Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 994

  • [vidéo] Pourquoi le pacte sur les migrants pose-t-il problème ?

    Le Pacte mondial sur les migrations devrait être signé à Marrakech les 10 et 11 décembre par 190 pays mais il est de plus en plus contesté par certains pays d’Europe qui refusent de le ratifier.

    L’Autriche reproche notamment au document d’instaurer un droit à l’immigration. Explications.

  • Le temps du blasphème

    1710227175.png

    Quand Marlène Schiappa apostrophe par SMS Cyril Hanouna – car toujours les Puissants ont eu à cœur de dialoguer avec l’Art – pour lui rappeler qu’il existe un délit d’entrave à l’IVG, simplement parce qu’un citoyen exprime son opinion dans une émission de divertissement, elle montre qu’elle ignore la loi – ou plutôt qu’elle se moque des textes exacts et ne veut en retenir que l’esprit : on ne touche pas à l’IVG, devenue idole du Progrès. C’est tabou !

    Et ceux qui critiquent doivent être condamnés. Émile Duport, des Survivants, avait blasphémé et Hanouna, qui lui offrait une tribune, était bien près d’être inculpé d’assistance à blasphémateur. L’ironie étant qu’au moment même où Schiappa menaçait de fulminer l’anathème, l’Irlande abrogeait le délit de blasphème, qui n’existe donc plus que dans les pays musulmans. Muriel Robin, dans l’émission de Ruquier – continuons de fréquenter des sommets –, intimait l’ordre de se taire à un chroniqueur qui ne brûlait pas assez d’encens devant Fogiel et ses GPA illégales.

    Schiappa n’est qu’un exemple, certes significatif puisque c’est un membre du gouvernement, de ce nouveau goût pour ce genre d’accusation : avoir outragé ce qui est sacré ! Un homme n’a plus médiatiquement le droit de se défendre quand une femme l’accuse, car nier la vérité de la parole de la victime féminine, c’est commettre un crime encore plus affreux que celui dont on est accusé – même quand on est innocent.

    Anne-Marie Le Pourhiet remarquait que le néo-féminisme est au-dessus des lois, ou plutôt qu’il produit sa propre loi : qu’il soit anathème celui qui n’avoue pas !

    D’autres blasphèmes sont peu à peu institués : on comprend bien que qui se réclame du nationalisme n’est qu’un galeux, un chien, un lépreux qui mérite d’être jeté hors de la société pour avoir outragé le « vivre-ensemble » ; qu’un « blanc » ose célébrer une vie « noire », et le voilà accusé du blasphème d’appropriation culturelle ; qu’un juge ose enquêter sur Mélenchon, et voilà ce dernier qui éructe qu’il est sacré et intouchable – ce qui est grotesque même si les conditions de cette enquête sont en elles-mêmes un scandale ; cela dit, la France insoumise n’hésite pas à expliquer que cette perquisition est « digne de la nuit des longs couteaux », ce qui est un tantinet exagéré, et qu’on a blasphémé contre le texte sacré qu’est l’article 12 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 ; la Cour européenne des droits de l’homme, de son côté, n’hésite pas à déclarer sacré le mariage entre homosexuels au point qu’elle trouve blasphématoire le refus de certains maires de le célébrer, se contentant de déclarer irrecevable, en octobre 2018, la requête qu’ils avaient introduite dans ce sens en 2015 : comme dirait Kouachi, on ne discute pas avec les blasphémateurs, on les fait taire. La même CEDH vient de confirmer la condamnation d’une Autrichienne, qui avait affirmé que Mahomet était pédophile puisqu’il avait épousé une fillette de six ans et consommé son mariage avec elle, ses propos « menaçant la paix religieuse ». Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes au Monde, qui viennent de publier une enquête sur la France islamiste en Seine-Saint-Denis, se rendent compte, stupéfaits, qu’ils sont accusés d’avoir blasphémé en n’entonnant pas l’antienne obligatoire d’un islam irréprochable.

    Et Macron ne veut pas commettre le blasphème de froisser l’Allemagne en donnant une « expression trop militaire » à la célébration d’une victoire remportée militairement sur l’Allemagne…

    Une nouvelle religion se met en place depuis quelques décennies, et se sent aujourd’hui ou assez assurée ou assez menacée pour ne plus supporter aucune contradiction : oser contredire n’insulterait pas seulement l’intelligence mais serait une violence sociale dangereuse et insupportable. Cette nouvelle religion se fonde sur un oubli complet du passé. Pierre Nora déclarait dans Le Figaro : « Le passé s’est éloigné. Les plus jeunes n’éprouvent plus le sentiment d’une continuité historique de Jules César à Napoléon, auparavant si vif. La coupure est nette. La dictature du présent et l’oubli de la longue durée entraînent la fin de ce qui a été le ressort de la transmission : le sentiment de la dette. La conviction, qui a pesé sur les hommes pendant des siècles, que nous devons à nos parents et à nos ancêtres d’être ce que nous sommes. Les Français de 2018 ne se perçoivent plus comme les débiteurs de leurs devanciers. »

    Cette religion assure la promotion d’un terrifiant avenir univoque aux couleurs des droits de l’homme qui, pourtant, ensanglantent le monde depuis plus de deux siècles.

    Ce nouveau siècle sera bien religieux. Sale temps pour les blasphémateurs qui n’entendent pas se convertir.  

    Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Politiquement correct : la Grande-Bretagne s’enlise dans les scandales des viols commis par des gangs pakistanais

    sex-gangs-uk.jpgLes autorités du Royaume-Uni, à force de vivre dans la peur de déplaire au politiquement correct, d’être traitées de racistes, n’en finissent plus de s’enliser dans la fange du pire scandale sexuel et raciste qu’ait jamais connu le pays.

    Dans de nombreuses petites villes anglaises, pendant des décennies et des décennies, un vaste réseau de pédophiles et proxénètes, quasiment tous originaires du Pakistan ou d’Afrique, a semé la frayeur et la désolation parmi les familles ouvrières de Tedford, de Rotherham, Rochdale, Huddersfield, et tant d’autres. Droguées, battues, violées, manipulées et menacéespar ces gangs Indo-pakistanais actifs depuis les années 1980, l’enfer pour ces jeunes filles blanches dont certaines n’avaient que 11 ans au début de leur calvaire s’est éternisé sans que la police et les autorités locales n’interviennent : « les policiers avaient peur d’être traités de racistes, aussi ils préféraient laisser tomber » raconte le père d’une des victimes qui ajoute avoir été plus de 200 fois porter plainte au commissariat.

    Mais le drame de quelques unes de ces filles devenues femmes aujourd’hui persiste : hier victimes de violences sexuelles couvertes par des autorités craintives, aujourd’hui victimes de la justice britannique, tout aussi lâche que la police et les services sociaux.

    L’une d’elles, Sammy Woodhouse, crie sa colère sur twitter. Après avoir été violée quand elle avait quinze ans, elle a eu un petit garçon. Son père ? Arshid Hussain, un des responsables d’un de ces gangs pakistanais qui violaient, exploitaient sexuellement et contraignaient à la prostitution pendant des années ces filles anglaises. Les autorités anglaises admettent aujourd’hui que ce réseau est structuré comme une organisation terroriste, ce qui témoigne de sa dangerosité. Arshid Hussain a été condamné en 2016 à 35 ans de prison. Dans le cadre d’une procédure de placement, les autorités locales ont proposé à cet homme de lui accorder un droit de visite pour qu’il rencontre son fils, sur lequel il n’exerce pas d’autorité parentale, comme le rapporte The TimesLe journal britannique précise que le Conseil de Rotherham « a invité l’agresseur a joué un rôle actif dans le futur de l’enfant » et lui a proposé de recevoir les visites de son fils en prison.

    Une décision révoltante contre laquelle la mère de l’enfant s’insurge :

    « Cette histoire me concerne, concerne mon enfant, l’homme qui m’a gang-pakistanais-viol-grande-bretagne-filles.jpgviolée et le fait que le conseil de Rotherham lui a proposé de solliciter des droits parentaux sur mon enfant »,

    rappelle-t-elle sur Twitter.

    « La juridiction de Rotherham lui a offert la possibilité d’obtenir des droits parentaux sur mon enfant, alors même qu’un tribunal l’a condamné à 35 ans de prison et prouvé qu’il était un danger pour moi et pour d’autres enfants. J’ai aussi prouvé qu’il était un danger direct pour mon fils ».

    Lire la suite

  • Jaune de colère : la « transition écologique » est un mensonge

    Jaune de colère : la « transition écologique » est un mensonge

    De Stéphanie Bignon, présidente de Terre et famille :`

    La « transition écologique » est un mensonge, le faux nez et la nouvelle locomotive de la « globalisation ». Cette dernière se résume à la volonté de supprimer toute résistance à l’enrichissement sans limite de quelques « marchands du Temple » qui n’ont de patrie que l’argent.

    La véritable écologie n’est donc pas compatible avec un système global ! (Voir le film-documentaire de Coline Serreau, « Solutions locales pour un désordre global »)

    Dans un pays où l’Etat est entre les mains des bénéficiaires de ce système, voici résumé, le processus d’asservissement des populations :

    • Produire n’est plus prioritairement destiné à répondre à un besoin réel mais à enrichir quelques-uns aux dépens de tous les autres et des ressources naturelles.
    • Pour satisfaire l’actionnariat des « grands groupes » et augmenter « l’augmentation » de sa marge annuelle, il faut diminuer les coûts de production.
    • Produire loin, grâce à des petites mains peu exigeantes, rapporte à ces financiers qui sous prétexte de baisser les prix, augmentent leur marge aux dépens des salaires, de l’investissement et de la recherche.
    • La propagande nous a vanté que « les prix bas ont permis la consommation de masse…et que nous en profitions tous » … mais à quel prix pour NOUS qui payons la note ?
    • Nous avons progressivement accepté d’être rendu dépendant de cette consommation et avons vécu à crédit. Aujourd’hui nous ne sommes plus solvables : le taux de chômage est insoutenable, le travail est ailleurs et le bilan environnemental est catastrophique, les marchandises sont produites et transportées loin sans autre considération que le profit à court terme.

    Alors que faire devant ce naufrage ? Selon le gouvernement… financier, il faut toujours plus « globaliser ». Mais « globaliser » nous ruine… alors il faut taxer. Prendre ce qui nous reste sous prétexte de financer la fameuse « transition écologique ». Taxes prohibitives qui ont pour but de rendre la vie impossible aux habitants d’agglomérations de moins de 10.000 âmes. Comment travailler, créer, vivre quand les écoles, les hôpitaux, les médecins, les bureaux de poste, les administrations, les banques désertent nos petites bourgades et que ces services ne sont plus accessibles qu’au bout de déplacements toujours plus longs, toujours plus taxés ?

    La loi NOTRe, Nouvelle Organisation Territoriale de la République a trouvé un puissant outil pour détruire nos villages et nous déraciner : « la transition écologique » !

    Donc, sous prétexte d’écologie, nous devons toujours plus « globaliser » et tous vivre en ville !

    Comme nos pseudos représentants de l’Etat semblent ne pas être en mesure de comprendre leur propre incohérence, nous allons leur expliquer :

    Economie, vient du grec « oikos », la maison et de « nomos », gérer. Donc, l’économie c’est d’abord gérer sa maison, puis un ensemble de maisons, les villages, puis un ensemble de villages, les provinces, puis un ensemble de provinces, la France… Mais l’échelon de base reste la maison ! Même dans une économie à l’échelle du monde, la référence, l’unité, la brique qui constitue toutes les constructions économiques, est la maison.

    Si la gestion de la maison est rendue impossible, à terme ce sont les échanges internationaux qui deviennent impossibles. Le mépris de cet échelon est une faute grave parce que c’est aller contre la nature, parce que c’est déconstruire au lieu de construire !

    L’application d’une véritable subsidiarité qui redonnerait à chaque maison la liberté de se gérer dans la mesure de ses compétences est la base d’une véritable écologie. Permettre à qui le veut de rester sur la terre familiale, de vivre à la campagne et donc d’éviter l’engorgement des infrastructures urbaines, est essentiel. La pollution étant due à la concentration, il conviendrait d’alléger considérablement la pression fiscale pour que vivre de son travail partout en France soit possible !

    Alors messieurs, globalisation ou écologie ? Là est la vraie question. Sachez que vous êtes démasqués car nous sommes de plus en plus nombreux à savoir que vous répondez « globalisation » et que l’écologie est en réalité le cadet de vos soucis … un cadet abandonné ! Vous méprisez le réel mais la réalité des « Gilets jaunes » va vous chasser !

    https://www.lesalonbeige.fr/jaune-de-colere-la-transition-ecologique-est-un-mensonge/

  • LA DEMOGRAPHIE QUI VIENT…

    47155400_963846247140780_4611035081773940736_n.jpg

    LA DEMOGRAPHIE QUI VIENT…
    A l’heure de la révolte pour la préservation du pouvoir d’achat, les Français auraient aussi ou surtout intérêt à défendre l’emploi, la culture et l’identité qui ne seront bientôt plus que le souvenir du temps où « c’était mieux avant »… Dans quelques jours à Marrakech (10 et 11 décembre), les membres de l’ONU adopteront le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ».

    Que l’on soit sensible à l’accueil de réfugiés est tout à notre honneur et est même une tradition, mais que l’on nous impose d’élargir cette solidarité à l’univers économique (« pour faciliter la mobilité de la main-d’œuvre » et « faciliter la reconnaissance mutuelle des qualifications et compétences des travailleurs migrants ») est du pain béni pour les esclavagistes libéraux et un crime sociétal. Le diktat onusien donnera de facto aux migrants la protection sociale que nous ne sommes déjà plus capables d’assurer à nos concitoyens, favorisera leur pleine intégration (« pleine participation des travailleurs migrants à l’économie formelle ») et la cohésion sociale (accès à la « sécurité sociale et aux services sociaux ») puis, inexorablement constatera leur implantation durable (« éliminer toutes les formes de discrimination, et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues », les media sauront se faire les porte-paroles des politiques), leur croissance et leur rôle actif au sein de la société nouvelle.

    Nous pourrions dire que tout cela est déjà effectif ; cela est vrai mais après deviendra légal, s’y opposer sera donc condamnable.

    Nous pourrions aussi être (je le suis) solidaires de migrants économiques européens mais cela ne nous est pas permis (on se souvient d’étudiantes russes et de familles serbes en situation irrégulière et renvoyées manu militari dans leur pays d’origine…) car malgré (ou à cause de) notre proximité culturelle et leur compétence reconnue, nos amis slaves ne sont pas les bienvenus (!) Ce sont bien les peuples extra-européens, d’Afrique dont le Magreb en particulier, qui sont visés par le Pacte de Marrakech et bénéficieront seuls des mesures onusiennes sans plus de contestations ou droits souverains.

    Non au Pacte de Marrakech auquel nous préférons « Ton pays, ton futur », l’alternative économique et solidaire à la démographie qui vient nous remplacer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Immigration sans limite : l’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement

    Immigration sans limite : l’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement

    De Gabriel Robin dans l’Incorrect :

    La conférence intergouvernementale chargée d’adopter le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » se tiendra les 10 et 11 décembre prochains. Un pacte d’une importance cruciale.

    Ce pacte divise la communauté internationale, opposant la France et l’Allemagne à un groupe de pays réfractaires, menés notamment par les Etats-Unis de Donald Trump. Au sein des Etats, le Pacte dit de Marrakech divise de la même façon, Angela Merkel étant notamment considérée par ses adversaires comme l’instigatrice des mesures ultra-immigrationnistes qui compléteront la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants.

    Composé de 41 pages consultables sur le site officiel de l’Organisation des Nations Unis, le projet de document final de la conférence a pour objectif de faciliter grandement l’immigration à destination des pays occidentauxPis, il y encourage explicitement. Il faut, dans un premier temps, insister sur le fait que le document ne traite que des « migrants » et non des réfugiés, les distinguant dès le quatrième article de son préambule. Source principale de la synthèse finale, le rapport initial du Secrétaire général Antonio Guterres peut être résumé par son titre : « Rendre les migrations bénéfiques à tous ».D’autres travaux ont probablement joué un rôle, à commencer par le rapport mondial de suivi sur l’éducation de l’Unesco intitulé « Migration, déplacement et éducation : bâtir des ponts, pas des murs », dont le vocabulaire trahit l’idéologie : « L’attitude envers les immigrants est influencée par le niveau d’étude. Il apparaît que les personnes plus instruites sont moins ethnocentriques, qu’elles valorisent davantage la diversité culturelle et qu’elles considèrent les effets économiques de la migration sous un jour plus favorable ». Voilà qui rappellera un peu les discours du Président Macron : si vous êtes contre moi, c’est que vous n’êtes pas suffisamment intelligent pour comprendre. Les peuples sont crétins et doivent laisser les grandes personnes décider à leur place ; experts, technocrates et économistes labellisés « progressistes all inclusive ».

    Bref, revenons-en au « Pacte de Marrakech » tel qu’il devrait être voté dans quelques jours. Ses rédacteurs estiment nécessaire d’améliorer la coopération en matière de migration internationale parce que les migrations auraient « toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire », et, qu’à l’heure de la mondialisation, elles seraient « facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable ». Car, vous l’ignoriez peut-être, mais la majorité des migrants « voyagent, vivent et travaillent dans des conditions sûres, ordonnées et régulières ». Rien que ça ! Une vision si irénique ne peut donc s’accompagner que de propositions pensées pour encourager les candidats à l’exil, pour les aider dans leur voyage et leur future installation. Ici, l’immigré n’a que des droits et aucun devoir. Il est l’Autre, le faible ontologiquement bon, la bonne nouvelle, notre enfant symbolique.

    À l’image de l’Unesco qui estime l’assimilation préjudiciable à « l’identité des migrants », à l’inverse du multiculturalisme, les Etats signataires du futur Pacte de Marrakech s’engageront moralement à donner une image toujours positive de l’immigration et de la « diversité » ; voire à combattre judiciairement les réfractaires, qu’ils soient en politique, professionnels des médias, ou simples citoyens. L’ensemble, comprenant tant des recommandations demandant la protection des migrants à l’intérieur des frontières sur le mode « No Border » que des incitations à faciliter l’évasion des richesses vers les pays « d’origine », ainsi que le suggère aussi l’Unesco, forme un programme complet de remplacement des populations autochtones en Europe, les seules que méconnait l’ONU. Ce texte, s’il n’aura pas de force légale, achèvera de désarmer moralement les Occidentaux face à ce qui est, il faut bien le dire maintenant, une invasion méthodique et planifiée de notre continent. Imaginez donc que dans le « plein respect de la liberté de la presse », les journalistes devront être mieux formés à la question des migrations, c’est-à-dire éduqués à délivrer la doxa inclusive et multiculturaliste mondiale.

    L’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement, riposte directe contre les vieilles nations repliées sur elles-mêmes, comme la Hongrie qui avait refusé de laisser ses frontières violer par des individus indésirables. A l’époque, l’organe chargé de la question migratoire pour l’ONU avait d’ailleurs publié un message sur Twitter indiquant que « franchir une frontière » n’était « pas un crime ». Le professeur de droit international de l’Université Catholique de Louvain Pierre d’Argent juge que le texte est un « instrument politique » qui finira immanquablement par servir d’outil aux avocats défendant des clandestins, et que les juridictions nationales pourraient s’appuyer sur le texte, quand bien même il n’aurait pas force légale. Quelques pays refuseront donc logiquement de céder au chantage des pays du tiers-monde et des globalistes occidentaux, parmi lesquels les Etats-Unis, l’Autriche, la Hongrie, la Pologne, Israël ou l’Australie. Très bientôt, à coup sûr, l’Italie.

    La France, de son côté, devrait signer ce Pacte dans l’indifférence générale, sans qu’aucun média ne l’ait sérieusement évoqué. Par cette signature, Emmanuel Macron donnera son feu vert à l’intensification du processus de changement de peuple et de culture actuellement à l’œuvre dans notre pays. Ces idées délirantes ont déjà contaminé une bonne partie de la population. À titre d’exemple, une jeune femme de trente-trois ans affirmait récemment ne pas aimer les enfants mais vouloir accueillir des « migrants » et des « réfugiés climatiques ». Pour des motifs prétendument écologiques, Gaëlle n’entend pas enfanter une descendance qui « consommera encore et toujours ». Elle n’a en revanche que des mots compatissants pour ces subsahariens au taux de fécondité de cinq enfants par femme qui, une fois parvenus en Europe, deviennent des consommateurs comme les autres, souvent pires. Il faut sauver la France et l’Europe, même contre leur propre volonté…

    https://www.lesalonbeige.fr/immigration-sans-limite-lonu-cherche-a-creer-un-droit-a-immigrer-clandestinement/

  • L’inévitable dissolution de l’Assemblée nationale

    Assemblée_Nationale_France-845x475.jpg

    Il y a une semaine encore, j’aurais jugé surréaliste l’idée même d’une dissolution de l’Assemblée nationale. Voir le Président se séparer d’une majorité écrasante et aux ordres n’aurait en effet aucun sens.

    Et pourtant, je juge aujourd’hui que cette dissolution est non seulement souhaitable, mais inéluctable.

    Le point de départ de cette crise est, bien évidemment, le mouvement des gilets jaunes, mais ce mouvement n’est, finalement, que la représentation visible d’un état de désespérance qui est bien plus profond.

    Je l’ai souvent dit, Emmanuel Macron a été élu sur un malentendu. Lui-même reconnaît avoir fait le hold-up du siècle. Un Parti socialiste mort après l’exercice catastrophique du pouvoir, un François Fillon pulvérisé par une affaire savamment sortie au bon moment et une Marine Le Pen servant d’épouvantail pour une élection dans un fauteuil. On ne va pas refaire le match.

    Toujours est-il qu’inconsciemment, une partie des Français a l’impression que la dernière élection présidentielle n’a pas eu lieu. Il ne s’agit pas de revanche, mais de déception. En effet, ce Président par défaut a pu susciter des espoirs. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir rappelé qu’il n’était en rien un homme neuf et providentiel, puisqu’il avait activement participé à la politique économique désastreuse de François Hollande qui, et je lui en fais crédit, a néanmoins su calmer ses ardeurs les plus ultralibérales.

    Un an et demi après son élection, l’échec d’Emmanuel Macron est objectivement patent. Arriver à se retrouver face à un mouvement qui obtient l’approbation des Français à 85 % est inédit. On peut juger que certains slogans comme « Macron démission » sont farfelus ou excessifs, mais la colère est là, et elle ne s’arrêtera plus. Bien sûr, les quelques milliers de gilets jaunes rentreront chez eux à un moment donné, car tout mouvement est amené à s’essouffler. Mais comme, idéologiquement et structurellement, le gouvernement ne changera rien pour modifier le quotidien de ces Français désespérés, la mèche se rallumera.

    Et elle se rallumera plus tôt que prévu. Dès février, lorsque les salaires se verront amputés du prélèvement de l’impôt à la source, lorsque le prix de l’électricité augmentera, tout comme les mutuelles, le gaz, etc.

    Le Président est nu face aux Français. La faute à un Premier ministre entêté, suffisant et finalement bien transparent. Comme Emmanuel Macron s’est employé méthodiquement à dégommer les corps intermédiaires ainsi que l’opposition, il n’a plus de paratonnerre.

    La seule façon de prendre la hauteur jupitérienne qu’il aime tant, la seule façon d’avoir les avantages du pouvoir et de la fonction sans les inconvénients, c’est de procéder à la dissolution de l’Assemblée nationale. Il se trouvera très probablement en cohabitation, mais une cohabitation qu’il aura choisie. Les Français, déçus de l’absence de changement, auront eu l’impression de changer quelque chose, et le Président pourra enfin présider, laissant un gouvernement et une Assemblée qui verraient le retour de vrais hommes politiques d’expérience s’occuper des tâches ingrates. C’est gagnant-gagnant et c’est pour ça qu’Emmanuel Macron va dissoudre, ce n’est plus qu’une question de temps.

    Jean Ronet

    http://www.bvoltaire.fr/linevitable-dissolution-de-lassemblee-nationale/

  • Loup Mautin : « En travaillant 70 heures par semaine, 40 % des agriculteurs gagnent 350 euros par mois »

    Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures tables.

    Par ailleurs, il revient sur le lancement d’un forum de réflexion et de propositions au sein du Rassemblement national, Terres de France, sur la thématique de l’agriculture et de la ruralité.

    La presse locale s’est largement fait l’écho de cet éleveur de volailles du pays de Bresse. Il a beau nourrir les grands de ce monde, il peine à dégager 500 euros chaque mois pour vivre.
    Cette situation vous interpelle-t-elle ?

    Ce témoignage est vraiment très poignant et touchant. En réalité, cet éleveur vit ce que vivent une grande majorité des agriculteurs. Ils travaillent nuit et jour, y compris les jours fériés et le dimanche. Il n’est pas rare qu’ils travaillent 70 heures par semaine. Et tout cela pour un revenu très misérable. 40 % des agriculteurs , selon les chiffres de la MSA, gagnent 350 euros par mois.
    C’est assez étonnant, puisque cet éleveur fournit les tables présidentielles. On pourrait penser que son carnet de commandes est plein et que ce ne sont pas les clients qui manquent. Pourtant, il n’arrive pas à dégager de bénéfices suffisants pour se payer.
    À quoi cela est-il dû ?

    Il y a une explication qui est typique de la situation agricole. Entre lui et l’Élysée, il y a un intermédiaire, un industriel. Les agriculteurs au bout de la chaîne n’y arrivent pas. En revanche, l’industriel qui sert d’intermédiaire et qui commercialise le produit, lui, s’en sort très bien. Monsieur Macron a beau dire qu’il va leur tordre le bras et qu’il va signer des accords avec eux pour que la marge et la valeur ajoutée reviennent au producteur, en réalité il n’en sera rien. Le plus puissant est l’industriel. C’est lui qui commercialise.
    Cette situation n’est donc pas du tout étonnante. C’est la même chose pour le lait, pour la viande et à plus fort degré, pour les salaires.
    C’est un cas emblématique de l’État de la paysannerie française…

    Tout à fait. On retrouve à un bout de la chaîne des gens qui meurent de faim et n’arrivent pas à s’en sortir et à l’autre bout, des gens qui mangent bien. Les uns mangent de mauvais produits achetés en grandes surfaces parce qu’ils n’ont pas les moyens, et les autres mangent de bons produits.
    C’est une problématique que vous connaissez bien, puisque vous êtes vous même paysan. Vous avez notamment créé Terres de France au sein du Rassemblement national.
    Quel est le but de ce collectif et quelle est son ambition à long terme ?

    Nous avions eu l’idée de lancer le forum Terres de France depuis longtemps. Il tombe fortuitement en pleine actualité. L’idée était de fédérer toutes les bonnes volontés et les énergies pour défendre la ruralité, l’environnement et l’agriculture. On y retrouve des élus, des maires, des conseillers régionaux et des agriculteurs du Rassemblement national et non encartés.
    L’objectif est d’être force de propositions pour le Rassemblement national et de se faire l’écho ensuite des décisions qui seront prises par le parti de Marine Le Pen.

    Loup Mautin

    http://www.bvoltaire.fr/loup-mautin-en-travaillant-70-heures-par-semaine-40-des-agriculteurs-gagnent-350-euros-par-mois/

  • Quand La France insoumise se déchire à propos de l’immigration…

    Capture-58.png

    Il en était récemment fait état en ces colonnes, mais rien ne va plus à La France insoumise, mouvement non seulement en proie à l’inévitable crise de croissance, mais à la crise de nerfs tout court.

    Au cœur du débat ? Tout simplement celui qui a été trop longtemps relégué sous le tapis : l’immigration. D’où la démission fracassante de Djordje Kuzmanovic, conseiller diplomatique de Jean-Luc Mélenchon lors de la dernière élection présidentielle, suspect d’avoir soutenu Sahra Wagenknecht, député de Die Linke, la gauche de la gauche allemande – elle est aussi l’épouse d’Oskar Lafontaine, idole de la gauche de la gauche française –, quand cette dernière a fait part de son scepticisme quant à l’accueil massif des migrants par Angela Merkel.

    En effet, comment faire du populisme sans prendre en compte des demandes populaires à connotation de plus en plus identitaire ? Jean-Luc Mélenchon a choisi de répondre à l’épineuse en faisant taire ceux qui osaient même la poser. Cité par Libération, un député de l’espèce soumise précise : « Djorje est un ami, il est avec nous depuis 2005. Mais dernièrement, il a déconné, ce n’est pas un problème de ligne, mais de pensée. » Et ce quotidien d’ajouter : « Plusieurs Insoumis imaginent le futur de Kuzmanovic chez Florian Philippot, voire Nicolas Dupont-Aignan. » Et pourquoi pas chez Marine Le Pen ? Pourquoi pas, en effet.

    Plus que jamais, il y a donc, au sein de La France insoumise, deux tendances bien distinctes et de plus en plus antagonistes. L’une qu’incarnait Djordje Kuzmanovic et qui n’est pas loin d’être celle d’un Alexis Corbière – républicaine et sociale. L’autre, emmenée par Clémentine Autain et Danièle Obono, déjà moins républicaine et plus sociétale que sociale. Entre les deux, le cœur de Jean-Luc Mélenchon balance de longue date. Ceux qui le connaissent bien savent sa tripe patriote, mais savent aussi à quel point ses soutiens médiatiques penchent de l’autre côté de la rive.

    Ce sont ces derniers, le très bourgeois Gérard Miller en tête, qui ont largement contribué au naufrage de sa télévision, Le Média. Ce sont toujours eux qui n’ont pas été pour rien dans le revers électoral de l’élection législative partielle de ce dimanche dernier, dans la première circonscription de l’Essonne. Là où l’insoumise Farida Amrani avait manqué, de 139 voix seulement, battre Manuel Valls, là voilà aujourd’hui atomisée par le très macronien maire d’Évry, François Chouat, avec près de 60 % des suffrages. Par les temps qui courent, offrir un tel plébiscite à un homme de l’Élysée, voilà qui tient du miracle. Mais il est vrai que Farida Amrani, qui, lors du dernier scrutin, campait sur une ligne populiste de gauche, a préféré cette fois opter pour une stratégie d’union des gauches à l’ancienne, à base de « vivre ensemble » et de trottinettes électriques. Soit la tambouille politicienne dont plus personne ne veut désormais.

    Comme si cela ne suffisait pas, c’est maintenant une section entière de mélenchonistes qui vient de se faire exclure, le « groupe d’appui » JR Hébert, du nom de Jacques-René Hébert, laïcard enragé de la Révolution française. Leur crime ? Avoir simplement voulu organiser une réunion dans le XVIIIe arrondissement parisien sur le thème de « l’entrisme islamiste dans le mouvement syndical ». Parmi les victimes de la purge, Dejan Kuzmanovic, père du Djorje Kuzmanovic plus haut cité, et un certain Mouh Dehmous, d’origine algérienne, qui explique à nos confrères de Marianne : « Mélenchon considère qu’il y a plus à gagner en fermant les yeux sur l’avènement de l’islamisme. […] Cela n’a pas de sens, tous les musulmans à qui je parle ne voteront pas Mélenchon s’il fait de l’indigénisme. Les musulmans normaux sont bien plus nombreux que les islamistes. »

    Djorje Kuzmanovic a immédiatement apporté son soutien aux exclus, nouveaux damnés de la terre mélenchoniste. C’est dire si le débat n’est pas clos.

    Nicolas Gauthier

    http://www.bvoltaire.fr/quand-la-france-insoumise-se-dechire-a-propos-de-limmigration/

  • Pacte migratoire de l’ONU – Pour Nicolas Bay, on cherche à aboutir “à la consécration d’un prétendu droit à la migration”

    nicolas-bay-20170823-0901-98489a-0@1x-600x337.png

    Si le gouvernement français soutient le pacte migratoire de l’ONU, le Rassemblement national s’y oppose logiquement, voyant dans ce texte la porte ouverte à de nouveaux mouvements migratoires.

    Selon Marine Le Pen, ce texte “exprime un immigrationnisme radical qui non seulement engage tous les pays à faire la promotion de cette immigration sans limite, mais fait disparaître le concept de clandestinité.”

    Nicolas Bay ajoute : “C’est toujours la même manière de procéder. On va aboutir à la consécration d’un prétendu droit à la migration présenté comme un nouveau droit de l’homme“.

    Diverses pétitions fleurissent sur le Net pour dénoncer ce projet de l’ONU. Exemple avec celle-ci : “Non au Pacte mondial sur les migrations qui met en danger la France et l’Europe

    Le Scan Politique
    @Le_Scan

    Pacte migratoire de l'ONU : RN et LR dénoncent l'avènement d'un «droit à l'immigration» http://www.lefigaro.fr/politique/2018/11/28/01002-20181128ARTFIG00296-rn-et-lr-denoncent-l-avenement-d-un-droit-a-l-immigration.php?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1543432072 

    Pacte migratoire de l'ONU : RN et LR dénoncent l'avènement d'un «droit à l'immigration»

    Le parti de Marine Le Pen a lancé une pétition contre la signature du pacte par la France.

    lefigaro.fr 
    366 personnes parlent à ce sujet