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magouille et compagnie - Page 1654

  • Moi, lanceu.se d’alerte. A mes grand.e.s. sœurs. A Cro-Magnon.e

    Par Laurence Maugest, philosophe, essayiste 

    Mes amiE.s ! Aujourd’hui est un grand jour : la révélation d’un complot millénaire ! Le dimorphisme de taille entre l’homme et la femme est d’actualité grâce, en bonne part, au travail de Priscille Touraille (*) qui dénonce la domination alimentaire de l’homme sur la femme depuis les banquets autour du feu et peut-être même avant le choc lumineux des deux silex.

    Mes sœurs, mes filles, mes voisines, réveillez-vous ! Depuis la préhistoire « le mâle » n’a qu’un objectif : nous faire maigrir (Salutations à Rubens), nous affaiblir.

    Cro-Magnon se jetait déjà sur les pièces de viande les plus riches, nous laissant, pauvres de nous, grignoter dans la caverne humide quelques lambeaux, néanmoins près des os. Et voilà où cela devient très subtil : à proximité du système nerveux.

    Os = moelle = système nerveux = neurones = l’intelligence qui nous permet aujourd’hui de réaliser l’arnaque virile. Ce qui explique la production explosive qui met en lumière, enfin, le complot masculin. Hé oui ! Nos ennemis – que nous pouvons nommer ainsi car, à la lecture des manchettes des journaux, Internet ou autres, nous savons que la guerre des sexes est déclarée – mais nos ennemis (c’est une bonne nouvelle pour nous (mais pas pour eux) se sont entourloupés à leur propre piège. Ils ont les muscles, nous avons le cerveau grâce à la moelle du mammouth ! (Euh, le vrai, enfin l’ancien vrai, pas l’Education nationale). C’est ainsi, par cette énergie intellectuelle, que nous pouvons mettre à jour une véritable conspiration et inonder avec une force peu commune l’univers médiatique.

    Les preuves

    Elles sont multiples, regardez mes amis.E.s, mes sœurs, mes nièces et toujours mes voisines, observez les boucheries.

    N’hésitez pas à faire du repérage ! Les bouchers sont des bouchers, nous ne pouvons pas en douter. Ce n’est pas un hasard. Les bouchÈRES sont exceptionnelles, voici LA preuve de l’organisation subtile de la mafia (appellation secrète XY) qui œuvre, en amont, à la faiblesse féminine depuis la nuit des temps.

    Et hop là ! L’air de rien, un morceau maigre pour madame, un morceau riche pour le moustachu ou pour celui qui serait susceptible de le devenir.

    Je suis consciente du problème que pose la mère, mariée à un homme (son mari) qui compte dans sa progéniture des enfants de sexe masculin lorsque celle-ci se présente devant le professionnel à machette forcément désappointé face à cette invisible clientèle qui se cache derrière une dame à cabas. Que faire devant un tel dilemme ? Comment ne pas priver la gente masculine du village ou du quartier tout en perpétuant le régime famélique destiné aux femmes depuis Cro-Magnon ? Le boucher se trouve face à ce qu’il appellera, dans les colloques singuliers de sa profession dédiés à la dénutrition de la femme, « la question insoluble du boucher » qui se trouve dans l’obligation d’empaqueter les morceaux en vrac, nutritifs et maigres mélangés. Là, nous avons trouvé notre allié, qui, improbable, s’appelle pourtant « la probabilité » de nous sustenter de quelques morceaux nutritifs. C’est ainsi que nous avons pu survivre, quelle ironie ! Mes amiE.s, mes cousines, il est temps de réaliser que c’est grâce au statut de « bonne », obligée de faire les courses pour la marmaille, que nous pouvons tenir debout aujourd’hui. Une fois encore le mâle s’empêtre les pieds dans ses pièges tendus.

    Je salue les fourneaux avec reconnaissance

    Devant lesquels, nous autres, pauvres femmes, asservies à la composition du repas, nous laissons libre cours à quelques grignotages gourmands de bouts de fromage ou autres sucreries qui ont su contribuer, d’une façon absolument pas négligeable, à notre maintien en vie.

    Une véritable industrie du crime qu’il nous faut dénoncer

    Avez-vous remarqué qu’une carte particulière est réservée aux messieurs dans les restaurants les plus susceptibles d’apporter une nourriture de qualité, fortifiante et riche ? Il est temps de se poser la question incontournable : « Pourquoi ? » N’est-ce pas dans l’objectif inavouable d’indiquer aux mâles, par quelques jeux de chiffres subtils, peut-être même ésotériques, les choix les plus judicieux à leur santé et à leur prospérité sous forme d’une codification complexe encore une fois interdite aux femmes ? Avez-vous noté qu’ils font tout pour que, jamais, nous ne puissions jeter un œil à cette mystérieuse carte ? Aucune initiation n’est donc possible à ces codes étranges, de surcroît sévèrement gardés par ces entreprises hôtelières. En effet, celles-ci n’hésitent pas à s’assurer du bon fonctionnement de leur stratagème en recrutant dans ce type d’établissement quelques grooms souriants mais que l’on devine alertes à surveiller d’éventuels croisements de cartes inopportuns.

    C’est donc toute la chaîne alimentaire, du chasseur à l’éleveur jusqu’aux assiettes des cuisiniers toqués, qui est envahie par une majorité écrasante d’humanoïdes de sexe masculin. CQFD. Excepté, il est vrai, dans le service à la clientèle qui reste néanmoins sans implication réelle dans la répartition des éléments nutritifs au sein de la population car les assiettes, il est important de le rappeler, sont préparées en cuisine, donc majoritairement par des hommes. CQFD (bis).

    La résistance

    Pour résister :

    • Mangeons cinq viandes ou volailles par jour ;
    • Dans les restaurants à cartes codifiées, échangeons, le plus discrètement possible, nos deux assiettes, avant la première bouchée du conspirateur qui se trouve, le plus souvent, en face de nous, et cela à chaque plat jusqu’au café ;
    • Dénonçons auprès des obstétriciens le fait que les embryons féminins reçoivent moins de protéines de la mère que les embryons masculins lors de leur gestation – Ceci n’est pas acceptable !
    • Faisons la promotion des régimes végétariens, ou végétaliens, ou encore véganes auprès des ex-intrigants, soit auprès de la population dite masculine.

    L’espoir

    Et vous verrez, mes sœurs, de protéine l’aube se lever. Nous aurons alors la force de chasser le buffle, d’ouvrir les pots de confiture et de désosser les carcasses les plus récalcitrantes.

    Dans les manifestations nous ne subirons plus le symptôme de la poussière malmenée, poussée par des balaises de plus de 80kg car… nous deviendrons balaises. Un jour, un jour éga.ux.le.s en muscle nous le serons ! Et nous atteindrons enfin la marche ultime autant que lumineuse de la rédaction des Droits DE LA FEMME et de l’homme.

    Comme notre cœur généreux nous pousse à éviter tout ostracisme, comme notre expérience douloureuse de siècles d’asservissement nous éclaire, et si nous parvenons à ce paradis d’égalité suprême par notre force révélée (notamment grâce aux protéines), nous aurons la grandeur d’ouvrir rapidement ces droits à toutes espèces animales voire végétales. Nous œuvrerons, mes sœurs, mes autruches, mes églantines à la reconnaissance exhaustive de toute espèce VIVANTE.

    VIVE l’Egalité !
    VIVE le Progrès !
    Vive le retour à la soupe initiale, vierge de domination masculine. Vive le Carbone, l’Hydrogène, l’Oxygène et l’Azote : Combinaison nommée « CHON ». Notre slogan à jamais, notre point ultime de convergence, notre projet, notre avenir qu’il faudra toutefois se garder d’utiliser en terre d’Auvergne pour éviter toute confusion malencontreuse due à l’accent local.

    Désespoir

    Malheureusement ce texte n’est pas aussi absurde qu’il en a l’air – Références :

    Le dimorphisme sexuel a de l’avenir… 
    (*) journals.openedition.org/clio/11364
    video-streaming.orange.fr

    Les antispécistes aussi : fr.wikipedia.org/wiki/Antispécisme

    Laurence Maugest 21/12/2017

    Voir aussi : « Les femmes sont petites car les hommes les ont privées de nourriture » : fake news !

    Laurence Maugest

    lm.jpgLaurence Maugest a une maîtrise de recherche en psychologie sociale. Durant plus de vingt ans elle a travaillé dans des services d'écoute et de soutien destinés à des personnes en difficulté, lieux stratégiques où la complexité et la diversité des individus rencontrés aiguisent une vive curiosité des autres. C'est par l'écriture qu'elle poursuit maintenant cette exploration sans fin.
  • Éric Zemmour : Emmanuel Macron “fait semblant de croire que l’Europe est une démocratie”

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le vivre-ensemble a encore frappé

    La nuit du 31 décembre a été émaillée de son lot de violences et de voitures brûlées, comme chaque année. Pour assurer la sécurisation du 31 décembre, ce sont 56000 policiers, 36000 gendarmes, 7000 militaires de l’opération « Sentinelle » et 39800 sapeurs-pompiers, sapeurs-sauveteurs et démineurs, soit un total de 139 400 effectifs des forces de sécuritéqui étaient mobilisés sur l’ensemble du territoire.

    Outre les centaines de voitures brûlées, partout en France, 3 policiers ont été blessés à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, lors de leur intervention en marge d’une soirée qui a dégénéré. Un capitaine et une policière se sont vus prescrire respectivement 8 et 7 jours d’ITT, et un policier a été légèrement contusionné. Le commissariat local a été saisi de l’enquête. Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent un groupe de voyous lyncher une femme policière. Sur cette affaire, ce sont les réseaux sociaux qui ont répandu l'information, la presse commerciale n'a fait que suivre. Emmanuel Macron et Gérard Collomb ont réagi.

    Michel Janva

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  • La juste question d'Éric Zemmour : « Mais qui en veut au mâle blanc, occidental et hétérosexuel ? »

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    Tex, le présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours »

    On pourrait accuser Internet de tous les maux, mais on refuserait de voir la stratégie délibérée des groupuscules féministes, gays, antiracistes qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Dans cette chronique [Figaro magazine, 22.12] Eric Zemmour précise quel est l'objectif : « effacer toute expression culturelle de l'Occident ». Il a raison !  LFAR

    97824972.jpgAvis aux éternels potaches. Aux rois de la blague de mauvais goût. Aux empereurs du jeu de mots débile. Ils sont sous surveillance. Leur vie est en danger. Leur destin peut basculer pour une parole de trop. C'est ce qui est arrivé au présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours » : Tex. Depuis dix-sept ans, il avait eu souvent l'occasion de déployer son humour lourdingue, un peu niais, jamais subtil.

    Et puis, soudain, la vanne de trop. Qui frappe là où il ne faut pas: « Que dit-on à une femme qui a deux yeux au beurre noir ? Rien. On lui a déjà dit. » À ces mots, les réseaux sociaux s'agitent. La secrétaire d'État à l'Égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, alerte le CSA. La délation d'État est à l'œuvre dans la foulée de « #balancetonporc ». Tex finit par être renvoyé par la chaîne publique ! On pourrait multiplier à loisir les anecdotes similaires qui attestent de cette ambiance de « chasse aux sorcières » : le footballeur Antoine Griezmann qui doit s'excuser parce qu'il s'est grimé en Noir pour imiter un joueur de basket américain. Ou une Miss France insultée et traitée de raciste parce qu'elle ose parler de la « crinière de lionne » d'une autre Miss France, venue de Guadeloupe.

    On pourrait considérer tous ces micro-événements avec dédain et mépris. On pourrait accuser internet de tous les maux. On passerait à côté de l'essentiel. On refuserait de voir en face une stratégie délibérée, longuement mûrie, et qui arrive à maturité aujourd'hui. Des groupuscules féministes, gays, antiracistes, chacun suivant ses objectifs propres, mais qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Qui ont une inspiration philosophique commune venue de la fameuse « French Theory », théorie de la déconstruction passée par les campus américains depuis les années 1960 et transformée là-bas en « politiquement correct » médiatique et judiciaire.

    Ils jouent aux faibles mais sont les vrais puissants. L'État est de leur côté. La machine judiciaire est à leur service. Les médias de gauche les soutiennent. Au nom du droit des minorités et du respect des éternelles victimes - femmes, homosexuels, minorités « racisées » -, ces militants veulent effacer toute expression culturelle de l'Occident. Leurs méthodes peuvent changer, leur objectif reste le même. Ils transforment les femmes savantes de Molière en un brûlot féministe. Ils accusent Michel Audiard d'avoir été collabo. Ils auraient censuré les chansons de Brassens ou de Brel (pour homophobie ou misogynie). Ils accusent la grammaire d'entretenir les inégalités entre hommes et femmes. Ils ne laissent rien passer, pas la moindre petite blague, pas la moindre expression. Ils ont fait leur une vulgate marxienne mâtinée de gramscisme : la culture est, pour eux, le reflet des rapports de force dans la société. La culture de l'homme blanc hétérosexuel, même dans son humour le plus anodin, est oppressive par essence ; elle doit donc être délégitimée, ostracisée, diabolisée. Pour être éradiquée. Avant d'être remplacée. « On ne détruit réellement que ce qu'on remplace », disait Danton.  

    Eric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La fin de la laïcité

    Tribune percutante de Stratediplo, parue au lendemain de Noël, qui aurait aussi pu être intitulée: "La république au service de l'islam", ou encore "l'islam instrumentalisé par la république", ces deux totalitarismes d'essence satanique ayant beaucoup de services à se rendre, pour notre plus grand malheur (voir le livre récent du Père Viot et d'Odon Lafontaine : "la laïcité, mère porteuse de l'islam?"). Extraits de la tribune.

    La révolution dite française, conçue en Angleterre par les loges maçonniques, était sous des apparences anticléricales foncièrement antichrétienne. Pour s'en tenir à l'aspect matériel sans entrer dans l'humain, en prétendant confisquer les biens de l'Eglise elle a en réalité volé les biens à finalité religieuse des peuples de France, qui avaient mis des décennies à construire leurs églises paroissiales (et des siècles pour leurs cathédrales épiscopales) sans demander un sou à Rome ou à Paris. Plus de deux siècles plus tard, et un quart de siècle après que les gouvernements d'Europe orientale aient restitué aux communautés chrétiennes (et juives) leurs biens confisqués par les régimes communistes, le régime révolutionnaire français ne s'est même pas posé la question. En nationalisant l'Eglise de France, la révolution avait failli pousser toute la chrétienté du pays, c'est-à-dire l'essentiel de la population, à se détourner de ses évêques réquisitionnés et à se tourner vers la papauté, et ne l'a finalement empêché qu'en conquérant Rome. Un siècle plus tard la proclamation de la séparation de l'Eglise et de l'Etat a certes prétendu rendre sa liberté à l'Eglise, c'est-à-dire aux peuples chrétiens de France, mais sans lui rendre ses biens spoliés, et dans le cadre d'une politique secrète de déchristianisation confiée à la Franc-Maçonnerie, illustrée par l'affaire des fiches. (...)

    Depuis lors, les mairies et collectivités déjà distinguées dans le palmarès de Joachim Veliocas sont passées de la subvention discrète (et illégale) de l'islam à sa promotion ouverte, notamment à l'occasion de la fête de l'égorgement, et montrent désormais qu'il s'agit d'une préférence puisque dans le même temps elles interdisent une à une toutes les expressions du christianisme dans l'espace public, sous des motifs divers confirmés par le Conseil d'Etat qui applique la "conception française de la séparation des pouvoirs" explicitée par le Conseil Constitutionnel en janvier 1987, faisant à l'occasion se retourner Montesquieu dans sa tombe. Pour sa part le pouvoir judiciaire constitue peu à peu la jurisprudence de délits religieux ou d'expression d'opinions, dont un délit de blasphème, un délit de profanation etc. qui ne s'appliquent qu'à une seule religion. Ainsi les peines appliquées pour dépôt silencieux d'une pièce de porc devant une mosquée fermée sont désormais systématiquement bien plus lourdes que celles appliquées, s'il y en a, pour introduction dans une église en tenue indécente, interruption d'office, insultes envers les fidèles, voies de fait et destructions matérielles. Et c'est parfois au nom usurpé de la même laïcité que l'appareil étatique encourage les attaques contre le christianisme et professe le respect de l'islam.

    Or justement, rien n'est plus étranger à l'islam que la notion de clercs et surtout de laïcs. Tout Mahométan a des devoirs islamiques, dont ceux d'actions sacrées ou sacrifices, notamment lorsqu'il est en présence de non-Mahométans. Ces devoirs vont bien au-delà de la pratique religieuse (étymologiquement relation avec Dieu) et touchent à la société mais aussi à autrui en tant qu'individu ou être humain vivant (au départ). Ainsi il est attendu de tout Mahométan qu'il ne soit pas seulement assistant mais officiant. Le Chrétien ou le Juif laïc prie chez lui ou à l'office tandis que le prêtre ou le rabbin procède au rituel sacré, alors que le Mahométan non moufti officie lui-même, et pas uniquement en s'adressant à Dieu mais aussi en agissant auprès (et sur) les autres au nom de Dieu. La notion de laïcité n'existe pas en islam. De même, l'islam étant plus une société qu'une foi, il ne conçoit pas l'athéisme. On naît en Islam comme on naît dans un pays, personne ne se pose la question des croyances personnelles ou des doutes d'un enfant né de parents musulmans, et lui être infidèle est une apostasie punissable de mort. Dans ce système de société (et même civilisationnel) complet où la religion est l'idéologie de l'Etat et où l'Etat est l'accomplissement de la religion, les philosophies questionnant l'existence d'un Dieu n'ont pas de place, Allah est une évidence révélée et il n'existe que différents degrés d'infidélité, jusqu'à l'extrême qui est l'adoration de faux dieux, le matérialisme existentiel athée n'étant que l'une de ces religions erronées, en l'occurrence une adoration de l'homme dictée par le diable Satan. Il n'y a pas de laïcité croyante en islam, et il n'y a pas non plus d'athéisme areligieux.

    Ce que les peuples de France constatent à chaque fois que la république soi-disant laïque se mêle de religion, enfreignant le principe chrétien (conservé dans la société matérialiste post-chrétienne) de séparation des compétences temporelle et religieuse, c'est qu'elle a décidé de leur imposer une idéologie étrangère (inhumaine au demeurant), et pas seulement en matière religieuse mais dans toutes les sphères de la vie sociale organisée.

    La préservation de la fête de Noël, repère majeur multiséculaire du calendrier civil et légal sans considération des croyances intimes des uns et des autres, est l'occasion pour les laïcs (abandonnés par les clercs), mais aussi pour les athées, de s'opposer à la confessionnalisation oppressive de l'Etat."

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Derrière l’entrée de Rosatom au capital d’Uranium One, le scandale du financement russe d’Hillary Clinton : l’enquête relancée par Jeff Sessions

    Rosatom Uranium One financement russe Hillary Clinton enquête Jeff SessionsLes retombées du scandale Uranium One accélèrent aux Etats-Unis. Alors que la gauche politique et médiatique a de plus en plus de mal à apporter les preuves d’une collusion entre Trump et la Russie, Hillary Clinton continue d’être empêtrée dans les mailles d’enquêtes sur ses tractations avec les Russes durant son mandat de Secrétaire d’Etat. Rappelons à grands traits la nature du scandale Uranium One. Un accord passé en 2010 pour le transfert de 20 à 25 % du producteur américain d’uranium au groupe public russe Rosatom avait permis à la Fondation Clinton d’engranger des millions de dollars, infiniment plus que ce que la Russie a pu dépenser dans des publicités sur Facebook que la machine politico-médiatique démocrate affirme effrontément avoir fait basculer l’élection de 2016 en faveur de Donald Trump… alors qu’elles avaient été publiées en 2015 avant que le futur président ne s’engage dans la compétition. Le stratège démocrate Mark Penn estime d’ailleurs que seuls 6.500 dollars d’origine russe avaient été investis dans des publicités proprement électorales par le Kremlin. Oui, 6.500.

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  • Seuls les immigrationnistes ont le droit de juger

    François Lagarde, jeune magistrat administratif à Lyon, est chargé, comme tous ses jeunes collègues, du contentieux de l’immigration. 
    En 2014, il se fait élire, hors du ressort de son tribunal, au conseil municipal d’Orléans. Le maire UMP de la ville, Serge Grouard, le nomme alors délégué à la lutte contre l’immigration clandestine. A charge pour lui de s’assurer que la loi est appliquée en ce qui concerne notamment les mariages d’étrangers et la délivrance des certificats de résidence qui permettent à des étrangers d’accueillir des membres de leur famille. Rien d’anormal. 
    Mais le syndicat des avocats de France ne l’entend pas ainsi et intervient auprès du président du tribunal administratif de Lyon pour lui demander de retirer au juge Lagarde le contentieux des étrangers, au motif qu’il ne serait pas impartial. Les médias locaux et nationaux s’emparent immédiatement du « scandale » et le président du tribunal administratif de Lyon, n’écoutant que son courage, transmet le dossier à la commission de déontologie du Conseil d’Etat. Cette dernière estime alors que le juge Lagarde n’est plus apte à remplir ses fonctions. 
    Une histoire d’autant plus extraordinaire que les principaux arrêts du Conseil d’Etat, juge suprême du droit des étrangers, ont été rendus par des magistrats qui, eux, militent activement dans des associations immigrationnistes ! Ils participent un jour au colloque du Gisti ou de la Cimade et, le lendemain, prennent des décisions politiques en faveur de l’élargissement du droit des étrangers. 
    Mais eux, ce n’est pas pareil : ils sont immigrationnistes, donc ils ont le droit de juger ! 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?

  • MOUVEMENTS DE LA POPULATION FRANÇAISE : CE QUE L’INSEE NE PEUT PAS DIRE

    Les statistiques sont instructives, notamment en matière d’étude des populations. Elles apportent rarement des surprises, mais confirment les constats que beaucoup peuvent faire. Ainsi, selon les résultats d’une enquête de l’INSEE, qui vient de rendre publics les nouveaux chiffres de la population légale, entre 2010 et 2015, la ville de Paris est passée de 2.243.833 habitants à 2.206.488, soit une baisse de 1,66 % – plus de 37.000 habitants tout de même, l’équivalent d’une petite ville de province.

    Les causes en sont multiples. Le premier facteur est d’ordre démographique : moins de naissances et une population vieillissante. Le second facteur, d’ordre financier : le prix de l’immobilier, à l’achat ou à la location, est inabordable pour les classes moyennes, notamment pour les familles nombreuses, qui doivent s’éloigner de la capitale. La mairie de Paris met également en cause, aussi, les meublés touristiques et les logements inoccupés.

    Il est un autre phénomène, dont l’enquête ne parle pas, qui a une conséquence sur la pénurie d’appartements et se répercute sur leur prix : le nombre de divorces et de séparations, qui entraîne souvent la nécessité de doubler le logement pour une même famille. Certes, le divorce est parfois la seule solution quand un couple est en conflit, mais l’État ne devrait-il pas chercher à favoriser l’épanouissement de la famille ? Mais assez sur ce sujet : on entend déjà les libertaires de tout poil crier haro contre cette suggestion iconoclaste.

    Si deux arrondissements, le XIIIe et le XIVe, voient leur population légèrement augmenter, les plus fortes baisses sont dans le VIIIe(-11,10 %), le IIe (-9,61 %) et le VIIe (-6,62 %). Dans le VIIIe, qui bat les records, les loyers sont trop élevés, écartant des cadres même relativement aisés, surtout quand leur famille s’agrandit. Résultat : les bureaux se développent, les commerces s’en ressentent. Il y a aussi des prix exorbitants dans le Ve ou le VIe, à proximité de lycées de renom : l’offre scolaire a une incidence sur les prix.

    L’enquête révèle, d’autre part, que les départements du Grand Sud-Ouest sont parmi les plus attractifs de France. Ainsi, avec la LGV qui met Bordeaux à deux heures de Paris, la ville d’Alain Juppé devient, pour certains cadres, une banlieue de la capitale, quand leur profession le permet. Quoi qu’on pense du bilan du maire de Bordeaux quand il était au gouvernement, son action locale a été bénéfique. Les nombreux touristes qui y passent ne s’y trompent pas. Espérons que l’afflux de nouveaux habitants ne transformera pas Bordeaux en une ville de bobos, à l’instar de Paris !

    Toutes ces statistiques ne prennent pas en compte, ni à Paris ni à Bordeaux, les migrants, clandestins ou non, de plus en plus nombreux. Dans les rues de Bordeaux et de sa proche banlieue, à la sortie des magasins, devant les distributeurs de banque, ils font la quête – parfois les mêmes, aux mêmes endroits, depuis des mois. Si l’on s’aventure, le soir, dans le quartier de la gare Saint-Jean, on voit apparaître des silhouettes par groupes de trois ou quatre, sorties d’on ne sait où, qui pourraient paraître inquiétantes. Et ne parlons pas des camps de migrants à Paris… C’est un sujet tabou !

    Les statistiques ont leurs limites. Elles aussi subissent les contraintes de la bien-pensance.

    http://www.bvoltaire.fr/mouvements-de-population-francaise-linsee-ne-dire/

  • LE SOUTIEN AU TERRORISME ISLAMISTE SUR NOTRE SOL

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    Trappes, sa mosquée, ses salafistes

    Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…

    Selon un rapport de la commission d’enquête du Sénat publié en avril 2015, le nombre d’individus à surveiller, à cette époque-là, était de 3.000 environ. Parmi eux, près de la moitié étaient, et sont encore pour certains d’entre eux, impliqués dans les filières syriennes. Les motivations de ces jeunes hommes et jeunes femmes ayant rejoint les zones de combat en Syrie ou en Irak ont longtemps été débattues. Elles ont même parfois été raillées, comme pour exorciser une démarche qui, à certains égards, paraissait effrayante. Partis de nos banlieues et parfois de nos villages, ces djihadistes français, instruits ou pas et issus de différentes classes sociales, ont pris les armes contre leur propre pays. Beaucoup sont morts lors des combats et des bombardements de la coalition. D’autres ont survécu et cherchent désormais à rentrer au pays. C’est le prochain défi sécuritaire qui nous attend. D’autres, encore, ont été arrêtés ou faits prisonniers ; ils seront déférés à la Justice.

    Parmi ces derniers se trouvent quelques figures emblématiques de la « filière française ». Ainsi, l’Albigeois Thomas Barnouin, qui aurait été arrêté à la mi-décembre dans la région d’Hassaké, au nord-est de la Syrie, par les unités de protection du peuple kurde. Considéré comme l’un des cadres de l’État islamique en Syrie par les services de renseignement, c’est un vétéran de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, proche des frères Clain – ceux qui ont revendiqué les attentats du 13 novembre pour le compte de Daech -, qui vient ainsi d’être mis hors d’état de nuire. Deux autres Français auraient également été arrêtés, Romain Garnier et Thomas Collange. Le premier avait quitté la France avec sa compagne pour rejoindre l’État islamique, dont il était devenu l’un des principaux chroniqueurs radiophoniques francophones. Le second combattait dans les rangs de Daech depuis plusieurs années.

    Parmi les questions qui se posent, celle de l’appartenance de plusieurs de ces djihadistes français à une même ville, un même quartier, voire à un même village est récurrente. Ainsi le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs. En effet, ce département, avec plus de 150 tenants d’un islam radical suivis par les services spécialisés dans la lutte antiterroriste, figure au « Top 10 » national en nombre de radicalisés par habitant.

    Les raisons de ces concentrations inattendues sont multiples. Elles peuvent tenir, tout d’abord, à la présence d’imams ou de prêcheurs radicaux. La région de Toulouse et de ses environs vit justement sévir Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », lequel provoqua la radicalisation d’individus qui allaient, par la suite, défrayer la chronique. Parmi eux, Mohammed Merah et Thomas Barnouin. Le groupe est, ensuite, potentiellement facteur de propagation du radicalisme. Il en est ainsi du cercle familial – souvenons-nous des frères Kouachi – ou des fréquentations habituelles de la vie sociale ou cultuelle. C’est en leur sein que vont se créer des cellules actives souvent à l’origine d’attentats meurtriers. Là encore, les exemples ne sont que trop nombreux. Enfin, souvent issus du milieu de la délinquance, qui emprunte les mêmes modes d’organisation, et ayant fait des séjours répétés en prison, la radicalisation de ces individus passe également par des réseaux de circonstance. Si ce mode de fonctionnement collectif et concerté peut rendre ces personnages plus forts et plus dangereux, il les rend également, par sa visibilité, plus vulnérables. C’est notamment sur cette vulnérabilité que travaillent les services de renseignement.

    http://www.bvoltaire.fr/soutien-terrorisme-islamiste-sol/

  • Est-ce un crime de faire réfléchir sur l'avortement ?

    6a00d83451619c69e201bb09e3c93e970d-200wi.jpgStéphane Mercier, philosophe, auteur de La Philosophie pour la vie, licencié par l'univesité catholique de Louvain pour avoir dispensé un cours poussant à la réflexion sur l'avortement, est interrogé dans L'Homme Nouveau. Extrait : 

    Les cadres de l’Université catholique de Louvain ont-ils pris connaissance du cours pour lequel ils vous condamnent ? Que vous ont-ils reproché exactement ?

    Je ne sais pas s’ils ont lu mon cours, mais, puisque le texte que j’avais mis à disposition des étudiants a été diffusé par les médias, ils pouvaient y avoir accès sans problème. Je n’ai eu aucune indication claire sur ce qui posait problème, puisqu’à chaque question que je posais, on me répondait qu’il ne s’agissait pas de « discuter des détails ». Les cadres m’ont aussi reproché d’avoir fait un cours très polémique devant des étudiants qui n’y étaient pas prêts. Je trouve cela extrêmement désobligeant pour eux et je pense, au contraire, qu’il est tout à fait normal que de jeunes adultes puissent réfléchir à certains sujets de société et notamment l’avortement.... D’autant plus le Planning familial intervient dans les écoles pour diffuser la culture de mort auprès d’enfants qui n’ont que 12 ou 13 ans ! L’Université m’accuse également d’avoir développé un argumentaire trop unilatéral ; pourtant, développer une thèse dans une direction est une manière de travailler tout à fait légitime en philosophie ; et je ne pense pas que l’on m’aurait fait ce reproche si j’avais développé un argumentaire « unilatéral » contre le viol ou le génocide. 

    Une-1653.jpgSi l’Université catholique de Louvain s’est rendue coupable d’un véritable scandale en s’opposant publiquement à la doctrine chrétienne sur le respect de la vie humaine, avez-vous au moins reçu le soutien de prêtres et d’évêques ?

    J’ai reçu, à titre individuel et privé, le soutien de plusieurs prêtres, mais aussi de Mgr Léonard, archevêque émérite de Malines-Bruxelles, aujourd’hui à la retraite en France. L’évêque de Liège, en revanche, a prétendu à tort que je m’étais mis les étudiants à dos en traitant la question de l’avortement, alors qu’en réalité, ils ne sont qu’une infime minorité à avoir réagi de manière négative. Le cardinal De Kesel, pour sa part, m’a dit en privé que tout ce qui m’arrivait était bien triste, mais il en est resté là. Quant au porte-parole de l’épiscopat belge, il a estimé que ma condamnation de l’avortement était excessive et irrecevable... Peut-être oublie-t-il en quels termes l’Église parle de l’avortement, jusqu’au pape François, qui a qualifié l’avortement de « crime effroyable » ? Les évêques francophones belges ont un titre honorifique au sein de l’Université catholique de Louvain, mais on peut dire qu’ils n’ont rien fait... Ils portent là une lourde responsabilité. [...]"

    Michel Janva

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