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lobby - Page 906

  • Selon Macron, «nous sommes avons toute chose des enfants des Lumières»

    Selon Macron, «nous sommes avons toute chose des enfants des Lumières»

    L’idéologie révolutionnaire est celle d’Emmanuel Macron. Or la France n’est pas née au XVIIIe siècle avec Voltaire ou Rousseau. C’est pourtant ainsi que le chef de l’Etat a commencé sa déclaration clôturant le grand bla-bla national. Suite à quoi il a proposé quelques mesurettes, sans doute pour enfumer la galerie :

    • mise en place d’une part significative (?) de proportionnelle et en limitant le mandat dans le temps
    • opposé au RIC, il propose de faciliter le recours au référendum d’initiative partagée en assouplissant ses règles. Si un million de citoyens se rassemble autour d’un projet, un référendum ou une discussion parlementaire serait possible.
    • Plutôt que de dissoudre l’inutile CESE, il veut des citoyens tirés au sort pour intégrer le Conseil économique, social et environnemental avant une réforme de cette institution. Dès le mois de juin, 150 citoyens seront tirés au sort.
    • Il veut repenser la formation pour les hauts fonctionnaires, évoquant une réforme de l’ENA
    • il propose de baisser des impôts sur le revenu pour les classes moyennes, ne voulant pas de hausse pour d’autres. Le financement sera fait sur la suppression de niches fiscales et par un effort sur le travail. Et sans doute par la dette…
    • Il veut créer une nouvelle planque à copains, avec un «Conseil de défense écologique» pour suivre la transition écologique
    • Macron a des mots forts pour les mères célibataires et les parents d’enfants handicapés. Rien pour les mères ou pères qui ont sacrifié leurs carrières pour s’occuper de leurs enfants.
    • sur l’immigration, il veut un débat annuel… Voilà qui nous enfume bien
    • Il souhaite aussi qu’on soit plus dur à l’encontre de l’islamisme politique et “à cette sécession à l’intérieur de la république”. Bon, et donc ?

    https://www.lesalonbeige.fr/selon-macron-nous-sommes-avons-toute-chose-des-enfants-des-lumieres/

  • CASTANER ; LE SYNDROME DU « RIEN »

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    A-t-on remarqué comment les journalistes des plateaux de radio-télévision sont en permanence intéressés, curieux, soucieux, emplis d'empathie et même de sollicitude, pour Christophe Castaner ? Sa carrière, son avenir ? Sa « fragilisation » ? Son destin politique si cruellement remis en jeu d'un samedi sur l'autre ?

    Pauvre Castaner ! Victime malmenée ! Fusible éjectable à tout instant de la place Beauvau en fonction des prestations urbaines des derniers Gilets jaunes - Gilets jaunes résiduels  d'ultragauche, ceux-là - et des Black Blocs réunis. La famille !  

    Quelle est, du point de vue de l'intérêt national, l'importance réelle des fluctuations aléatoires du destin politique personnel de Christophe Castaner ? Que vaut le dit destin à cette aune, la seule qui tienne ? 

    L'intéressé présente tous les signes d'un narcissisme impénitent. Mais que pèse-il pour la France ? Nous serions tentés de dire : à peu près rien. Hilaire de Crémiers a brossé de Christophe Castaner un portrait réaliste et plutôt terrible dans un numéro récent de Politique magazine. Castaner, l'homme qui se flatte et se congratule tous les samedis que Dieu fait, de mobiliser de 60 à 85 000 policiers, gendarmes et militaires, au bord de l'épuisement physique et moral, sans autre succès que d'avoir plus ou moins contenu les manifestants et les casseurs-terroristes infiltrés parmi eux, dans une capitale en proie à la guérilla urbaine, chaque semaine. De la belle ouvrage !  

    Jusqu'à quand, d'ailleurs, continuera-t-on de la sorte ? Ira-t-on à ce train jusqu'en 2022 ? Jusqu'au terme du quinquennat ? La réflexion et plus encore l’action de Christophe Castaner semblent bien incapables d'aller jusqu'à envisager qu'une telle question puisse seulement être posée. Celle-là même que justement le dernier des Français se pose.

    Mobiliser, mettre en ordre de bataille son dispositif de maintien de l'ordre, l'annoncer sur les antennes, puis en rendre compte, content de soi : les fonctions de ministre de l'Intérieur façon Castaner semblent avoir été ainsi redéfinies. C'est à dire réduites à presque rien. Un Secrétaire d’Etat, par exemple Laurent Nuñez, y suffirait. Il y suffit d'ailleurs. Nuñez travaille. Castaner paraît. Il parle aux écrans. 

    Christophe Castaner à vrai dire pèse pour rien dans le continuum de la vie du pays. Il est le centre de pas grand-chose. Et à terme assez court, il n'est le centre de rien du tout. 

    Il est pourtant au cœur d'une sorte de bienveillance attentive du microcosme médiatique. Caste dont la vue est courte et le sentiment vulgaire. Attirance des semblables ?

    Que faut-il en conclure ? Tout simplement que ces gens-là, perclus jusqu'au bout des ongles d'esprit politicien, ne sont capables d'intérêt et de souci que pour ce qui est de peu d'importance. Ce qui est essentiel les indiffère. 

    Le mépris populaire instinctif qui les atteint n'a rien qui doive étonner.   

    Gérard POL - lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/04/23/c-6145894.html

  • Immigration : les villes débordent – Journal du jeudi 25 avril 2019

    Immigration : les villes débordent

    Alors qu’Emmanuel Macron dévoile sa nouvelle ligne de conduite sociale, 13 maires essentiellement socialistes, ont adressé une lettre au gouvernement pour réclamer davantage de moyens pour l’accueil des clandestins. Un message politique en pleine campagne pour les élections européennes.

    Grande confrontation et petit débat

    Les six représentants des grands partis se sont affrontés jeudi soir 24 heures avant les annonces présidentielles. Un échange sans trop de saveur qui ne devrait pas rebattre les cartes pour les élections européennes.

    Rencontre entre Vladimir Poutine et Kim Jong Un

    Rencontre à Vladivostok pour Kim Jong Un et Vladimir Poutine. Alors que les négociations entre Pyongyang et Washington sont dans l’impasse, le président russe entend jouer sa propre partition.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-les-villes-debordent-journal-du-jeudi-25-avril-2019

  • « Histoire de l’islamisation à la française », démonstration de la trahison des « élites »

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    Les pouvoirs politiques et médiatiques sont-ils ethnomasochistes au point de fermer les yeux l’islamisation de la France, voire d’y contribuer – volontairement ou non ?
    Si la réponse à cette question est malheureusement claire pour de nombreux Français, le collectif d’auteurs qui a rédigé l’Histoire de l’islamisation à la française 1979-2019 (éditions de l’Artilleur) a voulu y répondre de manière argumentée et claire.

    Prudence extrême autour de l’incendie de Notre-Dame

    Le collectif d’auteurs qui a rédigé l’histoire de l’islamisation à la française depuis 40 ans ne pouvait pas avoir meilleure confirmation de la soumission rampante des pouvoirs médiatique et politique à l’islamisation de notre société que les réactions des pouvoirs publics face aux causes de l’incendie qui vient d’embraser la cathédrale Notre-Dame de Paris.
    Lundi 15 avril, 1h30 après le départ du feu, alors que les flammes interdisent évidemment toute enquête, un communiqué de la Préfecture déclare que « l’incendie est accidentel ». Le lendemain, à midi, lors de la conférence de presse du Procureur de la République, ce dernier affirme que « rien ne va dans le sens d’un acte volontaire » sans avoir peur de se contredire immédiatement en ajoutant que « les investigations vont être longues, complexes.».

    Ces précipitations oratoires par des autorités qui ont l’habitude de peser leurs mots pour ne pas froisser le Prince qui les a nommés ne sont évidemment pas des maladresses. Elles sont simplement le signe d’immenses précautions dues à la situation explosive qui couve en France compte tenu de la politique d’immigration qui a fait du pays un « archipel » instable qui pourrait engendrer une guerre civile entre des communautés en tension, comme l’a déclaré il y a quelques mois l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : « Aujourd’hui on vit côte à côte…je crains que demain on vive face à face ».
    Heureusement, Monseigneur Aupetit, Archevêque de Paris, a été plus circonspect en affirmant le 16 avril à l’émission de Bourdin : « On a détruit Notre-Dame, mais on n’a pas détruit l’âme de la France ». On ? Alors, en effet, comme l’a déclaré le Président de la République au soir de cette tragédie chargée de symboles : « Cette histoire c’est la nôtre et elle brûle ».

    Une démonstration précise

    L’histoire de l’islamisation à la Française rédigée par un collectif anonyme (tant il est dangereux socialement et même physiquement de heurter les forces à l’œuvre) démontre par des exemples précis année par année depuis 1979 jusqu’à nos jours, comment la France tend à être réduite à l’impuissance et à devenir muette… comme aurait dit le sapeur Camembert !

    Exemples

    1979, le quotidien Libération, par la prose lyrique de Marc Kravetz, ancien leader de mai 68, relate avec emphase « l’insurrection victorieuse à Téhéran (…) ou le cri de la guerre sainte retrouvait, dans la nuit, brisé de loin en loin par les rafales de fusils-mitrailleurs, son énergie libératrice.». Viennent faire chœur avec lui les Sartre et les July qui tombent en pâmoison.
    Quant à Michel Foucault, professeur au Collège de France, il n’hésite pas à affirmer que contrairement au catholicisme, « l’islam, cette année 1978, n’a pas été l’opium du peuple, justement parce qu’il a été l’esprit d’un monde sans esprit.» Cette prise de position idéologique est bien sûr motivée par son opposition à la volonté du shah « d’ouvrir son pays par la laïcisation et l’industrialisation » et sa « tentative de moderniser à l’européenne des pays islamiques ».
    Par ailleurs, le journal Le Monde n’est pas en reste dans son parti pris pro-islam, lui qui a pris l’habitude depuis la guerre civile au Liban en 1975, de rendre compte du conflit en opposant « islamo-progressistes » et « chrétiens conservateurs ».

    1980, le Conseil d’Etat, dans son arrêt Montcho du 11 juillet 1980, admet la polygamie pour un diplomate béninois en arguant que « la vie familiale normale d’un musulman consiste à respecter les obligations d’entretien et surtout d’équité entre ses femmes.». Il impose aussi aux caisses de sécurité sociale et d’allocations familiales de reconnaître les enfants des deuxième, troisième ou quatrième épouses d’un immigrant.

    2017, 16 mois après l’attentat terroriste islamiste du Bataclan, l’attitude soumise des pouvoirs publics vis-à-vis de l’islamisme conquérant du Président turc Erdogan est patente.
    Lui qui avait déclaré en décembre 1997 dans un meeting politique, « les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats », voit son ministre des affaires étrangères être autorisé par Jean-Marc Ayrault à tenir une réunion politique en France, alors que les Pays bas et l’Allemagne s’y étaient opposés : « Il est indispensable de faire preuve de responsabilité et d’éviter les polémiques inutiles».

    Le Grand Renoncement des « élites »

    L’histoire de l’islamisation à la française, c’est quarante chapitres, décrivant rigoureusement l’esprit d’abandon qui règne dans une large partie de la société française, propos et décisions à l’appui, année après année depuis 1979, et à chaque fois autour d’un thème éclairant. On constate que les « élites » politiques et médiatiques ont renoncé à défendre les intérêts des français, encourageant ainsi les demandes identitaires toujours plus exigeantes des populations issues d’une immigration non contrôlée et non assimilée, fédérées autour de la religion musulmane qui met en œuvre bien logiquement son devoir de conquête inscrit dans le Coran, afin de faire triompher son Dieu, sa communauté et ses préceptes de vie.

    Pourquoi un tel abandon?
    Par vengeance idéologique d’une gauche ayant renoncé devant ses échecs à construire une nouvelle société et s’acharnant en conséquence à détruire celle qui subsiste et à dissoudre la Nation qui en est sa charpente.
    Par faiblesse d’une droite parlementaire tétanisée par le politiquement correct et encouragée par un capitalisme industriel et financier profitant d’une main d’œuvre bon marché et d’un éclatement des valeurs traditionnelles au bénéfice de la seule obsession d’une consommation boulimique et mortifère.
    Par inconscience ?
    Dans ce cas, l’Histoire de l’islamisation à la française, en énonçant par le menu une bien triste et pernicieuse recette, leur ouvrira peut être les yeux.

    Histoire de l’islamisation à la française 1979-2019, collectif, édition de l’Artilleur, mars 2019.

    Pierre Lours

    Article paru sur le site de Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage !

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    Emmanuel Macron confirmera-t-il, jeudi, la suppression de l’ENA ? Voilà qui ferait plaisir à tous ceux qui critiquent les « concours à la française ». Sans doute faut-il revoir le recrutement et la formation pour éviter de promouvoir le politiquement correct plutôt que les vrais talents. Mais nos prétendues « élites » dirigeantes sont moins le produit de cette école que celui du copinage. Ajoutez-y un peu de militantisme politique et une proximité avec la franc-maçonnerie : tous les ingrédients pour réussir une belle carrière sont réunis, eût-on peu de talents.

    Loin de nous l’idée de critiquer les jeunes qui prennent des responsabilités politiques ou associatives dans leur jeunesse. S’ils ne le font pas seulement par ambition, il leur en reste toujours quelque chose. Nathalie Loiseau a tort de présenter sa candidature, en 1984, aux élections étudiantes de Science Po Paris, sous l’étiquette de l’Union des étudiants de droite, issue du Groupe union défense (GUD), comme « une erreur d’il y a 35 ans », qui était sortie de sa mémoire. Elle aurait pu tirer gloire d’avoir eu une activité militante qui ne s’inscrive pas dans la bien-pensance de l’époque. D’autres l’ont fait avant elle, sans être marqués du sceau de l’infamie.

    Il est vrai que ce type d’engagement n’est pas le plus fréquent dans le monde socialo-macronien, puisqu’il faut bien l’appeler par son nom, même si une partie de la droite traditionnelle s’est ralliée à la politique économique de notre Président. Il n’y a pas si longtemps, pour faire une carrière à gauche, le chemin le plus sûr était d’avoir une responsabilité dans une organisation étudiante de gauche, avec une préférence pour l’UNEF ou SOS Racisme. Cette voie n’est pas abandonnée. Tenez ! Sibeth Ndiaye, qui est entrée récemment au gouvernement : elle a fait ses armes à l’UNEF et à la Mutuelle des étudiants, puis a adhéré au Parti socialiste, s’est occupée du service de presse de Claude Bartolone, d’Arnaud Montebourg, de son successeur Emmanuel Macron. Elle devient donc tout naturellement responsable presse et communication du candidat d’En Marche !, qu’elle suit à l’Élysée avant de devenir porte-parole du gouvernement.

    Mais cette voie, tout comme l’ENA, n’est plus obligatoire. Les Benjamin Griveaux, Ismaël Emelien, Stanislas Guerini, Adrien Taquet et bien d’autres encore, cette génération de loups aux dents longues, n’ont pas eu besoin de ce concours ni de l’UNEF pour réussir. À côté du syndicalisme ou de l’activité associative plus ou moins bénévole, le copinage est devenu un facteur important. Chacun jugera si ce mode de sélection est une garantie de compétence. L’ENA, telle qu’elle fonctionne actuellement, est peut-être une usine de clonage, mais le copinage est loin d’apporter les mêmes garanties de sérieux et de compétence. Ce mode de promotion n’est pas réservé à la gauche, mais la gauche s’y trouve comme un poisson dans l’eau.

    Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage. L’ENA peut être améliorée pour retrouver sa vocation première : former de grands serviteurs de l’État. Le copinage est le pire des systèmes : il puise dans un vivier uniforme, préférant souvent les plus serviles et les plus complaisants aux plus compétents.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/ce-nest-pas-lena-quil-faut-supprimer-cest-le-copinage/

  • Le Conseil des ministres prononce la dissolution du Bastion Social

    C’était une promesse d’Emmanuel Macron au CRIF. La dissolution du mouvement Bastion social a été prononcée mercredi en Conseil des ministres, a annoncé le ministère de l’Intérieur.

    Le prétexte de cette décision est de « mettre fin aux exactions répétées commises » en marge de rassemblements de voie publique, a précisé le ministère dans un communiqué. « Engagement tenu », s’est félicité sur Twitter le ministre Castaner.

    Inspiré du mouvement italien CasaPound, le Bastion Social dénonçait le « grand remplacement » et s’opposait au « capitalisme ultralibéral ». Il participait également aux mobilisations des « gilets jaunes ».

    Le gouvernement étudie par ailleurs les moyens de dissoudre le mouvement Génération Identitaire.

    https://www.medias-presse.info/le-conseil-des-ministres-prononce-la-dissolution-du-bastion-social/107656/

  • Éric Zemmour : « le XVIIIe arrondissement de Paris c’est devenu Dakar : y’a plus un blanc ! »

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    Lors d’une conférence récemment donnée à Marseille à l’invitation de Stéphane Ravier, sénateur RN, Éric Zemmour a fait le constat que « le XVIIIe arrondissement de Paris c’est devenu Dakar : y’a plus un blanc ! ».

    Des paroles qui ont eu le don d’agacer Justine Henry, référente LREM dans cet arrondissement de Paris.

    Selon elle, ce « constat grossier est faux et profondément irrespectueux des habitants de Paris XVIII ». Et pour cause, elle y voit pour sa part « un village aux mille visages et aux mille histoires de vie. Cette diversité humaine est une source d’énergie incroyable, un joyau à faire rayonner ».

    https://fr.novopress.info/

  • Nouvelles guerres de religion

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    Les attentats islamistes succèdent aux attentats islamistes et les opinions occidentales et française abasourdies comptent les morts comme s’il s’agissait là d’une fatalité contre laquelle on ne peut rien, si ce n’est condamner fermement ces actes odieux tout en continuant à vaquer à ses occupations quotidiennes.

    « 310 chrétiens assassinés au Sri Lanka, c’est certes regrettable, ma chère Madame, mais le Sri Lanka est bien loin et puis, en Asie, ils ont pour habitude de se massacrer entre eux, alors ne faisons pas d’amalgame. »

    Ne sont-ce là que paroles inventées de quelques bien-pensants ? Ou s’agit-il de la triste réalité d’un lâche aveuglement largement partagé, enveloppé de naïveté et d’angélisme ?

    Peut-on s’habituer à tout et continuer à nier la réalité ? Or, la réalité est évidente : l’humanité est résolument entrée dans les guerres de religion et cette guerre est voulue par des fanatiques islamistes qui ne renonceront jamais, motivés par leur vision eschatologique qui leur garantit la vie éternelle dans le paradis d’Allah.

    L’humanité du XXIe siècle doit faire face à deux redoutables défis :
    – l’explosion démographique des pays africains et asiatiques ;
    – la dérive fanatique de l’islam.
    Ces deux défis ne sont pas étrangers l’un à l’autre et s’auto-alimentent d’ailleurs.

    Face à ces défis qui nous conduisent inéluctablement à la guerre, l’heure n’est plus à la candeur et à la crédulité. Il est urgent de mener une politique réaliste pour faire face :
    – arrêter toute émigration tout en menant une politique d’aide massive de maîtrise démographique en Afrique ;
    – expulser sans faiblesse tous les tenants du salafisme et autres intégristes islamiques.

    Sans oublier que la bataille est d’abord une bataille culturelle pour faire reculer ces obscurantismes qui ramènent l’humanité aux âges archaïques de la péninsule Arabique.

    Cette bataille doit être livrée partout dans le monde et commencer dès l’école maternelle.

    On entend déjà les cris d’orfraie des « politiquement corrects » ; libre à eux de hurler au nom de leur idéologie des bons sentiments…

    Ils devraient savoir, selon Confucius, que « le premier axiome de l’humanisme est d’apprendre par l’expérience » et, surtout, ils devraient méditer la sagesse d’Augustin d’Hippone :
    « À force de tout voir, l’on finit par tout supporter
    À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer
    À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter
    À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver. »

    Jacques Myard

    https://www.bvoltaire.fr/nouvelles-guerres-de-religions/

  • Prison ferme pour délit d’opinion : en France

    Prison ferme pour délit d’opinion : en France

    Lu dans Les 4 Vérités à propos de la condamnation d’Alain Soral :