Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1552

  • Les promesses des oligarques qui font l’UE contre les peuples: depuis Mitterrand (1981) jusqu’à Macron, mêmes discours, mêmes mensonges – Vidéo

    Voici en 5 minutes les promesses et mensonges des oligarques qui font l’Union européenne contre les peuples, depuis François Mitterrand jusqu’à Macron lequel reprend les mêmes promesses sociales pour mieux berner les gogos. Des gogos qui, hélas, oublient ou se renouvellent et veulent encore croire à ces promesses qu’ils imaginent neuves sorties de la bouche d’hommes nouveaux, et s’accrochent à leur malheur que des bonimenteurs leur dépeignent sous les couleurs de l’arc-en-ciel… Quant à l’Europe des nations, il n’en n’est même pas question, puisqu’au contraire c’est ouvertement vers une Union fédérée sous l’autorité Allemande qu’ils nous conduisent.

    Les millions de sacrifiés de 14-18 et de 39-45 qui ont abreuvé les sillons de leur sang probablement impur, ne sont plus là pour hurler aux traîtres!

    De Mitterrand en passant par Fabius, Moscovici (le planqué des banksters de l’UE), Jospin et Jupé (« Jupin »), Dominique nique, nique Straus-kahn, Elisabeth Guigou, l’inénarrable Hollande père spirituel de Macron, qui milite inlassablement pour la cause, et bien sûr Ségolène Royal, Michel Rocard le grand homme de la Gauche, Mélenchon spécialiste des tours de passe-passe, Delors et sa fille Martine Aubry, Benoît Hamon, et bien sûr, Jean-Claude Junker… et tant d’autres nommés ou oubliés, qui tous mangent au râtelier de l’Union Euroligarchique.

    http://www.medias-presse.info/les-promesses-des-oligarques-qui-font-lue-contre-les-peuples-depuis-mitterrand-1981-jusqua-macron-memes-discours-memes-mensonges-video/82126/

  • Le Glyphosate : ennemi public N°1 ou règlement de comptes politico-économiques ?

    Glyphosate-Monsanto-Logo-Cracked-Earth[1].jpg

    Bernard Plouvier

    Une pétition lancée par divers mouvements écologistes d’Europe Unie (plus exactement de l’Europe des économies unies) a pour but déclaré de faire interdire le glyphosate. On s’attend à recueillir un million de signatures… et l’on aimerait savoir qui, parmi ces preux chevaliers de la mobilisation citoyenne, connaît réellement ce produit et les dessous de l’affaire.

    Car, bien plus que de protection de l’environnement, c’est d’une guerre à la fois commerciale et idéologique qu’il s’agit. Les dinosaures éclopés du marxisme et les ex-militants opposés à la guerre du Viêt-Nam repassent le plat, avant de quitter définitivement le théâtre du monde.

    Le glyphosate, c’est ce que tout jardinier connaît, depuis le début des années 1980 en France, sous le nom de Roundup, désherbant cher, mais efficace.

    Au plan chimique, c’est un dérive méthylé & phosphorylé de la glycine (ou glycocolle, soit l’un des acides aminés les plus répandus sur Terre, ubiquitaire dans le monde animal aussi bien que végétal). Il a été synthétisé en 1970, commercialisé timidement en de rares pays l’année 1974, puis aux USA en 1976 et sur l’ensemble de la planète.

    Il s’est très vite imposé comme le meilleur désherbant et le moins toxique. Il a été largement utilisé en épandage aérien pour détruire des plantations de coca.

    Objectivement, aucune étude toxicologique chez l’homme n’a permis de le considérer comme un perturbateur endocrinien ni comme un cancérigène… et au vu de sa formule chimique, l’on n’est guère étonné de ces conclusions.

    Certes, comme une myriade de produits chimiques, cet aminoacide torturé induit des mutations chez les végétaux, déjà exposés aux ultra-violets mutagènes, et chez certaines espèces de bactéries, les rendant moins sensibles à l’une ou l’autre des familles d’antibiotiques.

    L’on n’est pas très étonné qu’un acide aminé méthylé puisse induire des mutations. Les mutations génétiques sont essentiellement liées à l’action des ultra-violets solaires, des corps radioactifs et des agents fixant des radicaux méthyles à l’ADN.

    La très grande majorité de ces mutations s’avèrent neutres : pas plus bénéfiques que nuisibles à l’être animal ou végétal. En outre, la résistance des bactéries aux antibiotiques est un phénomène qui dépend de tant de causes que l’on voit mal pourquoi il faudrait interdire le Roundup plutôt que n’importe quel autre agent à radical méthyle.

    Divers groupes chimiques très puissants, concurrent de celui qui s’est fabuleusement enrichi grâce au Roundup, ont connu d’énormes déboires avec un excellent désherbant qu’il a fallu interdire en 2007 pour cause de toxicité majeure : le Paraquat, commercialisé en 1961. À dire vrai, tous les réanimateurs savaient, dès 1975, que l’ingestion de Paraquat (accidentelle, criminelle ou à but suicidaire) tuait par fibrose pulmonaire aiguë, irréversible. En outre, ce produit (un dérivé de la pyridine) était un toxique du système nerveux central.

    Pourtant, l’on ne fit guère de tapage chez les preux chevaliers de l’écologie et la comparaison entre les deux millésimes – 1975, 2007 – démontre à quel point les directions de la Santé des États ont été très, voire extrêmement, lentes à réagir !

    Le Paraquat était commercialisé par le groupe ICI (Imperial Chemical Industry), puis par le secteur agrochimique (Syngenta) de deux poids lourds : Novartis (groupe suisse, issu de la fusion des groupes Ciba-Geigy et Sandoz) et Astra-Zeneca (Astra, le suédois, et le britannique Zeneca, issu d’ICI)… tous groupes jouissant d’une excellente réputation, d’ailleurs justifiée par la qualité de leurs produits pharmaceutiques.  

    Qui commercialise le glyphosate ? Voilà une bonne question ! C’est, en effet, le galeux Monsanto, ce groupe des USA qui a fabriqué puis vendu à l’US-Army l’Agent orange, défoliant très utilisé durant la guerre du Viêt-Nam, renfermant la même dioxine que celle de l’accident de Seveso qui n’a jamais causé que de l’acné, mais que l’on a accusée de tous les maux, cancers, diabète, mutations… non observés chez les Italiens contaminés, mais qui le seraient chez les Vietnamiens, Laotiens, Khmers, à l’affût de centaines de millions de $ de dédommagements !

    En outre, Monsanto, c’est le groupe spécialisé dans les plantes génétiquement modifiées. On comprend la furie des écologistes professionnels Enfin, et cerise sur le gâteau (empoisonné), Monsanto a été racheté, en 2016, par Bayer, soit un groupe allemand issu du célèbre groupe IG-Farben… qui employa une main d’œuvre en partie tirée des camps de concentration durant le IIIe Reich !

    D’un côté le Paraquat ultra-toxique et toléré sans esbroufe médiatique par nos gentils écolo-verdâtres jusqu’à l’interdiction de 2007. De l’autre, le Roundup, dont la toxicité reste entièrement à démontrer, mais commercialisé par des galeux, des pelés, des maudits !

    Pourtant, il existe une éthique de la science. Ou bien l’on règle de très vieux comptes politiques, ou bien l’on se lance réellement dans une démarche scientifique. Il faut choisir. Le mélange des genres n’a jamais été une bonne affaire pour personne.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Contre la vaccination meurtrière !!!

  • Le gouvernement soutient le financement des terroristes

    6a00d83451619c69e201b7c92e59f3970b-800wi.jpgSébastien Chenu, Député FN du Nord, Conseiller régional des Hauts-de-France, dénonce :

    "Alors que20% des djihadistes français touchaient des allocations envoyées par les familles dans le but de faire « acheminer de l’argent frais » aux djihadistes pour un montant global de 2 millions d’euros, selon un quotidien national, nous avons défendu un amendement visant à supprimer le versement des prestations familiales aux familles des personnes condamnées pour terrorisme.

    Face à ces faits incontestables, la majorité En Marche et le gouvernement sont restés insensibles aux douleurs des victimes et aux conflits sanglants de Daesh considérant que la suppression du versement de ces prestations reviendrait à sanctionner les enfants des hommes partis faire le djihad selon le rapporteur de la loi.

    Alors que les APL baissent, que la CSG et le forfait hospitalier augmentent, et que d’innombrables efforts sont demandés aux Français pour des raisons budgétaires, seuls les élus du Front National étaient présents pour défendre cette mesure d’économie de bon sens."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Hebdo Politique avec le Docteur Gérard Delépine : Agnès Buzyn, VRP des vaccins

  • Danger

    PAR HILAIRE DE CRÉMIERS 

    1841978860.5.jpgL'homme qui est à la tête de la France, n'aime pas son pays. Au mieux, il fait semblant. Pour lui, la France est une nation dépassée. L'Europe seule compte dans son esprit. Il ne cesse de le dire. « Je suis venu vous parler d'Europe, a-t-il déclaré à la Sorbonne. Encore, diront certains. Ils devront s'habituer parce que je continuerai. Et parce que notre combat est bien là, c'est notre histoire, notre identité, notre horizon, ce qui nous protège et ce qui nous donne un avenir. »

    Voilà ce que pense le président de la France. Et il suffit de l'écouter pour se rendre compte que déjà, dans sa conception, la France n'existe plus en tant que nation ; elle n'est plus qu'un legs du passé. Peu lui chaut que les industries françaises disparaissent. Pour lui l'échelle nationale est devenue obsolète et inefficace ; il n'y a plus rien à faire à ce niveau. C'est sa conviction profonde. « La bonne échelle, dit-il, c'est l'échelle européenne ». Tout est dit. Qu'importe qu'Alstom soit récupéré par Siemens. Au contraire ! Il n'y voit aucun inconvénient. Comprenons bien : l'histoire de France, c'est aussi bien l'histoire de l'Allemagne que l'histoire des autres peuples d'Europe. Le seul mal qui les a entachés, c'est le nationalisme. L'identité est commune, commun l'horizon. Tous les programmes qu'il définit à longueur de discours, n'ont de sens que dans ce cadre européen, voire mondial. Il ne conçoit de développement que dans cette vue. Pourquoi des réformes institutionnelles en France ? Pour mieux l'intégrer dans l'Europe, pardi ! Pourquoi des réformes institutionnelles en Europe ? Pour mieux la renforcer et la doter de toutes les prérogatives de la souveraineté !

    Il se dit l'héritier des pères fondateurs. Il en a l'esprit, affirme-t-il ; il veut rompre avec les frilosités et les peurs. Il n'a qu'un ennemi multiforme et qu'il ose nommer : « nationalisme, identitarisme, protectionnisme, souverainisme de repli... ». Il se voit à la tête d'un grand mouvement libérateur ; il anticipe les prochaines élections européennes ; il donne des dates. Tout doit être achevé en 2024. La nouvelle gouvernance européenne sera en place, pense-t-il ; les grands projets, du numérique à la transition écologique, des nouvelles dispositions européennes sur l'enseignement aux techniques les plus avancées du travail, seront dans leur vitesse de croisière ; et la France se sera enfin mise à l'heure de l'Europe. Macron aura rempli son rôle. Il lui restera sans doute à assumer la suite : il n'est pas difficile de deviner de quoi il s'agit. Car il faut bien présider, n'est-ce pas ?

    Le problème, c'est que rien ne se passe comme prévu. Macron aime se comparer à Napoléon. Et, en effet, il a le même défaut. Bainville écrit dans son remarquable Napoléon : « On voit l'idée naître, grandir, s'emparer de l'esprit de l'empereur jusqu'à ce que, selon un penchant qui s'aggrave chez lui, il regarde comme fait ce qui peut et doit se faire puisque sa raison l'a conçu ». Il s'agit de la campagne de Russie. Macron raisonne en politique de cette même façon et, lui, depuis le début ! Il s'obstinera, il le dit. C'est là le danger, le grand danger.

    Les Allemands ont voté ; l'Allemagne n'est plus la même. Macron rêve d'un traité de l'Élysée renforcé quand il n'y a déjà plus de couple franco-allemand. Macron s'imagine que l'Angleterre - il l'a dit - allait revenir dans l'Europe quand le Brexit va devenir définitif. Macron fustige les nations quand l'Espagne se bat pour survivre et que l'Europe attise les divisions. En un mot, Macron est en pleine utopie, comme tous ses prédécesseurs mais plus qu'eux encore, s'imaginant résoudre les impossibles problèmes de leur République en les projetant dans une Europe idéale qui n'a. jamais existé et qui existera de moins en moins. Terrible vérité politique : Macron, sentant la légitimité de son pouvoir déjà se dérober sous ses pieds, part en quête obsessionnelle d'une légitimité « autre », nouvelle, grandiose, imaginée dans un « ailleurs » qu'il façonne en idéal rationnel et enthousiasmant. Patatras ! Le revers sera cinglant. Fasse le ciel que le pire ne survienne pas !

    À quand le chef de l'État dont la légitimité sera suffisante pour n'avoir à aimer, d'abord, que la France. Les autres aussi, mais après. 

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Le couple franco-allemand s'éloigne ... Et l'Europe avec lui 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Procès Merah : la taqiya en action, par Francis Bergeron

    Chard-Procès-Merah-600x378.jpg

    8976-20171028.jpgLe frère du tueur Merah, Abdelkader, a subi son dernier interrogatoire ce mardi. Les enquêteurs avaient trouvé sur son iPod (son baladeur) des fiches audio enregistrées par Al-Qaida.

    Ces fiches expliquent comment le bon djihadiste, quand il est dans la phase de confrontation avec l’ennemi peut et doit se dissimuler, se fondre dans son environnement, pour éviter d’être repéré, intercepté.

    Cette ruse est prônée par le Coran, quand le djihadiste agit dans un environnement de « mécréants ». Cela s’appelle la taqiya. Tous les islamologues connaissent la taqiya, concept qui fait partie de la Charia, tactique de dissimulation de sa foi en vue de la conquête, du djihad.

    Les proches de Merah semblent très familiarisés avec cette pratique. Dans l’enregistrement qu’Abdelkader écoutait en boucle, les recettes de la taqiya sont adaptées à l’action terroriste : « pas de barbe sur les photos des cartes d’identité », « s’adapter au mode de vie local », changer de manière de s’habiller, de coiffure etc. Cela explique par exemple pourquoi, lors des attentats de New York en septembre 2001, les enquêteurs avaient découvert que les kamikazes islamistes semblaient ne pas suivre les préceptes de leur religion, ou pourquoi Fettah Malki, l’armurier de Merah, a prétendu boire de l’alcool. La taqiya (qui n’a rien à voir avec la tequila) autorise et même recommande ces pratiques destinées à tromper l’ennemi.

    Quand le président du tribunal spécial de Paris demande à Abdelkader Merah pourquoi il écoutait ces recommandations, à quel usage il les destinait (vingt heures de cours), Merah frère répond : « Je voulais savoir ce qu’était Al Qaida. On en a beaucoup parlé, mais il y a eu beaucoup de mensonges dans les médias. »

    Le président insiste : quand même, des dizaines d’heures passées à écouter ces recettes pour agir chez l’ennemi en se dissimulant… Est-ce que cela ne va pas au-delà d’« un simple intérêt intellectuel » ? Le frère répond :

    « Je suis musulman. Al-Qaida a un projet d’Etat islamique, je voulais savoir leur méthodologie, leur idéologie, leurs arguments. »

    Réponse cousue de fil vert.

    Un habillage pour éviter une lourde condamnation

    Abdelkader Merah et les autres accusés, la mère, l’armurier Fettah, n’ont visiblement pas cherché à décourager l’assassin. Tout porte à croire qu’ils ont, au contraire, favorisé, supporté son action, qu’ils lui ont prodigué des aides affectives (la mère), matérielles (l’armurier), intellectuelles (le grand frère). Le reste n’étant qu’habillage, taqiya, pour échapper aujourd’hui à une condamnation lourde, pour association de malfaiteurs en vue d’une action terroriste.

    L’avocat du frère Merah est un ténor du barreau, Me Dupond-Moretti. (On a les moyens de se payer les meilleurs avocats, chez les Merah). Son argument en défense consistait à soutenir que si le frère Merah n’avait pas détruit ces enregistrements, c’est qu’il ne pensait pas à mal… Avec un tel argument, toute preuve collectée devient un élément à décharge…

    Verdict dans une semaine, après les plaidoiries.

    Francis Bergeron

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 27 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • HIDALGO LES CUMULE… (2)

    Le-terrible-bilan-du-quinquennat-Hollande-signe-Anne-Hidalgo-La-on-se-plante.jpg

    En réalité, le scandale Hidalgo est loin de s’arrêter là.

    Mais il faut pousser plus avant dans le temps les investigations de Capital car, en réalité, le scandale Hidalgo est loin de s’arrêter là.

    Quand, en vertu des dispositions qui permettent à un fonctionnaire d’être détaché comme adjoint au maire d’une grande ville, Hidalgo n’est plus payée par l’État, à partir de 2003 donc, elle continue néanmoins à bénéficier des droits à l’avancement et à la retraite dans son corps d’origine.

    C’est du fait de ces dispositions qu’elle a pu demander sa mise à la retraite avec autant d’annuités en 2012. Du coup, le cochon de payant, c’est-à-dire le contribuable français, lui verse depuis cette date une pension qu’elle cumule allègrement avec des indemnités de maire, lesquelles, sous différentes formes, atteignent les 9.000 euros mensuels. C’est bien pire que tout ce qui a pu être reproché à Wauquiez récemment !

    Tentant de contre-attaquer, Hidalgo s’enfonce pitoyablement. Que dit-elle ?

    « Élue en mars 2001 et enceinte de son troisième enfant, elle a exercé son droit au congé maternité puis, au retour de son congé maternité, elle a demandé au ministère du Travail de la placer en position de détachement « avec cessation du paiement de sa rémunération, en raison de sa fonction de première adjointe au maire de Paris. » Une demande qui a, dit-elle, été validée par un arrêté ministériel du 7 janvier 2003.

    L’entourage d’Hidalgo, interrogé par LCI, tente d’argumenter un peu plus en précisant qu’en mars 2001, élue conseillère de Paris puis première adjointe, Anne Hidalgo a « poursuivi en parallèle son activité professionnelle ».

    En octobre 2001, elle a pris six mois de congé maternité « car il s’agissait de son troisième enfant ». En mai 2002, indique aussi son entourage, Anne Hidalgo a demandé « à être détachée sans solde en raison de sa fonction de première adjointe », ce qui a été entériné par l’arrêté de janvier 2003. « Elle a évidemment reversé les salaires perçus entre sa demande et l’arrêté », conclut la ville.

    Fadaises !

    Tout d’abord, jusqu’en octobre 2001, Hidalgo était bel et bien en campagne électorale ou élue de Paris tout en émargeant au cabinet de Lebranchu.

    Ensuite, Hidalgo fait mine de croire que son congé maternité aurait comme interrompu son activité au ministère du Travail où elle était revenue besogner. Que nenni ! Elle est partie en congé maternité, payée par le ministère alors pourtant qu’elle n’y travaillait plus depuis longtemps. Rappelons que le fonctionnaire en congé maternité garde son traitement indiciaire (à l’inspection du travail pour ce qui la concerne) et sa nouvelle bonification indiciaire (NBI).

    Sur toute cette période, elle n’a rien reversé.

    Enfin, elle ne dit évidemment rien de l’ancienneté qu’elle a continué à cumuler au ministère tout en étant détachée à la mairie et qui lui a permis de bénéficier d’une retraite généreusement calculée.

    Là où Hidalgo retrouve un sens du droit plus aigu, c’est pour souligner que les « faits sont prescrits » ! Quelle belle défense et quelle merveilleux exemple de bonne foi et de probité !

    À suivre…

    http://www.bvoltaire.fr/hidalgo-cumule-2/

  • SCANDALE : LA CAF A SPONSORISÉ LES TERRORISTES QUI ASSASSINENT NOS ENFANTS

    http://www.bvoltaire.fr/scandale-caf-a-sponsorise-terroristes-assassinent-nos-enfants/