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magouille et compagnie - Page 1585

  • DES MIGRANTS POURRIS-GÂTÉS ?

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    À Cassel (dans le Nord), les migrants ont décidé de manifester pour réclamer ce qu’il leur apparaîtrait comme des droits inaliénables.

    Si les « migrants » (sic) ont parfois quelques difficultés à s’intégrer à notre société, il est un domaine où ils s’acclimatent plus que facilement. La réclamation de droits présupposés et incontestables étant en France un sport national, il est évident qu’y émigrer, même sans visa, ne peut se faire qu’en emportant dans ses bagages son lot de revendications. Aussi, à Cassel (dans le Nord), les migrants ont-ils décidé de manifester le mercredi 16 août dernier pour réclamer ce qu’il leur apparaîtrait comme des droits inaliénables.

    Si l’on en croit les bienveillants journalistes, ceux-ci se plaignent de « leurs conditions d’accueil ». La formule désormais consacrée semble suggérer combien les conditions doivent êtres insupportables et combien les revendications doivent être justifiées. Pour s’en persuader, les photos des journalistes nous montrent celles-ci écrites noir de feutre sur blanc de calicot, banderoles de fortune explicitant de façon concrète ce qui manque à leur dignité : « ÉCOLE POUR TOUS / SANTÉ POUR TOUS / MAISON POUR TOUS / L’ARGENT POUR TOUS / RESPECTEZ VOS PROMESSES / … / Y EN A MARRE. »

    Le poids des mots journalistiques ne devrait pas altérer le choc de la photo. Finalement, les conditions du CRTC (centre de répit temporaire et collectif) ne semblent pas si désastreuses. Ce qu’ils réclament n’est ni plus ni moins que le système généreux que la France propose à ceux qui auront franchi la frontière avec un visa (quel qu’il soit, d’ailleurs). L’école est gratuite, la santé est remboursée, le logement est sous prestations, il ne leur manquerait plus que l’argent, une pluie de billets qui devrait s’écouler sur eux… On apprend, cependant, qu’en lieu et place d’argent, ceux-ci ont droit à des tickets utilisables dans les commerces de la commune. Pour autant, cela est révoltant, eux qui aimeraient récupérer de l’argent liquide. On se demande bien pourquoi…

    Finalement, être dans le besoin autorise à certains caprices. Quand on a supposément connu les dictatures et la guerre et quand on a dû fuir son pays, avoir de telles exigences relève d’une force de caractère étonnante. Non que l’école, la santé ou le logement ne soient pas essentiels, mais arriver n’importe où et commencer par exiger autant a de quoi surprendre. Je pensais, à lire les grands titres, qu’il leur fallait un toit, de quoi manger, des W.-C. et des douches. En réalité, ils ont mis la barre un peu plus haut, de quoi reconsidérer toute envie de leur apporter une aide. N’en déplaise aux donneurs de leçons, être dans le besoin se mérite.

    À l’heure où le pape François émet quelques réserves sur notre capacité d’accueil, ou suppose du moins que l’amour inconditionnel au Christ exige un accueil tout aussi inconditionnel à ces migrants, il est des revendications aux sons discordants et stridents dans le contexte actuel. S’il faut aimer son prochain comme soi-même, sans doute faut-il aimer les migrants comme nos enfants, et leur rappeler que la vie n’est pas un dû perpétuel. Quand un nombre considérable de (trop) bonnes volontés leur donne gîte, couvert, douches et finances, ils se devraient d’abord de les remercier, et d’avoir la colère vindicative modeste.

    Au lieu de cela, nous aurons à supporter de sempiternels droits illusoires revendiqués par des migrants arborant des pancartes toutes tracées par le feutre de leurs bienfaiteurs d’extrême gauche. Il est normal que les enfants gâtés de la République apprennent à leurs nouveaux amis comment se comporte un pourri-gâté, dussent-ils annihiler tout désir de charité chez ces bienfaiteurs, qu’elle soit individuelle ou collective. N’en déplaise aux donneurs de leçons et au pape François, les pauvres ne sont plus ce qu’ils étaient.

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (3) : LE GÉNÉRAL LEE ?

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    À travers l’idéologie antiraciste, pourchassant les « phobies » en tout genre, l’intolérance a subrepticement changé de côté. La tolérance, aujourd’hui, ne se limite pas à l’acceptation de l’autre, elle exige de ceux qui sont plus réticents qu’ils renoncent à leur résistance et même à toute affirmation trop visible de leur identité. Le politiquement correct a métamorphosé la tolérance en intolérance, notamment à l’encontre des nostalgiques de l’identité autochtone.

    Ainsi, un événement malheureux mais très secondaire dans la situation mondiale actuelle a cependant bénéficié d’une audience planétaire. Une poignée d’extrémistes qui veulent protéger une statue du généralissime sudiste dans une petite ville de Virginie ne menace pas la démocratie américaine, ni n’attente aux droits des Noirs qui ont, fort heureusement, progressé. Sans la contre-manifestation, cette réunion de nostalgiques serait passée inaperçue. Malheureusement, au milieu de la confrontation que la police n’a pas évitée, un extrémiste a été tué.

    Le président a alors été sommé de choisir son camp. Il ne l’a pas fait clairement contre la volonté de l’Establishment. Il a pensé, en effet, que l’Amérique était le pays du pluralisme et de la tolérance, avec le droit d’exprimer des idées minoritaires et révoltantes, mais sans user de violences. Il a aussi insisté sur l’importance d’affirmer l’unité du pays dans sa diversité. L’identité du « Sud profond » fait aussi partie des États-Unis. Lee, le « déboulonné » qui avait été l’un des héros de la guerre contre le Mexique, avait moins défendu l’esclavage que la liberté des États. La suprématie du Nord industriel sur le Sud des grandes plantations ne signifiait pas seulement la libération des esclaves, mais aussi l’écrasement d’une économie moins avancée par une autre qui l’était davantage.

    La victoire de l’Union sur un Sud courageux et plein de panache, et la domination très dure des vainqueurs, avec l’arrivée des « carpetbaggers », ont laissé des traces. Le cinéma américain a le mérite d’évoquer cette histoire sans se limiter à une lecture, même si, avec le temps, l’élégance sudiste s’est estompée, et si la question de la ségrégation est devenue plus lancinante. Naissance d’une nation, de Griffith, est à la fois l’un des grands films de l’histoire du cinéma et une apologie du Ku Klux Klan ! Faut-il le censurer ou, au contraire, faire le pari de la liberté et de l’éducation ? L’acharnement de la gauche à tuer deux fois les morts – les Vendéens massacrés par la Terreur, les pieds-noirs chassés d’Algérie, les sudistes du Dixieland – n’est pas à l’honneur de la démocratie. Le Sud esclavagiste était démocrate. Le Sud conservateur vote républicain. Le gouverneur Wallace, qui s’opposait à l’égalité raciale dans l’éducation, y a été contraint par le président républicain Eisenhower.

    La démocratie facilite ces évolutions « en douceur » quand elle tolère la pluralité des idées et des familles de pensée issues de l’Histoire. Le véritable ennemi est celui qui veut détruire en totalité cette histoire, et c’est lui qu’il faut combattre.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-3-general-lee/

  • Décryptage – Le Daily Stormer déréférencé sur l’ensemble du net. Une censure sans précédent.

    Un nouveau précédent pour la censure Internet

    Vous n’en avez peut-être pas entendu parler, vous ne connaissez peut-être même pas ce site internet ou le considérez comme indésirable, mais il faut s’en inquiéter malgré tout. Cette semaine, le Daily Stormer, site d’information anglophone placé à la droite de l’extrême droite, vient de perdre tous ses référencements sur Google, Facebook, et même l’internet entier.

    Il s’agit d’un des plus grands scandales en termes de liberté d’expression depuis des années. Vous n’en entendrez pas parler dans les médias d’informations traditionnels. Aucune figure de la droite ne sera vue en train de défendre ceux que l’on étiquette « nazis ». Aucune attention ne sera vraiment portée si l’un de ces sites internet « nauséabonds » est désactivé. Pourtant, pensez bien au précédent que cela crée. L’ICANN (l’agence à but non lucratif qui régit la totalité de l’internet depuis 1998), qui ne rend de comptes à personne, est capable de retirer un site de l’entièreté de l’internet pour crime idéologique.

    Nous pensions que si nous n’avions nul part ailleurs où développer nos idées, l’internet serait toujours une plateforme sûre pour les opinions alternatives. Avec le recul, il s’agissait d’une idiotie. Les élites contrôlant tous les aspects les plus importants du monde moderne mettront toujours leur propre survie avant n’importe quel autre intérêt. Si quoi que ce soit menace les idéaux qu’ils chérissent, ils le feront partir en fumée. Observez avec quelle vitesse les libres penseurs, les sceptiques et les libéraux deviennent les partisans de l’autorité les plus zélés quand leur pouvoir est menacé. Pensez donc au fait suivant : les sites pro-DAESH, eux, ne sont pas déréférencés !

    Le crime du Daily Stormer était devenu trop gros et trop visible à une époque où les élites commencent à se demander si la croissance que connaît la droite pourrait demeurer durablement. C’est pour cela qu’on les a abattu, et ce ne seront pas les derniers.
    A ceux qui se demandent ce que signifie le bannissement du Daily Stormer des services de domaine de l’ICANN, cela signifie de façon effective que le Daily Stormer a été littéralement banni de l’entièreté de l’internet, à jamais.

    Oui, c’est un gros problème. L’ICANN en tant qu’organisation est littéralement le gardien de l’internet dans le monde entier.
    Votre site internet n’existe pas sur l’internet sans leurs services de domaines. Personne ne peut l’atteindre. Et l’ICANN vient de bannir un site pour crime idéologique. Cela crée un précédent extrêmement dangereux. L’ICANN a le pouvoir de vous réduire au silence et de vous retirer votre plateforme, sans avertissement et sans recours. Et il est clair qu’aujourd’hui, ils se trouvent du côté de l’idéologie haineuse et irrationnelle des libéraux. Pire encore, TOR, le projet de réseau anonyme de deep web (réseau internet caché, en dehors du réseau traditionnel internet) et son équipe de développement viennent de désavouer à leur tour le Daily Stormer, lequel comptait trouver refuge sur leurs nœuds et leur réseau.
    Effrayant quand on sait qu’opèrent avec impunité sur ce réseau des sites de pédophilie, de marché noir, de vente de drogues et autres individus répugnants…

    Ayez peur, car c’est terrifiant. Mais surtout, balancez l’information autour de vous, et visitez le Daily Stormer en continuant à le faire vivre par vos clics.

    Louis Vitéz

    https://www.suavelos.eu/decryptage-daily-stormer-dereference-lensemble-net-censure-precedent

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (2) : L’HÉRITAGE CALAMITEUX DE BARACK OBAMA

    Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.

    Faute de désigner clairement un ennemi, le mandat de Barack Obama a été calamiteux. Il a, en fait, rapatrié l’ennemi, en donnant la priorité au combat de l’Amérique contre elle-même, en privilégiant le progressisme à l’intérieur et donc la lutte contre le conservatisme sociétal et social, tout en prétendant exporter les valeurs américaines de tolérance à l’extérieur. Le conservatisme, voilà l’ennemi, tel est le slogan qui peut résumer son action et qui a tellement plu à notre microcosme national dont Macron est le fleuron. Cela a conduit à encourager la renaissance de l’islam et à imaginer sa compatibilité avec la démocratie lors du discours du Caire et à s’opposer systématiquement à la Russie qui, par un incroyable retournement, est devenue la championne du conservatisme, le paradigme du patriotisme identitaire. La pression à l’intérieur comme à l’extérieur pour que des droits soient reconnus en fonction de la pratique sexuelle, par exemple, restera une marque de l’ère Obama, que l’on considère davantage comme un signe de décadence au pays de Poutine.

    Les « principes de progrès, de tolérance et de justice communs à l’islam et aux États-Unis » évoqués par le président des États-Unis au Caire suffisent à souligner son degré d’ignorance ou de mauvaise foi. Rien, dans l’histoire de l’islam, ne vient étayer ce discours séducteur et mensonger. Depuis, les Occidentaux savent à quoi s’en tenir, puisque les islamistes font régner, partout où ils le peuvent, la régression, le fanatisme et la ségrégation entre hommes et femmes, croyants ou non-croyants. La haine et la violence barbare et sans limite qu’elle engendre désignent clairement l’ennemi : notre civilisation, sous ses deux formes pourtant très distinctes : chrétienne et hédoniste. Il faut être aveugle pour ne pas voir que nous sommes la cible. Malgré l’écrasement, bien tardif et poussif, de l’État islamique, le mal s’est répandu sous de multiples formes. Jamais l’image de l’hydre n’a été plus adaptée. Or, Washington s’est concentré avec mollesse sur une seule tête, pendant qu’il en nourrissait ou en caressait d’autres.

    Étrangement, ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental. Il s’accentue même depuis l’élection de Donald Trump. Celui-ci doit avoir une idée plus lucide de l’ennemi, mais il est obligé en permanence d’éviter les mines semées par son prédécesseur, et que renforcent parfois ses « amis » adeptes du politiquement correct. Obligé de communiquer prioritairement par les réseaux sociaux, il est constamment en butte à l’inquisition médiatique et à la mobilisation des organisations gauchistes, spécialistes des manifestations musclées. Harcelé continuellement par les soupçons sur les relations de son entourage avec la Russie dont on se demande bien comment elle aurait pu, si peu que ce soit, modifier le résultat des élections, il navigue à la godille, bombardant les Syriens un jour, suspendant l’aide aux rebelles le lendemain, et approuvant de mauvais gré de nouvelles sanctions contre la Russie le surlendemain. Le Congrès, pour une fois largement républicain avec un président du même parti, est loin de le soutenir. On se demande parfois si, dans les rédactions occidentales, et pour le microcosme qui définit et impose l’idéologie du politiquement correct, Trump n’est pas l’ennemi absolu, en tant que symbole vivant du conservatisme populaire, « élu des ploucs », pensent-ils très fort, tandis que l’islamisme ne serait que la conséquence passagère et excusable de tout ce que l’Occident a fait subir au reste du monde. À domicile, ce combat aveugle et suicidaire se pare du voile moralisateur de l’antiracisme. (À suivre.)

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-2-lheritage-calamiteux-de-barack-obama/

  • QUELLE GUERRE ?

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    Pieter Kerstens 

    Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?

    Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

    De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

    On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…

    En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

    Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

    Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…

    Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !

    Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

    Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

    Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

    Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

    Un peuple qui se respecte, venge ses morts.

    Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !

    *½ mouton ½ pigeon « En marche ».      

  • Prière à la mairie d’Oldham : Le double message de l’imam qui salue en réalité le djihadiste mort à Manchester

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    Suite à la publication par mes soins d’une vidéo montrant le maire musulman d’Oldham (Manchester), Shadab Qumer, imposer le récit d’une prière islamique par un imam lors du conseil municipal de la ville, les gens ont découvert avec stupéfaction la rapidité avec laquelle l’ennemi infiltre les institutions des états ouest-européens, même à l’échelle locale.

    Cette vidéo est un désastre en termes de communication, tant pour la gauche pro-musulmane que pour ses alliés musulmans. Il suffit pour s’en convaincre de lire les réactions stupéfaites des gens. Le journal d’extrême-gauche 20 Minutes a bien tenté, maladroitement, de se livrer à une intoxication en forme de “désintoxication”, rien n’y fait : tout le monde a vu ce qu’il fallait voir. Plus d’un demi-million pour ma seule page Facebook et bien plus par la suite puisqu’elle est reprise ailleurs.

    Je veux maintenant revenir sur un point crucial : la symbolique occulte qu’utilisent les islamistes et qui leur permet d’envoyer un message de mobilisation à leurs troupes tout en subvertissant leur ennemi. C’est-à-dire ici les Blancs de religion chrétienne ou agnostiques.

    Cette vidéo a été filmée le 12 juillet 2017, deux mois après l’attentat-suicide commis par un djihadiste à Manchester, le 22 mai. Officiellement, comme s’en flatte 20 Minutes, il s’agit de rendre “hommage” aux victimes :

    Dans la vidéo complète, qui est disponible sur le site de la ville, on entend la prière de l’imam, qui prie pour « se souvenir de ceux qui ne sont plus avec nous ». Une allusion aux victimes de l’attentat de Manchester, mais aussi à celles de l’attentat survenu au London Bridgeet à celles de l’immense incendie de la tour Grenfell à Londres. Après la prière, Shadab Qumer invite à respecter une minute de silence en leur mémoire.

    Posons-nous d’abord cette question très simple : est-il normal qu’après chaque attentat, il y ait toujours plus de manifestations de religiosité islamique en place publique et de discours expressément islamophiles de la part des autorités ? Non, bien sûr. Le réflexe humain le plus naturel, guidé par l’instinct de conservation, est de s’éloigner de la source de la menace.

    Or, plus la violence islamique se manifeste, plus les médias et les politiciens vantent les mérites de l’islam et de ceux qui s’en revendiquent.

    Alors, pourquoi ? Que se passe-t-il ?

    Eh bien c’est très simple : le terrorisme fonctionne.

    Lire la suite sur RETOUR D'AVALON

  • Les vérités d’Elon Musk sur l’effondrement démographique de l’homme blanc

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    Le milliardaire Elon Musk, PDG de Tesla et de SpaceX avec des ambitions pour la planète Mars, garde les pieds sur Terre ! Il vient de publier un tweet prémonitoire en juillet 2017 à propos de la population mondiale et de ses inquiétudes quant à l’effondrement de la natalité de l’homme blanc ! Elon Musk ne fait que reprendre d’une façon médiatique les thèses de La Peste blanche (Gallimard, 1976) du grand historien et démographe Pierre Chaunu.

    Que dit Elon Musk ? La propagande anti-populationniste fait croire d’une façon malthusienne aux Occidentaux qu’il ne faut plus faire d’enfants car la planète a trop d’enfants ! Mais le drame, nous dit Musk, c’est qu’« au Japon, dans la plus grande partie de l’Europe et en Chine », la natalité « atteint seulement la moitié du taux de remplacement des populations ». Musk nous met en garde en nous disant que « tout cela va s’effondrer. Cela ne peut pas tenir debout. Le taux de dépendance sera trop élevé. Le nombre de personnes à la retraite par rapport aux producteurs nets sera trop élevé. Le filet de Sécurité sociale ne pourra pas tenir. » Alfred Sauvy avait aussi, depuis longtemps, remarqué qu’en matière démographique, « les pays riches se mettaient à la diète sous prétexte que les obèses habitaient la maison voisine ».

    Il n’y a, en effet, comme a pu dire Jean Bodin, « de richesses que d’hommes ». Et selon Winston Churchill, « il n’y avait pas de meilleur investissement que de mettre du lait dans le biberon des enfants ». Valéry Giscard d’Estaing nous a aussi mis en garde tout en ouvrant malheureusement avec Simone Veil la boîte de Pandore de l’avortement : « S’il y a une décadence possible de l’Occident, c’est la démographie. » Quant à Michel Rocard, il ne disait pas autre chose, mais sans jamais, lui non plus, prendre des mesures concrètes adéquates : « La plupart des États d’Europe occidentale sont bien en train de se suicider, de se suicider par la démographie, sans même en avoir conscience. » 

    Le recours à l’immigration avec l’impossibilité de « vivre ensemble » au lieu de relancer la natalité des populations de souche européenne est une imbécillité, un acte de haute trahison, depuis quarante ans, des dirigeants de l’UMPS, Macron inclus. Le taux de fécondité des populations européennes en France est de 1,6 enfant par femme, soit nettement en dessous du taux de remplacement à l’identique des populations qui est de 2,1 enfants par femme, tandis que celui des populations immigrées extra-européennes est de 3,4 enfants par femme. 

    Il importe donc en France, d’une façon urgentissime, de mettre fin à l’immigration extra-européenne, de relancer le taux de natalité avec des mesures fiscales, sociales et des allocations familiales substantielles, de juguler et de mettre fin à l’avortement criminel scandaleux (payé par la Sécu) de 200.000 bébés par an, de retrouver et de défendre les valeurs sociétales traditionnelles de la famille qui ont fait la grandeur de l’Europe, bref, tout le contraire de ce que croit le technocrate financier libéral Macron des « entreprises jeunes pousses », mais sans enfants en chair et en os et avec une grand-mère divorcée comme épouse !

    L’Europe ne représente plus, aujourd’hui, que 10,3 % de la population du monde, contre 25 % en 1900. La population de l’Afrique passera de un à deux milliards d’ici à 2050 et le Nigeria pourrait alors dépasser la population des États-Unis ! C’est donc à l’Afrique seule de baisser son taux de natalité, pas à l’Europe qui doit se défendre manu militari face à l’invasion programmée.

    Elon Musk a 1.000 fois raison ! En Russie, Poutine, lui, a mis en place immédiatement des allocations financières substantielles à la naissance et honore à nouveau les familles nombreuses traditionnelles. L’avortement n’est plus à la mode et le taux de fécondité de 1,3 enfant par femme, en déclin accéléré sous Eltsine, est déjà remonté à 1,8 !   

  • "GPA reconnu en France" Ludovine de La Rochère s'exprime sur CNews le 5 juillet 2017

  • Qui déboulonnera la statue du franc-maçon Albert Pike, fondateur du Ku-Klux-Klan ?

    De Bernard Antony :

    "La récente volonté d’abattre systématiquement partout aux Etats-Unis les statues du Général Robert Lee, alors que nul, curieusement, ne conteste celle du Général Albert Pike, au cœur même de Washington, est un nouvel exemple d’une instrumentalisation sélective, révisionniste et négationniste de l’histoire à des fins de dialectisation – subversion.

    Elle appelle les brefs commentaires suivants :

    C’est au mépris de ce que fut réellement, selon les historiens non idéologues, la carrière et l’œuvre du Général Robert Lee que déferle planétairement la cataracte des commentaires de la médiacratie de l’idéologie antiraciste qui n’est qu’un racisme en sens contraire.

    Brillant officier américain issu comme eux de West-Point, le Général Lee fut estimé et souvent admiré par tous ses grands adversaires. Après la paix suivant enfin la guerre de Sécession, il œuvra à la réconciliation au sein des Etats-Unis, respecté par ses gouvernants.

    Ce n’est pas pour défendre l’esclavage qu’il accepta finalement, la mort dans l’âme, de diriger l’armée des confédérés en Virginie mais pour la défense des libertés des Etats menacées par l’impérialisme jacobin du capitalisme yankee qui d’ailleurs fut souvent très raciste dans la réalité.

    Le Général Lee fut bien moins défenseur de l’esclavage que Georges Washington dont il fut familialement l’héritier. Il émancipa les esclaves de la plantation de ce dernier et affirmait qu’il faudrait dès la fin de la guerre abolir le funeste système esclavagiste. Des dizaines de milliers d’esclaves s’engagèrent alors dans les forces sudistes.

    La paix signée, il s’opposa à tout esprit revanchard et œuvra notamment en faisant du Washington College une université prestigieuse. Grand héros du Sud, sa popularité ne cessait de croître dans le Nord.

    Alors que, en juin 1975, avec le président Gerald Ford, tous les sénateurs et la quasi unanimité des représentants ont solennellement honoré sa mémoire et à leur suite le président Carter, voilà qu’aujourd’hui les révisionnistes et négationnistes, spécialistes du passé recomposé s’emploient avec l’internationale néo marxiste-léniniste des « antifas » à faire du Général Lee une sorte d’adepte du Ku-Klux-Klan.

    Ils rencontrent d’ailleurs pour cela la complicité objective des membres de cette horrible organisation raciste, anti-noirs et anti-juifs, et plus que tout anti-catholique, faisant flamber les crucifix dans ses cérémonies d’épouvante.

    Cependant, nul ne s’en prend à la mémoire du Général Albert Pike, un des sept fondateurs du Ku-Klux-Klan et dont la statue importante s’élève de surcroit au cœur de Washington, Judiciary Square, de surcroit domaine non municipal mais de l’Etat fédéral ! Cela, ni aux Etats-Unis, ni dans la médiacratie mondiale !

    Pourquoi cette fantastique différence de traitement mémoriel des statues de Lee et de celle de Pike ?

    Ne serait-ce pas en raison de ce que le sudiste Pike, nonobstant son rôle dans la création du Ku-Klux-Klan, est toujours honoré dans toutes les obédiences maçonniques comme un des plus grands maîtres, un des plus éminents ritualistes de la franc-maçonnerie universelle, ayant été au sommet de la hiérarchie des hauts grades du Rite Ecossais. Pike ne fut-il pas le plus sublime des grands maîtres toujours modèle dans l’ésotérisme et le symbolisme luciférien ?

    On attend avec impatience de savoir qui lancera le déboulonnement de la statue d’Albert Pike."

    Michel Janva

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