
magouille et compagnie - Page 1572
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La Cimade contre l’Etat, avec l’argent de l’Etat
Cette idéologie [immigrationniste] a ses précurseurs et ses Thénardier (ces aubergistes imaginés par Victor Hugo, qui exploitaient sans vergogne la misère de Cosette, l’orpheline confiée à leurs soins), ses juristes et ses communicants, ses chrétiens progressistes, ses maoïstes, ses trotskistes.
A tout seigneur, tout honneur, commençons donc par le service œcuménique d’entraide, la Cimade (comité inter-mouvements auprès des évacués), une association de solidarité active avec les étrangers, membre de la Fédération protestante de France. Forte de sa devise « En France, l’étranger n’est pas un problème ni une menace », l’association a tout fait pour que les étrangers soient de plus en plus nombreux à passer nos frontières, à rester dans le pays et même à devenir « français ».Son action est aussi perverse qu’ambivalente : elle consiste à critiquer l’État pour lui en demander toujours plus, tout en agissant en son nom. La Cimade est en effet partenaire de l’État pour l’accueil des réfugiés et reçoit 4,5 millions d’euros de subventions publiques, soit les deux tiers de son budget.Ses principales actions : l’assistance juridique aux étrangers, soit dans ses permanences, soit en centre de rétention administrative et en prison lors de ses visites, la gestion d’établissements sanitaires et sociaux. Elle monte, en outre, des actions de solidarité internationale, offre aux clandestins des cours de langue, sensibilise le grand public et les hommes politiques à ses thèmes.Ce fut le premier fer de lance de l’idéologie immigrationniste. Au profit des étrangers, elle n’a cessé d’en demander toujours plus à l’État, aux Français et à leurs représentants.Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ? -
Les médiateurs SNCF : «Madame, ces gens ne servent à rien du tout »
Lu sur La Gazette en Yvelines :
"[...] Ce jeudi-là, une adolescente habitant le quartier du Val Fourré se rend aux Mureaux pour aller au lycée. Mais, en descendant du bus pour prendre le train, elle se fait harceler par deux hommes bien plus âgés. Elle refuse sèchement leurs avances, mais l’un d’eux, âgé de 29 ans, lui assène alors une balayette, la faisant lourdement chuter au sol et brisant son téléphone portable qui lui échappe des mains.
L’agresseur sera rattrapé quelques heures plus tard sur la dalle commerciale du Val Fourré, et est aujourd’hui incarcéré à la prison de Bois-d’Arcy (déjà connu des services de police, il était sorti de prison récemment, Ndlr). Si les deux femmes qui ont contacté La Gazette louent le travail efficace des policiers, il n’en est pas de même de celui des médiateurs de la gare, présents en journée avec leurs manteaux bleus.
« Il lui a fait une balayette et son téléphone a volé !, se souvient Binta Dabo, qui s’en allait prendre le même train que l’adolescente. Pendant ce temps-là, des personnes de la médiation étaient là, qui rigolaient ! Ils disaient à la petite »calcule pas, fais pas attention », ils se moquaient d’elle en fait. J’ai vu qu’ils disaient à la petite fille de partir, elle était en train de pleurer, elle était choquée, je l’ai prise avec moi. » Par ailleurs, elle s’inscrit en faux face au responsable SNCF venu les voir ensuite pour affirmer qu’il avait été demandé à la jeune victime si elle souhaitait de l’aide ou appeler la police.
La mère de l’adolescente, Assma, n’en revient toujours pas non plus. Elle ne s’est d’ailleurs pas privée d’enguirlander sévèrement les médiateurs après avoir entendu les récits de sa fille et de la bonne samaritaine qui l’a aidée. Quant à leur inaction, dont elle s’est étonnée auprès des policiers recueillant sa plainte envers l’agresseur, celle-ci serait connue : « Ils m’ont dit : «Madame, ces gens ne servent à rien du tout » ».
Ce n’est pas la première fois que les médiateurs de la ligne J s’attirent les foudres d’une victime d’agression. En mai dernier, Le Parisien rapportait ainsi le témoignage d’une jeune femme de 21 ans, qui les accusait d’avoir fermé les yeux sur son agression sexuelle, se contentant des excuses de l’agresseur, avant d’aller jusqu’à « s’interposer entre le suspect et les policiers ». [...]"
par Michel Janva
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Braquages et cambriolages en France : comment les autorités maquillent les chiffres de l’insécurité
Systématiquement (et de longue date) une coalition de tricheurs trafique les statistiques concernant les deux types de crimes les plus redoutés de la population française : cambriolages et vols à main armée.
Cette coalition comprend le service spécialisé du ministère de l’Intérieur et l’ONDRP (Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale) puis, juste en aval, l’AFP qui transmet aux médias la « ligne du parti ».
« Ligne » ensuite pieusement reproduite, sans nulle critique et sous la dictée, par des journalistes bousculés n’enquêtant plus, réduits à mendier toutes leurs informations au ministère de l’Intérieur et hors d’état de les vérifier par eux-mêmes.
Le 8 novembre 2017, « papier d’angle » de l’Afp sur « le déclin continu des braquages en France ». L’ONDRP l’affirme : « baisse généralisée », en s’appuyant sur le Service statistique de la sécurité Intérieure et l’Office central de lutte contre le crime organisé.
2 900 vols à main armée en 2016 – moins 24% en un an. Tout va bien alors ?Non : car ce qui baisse n’est pas le nombre des braquages, mais bien plutôt ce que l’Intérieur considère comme tel, en maquillant la réalité criminelle.
Réalité publiée par l’ONDRP-même le 25 novembre écoulé, dans un silence de cathédrale.
Des chiffres que pas un journaliste-pavolvien n’a repris et que semble-t-il, ils ignorent : n’ayant pas été sifflés, ils sont restés au chaud à la niche.
D’abord, pourquoi ne publier que les braquages commis avec armes à feu ?
Un braquage commis avec une machette ou un poignard est-il moins effrayant pour ses victimes ? La protection due aux français par l’Intérieur est-elle sélective, revolver oui, couteau de boucher, non ?
Rétablissons donc la réalité des braquages (chiffres de l’ONDRP, insistons) :
– « Vols à main armée, ou avec armes blanches, contre des établissements industriels et commerciaux » : (3 108+1 028) : 4136
– « Vols à main armée, ou avec armes blanches, contre des particuliers à leur domicile » (717+681) : 1 398,
– « Autres vols à main armée » : 1 208,
– « Vols à main armée contre des établissements financiers » : 158,
– « Vols à main armée contre des entreprises de transports de fonds » : 26.
Total : 6 926.
Plus bien sûr, les vols à main armée escamotés par la justice : Toujours plus, ces braquages passibles de la Cour d’assises sont déclassés en simples délits, type « vol violent avec arme », ou « violences en réunion sous la menace d’une arme ».
Le nouveau braquage arrive au Parquet selon sa « nature d’affaire » (NATAF). Mais il en sort selon une « nature d’infraction » (NATIF) qui l’escamote, bonneteau judiciaire faisant statistiquement baisser des infractions qui, dans les rues, augmentent toujours.
Si des journalistes consciencieux lancaient une minutieuse enquête sur les braquages au quotidien, ils verraient qu’en réalité, ces vols avec armes sont en France, plus près de 10 000 par an que de 7 000.
Mais bien sûr, « Décodeurs », « Décryptages » & co. préfèrent harceler leurs ennemis de droite.
Lire la suite sur Atlantico via https://www.suavelos.eu/braquages-cambriolages-france-autorites-maquillent-chiffres-de-linsecurite
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Collard dénonce les laïcards qui s’en prennent à la Croix mais «pas à Hidalgo qui fête Ramadan à la Mairie de Paris» (+ autres vidéos)
Gilbert Collard (Député Front National) : «Il y a 20 ans, on ne nous emmerdait pas à propos des crèches. Les laïcards sont des propagandistes du communautarisme. Ils ne font la guerre qu’à la croix ou la crèche. Je ne les ai jamais vus s’émouvoir qu’Anne Hidalgo fête à la Mairie de Paris une fête musulmane (le Ramadan) (…) J’ai jamais vu une crèche emmerder la voie publique, empêcher les gens de circuler, faire du bruit, empêcher l’accès à des commerces. Une crèche, ce n’est pas très grand. Une prière de rue, c’est une rue.»
– LCI, 7 décembre 2017, 8h26Autres extraits …
Gilbert Collard : «Je soutiens la décision de Trump de reconnaître Jérusalem capitale d’Israël. Israël est un Etat qui a le droit de choisir sa capitale (…) Doit-on toujours céder au chantage et à la menace ? Macron doit avoir le courage de faire comme Trump.»
Gilbert Collard sur Jérusalem : «Macron est dans la demi-mesure, incapable de dire les choses comme elles sont. Je trouve désolant qu’on n’ait pas d’homme d’Etat courageux. Des mauviettes. Comment Israel peut-il vivre si on ne lui permet pas de choisir sa capitale ?»
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Comment répondre aux mensonges sur l’immigration ? (argumentaire des Identitaires)
Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un nouveau document qui propose de répondre aux mensonges autour de l’immigration.
Ils disent souvent : « Le patronat est allé directement dans les colonies pour recruter des ouvriers afin d’industrialiser la France ; ce sont ces mêmes ouvriers coloniaux qui ont reconstruits la France après la guerre. ». Mais pourquoi le disent-ils ?
Prétendre que les immigrés ont construit la France, et ont été exploités au passage, revient à dire qu’eux et leurs descendants ont des droits sur le pays. Cela permet également de culpabiliser les Français, éternels fainéants, incapables de faire quoi que ce soit sans l’aide de l’étranger, et de renforcer l’idée qu’il faut faire venir des immigrés pour assurer le travail que les Français ne veulent plus faire.
Pourquoi c’est faux ? L’idée que le patronat aurait envoyé des représentants dans les villages coloniaux pour recruter des ouvriers serviles est en réalité un mythe complet. Les recruteurs, qui ont bien existé, n’étaient pas des représentants du patronat mais d’officines plus ou moins mafieuses qui faisaient payer le trajet à des villageois trop crédules avant de les abandonner une fois arrivés en France. Les patrons ayant au contraire tendance à privilégier les ouvriers locaux, les immigrés se retrouvaient bien souvent sans emploi : ainsi, en 1953, entre 115 000 et 220 000 Algériens présents en France étaient au chômage.
Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2017/12/immigres-ont-reconstruit-france/
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Mercredi 6 décembre : Alban d'Arguin était au Parlement européen à Bruxelles pour donner une conférence sur le nécéssaire combat contre les éoliennes
Le député européen Georios Epitidelos et Alban d'Arguin lors de la conférence sur laquelle nous reviendrons très prochainement.
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Suppression de la taxe d’habitation : en marche vers le technonomadisme, par Eric Letty
« Un flot de mots creux sur un désert d’idées », a résumé un conseiller municipal. C’est tout l’effet que la prestation d’Emmanuel Macron, le 23 novembre, devant l’Association des maires de France réunie en Congrès a produit. Le président de la République est parvenu, au mieux, à ne pas se faire (trop) conspuer, sans désarmer pour autant la méfiance de ces élus locaux.
La véritable question ne se réduit d’ailleurs pas, loin s’en faut, à la manière dont a été reçu et perçu son discours. La politique conduite par le gouvernement à l’égard des collectivités locales concerne à la fois ces dernières et les contribuables locaux.
Le chef de l’État a assuré aux maires que la suppression partielle de la taxe d’habitation sera financée par les économies que l’État va réaliser. Mais de quelles économies parle-t-il, alors que le projet de loi de finances pour 2018 prévoit un solde négatif de 82,9 milliards d’euros l’an prochain, contre 76,5 milliards d’euros en 2017, soit une aggravation du déficit de 6,4 milliards ? Si les « compensations à l’euro près » annoncées par le président de la République ne sont pas à la hauteur de ses promesses, une partie non négligeable des Français – ceux qui resteront assujettis à la taxe d’habitation (un sur cinq) et ceux qui acquittent les taxes foncières – peuvent s’attendre à une augmentation sensible de ces impôts locaux.
Un autre argument d’Emmanuel Macron me paraît moins recevable encore ; c’est celui de la justice prétendue de sa réforme. Elle aboutira au contraire à désavantager encore les communes les plus pauvres par rapport à celles dont la population est globalement plus aisée, puisque le nombre des « riches » sur lesquels pèseront les taxes y sera plus réduit. Avec à la clef le risque que ces derniers n’en viennent à fuir ces communes déshéritées.
Les classes moyennes en général et les propriétaires de biens immobiliers en particulier sont dans le collimateur du gouvernement. Contrairement à ce que prétendent les socialistes et l’extrême gauche, Emmanuel Macron n’est pas le « président des riches », mais des très riches et des banquiers, comme le montrent ses choix économiques – ainsi la transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière vise-t-elle à détourner l’épargne de l’immobilier pour la rediriger vers l’actionnariat, c’est-à-dire essentiellement vers les banques et les grands groupes multinationaux.
Macron est l’homme de la finance, il ne connaît pas la France, il ne l’aime pas, comme l’a montré son discours à la Sorbonne, le 26 septembre, dans lequel il n’envisageait l’avenir que dans un cadre européen hors duquel la nation française n’aurait, selon lui, plus de destin. De là vient aussi son divorce avec les maires des 35 0000 communes de France, qui, de tous les élus, sont les plus proches du « terrain » et des Français. L’État macronien, technocratique par essence, s’en méfie d’autant plus.
Même s’il tient ses engagements, la réforme de la taxe d’habitation placera les municipalités à la merci financière de l’État-providence et fera des maires ses obligés. On peut prévoir que les technocrates des cabinets ministériels et du ministère de l’Économie seront alors conduit à intervenir davantage dans la vie des communes, qu’ils ne connaissent pas et méprisent – à l’exception des grandes villes et mégapoles. Ainsi ces communautés politiques vivantes et nécessaires perdront-elles ce qu’il leur reste d’autonomie, au bénéfice de la centralisation républicaine.
Les divers aspects de cette politique, qui piétine les droits des propriétaires immobiliers et ceux des communes, procèdent au fond d’une même logique, celle du nomadisme technocratique : le technomadisme, dont Emmanuel Macron est le parfait représentant.
Eric Letty
Article repris de Monde & Vie
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Zoom - Rémy Prud'homme : Le Mythe des énergies renouvelables
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L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?
Bernard Plouvier
Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.
Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).
Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.
La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.
En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).
Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.
En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.
Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?
C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.
- Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.
- Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.
- Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).
- Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.
En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.
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Google veut normaliser idéologiquement sa plateforme Youtube
Google veut embaucher 10 000 personnes. Cette armée numérique serait employée à renforcer la censure de la plateforme Youtube, qui sert à diffuser des vidéos.
Il s’agirait de supprimer les « contenus extrémistes ». On devine que les vidéos islamistes ne seront pas les seules concernées et que la dissidence anti-mondialiste sera évidemment visée.
Les organisations et les personnes censurées auront toujours la possibilité de se tourner vers la plateforme russe Rutube.
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