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magouille et compagnie - Page 1131

  • Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Lu dans Les 4 Vérités :

  • Les complotistes bruxellois dans tous leurs états

    La_Verite_sortant_du_puits.jpgEuractiv rapportait ce début de semaine que  « plus de 80 représentants des gouvernements européens, ainsi que des observateurs du Parlement, de la Commission et de l’Agence européenne pour la cybersécurité, l’ENISA, ont participé à (un) exercice cybersécuritaire(le) 5 avril. Premier test de ce type, il visait à analyser les moyens de prévenir, détecter et atténuer rapidement les incidents liés à la cybersécurité. Rainer Wieland, vice-président du Parlement européen et eurodéputé allemand du PPE (s’est inquiété) de la fiabilité des prochaines élections si la cybersécurité était compromise.  Une cyberattaque contre les élections pourrait saper de façon dramatique la légitimité de nos institutions », a-t-il dit. « La légitimité des élections repose sur l’idée que nous pouvons avoir confiance en leurs résultats. » Pour autant, est-il rappelé,  « Les systèmes de vote par Internet ne seront utilisés qu’en Estonie pour ce scrutin. » « L’Irlande a  abandonné un projet visant à introduire le vote électronique »,  « les Pays-Bas ont abandonné le vote électronique en 2007, après un battage médiatique sur les questions de sécurité, suivis deux ans plus tard par l’Allemagne, suite à un jugement de la Cour constitutionnelle fédérale prononçant inconstitutionnel le vote électronique, citant notamment des niveaux élevés de méfiance du public. » Pour ce qui est des électeurs français, l’« élan  (vers le vote électronique) a été freiné en 2017, après que le piratage des réseaux du Comité national démocrate pendant la campagne présidentielle d’Hilary Clinton aux États-Unis a suscité des craintes similaires en France… ».

    A ce vœu (bien légitime en soi) d’instaurer une cybersécurité respectant le choix des électeurs, s’ajoute l’appel  réitéré  à la sacro-sainte croisade  contre les infox, fake news et autre fausses nouvelles parano-complotistes, qui menaceraient de fausser le jugement des Européens. Et comme à chaque fois les fourbes, les odieux qui manœuvreraient   pour corrompre  les (faibles d’) esprits  agiraient dans l’ombre et l’orbite de la Russie poutinienne. C’est ce que rapporte en tout cas  un article de Ouest-France,  publié en lien avec Euractiv, convoquant à l’appui  de  ce scénario d’impeccables témoins de moralité… «  Les « fake news » est-il écrit,  « vont-elles troubler la campagne des élections européennes comme elles l’ont fait avec celle du référendum du Brexit ou de l’élection de Donald Trump ? C’est la grande angoisse des autorités européennes, convaincues que Moscou se cache derrière ce  fléau ».

    « Il y a des forces extérieures anti-européennes, qui cherchent à influencer les choix démocratiques des Européens  a mis en garde le président du Conseil européen  Donald Tusk (…) ». « Certains responsables identifient sans détour Moscou comme le chef d’orchestre de tentatives de manipulation de l’opinion à coups d’infox :  Il y a des preuves désignant la Russie comme la source principale de ces campagnes , a affirmé l’un des vice-présidents de la Commission Andrus Ansip.  (…) Dans le domaine des infox,  les nouvelles technologies avancent extrêmement rapidement, s’est inquiétée la commissaire au numérique,  Mariya Gabriel, qui appelle donc l’UE à  redoubler d’efforts ».  Redoubler d’efforts  pour accréditer l’idée, que l’on pourrait juger elle-même très complotiste,  que toute remise en cause du progressisme bruxellois relève du mensonge. En effet,  insiste cet article, « de  l’immigration à la corruption des élites, en passant par des complots de toutes sortes, les infox ont des thèmes de prédilection souvent en phase avec ceux des mouvements dits populistes ou d’extrême droite. Elles surfent sur la viralité sur internet des contenus à sensation comme sur la défiance ambiante à l’égard des institutions et des médias. »

    Dans ce climat de parano hargneuse qui gagne le camp  des adversaires de l‘Europe des  souverainetés et des identités nationales, certains crient encore plus fort que d’autres : « L’Europe est en feu, et les plateformes de médias sociaux apportent des pistolets à eau pour combattre les flammes , accuse l’ONG Avaaz, qui appelle Bruxelles à des mesures contraignantes. Facebook, ébranlé par l’affaire Cambridge Analytica et critiqué pour son rôle dans la propagation des infox, y semble disposé.  Je suis convaincu que les gouvernements et les régulateurs doivent jouer un rôle plus actif , a écrit son patron Mark Zuckerberg dans une tribune publiée fin mars dans des journaux du monde entier. »

    « Tandis que certains pays, comme la France, ont décidé de légiférer, la Commission privilégie pour l’heure le dialogue avec les géants d’internet. Avec notamment son  Code de bonnes pratiques signé à l’automne 2018 par Facebook, Google et Twitter. » Ouvrons ici une parenthèse pour rappeler que dans sa lutte contre le « complotisme »,  Emmanuel Macron, constate Bruno Gollnisch,  s’est appliqué une nouvelle fois à mettre ses pas dans ceux de François Hollande. C’est ce dernier qui commanda à Rudy Reichstadt en 2015, créateur d’un ubuesque Observatoire du complotisme , et aujourd’hui membre de la Fondation Jean Jaurès, un rapport sur les complotistes. A la lecture de celui-ci on pouvait comprendre qu’être eurosceptique ou contester le bien fondé de  la  loi dite Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973  qui a placé l’Etat français sous l’emprise financière directe des banques privées, faisait de vous un parano à tendance antisémite  ou un antisémite à tendance complotiste, au choix !

    « À Bruxelles, indique encore Ouest-France, une institution liée à la Commission européenne, le Service européen pour l’action extérieure (SEAE), s’est lancée elle-même dans la bataille (…). Leur site EU vs desinformation affirme avoir déjà démonté plus de 5 000 fausses informations, principalement liées à la Russie. Mais les moyens de cette cellule restent modestes, et sa démarche suscite des doutes. » « Pour que les pays de l’UE fassent bloc, la Commission a tracé des lignes directrices, les appelant notamment à soutenir le journalisme de qualité ou encore à collaborer avec des fact-checkers  (vérificateurs de faits) indépendants. » Concrètement, dix-neuf médias  venant  de treize pays européens participent au projet collaboratif  eurobruxellois de lutte contre les fake news , baptise Fact Check EU. Ils ont signé la charte  de l’International Fact-Checking Network (IFCN) ou Réseau international de fact-checking.

    Ce projet rapporte Le Monde, a été lancé « à l’initiative de l’IFCN en toute indépendance des institutions européennes et de toute autre entité gouvernementale. La plateforme en elle-même a été financée par l’IFCN et développée par Libération et l’agence Datagif. Elle a également reçu des financements de la Google News Initiative et de l’Open Society for Initiative for Europe »… une des structures  appartenant au  trouble milliardaire  mondialiste George Soros. Au nombre des médias français collaborant à ce projet, figurent des parangons d’impartialité, d’objectivité et de rigueur que sont Fake Off de 20 minutesAFP FactuelCheck News de Libération,  Les Observateurs de France 24,Les Décodeurs du Monde…

    Les Décodeursnous l’avions écrit,  sont la matérialisation du Decodex financé par le « Fonds Google » à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Un outil qui distribue bons et mauvais points aux sites d’informations, selon des  critères souvent extrêmement partiaux et biaisés, faisant la part belle au respect ou non, du catéchisme progressiste, de la doxa officielle et de sa propagande. Comme  le soulignait  alors Laurent Berruyer sur son blogue Les Crises, le « service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.»  Dans les faits,  «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives.» Un constat qu’il est loisible d’étendre plus largement aux agissements de la technostructure eurobruxelloise.

    https://gollnisch.com/2019/04/10/les-complotistes-bruxellois-dans-tous-leurs-etats/

  • Gilets jaunes : la vie d’après des éborgnés

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    Ces gilets jaunes ont perdu l’usage d’un oeil en manifestation, des blessures qui se sont retrouvées au coeur des accusations de violences policières depuis novembre.

    Alors que le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner recensait le 4 avril 209 enquêtes portant sur des soupçons de violences commises par les forces de l’ordre, cinq manifestants racontent la blessure et ses séquelles.

    https://fr.novopress.info/

  • Privatisation d’ADP : le mirage démocratique ? – Journal du mercredi 10 avril 2019

    Privatisation d’ADP : le mirage démocratique ?

    Un RIP pour ADP. Mardi, des députés issus des rangs de droite et de gauche ont annoncé avoir réuni le nombre de parlementaires requis pour lancer une proposition de referendum d’initiative partagée pour contrer la privatisation des Aéroports de Paris. Coup’ de com’ ou coup de maître ? Réponse dans cette édition.

    Brexit : Le “perp walk” de Theresa May

    C’était un peu la marche de la honte pour le premier ministre britannique. Mardi, après un passage à Berlin, Theresa May a rencontré Emmanuel Macron pour supplier un nouveau report du Brexit… Une éventualité qui devra être accompagnée de garanties alors même que les Lords ne parviennent à se mettre d’accord sur RIEN.

    Libye : le maréchal Haftar frappe à la porte du pouvoir

    Les troupes du maréchal Haftar aux portes de Tripoli ! Alors que la Libye s’enfonce encore un peu plus dans la crise, l’ONU va réunir son conseil de sécurité.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/privatisation-dadp-le-mirage-democratique-journal-du-mercredi-10-avril-2019

  • Faut-il dissoudre la CAF pour avoir financé les djihadistes ?

    Faut-il dissoudre la CAF pour avoir financé les djihadistes ?

    Le gouvernement étudie actuellement la possibilité de dissoudre Génération identitaire, ce qui n’est pas si simple (voir ici). Les médias contribuent massivement à ce but en diffusant l’information comme quoi le terroriste de Nouvelle-Zélande leur a fait un don de 1 000€ en 2017. Génération Identitaire l’a reconnu et a annoncé que cette somme serait reversée à une association venant en aide aux pupilles de la nation dont les parents sont morts en rendant service à la France :

    Vidéo intégrée
    Johan Teissier@JohanTeissier

    RT - Brenton Tarrant, le terroriste de Christchurch est maintenant lié à , le parti d'Emmanuel !

    Soutenez-nous ➡️ https://generationidentitaire.org 

    322 personnes parlent à ce sujet

    Mais venons-en à la CAF en lisant cet article assez pertinent trouvé sur le site Atlantico :

    Il s’agira donc de trouver une motivation crédible ce qui promet de ne pas être aussi simple que prévu : le groupe ne revendique aucune violence (zut), se fait même fort de vouloir créer un débat pacifique (flûte), et ne veut même pas remettre en cause la République (et caca boudin). Autrement dit, il va falloir échafauder autre chose pour dissoudre légalement le groupe.

    Heureusement, une lumière s’est allumée au bout du tunnel : il semblerait bien que Brenton Tarrant, le terroriste de Christchurch, ait fait un don à l’association avant son départ pour l’autre côté du globe. Aubaine ! L’association devient dès lors récipiendaire de fonds issus d’un terroriste et peut donc éventuellement être elle-même classée comme terroriste… (…)

    Espérons qu’il ne viendra à l’idée de personne de tenir exactement le même vis-à-vis des Caisses d’Allocation Familiale qui ont, de façon tout aussi certaine et connue, financé des djihadistes ; ceci aboutirait à dissoudre les CAF au même titre que Génération Identitaire.

    Pour mémoire :

    https://www.lesalonbeige.fr/faut-il-dissoudre-la-caf-pour-avoir-finance-les-djihadistes/

  • Grand débat : atterrissage dangereux, par Ivan Rioufol

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    Défense de rire : ils étaient cinquante Foulards rouges, dimanche, place de la Bastille. Mobilisés par la macronie pour répliquer au “fascisme” et à la “violence” des Gilets jaunes, les tenants du parti de l’Ordre ont dû annuler leur marche vers la place de la Nation. Les commentateurs, prompts à souligner l’essoufflement du mouvement populaire lancé le 17 novembre, n’ont pas jugé utile de s’attarder sur le fiasco du camp qu’ils défendent. Cet échec spectaculaire dit beaucoup, pourtant, de l’isolement croissant du pouvoir. Ceux qui reprochent aux révoltés de répéter : “Nous sommes le peuple” ont arithmétiquement raison ; toute la France n’est évidemment pas Gilets jaunes. Cependant, rien n’aurait dû être plus facile pour le pouvoir et ses soutiens que de mettre en place une autre contre-manifestation nationale, faisant suite à celle du 27 janvier qui avait rassemblé laborieusement 10.000 personnes selon la police. Mais il faut croire que les citoyens ne se bousculent pas pour s’identifier aux “winners” de la “start-up nation”, promus par Emmanuel Macron.

    Les ploucs de la France périphérique ne parlent pas le globish et n’ont pas une calculette dans le cerveau. Pour autant, leurs idéaux démocratique et civilisationnel rendent leurs adversaires, prétendument sophistiqués, de plus en plus frustes, patauds, manichéens, complotistes. Les Foulards rouges, qui se poussent du col et disent représenter le progrès et la vertu, ont fait la démonstration, dimanche, de leur incompréhension du monde qui vient. L’histoire leur tourne le dos. Ce message est à entendre par le chef de l’Etat, qui se prépare à apporter ses réponses à l’insurrection civique.

    Le pouvoir, s’il veut sauver ses meubles, s’oblige à accompagner les premiers pas de la nouvelle révolution lancée par les Gilets jaunes. Un projet de société est à réinventer. Ce lundi, sur Europe 1, Nadine Morano (LR) a expliqué : “Les Français attendent de Macron qu’il répare ses fautes“. Cette analyse n’est qu’en partie exacte. En effet, le président n’est pas le seul responsable d’un système asphyxié par quarante ans de politiques indifférentes aux réalités et aux injustices subies par les Oubliés. Ce lundi, le premier ministre, Edouard Philippe, a fait la “restitution” du grand débat national, au cours d’un raout verbeux organisé au Grand Palais. Il se confirme que l’immigration est le sujet absent, alors qu’il apparaît dans les sondages comme la préoccupation première des Français pour les Européennes.

    Cette incongruité jette un doute sur la représentativité de ceux qui ont répondu à l’invitation du Pouvoir, qui a “langé” (lapsus hilarant de Philippe qui voulait dire : lancé) la parole des Français. Certes, les technocrates sauront apporter des réponses ponctuelles à l’exaspération fiscale ou à la simplification du mille-feuilles administratif. Mais ces mesures ne peuvent ignorer la quête de sens qui s’exprime aussi tous les samedis, sans violences depuis que l’extrême gauche se fait plus discrète ces trois dernières semaines. Il faut se plonger dans ces rassemblements disparates, où gauche et droite, extrême gauche et extrême droite se côtoient et se parlent, pour mesurer le besoin de mettre l’homme au cœur des décisions. La macronie est-elle capable d’appréhender cette dimension? L’atterrissage s’annonce dangereux.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 8 avril 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/214223/grand-debat-atterrissage-dangereux-par-ivan-rioufol/

  • Les dons aux associations et fondations d’intérêt général ont enregistré une baisse inédite

    Les dons aux associations et fondations d’intérêt général ont enregistré une baisse inédite

    Les effets de l’impôt à la source se font ressentir :

    L’année 2018 a bousculé notre écosystème fiscal, très stable depuis plusieurs années : hausse de la CSG pour les retraités, transformation de l’ISF en Impôt sur la Fortune Immobilière et enfin l’arrivée du prélèvement à la source. Ainsi les dons aux associations et fondations d’intérêt général ont enregistré une baisse inédite depuis une dizaine d’année : -4,2 % selon le baromètre de la générosité 2018 de France générosités. […]

    Entre 2017 et 2018, le montant des dons reçus par les associations et fondations françaises a baissé en moyenne de – 4,2 %. Une baisse significative après une progression constante des dons entre 2013 et 2017 de + 9 %. La baisse est plus forte au premier semestre 2018 : – 6,5 % qu’au 2ème semestre – 2,6 %.

    Derrière cette baisse globale de – 4,2 % se cache une grande diversité de situation entre les organisations faisant appel aux dons.

    Deux constats s’imposent : la fragilité de la collecte liée aux dons « ISF/IFI » qui a pourtant constitué un levier de croissance majeur ces dernières années pour les organisations collectrices et l’impact de la hausse de la CSG chez les donateurs les plus modestes. Ainsi le baromètre France générosités ISF/IFI réalisé, en juillet 2018, sur un panel de 31 fondations, mettait en avant que les montants des dons reçus dans le cadre des dons IFI 2018 avaient baissé de 54 % par rapport aux dons ISF de 2017 (Une perte estimée de 130 à 150 millions d’euros).

    Les associations et les fondations ont également constaté une baisse des dons issus de certains de leurs donateurs fidèles. Elles ont reçu notamment de nombreux courriers de donateurs retraités déclarant devoir suspendre leurs dons cette année pour des raisons financières. Dès le mois d’août 2018, 18 % des donateurs retraités déclaraient avoir d’ores et déjà réduit leur générosité du fait de la hausse de la CSG et 20 % des donateurs retraités confiaient avoir l’intention de réduire leur dons. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/les-dons-aux-associations-et-fondations-dinteret-general-ont-enregistre-une-baisse-inedite/

  • Le Parlement européen dénonce les actes “afrophobes” et demande de réparer en accueillant plus d’immigrés africains

    En avril 2013, au Parlement européen certains (voir photo ci-dessus) déposaient une déclaration écrite en faveur de l’instauration d’une journée européenne des victimes de l’esclavage et de la colonisation.

    Nous voilà en 2019, et Cécile Kyenge, née en 1964 au Congo, siégeant au Parlement européen en tant qu’élue du Parti démocrate italien (après avoir été en Italie ministre de l’Intégration), a réussi, avec l’aide d’une majorité de ses collègues, à faire adopter la résolution B8-0212/2019 sur “les droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe”, résolution qui tient en vingt considérations conduisant à vingt-huit recommandations aux pays membres de l’UE afin qu’ils s’africanisent avec repentance.

    Car le préambule de cette résolution l’affirme – et vous interdit d’en douter -, “l’Afro-européen”, le “Noir européen”“l’Afro-caribéen” et le “Noir Antillais” ont beaucoup souffert et souffrent encore de “l’afrophobie” et du “racisme anti-Noirs” en Europe.

    Et la résolution de dénoncer “les agressions afrophobes qui se sont récemment multipliées en Europe” et “visaient directement les ressortissants de pays tiers, et en particulier les réfugiés et les migrants”.  Situation d’autant plus troublante que malgré ce méchant comportement de tant d’Européens, les immigrés africains ne cessent d’affluer en Europe. Mais qu’attend donc Cécile Kyenge et le Parlement Européen pour mettre en garde les Africains contre les barbaries et discriminations qu’ils risquent très probablement de subir en mettant pied sur notre continent et les dissuader ainsi de se jeter dans la gueule du méchant loup blanc européen ?

    La résolution adoptée prie les Etats membres de l’UE de reconnaître publiquement “l’histoire des personnes d’ascendance africaine en Europe, y compris les injustices passées et présentes et les crimes contre l’humanité, comme l’esclavage, la traite transatlantique des esclaves ou les actes perpétrés dans le cadre du colonialisme européen”. Etrangement, la résolution adoptée par le Parlement européen ne dit rien au sujet des esclavagistes israélites ou arabes, ni de la traite des Blancs. Un oubli, sans doute.

    La résolution demande encore aux Etats membres de l’UE d’ajouter à la repentance officielle des gestes, “en offrant, par exemple, des réparations sous la forme d’excuses publiques ou d’une restitution d’objets volés à leurs pays d’origine” et en accordant “aux migrants, aux réfugiés et aux demandeurs d’asile (…) des voies d’entrée sûres et légales dans l’Union”. Comment ? Au lieu de dissuader les Africains de se rendre sur un continent européen si hostile, le Parlement européen demande au contraire de faciliter leur arrivée. Le Parlement européen ne se rend-il pas ainsi complice de futures discriminations ?

    Nous adoptons un ton plaisantin, pour souligner l’absurdité du raisonnement des eurodéputés, mais tout cela n’est pas drôle. Bien au contraire, les conséquences de cette politique seront dramatiques. Et Cécile Kyenge a déjà averti : cette résolution n’est qu’une première étape. Elle réclame notamment pour la suite que les institutions européennes mettent en place une unité spéciale chargée de défendre les Noirs. Une proposition aussitôt soutenue par Marie-Christine Vergiat, député européen du Front de gauche, qui a décrit “un racisme spécifique vis-à-vis des personnes noires, lié à l’histoire du continent européen, à un refus d’affronter notre histoire et sa violence vis-à-vis de l’Afrique”. L’homme blanc n’en a pas fini de battre sa coulpe…

    https://www.medias-presse.info/le-parlement-europeen-denonce-les-actes-afrophobes-et-demande-de-reparer-en-accueillant-plus-dimmigres-africains/107180/

  • Délinquants étrangers : faut-il n’accuser que la xénophobie ?

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    Il y a deux mois de cela, dans l’excellent Politique Magazine, je vous entretenais de la question des délinquants étrangers qui peuplent nos prisons et dont nous ne parvenons pas à nous débarrasser, une fois leur peine effectuée. 

    Il se trouve que l’actualité nous offre un cas d’école, une illustration particulièrement atroce de mon propos, que je me sens tenu de partager avec vous, car il est des choses qu’il est de notre devoir de porter à la connaissance de nos compatriotes, par tous les moyens dont nous pouvons disposer, si modestes soient-ils.

    La cours d’assises de Seine-Maritime juge en ce moment Jean-Claude Nsengumukiza, pour un double meurtre « accompagné ou suivi d’un viol en récidive ».

    Rappelons les faits : Dans la nuit du 19 au 20 décembre 2015, Elise Fauvel, 24 ans, et Julien Tesquet, 31 ans, sortent d’une soirée entre amis au bar rouennais le XXL. Il est environ 4h du matin et la soirée a certainement été très arrosée car Julien Tesquet est ivre et titube dans rue. Voyant son état, Elise décide de le raccompagner chez lui. En chemin, les deux jeunes gens croisent la route de Jean-Claude Nsengumukiza, qui propose à Elise de l’aider. Elle accepte. La caméra d’un restaurant, situé juste à côté, les filme tous les trois rentrant dans le hall d’immeuble d’Élise Fauvel, à 4 h 21.

    Le lendemain, en fin d’après-midi, les policiers, sollicités par un proche d’Élise, rentrent dans le studio de la jeune femme. Ils découvrent les cadavres d’Elise et Julien, disposées dans une sorte de mise en scène macabre : ils sont partiellement enlacés ; leurs visages sont recouverts d’une écharpe rose et leurs corps d’un drap blanc. La jeune femme est partiellement dénudée. Tous deux présentent de multiples traces de coups. L’autopsie effectuée révèle de nombreuses lésions sur le corps d’Élise Fauvel. Elle met également en évidence que les deux jeunes gens sont morts par strangulation et que la jeune femme a été violée.

    Comme même son avocate le reconnait, la culpabilité de Jean-Claude Nsengumukiza ne fait aucun doute. Son ADN a été retrouvé à de multiples endroits de l’appartement d’Elise et sur le corps de cette dernière, il a été identifié sur des images de vidéo surveillance, son téléphone a « borné » tout au long du parcours des jeunes gens.

    Inexpulsable avec quatorze identités différentes

    Qui est cet homme ? Sa nationalité n’a pas pu être déterminée avec certitude. Il est sans doute originaire du Rwanda, ou bien d’Ouganda. Ce que l’on sait, c’est qu’il est rentré illégalement en France en 2002, et qu’il a ensuite endossé pas moins de quatorze identités différentes pour pouvoir y rester. Jean-Claude Nsengumukiza n’est pas un idiot : durant près de quinze ans il a très bien su jouer avec les règles de l’administration française en exploitant leurs failles.

    Avec les règles de la justice aussi, puisqu’il a multiplié les condamnations durant son séjour en France. En 2011, il est condamné à huit ans de prison ferme pour avoir violé une femme, à Rouen. Il s’était introduit à son domicile par une fenêtre, après avoir escaladé la façade de son immeuble. En dépit de la gravité de son crime, en dépit de sa dangerosité certaine, en dépit de ses multiples condamnations passées, en dépit du fait qu’il est en situation irrégulière sur le territoire nationale, Jean-Claude Nsengumukiza bénéficie de remises de peine qui réduisent sa peine, déjà légère, à seulement six ans. En dépit du fait que la cour d’assises avait prononcé à son encontre une interdiction définitive du territoire, il est libéré en novembre 2015, sans aucune contrainte ni aucun suivi : l’incertitude sur sa nationalité empêche son expulsion.

    2015. Libéré en novembre, il récidive en décembre

    Le voici donc libre comme l’air. Et n’importe quelle personne ayant lu son dossier aurait dû comprendre que cela signifiait, inévitablement : libre de commettre de nouveaux méfaits. Un mois plus tard, il tuait Elise et Julien.

    Je pourrais m’arrêter là, car les faits parlent d’eux-mêmes : l’atrocité du crime, son caractère plus que prévisible, l’indifférence ordinaire de l’administration, lorsque personne n’est vraiment responsable de rien, l’absurdité meurtrière de certains pans de notre législation, qui amènent non seulement à garder sur notre sol des gens comme Jean-Claude Nsengumukiza mais aussi à leur laisser suffisamment de liberté pour qu’ils puissent massacrer des innocents…

    Je pourrais m’arrêter là, mais il se trouve que je lis, le même jour que le compte-rendu du procès de Jean-Claude Nsengumukiza, qu’une certaine personne a publiquement regretté « une mentalité xénophobe » dans les pays occidentaux confrontés à l’immigration. Elle a notamment appelé la jeunesse occidentale à

    « Ne pas se laisser enrôler dans les réseaux de ceux qui veulent les opposer à d’autres jeunes qui arrivent dans leurs pays, en les présentant comme des êtres dangereux

    Cette personne, dont la fonction éminente lui assure l’écoute, et même le respect, d’un grand nombre de gens de par le monde a ainsi montré, une nouvelle fois, son incapacité à saisir certaines réalités humaines élémentaires et fondamentales. Et aussi sa propension, qui semble malheureusement irrésistible, à tenir des propos irresponsables.

    Car ce sont des opinions semblables à celles professées par cet éminent personnage qui sont à l’origine des lois, ainsi que des mœurs judiciaires et administratives, qui ont permis à Jean-Claude Nsengumukiza de massacrer deux innocents. A savoir : l’idée que les frontières et les nations sont des créations arbitraires et néfastes, qui séparent indûment l’homme de l’homme et engendrent la plupart des maux dont souffre l’humanité. L’idée que nous devrions accueillir « l’autre » sans aucune réticence, et même avec reconnaissance, précisément parce qu’il est différent de nous, tout en nous aveuglant méthodiquement quant à la portée et à la profondeur de ces différences.

    En soutenant ces opinions, avec tout le poids que lui donne son magistère, cette personne les renforce, inévitablement, et tout aussi inévitablement les opinions finissent par se traduire par des actes. Et au bout de ces actes, il y a des conséquences.

    Il y a actuellement plus de 15 000 détenus étrangers dans les prisons françaises, soit un peu moins d’un quart des prisonniers. Encore ces chiffres ne prennent-ils pas en compte les binationaux, et pas davantage tous ceux que l’on pourrait appeler les Français de papier, et qui sont sans aucun doute fort nombreux dans nos prisons, car les mêmes principes qui nous poussent à accueillir « l’autre » sans réserve nous poussent aussi à distribuer les cartes d’identité française comme des pochettes surprises.

    Ils ne se considèrent pas comme Français

    Or, comme le reconnaissait récemment un haut magistrat : « Judiciairement parlant, je dois à la vérité de vous dire que je vois passer des « Français de souche », comme on dit, qui sont de parfaites ordures, mais que j’ai principalement affaire – à requérir puisque tel est mon métier – à des étrangers ou à des Français d’origine étrangère qui sont souvent issus du bassin méditerranéen. C’est un constat. J’irais même plus loin dans la description : nous, magistrats, sommes considérablement alimentés par des gens qui enfreignent plus ou moins gravement la loi française parce que, en réalité, ils ne se considèrent pas comme Français. » (Jean-Paul Garraud, avocat général près la cour d’appel de Poitiers. – L’Incorrect n°11 juillet/août 2018)

    Il est totalement inutile d’objecter que tous les étrangers et les Français de fraîche date ne sont pas des délinquants. Tout crime commis par un immigré « clandestin », comme Jean-Claude Nsengumukiza, devrait être considéré comme inacceptable, parce qu’il s’agit d’un crime « supplémentaire », qui n’aurait pas été commis si nos frontières avaient été correctement gardées et si la justice avait fait correctement son travail. Tout crime commis par un Français de papier, comme Chérif Chekatt, comme Mohammed Merah, comme les frères Kouachi, comme tant d’autres, devrait être considéré comme inacceptable, parce qu’il s’agit d’un crime qui n’aurait pas été commis si nous avions conservé une conception raisonnable de la nationalité.

    Il n’est pas au pouvoir de nos gouvernements de faire disparaître la faim dans le monde, ni la guerre, ni la misère, pas plus que la maladie et la mort. Il est en revanche en leur pouvoir, et il est de leur devoir, de préserver l’intégrité du corps politique dont ils ont la charge et de garantir la sécurité des individus qui le composent.

    Un homme politique anglais a prophétisé, il y a désormais longtemps déjà, que l’immigration incontrôlée ferait un jour couler «des fleuves de sang » dans son pays. Comme chacun le sait, les grandes rivières qui vont se jeter dans les fleuves sont faites de petits ruisseaux, et les petits ruisseaux eux-mêmes sont constitués de petites gouttes, de destins individuels, comme celui d’Elise et Julien. Peut-être, au moment de mourir, Elise et Julien ont-ils eu le temps de regretter que nos gouvernants ne soient pas un peu plus « xénophobes », un peu plus tournés vers le bien réel de ceux qu’ils gouvernent, et un peu moins fascinés par un mirage « humaniste » aux conséquences inhumaines. 

    Aristide Renou

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La réalité des violences policières

    Le Colonel de gendarmerie #MichaelDIMEO est attaqué par les syndicats policiers pour avoir dit la vérité sur les violences policières dans le documentaire de #BFMTV du 8 avril sur les images filmées le 1er décembre 2018 où on voit des CRS rouer de coups des manifestants alors qu’ils sont à terre et sans défense à l’intérieur du Burger King des Champs Elysées.
    Interrogé en regardant ces images, le Colonel de gendarmerie Michael DI MEO confirme qu’il s’agit de violences policières.
    Ce jour-là, il commandait un groupement de gendarmes mobiles, ce jour-là à Paris, il était sur le terrain et contredit le ministre de l’intérieur #CASTANER qui a nié l’existence de ces violences policières et a déclaré le 15 janvier 2019 « Je ne connais aucune policier, aucun gendarme, qui ait attaqué des gilets jaunes.
    Le Colonel Di Meo affirme le contraire, vidéo à l’appui et il risque d’être sanctionné par Castaner pour cela. 
    Cet officier supérieur qualifié par le général Bertrand Cavallier de "grand professionnel du maintien de l’ordre dans toutes ses dimensions – doctrinal, déontologique et tactique.
    Un colonel de gendarmerie dit haut et fort la vérité. 
    Cela ne plaît pas à la police, le secrétaire national de l'UNSA-Police, David Michaux déclare "nos amis de la gendarmerie auraient pu avoir la décence d'attendre la fin de l'enquête avant de nous mettre en cause, surtout de manière aussi directe", et que les propos de ce colonel "ne vont pas arranger les relations entre gendarmes et policiers". 
    Ce syndicat de police met en porte à faux le Colonel ii Méo et ne supporte pas qu’on dise la vérité sur les dérapages violents de la police. 
    Il rend responsable le colonel des mauvaises relations entre la gendarmerie et la police alors que le Colonel Di Méo a été interrogé en tant que spécialiste du maintien de l’ordre.
    La police utilise les syndicats pour attaquer un seul homme, gendarme, alors qu’ils savent parfaitement que la gendarmerie n’a pas le droit de répondre car elle n’a pas de syndicat.
    Ce sont des méthodes qui reviennent exactement à ce qu’on voit partout dans les manifestations, attaquer des gens honnêtes, sans qu’ils puissent avoir de défense.
    Le Colonel Di Méo ne pourra pas se défendre, il ne répondra pas, c’est un militaire, qui a de la dignité et de l’honneur, c’est un gendarme. 
    Il risque d’être sanctionné par la hiérarchie pour avoir dit la vérité sur les violences policières au lieu de couvrir celles-ci.
    En réalité, les gendarmes ne cautionnent pas les comportements violents injustifiés contre les manifestants et les chiffres démontrent que ce ne sont pas les gendarmes mais majoritairement les policiers qui sont mis en cause dans les violences contre les manifestants.
    Les chiffres fournis par le très sérieux magazine « L’essor de la gendarmerie » sont clairs :
    L’inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie seulement 10 fois par des plaintes pour des violences contre des manifestants contre 199 fois pour l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), soit des pourcentages respectifs de 4,8 % pour la Gendarmerie et de 95,2 % pour la Police.
    La majorité saisines concernent l’utilisation par les forces de l’ordre du lanceur de balles de défense de 40 mm (LBD-40), soupçonné d’avoir provoqué des dizaines de blessures graves comme des éborgnements.
    Selon la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio, pour la période allant du 17 novembre 2018 au 5 février 2019, on a dénombré 13.460 tirs de LBD-40 recensés dans la Police . 
    De son côté, l’IGGN évaluait à “un millier’ les tirs de LBD par des gendarmes pour la même période. Soit 93 % pour la Police et de 7 % pour la Gendarmerie.
    La différence de mentalité entre police et gendarmerie éclate au grand jour et les policiers attaquent les gendarmes.
    A l’heure où les policiers de la BAC gazent des enfants sur un manège, et confient l’enquête sur l’attaque de Geneviève Legay à Nice par un CRS à la femme du commandant qui a donné l’ordre d’attaquer, on doit défendre les gendarmes qui disent la vérité et qui font preuve d’honneur et de droiture.
    J’appelle tous les #giletsjaunes et leurs soutiens à soutenir ce gendarme qui dit la vérité contre la police qui est majoritairement responsable des violences contre les manifestants.
    Également à ce que la gendarmerie soit chargée des enquêtes contre les policiers accusés de violences policières. 
    Nous ne faisons plus confiance à la police.