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magouille et compagnie - Page 1576

  • Glyphosate : le poison indispensable ? - Journal du Mercredi 25 Octobre 2017

  • Mosquée de Poitiers : les dégradations reprochées aux Identitaires n’ont pas été établies

    Gen1-600x402.jpg

    Minute-Poitiers-Couv-251x350.jpgLe 20 octobre 2012, plus de soixante-dix militants de Génération identitaire investissaient le toit de la mosquée de Poitiers, en construction, pour réclamer un référendum sur l’immigration et la construction de mosquées. Vendredi dernier, l’affaire est arrivée devant le tribunal correctionnel de Poitiers pour une journée d’audience « surréaliste », ainsi que l’écrit l’hebdomadaire Minute qui avait dépêché un envoyé spécial et y consacre deux pages dans son édition de cette semaine. Parmi les incriminations retenues contre les cinq prévenus, des « dégradations ». Malgré les efforts du procureur de la République, de l’imam et des parties civiles pour les faire reconnaître et lourdement condamner par le tribunal, les débats n’ont pas permis d’établir qu’elles avaient été commises. Extrait de l’article de Minute.

    Minute-Poitiers-300x208.jpg« Les différentes incriminations étaient tombées au fil des années mais restait encore la « dégradation ». De quoi ? Des tapis de prière ! Ce devait être de beaux tapis parce que la note présentée s’élève à 8 979 euros. TTC ? On espère. Le 20 octobre 2012, où il pleuvait comme à Gravelotte – bataille de 1870 qu’on se permet de citer vu que monsieur le procureur n’en a pas contesté la réalité –, quelqu’un, qui n’a pas été identifié, a pris ces tapis et les a montés sur le toit… où ils ont pris l’eau !

    Me Jérôme Triomphe a ironisé : « Quand on a un linge mouillé, on le met sur une corde et on le fait sécher ! » Pas l’imam de la mosquée en construction, qui, lui, a laissé ses fichus tapis sous la pluie le temps qu’un huissier vienne constater que la pluie mouille, ce qu’il a fait… au bout de cinq jours !

    D’où un certain nombre de questions qui n’ont pas trouvé de réponses à l’audience et pour cause : pourquoi n’avoir pas fait sécher lesdits tapis ?pourquoi les avoir laissés sous la pluie continue durant tout ce temps ? qu’est-ce qui prouve que ce n’est pas plutôt ce délai qui les a irrémédiablement dégradés si tant est qu’ils aient été ? au fait, combien de tapis faudrait-il rembourser vu que l’huissier n’en a pas consigné le nombre et que, zut de flûte, ils n’ont pas été placés sous scellés et auraient été jetés ? Etc. Sans compter la question subsidiaire, relative à ce qu’on appelle communément l’« effet d’aubaine »…

    Anticipant peut-être ces difficultés, l’imam avait préalablement invoqué un argument définitif : la « souillure morale » qu’il aurait ressentie ! Par ailleurs, une photographie montre un manifestant en train d’uriner. Sur un tapis ? Non, ça, on ne le voit pas. Ben alors ? « Une souillure morale », on vous dit. Et au fait, monsieur le recteur, avec tout le respect qu’on vous doit, quoi c’est-y qu’ils faisaient là, ces tapis ? Z’aviez les autorisations pour tenir culte dans un chantier ?

    Les explications qui suivirent furent tellement embrouillées qu’on a compris que non mais oui, c’est-à-dire que formellement, pas tout à fait, mais que le préfet était au courant et que d’ailleurs, monsieur le président, je vous le jure, j’ai toujours entretenu d’excellentes relations avec tous les préfets successifs. Sur ce point-là, on veut bien le croire.

    Au chapitre des dégâts (cochez la case dommages et intérêts), l’avocat de la mosquée a bien tenté d’expliquer que toute l’étanchéité du toit était à refaire car elle avait été dégradée par le percement de trous pour accrocher les banderoles, préjudice estimé à 12 295 euros, mais les avocats ont eu vite fait de lui rappeler que cela ne figurait pas dans l’ordonnance de renvoi en correctionnelle, manière courtoise de lui signifier qu’il ne fallait pas non plus trop pousser mémé dans les orties. Restait une histoire de piques pour dissuader les pigeons de se poser sur le toit qui auraient chu (les piques, pas les pigeons) au sujet de laquelle les avocats de la défense ont eu l’élégance de ne pas demander si on ne prenait pas leurs clients pour des colubridés. »

    Extrait d’un long article paru dans Minute n° 2844 daté du 25 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Préparation des élections : les socialistes se sont surpassés en 2017

    Le coût moyen par électeur inscrit pour les élections présidentielle et législatives revient environ à 8,50€ au lieu des 5€ prévus... Une idée pour faire des économies ? La suppression du financement public des partis politiques...

    P

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Syrie :Des mercenaires de Blackwater à Raqqa

    Blackwater! Cette société de brigades de mort qui s’est fait une mauvaise réputation en Irak de par ces crimes

    Des sources d’information ont diffusé des images montrant les éléments de la compagnie euro-américaine Blackwater dans les rangs des paramilitaires kurdes dans la ville de Raqqa en Syrie.

    Certaines sources confirment la présence d’au moins 2 000 mercenaires internationaux à Raqqa et dans la province homonyme dans le nord de la Syrie.

    Pas mal d’observateurs ou personnalités politiques avaient déjà dénoncé d’autres aspects étonnants voire effroyables des opérations de libération de Raqqa, menées par les Forces démocratiques syriennes, soutenues par les Américains. Le bilan lourd des pertes civiles en fait partie.

    parstoday.com

    2012 – BlackWater bientôt en Syrie!

    Blackwater! Cette société de brigades de mort qui s’est fait  une mauvaise réputation en Irak de par ces crimes. Selon le site internet Algeria,  l’entreprise Blackwater, a non seulement signé un contrat avec la CIA en Afghanistan, mais  lors des évenements qui ont provoqué la chute du colonel Kadhafi alterinfo.net

    https://infosdanyfr.wordpress.com/2017/10/25/syrie-des-mercenaires-de-blackwater-a-raqqa/#more-11266

  • Tous ces dirigeants communistes ont puisé à Paris leur formation idéologique

    6a00d83451619c69e201b8d2b7840a970c-250wi.pngBernard Antony a publié un martyrologe des crimes du communisme depuis 1917, au milieu d'un étrange silence de notre nomenklatura. Ces plus de cent millions de victimes n’ont, pour ainsi dire, pas existé. Elles n’existent pas, en tout cas, dans le débat public français. Parce que la caste dirigeante de notre pays n’a pas rompu en profondeur avec le totalitarisme marxiste-léniniste. Pour les gens qui nous gouvernent, il y avait des assassinats et des génocides compréhensibles et justifiables. Il faut rappeler que les candidats communistes ont eu des résultats impressionnants aux dernières élections. La complicité de la France avec le communisme international ne date pas d'hier et Bernard Antony le rappelle opportunément dans ce livre :

    "[L]e régime communiste du Kampuchéa démocratique des Khmers rouges, celui de "l'Angora", est le fait de professeurs qui ont étudié en France, ont appartenu au Parti communiste, et professent comme Lénine, comme Trotsky, comme Mao l'admiration pour les Lumières, pour la "grande Révolution française" et pour la mémoire de Robespierre.

    Rappelons au passage qu'avant eux, étaient venus aussi étudier à Paris les futurs dirigeants Jeunes-Turcs, organisateurs du génocide arménien [...]. Ce fut le cas ensuite d'Hô Chi Minh devenant le militant du Parti communiste avant d'être le chef du Komintern pour l'Indochine. Et, comme lui, Chou En Laï et Deng Xiaoping...

    C'est trente ans plus tard, en 1949, qu'arriva Saloth Sâr, le futur Pol-Pot. Et à la même époque, avec comme lui une bourse française, le futur dictateur albanais station-maoïste Enver Hoxha.

    Thierry Wolton rapporte que Saloth Sâr retrouva alors à Paris à la section indochinoise du Parti communiste "français", son compatriote Teng Sary, son futur ministre des Affaires Etrangères qui préparait alors Sciences-Po et qui avait notamment comme ami le communiste, militant anticolonialiste, Jacques Vergès, le futur avocat défenseur des plus grands terroristes, mais aussi l'ancien chef de la Gestapo, Klaus Barbie.

    Ils constituèrent le Cercle marxiste-léniniste de Paris dans lequel on trouve encore Khien Sampan, futur "chef de l'Etat", et Son Sen, futur "ministre de la Défense", titres simplement à usage extérieur du pouvoir de l'Angora.

    N'est-il tout de même pas fascinant, qu'exception faite du nazisme, phénomène principalement allemand, tous ces dirigeants des totalitarismes exterminationnistes ont puisé à Paris leur formation idéologique ? Et rappelons encore que c'est aussi pendant sa vie dans la capitale que Lénine étudia le modèle révolutionnaire de Robespierre."

    Michel Janva

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  • L'Action française va poursuivre Europe 1 pour diffamation

    Nos journalistes sont habituellement des professionnels du pas d'amalgame. Lorsqu'un terroriste musulman égorge une jeune fille, ils ne vont pas accuser toutes les mosquées qu'il a pu brièvement fréquenter pour en faire des foyers de terrorisme. Parce que ce ne serait pas bienPas gentil.

    En revanche, si un déséquilibré (qui ne sera pas qualifié ainsi, c'est une maladie exclusivement musulmane...) de droite envisage un instant de commencer à penser à une éventuel attentat (contre Mélenchon ou Castaner par exemple), alors tous les lieux qu'il a pu fréquenter sont suspects. 

    C'est ainsi que, tranquillement, Europe 1 a accusé l'Action Française de terrorisme :

    Capture d’écran 2017-10-24 à 07.44.11

    Et Jean-Luc Mélenchon a demandé tout simplement la dissolution de l'Action française. Souvenez-vous en pour, au prochain égorgement, demander la dissolution de l'islam en France...

    Sur L'Incorrect, François Marcilhac dénonce :

    "[...] Manifestement, la déontologie journalistique n’étouffe ni Céline Kallmann ni Nathalie Chevance. Profitant de l’arrestation, mardi 17 octobre, de quelques pieds-nickelés réputés d’ultra-droite à la suite de celle de Logan Nisin, en juin dernier, qui, en errance idéologique, et après de multiples autres tentatives de militantisme politique, avait eu l’idée malencontreuse de fréquenter les royalistes de l’AF Provence, où, pour reprendre les mots de l’article d’Elise Vincent, paru le 18 octobre dans Le Monde, il « trouve refuge » pour quelques mois, elles se sont livrées à un exercice particulièrement nauséabond de désinformation, quand leur consœur du Monde — mais font-elles vraiment le même métier ? —, elle, a enquêté. 

    Le reportage de Nathalie Chevance, censé reposer sur des témoignages de « riverains » — qui n’oseraient pas les présenter sous serment devant un tribunal —, est à ce point mensonger qu’il en deviendrait risible s’il n’oubliait pas l’essentiel : à savoir que ce sont nos militants qui, à Marseille, mais aussi à Lyon ou à Paris, partout où l’AF progresse de façon visible, se font régulièrement agresser. A Marseille, notamment, pour leur simple présence rue Navarin, et par des « antifas » dont le seul moyen d’expression, voire la seule raison d’être, est l’action violente. Jusqu’à l’explosion, cet été, d’une bombe artisanale devant nos locaux, qui aurait pu tuer. Mais à la matinale d’Europe 1, on a sans doute les oreilles trop mélomanes pour en avoir entendu le bruit.

    Maurras disait mettre « la violence au service de la raison ». C’est pourquoi, en plus d’un siècle d’existence, l’Action française se flatte de n’avoir aucun mort sur la conscience. La violence pour la violence, le terrorisme n’ont jamais pas partie de son ADN. On ne peut pas en dire autant de ses adversaires politiques qui, eux, n’hésitèrent pas, à de nombreuses reprises, à faire couler le sang des camelots du Roi et des ligueurs d’AF. Et pourtant, celle-ci s’interdit toujours de les venger. Comment prendrait-elle l’initiative, alors même que tuer des compatriotes est insupportable aux yeux de ceux qui définissent la nation comme une amitié ? Comme le rappela un jour Pierre Boutang, le successeur de Maurras : « La haine n’est pas notre fait, à nous, gens de village et de paroisse ; la sagesse ancienne qui veut qu’on ne haïsse jamais qu’en sachant que l’homme haï pourra demain être un ami, nous l’avons dans notre héritage. En l’amitié, nous voyons même le moteur quasi divin de notre nationalisme, et l’image terrestre des hommes réunis en la cité de Dieu. »"

    François Bel-Ker, secrétaire général de l’Action française, annonce au micro de Boulevard Voltaire que des avocats vont entamer une procédure contre plusieurs médias, et contre Europe 1 en particulier.

    Michel Janva

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  • David Rachline : « Le gouvernement refuse de lutter contre l’islamisme »

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    8973-20171025.jpgEn réponse au projet de loi laxiste du gouvernement contre le terrorisme islamiste, le Front national a lancé une pétition et propose de nombreuses mesures aux Français. Maire de Fréjus et responsable du pôle communication du parti, David Rachline en précise les objectifs.

    — Vous estimez le projet de loi contre le terrorisme insuffisant, pourquoi ?

    — Il est très insuffisant parce que c’est un projet de loi qui est une régression par rapport à l’état d’urgence. Il ne retranscrit qu’a minima certaines dispositions de l’état d’urgence en en supprimant même d’autres, il sera par exemple quasiment interdit de fermer définitivement une mosquée salafiste.

    Il sera également interdit d’imposer un bracelet électronique sans l’accord du présumé terroriste, ce qui est complètement effarant.

    — Quelles mesures proposez-vous ?

    — Nous pensons qu’il faut lutter contre le véritable problème qui conduit au terrorisme, c’est-à-dire l’islamisme, qui progresse dans notre pays, et tout cela est en lien avec une immigration massive incontrôlée qui augmente le risque d’infiltration terroriste.

    Nous proposons la dissolution de l’UOIF, structure proche des frères musulmans, il faut une surveillance accrue et la dissolution de toutes les associations culturelles, sportives, et loi 1901 qui constituent des paravents de groupuscules islamistes.

    Nous souhaitons évidemment l’interdiction du voile islamique dans les universités et du burkini sur les plages, ainsi que de tous les dispositifs de défiscalisation en provenance des pays du Golfe, et une réforme du Code du travail pour lutter contre l’islamisme dans les entreprises.

    — Quel est l’objectif de la pétition lancée par le Front national ?

    — L’objectif est de mobiliser l’opinion autour d’une proposition des députés et des parlementaires du Front national. Nous avons besoin d’une loi qui s’attaque en même temps à l’islamisme et au terrorisme, qui freine voire arrête l’immigration, et qui permette de lutter véritablement contre les terroristes. Nous faisons, là aussi, de nombreuses propositions,

    nous avons par exemple dit qu’il fallait créer une liste des organisations terroristes qui permette de poursuivre les terroristes pour intelligence avec l’ennemi, c’est un point important de notre dispositif.

    Nous demandons aussi la création d’une cour de sûreté de l’Etat, la création de cellules d’isolement pour les détenus islamistes… En bref, il faut mettre hors d’état de nuire tous ceux qui sont proches des islamistes et des terroristes. Pour être clair, il faut expulser les fichés S étrangers, fermer les mosquées salafistes, renforcer les moyens de la police, de la gendarmerie et de notre armée.

    propos recueillis par Alexandre Rivet

    Extrait d’un entretien publié dans Présent daté du 24 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/208090/david-rachline-le-gouvernement-refuse-de-lutter-contre-lislamisme/

  • La dialectique macronienne

    Dénoncée par François-Xavier Bellamy dans Valeurs Actuelles :

    6a00d83451619c69e201bb09cfe463970d-250wi.jpg"« Ils ne m’intéressent pas tellement. Ils sont dans les vieux schémas. Ils regardent avec les yeux d’hier le monde d’hier. Ils font du bruit avec de vieux instruments », avait déclaré Emmanuel Macron au sujet de certains intellectuels comme Onfray ou Finkielkraut. Que vous inspirent ces propos ?

    Ils dévoilent vraiment le coeur de la dialectique macronienne, qui oppose un ancien monde, réputé inepte et dépassé, à un nouveau monde désigné comme immaculé et porteur de toutes les promesses. J’y vois un triple danger. Cette opposition absurde constitue tout d’abord un véritable empêchement de penser — et, de ce point de vue là, il n’est pas étonnant que Macron s’attaque aux intellectuels. Toute pensée tire sa substance de ce qui la précède : ce n’est qu’avec les mots d’hier que nous pouvons former des idées nouvelles, penser les défis de demain, exprimer nos choix pour l’avenir. Rejeter la pensée au motif qu’elle est constituée par des instruments du passé, c’est s’interdire de réfléchir. Le deuxième danger tient dans cette opposition schématique qui est la substance même du progressisme, dont le propre est d’interdire toute nostalgie au motif que demain sera forcément mieux qu’hier. Cette vision de l’histoire, cette préférence de principe accordée au nouveau contre l’ancien, a été le moteur des catastrophes politiques les plus terribles. En nous déchargeant du souci de la complexité et de l’impératif du discernement, une opposition aussi caricaturale ne peut que nous faire oublier toute prudence, et nous mener à de graves erreurs. Enfin, le troisième danger repose sur le fait qu’une opposition aussi forte ne peut être que totalement étrangère à l’exigence démocratique… Puisque le nouveau monde est décrété bon par lui-même, il n’y a plus de choix à faire, de destination à rechercher, il n’y a plus qu’à marcher — car la seule chose qui compte désormais est d’être en marche, même en marche forcée. Cette formule de Macron, « ils ne m’intéressent pas », symptôme d’une condescendance assumée, souligne qu’il n’accorde aucun intérêt à la possibilité d’un désaccord légitime avec ses propositions. Il le manifeste de manière répétée par les anathèmes violents qu’il jette à ceux qui osent ne pas penser comme lui, supposés être tous extrémistes, fainéants, envieux ou cyniques.

    [...] En campagne, Emmanuel Macron n’avait rien annoncé, sinon qu’il attendrait l’avis du comité d’éthique. En réalité, c’était un jeu de dupes : il n’y avait aucun mystère dans le fait que ce comité, soigneusement remanié par les amis d’Emmanuel Macron et de François Hollande, émettrait un avis favorable… Là encore, je reproche au progressisme de ne pas nous dire vers quel monde il veut nous conduire. Lors des débats sur la loi Taubira, Édouard Philippe refusait la PMA ; dans quelques mois, combien nous expliqueront qu’il faut évoluer sur la GPA ? Les partisans d’un monde “en marche” vers le progrès doivent assumer la logique de leurs propres choix, les conséquences qu’ils impliquent — et accepter qu’on puisse s’y opposer. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/la-dialectique-macronienne.html

  • Syrie : les prémices de la victoire

    Sur la Syrie, lire:

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  • LE GRAND BAL DES HYPOCRITES NE FAIT QUE COMMENCER

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    Les « Occidentaux », cette petite caste de plus en plus étriquée et recroquevillée sur elle-même, qui se définit en quelques mots : politico-médiatique, libérale-libertaire – les « Orientaux », eux, n’ont pas nos états d’âme de libéraux pervertis : l’Extrême-Orient nous a dévorés économiquement, le Moyen-Orient pourrait nous dévorer spirituellement -, les « Occidentaux », donc, viennent de prendre en quelques jours deux tartes à la crème en pleine figure. Difficile, quand on est entarté, de garder sa bonne figure bien-pensante et moralisante.

    Le libéralisme libertaire, pour une fois, se prend les pieds dans le tapis car ces deux tartes nous plongent dans d’infinies contradictions.

    Avec l’affaire Weinstein, d’abord. Le beau monde des médias et du spectacle (pourquoi ne trouve-t-on pratiquement que Gala ou Elledans les salles d’attente des médecins ou des dentistes ?) pousse des cris d’orfraie et une forme d’hystérie collective s’empare des réseaux dits « sociaux » (curieuse dénomination, car on peut vérifier au quotidien que ces outils à l’efficacité diabolique ont de plus en plus la capacité à disloquer les sociétés). Dans cette affaire, de qui se moque-t-on ?

    On nous dit que les hommes ne respectent pas les femmes. Bon. Rien de nouveau. Mais est-ce que les femmes respectent les hommes ? Et est-ce que les unes et les autres se respectent ? Et est-ce que l’humanité est respectable dans ce monde « occidental » où la violence et le sexe saturent nos écrans ad nauseam et où, de plus en plus tôt, on apprend à nos enfants que le véritable épanouissement est sexuel ?

    Avec la Catalogne, ensuite. Ici, ce sont mes racines catalanes qui se révoltent.

    Les « Occidentaux » se trouvent bien embarrassés pour refuser aux Catalans ce qu’ils ont donné naguère aux Kosovars après avoir bombardé la Serbie.

    Qu’est devenu le Kosovo indépendant ? Une petite dictature mafieuse. 

    Le gouvernement espagnol et le roi d’Espagne pourraient se partager la palme de l’hypocrisie car après avoir vendu leur âme aux intérêts de Bruxelles et de la finance internationale, ils ont vidé la nation espagnole de sa substance. Encore une fois, de qui se moque-t-on ?

    Que dire des Catalans ? Que défendent-ils ? Leur culture ? Laissez-moi rire. Dans les écoles de Barcelone, l’espagnol est une langue étrangère comme l’anglais.

    Non. Comme disait Céline dans Mea Culpa, ils comptent le sucre, toujours plus avares, plus avides.

    Et quand on veut se recueillir dans la Sagrada Família, on paye dix euros (réduction pour familles nombreuses et groupes à partir de 15 personnes). Et la messe en semaine ? Dans la crypte, comme au temps des catacombes.

    Quand on est à ce stade de décadence morale et spirituelle, on ne s’étonne plus de voir la religion remplacée par le Barça ou confondre Messi et Messie.

    L’Union européenne des marchands et des banques – ce très chic club des « Occidentaux » – a dévitalisé les nations européennes et joue les pucelles effarouchées. Toute cette comédie tourne au ridicule mais, n’en doutons pas, le grand bal des hypocrites ne fait que commencer et les tartes à la crème vont pleuvoir.

    Mais gare ! « Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir », disait Rivarol.

    http://www.bvoltaire.fr/grand-bal-hypocrites-ne-commencer/