arrogant sur la force de son industrie… profondément « mono secteur ».
Or nous vivons avec la transition écologique, un changement majeur des usages autour de la voiture qui frappe de plein fouet cette immense industrie chez nos voisins.
Cinquième élément… les zombies…
Les zombies, c’est quoi ?
C’est toutes ces entreprises qui ne sont encore vie que parce que les taux sont négatifs, la dette pas cher et qui vivent de la liquidité abondante.
Mais la multiplication des faillites récentes et la dernière en date avec Thomas Cook, est un signal faible qui matérialise probablement le fait, que les entreprises zombies sont arrivées en bout de cycle de vie, et qu’elles seront de plus en plus nombreuses à chuter dans cette récession, quand bien même la récession serait « douce ».
Sixième élément… la confiance !
Du coup, on boucle la boucle et on en revient à la confiance qui sous-tend tout le système économique.
Personne ne sachant plus qui est exposé à quoi et qui pourrait perdre combien, les systèmes de refinancement se grippent.
Les marchés couinent, les craquements se font entendre.
A quoi s’attendre dans les prochaines semaines ?
Les autorités monétaires agissent et irrigueront autant que nécessaire.
Elles viendront pallier les éventuelles faillites si nécessaire pour éviter un risque systémique.
Elles ne diront rien, et il nous faudra deviner ce qu’il se passe.
Pourquoi ?
Parce que quand survient une crise de liquidité une perte de confiance brutale et généralisée de la confiance des agents économiques peut entraîner l’effondrement du système en quelques heures. C’est donc potentiellement cataclysmique.
Il ne faut pas attendre des autorités une transparence par définition presque impossible.
La vérité sera connue, mais … plus tard, une fois la crise réglée et dépassée.
Il va nous falloir naviguer à vue, et prendre des décisions sur des éléments d’informations partiels et des hypothèses de travail.
Quand on ne sait pas, on applique la stratégie dite du canard de mon pépé !
On se dirige tranquillement et sans panique vers les abris. Puis on laisse un bout du museau dépasser pour voir ce qu’il se passe et on attend !
Patrimonialement, on reste dans les grosses banques, on répartit ses avoirs entre les banques, on continue à diversifier son patrimoine et à sur-pondérer les actifs tangibles.
Bref, en réalité rien de nouveau, si ce n’est que cet épisode de tensions financières permet de rappeler à chacun, que le système financier est fragile, parce qu’en réalité il s’est déjà effondré il y a 10 ans et que depuis, rien n’est plus et ne sera plus jamais comme avant.
Pour ceux qui ne l’auraient pas encore vue, voici la vidéo du samedi 21 consacrée à ce sujet.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Dans un communiqué publié le 24 septembre 2019, La Manif Pour Tous estime qu’après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années.
Voici le texte du communiqué intitulé “PMA sans père : au pied du mur, le gouvernement doit maintenant apporter des réponses” :
L’heure des réponses a enfin sonné. Après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années. Resté sourd aux questions soulevées par les associations familiales, les pédopsychiatres, les juristes, les scientifiques, les philosophes…, la majorité va devoir se montrer non seulement à l’écoute mais aussi entendre les nombreuses réserves exprimées par la société civile.
Il est temps de lever les ambiguïtés entretenues par le gouvernement depuis trop longtemps. L’embarras du gouvernement suite à la publication de l’avis de l’Académie nationale de médecine s’est traduit par un amalgame scandaleux. Des ministres n’ont pas hésité à comparer la situation des enfants vivant dans des familles monoparentales avec celles d’enfants nés par PMA sans père. Heureusement, ces deux situations n’ont rien à voir. Les enfants vivants dans des familles monoparentales connaissent souvent leur père. Mais pour de multiples raisons, ils en sont séparés. Ces situations n’ont rien à voir avec le fait d’organiser la conception d’enfants volontairement privés de leur père. C’est bien ce caractère volontaire qui est au cœur du projet de loi. Qui a le droit de décider qu’un enfant peut être privé de son père avant même sa conception ? Comment l’accepter ? Comment peut-on envisager un seul instant de priver volontairement un enfant de l’amour de son père pour toute sa vie ?
Le gouvernement entretient également une ambiguïté autour de la GPA. Il affirme que ce n’est pas un sujet puisque le projet de loi ne prévoit pas la légalisation de la GPA. Mais, en même temps, il prépare une circulaire sur la reconnaissance des enfants nés par GPA dans un pays étranger. Il ne doit pas fuir ses responsabilités et être clair :
Oui ou non, le gouvernement est-il réellement opposé à la GPA ? Oui ou non, le gouvernement est-il opposé à ce que des Français aillent faire une GPA à l’étranger ? Par souci de cohérence, et parce que la dignité des femmes n’a pas de frontières, parce que la GPA est effectivement intolérable en France, elle l’est aussi à l’étranger et nos ressortissants ne doivent pas être autorisés par la loi française à y recourir. Oui ou non, le gouvernement est-il prêt à reconnaître les enfants nés d’une GPA à l’étranger à l’état civil, ce qui reviendrait à encourager les Français à aller faire des GPA à l’étranger et donc au développement de ce business sordide ? Oui ou non, le gouvernement veut-il s’engager pour l’abolition universelle de la GPA, au nom de la dignité et du droit des femmes ?
Bien d’autres questions sont encore soulevées par la PMA sans père à l’occasion du débat parlementaire : la PMA post mortem, la PMA pour les personnes transgenres, l’autoconservation des ovocytes, la réponse à la pénurie de gamètes… Concrètement, comment le gouvernement entend-il garantir aux femmes que l’autoconservation des ovocytes ne va pas déboucher sur des pressions de leurs employeurs ? Comment le gouvernement peut-il garantir que la pénurie de gamètes ne va pas se traduire par la rémunération des fournisseurs de sperme ou l’achat de sperme à l’étranger ? Comment le gouvernement compte-t-il s’assurer que ce commerce des gamètes sera interdit en France, y compris sur internet ?
Enfin, le gouvernement doit cesser de chercher à museler toute forme d’opposition à son projet au nom de la recherche légitime d’un « débat apaisé ». Il y a eu plusieurs glissements forts regrettables du côté de la majorité qui cherche manifestement à réécrire l’Histoire. S’il s’est déclaré favorable, à titre personnel, à la PMA sans père, Emmanuel Macron a toujours conditionné tout projet législatif à l’existence d’un large consensus. Aujourd’hui, plusieurs ministres cherchent à remplacer ce consensus par le caractère « apaisé » du débat. C’est un tour de passe-passe grossier et indigne du gouvernement. Le Président du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique) a lui-même souligné, à l’issue des États généraux de la bioéthique, qu’il n’existe pas de consensus sur cette mesure. Les Français sont profondément divisés sur cette question. Comment en outre parler de débat « apaisé » lorsque ni les conclusions des États généraux de la bioéthique, ni le contenu de la mission d’information parlementaire, ni les auditions de la commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte. Comme pour les retraites, la position du gouvernement consiste à organiser un débat mais à ne surtout pas en tenir compte dans ses décisions. C’est parfaitement anti-démocratique.
La République doit protéger tous ses enfants, sans distinguer ceux qui sont nés par PMA, elle n’a pas à en priver volontairement certains de l’amour d’un père. C’est ce message d’amour qui sera porté haut et fort dans la rue lors de la manifestation unitaire sous le label « Marchons Enfants ! » qui se tiendra à Paris le dimanche 6 octobre : « Liberté ! Égalité ! Paternité ! ».
Insultant et donc inadmissible par son ton, insupportable par sa mise en scène pleurnicharde, et totalement inepte sur le fond, le violent discours prononcé lundi par la Suédoise Greta Thunberg à la tribune de l’ONU, en offrant le spectacle consternant de dirigeants de la planète à la tête chenue écoutant sagement avant de l’applaudir en chœur la ridicule leçon d’une écolière de 16 ans, restera peut-être dans les annales de l’organisation internationale comme le symbole de l’inversion des valeurs qui caractérise, hélas, notre époque. Culpabilisation, accusations, menaces : tout y est passé, sans même susciter la moindre réaction d’agacement de la part d’un auditoire visiblement béat d’admiration devant cette gamine insolente. Question : pendant combien de temps encore allons-nous devoir supporter les états d’âme et les invectives de cette marionnette du GIEC ?
Greta, à la limite de l’hystérie
Pour détendre un peu l’atmosphère, et aussi nous faire rire, on aurait aimé que cette brave Greta nous raconte encore une fois comment sa venue très médiatisée aux Etats-Unis à bord d’un voilier zéro carbone, censé polluer moins, avait en réalité produit davantage de CO2 que si elle et son entourage avaient pris l’avion. Mais la nouvelle égérie des écolos était là pour tout autre chose. Particulièrement agressive, elle n’a pas hésité à réprimander les dirigeants de la planète pour leur pseudo inaction contre le prétendu « réchauffement climatique ». En effet, a-t-elle déclaré, « vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses. [...] Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous ! » Et Thunberg de menacer alors : « Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison. [...] Je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça. »
La France visée par une plainte
Une menace que la Suédoise et ses petits camarades en culottes courtes n’ont pas tardé à mettre à exécution puisque, dans la foulée, on apprenait que 16 jeunes, dont Greta Thunberg, conseillés par le cabinet international d’avocats Hausfeld et avec la bénédiction de l’Unicef, venaient de déposer une plainte auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU contre la France, l’Allemagne, l’Argentine, le Brésil et la Turquie, pour... violation et non-respect de la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant ! Une information que le président de la République, invité mardi matin sur Europe 1, s’est, hélas, abaissé à commenter en expliquant que si « toutes les mobilisations de notre jeunesse ou des moins jeunes sont utiles », « il faut qu’elles se concentrent maintenant sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer ». Or, a-t-il ajouté, « je n’ai pas le sentiment que le gouvernement français ou le gouvernement allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer ». Et le chef de l’Etat, après avoir appelé les jeunes à agir concrètement sur le terrain, de lancer alors en direction de la harpie suédoise : « Là, des positions très radicales, c’est de nature à antagoniser nos sociétés. »
Si cette femme veut vivre "à l'islamique", qu'elle aille vivre dans un pays islamique...
En France, on est dans un vieux pays de tradition gréco-romaine, chrétienne et européenne, où les femmes n'ont jamais eu ce code vestimentaire.
Le Système nous impose un changement de peuple, dont nous ne voulons pas, par une immigration massive délibérément voulue pour "casser" notre Société traditionnelle : il trouve des collabos chez les révolutionnaires pour qui l'immigré remplace l'ancien ouvrier, parti au Rassemblement national; chez les faiseurs de fric, qui veulent une main d'oeuvre bon marché; et chez des "idiots utiles" (le mot est de Lénine) comme cette FCPE et son affiche qui nous répugne : honte à elle !
Nous, comme pour le burkini ou tout autre signe visible de prosélytisme musulman, nous refusons de mettre le doigt dans l'engrenage de l'islamisation progressive et continue de l'espace public, prélude au basculement dans une nouvelle société régie par des lois, moeurs et règlements dont nous ne voulons pas...
A quelques jours du débat sur l’immigration au Parlement, l’Aide Médicale d’Etat, réservée aux clandestins, concentre l’essentiel des critiques. Alors que la droite réclame son abolition, la majorité présidentielle maintient sa position du “en même temps”.
Iran : Macron prend une douche froide
Après s’être rêvé en conciliateur dans le dossier iranien Emmanuel Macron a finalement plié pour adopter la ligne de ses alliés saoudiens notamment… pire le président français s’est ridiculisé devant son homologue américain.
L’Iliade : le succès de Renaissances
Depuis le 20 septembre et jusqu’au 25, l’Institut Iliade réunit de nombreux artistes dans une galerie parisienne. TV Libertés était au vernissage.