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magouille et compagnie - Page 1652

  • L’intox de Benoît Hamon sur le solde migratoire

    Libé désintox :

    6a00d83451619c69e201b8d26d37c8970c-250wi.jpg"Voilà un sujet sur lequel on entend et lit beaucoup de choses fausses. Et Hamon ajoute l’intox à la confusion générale. Ce qui est vrai, c’est que le solde migratoire global de la France est de +67 000. On retrouve cette statistique dans le tout frais bilan démographique 2016 de l’Insee en janvier (en bas à droite de ce tableau).

    Mais cette donnée ne nous informe en rien de l’apport de l’immigration. En effet, ce solde migratoire concerne la totalité des entrées et sorties du territoire, et pas seulement celles des immigrés. En clair, il agrège les mouvements des immigrés et ceux des personnes nées en France (ainsi que les entrées et sorties de personnes nées françaises à l’étranger, mais qui sont plus marginales).

    Or les statistiques de l’INSEE, basées sur les enquêtes annuelles de recensement, montrent que le solde migratoire des personnes nées en France est négatif, alors que le solde migratoire des immigrés est, lui, nettement positif. Pour 2013, dernière année pour laquelle l’étude donne des chiffres, le solde des nés en France est de -120 000 (197 000 ont quitté le territoire pour 77 000 qui sont revenus). A l’inverse, le solde migratoire des immigrés est de +140 000 (235 000 arrivées pour 95 000 départs).

    Bref, concernant le solde migratoire des immigrés, les chiffres sont donc peu ou prou l’inverse de ce que dit Benoît Hamon."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • La Turquie déclare la guerre démographique à l’Europe

    8825-20170322.jpg« J’en appelle à mes citoyens, mes frères et sœurs en Europe. […] Allez vivre dans de meilleurs quartiers. Conduisez les meilleures voitures. Vivez dans les meilleures maisons. Ne faites pas trois, mais cinq enfants. Car vous êtes l’avenir de l’Europe. Ce sera la meilleure réponse aux injustices contre vous. »Tels sont les propos tenus par le président turc Recep Erdogan lors d’un meeting pour la campagne référendaire à Eskisehir, en Anatolie centrale.

    Le sultan a donc dévoilé ses cartes, il appelle ses concitoyens installés en Europe à œuvrer au Grand Remplacement. Et ce n’est pas juste un accès de colère, mais bien un plan d’islamisation de notre continent qui ne date pas d’hier. Encore seulement maire d’Istanbul, le même Erdogan avait dit dans un discours en 1998, citant un poète turc :

    « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants nos soldats. »

    Car, pour le sultan Erdogan, l’Europe est aujourd’hui le théâtre d’une « confrontation entre la croix et le croissant ». C’est ce qu’il a affirmé après le jugement de la Cour de Justice de l’UE qui est venu confirmer la semaine dernière qu’au regard du droit européen, les entreprises pouvaient interdire le port du voile islamique par leurs salariées.

    Défiant ouvertement l’Europe, le ministre de l’Intérieur ottoman Süleyman Soylu a prévenu, selon ses propos rapportés jeudi dernier par l’agence de presse turque Anadolu :

    « Je le dis à l’Europe, êtes-vous à la hauteur ? Si vous le voulez, nous pouvons ouvrir la voie aux 15 000 réfugiés que nous ne vous envoyons pas chaque mois et vous couper le souffle. »

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 mars 2017

    http://fr.novopress.info/204444/la-turquie-declare-la-guerre-demographique-a-leurope/

  • Theo Luhaka reconnaît devant un juge qu’il a menti

    C’est officiel, il vient de l’avouer devant un juge, Théo Luhaka a menti lors du premier interrogatoire pour charger les flics. Comme pour la grotesque affaire Léonarda, les Français peuvent remercier leur président de s’être aplati devant cette racaille notoire. Merci président !

    Lors de sa première audition, Théo avait expliqué s’être fait « enfoncé » un « baton dans les fesses » par des policiers à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis) en février dernier suite à un contrôle d’identité qui avait mal tourné. L’un d’eux aurait ainsi « écarté (son) caleçon sur le côté », pendant que le deuxième lui « tenait les jambes » et que le dernier le maintenait « légèrement incliné debout ». Mais comme le révèle Le Parisien dans son édition du 21 mars, le jeune homme a été mis face à ses contradictions lors d’une nouvelle audition.

    La juge qui l’interrogeait a notamment mis en doute ses propos en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance et sur les constatations faites sur le caleçon du garçon, retrouvé troué. « Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état », lui a répondu Théo, reconnaissant ne pas se souvenir des mots qu’il avait prononcés ce jour-là.

    Un pantalon taille basse, qui « descend tout seul »

    Interrogé également sur le jogging qu’il portait au moment des faits, le jeune homme a concédé que ce n’était pas forcément « volontaire » s’il descendait, même si selon lui, les policiers tiraient tout de même dessus lorsqu’ils l’ont « attrapé ». 

    La magistrate lui a fait remarquer que sur la vidéo, on le voit arriver en portant le vêtement large taille basse. « Si tu ne serres pas ton pantalon avec le cordon, logiquement, il descend tout seul. Et puis je prends mes pantalons en XL, ce n’est pas ma vraie taille », lui a-t-il indiqué.

    Néanmoins, Théo continue de maintenir que la matraque a bien été enfoncée de manière volontaire. Une version que l’IGPN, la police des polices n’a pas retenu, qui explique dans son rapport que le geste « visait la cuisse pour faire plier la jambe de l’intéressé », et que donc sa « finalité », ainsi que « ses conséquences » n’étaient « pas intentionnelles ».

    Source
    http://www.contre-info.com/theo-luhaka-reconnait-devant-un-juge-quil-a-menti |

  • Encore un ministre de Hollande qui a des ennuis avec la justice

    Et cette fois... il s'agit du ministre de l'Intérieur ! Le parquet national financier (PNF) a annoncé l'ouverture aujourd'hui d'une enquête préliminaire sur l'emploi par le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux de ses filles, alors adolescentes, comme collaboratrices parlementaires. Bruno Le Roux était député (PS) entre 2009 et 2016. le ministre a démissionné.

    Liste des affaires de ministre ou conseillers de Hollande depuis le début du quinquennat :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Appel à témoins : quelqu’un peut-il nous dire ce qu’a dit Emmanuel Macron ?

    C’est un appel à témoins essentiel que lance ce matin Novopress, au lendemain du débat qui, sur TF1, a opposé les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle : quelqu’un aurait-il compris ce qu’a dit Emmanuel Macron tout au long de la soirée ? Ce qu’il a proposé ? « Je suis incapable de résumer votre pensée, vous n’avez rien dit », lui a lancé Marine Le Pen. Selon Médiamétrie, ce débat a réuni 9,8 millions de téléspectateurs. S’il s’en trouve un qui a compris sa pensée, qu’il n’hésite pas à nous contacter…

  • Du pizzagate au pédogate ?

    Le pizzagate  ne fait que commencer mais déjà s'affole le Système, du moins sa croûte d'élites moribondes. Nous savons de quel procédé principal ces dernières se servent afin de contenir au maximum la diffusion de la vérité qu'elles appellent confortablement « théories du complot ». En effet, dès qu'une parcelle de réalité est soumise à la lumière qui éclaire leur culpabilité, les élites parlent automatiquement, comme des robots, de « théories du complot ». Pour que ce procédé perdure, garde une partie importante de son efficacité, de son efficience, il faut cependant qu'il désigne encore et toujours un magma indéfini d'idées, de croyances, de fantasmes, d'inventions, d'absurdités diverses ou de choses indémontrables mélangés avec des faits indubitables, circonstanciés, prouvés, illustrés. La technique consiste à mettre sur le même plan les délires (souvent créés par le Système) et la terrible réalité qui incrimine d'une façon implacable un nombre considérable de Zélés au pouvoir. Les faits les plus dangereux (pour les élites) sont actuellement diffusés de plus en plus intensément sur Internet (mais l’information qui circule repose sur des faits véritables, des arrestations, des déclarations officielles, des photos authentiques, des viols, des toitures, des décès inquiétants et des disparitions mystérieuses notamment). Nous avons évoqué à maintes reprises cette façon d'amalgamer volontairement tout et n'importe quoi pour discréditer l’information véritable, la démonétiser en la mettant de force en contact avec des imbécillités créées de toutes pièces.

    La raillerie du "conspirationnisme"

    Et quand une partie de la population commence à faire le tri entre le bon grain et l'ivraie, à mettre de côté d'un revers de main les crétineries sur les aliens et les fantômes, pour se saisir en adultes des vrais sujets, des vraies questions, des vrais enjeux, pour s'intéresser honnêtement et calmement aux affaires qui concernent la vie de milliers d'enfants et de millions d'âmes, les élites rances macérant dans ce qui désormais saute aux yeux (de ceux qui veulent voir) interviennent pour railler les conspirationnistes. Ironie de l'histoire, parfois les plus grands conspirationnistes, non perçus comme tels grâce à un cachet de sérieux, sont, en fins stratèges, les conspirateurs eux-mêmes et les plus noirs d'entre eux. C'est le cas de l'épouvantable John Podesta (ancien chef de campagne de Hillary Clinton lors des dernières présidentielles américaines) qui passait pour un spécialiste des aliens aux États-Unis avant de travailler en première ligne pour le Parti démocrate. Aujourd'hui confondu dans son milieu de tarés, soupçonné d'avoir perpétré des horreurs, Podesta se débat dans tous les sens et, comme par hasard, reparle des petits hommes verts sur son Twitter à l'occasion de la découverte des planètes qui seraient potententiellement "habitables" du fait de la présence d'eau sur leur sol (ils nous prennent vraiment pour des buses avec leur odyssée de l'espace). Pour une foi, le petit démon aimerait bien que l’on ne regarde pas son doigt (tordu) mais la lune.

    Etrangement, alors que les chercheurs de vérité se fichent actuellement comme de leur première souris, de leur espace intersidéral, de leurs fusées et même du côté invisible de l'astre mort, le spationaute français qui parle de mots croisés du haut de sa cabine ou carrément de football en se filmant, vient de se moquer des conspirationnistes du haut de son ISS. Du grand spectacle à la Patrick Sébastien, mais dans l'espace ! Dernière facétie de Thomas Pesquet en train de flotter dans son néant ? Un selfie pour dire na ! Aux complotistes. À tous les complotistes, écrivent les journaux, complotistes qui seraient tous des fous paranoïaques comme le démontrerait sa photo de lui, dans son scaphandre qui lui sied à ravir. Qui est le plus ridicule dans cette affaire ? L'internaute derrière son ordinateur ou un astronaute coûtant des milliards d'euros à la France et qui se fiche du pauvre premier dans son ISS rutilant ? Il faut vraiment que les élites putréfiées soient aux abois pour profiter de l'espace et d'un cosmonaute (véritable gabegie) qui fait des coucous de débile mental dans le noir de son univers pour faire la nique aux "jaloux". Après Bergoglio, Pesquet ! Bientôt ils feront parler l'hologramme de Mélenchon, ou l'esprit tout-puissant de Nelson Mandela par l'entremise de Paco Rabane qui signerait par là son retour. Soyons sérieux. Encore un effort et leur homme de l'espace dont on se moque éperdument lancera une fatwa contre les chercheurs de vérité qui s'intéressent à autre chose qu'à sa pomme de gros fayot.

    Les enquêteurs se moquent des railleries

    Pour l'instant, la nouvelle présidence américaine, le FBI et les services de sécurité intérieure ne perdent pas de temps avec l'anticonspirationnisme , ils travaillent et sauvent des enfants sans faire beaucoup de seines, il est vrai. Podesta a, lui aussi, fini par le comprendre et s'est résolu à accepter une interview politique. Jamais, nonobstant, il ne put expliquer le nombre invraisemblable d'anomalies, les photos, les courriels très étranges, les liens avec des pédocriminels notoires mis en avant pas Wikileaks et les internautes. Tout cela, il n'en parle pas mais préfère axer sa défense sur le rôle supposé de « quelques éléments du FBI » dans cette affaire qui n'aurait servi qu'à ruiner la campagne de Hillary Clinton. Un fou furieux imaginant échapper à son sort en mettant en exergue les intentions du FBI en faisant mine d'oublier que les moyens pour les battre, lui et toute son équipe, sa patronne et ses proches, ne sont pas immoraux mais bien au contraire immensément salvateurs. Les moyens et la fin ne peuvent être opposés ici.

    Le dévoilement progressif de l’immonde est un bien, et un moyen de tendre davantage vers le Sien, Podesta proteste : c'est, de la triche ! Ses adversaires ont parié de cruautés mais les règles du jeu l'interdisaient, et il enrage ! Que cette engeance, ou plutôt cette génération de sadiques soit sacrifiée, qui s'en plaindra pourtant ? D'aucuns pensent cependant que tous ces démons vont s'en sortir et poursuivront leurs activités criminelles en renforçant leurs protections et après avoir colmaté les brèches. L'argent et les réseaux prendront le dessus sur la justice. Cette hypothèse semble, heureusement, de plus en plus hasardeuse, quelques faits récents témoignant objectivement de l'abandon des plus importants soutiens qui portaient Podesta et ses sbires.

    Des vedettes écoeurrées

    Nous ne parlons pas du célèbre acteur hollywoodien, James Woods, qui s'en est pris sans gant à ce vampire de Podesta (quelques jours après avoir fait scandale au Bataclan, mais c’est une autre histoire) en lui promettant l'enfer « Mets de la sauce à la noix sur ta pizza et ferme-la ! Tu as de la chance de ne pas être encore en prison ! J'ai dit encore... ». Nous ne voulons pas non plus parler du jeune acteur Ashton Kutcher qui dénonce depuis des mois, à l'instar d'Elijah Wood du Seigneur des anneaux, l'horreur pédomane au sein d'Hollywood après avoir mentionné le Pizzagate.

    Depuis quelques années, de nombreux acteurs, plus ou moins à succès, dénoncent les viols, les humiliations et les tortures non seulement dans le monde du cinéma mais aussi dans celui des riches et des puissants d'une manière générale. L'observateur aura repéré cette pression croissante exercée par la cohorte toujours plus nombreuse des artistes encore debout sur les pouvoirs publics pour qu'elles enquêtent véritablement. Face à cette rébellion, le clan richissime des pourris a opéré ces derniers temps une véritable fuite en avant, multipliant les outrances, les provocations sataniques et précisément (cela est démontré) pédosataniques. On ne compte plus les clips subversifs des K. Perry, des Miley Cyrus, des Lady Gaga, qui s'amusent avec les symboles phalliques et s'habillent avec des parts de pizza. Avant le déclenchement du Pizzagate, on n'y comprenait rien, on ne saisissait pas le message derrière cette esthétique douteuse.

    Demain, ces pourritures feigneront de ne rien y comprendre, évoqueront la mode du moment pour sortir du bourbier, répondre aux accusations que les Américains formuleront à leur encontre. Ça va chauffer dans le foyer de l'Oncle Sam dans les mois et les années qui viennent. L'un des plus gros indices du changement de "climat" est la prise de distance brutale de la milliardaire Lynn de Rothschild à l'égard de la clique de Washington. Elle qui fut un soutien de Podesta déclara la semaine dernière qu'il n'était qu'un perdant, un minable, un "loser" (le pire adjectif qui peut sortir de la bouche d'un Rothschild), bref, qu'elle ne voulait plus en entendre parler. Même la famille Rothschild prend désormais ses précautions en se désolidarisant de celui qui pourrait peut-être servir de bouc émissaire aux autres tarés, protagonistes de ce qu'il faut désormais appeler le Pédogate. Les Rothschild lâchaient publiquement Podesta le 22 février.

    Donald Trump parle publiquement des trafics humains

    Le 23 février, le lendemain, Donald Trump faisait une déclaration formidable (la vidéo est sur Youtube) sur les nouvelles enquêtes qui ont débuté sur les trafics d'êtres humains. Sur le volet pédosatanique, il a annoncé une enquête fédérale sur les réseaux pédomanes et il a promis d'aider à mettre fin « aux horribles, vraiment horribles crimes qui se produisent ». Aussi a-t-il ordonné « au Département de la Justice, au Département de la Sécurité intérieure et à d'autres organismes fédéraux d'affecter plus de ressources et de personnel à l'enquête ». L'enquête, a-t-il déclaré devant un parterre de journalistes, « s'est largement intensifiée au cours des quatre dernières semaines », depuis le début de sa présidence. Il est évident que de tels propos annoncent une nouvelle vague d'arrestations. Une nouvelle vague, disons-nous, car, déjà, plusieurs centaines d'arrestations ont été accomplies aux États-Unis depuis la prise de fonction de Donald Trump. Il n'est pas facile de connaître ces informations, ici, les gros média préférant informer les Français sur la guerre des toilettes transgenres aux États-Unis plutôt que des enquêtes concernant les trafics d'êtres humains. Certainement une position éditoriale relevant d'une grande pudeur... Des enfants sont libérés, des enfants sont sauvés, d'autres sont découverts ravagés par les sévices, mais la pudeur de Libération, du Monde, de Canal+, de L'Obs oblige les journalistes sensibles et si professionnels à ne pas parler de ces horreurs. C'est du grand, du très grand professionnalisme, on n'a jamais vu plus pros.

    Dévoilement aux États-Unis et ailleurs

    Alors qu'en 2015, les soupçons de pédocriminalité à propos de l'ancien Premier ministre Edward Heath (1970-1974) étaient relayés par le journal de référence, les nouvelles révélations sur l'énergumène (plus monstrueuses encore) mort en 2005 n'ont pas fait l'objet d'articles particulier dans le quotidien de Pierre Bergé… Les autorités anglaises évoquent pourtant la mort d'au moins 16 enfants. Toujours, en Angleterre (en plein pédogate), après les révélations officielles faites sur le comédien ami de tous les puissants Jimmy Savile (qui fournissait, en chair fraîche Edward Heath), l'ancien Grand maître franc-maçon Alan Wright a, été pris, la semaine dernière, en flagrant délit « de corruption de mineur ». Nous n'en savons pas davantage sur ce dernier point.

    D'autres énormes enquêtes sont menées actuellement en Australie, au Canada, au Japon, dans les pays Scandinaves... Mais l'épicentre de cette guerre contre tous ces tarés est bel et bien l'Amérique, même si les secousses sont ressenties partout dans le monde. Et d'aucuns se demandent si les arrestations des frères Katsiantonis ne sont pas en rapport avec cette guerre.

    À Détroit, 22 personnes ont été arrêtées et deux enfants sauvés. En Californie, 474 personnes ont été arrêtées ! À Memphis, 46 personnes ont été arrêtées. En Virginie, 11; dans l’Illinois 108; en Pennsylvanie 5. À Haïti, un énorme réseau a été démantelé. Il y a moins de trois semaines, le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a publié un nouveau spot pour une campagne sur la lutte contre le trafic d'êtres humains avec des références évidentes avec ce que l'on appelle le Pizzagate (les officiels n'utilisent pas ce terme). La vidéo pédagogique présente un grand nombre de symboles utilisés par les pédosatanistes et les trafiquants, comme ces pizzerias décorées de spirales bleues, comme la combinaison des cœurs bleu et rose, comme le dessin d'un papillon formé de deux cœurs rose et bleu, et d'autres. Le message du DHS est limpide : il exhorte les citoyens à mener l'enquête partout. Four qu'un jour cessent ces cruautés perpétrées en quantité industrielle.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 2 mars 2017

  • Têtes à Clash #1 : Têtes à Clash #1 – Présidentielles 2017, voile & Brexit

  • Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »

    Source : OJIM – “Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »”

    Il y a quelques semaines, l’Ojim vous révélait l’initiative du Conseil Économique et Social Européen visant à définir les « bonnes pratiques » dans la couverture médiatique de la crise des migrants. L’heure des travaux pratiques a commencé. C’est maintenant l’Union Européenne qui récompense les journalistes qui adoptent une présentation de la crise migratoire conforme à sa vision favorable à l’immigration.

    L’UE a en effet lancé en début d’année un Prix des médias pour promouvoir « un journalisme sur la migration basé sur des preuves ». Partant du constat que « le discours actuel qui entoure la migration a pris une tournure dramatiquement négative durant la dernière décennie en Europe et ailleurs » et que « la couverture des médias des phénomènes migratoires joue un rôle important dans la formation de l’opinion publique », les organisateurs de ce prix ont comme objectif de « renforcer le rôle positif que les médias peuvent jouer quand il s’agit d’influencer le récit actuel des migrations ». Cette compétition permettra de réunir 72 récits qui pourront être utilisés et diffusés grâce à des droits d’auteurs partagés. La remise des prix aura lieu le 22 juin 2017 « sous les auspices de la Présidence maltaise de l’Union Européenne ».

    Quand Bill Gates finance les médias favorables aux migrants

    Hasard du calendrier, l’European Journalist Centre est quant à lui à l’origine d’un projet, financé notamment par la fondation Bill Gates, qui vise à assurer la couverture pendant dix-huit mois de l’arrivée et de l’intégration de familles de migrants. Quatre grands journaux européens vont participer à l’opération, Le Monde, le quotidien anglais Guardian, le quotidien espagnol El Pais et l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.

    Selon Le Monde, « le projet s’inscrit dans l’approfondissement de notre couverture des questions migratoires ». Le Directeur de l’European Journalism Centre indique sur le site de l’EJC qu’« avec 10 élections nationales en 2017 sur le continent, des projets de cette envergure sont vitaux ». On n’en connaitra pas plus sur les « enjeux vitaux » de ces élections, mais l’angle des articles publiés dans le cadre de cette initiative, des récits de vie, vise à développer l’empathie vis-à-vis des migrants, indépendamment de toute autre considération.

    Et l’UE prône d’ouvrir les vannes en grand

    Le commissaire européen aux Migrations et aux Affaires intérieures l’affirmait récemment à la Tribune de Genève, « L’Europe va avoir besoin de 6 millions d’immigrés ». «Nous allons ouvrir des bureaux (pour les permis de séjours) dans tous les pays de la rive sud de la Méditerranée et en Afrique de l’Ouest ».

    L’Union Européenne utilise donc la carotte pour influencer une opinion publique de plus en plus réticente à accueillir une immigration massive dans une Europe qui compte 21,4 millions de chômeurs et 29 millions de travailleurs pauvres. Mais elle pourrait aussi manier le bâton, comme le relate France Soir le 2 mars : « la Commission européenne a durci le ton jeudi face aux États membres de l’UE, en menaçant de sanctions ceux qui refusent d’accueillir des réfugiés ».

    Politique de la compassion

    Les récits de vie des migrants sont de plus en plus nombreux dans les médias et l’espace public : outre l’initiative des 4 grands journaux européens, le Télégramme relate le 5 mars que des bénévoles se sont succédés à Rennes pour un marathon de lecture de 24 heures pendant lequel ont été lus 400 témoignages de migrants, « contenus dans une encyclopédie des migrants, recueillis de Brest à Gibraltar ». Le 8 mars, Arte dressait dans un documentaire le portrait de trois femmes qui ont choisi la France.

    Ces récits peuvent participer de l’information sur les migrations actuelles vers les pays européens. Mais des monographies, aussi touchantes soient elles, ne peuvent résumer à elles seules les différentes dimensions de l’accueil des migrants. Ce type d’enquête fréquemment utilisé en sociologie soulève, selon le sociologue J.C. Passeron, cité dans un article consacré aux recherches qualitatives deux problèmes :

    – « Le récit de vie se veut exhaustif et par-dessus tout signifiant, ce qui donne l’impression de tout comprendre au risque de faire disparaître toute approche théorique permettant de décrire le problème étudié.

    – Le risque est grand de céder à l’illusion de ce que le sociologue appelle la « panpertinence » : tout est pertinent et fait sens, le monde ne peut être décrit ».

    Il est vrai que la pression migratoire a tout intérêt à être minimisée, enjolivée ou carrément passée sous silence. Les passages en force de clandestins à Ceuta relatés par Ouest-France, les millions de candidats qui attendent dans les pays africains l’occasion de passer la méditerranée cités par Il Tempo, le nombre toujours croissant de demandeurs d’asile arrivés en France, 100 000 en 2016 selon Le Figaro, et dont les déboutés ne sont quasiment jamais reconduits dans leurs pays : autant d’événements qui pourraient accréditer l’idée d’une situation hors de contrôle.

    Vouloir influencer le jugement des citoyens en récompensant des journalistes qui se conforment à la vision hors sol des peuples et de l’économie de l’Union Européenne, indépendamment des implications sociales et culturelles de l’accueil massif de migrants : une nouvelle étape dans le formatage des esprits.

    http://fr.novopress.info/

  • Christian Estrosi tente de tirer François Fillon vers la gauche

    Christian Estrosi, qui a battu Marion Maréchal-Le Pen aux dernières régionales grâce au renfort de la gauche, alerte François Fillon :

    "je regrette que parfois, dans mon propre camp politique, on finisse aussi par banaliser ce FN si haut. On assiste plus dans cette campagne à des règlements de comptes entre la droite et la gauche pour tenter de décrocher la deuxième place derrière elle. Or, tout devrait être fait pour qu'elle ne soit même pas au second tour. Le pire, c'est que je pense même qu'elle est sous-évaluée dans les intentions de vote pour le premier tour.

    C'est-à-dire ?

    On la crédite à 25 % en moyenne, je pense qu'elle pourrait dépasser les 30 % voire même gagner l'élection présidentielle. C'est pour cela qu'il faut la combattre dès le premier tour, en ne lui laissant aucun terrain et en s'adressant notamment aux classes moyennes et populaires. Le mot social n'est pas un gros mot.

    Pourtant, on ne sent pas que le social, les classes moyennes et populaires, soit la priorité de François Fillon dans son programme...

    S'il est vrai que la part du social a évolué dans le programme de François Fillon, ça ne sert à rien de faire la course à l'échalote sur le terrain du FN en faisant une surenchère excessive en matière de sécurité et d'immigration. [...]

    Sens commun a pris une part importante dans la campagne de votre candidat. Qu'en pensez-vous ?

    Cela m'inquiète et j'ai eu l'occasion de le dire à François Fillon. Il ne peut pas confier l'organisation de la campagne à la frange la plus radicale de notre famille politique s'il veut rassembler plus d'un Français sur deux. Je respecte cette frange, mais elle est minoritaire. Face au FN, il ne faut pas ressembler, il faut rassembler."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Comment les médias effectuent un conditionnement anti-FN

    On sait que la campagne présidentielle est lancée quand mensonge et diabolisation se conjuguent pour faire barrage à Marine Le Pen. C’est donc parti ! Jean-Yves Le Gallou en fait le décryptage dans le n° 143 de son émission I-Média, sur TV Libertés.

    01:39 Conditionnement anti-FN dans les médias

    Le Front national fait les frais d’une campagne de dénigrement, une de plus. En 2017 comme à chaque fois, les médias s’appliquent à conditionner les électeurs. Pour l’information objective, on repassera ! Quandle scrutin sera terminée…

    14:59 Le Zapping d’I-Média

    Le journaliste Franz-Olivier Giesbert qualifie le quotidien Le Monde de journal incompréhensible. Il est tiraillé entre la ligne Macron, définie par les propriétaires (Xavier Niel, Pierre Berger) et une rédaction qui roule pour Benoît Hamon.

    Quant à France info, la radio d’information en continu du service public, elle diffuse une séquence… d’astrologie sur le candidat des Républicains François Fillon !

    25:05 Caricature de Macron, circulez y’a pas de banquier

    Caricature de Macron en banquier : la sanction médiatique est unanime. Le dessin est antisémite et fait référence aux « heures les plus sombres de notre histoire ». Mieux, dans le Huffington Post, Fabrice d’Almeida ira jusqu’à affirmer que cette caricature vient sûrement des plus zélés du camp Fillon, c’est-à-dire de la Manif Pour Tous. C’est le point Godwin de la semaine.

    33:15 Les tweets de la semaine

    Sondage sur le site du Figaro ; quand les internautes répondent « oui » à la question : Etes-vous favorable à la sortie de l’euro ?, le Figaro modifie sa question en « Craignez-vous les conséquences d’une sortie de l’euro », et tant pis pour ceux qui se sont exprimés.

    Novlangue dans l’Obs à propos des « soutiens sulfureux » de François Fillon.Charlotte d’Ornellas propose une autre définition du mot « sulfureux » : « De droite, régulièrement en désaccord avec la rédaction du Nouvel Obs ».

    37:05 Sevran : décryptage de la contre-enquête du Bondy Blog.

    Femmes interdites dans un bar PMU à Sevran, le Bondy Blog publie une contre-enquête. Pour le journal des banlieues, il n’y pas de ségrégation. En fait, la contre-enquête est biaisée et incomplète.