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magouille et compagnie - Page 1654

  • Le système contre le peuple, par Eric Letty

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    Monde-et-Vie-Système-257x350.jpgComme l’on pouvait s’y attendre, François Fillon, a gagné son pari, dimanche 5 mars, en parvenant à mobiliser massivement l’électorat conservateur sur la place du Trocadéro. Les pétochards qui l’avaient abandonné, croyant avoir lu dans la presse et les sondages son acte de décès politique, en seront quittes pour aller à Canossa s’ils veulent récupérer une gamelle. Beaucoup se sont déjà mis en chemin. Le candidat Fillon sera trop heureux de les récupérer au nom d’une unité factice, comme il sera content de retrouver les bonnes grâces des centristes de l’UDI.

    « L’affaire Fillon » est emblématique de la rupture entre le pays réel et le pays légal – le Système dont l’ancien premier ministre est lui-même un produit et qu’il n’aspire au fond qu’à réintégrer. C’est ce qui explique que, tout en criant à « l’assassinat politique », il se refuse à dénoncer explicitement la collusion de l’Argent, de la presse, du pouvoir politique et de la justice (mais alors, où sont les assassins ?). C’est pourtant bien pour protester contre l’acharnement politique, médiatique et judiciaire que des dizaines de milliers de Français se sont retrouvés au Trocadéro, mus par une réaction immunitaire contre le caractère outrancier de la cabale.

    En passant la mesure, ses adversaires ont rendu le meilleur service à François Fillon. Ils l’ont restauré. Pourquoi tant de haine ? La proposition politique que Fillon incarne, celle d’une droite libérale-conservatrice, ne convient plus au Système qui appelle de ses vœux un gouvernement de centre-gauche et d’inspiration libérale-réformiste, dont Juppé et Macron ont été successivement les champions.

    Le maire de Bordeaux avait été, le premier, poussé par les médias conformes, qui annonçaient son triomphe à la primaire de la droite. Or, sans le vote en sa faveur de centaines de milliers d’électeurs de gauche, il ne serait pas même parvenu au deuxième tour. Comment expliquer, alors, que de nombreux élus aient pu le regarder, ces jours derniers, comme un recours possible ? C’est que ce personnel politique dépourvu de convictions est plus sensible que la « base » au discours dominant et aux campagnes médiatiques. Peut-être s’apercevra-t-on bientôt que l’importance d’Emmanuel Macron est aussi surévaluée que l’avait été celle de Juppé. Plus encore que ce dernier, l’associé-gérant de la banque Rothschild, porté par une presse majoritairement détenue par la finance dont lui-même est le serviteur, est représentatif du Système.

    La violence de l’assaut livré pour l’imposer contre Fillon, dans l’espoir qu’il l’emporterait au deuxième tour dans le cadre d’un duel avec Marine Le Pen, laisse imaginer le déchaînement médiatique que la candidate du Front national devra affronter, quel que soit son adversaire.

    Paradoxalement, ses chances de gagner seront pourtant moindres contre Fillon que contre Macron, tant sont puissantes les préventions de l’archéo-gauche à l’encontre de ce dernier.

    « L’affaire Fillon » illustre finalement la nature de plus en plus totalitaire du Système, que souligne aussi l’affaiblissement des partis traditionnels qui lui servaient jusqu’à présent de faux-nez.

    Parmi les trois candidats qui font la course en tête, Emmanuel Macron n’est pas le champion d’un parti, mais celui de la finance ; Marine Le Pen s’appuie sur un parti hors-système ; et François Fillon ne s’est maintenu qu’en mobilisant l’électorat de base contre la trahison des chefs. En fin de compte, la présidentielle de 2017 n’oppose pas seulement les patriotes aux mondialistes, mais aussi le peuple à l’oligarchie.

    Eric Letty

    Editorial du n° 937 de Monde & Vie daté de mars 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Enquête sur le FN : le garde du corps de Marine Le Pen hors de cause

    Thierry Légier, le garde du corps de Marine Le Pen, placé en garde à vue mercredi 22 février dans le cadre de l'enquête sur les assistants parlementaires du Front national au Parlement européen, a été relâché dans la soirée sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. Au même moment, Marine Le Pen était l'invitée du 20 heures de TF1. 
    On l'avait pourtant accusé d'occuper un emploi fictif. Thierry Légier, garde du corps de Jean-Marie Le Pen puis de Marine Le Pen - depuis 1992 - a été relâché mercredi 22 février, alors que le Parlement européen et la justice française soupçonnaient son emploi d'assistant parlementaire européen, fin 2011, d'être fictif. Sa garde à vue a été levée sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. 
    La justice « ne doit pas perturber » l’élection 
    En parallèle, Marine Le Pen était l'invitée du journal de 20 heures de Gilles Bouleau. Si elle a rapidement évoqué cette affaire en « contestant formellement les faits » et en demandant à la justice de ne pas « perturber la présidentielle », elle est surtout revenue sur les attaques contre son programme économique.
    Elle a ainsi brocardé les conclusions d'un rapport, celui de l'institut Montaigne, que le journal Les Échos a repris, mercredi 22 février, pour mettre en garde les Français sur l'éventuelle dangerosité du programme politique du FN. 
    « Avoir une monnaie nationale permettrait à notre pays d'avoir sa liberté politique et économique. (...) L'euro est la monnaie des banquiers, pas du peuple, qui a vécu la baisse de son pouvoir d'achat et le chômage de masse », a-t-elle déclaré. Et de poursuivre, de sa traditionnelle verve souverainiste : « Je veux rendre au peuple sa monnaie, ses frontières, l'autorité des lois votées par ses représentants, sa liberté économique. » 

  • "Affaire Méric" : les patriotes bientôt au tribunal

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    Quatre ans après les faits, à savoir l'agression commise par une bande de nervis gauchistes contre des jeunes patriotes à Paris en juin 2013, l'affaire revient sur le devant de l'actualité. Estéban, victime du déchainement de la presse aux ordres et de la bien-pensance institutionnalisée, et trois de ses amis, vont bientôt être jugés.

    Rappelons que ce jeune, qualifié de skin par la presse, a déjà passé quinze mois en prison. Clément Méric, l'un des agresseurs "antifas", conditionnés par la police de la pensée, est décédé en tombant accidentellement sur un poteau. Voilà où mène le bourrage de crâne des médias "politiquement corrects".

    Nous vous tiendrons informés de la suite des événements et nous renouvelons notre entière solidarité avec nos camarades victimes de la répression du Système.

    Retour sur l'affaire cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les syndicats et les grands patrons d’accord pour s’opposer à la protection du travail des Français

    Les frères ennemis main dans la main pour refuser vigoureusement de protéger le travail des Français sur les chantiers. Alors que les dirigeants des multinationales n’ont jamais caché vouloir réduire les coûts et prioriser l’embauche étrangère, les syndicats font mine de vouloir protéger les travailleurs face à l’avidité des grands groupes. Mais lorsqu’une mesure de bon sens s’impose, les ennemis d’un jour se réunissent pour lutter ensemble contre le patriotisme économique.

    Paris – Le débat sur la « clause Molière », qui vise à imposer le français sur les chantiers dans certaines régions, a pris de l’ampleur mardi à quelques semaines de la présidentielle avec la prise de position du Medef et de plusieurs syndicats qui dénoncent une mesure « nationaliste ».

    Plusieurs régions principalement de droite (Ile-de-France, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes…), mais aussi des villes ou départements (Haut-Rhin), ont imposé l’usage de la langue de Molière sur les chantiers dont ils sont maîtres d’oeuvre.

    L’obligation pour les ouvriers de parler français, ou pour les entreprises d’employer un traducteur, est présentée comme un moyen de réduire la distorsion de concurrence entre les entreprises nationales et étrangères, rendue possible par le travail détaché.  

    Dans le BTP, « une entreprise gagne un marché en faisant des prix anormalement bas puis fait appel à des sous-traitants étrangers pour pouvoir s’en sortir » , s’est ainsi justifié Hervé Morin, président UDI de la Normandie. Si la mesure est saluée par la Capeb (artisans du bâtiment), au nom de la lutte contre le « dumping social » , elle est en revanche contestée par le Medef.

    « Vous commencez comme ça, et puis après vous commencez à faire du favoritisme, et puis ensuite vous fermez les frontières françaises, et puis vous finissez par sortir de l’euro », a averti mardi Pierre Gattaz, conspuant les dérives « communautaire ou nationaliste».

    « La santé et la sécurité des salariés sont instrumentalisées » par les collectivités territoriales, avec une mesure qui « ne règle en rien la question du travail illégal » , a appuyé la CFDT. La CGT a dénoncé une intention « purement électoraliste » visant à marcher sur « les traces du Front national » , partisan de la préférence nationale.

    Il est « dommageable et même périlleux que ceux qui se prétendent de la droite républicaine suivent ces traces-là », a insisté mardi le numéro un de la CGT, Philippe Martinez.

    Source
    http://www.contre-info.com/les-syndicats-et-les-grands-patrons-daccord-pour-sopposer-a-la-protection-du-travail-des-francais#more-44080 |

  • Trump avait bien raison sur la Suède

    « Regardez ce qui s'est passé la nuit dernière (vendredi 17 février, NDLR) en Suède. La Suède ! Qui pourrait le croire ! la Suède ! Ils les ont accueillis en grand nombre, ils ont des problèmes qu'ils ne pensaient pas possibles ». Prononcée devant 3 à 4 000 fidèles rassemblés dans un hangar de Melbourne en Floride la phrase indicible de Trump a déclenché, d'un bout à l'autre de la planète les sarcasmes des média enchaînés contre ses "bobardsTrump invente un attentat en Suède » ricane La Croix avec des centaines d'autres canards.

    Karl Bild, habitué du Bilderberg, ancien Premier ministre Suédois, ancien délégué des Nations Unies en Bosnie, archétype de la droite la plus bête du monde twite aussitôt : « La Suède ? Un attentat ? Qu'est-ce qu'il a fumé ? ».

    Le Monde fantasme « Trump invente un attentat en Suède : le président des Etats-Unis a expliqué devant ses partisans qu'il était dangereux d'accueillir des réfugiés. Il a étayé ses propos en sous-entendant que la Suède, pays particulièrement accueillant, avait subi un attentat la veille au soir ». On voit bien qui ment et affabule nulle part Trump ne fait état d'attentat, de massacre ou de fusillade. Il dit simplement qu'il s'est passé quelque chose en Suède. Immédiatement tous les journaux du monde interrogent les porte-parole de la police, les responsables politiques et des journalistes du Système. Tous s'empressent d'affirmer qu'il ne s'est rien passé « hier soir » en Suède. En fait la seule erreur de Trump est d'avoir donné une date. Il se passe des incidents, tous les soirs, dans un grand nombre de quartiers des villes de Suède qui possèdent elles aussi leurs zones de non-droit - dénoncées par la bureaucratie et les média dominants comme inexistants, affabules par les idéologies racistes qui prétendent que les pompiers n'y entrent pas sans escorte policière et les policiers s'y font agresser.

    Tous les journaux qui se sont attaqués à Trump dans cette affaire et l'ont copieusement insulté pour avoir, prétendaient-ils, « inventé un attentat », ont cité une interview de Fox News. Tucker Carleson, journaliste très connu de la chaîne pour ses idées "conservatrices" - ce qui signifie dans le langage du Huffington Post, du New York Times ou du Washington Post qu'il privilégie les « faits alternatifs » ou la désinformation - avait invité un reporter du New York Times, Juif, sioniste convaincu ayant fait une partie de ses études en Israël, Ami Horowitz. Deux jours avant l'intervention de Trump, il expliqua donc qu'il s'était rendu en décembre en Suède afin de vérifier la réalité de ces territoires contrôlés par les immigrés, qu'il avait été interdit de tournage, menacé, insulté, tabassé dans la banlieue de Stockholm de Husby où se trouve implantée une forte communauté musulmane en provenance de l'Erythrée, de l'Afghanistan et de l'Irak. En août 2013 y éclatèrent des émeutes raciales. 129 automobiles y furent brûlées, des garages incendiés, de violentes échauffourées opposèrent immigrés et police.

    Or les propos de Horowitz furent contestés par les média, la classe politique et même la police, prétendant que tout se passait magnifiquement bien en Suède et que les immigrés s'assimilaient parfaitement. Il existe cependant sur Internet d'innombrables vidéos et cassettes audio qui montrent le degré de violence dans lequel ce pays a sombré depuis que l'immigration de masse a été instaurée, les frontières ouvertes à la migration islamique et les forces de l'ordre et la justice ont pour consigne impérative de prendre systématiquement la défense des populations en déshérence nouvellement arrivées.

    Un islamiste forcené

    Le Figaro titre « Donald Trump a sans doute inventé un attentat en Suède en regardant la Fox ». C'est le site Internet Vox.com qui est à l'origine de ce bobard médiatique. Vox a été créé par un ancien éditorialiste du quotidien gauchiste Washington Post, Ezra Klein, juif originaire du Brésil, qui à toujours évolué à l'extrême gauche du Parti Démocrate. C'est là que se situe Vox.com. En l'occurrence il diffusa ce qu'il présenta comme une intox « Si vous passez un peu de temps sur les sites extrémistes et islamophobes il y a une histoire très claire autour de la Suède: le nombre de viols de Suédoises par des immigrés musulmans aurait augmenté de façon considérable ». Prétendant que l'histoire avait été inventée par Breitbart.com « dirigé par le conseiller spécial de Trump », Steven Bannon, bien que celui-ci ait démissionné de son poste il y a plus de 7 mois. L'article explique que le commentateur de télévision Tucker Carlson, de la Fox (« Chaîne conservatrice ») « interviewait le journaliste du New York Times Ami Horowitz, lequel avait affirmé que "depuis le début de la crise des réfugiés, la Suède avait enregistré une hausse du nombre de viols et de violences par armes à feu"». Evidemment Vox.com est bien informé. Les viols imputés aux migrants sont inventés, il le sait. Il a ses sources. Par exemple le Globe&-Mail, quotidien canadien de référence, propriété des milliardaires Barons Thomson of Fket. Le directeur de l'édition britannique du G&M, Doug Saunders, est un solide islamophile modèle coranique. Il est d'ailleurs l'auteur d'un livre intitulé : « Le mythe de la marée islamique » dans lequel il soutient que « la démographie musulmane ne pose aucun problème aux pays dans lesquels les musulmans s'installent ». Que « les immigrants venus des pays islamiques ne risquent pas de nous submerger ». Qu'ils « ne deviendront jamais une majorité en Europe ». Qu'ils « ne seront jamais un groupe culturel d'étrangers dominants aux Etats-Unis ». Qu'en « Occident ils n'auront jamais les comportements arriérés qu'on leur connaît au Pakistan ou au Moyen Orient ». Certes « en Amérique ils feront passer leur religion avant leur pays. Mais cela ne sera pas plus un problème que pour les Chrétiens ». Face à ceux qui assurent que « les musulmans pauvres déferlent de régions surpeuplées vers l'Europe », Saunders conteste que ces légions soient surpeuplées. Il nie absolument que « les immigrants musulmans détestent les sociétés dans lesquelles ils s'installent ». Ou « qu'ils soutiennent le terrorisme ». Il reconnaît « qu'ils sont devenus si nombreux en Grande-Bretagne, que le prénom le plus répandu pour un nouveau né est Mohammed ». Mais ne considère pas que cela soit un problème.

    C'est donc le même théoricien qui conteste qu'il y ait quelque augmentation des violences en Suède depuis le début de la vague d'immigrants musulmans. En particulier dans le domaine des violences sexuelles où l'envolée spectaculaire des statistiques est aussitôt minimisée par les islamophiles et par les sociologues. L'ennui est que même la réalité des chiffres, aisément vérifiable sur Internet - au risque de passer pour complotiste - dit tout le contraire et donne raison àTrump.

    Les jeunes somaliens de Stockholm donnent raison à Trump

    En 2016 les crimes contre les personnes ont augmenté de 275 000 soit 7 %. Mais les experts disent que ces données n'ont pas de valeur et qu'il faut calculer sur des périodes de 10 à 20 ans. Soit : prenons les viols qui en 2016 ont augmenté de 13 % pour atteindre 6 560 (On imagine sans peine qu'il y a plus de Suédoises blanches violées par des Somaliens que de femmes somaliennes violées par des Blancs.). En 2014 on comptait 6700 viols. Mais 5920 (-12 % en 2015). Sauf que, au cours de la dernière décennie, entre 2006 et 2016, les viols sont passés de 4208 à 6560 annuellement. C'est là qu'interviennent nos providentiels experts afin de démontrer que l'implosion des migrants musulmans - dont par ailleurs les mêmes nous expliquent qu'il est normal qu'il y ait plus de violeurs parmi eux parce qu'ils sont jeunes, célibataires et sans le sou, n'est pas la cause de cette croissance exponentielle des violences. C'est parce que de nouvelles lois ont entretemps élargi la définition du viol. Et c'est la même raison qui expliquerait la multiplication des agressions sexuelles qui au cours de la même période ont crû de 20 % - passant de 8 840 à 10 500, alors qu'en 2014 elles atteignaient 9 640.

    « En 2016, nous explique-t-on, il y a eu énormément de débats sur les attaques sexuelles et sur les attaques sexuelles et l'immigration. Nous avons appris grâce à la recherche que, dans ces années où il y a plus de débats sur ces sujets, le nombre de crimes déclarés augmente ». C'est simple. Il suffisait d'y penser. Ce n'est pas qu'il y a plus de viols. C'est que les victimes pensent à les déclarer.

    Au cours du même entretien, interrogé par Carleson sur les raisons qui ont poussé les Suédois à accueillir de telles masses de "réfugiés", Horowitz répond sans hésitation « Ils se prennent pour une superpuissance humanitaire... Ils considèrent qu'ils ont un devoir moral d'ouvrir leurs frontières à tous ceux qui désirent venir chez eux ».

    Deux jours après l'intervention de Trump, de violents troubles éclataient dans le quartier de Rinkeby à Stockholm à forte population musulmane. Des voitures et du mobilier urbain étaient brûlés, des magasins détruits et pillés, des forces de police et des pompiers harcelés par une centaine de jeunes Somaliens. La police dut tirer à balles réelles contre des émeu-tiers qui utilisaient des cocktails molotovs et jetaient sur elle toutes sortes de projectiles. Le plus cocasse est que le matin même le New York Times sortait avec ce titre qui résume mieux qu'un long article la justesse des critiques du président contre les média menteurs : « Trump poursuit ses attaques contre la Suède sans aucune preuve ».

    Le Washington Post qui appartient à Jeff Bezos, propriétaire d'Amazon, 5e fortune dans le monde - aussitôt prenait la défense des immigrants accusant Trump d'avoir par ses propos provoqué la colère des pauvres immigrés et d'être ainsi responsable des derniers événements. Une nouvelle stratégie se dessine. Désormais le seul fait de condamner les désordres qui s'étendent à toutes les villes multiraciales des pays d'origine européenne en voie de colonisation, suffit à faire des dirigeants de ces pays des racistes susceptibles de poursuites pour avoir susciter la réaction légitime des hors-la-loi qui se sont installés de force chez eux.

    Horowitz donnera de plus amples informations sur l'enquête qu'il aura menée dans différents quartiers immigrés de Suède dans lesquels il aura été pris à partie par ces derniers lui refusant de filmer. Bien entendu les responsables locaux, et en particulier la police, prétendirent qu'il avait largement exagéré les incidents. Il est cependant facile de visionner sur Internet des vidéos tournées par plusieurs cinéastes - notamment l'équipe australienne de Channel 9 de la journaliste Liz Hayes (« 60 minutes ») violemment prise à partie dans le quartier de Rinkeby (« Little Somaliland ») par une bande de jeunes somaliens. Un journaliste suédois de NRK, Anders Magnus, connut la même mésaventure au printemps dernier -. D'une manière générale les média de masse exercent une sorte d’omerta sur de tels événements en accord avec le gouvernement socialiste, selon le principe énoncé par Horowitz de « la superpuissance humanitaire ». D'où l'universelle condamnation qui a accompagné les propos de Trump.

    Mais la loi du silence est en train de craquer.

    Jim Reeves. Rivarol du 2 mars 2017

  • Je ne veux pas de vos 500 euros, Monsieur Macron, par Thibault Damilly

    Ce soir, j’ai trouvé un tract « Emmanuel Macron, le candidat du travail » dans ma boîte aux lettres. J’ai résisté au réflexe de le jeter immédiatement au feu et je l’ai ouvert. Pour Monsieur Macron, les Français (en a-t-il déjà vu ?) semblent n’avoir pas d’autre horizon que celui de l’argent gagné et aussitôt dépensé : ce tract ne parle que d’économie.En voici la première proposition :

    « Je supprimerai des cotisations payées par les salariés. Tous les travailleurs verront leurs revenus et leur pouvoir d’achat augmenter. Résultat : 250 € par an de gain de pouvoir d’achat pour un salarié au SMIC. Près de 500 € par an pour un salarié à 2000 € par mois. »

    J’ai bien lu ? Il me promet 500 € par an ? Lui qui déclare par ailleurs que l’immigration est une chance ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que me coûte l’école privée de ma fille pour lui éviter de connaître trop tôt les joies du vivre-ensemble ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je paie pour une alarme avec intervention destinée à protéger ma maison des cambriolages qui touchent tout mon village ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la voiture que ma femme a dû acheter pour aller au travail depuis qu’elle ne veut plus prendre les transports en commun suite à une agression ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je dois payer pour la moindre visite médicale dans une clinique qui ne ressemble pas à un hôpital du tiers-monde ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la semaine de vacances hors de prix que je paie à ma famille parce que la station balnéaire populaire de mon enfance est devenue aussi invivable que Trappes ?

    500€ par an enfin ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de l’emprunt sur 25 ans que j’ai dû contracter pour pouvoir vivre dans un coin où je ne me sente pas étranger dans mon propre pays ? Coin qui ne s’avère pas si tranquille puisque visiblement, on ne peut plus être tranquille nulle part en France !

    Tout Français a l’intuition que le coût global de l’immigration est exorbitant mais aucune des études sur le sujet ne s’accordent puisque toutes sont militantes, que ce soit pro ou anti-immigration. Mais une chose est sûre, chacun est capable de faire le bilan de ce que lui coûte cette stratégie permanente de l’évitement. Logement, école privée, assurances, alarme, porte blindée, santé, transports : ce coût est écrasant et une grande partie des Français ne peut tout simplement pas se le permettre.

    Monsieur Macron, je ne suis pas un mendiant qui vote pour un candidat qui lui promet quelques centaines d’euros à la fin de l’année. Non. Ce que j’attends de la personne qui va diriger la France est beaucoup plus simple et doit vous paraître fou, inouï, révolutionnaire : je veux vivre honnêtement de mon travail, paisiblement avec ma famille et dans un pays qui reste le mien.

    Thibault Damilly

    Texte publié par Les Identitaires

    http://fr.novopress.info/204239/je-ne-veux-pas-de-vos-500-euros-monsieur-macron-par-thibault-damilly-identitaires/

  • François Fillon est favorable à l’inauguration de mosquées algériennes et fréristes

    Il semble très important de revoir ce documentaire de l’Observatoire de l’islamisation consacré à la politique volontariste de François Fillon concernant la construction de mosquées (Discours d’Argenteuil), ses rencontres avec d’une part les islamistes pro-niqab et pro-charia de l’UAM93 et le recteur de la mosquée de Stains fermée début novembre 2016 par la préfecture du 93 pour cause de prêches radicaux et de présence de nombreux djihadistes.

    Le voyage de François Fillon à Alger en 2008 est aussi rappelé, lorsqu’il promis d’augmenter les visas pour les algériens (une dépêche AFP l’atteste).

    Pour finir, ce reportage propose un extrait d’une interview de son ex-porte-parole de campagne, Benoist Apparu qui plaide pour le financement public des mosquées.

  • Avant de traiter de nazis les peuples, Erdogan devrait d’abord reconnaître le génocide arménien perpétré par la Turquie

    Communiqué de Bernard Antony :

    "Avec toute l’impudence orgueilleuse et dominatrice qui le caractérise, l’autocrate dictateur turco-musulman Erdogan traite de nazis les peuples qui ne veulent pas chez eux de ses meetings électoraux pour ses partisans parmi les populations ottomanes en Europe. 

    Mais c’est une nouvelle honte pour la France que l’acceptation par notre indigne gouvernement d’un pareil rassemblement chez nous. Faut-il en effet rappeler que s’il y a bien eu un pays précurseur du nazisme, c’est la Turquie avec ses diverses phases de massacres des Arméniens au XIX° siècle et début du XX° sous le sultan Abdul Hamid II, puis le génocide perpétré par les Jeunes-Turcs, des Arméniens, Assyro-Chaldéens et autres chrétiens ?

    Rappelons ici que les officiers allemands qui encadraient l’armée truque furent souvent des précurseurs du nazisme et Hitler, manigançant le génocide des Juifs, ne déclara-t-il pas : « Qui se souvient des Arméniens ? ». Avant de traiter de nazis les peuples non soumis à ses ukases, l’État du dictateur Erdogan devrait donc d’abord reconnaître le génocide perpétré par la Turquie, modèle pour les nazis."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Têtes de Turcs?

    François Fillon n’est pas le seul à se faire tailler des costards, c’est aussi le cas ces dernières heures du président Turc Recep Tayip Erdogan. Son  parti au pouvoir l’AKP, souhaitait organiser toute une série des réunions publiques auprès des différentes communautés turques vivant en Europe. Il s’agissait d’appeler au vote oui dans le cadre d’un référendum prévu le 16 avril portant sur la modification de la Constitution, afin de remplacer le système parlementaire actuel par un régime présidentiel renforcé… Lesdites réunions ont été interdites en Allemagne, en Autriche, en Suisse, aux Pays-Bas. Une manière de protester contre le virage qualifié de répressif du gouvernement Erdogan depuis l’échec du coup d’Etat militaire de cet été visant à le renverser. En réaction des milliers d’opposants ont été arrêtés et des journaux fermés. Au Pays-Bas, dans un contexte d’élections législatives (le 15 mars) les libéraux néerlandais au pouvoir ont fait le choix de la fermeté. En toute logique électoraliste car le parti anti-immigration de Geert Wilders, le PVV, membre au parlement européen de l’ENL aux côtes du FN, a le vent en poupe. Le Premier ministre Mark Rutte s’est donc opposé au meeting de l’AKP prévu le 8 mars, n’a pas autorisé à cette fin l’atterrissage de l’avion du ministre des Affaires étrangères turc Mevlut Cavusoglu, a expulsé le ministre turc de la Famille, Mme Fatma Betül Sayan Kaya, qui avait passé outre…

    Furieux, Recep Tayip Erdogan a vu samedi dans ce refus « des vestiges du nazisme » . « Les Pays-Bas », une « république bananière », « paieront le prix » , « (rendront) des comptes pour (leur) effronterie » a-t-il menacé de manière homérique (?). Menaces dont il est coutumier vis-à-vis de l’Europe, comme  celle  consistant à envisager de laisser passer les flots de clandestins pour qu’ils se déversent vers les pays de l’UE. Une situation, certes, qui découle du délirant appel d’air créé par la décision d’Angela Merkel d’accueillir plus d’un million d’immigrés. Utilisant la même rhétorique, le président turc avait évoqué pareillement des « pratiques nazies » pour fustiger l’interdiction ces dernières semaines des réunions de l’AKP en Allemagne… qui rassemblent souvent beaucoup plus de monde que les meetings électoraux des partis allemands…

    François Hollande s’est signalé  en autorisant la tenue en France d’une réunion de l’AKP, à Metz le 12 mars animée par le ministre Mevlut Cavusoglu,  lequel s’est de nouveau répandu en menaces contre les Pays-Bas. A l’exception de Benoit Hamon, de Mélenchon à Dupont-Aignan, tous les candidats à la présidentielle ont emboîté le pas à Marine pour dénoncer ce rassemblement : « Pourquoi devrait-on tolérer sur notre sol des propos que d’autres démocraties refusent ? Pas de campagne électorale turque en France », a tweeté la candidate du FN-RBM.

    La situation actuelle va donc achever de compliquer les relations entre une Turquie membre du Conseil de l’Europe, toujours officiellement en négociation pour adhérer à l’UE, et de de nombreux pays européens.  A dire vrai, si la situation géopolitique actuelle n’était pas aussi préoccupante, l’arrogance naïve des progressistes et autres Bruxellois pourrait faire sourire;  toutes ses bonnes consciences qui prêchent doctement ex cathedra le catéchisme des droits de l’homme, énoncent le bien et le mal en pensant que leurs discours peuvent agir sur le destin des peuples étrangers, appartenant à d’autres sphères culturelles, civilisationnelles, spirituelles. Or, force est de constater que M. Erdogan et son parti islamiste jouissent toujours du soutien d’une très large partie des citoyens turcs, et que les critiques dont le président turc est  l’objet de la part des roumis décadents renforcent son prestige auprès de sa base

    L’AKP  oppose sa logique ethno-nationaliste, national-islamiste aux discours de bisounours des Européens. Nous l’avions rapporté sur ce blogue, Recep Tayip Erdogan, dans ses allocutions  aux millions de  Turcs de la diaspora vivant en Allemagne, en France,  en Europe, a toujours martelé, comme il l’avait  fait en novembre 2008 à Cologne devant 16 000 compatriotes que « Personne ne peut vous demander d’être assimilés. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité, personne ne peut vous dire: renonce à tes valeurs ».

    En avril 2011, lors de son déplacement en France pour une  réunion au Zénith de Paris, M.  Erdogan avait été tout aussi direct:  « Chacun d’entre vous avait-il déclaré, êtes les diplomates de la Turquie, chacun, s’il vous plaît, apprenez la langue du pays dans lequel vous vivez, soyez actifs dans la vie culturelle, sociale du pays où vous vivez (…). La France vous a donné le droit à la double nationalité: pourquoi vous ne la demandez pas ? Ne soyez pas réticents, ne soyez pas timides, utilisez le droit que la France vous donne. Prendre un passeport français ne vous fait pas perdre votre identité turque ».

    Bruno Gollnisch l’a relevé sur Twitter les tensions actuelles entre les Pays-Bas et la Turquie illustrent très prosaïquement le danger de tolérer de massives communautés étrangères sur le sol national. Les cris d’orfraies, les peurs, les inquiétudes des euro-libéraux et autres socialo-bruxellois  ne sont que la triste conséquence de leurs reniements, de leurs renoncements , de leurs aveuglements. Citons encore Bossuet Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes . 

    https://gollnisch.com/2017/03/14/tetes-de-turcs/