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lobby - Page 832

  • La Belle Époque des accusations délirantes est revenue

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde s’en souvient – ou le devrait : au temps du bon Joseph du Kremlin, le 2Tsar Rouge, lorsque le Big Boss avait un mouvement d’humeur, lorsqu’il voulait se débarrasser de rivaux ou simplement épurer les hauts cadres du PC de l’URSS, le Procureur-général de l’URSS accusait les dignitaires devenus indésirables de trahison au profit de « l’impérialisme étranger » ou des « gouvernements fascistes ».

    C’est ainsi que des Juifs furent exécutés comme espions au service du IIIeReich tandis que d’autres l’étaient au titre de « vipères lubriques du capitalisme ». En ces temps-là, sous la botte de Soso Dougashvili-« Staline », on savait rigoler !

    C’était de l’humour noir, voire carbonisé, en plus d’être souvent d’une rare grossièreté. Mais une quantité invraisemblable de pitres, dans les PC étrangers, chez les compagnons de route (les « idiots utiles ») ou dans les associations Antifa (telle la Ligue des Droits de l’Homme, où l’on jugea corrects les Procès de Moscou « puisque les accusés avouaient leurs crimes » !), poursuivirent jusqu’en 1956 (année de la publication du Rapport Khrouchtchev) l’adoration du demi-dieu et la calomnie des victimes de ces assassinats judiciaires.

    En nos jours de « conscience éclairée », dans le monde merveilleux du XXIesiècle de l’ère chrétienne – ou du Iersiècle de la nouvelle ère globalo-mondialiste, au gré du lecteur -, voulez-vous stigmatiser un malfaisant qui ne pense pas comme vous, il suffit de trouver la bonne formule et ça marche tout aussi bien que sous le délicieux Joseph… à ceci près qu’on tue moins (sauf du côté des égorgeurs djihadistes) : après tout, même un ennemi est un consommateur et l’essence même de notre Nouvelle Société Qui Gagne est résumée par l’équation Vente = Profit.

    N’êtes-vous point d’accord avec tels ou tels chiffres fantastiques (jamais assez élevés pour certains génocides et toujours trop pour d’autres), êtes-vous effrayé par l’afflux énorme d’immigrés-envahisseurs de l’Europe occidentale & scandinave, refusez-vous de croire que ces arrivants exotiques soient tous des Mozart ou des Mère Theresa, de futurs Prix Nobel ou de dévoués sauveteurs… attendez-vous à une dénonciation pour « incitation à la haine raciale », « à la xénophobie », « au racisme » ou – péril suprême – au crime inexpiable d’antijudaïsme, stupidement dénommé « antisémitisme ».

    Émettre des doutes sur une historiographie faite de contes bleus et d’accusations tenant davantage du folklore et de la propagande que des faits tels qu’on peut les appréhender grâce à des archives non caviardées est une activité aussi pleine de risques que de s’opposer autrefois aux ukases d’un « Lénine » ou d’un « Staline », ou aux lubies du pédophile le plus meurtrier de l’histoire humaine : « Mao tu sais tout ».

    Il est évident que nier des crimes de masse, au prétexte que les lamentations et les réclamations des survivants et des ayants-droit des victimes sont épicées de très curieux « témoignages », est du pur délire. Mais tout ceci n’est qu’affaire d’esthète : nul n’est obligé de s’intéresser à l’histoire ni d’être chatouillé par le désir éthique d’approcher l’insaisissable « Vérité historique ». Dame Vérité ne peut être connue que par une essence surnaturelle, ce qui est de l’ordre de la métaphysique, donc des nuées impénétrables à la raison humaine.

    En revanche, l’honneur d’un homme lui commande de penser au-delà du simple horizon de sa vie, gaie ou misérable – cela importe peu. Nous autres, Européens de souche, avons un devoir impératif : celui de laisser à nos descendants le continent que nos pères nous ont transmis, avec ses tares et ses noblesses, son histoire événementielle, scientifique et technique, son fabuleux héritage culturel.

    Si, pour remplir ce devoir d’honneur, il faut affronter le lynchage médiatique ou une « justice » aussi sectaire que le furent l’Inquisition ou les procédures des barbares dictatures communistes, c’est toujours moins chèrement payé que d’éprouver la honte de n’avoir rien fait, de n’avoir rien dit, quand se préparait la Grande Substitution de populations dominantes en Europe.

    La lucidité n’est pas, ne sera jamais une « incitation à la haine raciale ». C’est une manifestation de pur bon sens et un devoir envers nos descendants. « L’Europe aux Européens » est un slogan aussi légitime que d’autres, bien mieux admis : « L’Amérique aux Américains » ou « L’Afrique aux Africains ».

    En 1785, Sébastien-Roch Nicolas, un bâtard de chanoine qui s’était fait connaître sous le pseudonyme littéraire de « Chamfort », avait écrit : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». Quatre ans plus tard, débutait la grande chienlit qui dégénéra en tueries innommables et en guerres quasi-ininterrompues de 1792 à 1815.

    Les Européens ont le choix : exiger et obtenir dans chaque pays un referendum sur l’immigration extra-européenne ou bien courir le risque d’une guerre des races et des religions. C’est lors d’une guerre, civile ou internationale, que l’on perçoit le véritable déchaînement de la haine et ce n’est guère à l’honneur de la bête humaine. En médecine, l’on dit avec raison que, lorsque cela est possible, « prévenir vaut mieux que guérir ».   

  • “Homophobie” dans le football : les réseaux sociaux s’enflamment

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    Après les “incidents” qui ont émaillé la rencontre Nice-Marseille, les débats font rage dans les stades et sur les réseaux sociaux.

    Comme l’expliquent un certain nombre de supporteurs, l’action de la Ligue de Football Professionnel et du Gouvernement est totalement contre-productive. Il faut ainsi s’attendre chaque semaine à une escalade dans la provocation.

    https://fr.novopress.info/215286/homophobie-dans-le-football-les-reseaux-sociaux-senflamment/
  • 72% des Français estiment que la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours de la dernière décennie

    A la veille de la rentrée des classes qui aura lieu le lundi 2 septembre, un sondage réalisé par l’institut BVA révèle que pour 72% des Français, la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours des 10 dernières années. 51% des sondés estiment même que la qualité de l’enseignement aujourd’hui n’est pas satisfaisante dans l’Hexagone.

    En dépit de l’opinion des Français au sujet de la qualité de l’enseignement, 65% d’entre eux ont une image positive des professeurs. Un résultat stable par rapport à 2017 et légèrement plus élevé chez les parents d’élèves (70%).

    Le Maine Libre

    https://www.tvlibertes.com/actus/72-des-francais-estiment-que-la-qualite-de-lenseignement-sest-degradee-au-cours-de-la-derniere-decennie

  • Sciences Po en marche vers le néant.

    Alors, si j’ai bien compris, l’Institut de Sciences Politiques de Paris, supposé fabriquer nos élites administratives, c’est l’endroit qui s’est un temps rebaptisé Institut Clément Méric, qui a organisé un Hijab Day en hommage à la burqa parce que c’est so coooool d’avoir le droit de vivre soumise comme en l’an 600, c’est l’endroit où les puissants esprits de l’Unef exigent d’installer des distributeurs de Tampax dans les toilettes pour hommes car sinon c’est discriminant tu comprends car on ne pense pas aux transgenres, et, donc, très logiquement avec ce qui précède, c’est désormais le lieu où sera organisée cette année une classe spéciale ayant pour but l’étude de... Macron.
    Macron, sa vie, son œuvre, un cours à la gloire de Macron le Père-Enfant de la Nation disparue, avec lecture obligatoire des œuvres apologétiques de Brice Couturier (véridique), celles vantant le fameux «Président-philosophe».
    Ces éléments permettent me semble-t-il de mieux cerner l’ensemble du problème auquel le pays est confronté et aussi cela permet de bien comprendre que ce ne sont pas dans ces lieux lobotomisés qu’on trouvera les solutions, pour ceux qui nourrissaient encore quelques espoirs...

  • Entre Cédric Herrou et les Identitaires, la justice française a tranché

    Damien Rieu, Romain Espino et Clément Galant, trois courageux militants identitaires, viennent d’être lourdement condamnés par la justice en première instance. Il est instructif de comparer cette sévérité extrême avec l’indulgence dont a bénéficié l’immigrationniste Cédric Hérou. L’injustice est telle que seules les personnes les plus endoctrinées ou les plus haineuses peuvent ne pas s’en rendre compte. En quelques lignes, voici un bref rappel des faits.

    Pour mémoire, Cédric Herrou annonce tranquillement en 2017 au Monde qu’il a aidé près de 200 clandestins à traverser la frontière franco italienne, sans doute pour fuir d’atroces persécutions en Italie.

    Il est inculpé puis condamné en première instance à… 3 000 € avec sursis !

    En appel, il est condamné à… 4 mois de prison avec sursis.

    La Cour de cassation annule ce jugement, qu’il reviendra à la cour d’appel de Lyon de rejuger.

    La date de l’audience n’est pas encore fixée.

    Il est vrai que la dépénalisation du « délit de solidarité » sans gain financier semble exonérer les passeurs bénévoles et compulsifs…

    Paul Tormenen

    Tribune reprise du site de Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Face à Mgr d’Ornellas, Jean-Louis Touraine fait la promotion de l’esclavage

    Face à Mgr d’Ornellas, Jean-Louis Touraine fait la promotion de l’esclavage

    Auditionnés le 29 août sur le projet de loi bioéthique, plusieurs représentants religieux ont apporté une réflexion de fond au débat aux députés, bien loin d’être à la hauteur. Ainsi le franc-maçon Jean-Louis Touraine a voulu piégé de piéger Mgr d’Ornellas en évoquant des histoires de GPA dans la Bible ou des bricolages de filiation entre Joseph et le Christ.

    « Il y plusieurs exemples de GPA dans la Bible, avec Sarah et Abraham avec l’aide de Agar, avec Jacob et Rachel. Nous, nous ne proposons que, modestement, non pas la GPA mais bien l’extension de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules »

    Réponse de l’archevêque de Rennes :

    « Dans ce cas, comme dans les autres, les mères porteuses bibliques sont des esclaves »

    « Je suis frappé que nous ayons des cours théologie à l’Assemblée nationale, a rétorqué . Que sous les ors de la République, nous soyons sensibles à la théologie, j’en suis heureux. Mais prendre exemple de ce qui est écrit sur Joseph, Marie et Jésus pour résoudre les problèmes de modèles familiaux, c’est faire fausse route et tirer la couverture à soi. On ne peut pas utiliser de façon fondamentaliste un texte pour résoudre nos petits problèmes humains, il n’est pas là pour ça ».

    « L’objectif de ces récits est de montrer la frustration, l’amertume, la souffrance », appuie François Clavairoly, le président de la Fédération protestante de France (FPF), rappelant la rivalité ultérieure entre Ismaël et Isaac, fils d’Abraham et Sarah.

    « La Bible souligne bien qu’Ismaël est l’enfant d’Agar », ajoute Haïm Korsia. « Vous avez parmi vos rapporteurs, Madame la présidente, d’éminents biblistes ! », s’exclame le Grand rabbin de France.

    https://www.lesalonbeige.fr/face-a-mgr-dornellas-jean-louis-touraine-fait-la-promotion-de-lesclavage/

  • Retraites monopolistes : la quadrature du cercle

    6a00d8341c715453ef0240a4ca453f200b-320wi.jpgAyant travaillé pendant plusieurs années sur la question des retraites, votre serviteur avoue ne pas croire possible d'envisager leur réforme d'ensemble sur les différents schémas, tous monopolistes sur lesquels s'exprime notre classe politico-médiatique.

    Sans trop s'attarder à la genèse historique de la situation actuelle, rappelons quand même qu'en France, la retraite des vieux travailleurs figurait au nombre des promesses du Front populaire de 1936. Le gouvernement [sublime] présidé par Léon Blum après la victoire de cette coalition, se révéla incapable de la mettre en œuvre. Mais les technocrates qui l'entouraient alors étaient demeurés dans les allées de la haute administration et s'employèrent à la réaliser dans les circonstances dramatiques de 1941. Pour cela, compte tenu d'un environnement économique bien particulier, ils siphonnèrent les réserves des compagnies d'assurances de droit privé qui pratiquaient la capitalisation et instituèrent la répartition.

    Dans l'après-guerre cette situation fut prolongée, de non-réforme en non-réforme, et l'État, c'est-à-dire aujourd'hui ce que l'on appelle "Bercy", a renforcé son monopole sur le pilotage de ce qu'on appelle les "régimes" de pensions.

    À cet égard, après une timide tentative du gouvernement Balladur en 1993-1994, ce fut bien le plan Juppé de 1995-1997 qui alla le plus loin dans l'étatisation et la tutelle du ministère des Finances. Or, depuis cette date, la plupart des soi-disant experts et gestionnaires des caisses, des régimes, des conseils d'orientation, et jusqu'au chef de l'État lui-même, parlent et administrent des institutions d'assurance vieillesse dont ils ne supportent pas les cotisations, pas plus qu'ils ne s'apprêtent à en recevoir un jour les prestations.

    Demandez donc à vos interlocuteurs à quel "régime" ils appartiennent. Ce n'est pas un outrage puisqu'ils pratiquent selon une expression qu'ils affectionnent, une "pédagogie". D'où parles-tu citoyen ?

    Or, il existe en France, non pas 42 "régimes", ce mot ne veut rien dire, mais quatre (4) classes bien distinctes, "d'assujettis", c'est le mot que la république emploie très officiellement. Ces citoyens sont affilés de force à des caisses monopolistes, des taux de cotisations et des espérances de pensions de type très différents, mais entre lesquels personne en France n'a le droit de choisir.

    La principale catégorie est composée des salariés du secteur privé. C'est au nom de ceux-ci que sont supposés parler les syndicats. Certes, ils représentent moins de 10 % des salariés. Mais, divisés en 7 ou 8 organisations rivales, ils ne semblent très majoritairement, pas disposés à remettre en cause la Répartition, désirant surtout le maintien du "droit" à un âge de départ le plus bas possible, en contradiction avec les données démographiques.

    À noter qu'aujourd'hui parmi eux les organisations, jugées représentatives des cadres, après avoir si longtemps cru aux retraites dites complémentaires du système, se sont alignées sur les autres.

    Seconde catégorie : celle des fonctionnaires, certes répartis eux-mêmes selon différents statuts, mais que l’on a agglomérées depuis le passage du communiste Anicet Le Pors dans le gouvernement Mauroy. On entend beaucoup de critiques sur leurs avantages mais, outre le fait qu'ils servent l'État dans des conditions qu'ils considèrent comme contractuelles, ils se sentent encore en mesure de le paralyser. Or, on doit bien mesurer que cet employeur s'est engagé sur les pensions que le Trésor public leur versera[1], après leur cessation d'activité, mais que cela n'est pas comptabilisé dans les dettes de la France au sens des accords de Maastricht. Toute transformation projetée mérite d'être évaluée à cette aune.

    Troisième catégorie : celle dite des régimes spéciaux, avantages corporatifs principalement des éléctriciens-gaziers et des cheminots encore sous statut. Solder leurs privilèges coûterait sans doute moins cher que l'on croit mais a fait reculer très longtemps les pouvoirs publics, car ils ont affaire à la CGT.

    Quatrième catégorie enfin, celle des indépendants, de tous statuts. Tout le monde s'en moque sauf quand les politiciens et les journalistes découvrent qu'il existe encore en France des exploitants agricoles, dont ils dressent un éloge purement métaphorique, etc.

    Or la réforme des systèmes de cotisations/et pensions de ces quatre catégories, elles-mêmes subdivisées en sous-ensembles distincts, n'obéit à aucune logique commune.

    La seule "réforme" d'ensemble possible consisterait à ouvrir un maximum de libre choix, à encourager l'épargne et à respecter les droits de propriété.

    Sauf erreur, dont l'auteur de ces lignes se féliciterait volontiers, personne n'intervient dans ce sens au sein des structures du prétendu débat actuel. Nos technocrates prétendent résoudre de façon contraignante le problème de la quadrature du cercle. Ils n'y parviendront pas.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison

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    Un communiqué de Génération identitaire :

    Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.

    Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.

    Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.

    Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.

    Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.

    Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.

    Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Bruno Gollnisch (RN) : « Les agresseurs de pompiers ne s’appellent pas Martin ou Dupont » (Vidéo)

    Bruno Gollnish (RN) a crée le Malaise sur le plateau de LCI en déclarant que les agresseurs de pompiers « Ne s’appellent pas Martin ou Dupont ». « On sait très bien que l’insécurité (…) est en particulier le fait de groupe de jeunes gens parfaitement déracinés et issus de l’immigration. »

    Pour rappel, selon Le Figaro, près de 200 outrages et agressions contre les policiers, gendarmes et pompiers ont eu lieu chaque jour en France durant le mois de juillet 2019. Les violences physiques ont même pris le dessus sur les outrages et violences verbales, avec 110 cas par jour pour l’année 2019. D’après le syndicat Synergie-Officiers, deux raisons expliquent l’augmentation alarmante des chiffres : « Il n’y a plus de respect pour l’autorité, et le sentiment d’impunité n’a cessé de progresser ».

    Voir la video sur TVL

  • Racisme anti-blanc : 24 heures sur Twitter où la haine contre les “babtous” s’exprime en toute impunité

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    Les réseaux sociaux seraient un déversoir de la cyber-haine. Le gouvernement veut même la combattre en mettant fin à l’anonymat. Mais au moment d’évoquer cette haine insupportable qui s’exprime sur internet, les politiques ou les journalistes prennent très rarement l’exemple du racisme anti-blancs, dont certains nient même l’existence. Nous avons donc voulu constater par nous-même cette haine du blanc sur le réseau social, désigné par les sobriquets de gwers ou babtous.

    Du mardi 15 heures, au mercredi à la même heure, nous avons filtré les messages à caractère raciste envers les Blancs, sans pour autant les sélectionner tous. Certains comptes étant des trolls ou d’autres utilisant ces termes sans véritable hostilité ou mépris. Nous passons outre le racisme bienveillant, contre les ien-cli par exemple. Verlan de client, ce terme désigne les blancs se fournissant en drogue auprès de dealers non-blancs.

    Nous lançons le compte à rebours ; quelques messages de la matinée et des jours précédents sont retweetés :

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