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magouille et compagnie - Page 1167

  • Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    D’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :

    […] Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction. Macron s’en rend-il compte ? Le voilà lancé à corps perdu dans la reconquête de son pouvoir , alors que ses conseillers les plus proches, ceux qui l’ont accompagné dans sa prise du pouvoir, le quittent les uns près les autres et que l’étrange Benalla dont nul ne sait au juste quel était le statut, sinon qu’il était un proche des plus proches, se trouve aujourd’hui en prison, son impunité ne pouvant résister à tant de mensonges et de passe-droits éhontés. Il avait des connivences dans tout l’entourage de Macron, jusqu’au sommet des institutions ! Qu’est-ce donc que la macronie ? Qu’est-ce que l’Élysée sous Macron ? Les sénateurs ont osé poser la question. Le gouvernement, du coup, les poursuit de sa vindicte. La macronie a cassé la société française, elle a procédé par effraction. Toute l’astuce de cette bande, de ses sbires et de ses sicaires, fut de se servir du dégoût des Français pour se hisser eux-mêmes au pouvoir et mieux les rejeter ensuite, et toujours en les culpabilisant.

    Pauvres Gilets jaunes ! Que peuvent-ils espérer sinon d’être dénigrés, associés à tous les vices et les crimes ? À quoi sert leur révolte ? À diviser encore plus les Français et sur ces divisions à favoriser une stratégie électorale gagnante où Macron espère rejouer au plan européen la même partie qui l’a porté au pouvoir en France. Voilà des mois que ce stratagème prétendument démocratique est décrit dans ces colonnes ! Il se réalise sous nos yeux. Et peu importe que ce ne soit qu’à 25 % des voix ! L’important est de créer des clivages : progressistes européens et nationalistes rétrogrades !

    Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est-il agressé dans la rue par un islamiste et lui-même précise-t-il qu’il sait fort bien le sens de cette agression et qu’il ne convient donc pas de tomber dans le piège de pareille provocation, rien n’y fait. Des partis politiques à bout de souffle, des politiciens cyniques, des journalistes sans foi ni loi qui ont laissé la gangrène de l’islamo-gauchisme dévorer la société française, en profitent pour se refaire une virginité de bon aloi et reprendre leur rôle de professeurs de morale. Avec l’idée maintenant de criminaliser l’antisionisme ! Le sionisme n’est-il pas un nationalisme ? Comme l’islam, un vecteur du nationalisme arabe ? Alors, ces nationalismes devraient donc être sacralisés ? Et seul sera voué à l’exécration par la République le nationalisme français ? Qui ne comprendrait que le problème est mal posé ? Ah, oui, pauvres Gilets jaunes !

    Maintenant leur sort sera de servir de repoussoir. Le mécanisme électoral est tel qu’aucune réaction du corps national ne peut aboutir. Seulement, la société se délite. Quant à l’Europe, elle éclate. Les intérêts divergent comme partout dans le monde. Les dernières rencontres internationales ne l’ont que trop montré, que ce soit à la conférence sur la sécurité du 16 février dernier à Munich ou encore à Varsovie. Les États-Unis suivent leur ligne implacablement et l’annoncent imperturbablement. La Chine pareillement. L’Europe n’est qu’une superstructure qui ne vit que pour elle-même et pour ses stipendiés ; elle n’a pas de politique commune ; elle en aura de moins en moins. On en est aujourd’hui à se lancer des insultes par dessus les frontières entre nations-sœurs comme l’Italie et la France. Nul ne sait ce que va faire l’Angleterre ni demain l’Allemagne. Et Macron prétend jouer le dresseur de fauves dans ce cirque ? Il a tout simplement perdu le sens : « Quem vult Jupiter perdere, dementat prius ». Macron, en dépit qu’il en ait, n’est pas Jupiter. Il ferait bien de se méfier.

    https://www.lesalonbeige.fr/notre-regime-nest-plus-quun-regime-de-haine-le-pouvoir-devient-une-faction/

  • Une évidence : aux européennes, RN, LR et DLF devraient se trouver du même côté !

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    La troisième voie est toujours difficile. C’est apparemment celle choisie par François-Xavier Bellamy : être sur l’Europe, entre ceux qui veulent une Europe fédérale et ceux qui veulent une Europe des États-nations, entre fédéralistes et souverainistes, pour une Europe repensée et remise sur la bonne voie. Il semble logique que sur l’avenir du continent dans le cadre des élections européennes, on ait ces trois choix.

    Et pourtant, la tête de liste des Républicains a évoqué une autre alternative beaucoup plus pertinente : soit transformer, soit transmettre, et ce choix-là dépasse largement celui de l’Europe pour se situer au niveau de la civilisation et de chacune des nations qui y participent. Cette opposition est celle du progressisme et du conservatisme. Même si, comme dans son parti, le mot fait peur, même si on a brandi en tout temps, de l’UNR à LR, en passant par le RPR, le totem du progrès, même si on a constamment souhaité des réformes nécessaires, la transmission du bien commun, de « l’héritage indivis », pour parler comme Renan, demeurait prioritaire et les réformes n’avaient pour but que de rendre la conservation plus solide. Par exemple, les réformes économiques devaient améliorer la compétitivité de la France pour lui donner les moyens de demeurer une grande puissance indépendante. La différence entre la droite et la gauche repose sur ce clivage : la droite veut transmettre et la gauche veut transformer.

    La droite, c’est la vie, qui évolue, mais qui repose d’abord sur sa transmission de génération en génération. La gauche, c’est au contraire, sous d’apparentes bonnes intentions, la destruction des conditions mêmes de la vie. La droite, c’est la famille et la priorité de la vie des enfants à naître. La gauche, c’est l’individu et le bon plaisir de celui-ci face aux générations futures. Tout se tient : la droite, c’est l’héritage, et la gauche, c’est sa captation au profit d’un État dépensier à court terme. La droite, c’est la recherche de l’excédent en période favorable, de manière à garantir l’avenir, comme le fait Singapour, ce modèle du conservatisme, avec deux fonds souverains appuyés sur des excédents budgétaires et non sur des richesses du sous-sol. La gauche, c’est l’endettement de la facilité pour redistribuer dans l’immédiat sans prévoir les conséquences à long terme. L’exemple du Venezuela, ruiné et endetté jusqu’au cou, malgré ses gigantesques ressources pétrolières, et phare aujourd’hui éteint de la révolution bolivarienne, c’est l’anti-Singapour absolu !

    La gauche est pour l’égalitarisme en marche constante, comme si l’inégalité n’était pas une dimension irréfragable de la vie qui ne se développe que par la compétition et la protection. La droite reconnaît l’inégalité, mais ne la prend que comme un levier pour assurer le bien commun de la nation, en rendant celle-ci plus compétitive et, par là même, plus capable de protéger les plus faibles. On voit donc que l’essentiel, pour la droite, est de maintenir les foyers de vie que sont la famille et la nation : la famille qui transmet la vie et l’éducation du mode de vie ; la nation dont l’État garantit la protection de ses membres, la transmission et l’accroissement du bien commun. Si l’initiative individuelle, la libre entreprise, la propriété, une fiscalité raisonnable et un État centré sur les missions régaliennes favorisent la santé économique d’un pays, c’est à l’État de le protéger contre les dangers extérieurs de toute nature et d’assurer un ordre juste à l’intérieur. Il n’y a rien de plus contraire à ces impératifs que de déléguer à un « machin » supranational et technocratique la souveraineté qui appartient à la nation et est exercée par l’État. Or, l’Europe des progressistes est celle d’une foule solitaire issue des familles déconstruites, dont les États ne sont plus à même d’assurer la compétitivité ou de transmettre l’identité civilisationnelle face à l’immigration de remplacement.

    Tel est donc le choix binaire des élections européennes entre ceux qui appellent « progrès » notre disparition programmée et les conservateurs qui sont les véritables progressistes, parce que seuls eux préparent l’avenir… Face à ce choix, les trois principales listes de droite (RN, LR et DLF) devraient se trouver du même côté !

    Christian Vanneste

    http://www.bvoltaire.fr/une-evidence-aux-europeennes-rn-lr-et-dlf-devraient-se-trouver-du-meme-cote/

  • Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    D’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :

    […] Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction. Macron s’en rend-il compte ? Le voilà lancé à corps perdu dans la reconquête de son pouvoir, alors que ses conseillers les plus proches, ceux qui l’ont accompagné dans sa prise du pouvoir, le quittent les uns près les autres et que l’étrange Benalla dont nul ne sait au juste quel était le statut, sinon qu’il était un proche des plus proches, se trouve aujourd’hui en prison, son impunité ne pouvant résister à tant de mensonges et de passe-droits éhontés. Il avait des connivences dans tout l’entourage de Macron, jusqu’au sommet des institutions ! Qu’est-ce donc que la macronie ? Qu’est-ce que l’Élysée sous Macron ? Les sénateurs ont osé poser la question. Le gouvernement, du coup, les poursuit de sa vindicte. La macronie a cassé la société française, elle a procédé par effraction. Toute l’astuce de cette bande, de ses sbires et de ses sicaires, fut de se servir du dégoût des Français pour se hisser eux-mêmes au pouvoir et mieux les rejeter ensuite, et toujours en les culpabilisant.

    Pauvres Gilets jaunes ! Que peuvent-ils espérer sinon d’être dénigrés, associés à tous les vices et les crimes ? À quoi sert leur révolte ? À diviser encore plus les Français et sur ces divisions à favoriser une stratégie électorale gagnante où Macron espère rejouer au plan européen la même partie qui l’a porté au pouvoir en France. Voilà des mois que ce stratagème prétendument démocratique est décrit dans ces colonnes ! Il se réalise sous nos yeux. Et peu importe que ce ne soit qu’à 25 % des voix ! L’important est de créer des clivages : progressistes européens et nationalistes rétrogrades !

    Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est-il agressé dans la rue par un islamiste et lui-même précise-t-il qu’il sait fort bien le sens de cette agression et qu’il ne convient donc pas de tomber dans le piège de pareille provocation, rien n’y fait. Des partis politiques à bout de souffle, des politiciens cyniques, des journalistes sans foi ni loi qui ont laissé la gangrène de l’islamo-gauchisme dévorer la société française, en profitent pour se refaire une virginité de bon aloi et reprendre leur rôle de professeurs de morale. Avec l’idée maintenant de criminaliser l’antisionisme ! Le sionisme n’est-il pas un nationalisme ? Comme l’islam, un vecteur du nationalisme arabe ? Alors, ces nationalismes devraient donc être sacralisés ? Et seul sera voué à l’exécration par la République le nationalisme français ? Qui ne comprendrait que le problème est mal posé ? Ah, oui, pauvres Gilets jaunes !

    Maintenant leur sort sera de servir de repoussoir. Le mécanisme électoral est tel qu’aucune réaction du corps national ne peut aboutir. Seulement, la société se délite. Quant à l’Europe, elle éclate. Les intérêts divergent comme partout dans le monde. Les dernières rencontres internationales ne l’ont que trop montré, que ce soit à la conférence sur la sécurité du 16 février dernier à Munich ou encore à Varsovie. Les États-Unis suivent leur ligne implacablement et l’annoncent imperturbablement. La Chine pareillement. L’Europe n’est qu’une superstructure qui ne vit que pour elle-même et pour ses stipendiés ; elle n’a pas de politique commune ; elle en aura de moins en moins. On en est aujourd’hui à se lancer des insultes par dessus les frontières entre nations-sœurs comme l’Italie et la France. Nul ne sait ce que va faire l’Angleterre ni demain l’Allemagne. Et Macron prétend jouer le dresseur de fauves dans ce cirque ? Il a tout simplement perdu le sens : « Quem vult Jupiter perdere, dementat prius ». Macron, en dépit qu’il en ait, n’est pas Jupiter. Il ferait bien de se méfier.

    https://www.lesalonbeige.fr/notre-regime-nest-plus-quun-regime-de-haine-le-pouvoir-devient-une-faction/

  • Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ? – Journal du vendredi 1er mars 2019

     
    Société / Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ?

    Alors que le grand débat d’Emmanuel Macron se termine dans deux semaines, les Gilets Jaunes, redynamisés par l’acte XV, entendent maintenir la pression sur l’exécutif. Moins médiatisés mais toujours présents, les mécontents s’inscrivent résolument dans la durée.

    Politique / Européennes : coup de jeune ou coup de com ?

    Dans trois mois les électeurs français et européens seront appelés aux urnes pour élire leurs députés européens… en France le scrutin fait la part belle à une nouvelle génération en tête d’affiche, entre renouvellement du personnel politique et coup de com’ politique.

    Santé / Glyphosate, l’arbre qui cache la forêt

    Alors que les alertes sanitaires et les plaintes se multiplient contre le glyphosate, le produit de Monsanto est devenu le symbole de la lutte contre les herbicides. Malgré son risque pour la santé, le glyphosate pourrait être l’une des solutions les moins dangereuses.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/societe-gilets-jaunes-un-acte-xvi-pour-se-relancer-journal-du-vendredi-3-mars-2019

  • Censure sur les réseaux sociaux : Musellement de Tommy Robinson

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Ce mardi, la censure a encore frappé ! Facebook a supprimé le profil privé ainsi que la page publique de Tommy Robinson, journaliste dissident britannique. La décision du réseau social a été suivie de près par Instagram et Twitter, qui l’ont également banni. Avec de nombreux « suiveurs », dont plus d’un million sur sa page Facebook, son audience commençait manifestement à déranger.

    Que serait-il reproché à Tommy Robinson ?

    Ce journaliste s’applique depuis plusieurs années à dénoncer sur les réseaux sociaux inlassablement l’islamisation de la Grande-Bretagne.

    Comment Facebook justifie cette censure ?

    « Lorsque les idées et les opinions franchissent une certaine ligne et révèlent un discours haineux qui peut créer un environnement d’intimidation et d’exclusion pour certains groupes de la société », cela implique que la plate forme « agisse ». Voici ce qu’a indiqué le réseau social dans un communiqué. La page de Tommy Robinson a été jugée comme se livrant à la « haine organisée » à l’égard des musulmans. Facebook a donc décidé de discriminer et de bannir un dissident politique en raison de ses opinions.

    Et ce n’est pas la première fois que la bien-pensance frappe Tommy Robinson !

    Et oui, rappelons que le journaliste avait déjà été condamné en mai 2018 à treize mois de prison pour « entrave à la justice ». Il avait filmé et diffusé sur Internet des images de l’ouverture du procès de l’affaire des viols collectifs de Telford, impliquant des populations d’origines immigrées et des jeunes filles anglaises blanches de banlieues pauvres. Il a depuis été libéré sous caution en attente de son procès en appel. Il avait reçu le soutien de personnalités politiques telles que le fils de Donald Trump, Steve Bannon son conseiller, ainsi que de milliers de citoyens britanniques qui avaient manifesté dans les rues pour demander sa libération.

    https://fr.novopress.info/

  • Dénonçant banquiers, hauts fonctionnaires et médias, Patrick Sébastien met le Gilet jaune (VIDEO)

    Dénonçant banquiers, hauts fonctionnaires et médias, Patrick Sébastien met le Gilet jaune (VIDEO)©GEORGES GOBET / AFP
    Un pendentif représentant un Gilet jaune.

    L'une des premières voix du paysage artistico-médiatique à avoir apporté son soutien aux Gilets jaunes, l'animateur a rencontré un groupe de manifestants avant un spectacle. Il a livré son analyse du mouvement, proposant de «changer de méthode».

    Devant le Théâtre de Périgueux, en Dordogne, Patrick Sébastien a rencontré un groupe de Gilets jaunes le 23 février, avant de se produire sur scène. Il a réaffirmé son soutien au mouvement citoyen et à même enfilé le symbolique vêtement sous les applaudissement de la quarantaine de manifestants présents.

    Répondant à un journaliste de Sud Ouestl'animateur a expliqué les raisons de son soutien au mouvement citoyen et a livré son analyse de la situation : «On ne s'en prend pas aux vrais responsables. Parce que ce n'est pas forcément les politiques. Parce qu'il y a une petite caste là [...] qui était là sous Chirac, sous Mitterrand. C'est des banquiers, c'est des hauts fonctionnaires et c'est des mecs des médias.»

    Estimant que l'un des principaux enjeux du mouvement était de «dégager ceux-là», Patrick Sébastien a ajouté : «Pour l'instant on va continuer à gueuler.»

    Auteur: Sud Ouest
  • I-Média n°239 – 500M€ pour Le Parisien, Europe Impunité, Climato-fanatisme

    Cadeau à 500 millions pour Le Parisien

    De 2012 à 2017, Le Parisien a reçu plus de 65 millions de subventions publiques.
    Mais cela n’aura pas suffit… Le propriétaire du quotidien, LVMH, a récemment injecté plus de 500 millions d’euros dans Le Parisien.

    Zapping

    Zemmour a-t-il menti sur l’exode juif en Seine-Saint-Denis ? Les « fact checkers » tentent de le prouver à tout prix, y compris à celui de leur crédibilité.
    Autre polémique de la semaine, le « hijab » sportif vendu par Décathlon.

    Europe impunité

    Europe 1 a fiché illégalement plus de 570 000 personnes souhaitant intervenir sur son antenne. Saisi de ces graves infractions, la CNIL a cependant gardé le silence.

    Tweets

    Tommy Robinson a vu ses comptes Facebook et Instagram censurés par l’entreprise américaine.
    Pendant ce temps, l’Europe continue à se modifier. Dernier exemple en date : la ville d’Anvers.

    Greta Thunberg, climato-fanatisme

    La jeune suédoise engagée pour le climat est saluée par tous les médias. De la COP24 au bureau de Macron en passant par Davos, la fascination est totale.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n239-500me-pour-le-parisien-europe-impunite-climato-fanatisme

  • Les gilets jaunes s’invitent au dîner du Club Le Siècle

    Club privé des élites dirigeantes françaises (politiques, industriels, patrons de presse, technocrates, banquiers) fonctionnant par cooptation, le club Le Siècle organise chaque mois un dîner au cœur de Paris. L’occasion de tractations et de mises au point pour les membres de cette section française de l’hyper-classe mondialisée.

    Aujourd’hui présidé par Patricia Barbizet, Le Siècle préserve le secret autour de ses alcoves. Le peuple ne sera donc pas mis au courant des conclusions des discussions entre Édouard de Rothschild, Serge Dassault, Jacques Attali, Guillaume Pepy, Alain Minc, Denis Olivennes, Stéphane Boujnah, Nicole Notat, Denis Kessler, Claude Tendil, Laurence Parisot, etc. mais gageons que les Gilets jaunes sont bien présents dans les esprits de ces « élites »…

    https://www.medias-presse.info/les-gilets-jaunes-sinvitent-au-diner-du-club-le-siecle/105522/ 

  • Rioufol remet Praud à sa place ... Et nous, nous disons qu'on ne gagne rien à appeler « fascisme » n'importe quoi !

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    « Arrêtez de traiter les gilets jaunes de fascistes ou d’antisémites M.Pascal Praud »

    Le fascisme est spécifiquement un phénomène et un système politiques italiens de la 1ère moitié du XXème siècle. Rien d'autre. On a pris la sotte habitude de l'employer à tort et à travers pour désigner un adversaire quelconque - n'importe lequel - à gauche et parfois aussi à droite. Ce ne sont que des formules de propagande simpliste sans valeur ni rigueur intellectuelle ou politique.  Et ça ne fait qu'ajouter à la confusion des idées et des esprits dans le débat public. Trivialement exprimé, c'est du n'importe quoi infantile.

    Il arrive que l'utilisation outrancière et accusatrice du mot fascisme atteigne des paroxysmes qui suscitent une colère fort légitime.

    Écoutez donc la courte vidéo qui suit où Ivan Rioufol remet vigoureusement en place le très médiocre Pascal Praud. Il a fort bien fait !  LFAR

      Merci à Rémi Hugues de sa transmission.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Ascoval, Ford, Arjowiggins, Air France : chronique d’une industrie qui dégringole – Journal du jeudi 28 février 2019

     

    Ascoval, Ford, Arjowiggins, Air France : chronique d’une industrie qui dégringole

    Les usines ferment et se ressemblent. En une semaine, l’industrie française vient d’essuyer des pertes considérables avec son lot d’emplois perdus… Face à cela, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie, brille par son incompétence et sa naïveté.

    Usage du LBD : Macron contre le Conseil de l’Europe

    Critiqué depuis de nombreuses semaines, le lanceur de balle de défense s’est attiré les foudres du Conseil de l’Europe. Malgré ses positions très européistes, Emmanuel Macron est allé à l’encontre des recommandations de l’instance européenne.

    Pakistan/Inde : crispation régionale dans le Cachemire

    Escalade de violence entre l’Inde et le Pakistan dans le Cachemire… des tensions qui ravivent une rivalité ancienne entre deux puissances possédant l’arme nucléaire et qui implique également le puissant voisin chinois.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/ascoval-ford-arjowiggins-air-france-chronique-dune-industrie-qui-degringole-journal-du-jeudi-28-fevrier-2019