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lobby - Page 990

  • Le réveil de la poudrière balkanique

    6a00d8341c715453ef022ad38db034200d-320wi.jpgEn acceptant, le 25 août à Kiev, le principe de modifications des frontières balkaniques, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis John Bolton vient d'ouvrir une boîte de Pandore. On doit hélas en redouter les conséquences pour l'Europe entière[1].

    Sa déclaration en réponse à une question conférence de presse porte sur une question apparemment ponctuelle et fort délicate. "Nous n'excluons pas d'adaptations territoriales" a-t-il maladroitement déclaré. Ceci revenait, de la part des Américains, à préempter le résultat des négociations, se déroulant actuellement à Bruxelles, entre la Serbie et le Kosovo. Ce territoire dominé par les Albanais, dirigé par Hassem Thaci, sous une très forte dépendance mafieuse, a été arraché en 1999, par les bombardements de l'OTAN à la souveraineté de Belgrade.

    Rappelons brièvement la situation qui en est résultée. La grande majorité des quelque 1,8 million d’habitants du Kosovo sont des Albanais musulmans mais quelque 120 000 Serbes y vivent encore dans diverses enclaves. Or, au nord de ce qui se veut désormais une république indépendante, il y demeure ainsi un territoire serbe comprenant le nord de la ville de Mitrovica. Cette agglomération de 80 000 habitants est, au sud, majoritairement peuplée d'Albanais. Il y vint environ 65 000 fils de l'Aigle, comme se désigne ce peuple. Mais le nord de la ville est surtout habité par quelque 15 000 Serbes. Elle constitue encore, avec trois autres communes de la région septentrionale du territoire le reliquat de la fiction d'une république multiculturelle indépendante. C'est au nom de cette illusion que les Occidentaux étaient intervenus il y a 20 ans. Ils avaient voté la résolution 1244 du conseil de sécurité et ils avaient envoyé sur place un procurateur international en la personne du bonimenteur Kouchner.

    Grossièrement aujourd'hui, il s'agirait d'échanger la rétrocession à la Serbie du Nord-Kossovo contre l'annexion par les Kosovars de quelques villages frontaliers majoritairement musulmans.

    Ainsi posée, ainsi acceptée par Bolton sous condition d'un accord serbo-albanais satisfaisant les deux parties, la correction des frontières pourrait paraître raisonnable et de bons esprits y voient une fois de plus l'établissement d'un cercle de paix. Rappelons à ce sujet, que ce mot d'ordre, agréable à l'oreille des francs-maçons et des démocrates-chrétiens a toujours été démenti, hélas cruellement, par les faits depuis Wilson, Briand, etc.

    De modeste ambition, son application en cours divise néanmoins les habitants de la petite vallée de Presevo, objet de l'échange.

    Mais ce mince coup de canif dans les frontières que l'on se propose ainsi de rectifier, légitimerait par ricochet une série de projets analogues. D'ampleur infiniment plus importante, leur enjeu dépasserait une fois de plus le terrain balkanique, considéré comme expérimental depuis 1912. Non seulement, située dans le voisinage immédiat, la Macédoslavie basculerait. Les Slaves orthodoxes n'y représentent plus qu'une courte majorité. C'est sur elle que Hashim Thaçi et les réseaux criminels turcs entretiennent des vues prioritaires. Et en Europe occidentale d'autres types de conflagration territoriale ne manqueraient, à l'évidence, se manifester plus rapidement qu'on ne veut l'imaginer.

    Il est encore temps d'enrayer un processus qui pourrait bien avoir été évoqué entre Trump et Poutine lors de leur rencontre du 16 juillet à Helsinki, hypothèse qui nous ramènerait aux pires moments des erreurs diplomatiques occidentales.

    Le 31 juillet, une réunion informelle des ministres européens des Affaires étrangères se tenait à Vienne. Plusieurs responsables ont exprimé leur hostilité. La présidence tournante autrichienne de l'Union, représentée par Mme  Karin Kneissl, craint de voir s’ouvrir la boîte de Pandore des revendications territoriales. Le ministre allemand Heiko Maas a estimé que des discussions sur ce sujet ne sont pas opportunes et "risquent de raviver de vieilles blessures". Tout en jugeant les pourparlers positifs en eux-mêmes, le représentant finlandais Timo Soini met en garde contre le risque résultant de tout échange de territoires. Le Luxembourgeois Asselborn considère qu’un redécoupage entraînerait des effets très négatifs sur d’autres pays. La Grande Bretagne met, elle aussi, en garde contre le risque de déstabilisation.

    Hélas il semble bien que la Commission soutienne le processus …

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] Le président actuel du Kosovo Hacem Thaçi, ci-devant chef politique de l'UÇK, théorise et mène la négociation [on lira a ce sujet l'entretien complaisant publié par Le Figaro le 25 juin Hashim Thaci : "La paix entre le Kosovo et la Serbie est inévitable"] son premier ministre la refuse explicitement : le 20 juillet, Ramush Haradinaj, l'ancien chef militaire de l'organisation et des Aigles noirs a ainsi déclaré : toute partition du Kosovo entre zones serbes et albanaises conduirait immanquablement à la guerre. "Pour moi, la division c’est la guerre. Je le dis sans hésiter, il est dangereux d’évoquer une division", avait-il répondu à TV Dukagjini sur l'échange de territoires envisagé entre Belgrade et Pristina. La veille, ce personnage par ailleurs fort dangereux avait déjà promis qu’il n’y aurait "pas de division, d’échanges de territoires ou de modification des frontières".

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • Troisième Guerre Mondiale en préparation : La Russie déploie la “plus grande force de navires de guerre de tous les temps” pour mettre fin aux attaques des États-Unis contre la Syrie

    Les chefs de la marine russe ont envoyé leur plus grande force opérationnelle en Méditerranée depuis le début de l’intervention de la Russie dans le conflit syrien en septembre 2015.

    Il comprend au moins dix navires de guerre et deux sous-marins – avec davantage de navires en route, selon le quotidien russe Izvestia.

    La plupart des navires transporteraient des missiles de croisière Kalibr.

    Izvestia cite des experts militaires qui affirment que la flotte sera en mesure de soutenir la campagne de l’armée syrienne dans l’Idlib tenue par les rebelles.

    Cette décision intervient dans un contexte de tensions, alors que la Russie affirme que les États-Unis pourraient se préparer à frapper à nouveau la Syrie en raison de rumeurs de nouvelles attaques chimiques.

    La Syrie est devenue un point de tension entre la Russie et l’Occident alors que Poutine tente de protéger le dictateur Bachar al-Assad de l’intervention de l’Occident au Moyen-Orient.

    Deux frappes de missiles de croisière contre le régime ont été menées par les États-Unis au cours des deux dernières années – avant de répondre directement aux accusations d’attaques chimiques.

    La Russie et la Syrie nient que des armes chimiques ont été utilisées par le régime contre des civils, affirmant qu’elles ont été mises en scène par des terroristes, des rebelles ou même par l’Occident.

    Les médias russes décrivent l’opération comme un “bouclier marin” pour la Syrie – et parmi le groupe d’attaque, on trouve des frégates, des croiseurs et des navires de soutien. 

    Et cela intervient au moment où le ministère russe de la défense prétend que les Etats-Unis sont en train de lancer une action militaire pour soutenir les rebelles qui luttent contre le régime d’Assad.

    Les chefs militaires ont affirmé que les plans américains prévoyaient d’utiliser la “dramatisation”d’une attaque chimique dans la province d’Idlib comme prétexte pour attaquer le régime syrien.

    La Syrie risque d’être le terrain d’une confrontation militaire directe et dangereuse entre les Etats-Unis et la Russie.

    Il a affirmé que les plans américains prévoyaient mettre en scène une attaque chimique dans la province d’Idlib comme prétexte pour attaquer le régime syrien.

    Konashenkov a mis en garde qu’une attaque au gaz par des militants de Jabhat An-Nusra, l’un des plus grands groupes djihadistes en Syrie, sera imputée à Assad.

    Elle provoquera alors le bombardement du gouvernement syrien – et sera coordonnée par les “services spéciaux” britanniques

    Konachenkov a dit : “La mise en scène de cette provocation avec la participation active des services spéciaux britanniques doit servir de nouveau prétexte aux frappes de missiles et de bombes des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France contre le gouvernement et les installations économiques de la Syrie.”

    Il a averti que les actions des nations occidentales conduiront à une “escalade dramatique de la situation au Moyen-Orient”.

    Les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont mené une attaque aux missiles de croisière en réponse à une attaque aux gaz le 14 avril.

    Et elle suit une attaque des États-Unis le 7 avril 2017 sur la base aérienne de Shayrat – également en réponse à une attaque chimique.

    Source: Daily Star

    https://michelduchaine.com/2018/09/04/troisieme-guerre-mondiale-en-preparationla-russie-deploie-la-plus-grande-force-de-navires-de-guerre-de-tous-les-temps-pour-mettre-fin-aux-attaques-des-etats-unis-contre-la-syrie/

  • Hausse limitée des Démocrates de Suède : la manipulation médiatique

    6a00d83451619c69e2022ad36a4172200c-800wi.pngDécryptée par Réinformation.tv :

    "Voilà un chef de gouvernement socialiste prenant la veste du siècle (- 3 %, le plus mauvais score depuis 1911) qui exulte littéralement, un chef du parti conservateur à la ramasse lui aussi (- 4 %) qui demande la clef du pouvoir, alors que la victoire des démocrates suédois, qui gagnent cinq points et 14 sièges, est présentée comme une défaite et un soulagement.

    Comment et pourquoi ce cirque ? Pourquoi, le « spécialiste des questions étrangères » de BMFM nous l’a expliqué : le parti des démocrates suédois est un parti « d’extrême droite xénophobe ». Il est donc louable que le peuple de Suède en limite la poussée et légitime que l’ensemble des commentateurs, de droite, de gauche ou du centre, s’en réjouissent. La grosse coalition a d’abord investi les médias. Notre système de communication est macronien, la coalition du bien progressiste s’oppose à l’axe du mal populiste.

    Comment établit-il la défaite de l’extrême droite ? Grâce à une mise en scène des événements où les sondages tiennent une bonne place. On raconte d’abord, crescendo, pendant des mois que « l’extrême droite populiste » monte, dans une fièvre européenne : voyez l’Italie, l’Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie. Ça fait peur. Les sondages montent, eux aussi, régulièrement. Jimmy Akesson, le patron des démocrates suédois, chope la grosse tête ou fait de la méthode Coué. Il voit dans sa poche entre 20 et 30 % des votes. On arrive à 17,6 ou 17,8, et c’est présenté comme une grande victoire du système. La Suède, méritoire, a contenu la montée de l’extrême droite xénophobe.

    Or il y a juste un temps de silence, ou de mensonge, dans cette séquence. Les sondages ont en effet longtemps monté pour les démocrates suédois, puis ont descendu régulièrement dans les dernières semaines de campagne, et cela n’a pas été répercuté. Ces derniers jours, jusque dans la soirée électorale, tous les commentateurs affirmaient que « les derniers sondages » promettaient aux démocrates suédois plus de vingt pour cent et la place de premier parti de Suède. Or c’était faux. Le dernier sondage publié annonçait exactement 17,6 %. Le silence des médias sur la chose a permis de présenter la poussée des démocrates suédois en défaite de l’extrême droite xénophobe.

    L’incertitude des sondeurs a rendu la manipulation facile. Le Figaro le reconnaissait avec une certaine honnêteté, tout en participant à la manœuvre. Dans la journée de dimanche, il donnait encore l’extrême droite à 20 % mais ne lui accordait plus que la deuxième place et conseillait à ses lecteurs de prendre ces enquêtes d’opinion « avec des pincettes, tant les écarts sont vertigineux de l’une à l’autre : près de neuf points séparent la moins favorable pour SD (16,3 %) à la plus optimiste (24,8 %). » Autrement dit, je sais que mes données ne valent rien mais je les transmets pour participer à un mouvement de désinformation. Pour faire peur. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Twitter, Facebook, Youtube… Un été 2018 de censure

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ La censure des dissidents français et européens a récemment atteint un point paroxystique. L’ensemble des réseaux sociaux et des plateformes numériques semblent s’être mis d’accord afin de limiter au maximum l’influence des personnalités s’opposant au cosmopolitisme prôné par la super-classe mondiale.
    Michel Geoffroy s’est donc logiquement décidé à lister les principaux faits de censure mis en œuvre durant la torpeur estivale de cet été 2018.
    Une introduction parfaite au prochain Forum de la Dissidence organisé par Polémia : Face à la censure, tous dissidents ! De nombreux intervenants viendront témoigner et apporter des solutions concrètes à ces pratiques qui mettent en péril l’avenir de la France et de l’Europe. Réservez dès maintenant vos places : www.weezevent.com/forum-dissidence.

    Petit récapitulatif des faits de censure effectuée par des entreprises « privées » révélés ou dénoncés cet été 2018

    – Accusations portées par Donald Trump contre le moteur de recherche de Google qui privilégierait les sources de gauche et marginaliserait les sites conservateurs américains. (28 août)

    – Fermeture du profil de Robert Spencer, auteur d’ouvrages critiques contre l’islam, sur la plate forme de paiement Gofundme. Une nouvelle censure après celle de son profil Patreon. (21 août)

    – Suppression des comptes d’Alex Jones (« conspirationniste » américain) et de son site Infowars ainsi que de Télésur (latino-américain) sur Facebook, Google, YouTube, Apple, LinkedIn, le service d’envoi d’e-mails MailChimp et Pinterest (8 et 24 août).

    – WordPress.com, la principale plate-forme d’hébergement de sites Web dans le monde, a supprimé ces derniers jours plusieurs sites « conspirationnistes ».  (17 août )

    – Google mémorise les déplacements de ses usagers à leur insu. (14 août)

    – Fichage illégal d’internautes pour leurs tweets sur l’affaire Benalla. Un fichage illégal effectué par l’ONG UE DisinfoLab qui serait proche de LREM. L’affaire a été portée devant la CNIL  (10 août).

    – Facebook a bloqué les comptes de centaines de militants  de droite « Free Brazil » au Brésil dans le cadre de leur campagne contre les Fake News. Cette initiative a scandalisé. Beaucoup accusent Facebook d’interférer dans l’élection présidentielle à venir. (29 juillet)

    – Twitter est sous le feu des critiques pour avoir limité la visibilité de figures conservatrices sur la plateforme. Le réseau social a plaidé une erreur de l’algorithme qui vise à s’attaquer aux trolls, assurant qu’il cherchait à l’améliorer. Le média Vice a publié un article ce 25 juillet expliquant que plusieurs comptes de personnalités conservatrices, tels que celui du fils du Donald Trump, des représentants du Congrès Mark Meadows, Matt Gaetz, Jim Jordan ou encore de la présidente du parti Républicain RonnaMcDaniel, étaient enfouis dans les entrailles du site et difficilement accessibles. (26 juillet)

    – Tama D’Haen, responsable communication du tourisme en Flandre, était l’invitée de RT France ce 26 juillet. Elle est revenue sur la politique de censure de Facebook concernant la nudité des tableaux de maîtres flamands. (26 juillet)

    – Plus de chronique pour Eric Zemmour dans la matinale de RTL. (14 juillet)

    – Des chercheurs de l’University College London et de l’Alan Turing Institute viennent de démontrer que l’on peut  identifier avec exactitude un utilisateur de Twitter avec un stupéfiant pourcentage en utilisant seulement les tweets et les métadonnées accessibles au public par le biais d’un algorithme de machine-learning. [apprentissage-machine]. Les chercheurs ont découvert que leur algorithme le plus élémentaire pouvait identifier correctement un utilisateur individuel dans un groupe de 10 000 personnes en utilisant seulement 14 métadonnées de leurs messages sur Twitter dans près de 96,7 % des cas. (10 juillet)

    – En 2 mois, Twitter a suspendu 70 millions de comptes suspects, soit plus d’un million de comptes supprimés par jour selon le Washington Post. Ces données ont été confirmées par Twitter. En mai, l’épuration a atteint un point culminant avec plus de 13 millions de comptes suspendus en une seule semaine. (10 juillet )

    – La sortie du nouveau livre de Thilo Sarrazin, OPA hostile – Comment l’islam freine le progrès et menace la société, était initialement prévue pour fin août mais sa maison d’édition, Random House, qui appartient au groupe Bertelsmann, a annulé celle-ci, a affirmé l’auteur au quotidien Bild. (6 juillet)

    – Un journal qui publiait des extraits de la déclaration d’indépendance américaine a vu l’un des ses messages supprimé par Facebook qui l’a considéré comme un « discours haineux ». Le réseau social a finalement fait marche arrière et s’est excusé. (5 juillet)

    – Personnalisation des baskets Adidas : « Obama » et « Palestine » interdits, « Israël » et « bombe » autorisés. (2 juillet 2018)

    – Une semaine après avoir fermé sa chaîne principale, ce sont les autres chaînes de TV Libertés qui ont été « arbitrairement » fermées par YouTube, selon Martial Bild. Interrogé par RT France, il dénonce une « volonté politique » de sanctionner son média.

    Après avoir fermé la chaîne du journal de TV Libertés le 14 juin, invoquant une violation des droits d’auteur, YouTube a décidé le 23 juin de fermer les autres chaînes du média accessibles sur sa plateforme.

    Michel Geoffroy 03/09/2018

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/twitter-facebook-youtube-ete-2018-censure/

  • Censure des informations sur le grand remplacement

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    « La vérité vous rendra libre » comme dit Saint Jean dans le chapitre 8 de son Evangile. « La vérité est ailleurs » comme dit l’agent Fox William Mulder dans la série X-Files. « Un journaliste ne doit pas servir la vérité, un journaliste doit servir la révolution » comme dit le dictateur chilien Salvador Allende Gossens. « La vérité, la vérité, qu’est-ce que la vérité ? » comme disait le préfet de Judée, de Samarie et d’Idumée Pontius Pilatus.

    Une information censurée étant une information qui n’existe pas, le régime a utilisé la matière forte pour effacer les preuves les plus flagrantes du grand remplacement. Après l’affaire sous la présidence Sarközy de la censure dans la presse de l’état-civil des communes de Seine-Saint-Denis, c’est cette fois les statistiques sur la drépanocytose qui vont disparaître : l’Agence Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant (AFDPHE), en charge depuis 1972 du dépistage néonatal de 5 maladies rares à la naissance a fermé ses portes en juillet, ordre du régime.

    Parmi les 5 dépistages qui étaient suivis par l’agence : la drépanocytose, une maladie génétique qui ne concerne quasi-exclusivement que les populations extra-européennes :« longtemps qualifiée de « maladie des noirs », car elle a été identifiée et caractérisée en premier lieu au sein de la population afro-américaine aux États-Unis » et dont « la mutation s’est renforcée dans les populations occupant les régions du globe soumises à une forte prévalence du paludisme. C’est pourquoi la drépanocytose, surtout présente en Afrique subsaharienne, l’est également sur le pourtour méditerranéen et en Inde, mais également, héritage du commerce triangulaire et de l’esclavagisme, sur le continent américain. ».

    On comprend la gêne du gouvernement : les chiffres du dépistage de cette maladie (publiés par l’AFDPHE) permettaient de lever une partie du voile sur les modifications en profondeur de la population française. En effet, en raison des particularités ethniques de cette maladie, le dépistage en France métropolitaine ne concernait que les enfants à risque en raison de l’origine de leurs parents (alors qu’il est en revanche systématique chez tous les enfants naissant en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion, à Mayotte). Les données disponibles permettent dès lors d’appréhender la réalité du bouleversement démographique en cours en France. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certaines associations demandent un dépistage universel, aussi inutile que coûteux, afin d’éviter une « stigmatisation ».

    À partir du 1er mars 2018, le programme national de dépistage néo-natal sera assuré par des centres régionaux rattachés à des hôpitaux qui ont déjà un centre de référence maladies rares labellisé pour une des cinq pathologies dépistées. Ces activités ne feront plus pour l’instant l’objet de rapports de synthèse à un niveau national. D’autre part, la question du dépistage systématique de la drépanocytose à tous les enfants naissant sur le sol français a fait l’objet d’échanges au Sénat en juin dernier. Agnès Buzyn, ministre des solidarités et de la santé s’est prononcé favorablement à cette systématisation :

    « Le Défenseur des droits (…) a préconisé de mettre en place, à titre expérimental, un dépistage généralisé dans une région de métropole où la prévalence de la drépanocytose est élevée, par exemple l’Île-de-France, avant d’envisager une généralisation dans toute la France métropolitaine. (…) Cette préconisation a retenu toute mon attention. C’est pourquoi j’ai décidé, notamment au regard des données médicales récentes qui m’ont été apportées, de saisir de nouveau la Haute Autorité de santé (…). Il s’agira également de définir, si tel était le cas, les modalités pertinentes d’une généralisation de ce dépistage néonatal sur tout le territoire métropolitain. »

    La carte 2016 sera donc probablement le dernier témoignage de ce que certains qualifient de carte du « grand remplacement »… Merci à nos confrères de FdSouche d’avoir levé ce lièvre dans un article du 3 septembre.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/censure-des-informations-sur-le-grand-remplacement/97592/

  • Köthen, nouveau Chemnitz ? Des milliers d'Allemands manifestent après la mort d'un jeune homme

    Köthen, nouveau Chemnitz ? Des milliers d'Allemands manifestent après la mort d'un jeune homme© Odd ANDERSEN Source: AFP
    A Köthen, des manifestants rendent hommage à un jeune Allemand mort après une bagarre avec deux Afghans (image d'illustration).

    Plusieurs milliers de personnes ont défilé contre l'immigration à Köthen, dans l'est de l'Allemagne où un Allemand de 22 ans est mort dans d'une bagarre avec deux Afghans. Les autorités locales craignent de nouvelles violences.

    Environ 2 500 personnes ont manifesté dans la soirée du 9 septembre à Köthen, dans l'est de Allemagne, à la suite de la mort d'un jeune homme dans une bagarre avec deux Afghans. Une mobilisation qui fait craindre aux autorités une répétition de Chemnitz.

    Lire la suite ici

  • La croissance des agressions à l'arme blanche tient aux appels récurrents des djihadistes à utiliser ce type d'armes

    6a00d83451619c69e2022ad3affb04200b-800wi.jpgJean-Charles Brisard, président du Centre d'analyse du terrorisme (CAT), déclare au Figarovox :

    "[...] les études menées par le Centre d'Analyse du Terrorisme (CAT) montrent un accroissement de l'usage des armes blanches dans les attentats et les projets d'attentats depuis 2014. Si ces armes étaient utilisées dans 13 % des attaques entre 2008 et 2013, elles ont représenté 23 % des armes utilisées entre 2014 et 2016, et 30 % en 2017 au sein de l'Union européenne. Plusieurs facteurs expliquent le recours plus fréquent à des armes rudimentaires, notamment l'accès rendu plus difficile aux armes de guerre ainsi qu'aux composants d'explosifs, même s'il est toujours possible de s'en procurer. Un autre facteur tient également au profil des individus qui passent à l'acte: beaucoup d'entre eux (plus de 60 % des individus jugés pour des faits de terrorisme) n'ont pas de parcours carcéral et parfois aucun antécédent. Sans contact avec des réseaux criminels, ces individus sont contraints de recourir à des armes rudimentaires, parfois de manière mimétique en reproduisant des modes opératoires utilisés avec succès ailleurs.

    Est-ce le signe d'une hausse de la violence dans notre société? Le terrorisme islamiste a-t-il selon vous contribué à répandre ce mode opératoire, même s'il semble que l'agression d'hier soir ne relève pas directement du terrorisme?

    En effet, le dernier facteur qui explique cette croissance des agressions à l'arme blanche tient aux appels récurrents des organisations djihadistes à utiliser ce type d'armes pour frapper nos pays. Depuis septembre 2014, l'État Islamique a multiplié les appels en ce sens et l'expérience montre qu'ils ont une résonance importante chez les membres ou sympathisants de cette organisation. Rappelons que dans un enregistrement diffusé le 22 août dernier, le chef de l'État Islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, a de nouveau appelé ses partisans à frapper les pays européens avec des armes rudimentaires, précisant que ce type d'attaques équivalait à 1 000 opérations dans la zone syro-irakienne. Les enquêtes en cours devront déterminer si les dernières actions ont été perpétrées en réponse à ces appels. [...]"

    Le journal de TV Libertés revient sur le sujet :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Et revoilà la taxe sur la viande halal

    6a00d83451619c69e2022ad3900738200d-800wi.pngL’Institut Montagine publie un rapport de 800 pages avec des propositions pour réformer l'islam en France, rapport destiné au président de la République. Parmi les propositions faites par l’essayiste proche d’Emmanuel Macron, Hakim El Karoui, il y a la taxation des produits halal​ pour financer la construction des mosquées.

    Cette taxe avait déjà été envisagée dans les années 1990 par Charles Pasqua et elle revient régulièrement. Toutefois il n’y a pas de norme commune au halal en France.

    Si cette taxe était instituée, il faudrait clairement indiquer le mode d'abattage de la viande, afin de pouvoir refuser de collaborer à l'édification de l'islam en France.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire Méric : un procès sous le signe de Rocambole ?

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    Aristide Leucate

    C’est sous un ciel épais et gris que la session de la Cour d’assises de Paris s’ouvrait, hier matin, à 9 heures 30 pour dix jours d’audience en vue de faire la lumière sur une affaire qui, en d’autres temps, aurait été ravalée au rang d’un triste mais banal fait divers. Mais voilà, les trois accusés, Esteban Morillo, Samuel Dufour et Alexandre Eyraud, à cause de leur proximité avec les Jeunesses nationalistes révolutionnaires et du mouvement Troisième Voie (tous deux dissous aujourd’hui), se présentent sous un jour politique qui colore ce procès d’une tonalité singulière.

    Si Esteban Morillo, principal accusé, très sobre dans son costume sombre, est bien présent à la barre du tribunal à l’heure dite, encadré de ses conseils, Me Maisonneuve, père et fils, son comparse, Samuel Dufour, est absent. Les minutes semblent s’égrener lentement sur les murs rénovés du tribunal jusqu’à ce que la présidente du tribunal, Xavière Siméoni, décide de suspendre l’audience dans une indescriptible confusion, imprimant un tour pour le moins rocambolesque à ce procès balbutiant. Ce n’est qu’en début d’après-midi que le procès put reprendre, Samuel Dufour, suivi par son avocat et deux policier, se présentant enfin devant les magistrats. Le troisième accusé, Alexandre Eyraud est également présent. Commence alors l’étude de la personnalité des accusés. Celle de Morillo occupe la majeure partie de l’après-midi. Le jeune homme qui confesse avoir « changé » répond posément aux questions du magistrat sans se défiler. Du côté des parties civiles, représentées par Cosima Ouhioun et Christian Saint-Palais, on sent poindre une agressivité retenue qui donne une idée de la suite des débats. L’avocat général, Rémi Crosson du Cormier, n’est pas en reste qui reproche à Morillo de ne pas « assumer » ses actes.

    La présidente de la cour (qui, naguère, enverra Chirac en correctionnelle dans l’affaire des marchés truqués de la ville de Paris) entend bien mener les débats sans s’en laisser compter par quiconque et surtout pas par les nervis « antifas » qui circulent entre l’extérieur du tribunal et la salle des pas perdus. C’est ainsi qu’elle insistera, malgré leurs absences dûment justifiées, pour entendre des témoins capitaux comme Serge Ayoub (souffrant), Stéphane Calzaghe (ex-mis en examen en vacances en Corse) ou Katia Veloso, ancienne compagne d’Esteban Morillo (retenue professionnellement).

    Après ces préalables procéduraux rituels, ce funeste 5 juin 2013, « le jour où cet antifascisme radical a rencontré le principe de réalité », selon les mots cinglants du politologue Christophe Bourseiller, va être enfin disséqué. Après le sang, hier, les larmes et peut-être la rage demain.

    Article publié dans le quotidien Présent de mercredi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/07/affaire-meric-un-proces-sous-le-signe-de-rocambole-6082840.html

  • Trump face à un coup d’État… de moins en moins rampant et de plus en plus ouvert !

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    Le Washington Post l’a dit le 5 septembre : Trump serait encadré par des « cellules dormantes » qui prétendent le servir. Ces « cellules », qui se « réveilleraient » maintenant, ont d’abord eu pour objectif immédiat de le forcer à prendre des décisions qui leur conviennent (tout ce qui relève du suprémacisme mondial américain, tout ce qui est bénéfique au « grand capital ») et de saboter celles que Trump veut prendre (stratégie des « dividendes de la paix » : rapprochement avec la Russie, dénucléarisation des deux Corées, rééquilibrage des traités commerciaux, remise en cause de l’OTAN, repositionnement de la Chine comme adversaire principal, soulagement des budgets sociaux du coût de l’immigration illégale et financement du « mur » par le Mexique, premier exportateur de narcotiques aux États-Unis – 20 milliards de dollars par an – et premier bénéficiaire des flux financiers en provenance de l’immigration légale et illégale – également 20 milliards par an –, à comparer au coût estimé du mur : 18 milliards sur dix ans).

    Or, il semble que le nouvel objectif desdites cellules soit d’immédiatement éliminer Trump de façon très simple : l’utilisation du 25e amendement.

    Pour le décor, l’avocat-journaliste Gregg Jarrett a déjà décrit cette sédition instrumentée par l’appareil d’État dans son récent ouvrage : The Russia Hoax : The Illicit Scheme to Clear Hillary Clinton and Frame Donald Trump. De son côté, l’ancien procureur et juge Jeanine Pirro a fait un tour précis des manœuvres des anti-Trump dans Liars, Leakers, and Liberals: The Case Against the Anti-Trump Conspiracy. Enfin, Tucker Carlson, le Michel Geoffroy américain, vient de publier une dénonciation de l’oligarchie mondialiste : Ship of Fools: How a Selfish Ruling Class Is Bringing America to the Brink of Revolution. Bref, les États-Unis (et Trump) sont maintenant ciblés par la superclasse mondiale pour un renversement de régime, ainsi que Pat Buchanan l’explique dans un article du 7 septembre : « Regime Change — American Style ».

    Comment faire ? Dans la mesure où les thèses de la trahison ou de l’entrave à la justice trumpienne s’épuisent, et le projet d’impeachment destiné à destituer Trump battant de l’aile, il s’agit donc maintenant de vendre au public l’incapacité mentale et psychologique de Trump à diriger le pays. Cela permettrait, légalement, de déclencher le remplacement du président par le vice-président en vertu du 25e amendement de la Constitution, flou et facile à mettre en place (voir le film Air Force One).

    Préparant le terrain, une kyrielle d’articles et de reportages s’étaient ainsi accumulés depuis le début de l’été, métamorphosant le comportement plébéien du président en actes de démence. Puis, le 4 septembre, les Américains ont eu droit au tout dernier livre du co-tombeur de Nixon, Bob Woodward (Fear: Trump in the White House »). Le livre fait parler les « hauts gradés » de l’équipe Trump, ces derniers campant leur patron en Caligula. Cet « événement » a été, dès le lendemain, suivi par la publication, dans le New York Times, du long article anonyme d’un « haut responsable » de l’administration Trump qui suggère subtilement que la patriotique équipe du président gouverne… malgré lui ! Car Trump est non seulement amoral, incapable, incompétent, mais dangereusement dément.

    Bref, Trump godille sur le Styx. L’enfer n’est jamais très loin du marécage.

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/trump-face-a-un-coup-detat-de-moins-en-moins-rampant-et-de-plus-en-plus-ouvert/