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magouille et compagnie - Page 1554

  • ET SI ON PARLAIT DU BUS RENNAIS DE LA MARCHE POUR LA VIE QUE LES ANTIFAS ONT ATTAQUÉ, BLOQUÉ ET MANQUÉ D’INCENDIER ?

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    Puisque les « fake news » sont un sujet à la mode, on pourrait décider d’en faire la typologie, non ? Il en est une catégorie extrêmement finaude et efficace, qui prolifère totalement incognito et sans qu’on la voie – et pour cause – dans la grande presse. On pourrait aussi l’appeler la « no news », la « circulez-y-a-rien-à voir » : la « fake news » par omission. Et par tri partial de l’information. Si chaque « fake news » s’apparente à une thèse complotiste, elle procède, elle, d’une conspiration bien connue : celle du silence.

    Un cas d’école ? L’attaque, dimanche matin, du car affrété par les Associations familiales catholiques de Vannes et de Rennes, pour rejoindre la Marche pour la vie, tout juste laconiquement relayée par la presse locale.

    Un témoin raconte à Boulevard Voltaire : il est 8 heures, sur le parking derrière l’université de chimie du campus de Rennes. Des familles ont pris place dans le car quand, dans l’obscurité, surgissent des antifas, des militants LGBT, des « jeunes communistes » (mais si, ça existe encore…). Ils constelleront le bus d’autocollants comme autant de signatures !

    Le visage masqué par une cagoule ou un foulard, ils tentent, hurlant des injures et des obscénités, de monter dans le bus. L’un d’entre eux jette, par le marchepied, un fumigène incandescent… qu’un passager a heureusement la présence d’esprit de relancer à l’extérieur. Mais le fumigène a eu le temps de brûler son vêtement et le pull d’une jeune fille, ainsi qu’un siège. L’un des occupants du bus – certains ont 75 ans -, incommodé par les fumées, fait un malaise. Un petit garçon de 9 ans et une fillette de 12 ans sont terrifiés. Des hommes, à l’avant, parviennent à repousser les assaillants vers les barrières que ceux-ci ont dressées tout autour du bus pour le bloquer. Mais ils constatent avec inquiétude qu’une liste avec les noms des passagers a été arrachée et emportée au passage…

    Quatre policiers présents sur les lieux tentent de parlementer sans succès : ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir, disent-ils, et doivent attendre les renforts. Il va ainsi s’écouler trois heures, trois heures durant lesquelles une cinquantaine de « marcheurs pour la vie », interdits de manifester, resteront confinés dans le bus, sous les quolibets et les insultes… pris en photo malgré eux, comme dans un zoo. Ils ne pourront reprendre la route qu’à 11 h 30, sous escorte policière jusqu’à la rocade.

    On imagine le tollé, la déflagration, la bombe atomique dans la presse si un bus rempli de familles musulmanes, de vieillards, d’enfants, en partance pour une marche pacifique et autorisée vers la capitale, avait fait l’objet d’une telle attaque de la part d’identitaires cagoulés et surexcités. Si les vêtements de certains avaient été brûlés. Si l’un d’eux, pris d’un malaise, avait dû être sorti du bus. S’ils avaient dû rester parqués comme des bestiaux durant trois heures, la police se révélant incapable de disperser les trublions. Si les agresseurs étaient repartis tranquillement, sans être inquiétés… Et cette vague d’indignation unanime serait, bien sûr, infiniment légitime.

    Mais le traitement de l’information, en France, n’est pas fonction de la nature des faits mais de celle des victimes. Et il se trouve que les catholiques n’ont, en soi, aucune importance, les informations les concernant aucun caractère de gravité. Sauf, bien sûr, si on peut y trouver matière à les charger, d’une pelletée supplémentaire, de tous les malheurs du monde.

    Et ce sentiment d’impunité est si vrai que les Jeunes communistes 35 ont revendiqué benoîtement leur « action » sur Twitter, se permettant même de corriger au fluo jaune réprobateur, comme une maîtresse d’école, un article du Télégramme de Brestévoquant l’embuscade.

    Pour Marlène Schiappa, les marcheurs pour la vie sont « moyenâgeux et obscurantistes ». Ce ne sont pas eux, pourtant, pour filer le poncif, qui tentent de brûler les sorcières des temps postmodernes.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • Aide aux migrants : que dit la loi et qui sont ceux qui favorisent l’invasion migratoire en France ?

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    En 2017, la France a reçu un nombre record de demandes d’asile. En France, des initiatives se mettent en place multiplient pour aider les migrants, notamment l’hébergement de ces derniers par des particuliers. Mais qu’en dit la loi ?

    Dans ce reportage, France 24 met en avant des militants pro-immigrationnistes tels que Cédric Herrou et présente également le site Infomigrants.net, qui vise à mieux favoriser l’installation de populations immigrées sur notre sol.

  • Douter de la vérité officielle n’est pas du complotisme

    Un flou terminologique dangereux.

    C’est Emmanuel Macron qui, par son discours lors de ses vœux à la presse, a mis la notion de fake news à la une de cette rentrée 2018 :

    On notera qu’il parle de « fausses nouvelles », une expression censée traduire fake news mais qui en conserve le caractère vague, imprécis et attrape-tout.

    Lire la suite sur Causeur

  • Google annonce un renforcement de la censure sur YouTube

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    Les vidéos sont le média le plus apprécié des moins de 35 ans et constituent le cœur de cible aussi bien de YouTube (propriété de Google) qui les héberge que de Facebook qui rémunère les médias pour en produire et les diffuser via sa plate-forme. Pendant longtemps le principe de la neutralité du net a été respecté : les propriétaires des tuyaux s’interdisaient d’interagir avec les contenus. Ce n’est plus le cas en 2018.

    En Allemagne une loi liberticide punit de très fortes amendes les transmetteurs numériques de contenus « contraires à la Constitution ». Google veut maintenant mettre les bouchées doubles pour préserver le gâteau publicitaire de YouTube. Une « enquête » à charge du Times en 2017 avait dénoncé les vidéos « extrémistes » ou propageant des « discours de haine ». Havas Angleterre avait alors suspendu les publicités de certains de ses clients sur Google.

    YouTube : qui veut faire l’ange fait parfois la bête

    Allant plus loin Susan Wojcicki Présidente de YouTube a annoncé le 5 décembre 2017 la nouvelle politique de YouTube. Dans un post de blog assez étonnant et dans un style moralisant très américain elle loue YouTube « qui a éclairé mes enfants » et permis aux activistes d’encourager « le changement social, de mobiliser les protestations, de documenter les crimes de guerre ». En clair YouTube remplit un rôle social et politique positif. Hélas le malin guette car le réseau a vu « de mauvais acteurs exploiter notre ouverture d’esprit pour égarer (mislead), manipuler, harasser et même blesser ».

    Protection du public mais surtout des annonceurs

    Dans cet esprit de croisade contre les démons la charmante Susan a réagi pour « protéger notre communauté contre les contenus extrémistes ou violents ». De juin à décembre 2017 plus de 150.000 vidéos ont été supprimées, « des centaines de comptes fermés et des milliers de commentaires effacés ». Cette nouvelle politique permettra de « protéger les annonceurs et les créatifs de contenus inappropriés. Nous voulons que nos annonceurs soient assurés que leurs publicités soient voisines de contenus qui reflètent les valeurs de leurs marques (c’est nous qui soulignons) ». Poursuivant cette politique la société investira dans l’intelligence artificielle – qui permet de supprimer les vidéos non youtubement correctes de manière automatique – mais portera également le nombre de ses censeurs professionnels à 10.000 en 2018. On ne sait si le Ministère de la vérité d’Orwell employait autant de personnel mais il y a doute.

    Parmi les dernières victimes des censeurs, le YouTubeur Le Lapin taquin a décidé de quitter YouTube. Un exemple à suivre ?

    Texte repris du site Ojim

    https://fr.novopress.info/209210/google-annonce-un-renforcement-de-la-censure-sur-youtube/

  • Règlement de conte

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    Georges Feltin-Tracol

    A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

    À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

    Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

    Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Désinformation, lutte contre le politiquement incorrect: on arrête pas le progrès?

    C’est paraît il sous nos latitudes occidentales, aux Etats-Unis et  en Europe de l’Ouest principalement, que les citoyens disposeraient de l’information la plus objective et pluraliste. Une affirmation qui fait sourire (grimacer) les plus lucides de nos compatriotes, à commencer par les défenseurs et sympathisants de  la cause nationale. Mais aussi plus largement  tous ceux qui constatent la décalage entre la réalité de leur quotidien et la recension qui en est faite dans les  gros médias…quand ladite réalité n’est pas purement et  simplement censurée! Un qui n’est pas épargné par la propagande visant à le faire passer pour un malade mental, un incapable, un feignant, un menteur compulsif  aux pulsions fascisantes c’est bien l’actuel président des Etats-Unis. On ne compte plus les milliers d’articles d’éditos, d’émissions qui en France  dressent un portrait apocalyptique de Donald Trump.  Les Echos l’assure, et dans ces conditions ce ne serait pas très étonnant,  « l’image des Etats-Unis s’effondre à l’étranger. »  « Un  an après l’arrivée de Trump, la chute de confiance est énorme, notamment en France.», « les Etats-Unis apparaissent plus isolés que jamais sur la scène internationale », «  la confiance dans le leadership de la première économie mondiale est au plus bas, à 30 %, en net recul par rapport à 2016 (48 %) »… « même si « le leadership américain est en progrès dans certains régions.»

    Pourtant, la détestation de Trump par les élites progressistes  californiennes, new-yorkaises, hollywoodiennes, libertaires, mondialistes ne semble pas entamer son crédit auprès de l’Amérique dite profonde. A l’heure ou il est rappelé que huit mois après son entrée en fonction, « Emmanuel Macron a déjà créé huit taxes et impôts »  – l’impôt sur la fortune immobilière (IFI),  deux contributions exceptionnelles sur l’impôt sur les sociétés des très grandes entreprises, une taxe sur l’exploration d’hydrocarbures et sur celle des gîtes géothermiques, une autre sur les plus-values de ventes de logements par les offices HLM, une taxe sur le développement des industries de fabrication de papier e la hausse du tabac. »- , Trump lui tient  ses promesses. Et obtient des résultats tangibles : « L’économie a créé 2 millions d’emplois et généré 8 milliards de dollars de richesses depuis la nouvelle présidence » ;  «  Les Afro-Américains et les Hispaniques se félicitent du plus bas taux de chômage mesuré dans l’histoire » ;   Le président a réalisé la plus grande baisse d’impôts pour les Américains qui travaillent dur depuis le président Reagan », «  L’État islamique est en perdition, écrasé en Irak et en Syrie »… même si dans ce dernier cas le mérite en revient surtout à la Russie.

    Une Russie toujours vilipendée, dénoncée par les bien-pensants au sein du parlement européen. Elle est  accusée de vouloir  détourner les Européens du bon chemin euromondialiste en développant une  propagande éhontée qui menacerait l’hégémonie de nos vertueux et impartiaux médias,   accusation ridicule dont Bruno Gollnisch faisait encore justice la semaine dernière. 

    Sur le site Euractiv, le 18 janvier, un article était consacré à  «  l’influence de Moscou au sein des États membres  (qui) préoccupe les eurodéputés. Si les principaux groupes politiques dénoncent l’ingérence du Kremlin, les eurosceptiques défendent Poutine sans états d’âme » est-il indiqué. Et l’auteur de l’article d’expliquer doctement que « les partis populistes comme l’extrême droite n’ont de fait aucun intérêt à critiquer le régime de Vladimir Poutine puisqu’ils reçoivent son soutien politique, et parfois même financier. Ils partagent en outre avec Moscou des idéologies communes, et surtout un objectif commun : fragmenter l’Europe. Et la guerre hybride de la désinformation est un instrument pour y parvenir (…) Il faut dire que la désinformation russe s’élève au rang de politique d’État. Vladimir Poutine n’hésite pas à y dédier 300 millions d’euros par an et, dans les cercles militaires russes, cette désinformation est une arme légitime. »

    A l’évidence l‘Europe européenne est surtout fragmentée sous les coups de boutoir de l’utra libre-échangisme, de l’inversion des valeurs érigée en dogme et de la submersion migratoire.   Il est à noter, mais est-ce bien étonnant?,  que les eurodéputés dits de droite,  affiliés au très atlantiste groupe PPE n’ont pas été les derniers à pourfendre la présence des médias russes en Europe. C’est le ton général de ces médias qui est parait-il insupportable, à savoir  leur absence d’hostilité vis-à-vis des valeurs traditionnelles, de la souveraineté et de l’identité des nations. « En défendant la Russie, certains ici (les députés nationaux et souverainistes attachés à l’Europe des patries , NDLR)  défendent leur idéologie, qui n’est pas celle d’une démocratie libérale », a fulminé   le député allemand Elmar Brok,  membre de la CDU,  et ex président de la commission des Affaires étrangères du parlement européen.

    Même son de cloche de  son collègue lui aussi membre de la CDU,  le germano-britannique  David Mc Allister,  qui s’est inquiété de ce que  « des eurodéputés ont utilisé des infrastructures techniques ici pour diffuser des informations sur Russia Today. Pouvons-nous critiquer les campagnes de désinformation, mais appuyer les médias qui facilitent la propagande ? » Dans la  même  veine, un autre membre du PPE,  Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular,  lequel n’hésitait   pas dernièrement   à établir un parallèle ignominieux  entre le FN et la nazisme   se veut aussi martial: « Il faut réagir plus sérieusement face au réseau de soldats fantômes russes prêts à diffuser la désinformation. Avec la Task force East Stratcom, - équipe de propagande bruxelloise  anti-russe que M. González Pons juge pas assez étoffée. NDLR)  nous sommes sans défense… »

    « Êtes-vous si loin du ressenti du peuple pour penser que lorsque les citoyens votent, ils sont influencés par Moscou ? », a  répliqué Mario Borghezio, membre italien du groupe ENL, tandis que  David Coburn (UKIP) a pour sa part souligné que l’UE se livrait également à une guerre de propagande. « Quid des millions dépensé pour la promotion du traité de Lisbonne ? Quid de la campagne de lutte contre le Brexit ? Je suis effaré par cette désinformation européenne, plus que par la version russe! »

    Nous le notions en novembre dernier, et ce détail n’échappe qu’à ceux qui ne veulent  pas voir ou nous prennent pour des imbéciles , à  combien se chiffre en effet  quotidiennement au sein des pays de l’UE  la très hégémonique et massive  propagande cosmopolite, européiste, atlanto-mondialiste,  antinationale, antirusse, déversée par tous les canaux médiatiques et autres émissions ou programmes de divertissements  ? Et qui la paye?

    Euractiv  cite encore l’élue Allemande  écolo-gauchiste Rebecca Harms, qui affirme que « l’UE doit renforcer le journalisme qui est aujourd’hui mis à mal. Si les médias sociaux, comme Facebook et Twitter commencent à supplanter les journalistes, ils doivent respecter les mêmes règles ». Mais quelles  sont les  régles en question? Dans un long texte publié en février dernier, le  patron de Facebook,  Mark Zuckerberg, soutien militant  comme de juste d’Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle américaine,   expliquait son vœu de  « Construire une communauté mondiale »  pour faire triompher  l’idéal des sociétés ouvertes. Sous prétexte de lutter contre les fausses nouvelles  et l’apologie du terrorisme c’est bien la volonté d’éradiquer la diffusion de  pensées politiquement incorrectes dont il s’agit.  Propos en opposition avec  la doxa mondialiste  qu’il propose de reléguer dans l’ombre par l’utilisation algorithmes et le développement de l’intelligence artificielle. Une censure déguisée mais bien réelle, à l’image de celle qui règne dans les conférence de rédaction. On arrête pas le progrès? 

    https://gollnisch.com/2018/01/22/desinformation-lutte-contre-politiquement-incorrect-on-arrete-progres/

  • 8 nouveaux impôts et taxes depuis l'élection de Macron

    6a00d83451619c69e201bb09eb029a970d-800wi.jpgLe cabinet d'audit Ernst&Young estime, dans son baromètre annuel sur l'environnement fiscal et budgétaire, que le nouvel exécutif a instauré au moins un nouveau prélèvement par mois depuis l'élection présidentielle. 

    Le cabinet d'audit s'est basé sur la loi de finances 2018 et les lois de finances rectificatives pour 2017 afin de réaliser ce calcul. Ernst&Young recense ainsi, entre autres, le nouvel impôt sur la fortune immobilière, qui vient remplacer l'impôt sur la fortune (ISF), deux nouvelles contributions exceptionnelles sur l'impôt sur les sociétés des très grandes entreprises, qui serviront à financer l'annulation de la taxe de 3% sur les dividendes.

    Cinq autres nouveaux prélèvements sont relevés : nouvelle taxe sur le tabac, d'une autre sur les plus-values de ventes de logements HLM, d'un nouveau prélèvement "sur le développement des industries de fabrication de papier", ainsi que de deux taxes "sur l'exploration d'hydrocarbures et de gîtes géothermiques"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • MACRON, UN HOLLANDE BIS RECENTRÉ, UN GAULLISTE D’OPÉRETTE PRATIQUANT L’ART DE PLAIRE !

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    Marc Rousset

    Macron se prétend anti-système avec un parti « En marche ! » ramasse-tout. Macron est, en réalité, le Gorbatchev de la pensée unique, la dernière carte à jouer du Système qui cherche à faire illusion. Il importe de ne pas être dupe.

    Ministre socialiste, Macron a pu dire : « Moi, je suis socialiste et je l’assume, et être socialiste aujourd’hui me paraît une nécessité de bâtisseur, parce que c’est croire qu’à certains moments de notre histoire, il y a une France qui se réveille, qui veut autre chose. » Candidat à la présidence, il a pensé intelligent de racoler du côté de Philippe de Villiers afin de chercher une caution de droite : « L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. »

    Macron a compris un axiome fondamental de l’art de plaire politicien : dire tout et son contraire, en faire dans la réalité le moins possible de façon à ce que les naïfs entendent au moins une fois des propos qui vont dans le sens de leurs convictions. Cette attitude d’équilibriste a été confirmée par sa responsable de la communication Sibeth Ndiaye : « J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président. »

    Wauquiez et tous les partis de droite n’ont donc qu’une seule stratégie à adopter pour vaincre Macron : faire l’unité de la droite, parler vrai comme Trump et redoubler les attaques contre Macron d’une façon précise et agressive pour le confondre afin de montrer qu’il ne remue que du vent, ne s’attaque pas aux vrais problèmes, le démasquer en tant qu’imposteur, l’obliger parfois à faire quelque chose de véritablement efficace.

    Wauquiez semble avoir compris et a tout juste, même si le démarrage est laborieux car il a en face de lui toute la pesanteur du Système, non seulement à l’intérieur du parti LR avec les Pécresse et consorts, mais l’hostilité des médias qui le décrivent sous un jour antipathique depuis qu’il a décidé de s’en prendre au politiquement correct. Trahira-t-il un jour lui aussi, comme Sarkozy, une fois arrivé au pouvoir ? La question est posée, mais démasquer la langue de bois de Macron ne peut aller que dans le bon sens des intérêts de la droite.
    Macron nous affirme qu’il y aura des baisses d’impôt pour tout le monde en 2018, alors qu’il y aura, en réalité, une augmentation globale de 4,5 milliards de la charge fiscale en France. Chaque fois qu’un impôt est baissé d’une façon bizarroïde, comme la taxe d’habitation, il est remplacé par un nouvel impôt tel que la taxe d’inondation, la hausse du diesel, de l’essence, des contrôles techniques et des amendes, avec la nouvelle règle démagogique des 80 km/h. Macron ne s’attaque pas aux dépenses publiques et à la diminution du nombre des fonctionnaires. La hausse de la CSG, c’est 23 milliards d’euros d’impôts pour la grande joie, entre autres, de nombreux retraités. Il aurait été préférable d’augmenter le taux de la TVA, qui freine les importations, ce qu’a fait l’Allemagne, en excédent commercial alors que le déficit commercial de la France est abyssal !

    Macron ne réagit pas face à l’agression immonde de policiers à Champigny alors que les peines plancher s’imposent pour que la peur change de camp.

    Macron pratique la politique du vent en matière migratoire. Selon Wauquiez, « les clandestins resteront sur notre sol » et, pour la première fois, nous avons franchi, en 2017, la barre des 100.000 demandeurs d’asile. Macron fait beaucoup de bruit sur l’asile sans diminuer l’invasion migratoire de 300.000 immigrés par an. Il ferait mieux, également, de s’en prendre à la radicalisation de l’islam, de mettre fin à la radicalisation antichrétienne de la laïcité.

    Macron n’a aucune vision stratégique courageuse à long terme semblable à celle du général de Gaulle. Il importe donc de démasquer l’énarque dévirilisé de l’Europe technocratique de Bruxelles, de l’oligarchie de l’argent, cherchant avant tout à plaire aux électeurs lobotomisés quotidiennement par les médias porteurs de « fake news »(informations fausses).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • OLIVER IVANOVIĆ, HÉROS SERBE DES TEMPS MODERNES, ASSASSINÉ AU KOSOVO

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    Le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs…

    Oliver Ivanović (Оливер Ивановић), un des responsables historiques des Serbes du Kosovo, a été assassiné devant l’entrée de son bureau dans la zone serbe de Kosovska Mitrovica, au nord du Kosovo. Quasiment vingt ans après les terribles bombardements de l’attaque illégale de l’OTAN sur toute la Yougoslavie, le martyre du peuple serbe se poursuit dans une violence inouïe qu’aucun autre peuple européen ne connaît depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

    Malgré les promesses de « démocratie » et de « respect des droits de l’homme » faites par l’OTAN, les Serbes continuent de subir la terreur au quotidien. Il fallait attendre un nouveau meurtre pour que les médias dominants reviennent sur le sujet du Kosovo.

    Quel sarcasme, quand on pense que ce sont ces mêmes médias qui pleurent la mort d’Ivanović aujourd’hui qui, il y a vingt ans, ont travesti la vérité en faisant passer les Serbes pour des bourreaux alors qu’ils ne faisaient que défendre leur foyer et leur héritage national et chrétien. Depuis vingt ans, 250.000 Serbes ont fui le Kosovo et plus de 1.000 ont été assassinés et continuent de l’être aujourd’hui. Rien que depuis le début de cette année, les Povratnici, ces Serbes qui osent revenir au Kosovo depuis l’exode de 1999 de différents villages, sont attaqués, volés et ostracisés.

    À Novake, près de Prizren, l’ancienne capitale impériale serbe, les Serbes ont eu leurs fermes attaquées à l’engin incendiaire. À Đakovica, des pèlerins orthodoxes serbes n’ont pas pu fêter Noël le 7 janvier dernier car des manifestants leur refusèrent l’accès à l’église. Pas une semaine ne passe sans qu’un tel incident ne se produise, et pourtant les Serbes restent. Silencieux, minoritaires, ils n’abandonnent pas leur terre. Ils n’implorent pas notre pitié mais ils méritent notre respect et notre soutien. 

    C’était le combat d’Oliver Ivanović, un homme qui n’a pas hésité à prendre les armes pour défendre son peuple quand des extrémistes albanais ont voulu exterminer tout ce qui restait de serbe au Kosovo et en Métochie à la fin des années 1990. Mais Ivanović était aussi, et avant tout, un homme de paix, un homme capable de faire le consensus et de trouver des solutions. C’était un homme courageux qui ne se cachait pas. C’est un homme qui a été jeté deux ans dans une prison albanaise au Kosovo, accusé injustement de crimes de guerre et qui fut libéré faute de preuves. C’était un homme, père de famille, fier, c’était un homme droit. C’était forcément l’homme à abattre.

    Aujourd’hui, tous les Serbes pleurent un frère et la liberté pleure un fils, mais le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs : « Nous ne partirons jamais. » C’était aussi cela, le message d’Oliver Ivanović, un vrai héros des temps modernes. Que son âme repose en paix.

    http://www.bvoltaire.fr/oliver-ivanovic-heros-serbe-temps-modernes-assassine-kosovo/

  • Selon George Soros, « le nationalisme est maintenant l’idéologie dominante dans le monde »

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    Dans un entretien donné le 15 janvier dernier au Financial Times, George Soros se déclare prêt à se battre contre cette « idéologie dominante dans le monde [qu’est] maintenant le nationalisme ».
    Le milliardaire déclare également :
    Je me sens plus que jamais prêt à me battre et à défendre ce qui est juste (sic).
    Son arme de guerre, les Open Society Foundations (OSF) disséminées un peu partout dans le monde, et notamment en Europe.
    Rappelons qu’en 2015, Vladimir Poutine a chassé l’OSF de Russie, accusant Soros de « mettre en danger le système constitutionnel et la sécurité nationale » du pays. Pour le dirigeant hongrois Viktor Orban, c’est Soros qui se trouve directement derrière les plans de l’UE d’ouvrir les frontières de l’Union à des millions de clandestins du Moyen-Orient et d’Afrique.
    Voir l'image sur Twitter

    Once a symbol of the spread of democracy in Europe, billionaire George Soros’s foundation is now the target of resurgent nationalism http://on.ft.com/2EFM1IA 

    https://fr.novopress.info/