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magouille et compagnie - Page 1611

  • Islamisation : les quartiers perdus de la République

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    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    En France, des villes sous islam radical échappent à la République. Plus de 1 500 « zones urbaines », des centaines de villes en Europe, en France, tombent sous l’empire de la charia.

    A Paris même les femmes en deviennent les cibles, comme à La Chapelle-Pajol. Des « hordes de mâles errants » ont pris possession du quartier. Dans cette « société » à ciel ouvert de tous les trafics, devant une police impassible, la persécution des femmes est devenue un « usage ».

    2 000 ans de chrétienté, de travaux philosophiques, une Révolution et 200 ans de laïcité s’échouent ici, au pied du Sacré Cœur, dans la ville de Hugo qui prétendait que la pensée, la liberté y étaient nées… La liberté à laquelle la République avait donné le visage d’une femme.

    Pas de réactions des autorités. Dans la langue officielle, l’islamisme qui gomme l’âme, la nation, les mœurs et usages de France, c’est le multiculturalisme. Par contre, ceux qui ont informé sont pestiférés, accusés : mensonges, racisme, appartenance à la fachosphère. Libé, notamment, déchaine deux pages « d’inquisition » prouvant que tout cela est faux. La propagande habituelle de l’oligarchie…

    https://fr.novopress.info/

  • Schwartz : la nouvelle part de l’ombre Macron

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    Le nouveau ministre de la Culture n’ayant aucune expérience en politique, c’est son « nouveau » directeur de cabinet qui joue désormais un rôle crucial.

    Avec Macron, on allait voir. Ça allait changer, ça allait moraliser… Par exemple, il avait su démissionner de la haute fonction publique, ayant déclaré « finies les réintégrations quand bon leur semble dans leur corps d’origine pour les hauts fonctionnaires » : « La haute fonction publique […] ne justifie pas d’avoir des protections tout au long de la vie et un droit au retour permanent. »

    Pourtant, notre Premier ministre Édouard Philippe n’a pas démissionné de la fonction publique, multipliant depuis 15 ans les habiles détachements ou mises en disponibilité du Conseil d’État.

    Certains pourront s’étonner que la presse n’en parle pas davantage. C’est oublier un peu vite que celle-ci est avant tout soucieuse de ne pas mettre en difficulté son principal financeur : le ministère de la Culture, qui lui alloue plus de 2,4 milliards de subventions et avantages fiscaux divers par an, soit plus de 30 % de son chiffre d’affaires !

    Or, le nouveau ministre de la Culture, ancienne éditrice de livres, n’ayant aucune expérience en politique, c’est son « nouveau » directeur de cabinet, Marc Schwartz, qui joue désormais un rôle crucial.

    Et qui est-il ? 

    Science Po-ENA (de la même promotion que Denis Olivennes, aujourd’hui patron du pôle médias de Lagardère, avec qui il corédigea L’Impôt du diable, thème cher à la gauche progressiste), il demande dès 1992 à quitter son corps d’origine, la Cour des comptes, pour aller « faire du cabinet » : au Commerce extérieur, puis chez DSK, puis au Budget… avant de se faire nommer directeur financier de France Télévisions en 2001. 

    Puis, départ dans la banque privée en 2006 : « managing director » de la banque d’investissement Calyon. Et création, l’année suivante, de sa propre société AS Conseil, pour mieux facturer ses clients, et recevant notamment diverses missions du service public. En 2010, il rejoint l’un des plus gros cabinets privés de conseil, Mazars, en charge « du « secteur public et des médias », avant d’en devenir, en 2012, responsable mondial du « Secteur public ». Aucun conflit d’intérêts, naturellement.

    En 2014, retour au bercail confortable de la Cour des comptes, où il n’avait plus mis les pieds depuis plus de vingt ans, sauf en coup de vent, entre deux mises en disponibilité parfois validées avec une date rétroactive de plusieurs mois sur le décret publié (sic !).

    Puis, trois mois avant les élections, la révélation, notre « grand serviteur de l’État » se remet en disponibilité (bien que non publié au JO, selon Legifrance) pour se mettre En Marche ! Bien lui en a pris : le voici, trois mois plus tard, promu « directeur de cabinet du ministère de la Culture ».

    Comme dirait François Bayrou, le serpent Kaa hypnotisant Mowgli : « Aie confiance… »

    http://www.bvoltaire.fr/schwartz-nouvelle-part-de-lombre-macron/

  • Julien Sanchez : « On ne peut nier qu’il y a substitution de population »

    Invité hier de France Info, Julien Sanchez, le maire FN de Beaucaire (Gard) et porte-parole national de la campagne du Front national pour les élections législatives, a évoqué le Grand Remplacement :

    « Il y a dans certains endroits une substitution de population. Lorsque vous voyez les prénoms donnés aux enfants et lorsque vous voyez les prénoms des personnes qui décèdent dans certains endroits, c’est très clair. Ce sont des faits objectifs. »

    Julien Sanchez s’en est également pris à la politique de la ville, ces milliards d’euros dépensés « à fonds perdus » dans les banlieues. Il faut plutôt, a-t-il expliqué, « restaurer l’autorité et l’exemplarité », pour éradiquer la délinquance et la criminalité, notamment le trafic de drogue, et lutter dans le même temps contre la « radicalisation » :

    « La radicalisation existe parce qu’on a abandonné des pans entiers du territoire où la police ne peut plus pénétrer […] Il faut reconquérir ces territoires. »

  • Macronmania : la recette indigeste - Journal du vendredi 9 juin 2017

  • I-Média#155 : Attentats Londres, Paris : comment les médias vous ont menti

  • Ma contre-attaque : J'accuse le député PS Jean-Paul Dupré d'être un prédateur sexuel et un négrier

  • Que sait Richard Ferrand pour qu'Emmanuel Macron le couvre ?

    6a00d83451619c69e201bb09a3a1e9970d-200wi.jpgLu sur le site de la Ligue du midi

    "À la question de savoir si le ministre de la Cohésion des territoires peut rester au gouvernement, le Premier ministre a répondu : ‘’Je dis oui, après avoir parfaitement compris, avoir parfaitement conscience de l'exaspération des Français, de leur émotion, de leur agacement.’’ Pour Edouard Philippe, Richard Ferrand n'a rien commis d'illégal et a fourni des explications suffisantes. En témoigne, selon lui, l'absence de procédures judiciaires. "Un ministre qui serait mis en examen devrait démissionner, il n'y a aucune ambiguïté là-dessus", a déclaré le chef du gouvernement. Echappatoire facile quand on sait que le parquet national financier s’est immédiatement déclaré incompétent et que le procureur de BREST s’est empressé de classer l’affaire dans les 2 heures.

    CASTANER, langue de bois et enfumage

    Le porte-parole du gouvernement Christophe CASTANER a assuré mercredi que personne ne ferait "obstruction" à une éventuelle enquête concernant l'affaire dans laquelle serait impliqué Richard FERRAND, mais a souligné que ce n'est pas au gouvernement "de déclencher des enquêtes". "Le malaise est perceptible", a reconnu le porte-parole du gouvernement. "Donc il nous faut répondre, répondre par la transparence, par la clarté". Langue de bois et enfumage, pas d’enquête, pas d’obstruction pardi!

    MACRON obligé de descendre dans l’arène

    Le porte-parole du gouvernement, Christophe CASTANER, a également déclaré le 31 mai qu'Emmanuel MACRON avait appelé au cours du conseil des ministres le gouvernement à la «solidarité» et à la «responsabilité», estimant aussi que la presse ne doit «pas devenir juge».

    Les questions

    - Pourquoi dans une affaire aussi dangereuse, aussi toxique et aussi hautement politique, MACRON maintient ’il sa confiance à FERRAND envers et contre tout, alors que la presse se déchaine et que l’affaire prend une dimension explosive ?

    - Pourquoi, alors que l’opinion publique réclame la démission de FERRAND à 70%, celui ci reste-il au gouvernement sous la protection de MACRON ? Certainement pas par sentiment, certainement pas par respect d’un quelconque principe. Ces gens n’ont ni morale ni principes. Les seuls principes qu’ils invoquent sont ceux qu’ils nous opposent.

    - Alors pourquoi MACRON s’expose t’il ainsi dans cette affaire qui entâche très gravement son début de quinquennat et menace d’en pourrir durablement le déroulement ? Pourquoi cherche-t-il à s’épargner d’avoir à trancher la cas FERRAND et s’en remet 'il aux électeurs, éludant sa propre responsabilité ? Pourquoi ce choix d’une sortie par la petite porte ?

    - Pourquoi cette attitude de fuite alors qu’il avait fait de la moralisation le thème fort de sa campagne, et qu’il sait que l’opinion publique le jugera sur cette question ?

    Le gros doute

    Que sait FERRAND, tout premier des supporters de MACRON et pilier de sa campagne électorale ? Que sait cet homme des dessous de la campagne électorale de MACRON ? Quelle grenade dégoupillée tient cet homme dans sa main qui tétanise MACRON et l’oblige à le couvrir de la sorte ?

    Une affaire en cache-t’elle une autre?

    Y a t’il une affaire MACRON liée à sa campagne électorale, provisoirement masquée par l’affaire FERRAND ? Quel secret lie ces deux hommes pour que l’un protège l’autre au risque de voir l’opinion publique se retourner contre lui dès le début de son quinquennat ?

    Ce sont les questions que l’opinion publique doit se poser."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentats de Londres : le but du djihad, c’est d’imposer la charia, point !

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    8877-20170609.jpgTrois attaques terroristes islamistes en moins de trois mois en Grande Bretagne. La dernière, à Londres, fut la plus meurtrière. Désormais, c’est à peine un événement, c’est un sanglant et abominable rituel. Rituelles aussi les réactions qui s’ensuivent. Après la condamnation unanime, l’expression de la solidarité des capitales étrangères et, à Paris, la Tour Eiffel éteinte une fois de plus – il faudrait installer un va-et-vient –, à Londres, les autorités assurent que la sécurité va être renforcée pour la énième fois ; il y a des bougies et des bouquets sur les lieux du drame, un concert où vont ceux qui croient effrayer Daesh en continuant à s’y trémousser héroïquement.

    Pourquoi ces attentats ? Le maire de Londres a répondu : « Parce qu’ils haïssent la démocratie », et notre ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, de renchérir avec la même vision : « La meilleure manière de riposter à ceux qui veulent atteindre la démocratie, c’est de riposter avec les armes de la démocratie, c’est-à-dire le bulletin de vote. » Contre les attentats suicides, les camions qui écrasent des innocents, contre les couteaux des égorgeurs, l’arme la plus efficace, c’est le bulletin de vote. Et c’est un spécialiste, ancien ministre de la Défense, qui vous le dit ! Les terroristes, foi de ministre, tremblent quand on brandit un tel bulletin, terrible « riposte » qui les fait reculer.

    De doctes commentateurs nous expliquent que ces assassins entendaient peser sur les élections en Grande-Bretagne, voire les empêcher, elles auront lieu jeudi.

    Or, s’il y a cette terrible flambée d’attentats en ce moment en Grande-Bretagne, certes, mais aussi en Egypte, en Irak, en Syrie en Indonésie, c’est pour des motifs non pas politiques mais religieux. C’est à cause du ramadan qui, dans la tradition musulmane, est une période pendant laquelle Dieu donne la victoire aux croyants, toutes les actions des pieux musulmans étant davantage récompensées par le Ciel.

    Pour les djihadistes, de telles « actions pieuses » incluent les attaques terroristes et les missions suicides.

    Ils se moquent de la démocratie comme d’une guigne ! Comment, avec un diagnostic erroné, peut-on lutter efficacement contre l’islamisme ?

    Ils ne veulent pas détruire la démocratie d’abord, leur objectif proclamé et répété c’est d’étendre le califat à toute la planète, d’imposer la charia. C’est le but du djihad. La fin de la démocratie en est la conséquence, mais ce n’est pas l’objectif.

    Au demeurant, en attendant la victoire finale de l’islam promise dans le Coran, la démocratie est bonne fille avec eux. C’est grâce à elle qu’ils peuvent dire : « Au nom de vos principes nous réclamons la liberté, au nom des nôtres nous vous la refusons. »

    C’est particulièrement vrai en Grande-Bretagne où ils ont obtenu tout ce qu’ils réclament encore en France, le communautarisme et le multiculturalisme étant cultivés comme des vertus nécessaires au « vivre-ensemble » au Royaume-Uni. Nos voisins d’outre-Manche croyaient donc, en ayant donné ces gages de bonne volonté, avoir acheté leur immunité contre la terreur islamique. Theresa May vient de se demander si, finalement, son pays n’avait pas manifesté « trop de tolérance vis-à-vis de l’extrémisme ». Il serait temps de s’en apercevoir !

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 7 juin 2017
    sous le titre « Attentats du ramadan »

    https://fr.novopress.info/

  • Farid Ikken : un terroriste loin de tout soupçon - Journal du jeudi 8 juin 2017

  • Sale climat (mondialiste)

    Le gouvernement entend redonner confiance en la politique aux Français. Confiance obérée  par les manœuvres d’un Système foulant au pied les résultats d’un référendum en 2005 et quand nos compatriotes constatent que les banques qui prêtent de l’argent à tous les partis pour mener campagne aux législatives, refusent de le faire pour le FN. Face à ce refus militant, idéologique du système bancaire, Marine vient de lancer un appel à contributions à ses électeurs et plus largement en direction de tous ceux qui entendent voir respecter l’équité démocratique. Certes, nos compatriotes retrouveront déjà ladite confiance en la politique le jour ou l’Assemblée représentera fidèlement leurs sensibilités (en 2012 les millions d’électeurs frontistes n’ont eu que deux députés), quand le Système respectera leurs aspirations et que la classe politicienne tiendra ses promesses. Les abus des uns et des autres contribuent bien sûr également à cette défiance des Français vis-à-vis des partis et des élus. Pour y remédier, François Bayrou présentait hier (de manière bien poussive) la loi sur la moralisation de la vie politique. Un coup totalement foiré et plombé par le scandale Richard Ferrand, d’autant que son maintien au gouvernement décrédibilise d’entrée aux yeux des Français toutes les bonnes intentions affichées.

    Avec un sens de la communication (et de la diversion) qu’on ne peut pas lui retirer, Emmanuel Macron, la mine grave de circonstance, s’est fendu hier soir depuis l’Elysée d’une déclaration officielle. Il entendait réagir à l’annonce toute aussi officielle par Donald Trump à la Maison Blanche du désengagement des Etats-Unis de la 21 ème conférence des partis (COP 21) en 2015, dit accord de Paris sur le climat, signés par 195 Etats, dont  s’étaient tant gargarisés François Hollande et Laurent Fabius.

    M. Macron a prononcé son allocution non seulement en Français mais aussi dans la langue dominante, en anglais, grande première,  symbole d’une présidence occupée par un Young Leader adoubé par le club Bilderberg (qui se réuni aux Etats-Unis en ce moment)   et qui se veut de plein pied dans la mondialisation… 

    Rappelons-le, à l’issue de la COP 21, quiconque ne communiait pas dans l’allégresse générale était alors désigné comme le dernier des monstres, un débile mental,  un complotiste particulièrement déviant et pervers. Pourtant comme le note un internaute sur le site d‘E&R relayant le refus du président américain de mettre  ici ses pas dans ceux de Barack Obama, la Cop 21 c’est concrètement une ” taxe supra-nationale de 10 Trillions (100 milliards) sur les pays riches, pour la reverser aux pays pauvres sous de faux prétextes. Tous ceci sous le contrôle des banques et des professionnels a la taxe carbone. Suivez mon regard !”.

    M. Trump a mis en avant ses promesses de campagne, la nécessité de préserver des emplois, la souveraineté nationale pour justifier son retrait. M Macron s’est pour sa part livré à une belle profession de foi planétarienne, tandis que les grands prêtre de la pensée officielle vouaient Trump aux gémonies. Mme Ségolène Royal, ex ministre de l’Ecologie des dernières années du calamiteux quinquennat Hollande, estimait hier  que le très climato-sceptique président américain était coupable d’un “délit contre l”humanité“, le mot crime n’a pas été prononcé mais ce n’était pas loin…

    Dans son discours hier soir,  le président Macron s’est posé comme celui qui reprenant le flambeau du combat du bien écolo-progressiste contre le mal des pollueurs-égoïstes, tient à faire de  la France le pays phare, le modèle de cette noble lutte là.  Il a notamment lancé un appel du pied très clair aux scientifiques américains: “Ingénieurs, scientifiques américains qui travaillez sur le climat, je lance un appel. Venez en France travailler avec nous”. M. Macron n’ignore pourtant pas que ceux-ci sont financés  très largement par des entreprises privées, bénéficient de conditions matérielles de travail et de rémunérations que les chercheurs français n’ont pas, beaucoup partent d’ailleurs Outre-Atlantique…

    “Make our planet great again”, s’est exclamé le président français, plagiant le slogan de campagne de Trump tout en  prenant soin, c’était  frappant,  de ne jamais totalement sortir de son statut de vassal intellectuel,  de l’allégeance  morale vis-à-vis des Etats-Unis, patrie de la Raison progressiste.

    “Je considère qu’il (Donal Trump) commet là une erreur pour les intérêts de son peuple et une faute pour l’avenir. J’ai eu l’occasion de lui en faire part”. “Ce n’est pas l’avenir que nous voulons pour nous, nos enfants, le monde. La vocation de la France est de mener ces combats qui impliquent l’humanité toute entière. (…) La France a réussi ce tour de force de faire signer l’accord climat avec 195 pays. Nous ne négocierons pas un accord moins ambitieux. La France appelle tous les signataires à rester à la hauteur de nos responsabilités, à ne rien céder.” Mais a-t-il précisé aussitôt,  “la France n’abandonnera pas le combat” même si ” Nous aurions préféré mener ce combat aux côtés des Etats-Unis mais il en est ainsi. La porte n’est pas fermée, elle ne le sera jamais à cette nation à laquelle nous devons tantJe dis aux Etats-Unis: la France croit en vous, le monde croit en vous. Vous êtes une très grande nation, vous vous êtes dressés contre l’ignorance et l’obscurité. Mais pour le climat, il n’y a pas de plan B car il n’y a pas de planète B.” La France jouera donc son rôle dans le monde. (…) Nous ne tiendrons pas seulement nos engagements passés. Dès ce soir, la France se doit d’être plus ambitieuse encore.”

    Un discours aux accents déterminés  dont l’aspect positif, visant à flatter l’ego des Français, est celui d’une volonté de voir la France jouer un rôle de premier plan sur la scène internationale. Mais quel crédit lui donner, si le postulat de départ est tronqué, vicié ? M. Macron se base comme toutes nos élites sur les travaux du GIEC  mis en place en leur temps par Margaret Thatcher et Ronald Reagan pour faire la nique aux écolo-gauchistes. Travaux du GIEC qui sont formellement contestables, qui sont contestés par de nombreux scientifiques décrits comme isolés, pas sérieux  et marginaux par la propagande officielle. Nos lecteurs pourront écouter avec profit sur cette question, le récent entretien de l’ingénieur polytechnicien  climato-réaliste Christian Gérondeau  accordé à  l’excellent média TV libertés.

    Emmanuel Macron  part du principe selon lequel la pollution liée à l’activité humaine (les deux plus gros émetteurs de gaz à effet de serre sont la Chine et les Etats-Unis) entraîne le réchauffement de notre planète. Avec comme conséquence a-t-il dit, une augmentation du niveau de la mer qui menace les  îles et les  villes côtières, le départ des populations vers l’Europe (migrants écologiques), des atteintes graves à la faune et à la flore;  toutes choses qui pèsent à l’évidence sur notre  sécurité et l’avenir de nos enfants.

    Mais ce que M. Macron ne dit pas note Bruno Gollnisch, et pour cause,  ce sont les autres facteurs, bien  tangibles qui sont la source principale d’une partie des maux qu’il souligne. A savoir l’explosion démographique des pays du sud qui  participe largement de l’appauvrissement et de la pollution des sols, de la disparition accélérée de la biodiversité. Ce sont aussi des personnels politiques corrompus et prévaricateurs, le terrorisme et les guerres suscitées,  instrumentalisées, le capitalisme spéculatif sauvage, l’ultra libre échangisme,  les agissements des multinationales, les impérialismes économiques qui sont directement  responsables des drames écologiques et de l’exode des populations. Mais le dire clairement et franchement ne cadre certainement pas avec le projet de M. Macron et de ses soutiens internationaux

    https://gollnisch.com/2017/06/02/sale-climat-mondialiste/