magouille et compagnie - Page 1164
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Il y a douze ans, le traité de Lisbonne enchaînait l'Europe dans les fers du mondialisme
À l'heure où, par sa victoire éclatante dans les urnes, le Premier ministre britannique Boris Johnson vient de confirmer que le brexit aurait bien lieu et que la décision du peuple anglais serait respectée, il est utile de se souvenir qu'Il y a tout juste douze ans, le 13 décembre 2007, était signé le funeste traité de Lisbonne, ratifié par le Parlement français réuni en Congrès à Versailles le 4 février 2008 et entré en vigueur le 1er janvier 2009. -
Brexit : une victoire sans appel – Journal du vendredi 13 décembre 2019
Brexit : une victoire sans appel
Jeudi, le premier ministre britannique, Boris Johnson, a remporté une majorité absolue lors des élections législatives. Une victoire par K-O qui ouvre la voie au Brexit, après plus de 3 ans d’incertitude.
Grève : le calme avant la tempête ?
Après une semaine d’agitation autour du mouvement social avec deux manifestations d’ampleur, l’intervention d’Edouard Philippe et le ralliement de la CFDT. Les principaux acteurs se jaugent avant la mobilisation du 17 décembre.
Dopage dans le sport : des sanctions à deux vitesses
Alors que la Russie a été exclue de toutes compétitions sportives internationales pendant quatre ans, d’autres pays semblent plutôt épargnés par l’agence mondiale antidopage. C’est notamment le cas de la France où de grosses affaires ont encore éclaté cette année.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/brexit-une-victoire-sans-appel-journal-du-vendredi-13-decembre-2019
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Jordan Bardella (RN) : « Nous continuerons à combattre cette réforme des retraites, si Marine Le Pen est élue, elle la retirera » (Vidéo)
Jordan Bardella, député européen et vice-président du Rassemblement National était l’invité de Jean-Jacques Bourdin pour BFMTV et RMC. Sur la question de la réforme des retraites, il déclare « Nous continuerons à combattre cette réforme, si Marine Le Pen est élue, elle la retirera ».
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YouTube annonce de nouvelles règles pour lutter contre le “harcèlement”. Vers toujours plus de censure ?
Le 11 décembre 2019, YouTube a annoncé plusieurs changements dans ses règles et produits dans le but de mieux lutter contre le harcèlement, parmi lesquelles :
– L’interdiction non seulement des menaces explicites, mais aussi des menaces voilées ou implicites. Les contenus qui simulent un acte de violence envers une personne ou les paroles qui suggèrent qu’un acte de violence physique pourrait survenir en font partie.
– La suppression des contenus qui humilient des personnes en raison de leur appartenance à une origine ethnique, une identité de genre ou une orientation sexuelle. Cette règle s’applique à tous, individus privés, créateurs YouTube et officiels.
– Le durcissement du règlement du Programme Partenaire YouTube afin d’être plus sévère envers ceux qui adoptent les comportements inappropriés répétés sur plusieurs vidéos ou commentaires, alors que chaque vidéo prise séparément n’enfreint pas nos règles. Les chaînes qui sont régulièrement à la limite d’enfreindre les règles de YouTube concernant le harcèlement seront suspendues, elles ne pourront donc plus gagner d’argent sur YouTube. Si le comportement malveillant persiste, YouTube pourra prendre des mesures plus strictes et envoyer des avertissements ou même clôturer la chaîne.YouTube précise que les modifications apportées à ses règles, qui sont décrites plus haut, seront également appliquées aux commentaires. Le nombre de commentaires supprimés devrait donc encore augmenter dans les prochains mois.
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Contre la censure Facebook : une première victoire venue d’Italie
Présent – Depuis quelques mois, les médias sociaux se sont mis aux ordres de la pensée unique. Au nom de « leurs valeurs » (la liberté d’expression n’étant visiblement pas du nombre), ou pour se conformer aux nouvelles dispositions légales (loi Avia, en France) prétendant lutter contre la haine sur les réseaux sociaux, ceux-ci ont multiplié les actes de censure. Présent en a été la victime à deux reprises, pour avoir dit du bien des jeunes identitaires qui avaient déployé une banderole dans les Alpes. Mais le tribunal civil de Rome vient de condamner Facebook pour censure illégale. Ce n’est qu’un début, car cette condamnation fera jurisprudence, et ceci au niveau européen.
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Bienvenue chez les clowns
Comme annoncé depuis plusieurs jours Édouard Philippe a donc dévoilé, c'est le mot du jour, le projet et les arbitrages présidentiels en matière de réforme des Retraites. Devant le prétendu Conseil économique, social et environnemental, il s'est ainsi attaché à démontrer la justice des futurs critères de la sacro-sainte répartition.
Le moins que l'on puisse en dire a été développé par Laurent Joffrin. La situation ridicule, dans laquelle le pouvoir s'est engouffré, lui donne des ailes et lui permet d'écrire avec brio, et pour une fois de manière pertinente dans Libé, sous le titre "Philippe la boulette" :"Saluons le tour de force. Édouard Philippe fait un grand discours pour tenter d’apaiser le mouvement contre la réforme des retraites : il réussit à monter tout le monde contre lui."
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Et 400 de plus...
La France va accueillir prochainement 400 demandeurs d'asile actuellement présents en Grèce.
"La France va ainsi aider la Grèce à faire face à l'augmentation des flux migratoires" a déclaré l'Ambassadeur de France à Athènes, Patrick Maisonnave.Aider la Grèce en transvasant son trop plein de clandestins vers notre Pays est une façon comme une autre d'ouvrir grand les portes de l'Europe à l'ingression planétaire conformément à l'idéologie dominante et aux consignes de la haute finance internationale.Ambassadeur de France, Maisonnave ? Non! Porteur de valise des passeurs et sémillante hôtesse d'accueil de la migrance planétaire. Un accueil dont ses patrons de l'Elysée, de Matignon, du Quai d'Orsay et de la place Beauvau sont, comme le furent leurs prédécesseurs, les gentils organisateurs pour la subdivision France du grand empire mondialiste. -
Crise des frontières : la France, pays le plus attractif pour les migrants extra-européens ?
Par Paul Tormenen, juriste ♦ En cet automne 2019, la France est devenue le premier pays européen pour le nombre de demandes d’asile. Plus généralement, les arrivées de clandestins en Europe sont en forte hausse par rapport à l’année dernière. Plusieurs facteurs y contribuent, comme les départs facilités de migrants de Turquie et des départs plus nombreux de Libye.
Mais la cause première de ces flux migratoires est la politique laxiste des institutions européennes et de certains pays européens, qui entretiennent un appel d’air permanent à l’immigration clandestine. La France se singularise par une politique particulièrement permissive en la matière. En prétendant trouver des solutions, les institutions européennes et certains pays européens ne font qu’accroître une immigration dont ils font par ailleurs la promotion.Le contexte
Peu après ladite « crise des migrants » qui a culminé en 2015, les médias et une grande partie de la classe politique nous ont répété en boucle : « La crise migratoire est derrière nous» (1). L’évolution récente du nombre d’arrivées de clandestins en Europe, en particulier en France, nous prouve le contraire.
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Jacques Sapir – Grèves : «La colère va bien au-delà des retraites»
Réforme phare voulue par Emmanuel Macron, le passage à un système de retraite par points et la suppression des régimes spéciaux sont loin de faire l’unanimité.
Mais au-delà de ces mesures, c’est toute la politique économique et sociale de l’exécutif qui semble contestée. Un an après le début du mouvement des Gilets jaunes, la grève du 5 décembre lancerait-elle l’« acte 2 » de la mobilisation sociale ?Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Henri Sterdyniak, cofondateur des Économistes atterrés et chercheur à l’OFCE, Nicolas da Silva, maître de conférences en économie à Paris 13, spécialiste de la santé et de la protection sociale, et Stéphane Sirot, historien du syndicalisme et des mouvements sociaux, professeur à l’université de Cergy-Pontoise.
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Philippe Martinez avait appelé à voter Macron alors qu’il connaissait son programme sur les retraites !
La France entière a entendu, le 5 mai 2017, dans les médias, le patron de la CGT Philippe Martinez déclarer : « Je souhaite que Marine Le Pen fasse le score le plus bas possible et que Macron fasse le score le plus haut possible. »
Cette prise de position au second tour de la présidentielle, totalement surprenante venant de ce leader syndicaliste, était soutenue par cet argument : « On dit aucune voix pour le FN et on incite les citoyens à aller voter. »
Quand on appelle ainsi à voter clairement pour un candidat, cela suppose qu’on sera en capacité d’assumer politiquement les actes de celui-ci s’il est élu. Mieux : cela subodore qu’on a lu le programme du candidat et qu’on le valide sans rechigner.