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magouille et compagnie - Page 1656

  • Attentat en Suède, le terroriste était un demandeur d’asile

    Stockholm et Saint-Pétersbourg sont les dernières étapes du terrorisme en Occident.

    Le djihadiste du Kirghizistan disparu des radars de contrôles à la frontière pour au moins un an, durant lequel semble-t-il il a été en Turquie, s’est préparé à reparaître en Russie et à frapper dans le métro de Saint-Pétersbourg, terrible attentat qui a causé la mort de 14 personnes et fait de nombreux blessés graves.

    Le terroriste ouzbek qui en Suède au volant d’un camion a renversé et tué 5 personnes et blessé 15 passants est lui un « réfugié » accueilli dans le pays de la bien-pensance en 2014 et dont la demande d’asile politique avait été rejetée en juin dernier.

    Libres d’entré, de sortir, et de tuer là où ils ont été accueillis, logés, nourris…

    Matteo Salvini, le chef de la Ligue du Nord italienne a eu cette remarque pertinente :

    « Le terroriste de Stockholm était un réfugié qui devait être expulsé. Celui de Milan avait débarqué à Lampedusa et avait été arrêté 5 fois. Que disent tous les bien-pensants ? Blinder les confins et bloquer les frontières, avec tous les moyens. Autrement c’est de la complicité. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/attentat-en-suede-le-terroriste-etait-un-demandeur-dasile/72198/

  • Une faction LR menée par Estrosi est en négociation avec Emmanuel Macron

    Lu sur Sud Radio :

    "Voici une scène qui s'est déroulée dans le bar le Brazza, dans le quinzième arrondissement de Paris rue Vaugirard, à 200 mètres du siège du parti Les Républicains. Christian Estrosi et Jean-Paul Delevoye, le président de la commission d'investiture du mouvement En Marche, se sont rencontrés. Et la discussion ne se faisait pas avec un accueil de façade comme c'était le cas à Marseille, afin de masquer le fait qu'une négociation était en cours. Les termes de la négociation sont les suivants, Christian Estrosi prépare un appel d'élues dès le soir du premier tour, si Macron est en situation, afin de voter en sa faveur. En échange Les Républicains et les candidats En Marche vont s'aider dans la région PACA pour les élections."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout faire pour empêcher Marine Le Pen de faire campagne…

    Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».

    Tout est bon pour essayer de faire taire Marine Le Pen et le Front national. Rappelons-nous, en 2015, les propos de Manuel Valls, Premier ministre émérite : « Tout faire pour empêcher le Front national de gagner une région. » Et aujourd’hui : tout faire pour empêcher Marine Le Pende faire campagne. Tout ? Tout.

    Par exemple, arguer du risque de trouble à l’ordre public, comme ce fut le cas en début de semaine dernière dans le Vaucluse, dans la petite ville de La Tour-d’Aigues, fief socialiste de longue date, accroché sur les contreforts sud du Luberon. Marion Maréchal-Le Pen avait en effet obtenu, depuis plusieurs semaines, du maire socialiste l’autorisation en bonne et due forme d’y tenir une réunion publique. Certains ont pu croire un instant que le respect du débat démocratique et que les conditions apaisées de l’expression de ce débat étaient une réalité dans ce pays. Eh bien, non : à la veille du meeting, à la surprise générale, le maire prend un arrêté interdisant la réunion publique, prétextant de l’annonce d’une contre-manifestation gauchiste. Le Front national ose vouloir tenir réunion publique dans ce que la gauche et ses alliés gauchistes considèrent comme un fief inaliénable, vous n’y pensez pas ! Tout faire pour empêcher le Front national de s’exprimer, disais-je.

    Finalement, la justice administrative, saisie par le Front national, lui donne raison en suspendant l’arrêté. La réunion publique peut se tenir.

    Évidemment, entre-temps, la presse locale n’a pas manqué de relayer l’annulation de la réunion, histoire sans doute que les gens ne se déplacent pas pour rien… Malgré tout, plus de 200 personnes réussissent à se rendre au meeting, après avoir passé les barrages gauchistes, souvent plus difficiles à franchir que les frontières nationales !

    Le maire désavoué par la justice, toute honte bue, déclare à la presse le lendemain que le Front national aurait pu décaler sa réunion et souligne le fait que le déploiement des forces de l’ordre pour assurer la sécurité de la réunion aurait coûté 60.000 euros. En clair, une dépense qu’on aurait pu éviter si le Front national n’avait pas voulu faire valoir ses droits constitutionnels. Vu comme ça, effectivement, Staline et Ceaușescu étaient de parfaits gestionnaires des deniers publics.

    Tout faire pour empêcher Marine Le Pen de faire campagne ? On continue. Aujourd’hui, samedi, c’était des manifestants indépendantistes ou gauchistes qui voulaient empêcher Marine Le Pen de tenir son meeting à Ajaccio, usant de violence et scandant des slogans anti-français (« Dehors, les Français »). La réunion publique, qui se tient au moment où sont écrites ces lignes, a dû se tenir dans une autre salle que celle prévue initialement.

    Évidemment, les médias relativisent la gravité de tels incidents. Ainsi, Camille Langlade, journaliste de BFM TV, n’hésite pas à comparer ces actes de violence avec la manifestation des pieds-noirs lors de la venue d’Emmanuel Macron à Carpentras, le 16 février dernier. Quoi de commun entre ces pieds-noirs ou enfants de pieds-noirs, certes en colère – et il y avait de quoi, après les propos scandaleux d’Emmanuel Macron –, mais pacifiques, rassemblés sous leur drapeau d’association, et ces bandes de casseurs ? Le relativisme comme mode d’action contre le Front national. Tout faire, disais-je.

    Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».

    http://www.bvoltaire.fr/faire-empecher-marine-pen-de-faire-campagne/

  • LMPT : le Général Soubelet admet que des directives pas « très flatteuses pour notre démocratie » ont été transmises aux gendarmes mobiles

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    Mensonges sur les chiffres des manifestations de la Manif pour Tous, méthodes violentes souhaitées par la préfecture de police de Paris, Soubelet ne fait que confirmer ce que la « fachosphère » et les Français sincères dénonçaient alors.  

    Trop souvent, les décisions de l’exécutif divisent, séparent et dressent parfois les Français les uns contre les autres. Parmi les plus récentes, la plus emblématique a été la loi concernant le mariage pour tous. (…) Sans rentrer dans le débat de fond, qui demeure tout en étant juridiquement tranché, était-il raisonnable, responsable et utile de commencer ces cinq ans par un projet de loi de cette nature ? Ce « pour tous » a été un contresens. Car cette loi a profondément divisé notre pays, conduit l’État à prendre une posture parfois équivoque et à ne pas dire la vérité, notamment sur les chiffres de la mobilisation à l’occasion des manifestations. Elle a conduit à une radicalisation dans chaque camp. Finalement, cette disposition législative qui a mobilisé le pays et des énergies considérables a-t-elle apporté une plus-value significative à l’ensemble de la société ?

    La réponse est clairement non et cette « croisade » a laissé des traces indélébiles dans l’inconscient collectif. Plus précisément: combien de couples ont bénéficié de ces dispositions depuis la promulgation de la loi ? Moins de 40.000, c’est-à-dire une moyenne de 8000 à 10.000 par an. (…)

    J’ai eu cette discussion avec un ministre du gouvernement de l’époque en lui indiquant au cours d’un déjeuner en tête à tête les consignes peu républicaines qui avaient été données à certains commandants d’escadron de gendarmerie mobile en service lors des manifestations de 2013.

    Certaines directives données par des fonctionnaires de la Préfecture de police pour traiter le cas des « veilleurs » nocturnes sur l’esplanade des Invalides ne furent pas non plus très flatteuses pour notre démocratie.

    J’ai observé, pour la première fois de ma vie d’officier de gendarmerie, au cours d’une réunion un samedi matin de mai 2013, plusieurs commandants d’escadron de gendarmerie mobile exprimant des problèmes de conscience au regard des consignes contraires à leur éthique.

    Source
    http://www.contre-info.com/lmpt-le-general-soubelet-admet-que-des-directives-pas-tres-flatteuses-pour-notre-democratie-ont-ete-transmises-aux-gendarmes-mobiles#more-44448 

  • Campagne présidentielle : plus de drapeaux français pour les mal rasés

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    La France est devenue déraisonnable. Par certains aspects, elle semble ne plus s’aimer.

    Lundi 10 avril, l’élection présidentielle rentrera dans la période de « campagne officielle », aux règles très strictes : égalité des temps de parole, affichage des panneaux électoraux, professions de foi et diffusion, sur les antennes du service public, des clips des candidats. Si les réseaux sociaux ont changé la donne (les différents candidats y diffusant régulièrement des vidéos), les clips officiels sont une tradition très attendue par les Français. Ils avaient été vus par 48 % de la population du pays en 2012.

    Malheureusement, le CSA a jugé bon de brider à l’excès la créativité des candidats. Une feuille de route de onze pages leur a été distribuée, fixant des obligations indignes et grotesques. L’article 9, notamment, interdit aux candidats de « faire apparaître tout emblème national ou européen ». Il n’y aura donc pas de drapeaux français dans les clips de campagne de l’élection présidentielle française ! Proprement ubuesque. Une source bien informée indiquait à la presse que le CSA avait eu peur que certaines vidéos puissent « miser sur un nationalisme délirant ». Pareillement, l’hymne national ne pourra pas être utilisé en illustration sonore.

    Comment peut-on considérer qu’un drapeau français est l’expression d’un « nationalisme délirant » ? À l’évidence, les candidats de « droite », ou souverainistes, sont les principales cibles de cette mesure. Il est difficile d’imaginer monsieur Poutou, madame Arthaud ou Benoît Hamon utiliser notre drapeau pour faire campagne. On voit, d’ailleurs, autant de drapeaux étrangers que de drapeaux français dans les meetings du candidat socialiste, à l’image de la fête consécutive à l’élection de François Hollande, qui s’était tenue place de la Bastille.

    Cet événement, tout minime est-il, est symptomatique d’une période troublée. La France est devenue déraisonnable.

    Par certains aspects, elle semble ne plus s’aimer. On la dit libertaire mais elle est bien souvent effrayée par les libertés. Elle est, aussi, ennuyée par ses propres paradoxes. Le cas Philippe Poutou en est exemplaire. Phénomène médiatique viral, le candidat trotskiste est la créature de la société du spectacle qu’il aimerait dénoncer.

    Mal rasé, pas coiffé et dépenaillé, il a suscité la sympathie d’une partie des téléspectateurs et des médias. Le critiquer s’apparenterait même à « du racisme de classe ». Pourtant, son choix de tenue était savamment étudié. Déjà, Olivier Besancenot portait un blouson de cuir et un tee-shirt de manière à se distinguer des autres politiques, notamment du marxiste institutionnel qu’était, auparavant, le candidat du PCF et qu’incarne aujourd’hui Jean-Luc Mélenchon. Il ne s’agissait pas, ici, de respecter les classes populaires, mais de créer un personnage médiatique haut en couleur. Mission accomplie.

    De l’interdiction des drapeaux nationaux à la foire des « débats » dont on ne retient que de petites phrases et des postures, un même abaissement. La solennité est reléguée au placard. Ne reste que le « show »…

    http://www.bvoltaire.fr/campagne-presidentielle-plus-de-drapeaux-francais-mal-rases/

  • Macron en 2017 : comme Balladur en 1995 ?

    Pour mieux éclairer le phénomène Macron, il n’est pas inopportun de rappeler celui de son prédécesseur putatif…

    Comparaison n’est, certes, pas raison et les rapprochements analogiques cèlent aussi leurs propres limites. Nonobstant, pour mieux éclairer le phénomène Macron, il n’est pas inopportun de rappeler celui de son prédécesseur putatif, l’étrangleur ottoman mieux connu sous le nom d’Édouard Balladur.

    Car lui aussi voulait « faire bouger les lignes » et rassembler les « réformistes » des « deux rives ». Assez « social » pour complaire à la gauche et suffisamment « libéral » pour rassurer la droite. Ainsi, oint par la majeure partie des médias de l’époque, renforcé par des soutiens issus du troupeau des égarés en quête de notoriété ou d’investiture législative, il était désigné vainqueur dès le premier tour de l’élection présidentielle par le quotidien vespéral de référence, Le Monde.

    Ce qui le fit trébucher ? Une trop grande assurance, une campagne des plus brouillonnes et la gaffe d’un certain Nicolas Sarkozy, assurant alors qu’Édouard Balladur était fort « d’une coalition allant du CDS [les centristes d’alors, menés par Pierre Méhaignerie, NDLR] jusqu’au FN ». Quelques jours plus tard, la balladuromania médiatique s’inversa ; tout d’abord par une sévère une du défunt mensuel Globe, alors financé par Pierre Bergé, puis une « Chiracomania », à l’origine initiée en première page du Parisien par le même Pierre Bergé.

    En ce domaine, Emmanuel Macron paraît avoir retenu la leçon et, pour une fois, semble réfléchir avant de parler. Il est vrai que, contrairement à Balladur, qui bénéficiait, on l’a dit, du soutien des médias dominants, ces derniers sont aujourd’hui autrement mieux verrouillés. Et pourtant…

    Libération ne doit sa survie qu’au bon vouloir financier de Patrick Drahi – quelle ironie pour le journal maoïste fondé par Serge July, sauvé par François Mitterrand et cette social-démocratie européiste à juste titre honnie, avant de se faire racheter par la banque Rothschild pour, ensuite, tomber dans l’escarcelle de cette insubmersible arsouille –, mais il existe encore des journalistes qui, à défaut d’être irréductibles, font encore preuve de quelque trace d’esprit frondeur.

    La preuve en est ce long papier recensant la prestation du candidat maison à « L’Émission politique » de ce jeudi dernier.

    D’où cette appréciation : « Une prestation solide, confiante et à la fois déroutante – l’essence macronienne restant toujours aussi insaisissable. » On a connu compliment mieux tourné. Et de pointer l’incohérence d’Emmanuel Macron en matière de politique étrangère en général et des affaires syriennes en particulier : « Du flou macroniste à l’état pur. » Sur l’intervention de « l’invité surprise », François Ruffin, auteur du remarquable documentaire Merci patron, le journaliste commis d’office assure un service qu’on pourrait qualifier de « minimal », se contentant de citer cette seule phrase du candidat à dimension « christique » : « Je ne suis pas pour interdire les licenciements, car c’est la vie économique qu’il y ait des destructions et des créations. »

    À mots couverts, le journaliste prend donc, en douce, acte de décès de toute forme de volontarisme économique ; ce qui signifie, si les mots ont encore un sens, que la gauche française a renoncé à la politique. Logique, Emmanuel Macron a montré le chemin. En marche !

    En marche vers quoi ? Vers des ralliements tant opportunistes que folkloriques. Après Robert Hue, Jean-Michel Fauvergue, ancien patron du RAID, ralliement censé faire oublier le pas de deux d’une autre andouille galonnée, le général Bertrand Soubelet, gendarme un temps héros d’une droite portée sur le sabre et le goupillon, qui joue désormais les sous-préfets aux champs, non sans avoir prévenu : « Moi qui suis un homme d’autorité et qui ai toujours défendu mon pays, je ne vais pas laisser ces discours au Front national. Le FN s’en est emparé parce que les autres partis, avec leur lâcheté habituelle, les ont lâchés. Le FN, c’est comme la peste : dès qu’il dit quelque chose, on s’en éloigne… »

    À partir d’un certain grade, il y a des officiers supérieurs qui devraient être interdits de toute forme d’activité politique. Ne serait-ce que par salubrité publique et pour éviter de faire rire trop fort nos enfants à l’heure du goûter, ou que Rika Zaraï, elle aussi militaire émérite, ne se sente venir sur le tard un destin présidentiel.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-2017-balladur-1995/

  • Syrie : tous les morts ne se valent pas !, avec Jean-Yves Le Gallou

    Syrie-Enfants-Assad-1-282x350.jpg« Syrie, Russie : tous les morts ne méritent pas de Unes ! », tel est le sujet principal de cette nouvelle édition d’I-Média, l’émission hebdomadaire de Jean-Yves Le Gallou sur TV Libertés. En effet, Libération a publié en Une du jeudi 06 avril des corps d’enfants morts. D’après les témoignages recueillis par les journalistes de Libération, aucun doute possible : Bachar Al Assad est responsable de ce massacre. Le hic, c’est que les témoins sont partiaux et engagés dans le conflit syrien. Le quotidien ne voit pas de bonne issue possible à ce conflit.

    Au sommaire de cette émission :

    01:03 ; Le grand débat de BFM a-t-il servi Macron ?
    Lors du grand débat pour la présidentielle sur BFM TV, Macron jouait à domicile au milieu des 10 autres candidats. Pour les journalistes et les sondeurs le plus convainquant était, comme d’habitude, Emmanuel Macron.

    12:24 Le zapping d’I-Média
    A bras ouvert, le dernier film de Philippe de Chavreron, est victime de critiques de « violences inouïes ». Sur RTL, Pascal Praud a dénoncé un procès en sorcellerie. Quand Christian Clavier caricature un bourgeois catholique dans Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ?, il n’y a pas de problème. Mais A bras ouvert s’attaque à un dogme de l’antiracisme : on ne rit pas de la communauté Rom.
    Lundi 3 mars, Jean Michel Aphatie recevait sur France-Info Raquel Garrido, porte-parole de la France Insoumise. Faisant référence à la phrase « Rendre la France aux Français » prononcée par Jean Luc Mélenchon sur TF1, Jean Michel Aphatie s’interroge : « Ça nous a un peu écorché l’oreille, pour tout vous dire. On croyait que ce slogan était à un autre parti. » Qu’importe si l’intention n’est pas la même, les mots de Marine le Pen sont proscrits.

    21:33 Syrie, Russie : tous les morts ne méritent pas de Unes !

    33:33 Les tweets d’I-Média
    Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut de sondages IPSOS,refuse de faire des sondages concernant le deuxième tour de l’élection présidentielle opposant Jean-Luc Mélenchon à Marine le Pen pour éviter d’influencer les électeurs.
    Dualité dans la presse de gauche : la société des journalistes de Challengesdénonce un trop grand nombre d’articles pro-Macron imposé par la direction.

    38:01 Onde migratoire
    I-Média évolue et vous présente « Onde migratoire » : Comment les médias traitent la question de l’immigration en France ? C’est la revue de presse de Nicolas Faure.

    https://fr.novopress.info/204904/syrie-tous-les-morts-ne-se-valent-pas-avec-jean-yves-le-gallou/

  • Les publicitaires face au terrorisme antiraciste

    De tous côtés c’est confondant de bêtise.

    Si tout cela n’était pas d’une bêtise confondante, franchement, on en rirait. Mais voilà, la bêtise s’étale aujourd’hui sur les réseaux avec une telle force, une telle constance, un tel militantisme teinté bonne conscience qu’elle en devient un véritable fléau social.

    Pris à leur piège : les publicitaires.

    Dans un superbe retournement des choses dont nos sociétés sont – inconsciemment – coutumières, ils se prennent en pleine poire ce qu’ils ont eux-mêmes initié. En effet, à force d’utiliser tout « le temps de cerveau humain disponible » – selon la formule désormais célèbre de Patrick Le Lay, patron du groupe TF1, en 2004 – de leurs concitoyens pour y caser des pubs débiles destinées à leur faire dépenser tout l’argent qu’ils n’ont pas, ces derniers sont en train de se retourner contre leurs maîtres. Cela avec leurs propres armes : celles du terrorisme binaire et du manichéisme à front de bœuf.

    Et comme les réseaux sociaux et les petites lucarnes individuelles sont, aujourd’hui, devenus leurs terrains de chasse privilégiés, lesdits publicitaires cèdent désormais aux injonctions des internautes, cette nouvelle voix de la vérité révélée et du jugement dernier.

    Deux grandes marques, Pepsi et Nivea, viennent d’en faire les frais. Car à pubs idiotes, réactions débiles…

    Le marchand de soda a cru malin de plagier le mouvement protestataire noir américain Black Lives Matter en mettant en scène Kendall Jenner – la demi-sœur de Kim Kardashian, nous dit Le Monde (soit l’emblème de ce que cet univers de la pub et de la consommation a de plus creux) – qui, abandonnant sa séance photo, retire sa perruque blonde et sa jolie robe pour se joindre à des manifestants qui brandissent le mot « Amour », avant d’aller se poster devant un policier et lui tendre une canette de Pepsi.

    Les internautes sourcilleux y ont vu une allusion à la manifestation de Baton Rouge, en juillet dernier, où une femme (Ieshia Evans) s’était tenue immobile devant les policiers avant de se faire interpeller.

    Scandale, donc – comment ça, une Blanche qui rejoue la scène du martyre noir-américain ! –, et recul penaud de Pepsi qui se confond en excuses : « Notre intention n’était pas de prendre à la légère une problématique importante.

    Nous retirons ce contenu. Pepsi essayait de projeter un message global d’unité, de paix et d’entente. Clairement, nous avons manqué notre but et nous nous en excusons. »

    Même « problématique importante » pour Nivea, qui s’est offert sur sa page Facebook un slogan ravageur pour vendre ses déodorants au Moyen-Orient : « White is purity » (le blanc, c’est la pureté). On y voit « une femme caucasienne » (sic) « de dos devant une fenêtre avec un peignoir immaculé », rapporte BFM TV, et, en dessous, ces lignes : « Gardez-le propre, gardez-le brillant. Ne laissez pas la moindre chose l’abîmer, accompagné du hashtag #invisible. »

    Re-retrait de la pub et re-excuses platissimes : « Nous sommes profondément désolés vis-à-vis des personnes qui ont été offensées par ce post. Après avoir réalisé que cette image était déroutante, nous l’avons retirée. La diversité et l’égalité des chances sont des valeurs cruciales pour Nivea. »

    De tous côtés c’est confondant de bêtise, d’autant qu’il y aurait eu une autre solution : une pub de la dame en robe noire, avec des auréoles blanches sous les bras : « Plus jamais ça. » Quoique… Ou mieux : des mâles saoudiens à la place de la dame caucasienne, eux qui passent leur vie dans des djellabas immaculées, la tête sous un torchon à carreaux.

    Voilà donc où en est rendu notre monde marchand, qui prétend offrir à des crétins « l’unité, la paix, l’entente, la diversité et l’égalité des chances » via du déodorant et du soda ! Sauf que les crétins veulent du déo à leur couleur, et du soda tout pareil.

    Au secours !

    http://www.bvoltaire.fr/publicitaires-face-terrorisme-antiraciste/

  • Attentat de Nice : enquête sur les failles du dispositif de sécurité

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    Une information judiciaire sur les failles de la sécurité le soir de l’attentat islamiste du 14 juillet à Nice vient d’être ouverte. Les parents du petit Yannis, 4 ans, tué lors du carnage au camion perpétré par Mohamed Lahouaiej Bouhlel, estiment que le dispositif prévu par l’Etat et la mairie sur la promenade des Anglais était « manifestement insuffisant ».

    Le 19 janvier, le magistrat avait classé leur plainte sans suite, considérant qu’aucun élément ne pouvait constituer une infraction pénale. Les parents ont alors déposé un recours qui a abouti en s’adressant directement au doyen des juges d’instruction et en se constituant partie civile. Leur procédure vise la mairie et l’Etat.

    L’enquête doit porter notamment sur l’organisation de la « Prom Party » le soir du 14 juillet sur la promenade des Anglais : l’absence de plots de sécurité, la défaillance des contrôles, le nombre insuffisant de policiers nationaux et de militaires. Dans une interview à Présent du 28 juillet dernier, Olivier Bettati, conseiller municipal FN, avait qualifié de « faute lourde » la décision de Christian Estrosi, adjoint au maire chargé de la sécurité, de mettre en place un simple « dispositif de circulation » et non pas un « dispositif de sécurité » à l’entrée de la zone festive. C’est-à-dire sans les quatre blocs de béton qui auraient dû être déposés de chaque côté de la Promenade des Anglais et auraient permis de bloquer l’entrée du camion tueur.

    L’hypothèse d’un attentat au camion-bélier avait été envisagée une semaine avant pour l’Euro 2016 de football, sur la partie dite de la « Fan Walk », mais pas pour le soir du 14 juillet où 30 000 personnes étaient rassemblées pour assister au feu d’artifice. C’est précisément au volant d’un camion de location que Mohamed Lahouaiej Bouhlel, un Tunisien de 31 ans, a foncé dans la foule faisant 86 morts dont 20 enfants et adolescents et 450 blessés. Le ministère de l’Intérieur de Bernard Cazeneuve et l’adjoint à la sécurité de la ville de Nice, Christian Estrosi, n’avaient cessé de se renvoyer la responsabilité de la tuerie.

    Les parents du petit Yanis ont également demandé le « dépaysement » du dossier loin de Nice, leur avocat, Me Bouzrou, estimant que les liens du parquet avec la mairie et la préfecture, notamment sa participation aux réunions préparatoires sur les risques d’attentat avant le 14 juillet, compromettaient l’objectivité de l’enquête. Tout est normal…

    Et pendant ce temps, grâce au beau boulot d’Estrosi, l’islamisme s’implante de plus en plus à Nice et l’emprise des Frères musulmans s’étend sur 80 % des mosquées de la ville (qui en compte 20).

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 7 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuel Macron en flagrant délit de mensonge gravissime

    Le site internet « lagauchemorale.com » publie une vidéo terrible qui révèle un mensonge gravissime d’Emmanuel Macron.

    Regardez.

    Et partagez.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-flagrant-delit-de-mensonge-gravissime/