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lobby - Page 902

  • Le journal The Telegraph avoue avoir publié des fake news

    Voilà qui est suffisamment rare pour être souligné : un quotidien bien connu vient de reconnaître publiquement être l’auteur de fake news !

    Le journal britannique The Telegraph vient ainsi de publier un article présentant ses excuses à la suite de la publication d’informations mensongères concernant Melania Trump.

    Au lendemain de l’article « Le mystère de Melania », paru en couverture du magazine Telegraph de samedi dernier (19 janvier),il nous a été demandé de préciser que l’article contenait un certain nombre de fausses déclarations qui, nous l’acceptons, n’auraient pas dû être publiées. Le père de Mme Trump n’était pas une présence effrayante et ne contrôlait pas la famille. Mme Trump n’a pas quitté son cours de design et d’architecture à l’université pour passer un examen, comme le prétend l’article, mais plutôt parce qu’elle voulait poursuivre une carrière réussie comme mannequin professionnel. Mme Trump n’était pas en difficulté dans sa carrière de mannequin avant de rencontrer M. Trump, et elle n’a pas progressé dans sa carrière en raison de l’aide de M. Trump.

    Nous reconnaissons que Mme Trump était une mannequin professionnel à part entière avant de rencontrer son mari et d’obtenir son propre travail de mannequin sans son aide. Mme Trump a rencontré M. Trump en 1998, et non en 1996 comme indiqué dans l’article. L’article affirmait également à tort que la mère, le père et la sœur de Mme Trump avaient déménagé à New York en 2005 pour vivre dans des immeubles appartenant à M. Trump. Ils ne l’ont pas fait. L’affirmation selon laquelle Mme Trump a pleuré le soir de l’élection est également fausse.

    Nous nous excusons sans réserve auprès de la Première Dame et de sa famille pour tout embarras causé par notre publication de ces allégations. Pour marquer notre regret, nous avons accepté de payer à Mme Trump des dommages et intérêts substantiels ainsi que ses frais de justice.

    The Telegraph

    Pour cet aveu, combien d’autres articles mensongers publiés par ce même journal et non avoués ? Il n’empêche que c’est révélateur des pratiques de ces médias manipulateurs.

  • Les réquisitions de gymnases au profit d’immigrés vont priver d’activités sportives des milliers d’élèves

    Les réquisitions de gymnases au profit d’immigrés vont priver d’activités sportives des milliers d’élèves

    Patrick Karam, Vice-président de la région IDF et Inspecteur général jeunesse et sports, écrit au préfet :

  • Christophe Guilluy : « Nous payons réellement 30 années de mépris de classe, d’ostracisation, d’insultes en direction du peuple » (Màj)

    Dans un grand entretien pour Atlantico, le géographe de la France périphérique donne en exclusivité son analyse du mouvement qui a ébranlé le pays et la République.

    Les politiques pensent qu’en agglomérant des minorités ils font disparaître une majorité. Or, les minorités restent des minorités, on peut essayer de les agglomérer, mais cela ne fait pas un tout.

    Ce qu’il faut espérer, c’est que les élites se rendent compte que les peuples occidentaux sont encore relativement paisibles.

    Le mouvement des Gilets jaunes a été beaucoup commenté ces dernières semaines au travers du prisme du concept de France périphérique. Pouvez-vous revenir sur ce concept ?

    […] Il est important de dire que cette géographie n’est pas celle de la pauvreté. Il y a des pauvres parmi eux mais je n’oppose pas les pauvres aux classes populaires. Cela est d’ailleurs très intéressant de constater qu’un des moyens d’invisibiliser les classes populaires a été de mettre en avant les pauvres, et notamment les nouveaux pauvres que sont les immigrés. Il y a eu une instrumentalisation des immigrés et des minorités par la bourgeoisie pour se protéger des classes populaires. […]

    Vous n’avez pas évoqué les violences du mouvement, comment les « comprendre » ?

    À la fin des années 90, j’avais fait une analyse croisée sur la relance de politique de la ville et les émeutes urbaines. On voyait bien que toutes les émeutes urbaines génèrent une relance des politiques de la ville. La réalité est ce que cela marche. Et surtout, le mouvement des Gilets jaunes n’existerait pas en France et dans le monde sans les violences aux Champs-Élysées. Le New York Times a fait sa Une parce qu’il y avait cela, parce que cela est parfaitement corrélé à ce qu’est la communication aujourd’hui. […]

    (…) Le peuple dit « votre modèle ne fait pas société », tout en disant « nous, majorité, avec un large soutien de l’opinion malgré les violences, voulons faire société ». Et en face, le monde d’en haut, après le mépris, prend peur. Alors que les gens ne font que demander du collectif.

    (…) Après, on pointe le fait que les Gilets Jaunes sont contre l’immigration, ce à quoi on peut répondre « comme tout le monde », soit une très large majorité de Français. (…)

    On a présenté les Gilets jaunes comme étant un mouvement de blancs « Ah..ils sont blancs », comme si cela était une surprise de voir des blancs dans les zones rurales françaises.

    (…) Atlantico (lire l’entretien intégral)

    http://www.fdesouche.com/1147853-christophe-guilluy-nous-payons-reellement-30-annees-de-mepris-de-classe-dostracisation-dinsultes-en-direction-du-peuple

  • Manif des "foulards rouges" : L'ECHEC

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    Pour tenter de sauver la face, le pouvoir avait placé tous ses espoirs sur une pseudo mobilisation de ses supos intitulés pour la farce : les "foulards rouges". Avec un tel nom, on se croirait presque dans l'URSS ou dans la RDA des années 1970...

    Mais n'est pas De Gaulle en mai 68, ni Jacques Foccard, qui veut. Macron et Castaner l'ont appris à leur dépend cet après-midi. Le sursaut tant espéré n'était pas, loin s'en faut et malgré les mensonges de la presse aux ordres, au rendez-vous. Un vrai flop...

    Ce triste conglomérat, rassemblant péniblement les différents ingrédients de la "macronnerie", a eu du mal à faire illusion face aux formidables mobilisations populaires des Gilets jaunes de ces dernières semaines. Les apprentis-sorcier de l'Elysée devront revoir leur copie.

    En attendant, c'est bel et bien la chute totale du Système libéral-mondialiste qu'il faut préparer. L'instauration d'un Etat national et identitaire digne de ce nom est une priorité absolue si on ne veut pas voir notre pays broyé par la volonté des tenants du pouvoir d'imposer leur monde globalisé.

    Pour faire prendre conscience de tout cela à notre peuple, et en particulier aux Gilets jaunes qui incarnent actuellement sa volonté de résister, Synthèse nationale publie dans les jours qui viennent un numéro hors-série. Nous ne pouvons que vous inviter à vous en procurer des exemplaires et à les diffuser autour de vous.

    S.N.

    Synthèse nationale (Hors-série n°6, 120 pages,  l'exemplaire : 15 € (+ 5 € de port)

    Par 5 : 50 € (port offert), par 10 : 80 € (port offert)

    Sortie, le 6 février 2019

    Dans ce n°, vous retrouverez des articles de Emmanuel Albach, Serge Ayoub, Franck Buleux, Charles-Henri d’Elloy, Alain Escada, Georges Feltin-Tracol, Roland Hélie, Pieter Kerstens, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Vincent Vauclin, de nombreux Gilets jaunes et de bien d’autres encore...

    Le commander en ligne : cliquez là

    Bulletin de commandecliquez ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le progressisme sociétale est au service des intérêts sociaux-économiques du Système !

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    Ex: http://www.autochtonisme.com

    On sait, depuis Gramsci, que tous les systèmes de domination reposent sur un pouvoir culturel. Le système de domination oligarchique, quant à lui, passe par une suprématie culturelle mais aussi par un suprémacisme sociétal, un suprémacisme qui s’affirme peu à peu dès 1789 et qui, aujourd’hui, n’est quasiment plus contesté, si ce n’est par quelques milieux réfractaires.

    Le processus d’hégémonie culturelle est quasiment arrivé à son point terminal : les individus fréquentent davantage les centres commerciaux que les églises, ils cherchent moins à préserver leur liberté que leur « pouvoir d’achat », ils se soucient de leur individualité mais pas de leur lignée, ils ont conscience de leurs intérêts mais ignorent leur communauté, ils croient être libres mais sont domestiqués. L’homme d’aujourd’hui  est laid (au propre comme au figuré), déstructuré, liquide, superficiel, ignorant, égoïste et moralement tout petit. Même son QI semble s’amenuiser d’année en année, c’est dire ! Cette réalité, à peine caricaturée, prouve que le Système maîtrise à son profit et depuis longtemps tous les outils qui lui permettent d’assurer son hégémonie culturelle (enseignement scolaire, intelligentsia, télévision, presse, production artistique, publicité…). Cela prouve aussi qu’il en use pour amoindrir l’humain, ce qui devrait enlever toute illusion à son sujet. 

    Il est évident que cette hégémonie culturelle sert les intérêts du Système. L’Eglise, l’idée nationale, la capacité à penser selon des valeurs constituent autant de frontières morales, physiques ou intellectuelles qui parasitent la relation à la marchandise, qui entravent la libre circulation des biens, des capitaux et des hommes, voire qui limitent la consommation des produits et détournent l’attention des préoccupations strictement matérielles et monnayables, seules légitimes. Un croyant, un patriote, ou un individu dépositaire de l’héritage d’une lignée, ne sera jamais pleinement un consommateur. Il y a quelque chose en lui qui échappe au Système, un quant-à-soi dangereux que celui-ci ne peut marchandiser et qui doit donc être détruit.

    L’hégémonie culturelle du Système transforme les individus en consommateurs accomplis. Plus rien ne subsiste en eux que le désir d’exister à travers les produits qu’ils achètent et l’argent qu’ils gagnent. Toutefois, pour avoir une efficacité maximum, cette hégémonie culturelle doit aussi devenir sociétale. Autrement dit, elle doit pénétrer les mœurs et dicter les relations entre les hommes.

    Prenons l’exemple des rôles sociaux masculins et féminins. Ces rôles sociaux, que l’on sait largement dictés par la nature, ont aussi une indéniable dimension culturelle (c’est pourquoi ces rôles peuvent varier d’une société à l’autre, voyez l’islam, sans qu’ils soient exactement les mêmes quelque part). On comprendra que du point de vue Système, cette différentiation des rôles sociaux entre les sexes constitue une perte importante d’énergie. Pourquoi les femmes resteraient-elles dans leur foyer pour éduquer leurs enfants ? Ne seraient-ils pas oligarchiquement plus rentable de les mettre à l’usine avec des salaires moindres (dans un premier temps et pour faire baisser le coût du travail) et de leur faire payer dans le même mouvement  l’éducation oligarchique de leurs enfants ? Et puis, ne pourrait-on pas rentabiliser la « maternité », en marchandisant la PMA et en industrialisant la GPA par exemple ? Pour arriver à ses fins, le Système va accoucher du féminisme. Il va « libérer » les femmes en prétextant leur donner le même rôle social qu’aux hommes. Il va en fait exploiter leur force de travail, en attendant d’exploiter leur ventre. L’émancipation des femmes signifie, comme l’immigration, l’augmentation du nombre de consommateurs et de producteurs sous-payés. Et cela est bon pour les affaires.  

    En fait, le Système conçoit l’organisation des populations humaines comme un éleveur de poulet conçoit son élevage en batterie. On sait que l’homogénéité est pour l’éleveur un facteur important de productivité. L’homogénéité de l’élevage permet d’assurer une meilleure gestion de l’alimentation, une meilleure évacuation des déjections, une stimulation lumineuse adaptée à tous les membres du groupe, une meilleure maîtrise de la concentration des animaux. L’homogénéité permet aussi d’endiguer le risque microbien, de standardiser le matériel de production ou d’envoyer à l’abattage tout le lot arrivé en même temps à maturité… Pour obtenir cette homogénéité, l’éleveur fait ce qu’on appelle un « calibrage » : en début de production, il pèse et isole les petits sujets afin que ceux-ci rattrapent leurs congénères par un meilleur accès à la mangeoire ou à l’abreuvoir. On peut renouveler l’opération si besoin est. L’objectif est d’obtenir à terme une homogénéité supérieure à 80%. La raison est triviale : gagner en productivité pour gagner plus d’argent.

    De la même manière, le Système a intérêt à ce que les citoyens soit à 80% « sans distinction » (Constitution), c’est-à-dire « calibrés ». Il pourra ainsi soumettre les individus aux mêmes hiérarchies. Il pourra les affecter aux mêmes fonctions. Il pourra les manipuler en usant des mêmes émotions. Il pourra les grouper, les organiser, les redistribuer selon ses besoins et sans se soucier des anciennes incompatibilités naturelles, culturelles ou géographiques, désormais effacées. En rendant homogène le cheptel humain, le Système n’a plus à tenir compte des origines, des races, des sexes, des religions, des comportements sexuels… Pour le système d’exploitation, le calibrage représente donc indéniablement un gain important d’énergie, aussi important sans doute que dans un élevage de poulets en batterie. Bien sûr, le calibrage des hommes est bien plus subtil et beaucoup plus long que celui des poulets. Le métissage est un bon moyen d’évoluer vers le standard, de même que la substitution du « genre » aux sexes ou la confusion entretenue des rôles sociaux masculins et féminins. Il sera profitable aussi qu’un nouvel ordre sexuel basé sur l’union inconstante et superficielle entre individus abstraits et plus ou moins asexués se substitue à l’ordre sexuel traditionnel fondé sur l’union d’un homme et d’une femme en vue de fonder une famille.

    Le progressisme sociétal (le féminisme, l’idéologie LGBT, l’antijaphétisme, le soutien aux minorités…) est donc un moyen du processus de calibrage de l’humain. Au nom de l’interchangeabilité planétaire et du calibrage institutionnalisé, il est important que tous les hommes soient passivement les clones d’un être qui ne serait plus vraiment Blanc ou Noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, jeune ou vieux, hétérosexuel ou homosexuel… Le calibrage sociétal est la condition de la rentabilité maximum. Aussi faut-il que cesse le détournement inutile d’énergie au profit des appartenances traditionnelles : toute l’énergie humaine du cheptel doit bénéficier au système qui exploite le cheptel. Comprenez bien, au nom de l’efficacité du système d’exploitation, aucune fraction de cette énergie ne doit revenir inutilement au cheptel. La famille traditionnelle, l’ordre sexué, les traditions, les religions… sont des parasites du système d’exploitation, des parasites qu’il convient donc d’éradiquer. Le Système ne peut tolérer des mangeurs d’énergie qui accaparent en partie ce qui lui est du en totalité. Et peu importe que ce processus-Système de captation d’énergie, de vol !, transforme les peuples, vidés de leur âme, en troupeaux de zombies : c’est l’objectif de la manœuvre !

     En 1789, une classe de bourgeois et de marchands a pris le pouvoir. Cette classe oligarchique a taillé les institutions à sa mesure et depuis deux siècles n’a rien laissé au hasard pour perpétuer son emprise sur la société. Imaginer que des évolutions sociétales d’une importance historique inouïe, comme celles que nous vivons actuellement, puissent n’avoir pas été décidées et conduites par cette oligarchie relève, tant les faits sont évidents, d’un déni ridicule. Objectivement, ces évolutions sociétales servent les intérêts sociaux-économiques du régime oligarchique. Celui-ci a tout à craindre d’un peuple organisé et tout à profiter d’un agrégat sagement calibré.  

    Antonin Campana

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/01/21/le-progressisme-societal-est-au-service-des-interets-sociaux-6122567.html

  • Discours de lancement de la Marche pour la Vie

    A_Pouchol.pngLe 20 janvier 2019, Adélaïde Pouchol, rédactrice en chef adjointe de L'Homme Nouveau, était porte-parole de la Marche pour la Vie. Plusieurs milliers de manifestants ont bravé, une fois de plus, les conditions climatiques de début d'année civile, pour défendre la vie : de sa conception à sa mort naturelle. Nous mettons à votre disposition le discours de lancement de cette édition 2019. 

    Cette année, nous ne marcherons pas seulement pour la vie, nous marcherons aussi pour la liberté ! Loi sur le délit d’entrave numérique à l’IVG votée en 2017, projet porté en 2018 par Laurence Rossignol de supprimer la clause de conscience des professionnels de santé, crises d’hystérie dans les bureaux de Marlène Schiappa et déclarations incendiaires dès que quelqu’un ose remettre en cause le droit à l’avortement ou dénoncer les manipulations sur l’embryon... Faut-il continuer la liste de ces attaques multiples, incessantes, contre le droit à la vie et la liberté de conscience ?

    Nous posons aujourd’hui solennellement la question à Emmanuel Macron ainsi qu’à tout son gouvernement : à quoi ressemble un pays dans lequel les médecins, les sages-femmes et les infirmiers sont tenus de marcher au pas de l’État ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée, même si elle est inattendue, fragile ou malade ?

    À quoi ressemble ce pays ? J’ai bien une idée et je vais vous donner un indice, c’est un mot qui commence par « dicta » et qui finit par « ture ».

    Il a fière allure, le pays des droits de l’homme... C’est clair, notre liberté de dire que l’avortement est un drame, notre liberté de dire qu’un enfant n’est pas une variable d’ajustement, notre liberté de réclamer une politique de santé respectueuse de toute vie, bref, cette liberté fait peur au gouvernement parce qu’elle met en cause la logique qui prévaut depuis la dépénalisation de l’avortement et qui a fait de l’enfant un droit dont disposent les adultes. 

    Nous qui marchons aujourd’hui, mais vous tous aussi qui nous écoutez, qui nous regardez passer et qui, peut-être, n’êtes pas d’accord avec nous..., vous êtes plus qu’un projet parental qui a bien fini ! Vous êtes une personne, que l’on vous ait désirée, aimée, attendue ou pas ! 

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de créativité, de solidarité et de courage politique que nous ne sachions pas répondre autrement que par l’avortement à la détresse d’une femme ?

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de sens commun que nous prenions pour une avancée sociale le fait de congeler le petit de l’homme en attendant que l’on veuille bien de lui ? Car il faut en prendre conscience : aujourd’hui, ce sont quelque 230 000 embryons congelés qui attendent dans les CECOS que l’on décide de leur vie ou de leur mort, soit l’équivalent de la ville de Bordeaux plongée dans l’azote liquide...

    Sommes-nous, encore en 2019, assez cruels pour regarder sans ciller se développer un marché de l’humain, où les enfants sont fabriqués, vendus, soldés... au gré des désirs des adultes ?

    Sommes-nous, encore en 2019, aveugles et incapables de voir combien l’avortement s’est banalisé au point qu’il est plus facile dans ce pays de se débarrasser d’un enfant que de prendre un rendez-vous chez un opticien ?

    « Occupez-vous de vous ! Laissez-nous avorter, c’est notre utérus et pas le vôtre », nous disent-elles ! C’est vrai... Et pourtant nous sommes là ! Nous sommes là parce que nous constatons depuis trop longtemps l’échec de cet individualisme et parce que l’on ne bâtit par une société avec de l’égoïsme mais avec de la solidarité, parce que l’on ne construit pas une société en refusant de se soucier d’autre chose que de son nombril. C’est vrai, c’est exigeant, c’est vrai, cela demande du courage et de la ténacité... Mais je crois que la France en est capable.

    Alors, aujourd’hui, et aussi longtemps qu’il le faudra, nous serons la voix des enfants qui ne pourront jamais parler.

    Nous serons le visage des femmes que l’on ne regarde pas pleurer. 

    Nous serons la protestation salutaire des professionnels de santé que l’on voudrait faire marcher au pas. 

    En un mot, nous sommes depuis treize ans déjà et nous serons cette année encore, le caillou dans la chaussure du moralement correct !

    Parce que notre liberté de choisir la vie n’est pas une option !

    https://www.hommenouveau.fr/2756/culture-de-vie---contreculture-de-mort/discours-de-lancement-de-la-marche-pour-la-vie.htm

  • Marks & Spencer se soumet aux délires d’extrémistes musulmans

    MarksSpencer-2.jpg

    Horrifiée, une jeune femme montre à la caméra des rouleaux de papier toilette vendus par les magasins Marks & Spencer. C’est affreux, le nom d’Allah est inscrit en relief dans le gaufrage du produit. La plaignante zoome sur l’objet du délit. Effectivement, il y a des motifs… Des pointillés pour faire joli. « Le nom de Dieu est ici ! Regardez ! » Ah, bon. Dans un éclair de lucidité, la reporter « spécial PQ » concède que l’inscription ne saute pas aux yeux… « Effectivement, sur certaines vidéos, peut-être que c’est pas clair, peut-être que là non plus ». Mais il faut penser au consommateur musulman qui se rend aux toilettes muni d’un microscope électronique. Il y en a.

    La nouvelle fait le tour de la sphère « coupeurs-de-cheveux-en-quatre » en Angleterre et en France. La Fédération des collectionneurs de papiers hygiéniques fantaisie s’indigne. Les dames pipi voilées sont scandalisées alors que dans le Pas-de-Calais, on signale un consommateur musulman qui aurait été happé par sa chasse d’eau après s’être servi du produit. La punition divine. Il fallait s’y attendre.

    Devant les protestations, ni une, ni deux : Marks & Spencer France retire le papier toilette de ses rayons non sans avoir expliqué, preuve à l’appui, que le dessin incriminé représentait une plante d’aloe vera. La clientèle en question pourrait penser qu’il y a du porc dans l’aloe vera… L’accusé s’inflige une punition pour une faute qu’il n’a pas commise. Soumission, Houellebecq, allée B, 3e étage.

    En 1997, Nike USA retirait de la vente 38.000 paires de baskets portant un logo « offensant », plus récemment H&M bannissait une série de chaussettes supposées receler le mot « Allah » écrit à l’envers et il y a une semaine, Amazon supprimait des housses de toilettes pour des raisons similaires… Doléances infinies. Puits sans fond. Interdictions de toutes parts… Pendant ce temps-là, les magasins Lidl effaçaient des croix orthodoxes des emballages de spécialités grecques. Soumission, Houellebecq, en vente partout à prix discount.

    Le gag final revient à la jeune fille de la vidéo qui, au moment de son tournage, a menacé d’aller se plaindre au siège. Après observation au microscope, aucune trace de sens du ridicule n’a été détectée chez cette personne.

    Jany Leroy

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée ?

    Le 20 janvier, Adélaïde Pouchol, rédctrice en chef adjointe de L’Homme Nouveauétait porte-parole de la Marche pour la VieVoici son discours :

    Cette année, nous ne marcherons pas seulement pour la vie, nous marcherons aussi pour la liberté ! Loi sur le délit d’entrave numérique à l’IVG votée en 2017, projet porté en 2018 par Laurence Rossignol de supprimer la clause de conscience des professionnels de santé, crises d’hystérie dans les bureaux de Marlène Schiappa et déclarations incendiaires dès que quelqu’un ose remettre en cause le droit à l’avortement ou dénoncer les manipulations sur l’embryon… Faut-il continuer la liste de ces attaques multiples, incessantes, contre le droit à la vie et la liberté de conscience ?

    Nous posons aujourd’hui solennellement la question à Emmanuel Macron ainsi qu’à tout son gouvernement : à quoi ressemble un pays dans lequel les médecins, les sages-femmes et les infirmiers sont tenus de marcher au pas de l’État ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée, même si elle est inattendue, fragile ou malade ?

    À quoi ressemble ce pays ? J’ai bien une idée et je vais vous donner un indice, c’est un mot qui commence par « dicta » et qui finit par « ture ».

    Il a fière allure, le pays des droits de l’homme… C’est clair, notre liberté de dire que l’avortement est un drame, notre liberté de dire qu’un enfant n’est pas une variable d’ajustement, notre liberté de réclamer une politique de santé respectueuse de toute vie, bref, cette liberté fait peur au gouvernement parce qu’elle met en cause la logique qui prévaut depuis la dépénalisation de l’avortement et qui a fait de l’enfant un droit dont disposent les adultes.

    Nous qui marchons aujourd’hui, mais vous tous aussi qui nous écoutez, qui nous regardez passer et qui, peut-être, n’êtes pas d’accord avec nous…, vous êtes plus qu’un projet parental qui a bien fini ! Vous êtes une personne, que l’on vous ait désirée, aimée, attendue ou pas !

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de créativité, de solidarité et de courage politique que nous ne sachions pas répondre autrement que par l’avortement à la détresse d’une femme ?

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de sens commun que nous prenions pour une avancée sociale le fait de congeler le petit de l’homme en attendant que l’on veuille bien de lui ? Car il faut en prendre conscience : aujourd’hui, ce sont quelque 230 000 embryons congelés qui attendent dans les CECOS que l’on décide de leur vie ou de leur mort, soit l’équivalent de la ville de Bordeaux plongée dans l’azote liquide…

    Sommes-nous, encore en 2019, assez cruels pour regarder sans ciller se développer un marché de l’humain, où les enfants sont fabriqués, vendus, soldés… au gré des désirs des adultes ?

    Sommes-nous, encore en 2019, aveugles et incapables de voir combien l’avortement s’est banalisé au point qu’il est plus facile dans ce pays de se débarrasser d’un enfant que de prendre un rendez-vous chez un opticien ?

    « Occupez-vous de vous ! Laissez-nous avorter, c’est notre utérus et pas le vôtre », nous disent-elles ! C’est vrai… Et pourtant nous sommes là ! Nous sommes là parce que nous constatons depuis trop longtemps l’échec de cet individualisme et parce que l’on ne bâtit par une société avec de l’égoïsme mais avec de la solidarité, parce que l’on ne construit pas une société en refusant de se soucier d’autre chose que de son nombril. C’est vrai, c’est exigeant, c’est vrai, cela demande du courage et de la ténacité… Mais je crois que la France en est capable.

    Alors, aujourd’hui, et aussi longtemps qu’il le faudra, nous serons la voix des enfants qui ne pourront jamais parler.

    Nous serons le visage des femmes que l’on ne regarde pas pleurer.

    Nous serons la protestation salutaire des professionnels de santé que l’on voudrait faire marcher au pas.

    En un mot, nous sommes depuis treize ans déjà et nous serons cette année encore, le caillou dans la chaussure du moralement correct !

    Parce que notre liberté de choisir la vie n’est pas une option !

    https://www.lesalonbeige.fr/a-quoi-ressemble-un-pays-ou-il-est-interdit-de-dire-que-toute-vie-humaine-doit-etre-respectee/

  • Jean-Yves Le Gallou : « Si le réchauffement climatique est dû à l’homme, alors il faut lutter contre le libre-échange et l’immigration ! »

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    Le réchauffement climatique est-il une réalité ? Et si oui, l’Homme est-il en cause ? Dans cet entretien pour Polémia, Jean-Yves Le Gallou répond à ces questions… brûlantes !

    Un phénomène observable incontestable

    Polémia : Tout d’abord, est-ce que le réchauffement climatique est une réalité ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est assurément une réalité en Europe. C’est une réalité depuis la sortie du petit âge glaciaire, c’est-à-dire depuis un peu plus de deux siècles. On voit par exemple que les glaciers reculent en Europe et dans d’autres parties du monde.
    Il y a donc incontestablement un phénomène réel et qu’on peut d’ailleurs observer à vue humaine quand on se rend dans les Alpes. A Chamonix, par exemple, les phénomènes glaciaires amplifient l’impression que l’on peut avoir du réchauffement. On voit incontestablement que les glaciers fondent et que des éboulements ont lieu suite au dégel du permafrost.
    Donc, oui, à vue humaine, il y a réchauffement climatique.

    Polémia : Est-ce que ce réchauffement climatique est global et touche l’ensemble de la planète ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est aussi assez probable. Mais c’est plus difficile à établir de manière certaine.
    Il y a un certain nombre d’études qui tendent à montrer que le température moyenne du globe augmente mais un certain nombre de scientifiques posent la question de savoir quelle est la pertinence du sens de « moyenne climatique mondiale ». Comment l’établit-on ? Sur quelle durée ? Comment on agrège les données partielles dans le temps ? C’est une vraie question épistémologique.

    La température a toujours varié !

    Polémia : Si l’on part du principe que la température augmente, est-ce inévitablement un drame total ou bien existe-t-il quelques bénéfices ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y a deux choses à prendre en compte. D’abord, dans le temps, la température – en tout cas là on l’on peut avoir des éléments permettant de l’apprécier – a toujours varié !

    L’exemple des Alpes est particulièrement parlant. Les glaciers reculent depuis 1830, voire même 1780. Ils ont ré avancé de 1945 à 1975 et reculent à nouveau depuis.
    Mais, aujourd’hui, il y a des cols qui sont encore en glace et où pourtant les troupeaux passaient à sec au Moyen-Âge ou à l’époque romaine ! Il y a toujours eu des alternances de périodes de chaud et de froid.

    Polemia : Alors, est-ce que le réchauffement est catastrophique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pas nécessairement ! La révolution néolithique était une conséquence du réchauffement et l’émergence vers la civilisation que nous connaissons est postérieure à la fin de l’âge glaciaire !

    On peut même voir des effets positifs au réchauffement. On peut rester en terrasse plus longtemps car il fait chaud plus longtemps. En général, on a tendance à préférer les climats méditerranéens aux climats océaniques car ils sont plus chaleureux et souvent jugés plus agréables à vivre.

    Sur le plan des conséquences, il peut y avoir des conséquences négatives et positives.

    Par exemple, un pays comme la Russie voit plutôt d’un bon œil le réchauffement climatique qui augmenterait la production de blé et libérerait des routes maritimes.

    Ce qui est inquiétant, c’est qu’un homme de médias comme Verdier, qui était le Monsieur Météo du service public, ait tout simplement été viré car il avait évoqué certains aspects positifs du réchauffement climatique.

    C’est dramatique ! Quand on vire un présentateur météo lorsque ses convictions climatiques ne conviennent pas, on se pose la question de savoir dans quel pays on est…

    Le réchauffement climatique, un argument politique bien pratique

    Polémia : Est-ce qu’il y a des effets négatifs ?

    Jean-Yves Le Gallou : Certainement. Mais on parle sans savoir. C’est beaucoup utilisé comme argument pour faire passer des politiques publiques.
    Si on vous parle d’un problème mondial, on va légitimer une « gouvernance » mondiale plus forte. Et si on vous parle d’un problème majeur cela va permettre d’imposer de nouvelles taxes. Et puis le catastrophisme climatique c’est aussi un moyen de contrôle des populations. Certains sujets sont interdits, d’autres deviennent obsessionnels.

    On va aussi vous dire qu’on est obligé d’accepter l’immigration car il y a des problèmes climatiques.

    Je pense qu’il y a derrière tout cela une malhonnêteté foncière. Aujourd’hui, le réchauffement climatique est dans l’épaisseur du trait. Par rapport aux extrêmes climatiques (tempêtes, canicules, grands froids, etc.) le léger réchauffement qu’on a pu constater ne change pas grand-chose.

    D’ailleurs, il y a eu, il y a quelques années, une étude officielle de plusieurs ministères (Agriculture, Environnement, Intérieur) sur l’impact du réchauffement climatique sur les feux de forêt en France.

    Un impact a été trouvé, susceptible d’entraîner une extension des feux de forêt vers la façade atlantique mais pas pour maintenant, seulement à horizon 2035 ou 2050. Pourquoi une telle distance dans le temps ? Parce qu’il y a une énorme inertie !

    Donc, quand on nous parle aujourd’hui de migrations climatiques, c’est un mensonge total !

    Peut-être qu’il pourrait y avoir des déplacements de population liés au changement climatique. Peut-être. Mais dans 20 ou dans 30 ans minimum ! Quand on dit que cela se passe aujourd’hui, on ment, on fait de la propagande !

    Le vrai problème est que, derrière une observation qu’on peut considérer comme probable, on ne sait pas si l’origine est anthropique, volcanique ou astronomique…

    Peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Polémia : Pour le GIEC et ceux qui s’en réclament, le rôle de l’homme est quand même prépondérant.

    Jean-Yves Le Gallou : Ça, c’est la doxa politico-médiatique ! Je pense que c’est très difficile de parler de consensus scientifique pour une raison très simple : tous ceux qui ont une opinion différente n’ont accès ni aux médias ni aux crédits de recherche !

    Il y a un certain nombre de scientifiques qui défendent la thèse du réchauffement d’origine anthropique mais il y a aussi d’autres scientifiques qui  mettent en avant deux facteurs naturels majeurs : le volcanisme et le rôle de l’astre solaire. Deux facteurs qui ne dépendent pas de l’homme.

    La thèse officielle est celle d’une origine anthropique. Cependant, je crois que, dans la pensée européenne, peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Je ne dis pas que la thèse du réchauffement anthropique est fausse. Mais il est difficile de la dire vraie puisque il existe un interdit qui pèse sur la thèse contraire.

    Il faudrait équilibrer les crédits de recherche pour arriver à une situation honnête. Sachant qu’une bonne partie de ce qu’on présente comme les résultats scientifiques du GIEC sont quand même des modèles mathématiques qu’on fait tourner.

    Un climatologue aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est derrière son ordinateur et qui fait tourner des modèles.
    Or, un modèle repose sur les données qu’on a choisi d’y intégrer.Avoir un culte fétichiste de ce genre de recherches est parfaitement dangereux. On trouve… ce qu’on veut trouver.

    Polémia : Faut-il parler de réchauffement climatique ou de dérèglement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Parler de réchauffement climatique, c’est relativement objectif. Le dérèglement climatique c’est de la propagande : on joint dans le même mot un phénomène – le réchauffement qui s’inscrit dans un cycle climatique de plus ou moins longue durée – et des extrêmes catastrophiques qui ont toujours existé. Le tout dans un grand confusionnisme ! Ainsi sous l’oreille béate des médias François Hollande avait rangé les tsunamis parmi les conséquences du « dérèglement climatique » (sic). Rappelons qu’un tsunami a pour origine un tremblement de terre,c’est-à-dire la tectonique des plaques. Rien à voir avec le temps qu’il fait. On voit bien à travers cet exemple à quel point le conformisme étouffe l’esprit critique.

    Lutter contre le mondialisme et l’immigration

    Polémia : Est-ce que, malgré tout, l’extraction massive des matières comme le pétrole ou le gaz – très longtemps prisonnières du sol – ne joue pas un rôle dans le réchauffement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Ce qui est vrai, c’est que des éléments carbonés prisonniers du sol depuis des millénaires voire des millions d’années, sont extraits et vont être extraits.
    Cette extraction joue-t-elle un rôle dans le réchauffement climatique ? C’est une autre question.

    Ce qui est certain quant à l’impact de l’homme sur la nature, c’est la disparition d’un certain nombre d’espèces animales. Mais cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique !

    Polémia : Généralement, les populations conscientisées sur le réchauffement climatique sont les populations européennes et notamment les élites. Est-ce que certaines autres populations (chinoises, indiennes, etc.) ne polluent pas aujourd’hui plus que les Européens ?

    Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr, tout est centré sur la culpabilisation des Européens, y compris pour faire accepter l’immigration…

    Or, si l’on accepte que le carbone est mauvais, le problème, c’est le rejet de carbone, c’est l’empreinte carbone.
    A ce moment-là, il faut évidemment lutter contre deux choses. Il faut d’abord s’opposer au mondialisme qui entraîne la multiplication des échanges commerciaux mondiaux mais il faut aussi lutter contre l’immigration !

    En effet, l’empreinte carbone d’un Africain en Afrique est évidemment bien inférieure à celle d’un Africain en Europe !

    Donc, si on voulait prendre des mesures efficaces pour limiter l’empreinte carbone moyenne de l’humanité, il faudrait notamment empêcher l’immigration et même organiser la remigration. Et limiter le libre-échange.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou 23/01/2019

    https://www.polemia.com/jean-yves-le-gallou-rechauffement-climatique-homme-immigration/

  • CEDH : la charia aurait-elle pris le dessus sur le droit constitutionnel ?

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    Découvrez ce débat sur RT France avec Jean Messiha, membre du bureau national du Rassemblement national, et Asif Arif, spécialiste des droits de l’homme.

    Ils débattent de la question du droit face à la charia, réagissant à l’arrêt Molla Sali contre la Grèce.