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magouille et compagnie - Page 1553

  • LA PRISON, HAUT LIEU DU MAL FRANÇAIS ! (1)

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    Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition. La prison est un haut lieu du mal français. Depuis des décennies, plus précisément depuis le court passage de la droite au pouvoir entre 1986 et 1988, et le moment plus succinct encore où elle fut vraiment de droite, les gouvernements français ont renoncé à voir et à mesurer le problème de l’incarcération. Madame Taubira n’a fait que pousser cet aveuglement jusqu’à son paroxysme idéologique. La lâcheté du monde politique et du microcosme au pouvoir, hauts fonctionnaires et communicants, plus préoccupés des carrières que du sort des victimes ou du rétablissement d’une hiérarchie efficace des sanctions, a répondu à deux impératifs : réduire la dépense et obéir à l’idéologie dominante, la culture de l’excuse.

    La prison était donc considérée comme une solution honteuse et trop coûteuse, accusée de tous les maux. On fustigeait, par vagues, sa surpopulation. On critiquait son statut d’école du crime. On surveillait de près ses fautes au travers d’un « Contrôleur des lieux de privation de liberté » en dénombrant les suicides, en pointant les conditions indignes de détention. On cherchait les substitutions à l’enfermement, tellement plus économiques sous prétexte d’être plus humaines. On voulait, avant tout, améliorer le confort de la détention en favorisant la cellule individuelle, en permettant le maintien des liens affectifs et intimes, en songeant, récemment, à faciliter les conversations téléphoniques.

    Les agressions subies par le personnel pénitentiaire, méprisé, insuffisamment nombreux, et surtout coincé entre les détenus difficiles et une hiérarchie détachée de la réalité quotidienne, ont brisé l’écran de protection. Le ministre Nicole Belloubet, hué par les surveillants, a payé pour les petits marquis de notre République, les énarques qui ont traité cette question méprisable avec dédain et dont la caste calamiteuse pour le pays est incarnée par le sieur Macron.

    Il faut d’abord établir les faits : contrairement à ce que disent les médias, la France n’emprisonne pas à tour de bras. Elle est laxiste dans ses décisions judiciaires et plus, encore, dans leur exécution. La surpopulation carcérale ne provient pas d’un trop grand nombre d’incarcérations mais d’un nombre insuffisant de places de détention et d’une lenteur des procédures judiciaires. Si la France était au-dessus de la moyenne européenne pour la sur-occupation, avec 113,4 détenus pour 100 places, en 2015, alors que la moyenne de l’Union européenne était de 94,1, en revanche, son taux d’incarcération est l’un des plus faibles : 98,3 pour 100.000 habitants. La moyenne européenne est de 115,5. Le Royaume-Uni est à 146,4 pour le nombre des détenus pour 100.000 habitants, mais avec un taux de 97,3/100 d’occupation des places. Le calcul est simple : la France punit moins, mais n’a pas assez construit de cellules !

    Autre défaut majeur : la lenteur de notre système judiciaire. Ce sont les maisons d’arrêt qui accueillent les détentions provisoires et les condamnés à moins de deux ans qui sont surpeuplées. La comparaison avec les Pays-Bas est éclairante : ce premier de la classe a un taux d’occupation de 76,9/100 et un taux d’incarcération de 53,1 pour 100.000… Mais les décisions d’emprisonnement sont de 252, contre seulement 130 pour 100.000 en France parce que la Justice néerlandaise est plus rapide et, loin d’emprisonner moins, emprisonne moins longtemps. En France, non seulement la Justice est lente, mais les exécutions de ses décisions sont plus lentes encore : 100.000 personnes qui devraient être en prison n’y sont pas. Si le laxisme des juges voire le gauchisme de certains peuvent être mis en cause, la triste vérité, c’est surtout que la France ne consacre pas à la Justice les moyens nécessaires. Son budget pointe au 23e rang sur 28 en Europe : c’est une honte ! Aussi, l’augmentation des postes du personnel pénitentiaire annoncée (1.100 emplois sur quatre ans) est-elle un emplâtre sur une jambe de bois. La Justice a besoin d’une révolution et non d’une ou plusieurs réformettes.

    http://www.bvoltaire.fr/prison-haut-lieu-mal-francais-1/

  • Prisons islamisées : vers le blocage total

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    9035-20180124.jpgAlors que quasiment pas un jour ne s’écoule sans que des agents pénitentiaires soient ici ou là attaqués et blessés par des détenus islamistes depuis le 11 janvier et l’agression de trois surveillants de la prison de Vendin-le-Vieil par l’islamo-terroriste Ganczarski (Présent du 16 janvier), leurs syndicats réagissent.

    Dimanche soir encore, deux surveillants de la prison de Longuenesse ont été sauvagement agressés par un détenu armé d’un pied de table métallique. Gravement blessés, ils ont immédiatement été transférés à l’hôpital. Deux jours auparavant, ce sont deux gardiens de la prison de Borgo, où les détenus ont le droit de circuler librement, qui ont été violemment attaqués et blessés à coups de couteau par un détenu islamiste. Témoin de la scène, un de leurs collègues racontera même sur BFMTV comment l’agresseur leur a porté « des dizaines de coups de couteau » avec la volonté flagrante de les tuer et confiera travailler en permanence avec « la peur au ventre ».

    Un sentiment général, rapporté par un autre gardien dans un édifiant reportage récemment publié par Paris Match, sous le titre « Les prisons françaises sous la coupe des islamistes ». En effet, a confié cet agent, « avant, chaque matin, j’avais peur de trouver un gars pendu dans sa cellule », mais maintenant ce que je redoute c’est « qu’on m’égorge, qu’on me décapite, qu’on me plante une lame dans le dos. Au nom de l’islam et de Daesh. Tous les jours, en allant travailler, j’ai cette peur qui me bouffe le ventre ».

    Pour un « Guantanamo à la française »

    Une situation inadmissible, qui a valu au garde des Sceaux de se faire copieusement huer vendredi à Borgo, et face à laquelle les syndicats exigent du gouvernement une réaction ferme. Or, une fois de plus, la réponse de celui-ci n’a pas été à la hauteur.

    Alors que, depuis 2015, le nombre d’islamistes incarcérés a littéralement explosé et que l’on s’attend au retour de centaines de « revenants », pas question un seul instant de créer un « Guantanamo à la française », comme le proposait en 2016 le député LR Georges Fenech. Et encore moins de rétablir la peine de mort pour les terroristes. Pour seule réponse, le ministère a proposé la création de 1 100 emplois de surveillants en quatre ans, « dont une première tranche de 100 emplois dès 2018 », ainsi que de vagues mesures censées améliorer la sécurité des gardiens et un « régime de détention défini » pour les « détenus terroristes et radicalisés ».

    Qualifiant ces propositions de « poudre aux yeux », l’Ufap-Unsa, la CGT-Pénitentiaire et FO-Pénitentiaire ont unanimement rejeté samedi ce projet d’accord et ont appelé à un « blocage total » des 188 établissements en France « à partir de 6 heures lundi ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Bilan 2017 de la politique immigrationniste en Ile-de-France : 436 000 titres de séjour délivrés

    Voici un extrait du courrier du Préfet de la région d'Ile-de-France, Préfet de Paris et du Préfet de Police, Préfet de zone de défense et de la sécurité de Paris, relatif au bilan 2017 de la politique immigrationniste en Ile-de-France :

    Capture d’écran 2018-01-22 à 20.39.10Capture d’écran 2018-01-22 à 20.40.00

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tranquillement, Macron explique au Royaume britannique qu'il n'y a pas de démocratie en République française

    6a00d83451619c69e201bb09eb55cf970d-250wi.pngDans un entretien à la BBC diffusé dimanche, Emmanuel Macron estime que les Français auraient "probablement" voté pour une sortie de l'UE, s'ils avaient eu le même choix que les Britanniques. 

    Dans le cadre du sommet franco-britannique auquel il a participé jeudi dernier, Emmanuel Macron a accordé une interview à la BBC. Le chef de l'Etat revient ainsi sur le Brexit qui sera effectif en mars 2019. Et alors qu'il évoque le "risque" d'un référendum où un peuple doit simplement choisir entre "oui" ou "non" dans "un contexte très compliqué", le journaliste lui demande si le vote des Français aurait pu être le même que celui des Britanniques en 2016. "Oui", lâche le Président, qui semble toutefois hésiter.

    "Probablement... Dans un contexte similaire". "Mais notre contexte était très différent. Donc je ne veux pas pas faire le moindre pari, mais j'aurais définitivement combattu très durement pour gagner". "Je pense que c'est une erreur de juste demander 'oui ou non' quand vous ne dites pas aux gens comment améliorer la situation ou leur expliquer comment l'améliorer". 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron : « charivari » en perspective

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    Par Jacques Myard, membre honoraire du Parlement, maire de Maisons-Laffitte, président du Cercle nation et république 

    Voici le « Billet d’ambiance » que vient de diffuser Jacques Myard, membre honoraire du Parlement, maire de Maisons-Laffitte et président du Cercle Nation et République.

    Les bien-pensants, les médias célèbrent avec gourmandise l’activité tous azimuts de Macron-Jupiter, soulignant sa volonté de faire ce qu’il a dit, de faire bouger les choses et de surmonter les blocages de la France. En fait, Macron ne fait pas bouger les choses, il les agite. On est très loin des solutions pérennes, et l’’opinion publique risque fort de vouer aux gémonies le roi de la « com’ » quand elle se sera rendu compte d’une réalité bien éloignée des promesses.

    Le président de la République a adopté une politique risquée, consistant à vouloir résoudre « en même temps » :

    • L’apprentissage ;
    • L’indemnisation du chômage élargie aux professions libérales, sans avoir de financements ;
    • La suppression de la taxe d’habitation (TH), sans avoir le début du financement pour compenser les ressources des collectivités privées de cette taxe ; une ministre annonce la création d’un nouvel impôt mais, dès le lendemain, Bruno Le Maire dit le contraire… ;
    • La suppression des APL dont le coût est supporté par les bailleurs sociaux qui se retrouvent en équilibre précaire, ce qui va engendrer une baisse de production des logements sociaux. Belle politique de Gribouille !
    • La réforme territoriale en région parisienne qui provoque critique sur critique, quelle que soit la solution envisagée ;
    • La réforme de la carte judiciaire, sujet très sensible pour les avocats de province qui tirent souvent le diable par la queue ;
    • Le défi des migrants illégaux qu’il promet d’expulser alors qu’il est quasi impossible de le faire en raison de la complexité des lois française et européenne ;
    • Les prisons et la colère des gardiens face aux intégristes islamistes qu’il faudrait expulser ;
    • Les zadistes qui veulent en découdre, forts de leur victoire à Notre-Dame-des-Landes suite à la capitulation en rase campagne de l’État-Macron. Il fallait sauver l’icône Hulot ! Cette décision est catastrophique car elle consacre le non-respect de la loi ;
    • La mise au pas de la presse « qui doit être tenue à distance » et la limitation de la liberté d’expression au nom des « fausses nouvelles » ; est-ce une autocritique d’E. Macron ?
    • Les travailleurs détachés dont la question reste entière malgré les cris de victoire, car elle ne peut se résoudre dans le cadre des traités qui consacrent la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union européenne. Macron-Jupiter va-t-il avaler son chapeau de l’euro-béatitude ?
    • En visite en Afrique, E. Macron bat la coulpe de la repentance et qualifie à nouveau la colonisation de crime contre l’humanité. Et de flatter son auditoire en prônant le retour des œuvres d’art africaines, ouvrant ainsi, en totale irresponsabilité et au grand dam des conservateurs de musée, la Boîte de Pandore.

    Le prétendu nouveau monde de Macron se déchire au contact rugueux des réalités malgré une « com’ » sans entraves. Mais Macron-Jupiter, toujours dans les nuages de l’Olympe, affirme sans rire qu’il détient sa légitimité de son peuple.

    Oyez, bonnes gens, braves sujets, réjouissez-vous d’avoir un tel monarque !

    Macron-Jupiter tombera de son piédestal et les Français se rendront compte que la Macronmania est une maladie mortelle, dont ils guériront, en s’en mordant les doigts, dans un beau charivari.

    Jacques Myard 19/01/2018

    Source : Minurne Résistance

    https://www.polemia.com/macron-charivari-en-perspective/

  • Message de La Marche pour la Vie à Emmanuel Macron.

  • Caste énarchique d’intouchables vs parias et çudras: la révolution c’est pour quand?

    delacroix-la-liberte-guidant-le-peuple-gros-plan.jpgChristophe Castaner, le délégué général de La République en marche, a accordé un entretien au très macronien, américanomorphe  (et très creux) magazine Society, dans lequel il prend les habits de la  Pythie pour délivrer ses oracles  politiques. M. Castaner ne se contente pas de se féliciter de ce que Christian Estrosi, qui fut son adversaire aux régionales de 2015,  ait rallié le camp du progrès  en apportant son soutien à Emmanuel Macron. Une évolution qui pourrait s’expliquer, dit-il, par le choc de l’attentat islamiste qui a ensanglanté la promenade des Anglais le 14 juillet 2016  ou la récente paternité du maire de Nice. Nous sommes là dans l’analyse de très haut niveau… Sur le même mode,  l’ex élu socialiste prédit la disparition du FN « durablement affaibli »,   et de Marine : « C’est fini, le FN incarné par elle ne reviendra pas »,  « le calcul de Wauquiez », qui incarne « les mêmes idées » que le Front National, mais « avec une veste rouge », « part de la même analyse ». « (Laurent Wauquiez)  ne cherche pas seulement à piller les idées du FN, il veut faire une OPA sur un mouvement affaibli (…).  Au fond, le seul positionnement qui lui reste, c’est celui du populisme et de la critique systématique.  »

    Populisme le grand mot est lâché !  Et c’est sous ce vocable se voulant infamant, que les adversaires de l’Europe des patries ont englobé les  critiques et propositions formulées hier par Marine, lors de sa conférence de presse à Paris,  pour dénoncer le vote conjoint de l’Assemblée Nationale et du Bundestag sur la proposition de résolution d’un nouveau Traité de l’Élysée dont on fêtait le cinquante-cinquième anniversaire. En présence de Nicolas Bay vice président  de l’ENL , de Bruno Gollnisch,  de plusieurs de nos députés (Dominique Bilde, France Jamet, Christelle Lechevalier, Philippe Loiseau, Dominique Martin, Joëlle Mélin, Bernard Monnot, Myléne Troczinki), la présidente du FN l’a rappelé qu’il  n’y a pas d’intérêt à  «  célébrer ce traité dont la ratification par l’Allemagne fut un mauvais procédé contre la France et une trahison de la vraie idée de l’Europe ! »

    Au moment de sa signature  «  le Traité de l’Élysée était une réponse du chef de la France libre à la volonté de domination américaine sur le Vieux Continent. Le Général De Gaulle savait que les États-Unis utiliseraient la construction européenne pour vassaliser l’Europe.  » Or,  cette vassalisation au nouvel ordre mondial, à l’idéologie hors sol étant aujourd’hui plus que jamais  effective, « face à (cette) Europe carcérale, nous défendons une Europe conforme à l’histoire et aux valeurs de notre continent, soucieuse de la diversité de ses nations, respectueuse de ses peuples et garante de la légitime souveraineté de ses Etats (…). Notre projet reposera sur la défense de la souveraineté française, et non la dictature de la Commission. Il reposera sur le choix des peuples libres et non sur celui des technocrates soumis aux groupes d’intérêts. »

    «  Nous défendons une Europe à la carte, dans laquelle les pays viendront librement s’allier sur telle ou telle politique, tel ou tel projet. Notre Europe est celle des nations et des libertés. Nous l’avons dénommée l’Union des Nations Européennes. Cette vision, comme notre groupe au Parlement européen le démontre, nous la partageons avec de nombreux partis d’Europe, et certains sont même au pouvoir, je pense bien évidemment au FPÖ ou peut-être bientôt aux Italiens ! »

    Une Europe des peuples libres à laquelle Emmanuel Macron a redit hier son opposition à l’occasion de l’accueil hier à Versailles  d’environ 140 dirigeants de multinationales dans le cadre du sommet Choose France (Choisissez la France). Une opération visant à promouvoir l’investissement des groupes étrangers sur notre sol, but on ne peut plus louable, mais qui a offert au chef de‘l’Etat l’opportunité de  réaffirmer son obsession :  ce sont les populismes qui menaceraient la prospérité économique de notre continent.

    C’est en tout cas ce que rapportait  ce matin  au micro de Radio classique Nicolas Dufourcq, à la tête de la BPI, la  Banque publique d’investissement  (la banque de l’État) depuis sa création parFrançois Hollande en janvier 2013. Un jugement qui ne brille pas par sa finesse, un empressement a relayer les mantras d’une caste eurolibérale qui a pourtant particulièrement abîmé la France et paupérisé les Français depuis qu’elle règne au sommet de l’Etat,  qui n’est pas pour nous surprendre. Il est vrai en effet que la vision du destin de la France qui est celle de M. Dufourcq est singulièrement  pauvrette et désincarnée; une nation réduite  à sa dimension horizontale et marchande dont il enthousiasmait  il y a quelques mois :  « La France est en train de devenir une start-up nation »  

    Les macronistes nous taxerons encore de populisme mais le peuple est aussi en droit de manifester sa colère à la lecture des articles consacrés  au train de vie de la Banque publique d’investissement dont Marianne se faisait l’écho reprenant un article du Point.  « (Elle fut)  sévèrement mis en cause dans un rapport de la Cour des Comptes, pour ses frais de taxi (64.000 euros en 2015), ses voitures de fonction  (6,6 millions d’euros rien qu’en 2015),  ses hausses de salaires…

    « Le train de vie de la direction est en effet sévèrement remis en cause (…). Les augmentations des rémunérations de certains cadres dirigeants paraissent tout particulièrement contestables dans leur principe lit-on de fait dans le rapport (…) Parmi les mieux lotis, 7 des 8 directeurs exécutifs, qui ont vu leur salaire augmenter de 40% entre 2012 et 2015. D’autres, 28 cadres de la BPI-Investissement, l’une des entités de la banque, ont été augmentés de 23% pour la seule année 2015, après une hausse de 15 % en 2014. Leurs rémunérations étant par conséquent passées de 201.000 euros en moyenne en 2012 à 245.000 en 2015. D’autres encore, dans l’entité financement de la BPI, ont pu apprécier le bond fait par leur rémunération annuelle : 149.000 euros aujourd’hui pour 42 d’entre eux contre 107.000 en 2012 (…). Mon comité exécutif est en moyenne moins rémunéré que celui de la SNCF, La Poste et EDF, se défend  (…)  Nicolas Dufourcq. Sauf que, précise le Point, certaines de ces hausses de rémunération visent à compenser “la perte” d’avantages de plusieurs ex-cadres de la Caisse des dépôts, alors même que ceux-ci, (l’attribution d’action gratuites), ont à l’époque été dénoncés par la Cour des Comptes car la Caisse est une entité publique.»

    Populistes qui ont aussi le mauvais gout de contester les huit  nouveaux impôts et taxes mis en place par le gouvernement du républicain en marche Edouard Philippe avec le soutien des  députés godillots de la majorité présidentielle et autres constructifs. Populistes qui ne seront peut-être  pas surpris par la lecture du livre du journaliste de l’ObsVincent Jauvert, sur « Les Intouchables d’Etat ». Le Parisien évoque un livre choc   « les salaires mirobolants des cadres de Bercy, les petits services entre amis au sein de cette élite administrative, les conflits d’intérêt multiples et croissants entre public et privé », la présence de lobbystes au sommet de l’Etat.  Cette  enquête  « n’est pas la première à lever le voile sur des pratiques choquantes, voire scandaleuses. » Oui,  « mais voilà, à l’heure où l’on annonce un Nouveau Monde qui a déjà emporté la vieille politique, on aurait pu attendre que cela change. »

    Et de rappeler que « dans son livre-programme «Révolution, le candidat Emmanuel Macron fustigeait les hauts fonctionnaires qui se sont constitués en caste . Il promettait même d’en finir avec leurs  protections hors du temps . Or rien de tel ne s’est passé, pour l’heure, sous sa présidence. Et pour cause, lui-même et son Premier ministre sont issus de ce moule (ENA, inspection des finances pour le premier, Conseil d’Etat pour le second) et promeuvent une certaine technocratie. Le livre de Jauvert est d’ailleurs sous-titré  Bienvenue en Macronie. » Tout change mais rien ne change :  Une technocratie sûre d’elle même et dominatrice, une énarchie largement  acquise au mondialisme , une caste d’intouchables privilégiés qui se gave sur la bête, dont les membres  se voient comme des brahmanes détenteurs du savoir, légitimes pour  dicter leurs ordres  aux parias de la France périphérique et invitant les  çudras patriotes  à rentrer sous terre et à la fermer. Franchement, combien  de temps  cela peut-il  encore durer avant que ça pète?

    https://gollnisch.com/2018/01/23/caste-enarchique-dintouchables-vs-parias-cudras-revolution-cest/

  • La loi sur les "Fakes news" est une loi de censure au profit de la grosse presse

    6a00d83451619c69e201b8d2d28b23970c-250wi.pngC'est l'aveu de Florian Bachelier, Député LREM de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, Premier Questeur de l'Assemblée Nationale, dans cette tribune publiée dans Ouest France et intitulée "Les Fake News portent atteinte à la souveraineté de l'Etat" (rien que ça) :

    "Les fake news constituent une menace sérieuse pour nos sociétés démocratiques en faussant pernicieusement la discussion publique. Qu’il n’y ait aucune ambiguïté : les fake news ne sont pas des opinions dissonantes, telles qu’elles ont toute leur place en démocratie. Elles procèdent de la seule volonté de tromper insidieusement. Nous le constatons aujourd’hui avec la concomitance du succès croissant des théories complotistes et de la défiance envers les médias traditionnels. À l’extrême droite allemande, l’AfD joue de ce trouble et fait circuler ses propres « réinformations » pour corriger cette Lügenpresse - la presse menteuse - un terme employé par les nazis pour les journaux d’opposition.

    À l’heure où l’Otan reconnaît le cyberespace comme un domaine d’intervention militaire au même titre que la mer et la terre, il faut saisir l’ampleur du danger. La fake news est aussi loin du canular que la Gerboise bleue, le premier essai nucléaire français, d’un pistolet en plastique : c’est une arme de déstabilisation massive. Elle est à même de porter atteinte à la souveraineté de l’État. C’est pour cela que le président de la République a souhaité une nouvelle loi et des mesures fortes pour combattre les fake news

    Les médias ont certes déjà proposé des initiatives de décodage qui aident le lecteur à séparer le bon grain de l’ivraie. Honorable, légitime, cette entreprise seule semble toutefois impuissante à enrayer la propagation.

    En 2018, la loi sur la presse datant de 1881 n’est plus adaptée à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, où les flux d’informations sont constants, sans frontière ni intermédiaire. C’est précisément parce que la liberté de la presse demeure un des droits les plus précieux que la loi doit évoluer.

    La nouvelle loi devra donc tout d’abord permettre d’agir en temps réel. La réponse doit être plus véloce que la menace en agissant directement sur les hébergeurs de fake news : 24 heures de partages sur les réseaux sociaux peuvent déjà être désastreuses. Il faut en outre pouvoir demander des comptes à ces plateformes et rendre transparents leurs financements. Il faut enfin mettre un terme au lâche anonymat de ceux qui sapent derrière un écran l’exercice de la citoyenneté. Le temps est en somme de nouveau venu de rejeter l’obscurantisme par plus de lumière.

    J’entends la crainte d’un retour sournois de la censure et je comprends ceux qui redoutent que la liberté de la presse et la liberté d’opinion n’en ressortent meurtries. Il n’en est rien. Tout d’abord, parce qu’il ne s’agit pas d’une vérité officielle mais d’une lutte contre la diffusion volontaire de fausses informations, au même titre que la répréhension de la diffamation et l’escroquerie.

    Bien plus, parce que les premiers concernés par ce fléau sont avant tout les journalistes dont la rigueur et le long labeur peuvent être fatalement balayés par l’émission et la transmission industrielles de ces rumeurs trompeuses. C’est pour cela qu’ils seront très largement associés à la réflexion et à la construction de cette nouvelle loi, dans un débat transparent, entre citoyens."

    Il s'agit bien de garantir le monopole de la presse étatique, celle qui est largement subventionnée par l'argent public et qui passe son temps à manipuler l'opinion et à pratiquer la désinformation, selon diverses méthodes dénoncées notamment par Jean-Yves Le Gallou.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bonne nouvelle : Les parodies de mariage en forte baisse en France

    6a00d83451619c69e201bb09eb4184970d-320wi.pngLes chiffres parlent d'eux-mêmes. François Hollande a fait voter une loi pour satisfaire une frange ultra-minoritaire de la population française mais dont les conséquences dramatiques sur la déconstruction de la famille et de la société ne seront reconnues que dans plusieurs années :

    "Selon le bilan démographique 2017 publié par l’Insee, le nombre de mariage entre personnes de même sexe ne cesse de baisser depuis l’année 2014. Sur les 228 000 mariages célébrés en France l’année dernière, 7000 sont des mariages entre personnes de même sexe. On en comptait plus de 10 000 trois ans plus tôt.

    Depuis 2014, le nombre de mariages entre personnes de sexe différent a baissé de 4% alors que le nombre de mariages entre personnes de même sexe a baissé de 33%. On constate par ailleurs une augmentation de 13% du nombres de PACS conclu sur la même période."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/