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magouille et compagnie - Page 1133

  • Jean-Yves Le Gallou : « La vraie question, aujourd’hui, est celle du Grand Remplacement, le terme “immigration” est dépassé ! »

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    À quelques jours du débat à l’Assemblée nationale sur la politique migratoire, Emmanuel Macron appelle les parlementaires de sa majorité à « regarder en face » le sujet de l’immigration. Durcissement de ton dû à une réelle prise de conscience du pouvoir politique ?

    Voici la réaction de Jean-Yves Le Gallou dans les colonnes de Boulevard Voltaire

    Pendant le pot de rentrée des parlementaires de la majorité, Emmanuel Macron a assuré vouloir regarder en face le sujet de l’immigration.
    Est-ce une bonne nouvelle ?

    C’est surtout de l’enfumage. En même temps qu’il dit cela, il explique que la France est un pays d’immigration. C’est faux ! En tout cas, s’il y a eu des immigrés, c’était des immigrés d’origine européenne et non pas des gens d’Afrique noire, du Maghreb ou d’ailleurs. C’est une première erreur.
    Ensuite, il parle d’asile. Le droit d’asile est tout à fait détourné. Indépendamment de cela, il y a 260 000 entrées légales chaque année. C’est déjà un problème.
    Le terme immigration est aujourd’hui dépassé. Nous assistons plutôt à un phénomène d’invasion. Si on ne change pas radicalement de politique, le risque est de voir les Européens et les Français de souche devenir très rapidement minoritaires dans leur propre pays. Ce n’est évidemment pas Macron qui va changer radicalement de politique. Il est là dans une opération d’enfumage comme il a su le faire jusqu’ici.

    Dans les pas de Gérard Collomb, Emmanuel Macron a reconnu que la lutte contre les communautarismes était une priorité. Il a même parlé de sécession à l’égard de la République dans certains quartiers. C’est une avancée même si on a l’impression qu’ils mettent toujours un quart de siècle avant de se saisir du problème.

    Il n’y a rien de nouveau là-dedans. Mais il n’y a surtout aucune volonté de régler le problème. La première chose à faire serait de libérer la parole et de supprimer les lois liberticides. Or, monsieur Macron veut en rajouter. D’ailleurs, il en rajoute déjà une chaque année et on va bientôt avoir la loi Avia.
    Il faudrait ensuite supprimer les subventions aux organismes communautaristes. Or, tout ce petit monde vit de subventions publiques, de l’Union européenne, de l’État, des régions, des départements et des communes. Si on ne fait pas cela, on ne fait rien ! C’est un leurre.
    On va probablement focaliser le débat sur des questions périphériques et anecdotiques de façon à divertir l’opinion et à lui faire croire qu’on fait quelque chose. Il ne peut y avoir de changement dans ce domaine qu’un changement radical de politique, avec un arrêt total de l’immigration, des subventions aux associations immigrationnistes et le rétablissement de la liberté de parole sur ces questions-là.

    Dans son allocution, Emmanuel Macron a très clairement dit que le seul opposant sur le terrain était le Rassemblement national. Il faut confirmer cette opposition, car ce sont les Français qui l’ont choisi.
    Ces propos sont assez peu croyables dans la mesure où c’est Emmanuel Macron qui avait organisé cette confrontation unilatérale entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella. Comme si finalement, hors du Rassemblement national, il ne tolérait aucune autre forme d’opposition…

    Je ne sais pas si c’est ce que cela veut dire. De plus, Marine Le Pen n’est pas aussi claire qu’elle devrait l’être sur la question de l’immigration. On est aujourd’hui passé à un autre stade. La vraie question est celle du grand remplacement.
    On doit réellement nommer le problème. Accepte-t-on ou non le grand remplacement ? Accepte-t-on ou non d’être remplacé par d’autres gens venus d’autres territoires et d’autres civilisations ?
    Toutes les autres questions et les débats sur le communautarisme sont complètement dépassés.
    Le communautarisme résulte tout simplement du fait que des gens qui viennent de civilisations étrangères et d’autres religions continuent de les pratiquer chez nous.
    Sous les pommiers on trouve des pommes, les Africains africanisent et les musulmans islamisent. C’est la réalité de la question. Parler du communautarisme revient à prendre les conséquences au lieu de s’attaquer aux causes.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/215542/jean-yves-le-gallou-la-vraie-question-aujourdhui-est-celle-du-grand-remplacement-le-terme-immigration-est-depasse/#more-215542

  • "Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste"

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    Par Bernard Antony :

    Sans avoir attendu ses dernières déclarations sur l’immigration, on pourrait évidemment observer qu’Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste ; s’évertuant à se positionner au mieux par rapport à la concurrence, celle de Marine Le Pen, qu’il croit habile de privilégier, assuré qu’il se croit de pouvoir ainsi remporter un nouveau mandat présidentiel. Comme si le scénario du 14 mai 2017 pouvait fatalement se reproduire.

    Or, depuis son élection, non seulement Macron n’a pas rien fait pour juguler l’immigration, mais il a tout fait pour l’encourager !

    Inutile ici de rappeler dans le détail des chiffres accablants. Citons seulement celui des titres de séjour, légaux, délivrés en 2018 : 255 000 ! Et nul ne sait exactement celui des migrants illégaux, mais bien supérieur à l’évidence. 

    Ainsi se développe, de par la responsabilité de ce funeste président de la République, ce que l’écrivain Renaud Camus a appelé »le grand remplacement », phénomène que j’ai pour ma part, dès 1980, (dans la revue Itinéraires) considéré comme une des deux composantes de ce que je désignais alors comme « le génocide français » : avortement + immigration = génocide.

    Sous des dehors d’affabilité mais en fanatique révolutionnaire sociétal du meilleur des mondes, Macron applique en matière tactique les célèbres directives de Lénine à ses cadres bolcheviques : « un pas en arrière, deux en avant » et encore : « user de tous les stratagèmes… user de ruse, celer parfois la vérité… consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de conciliation et de retraite » (In « La maladie infantile du communisme – pp 31 et 62).

    Son discours récent sur l’immigration n’a donc pas pour but de faire accepter des mesures visant à la réduire mais d’en dissimuler la continuation, et même l’accélération. 

    Autrement dit, l’art mensonger de dissimuler les actes sous des discours contraires. 

    Macron est de fait un activiste complice de toutes les déconstructions : nationales, familiales, sociales, culturelles, religieuses, sexuelles.

    Tout le monde a vu les photos de lui-même et de Brigitte le soir de la fête de la musique à l’Élysée avec leur pote arborant fièrement sur son tee-shirt : « noir et pédé ».

    Macron peut se faire écrire et lire, à des seules fins électorales, les discours les plus contradictoires. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est uniquement sur une France toujours plus socialement décomposée qu’il pourra continuer à exercer son pouvoir pour développer la révolution sociétale nihiliste du grand déracinement. 

    Puissent les Français ne pas le supporter encore longtemps.

    2019 13 JNI 2.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/19/emmanuel-macron-est-surtout-un-indecent-baratineur-narcissiq-6176976.html

  • Racisme? Vous voulez vraiment qu’on en parle?, par Guillaume de Thieulloy

    Lilian Thuram

    Voici des années que, dans ces colonnes, nous nous opposons aux lois liberticides issues de la funeste loi Pleven de 1972 – et, depuis, maintes fois aggravée, y compris abondamment sous l’actuel gouvernement.

    Je conteste résolument que toute «discrimination» soit nécessairement de la «haine».

    Je conteste résolument que le fait d’observer des différences entre les hommes soit nécessairement du racisme – au sens de l’idéologie (profondément de gauche, je vais y revenir) d’une hiérarchisation des races.

    Et je conteste résolument que le parlement soit en mesure de fixer les canons du débat public, en disant le vrai et le faux, ou en prétendant lutter, comme la récente loi Avia, contre une «cyber­haine» jamais définie.

    Il est insupportable que la droi­te traditionnelle qui, par ses racines chrétiennes en particulier, a toujours défendu la thèse d’une unité de l’humanité soit en permanence soupçonnée, par les idéologues de l’anti-racisme, de mépriser «l’autre».

    C’est d’autant plus paradoxal que l’accusateur est souvent issu de la gauche qui promut naguère, sous couvert d’évolutionnisme plus ou moins scientiste et progressiste, le racisme proprement dit – c’est-à-dire la hiérarchisation des races et l’abolition de toute différence de nature entre l’homme et les primates (le Noir se trouvant chez Voltaire, Darwin et quelques autres mentors du merveilleux monde moderne, à mi-chemin entre le chimpanzé et le Blanc).

    Mon opposition radicale, tout à la fois au racisme et à l’idéologie anti-raciste, est l’une des raisons de mon soutien à l’action de l’AGRIF (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne) – parmi d’autres raisons comme la nécessité de lutter dans les prétoires contre le racisme anti-français et les actes anti-chrétiens qui font l’objet, de la part de caste politico-médiatique d’une étrange indulgence.

    C’est assez dire que j’ai savouré cette ahurissante déclaration de Liliam Thuram, footballeur reconverti dans l’anti-racisme: «Il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche. Il est nécessaire d’avoir le courage de dire que les Blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être. C’est quelque chose qui dure malheureusement depuis des siècles.»

    D’abord, j’ignore ce qu’est la «culture blanche». Je connais une culture européenne, une culture française, ou une culture arabe (car, que je sache, les Arabes sont blancs!); pas de culture blanche.

    Même la très gauchiste Licra a toussé en se plaignant, au nom de «l’universalisme républicain», de «l’essentialisation» (quel jargon délectable!) d’un groupe humain.

    Quand Thuram dit que les Blancs pensent être supérieurs, il entretient, volontairement ou non, une confusion néfaste.

    Il parle vraisemblablement du racisme moderne. Or celui-ci ne dure pas depuis des siècles, mais simplement depuis l’évacuation brutale du christianisme hors de l’espace public par les «Grands ancêtres» de la gauche.

    Peut-être aussi parle-t-il de l’esclavage. Mais, alors, il «amalgam» indûment les «Blancs» chrétiens qui, lentement mais sûrement, s’opposèrent à l’esclavage, et les «Blancs» musulmans dont certains le légitiment encore au nom d’une lecture littérale du Coran.

    Est-il besoin d’ajouter que cette insistance sur le racisme blanc permet opportunément d’oublier le racisme anti-blanc?

    La mort de Robert Mugabe, le dictateur du Zimbabwe, responsable de la ruine de son pays, notamment par sa chasse sanglante aux fermiers blancs, aurait pourtant été une bonne occasion d’y réfléchir!

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Ces utopistes de la création monétaire qui font tant de mal à la France !

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    Jacques Myard, dans sa dernière chronique sur Boulevard Voltaire, croit envisageable de relancer l’économie européenne grâce à des investissements qui seraient financés ex-nihilo par la BCE, par le biais des différentes banques centrales des pays membres de la zone euros.

    Ce député, grand patriote, a l’honnêteté de rappeler dans son texte que l’article 123 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne – repris du traité de Maastricht – interdit à la BCE et aux banques centrales des États d’accorder des découverts aux institutions de l’Union et aux Etats membres.
    Pourquoi cet article ? Parce que ce serait sinon la porte ouverte pour tous les gouvernements de l’UE à la facilité, à ne pas pratiquer une saine gestion, à réserver les impôts pour payer les dépenses de fonctionnement, à financer les investissements en faisant tourner la planche à billets des banques centrales. Le risque serait très grand de déclencher une gigantesque inflation, d’accorder des crédits qui ne seraient jamais remboursés à des États en faillite au bord de la banqueroute.

    C’est une idée démagogique qui fait « tilt » et que l’on retrouve très souvent chez certains économistes utopiques de gauche, et chez certains hommes politiques, le plus souvent également à gauche où l’on aime raser demain gratis.
    Au lieu de travailler, de créer des richesses, d’épargner et de financer ainsi des investissements par des emprunts remboursables avec des intérêts, il est tentant d’aller se servir directement dans les banques centrales pour financer les investissements dans un premier temps et les dépenses de fonctionnement dans un deuxième temps. C’est exactement ce que pensent les théoriciens de la politique monétaire moderne.

    Or que voyons-nous aujourd’hui dans la zone euro ? Les limites d’une politique monétariste laxiste (assouplissement quantitatif) avec des taux d’intérêts ridicules de zéro, voire négatifs de la BCE. Dix gouverneurs se sont rebellés en criant : « halte au feu » ! Si la BCE continue à accorder des prêts gigantesques « LTRO » aux banques italiennes en faillite ou demain à la Deutsche Bank, à émettre de nouveau 20 milliards d’euros tous les mois en reprenant ses achats de titres sur le marché obligataire, à ponctionner les banques avec des taux d’intérêt négatifs de -0,5 %, la zone euro court le risque du déclenchement d’une hyper-inflation avec la perte de confiance totale dans la monnaie.

    Et qu’est-ce que « l’assouplissement quantitatif » des banques centrales qui consiste à racheter les obligations souveraines des États sur le marché secondaire des titres émis, si ce n’est justement le détournement scandaleux, dit « non conventionnel », de l’article 123 ci-dessus mentionné du Traité de fonctionnement de l’UE, interdisant les avances aux États ? On s’aperçoit aujourd’hui que détourner cet article ne fonctionne pas, et Jacques Myard semble ne nous proposer rien de mieux que de laisser les banques centrales prêter directement aux États !

    C’est alors que suit la belle envolée la main sur le cœur ! Oui, mais c’est pour la bonne cause !… Pour les investissements ! Eh bien si un État veut consacrer des ressources pour l’investissement, comme un particulier, il doit restreindre son train de vie en diminuant les dépenses publiques et les dépenses sociales (la France,1 % de la population mondiale, mais 14 % des dépenses sociales dans le monde), ce que ne fait justement pas Macron qui ne se préoccupe exclusivement que de réchauffement climatique.

    Le président de l’UE Jean-Claude Juncker a eu la même idée que Jacques Myard, mais il a demandé à ce que les investissements européens d’avenir soient financés par des emprunts avec un faible apport des Régions ou États, par des prêts ou des garanties accordées par la Banque Européenne d’Investissement.

    Contrairement à ce que pensent les économistes utopistes de la création monétaire, pour financer les investissements il faut donc libérer des ressources publiques en diminuant les dépenses publiques et sociales de fonctionnement ou en faisant appel à l’épargne des particuliers sous forme d’émission des obligations. Cette attitude naïve et très dangereuse en matière économique et monétaire est tout à fait comparable au droit de l’hommisme utopique, généreux dans son principe, mais catastrophique dans la réalité en matière d’immigration !

  • ONG en Méditerranée : la propagande immigrationniste ne prend jamais de vacances - Fin

    • Accoutumer l’opinion à l’idée que la poursuite de l’immigration est inévitable

    Le deuxième objectif des opérations organisées par les ONG est de conduire la population de souche à accepter l’idée que l’immigration est de toute façon un phénomène irrépressible.

    Les médias et les politiques répètent les éléments de langage : « Il faut lutter plus efficacement contre les passeurs et contribuer davantage au développement des pays africains. Mais en attendant que des solutions pérennes soient trouvées pour tarir les flux, il convient d’accueillir dignement ces immigrés et de répartir la charge de façon juste entre les différents pays européens, qui partagent les mêmes valeurs humanistes ».

    Ces éléments de langage intègrent désormais un argument supplémentaire, l’écologie, instrumentalisée pour justifier la poursuite et l’accentuation de l’immigration : l’Europe se devra d’accueillir, nous annonce-t-on, les flux inévitables de réfugiés climatiques.

    Le Monde, vecteur de référence de la propagande du Système, délivre doctement les principaux messages. Citons cet éditorial de 2016 : « L’Europe se reconstruira sur ce défi : (…) l’intégration d’une partie du grand flux migratoire qui va marquer ce siècle (…). L’Etat providence devra s’adapter à cette belle et difficile mission qu’est l’intégration (…). Calais illustre ce qui attend les Européens et que leurs responsables politiques pusillanimes se refusent à leur dire : l’immigration ne va pas cesser, elle commence ».

    Les idéologues et militants les plus radicaux du Système vont plus loin encore et poussent leurs pions, afin de préparer l’opinion aux étapes suivantes. On parle de faire sortir de terre, dans les campagnes vides, des villes nouvelles pour y intégrer les migrants (Sophie Wahnich, universitaire). De repeupler grâce aux migrants les villages français désertés (Esther Benbassa, sénatrice). Et même d’avoir moins d’enfants dans les pays riches afin de pouvoir mieux accueillir les migrants (Yves Cochet, ancien député et ancien ministre).

    On voit par là qu’il s’agit moins de convaincre l’opinion que de lui montrer qu’elle devra de toute façon se plier à la poursuite de l’immigration. C’est pourquoi ces opérations de sauvetage comportent une dimension importante de provocation : on nous parle ainsi de naufragés qui fuient la guerre et la famine… et l’on voit débarquer par centaines des hommes jeunes, en pleine santé, souriant à pleines dents. C’est que le Système ne cherche pas à convaincre et à rester crédible. Par la grossièreté même des mensonges, des invraisemblances et des provocations auxquelles il se livre, il vise à tétaniser la population de souche, à lui saper le moral, à lui faire prendre pleinement conscience qu’elle n’a aucune chance d’échapper au remplacement, ni aucun soutien à attendre des dirigeants. Bien loin de chercher à la protéger, la classe dirigeante est l’organisatrice même de l’invasion : lorsqu’elle en aura enfin pleinement conscience, la population de souche aura définitivement versé dans la dépression, la passivité et la résignation. Tel est le sens de ces opérations de sauvetage bidon : contribuer à démoraliser les Français de souche et briser leurs dernières résistances psychologiques.

    • Focaliser l’attention sur la Méditerranée afin d’occulter l’immigration légale et les naissances

    Le troisième objectif du feuilleton des ONG est de focaliser l’attention sur les quelques milliers d’immigrés qui arrivent en Europe par la Méditerranée. Pendant ce temps il n’est pas question de l’immigration légale, qui se poursuit et augmente encore : plus de 250.000 immigrés légaux supplémentaires s’installent en métropole chaque année. Mieux encore, il n’est jamais question des naissances, alors que c’est là que se situe la principe voie du remplacement : 300.000 naissances issues de l’immigration non européenne viennent chaque année s’ajouter au stock (voir cette chronique).

    Les médias, experts et commentateurs des forums téléguidés par le Système, tous présentent les naufrages comme s’il s’agissait en matière d’immigration du problème majeur et presque unique. Or la population de souche n’ignore pas qu’il existe également une immigration légale, notamment liée au regroupement familial. De même elle se doute bien que les naissances issues de l’immigration sont massives. L’occultation de ces phénomènes et la focalisation sur la Méditerranée sont l’un des éléments de la politique de provocation et de mensonge grossier visant à démoraliser la population de souche et à l’entretenir dans son état d’aveuglement volontaire, d’abattement et de résignation.

    Un autre récent éditorial du Monde mérite d’être cité. Après avoir affirmé que le sauvetage en mer était un impératif et procédé à l’invocation rituelle aux « valeurs européennes », Le Monde conclue son édito avec une mauvaise foi parfaitement assumée : « un ensemble de plus de 500 millions de citoyens, vivant dans une zone de prospérité sans équivalent dans le monde, ne peut pas se sentir menacé par l’arrivée d’une quarantaine de réfugiés ayant fui un pays en guerre à bord d’un bateau pneumatique ».

    Comme si tous les Européens étaient prospères… Comme s’il n’y avait qu’un bateau… Comme si les naufragés recueillis par les bateaux des ONG étaient les seuls immigrés arrivant en Europe… Comme si l’Europe n’en comptait pas déjà des dizaines de millions…

    **

    Comme nous l’avons déjà signalé à plusieurs reprises, la radicalité et la mauvaise foi de la propagande qu’il alimente sans un jour de répit sont des indices, parmi de nombreux autres, de ce que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme. Il ne reculera devant rien pour poursuivre et mener à bien sa politique de submersion et de dilution de l’Europe et des Européens dans le grand flux migratoire qu’il organise.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/09/01/ong-en-mediterranee-la-propagande-immigrationniste-ne-prend-jamais-de-vacances/

  • Emmanuel Macron veut que l’UE impose aux Etats des quotas de migrants

    Emmanuel Macron veut que l’UE impose aux Etats des quotas de migrants

    C’est ainsi qu’il faut comprendre le tweet d’Emmanuel Macron :

    Emmanuel Macron
    @EmmanuelMacron

    Sur le sujet migratoire, je crois que nous pourrons, avec la nouvelle Commission européenne, défendre une position commune pour que tous les pays membres de l'Union participent à la solidarité en la matière ou soient, le cas échéant, pénalisés financièrement.

    817 personnes parlent à ce sujet

    C’est pourquoi ses coups de menton sur le sujet de l’immigration ne trompent personne.

    Si Emmanuel Macron a fait exprès d’aller sur l’immigration maintenant (les élections municipales étant dans plus de 6 mois -les dates sont fixées aux dimanches 15 et 22 mars- il aurait pu attendre le 1er trimestre 2020) c’est pour détourner l’attention à l’approche de la manifestation du 6 octobre. Son idée est de faire croire aux gens de droite qu’il s’en préoccupe pour faire passer la pilule sur la bioéthique, l’immigration inquiétant beaucoup cet électorat.

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-veut-que-lue-impose-aux-etats-des-quotas-de-migrants/

  • Après s’être offert des vacances en jet privé, Obama déclare à Greta: «Toi et moi, on forme une équipe»

    Rappel : Cet été, la famille Obama s'est offert des vacances de rêve sur le yacht des Clooney, voyageant également en hélicoptère et en jet privé, d'abord en France, puis en Italie.
    Très écologique comme chacun peut le deviner. On ne parle ici que des vacances de l'été 2019. Je vous laisse imaginer le reste.
    "Avignon est en émoi ! Hélicoptères, gardes du corps, jet privé
    L’ancien président américain Barack Obama et sa famille sont arrivés dans le sud de la France pour des vacances sous le soleil du Midi."
    Elle.fr / Rtl.fr
    "Après le sud de la France, place à l'Italie.
    La famille Obama s'offre une parenthèse en Italie, où elle a rejoint Amal et George Clooney (en jet privé encore une fois), qui possèdent une villa à Laglio, au bord du lac de Côme. 
    Un cortège de dix voitures parti de l'aéroport de Milan-Malpensa et escorté par la police est arrivé vers 14h30 dans le petit village transalpin, situé non loin de Chiasso."
    People.bfmtv.com / Voici.fr / 20min.ch / Lafiva.com
    Ou comment un manipulateur nous prend ouvertement pour des imbéciles avec l'aide d'une presse orientée.
    Pour un individu de gauche, il suffit simplement de s'afficher avec la greluche du moment et de lancer quelques phrases percutantes pour tromper les plus stupides.
    **********
    "Personne n'est trop petit pour avoir un impact et changer le monde, alors faites tout ce que vous pouvez", a affirmé la célèbre militante suédoise lors de cette rencontre.
    Il voit en elle "l'une des plus grandes défenseures de notre planète".
    L'ancien président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé mardi sur Twitter reçu la jeune égérie de la lutte pour le climat Greta Thunberg à Washington, où elle est actuellement en visite après avoir traversé l'Atlantique à bord d'un voilier zéro émission carbone.
     
    Bfmtv.com

    Rappels concernant les autres "stars" de la gauche :

    Après avoir milité pour les migrants, Richard Gere profite de son yacht de luxe, entouré de jolies filles et de champagne

    Le prince Harry épinglé pour ses nombreux voyages en jet privé alors qu'il assène sa morale écologique

    Canton de Genève : La socialiste Anja Wyden Guelpa a beaucoup coûté en déplacements.

    lesobservateurs.ch
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/apres-setre-offert-des-vacances-en-jet.html
  • L’hypocrisie sur la GPA

  • Emmanuel Macron est un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste

    Emmanuel Macron est un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste 

    De Bernard Antony :

    Sans avoir attendu ses dernières déclarations sur l’immigration, on pourrait évidemment observer qu’Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste ; s’évertuant à se positionner au mieux par rapport à la concurrence, celle de Marine Le Pen, qu’il croit habile de privilégier, assuré qu’il se croit de pouvoir ainsi remporter un nouveau mandat présidentiel. Comme si le scénario du 14 mai 2017 pouvait fatalement se reproduire.

    Or, depuis son élection, non seulement Macron n’a pas rien fait pour juguler l’immigration, mais il a tout fait pour l’encourager !

    Inutile ici de rappeler dans le détail des chiffres accablants. Citons seulement celui des titres de séjour, légaux, délivrés en 2018 : 255 000 ! Et nul ne sait exactement celui des migrants illégaux, mais bien supérieur à l’évidence.

    Ainsi se développe, de par la responsabilité de ce funeste président de la République, ce que l’écrivain Renaud Camus a appelé »le grand remplacement », phénomène que j’ai pour ma part, dès 1980, (dans la revue Itinéraires) considéré comme une des deux composantes de ce que je désignais alors comme « le génocide français » : avortement + immigration = génocide.

    Sous des dehors d’affabilité mais en fanatique révolutionnaire sociétal du meilleur des mondes, Macron applique en matière tactique les célèbres directives de Lénine à ses cadres bolcheviques : « un pas en arrière, deux en avant » et encore : « user de tous les stratagèmes… user de ruse, celer parfois la vérité… consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de conciliation et de retraite » (In « La maladie infantile du communisme – pp 31 et 62).

    Son discours récent sur l’immigration n’a donc pas pour but de faire accepter des mesures visant à la réduire mais d’en dissimuler la continuation, et même l’accélération. 

    Autrement dit, l’art mensonger de dissimuler les actes sous des discours contraires.

    Macron est de fait un activiste complice de toutes les déconstructions : nationales, familiales, sociales, culturelles, religieuses, sexuelles.

    Tout le monde a vu les photos de lui-même et de Brigitte le soir de la fête de la musique à l’Élysée avec leur pote arborant fièrement sur son tee-shirt : « noir et pédé ».

    Macron peut se faire écrire et lire, à des seules fins électorales, les discours les plus contradictoires. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est uniquement sur une France toujours plus socialement décomposée qu’il pourra continuer à exercer son pouvoir pour développer la révolution sociétale nihiliste du grand déracinement.

    Puissent les Français ne pas le supporter encore longtemps.

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-est-un-indecent-baratineur-narcissique-faisant-une-mediocre-politique-de-marketing-electoraliste/

  • Elles n'existaient pas "avant" : depuis les scélérats décrets Chirac de 76, les 750 "ZUS"...

    Voici les 751 ZUS, joliment (?) appelées Zones urbaines sensibles, comme on dit "incivilité" pour des coups ou une tentative de viol, comme on dit "emprunter" au lieu de voler un deux roues, comme on dit "jeune(s)" pour ne pas donner un prénom africain/maghrébin etc... etc...

    Il s’agit des quartiers sensibles de France où règnent la délinquance, les revendeurs de drogue, les armes et les islamistes, bref les "zones de non-droit" (joli, là aussi, non ?), répertoriées ville par ville, département par département...

    Et, depuis des décennies, l'Etat et le Système ont gaspillé des milliards dans des plans bidons, allant de la simple (re)peinture des cages d'escalier à des stages dits de formation mais qui n'apportent aucune formation ni aucun emploi...

    Ce sont ces milliards qui manquent aux Pompiers, à la Santé (Urgentistes, infirmier(e)s...), aux Policiers, à tout le monde, à toute la France...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/