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magouille et compagnie - Page 1672

  • Le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent intégrer nos enfants à l’oumma

    Yves Daoudal n'en croit pas ses yeux :

    6a00d83451619c69e201bb0981d649970d-250wi.jpg"J’avais vaguement entendu parler du projet de « la » ministre marocaine de l’Education nationale française de donner des cours d’arabe à l’école primaire. En me disant que c’était sans doute pour la progéniture de ses congénères. Mais voici que ça m’arrive dans la figure, dans un petit village du Centre Bretagne.

    Mon petit-fils est revenu chez lui avec un formulaire, dont « l’objet » est son « inscription à un enseignement optionnel de langue vivante étrangère dans le premier degré ». Langue vivante étrangère. Vous avez le choix entre… l’arabe, et le turc.

    On dirait qu’il y a comme une discrimination, non ? Ou alors l’anglais, l’allemand et l’espagnol sont devenus des langues mortes. Ou moins vivantes que celles de l’islam… Et pourquoi pas le breton, qui est pourtant une langue étrangère pour le ministère jacobin (islamo-jacobin) ?

    Et où vont-ils trouver des professeurs d’arabe et de turc par ici ? C’est le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent déjà intégrer nos enfants à l’oumma…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Si Le Pen est élue, l’ambassadeur de France au Japon quittera ses fonctions

    Thierry Dana déclare qu’il quittera ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai devait se conclure par l’élection de Marine le Pen.

    Dans une tribune publiée par Le Monde en date du 7 mars 2017, Thierry Dana, actuel ambassadeur de France au Japon, déclare qu’il quitterait ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai prochains devait se conclure par l’élection de Marine Le Pen. Cette prise de parole publique de la part d’un membre du corps diplomatique en exercice soulève quelques réflexions.
     
    Quel est le rôle d’une pareille tribune ? Contrairement à ce qu’en dit la fable, on ne s’exprime pas dans la presse pour simplement informer le lectorat de ce qu’on a à dire, mais bien pour le convaincre de rejoindre notre combat lorsque c’en est un ou, à défaut, nos idées, nos principes, d’une manière générale notre avis. Quant au journal qui publie la tribune en question, il fait lui aussi œuvre de propagande. C’est de bonne guerre, la question n’est pas celle-là. Le fait est qu’un diplomate a décidé de faire peser sa parole, en usant du poids de la fonction au nom de laquelle il s’exprime, dans une campagne électorale présidentielle, évidemment dans l’espoir que sa parole ait une influence. Elle n’en aura pas auprès de la masse des électeurs, qui n’est sans doute pas le cœur de cible de l’auteur qui s’adresse, ici, plutôt à ses confrères et aux hauts fonctionnaires en général, en utilisant le support médiatique grand public comme pour les mettre au pied du mur et les inciter à prendre position à leur tour.
     
    Thierry Dana, dans son billet, redit son amour de la France et évoque le pincement au cœur qu’il ressent lorsque « La Marseillaise » retentit. Il parle de la beauté du métier de diplomate qui voue sa vie à représenter son pays et, surtout, à en défendre les intérêts.

    Toutefois, lorsqu’il motive son projet de démission par son refus de « représenter » Marine Le Pen, il laisse le militant prendre le dessus sur le diplomate. S’il a réellement à cœur de servir son pays, il doit considérer que c’est un honneur de le faire, quelle qu’en soit la personne à sa tête. Les Présidents passent, disparaissent au gré des humeurs électorales, le pays reste et doit sa solidité, en partie, au travail des diplomates. Dans les périodes troublées de changements répétés de régimes, des serviteurs du pays ont continué de le servir malgré le défilé des chefs. Ainsi un Talleyrand a-t-il servi sous l’Ancien Régime, aux États généraux, sous le Directoire, le Consulat, le Premier Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet.
     
    La fidélité du diplomate ne doit pas aller à un homme ni à un parti – sinon, c’est préfet ou député qu’il faut être -, ni à une idéologie politique ; elle doit aller à ce qui leur est supérieurement important, supérieurement préférable : elle doit aller à la France. Sinon, c’est se condamner à servir le gland plutôt que le chêne, et ce n’est pas faire honneur à son métier.
     
    Libre à monsieur l’ambassadeur de présenter sa démission en temps voulu si sa conscience le lui commande. Au moins a-t-il l’honnêteté d’associer ses actes à ses pensées. Qu’il fasse de son état de conscience et du projet qui en découle un moment médiatique est, toutefois, révélateur d’une certaine tendance, de plus en plus partagée chez « les élites » qui s’affolent devant la perspective d’un score historique de leur ennemie préférée, qui ne devrait pas manquer d’inquiéter ou de réjouir selon qu’on est adversaire ou électeur de Marine Le Pen.

    http://www.bvoltaire.fr/jonathansturel/pen-elue-lambassadeur-de-france-japon-quittera-fonctions,318255

  • Si vous aimez les banques, les labos, et les Télécoms, votez Macron

    Enfin Le Canard enchaîné s’intéresse à Macron ; il vaut mieux tard que jamais…

    Enfin Le Canard enchaîné s’intéresse à Macron ; il vaut mieux tard que jamais… Ainsi l’hebdomadaire nous indique que l’Inspection générale des finances (IGF) soupçonne dans son cas un délit de favoritisme.

    Le 6 janvier 2016 à Las Vegas (États-Unis) lors du Consumer Electronics Show (CES), salon consacré à l’innovation technologique en électronique grand public, le ministre de l’Économie de l’époque organisait un grand show avec plus de 500 personnalités et dirigeants de start-up françaises. L’hebdomadaire précise :

    « Cette opération de séduction, montée dans l’urgence, à la demande expresse du cabinet du ministre, a été confiée au géant Havas par Business France (l’organisme de promotion de la French Tech dépendant de Bercy). Ceci sans qu’aucun appel d’offres n’ait été lancé. L’IGF souligne que la commande de la prestation Havas est susceptible de relever du délit de favoritisme. Coût de la soirée, une bagatelle de 381.759 €, dont 100.000 rien que pour l’hôtel, où la moindre chambre était facturée plus de 300 € la nuit. »

    Le Canard ajoute que Business France ou certains de ses salariés pourraient être incriminés pour favoritisme et que Havas France ou ses dirigeants pourraient relever de la justice au titre de la complicité ou du recel.

    Bien évidemment l’entourage du candidat d’En Marche ! a nié :

    « Aucun centime du budget du ministère de l’Économie […] n’a jamais été utilisé pour En Marche ! Toute affirmation du contraire est purement et simplement diffamatoire. »

    Lui-même indiquant lors d’un déplacement mardi au Mureaux (Yvelines):

    « Je n’ai pas pris connaissance de cela, mais je ne pense pas que ce soit mon ministère qui ait organisé un événement sans appel d’offres. 

    L’actuel ministre de l’Économie et des Finances, Michel Sapin, s’est empressé naturellement de dédouaner son ancien collègue :

    « Cette information n’a pas de sens. Macron n’a pas pu dépenser plus que ce à quoi il avait droit dans un ministère comme le nôtre. »

    Et quand « Boule de billard », la main sur le cœur, vous donne la vérité toute nue, vous ne pouvez que le croire ; lui ne serait pas du genre à frauder. Pourtant le tribunal administratif a condamné il y a moins de six mois le maire d’Argenton-sur-Creuse, qui n’est autre que le grand argentier, ainsi que ses adjoints à payer 100.000 euros pour des indemnités majorées. Tout simplement notre « conifère de Noël » avait continué de 2008 à 2012 à percevoir des émoluments liés à un label supprimé.

    Mais d’autres questions se posent concernant M. Macron :

    La somme de 381.759 € n’a-t-elle pas servi, non au Ministre des finances de l’époque, mais au futur candidat à la présidentielle ? Pourquoi l’inspirateur principal du volet santé du candidat, le Professeur Jean-Jacques Mourad, qui vient de démissionner, était-il rémunéré par le laboratoire Servier (celui du Mediator) pour une somme supérieure à 800.000 € ?

    Enfin, lorsqu’on nous informe qu’après Drahi et Pierre Bergé, le frérot du médecin, Bernard Mourad, un des piliers de la campagne présidentielle, est un ancien de la banque Morgan Stanley, mais aussi un spécialiste du secteur des Télécoms, n’est-il pas évident que l’homme proche des médias, des labos pharmaceutiques et des banques est bien celui du système mondialiste ?

    Sûr que le parquet financier va illico presto s’emparer de ces informations !

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/aimez-banques-labos-telecoms-votez-macron,318150

  • La France que nous aimons dans le concert des nations

    Nous l’avions prévu et annoncé, il est vrai que nous ne prenions pas grand risque à le dire, le pensum anti FN Chez nous, du cinéaste d’extrême gauche Lucas Belvaux fait un gros bide. Un indicateur, parmi d’autres,  du caractère largement inaudible de l’offensive de la gauche contre le FN, soulignée par François Hollande lors du conseil des ministres élargi  qui s’est tenu hier. Malgré une très conséquente  campagne de promotion et de pub gratuite  dans les principaux médias écrits et audiovisuels, une programmation en pleine campagne présidentielle lui assurant aussi un maximum de visibilité, ce film au scénario jugé balourd, pataud, (l’interprétation très médiocre, sans finesse de Catherine Jacob a été également épinglée) même par les critiques les mieux intentionnées, a attiré moins de 150 000 spectateurs en trois semaines d’exploitation dans les salles obscures. De quoi inquiéter la gauche culturelle, le lectorat vieillissant de Télérama et plus largement tous  ceux qui  font profession d’antifrontisme. Car la flamme jaillit désormais partout, et ce qui est logique, bien évidemment aussi chez les ouvriers encartés dans des syndicats.  Trois collaborateurs de Médiapart  Rachida El Azzouzi, Mathilde Goanec et Dan Israel font mine de le (re)découvrir  en titrant sur  « la déferlante FN (qui)  laisse les syndicats  CGT, CFTC, FO  désemparés ». Les  garde-chiourmes du systèmes syndical  « s’alarment de l’audience grandissante des discours de Marine Le Pen auprès des salariés, y compris parmi leurs militants ».

    Un  responsable cégétiste, Jean-Louis Betoux,  est cité ici. Il  « pensait que sa section syndicale CGT serait épargnée dans sa ville black-beur-blanc (…)Évry, dans l’Essonne (…) . Il pensait que les idées du FN ne franchiraient pas les murs de la bourse du travail. La réalité l’a rattrapé.  Il y a les camarades qui ne disent pas ouvertement qu’ils votent FN mais qui te parlent dès qu’ils le peuvent d’immigration et d’assistés. Tous les jours, si tu prêtes l’oreille, tu en entends un maudire les immigrés qui viennent bouffer les aides sociales, profiter des logements sociaux, de l’assurance-chômage pendant que nous, on bosse et on a droit à rien. » Est-il si difficile de comprendre que dans une France où les catégories populaires et les classes moyennes sont  étrillées par la crise,  dans une France appauvrie, tiers-mondisée,  la préférence étrangère soit rejetée,  maudite (elle et non les immigrés en tant que tels ), que la priorité nationale soit  logiquement plébiscitée par les  Français?  Et bien évidemment qu’elle le soit  particulièrement par nos compatriotes  qui sont les plus impactés par la folle politique d’immigration de peuplement dans leur vie quotidienne ?

    Toutes choses que nos bons bourgeois donneurs de leçons refusent de voir, bien à l’abri (pour l’instant?) des désagréments de la société plurielle qui serait obligatoire pour les sans-dents, le populo, la France d’en bas,  mais qu’il maintienne à l’écart de leur domicile et des écoles de leurs enfants…  Ambassadeur de France au Japon depuis juin 2014, Thierry Dana a tenu lui aussi à apporter sa petite pierre au barrage anti Le Pen en commettant une tribune dans Le Monde pour affirmer qu’il « (préférerait) renoncer à occuper les fonctions qui me seraient confiées plutôt que de servir la diplomatie du Front National. Bien sûr, un ambassadeur sert l’Etat et représente la France. L’un et l’autre vous dépassent. Mais il lui revient aussi de défendre loyalement les positions de son gouvernement. Je ne pourrais pas défendre loyalement vos positions, qui sont contraires à tous les principes portés par la France lorsqu’elle est grande dans le monde. »

    L’élection de Marine ce serait donc pour Thierry Dana « un monde qui s’effondre » comme l’affirmait sur twitter Gérard Araud, l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, réagissant alors de manière bien  stupide et peu diplomatique à l’élection de Donald Trump.  Nous voyons mal ce qui  permet  aussi à M. Dana  de tenir ce type de propos outranciers. Il a d’ailleurs été remis à sa place par son ministre de tutelle Jean-Marc Ayrault, conscient de  la maladresse de cette tribune, mais aussi par Bruno Gollnisch dans une lettre qui a été diffusée hier soir.

    Marine a exposé à grands traits la politique étrangère qu’elle appelle se ses vœux le 23 février à Paris au cours de sa deuxième grande conférence présidentielle en présence de nombreux ambassadeurs. Elle a réitéré son engagement « en faveur d’un monde multipolaire fondée sur l’égalité en droit  des nations, le respect de leur indépendance, la concertation, permanente» ,  mais aussi « la sécurité environnementale » , « la défense des biens communs de l’humanité… ».

    Marine entend stopper l’effacement de la France sur la scène internationale, faire renaître sa voix singulière dans le concert des nations , rendue souvent inaudible par notre suivisme vis-à-vis du nouvel ordre mondial,  notre inféodation à l’Otan et à Bruxelles. Et il faudrait être particulièrement inculte ou malhonnête pour juger qu’il serait contradictoire de vouloir à la fois pour la France  le ferme maintien  de sa souveraineté nationale et en même temps l’affirmation d’un rôle actif de notre pays  sur le plan mondial.

    Marine élue, notre réseau de 163 ambassades et de consulats -le troisième au monde juste derrière les États-Unis (168 ambassades bilatérales) et la Chine (164 ambassades)-  sera consolidé. La  France défendra ses intérêts économiques, commerciaux,  stratégiques, notamment dans les pays émergents, en Asie (n’en déplaise à M. Dana),   son domaine maritime (le second au monde), son influence, son rayonnement  culturel. Au vu de l’urgence de la situation, pour des raisons géopolitiques et démographiques évidentes, la candidate du FN l’a redit avec force,  une attention toute particulière sera portée aux  pays du continent africain pour la mise en place d’une politique d’intérêt réciproque visant à endiguer l’immigration.

    Marine élue, notre  refus de l’asservissement au mondialisme, le principe  de  la souveraineté et de l’indépendance des nations  sera défendu avec force au sein des grandes assemblées ou siège notre pays. Nos solidarités internationales seront réaffirmées. Solidarité de civilisation avec les pays européens; solidarité linguistique avec les pays de la francophonie et les communautés francophones sur les cinq continents; solidarité spirituelle notamment avec les Chrétiens d’Orient; solidarité avec les pays  qui partagent dans le monde les acquis essentiels de la civilisation européenne, la défense de l’idée de nation. Nous ne voyons pas en quoi les axes définis ici seraient contraires à la grandeur de la France, le problème réside certainement dans l‘unité de mesure biaisée,  utilisée pour en  juger  par les adversaires des idées  patriotiques et souverainistes.

    https://gollnisch.com/2017/03/09/france-aimons-concert-nations/

  • LR/PCD/UDI : honneur aux traîtres

    L'alliance électorale conclu entre l'UDI et LR pour les législatives réserve au parti centriste 96 circonscriptions !

    Laurent de Boissieu liste ces candidats.

    Sur la 12e circonscription de Seine-Saint-Denis, on découvre donc que l'UDI Ludovic Toro sera bien opposé à Xavier Lemoine, du PCD, ce parti qui a soutenu François Fillon dans la tempête. En revanche, l'UDI n'a pas négocié de candidat sur la 10e circonscription des Yvelines, où est investi Jean-Frédéric Poisson.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En finir avec l’escroquerie des centres de déradicalisation, par Fabrice Robert

    Fabrice-Robert-300x341.jpgLe constat est implacable, sans appel. Les deux sénatrices qui ont enquêté sur les politiques menées pour tenter de « déradicaliser » des individus tentés par le djihad dénoncent un manque de résultat flagrant. « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction », explique Catherine Troendlé, sénatrice (LR) du Haut-Rhin. Passé un certain stade de la radicalisation islamiste, le chemin de retour semble impossible. Et les programmes mis en place auraient même plutôt l’effet inverse en renforçant, encore un peu plus, la foi de personnes en guerre contre les valeurs de la civilisation européenne. 

    D’ailleurs, comment des responsables politiques, coupables d’avoir favorisé l’islamisation de la France, pourraient-ils trouver les bonnes solutions alors qu’ils ont eux-mêmes permis, par leur silence complice, cette radicalisation ? 

    Certaines voix s’élèvent pour dénoncer également un vrai business dont tirent profit des associations en mal de subventions. Comme le révélait déjà, en novembre 2016, une enquête de France Inter, près de 80 structures ont investi ce secteur, sachant que le gouvernement a prévu de débloquer 100 millions d’euros sur trois ans. Dounia Bouzar, « Mme Déradicalisation », a bien profité de cette manne financière, elle qui parade désormais sur les plateaux de télévision avec Farid Benyettou, l’ex-mentor des frères Kouachi, un djihadiste « repenti » (sic) qui n’hésite pas, aujourd’hui, à exhiber un badge « Je suis Charlie ». Cabu et Charb doivent se retourner dans leur tombe en pensant aux disciples de l’ex-émir de la filière des Buttes-Chaumont venus les assassiner.

    Dans une tribune publiée le 28 février 2017 dans Libération, un certain Serge Hefez dénonce le rapport « partisan » des deux sénatrices tout en expliquant que de nombreux spécialistes sont mobilisés sur le terrain avec des résultats encourageants. Sauf que l’on apprend que ce psychiatre des hôpitaux est coauteur, avec Dounia Bouzar, du livre Je rêvais d’un autre monde. L’adolescence sous l’emprise de Daesh.

    Oui, la politique menée contre la radicalisation djihadiste est bien un véritable fiasco. Et ce n’est pas l’arrestation de Mustapha S., passé par le centre de déradicalisation de Pontourny pour finalement décider de partir faire le djihad en Syrie, qui est susceptible de nous faire changer d’avis. La méthode utilisée dans ce centre, qui vise notamment à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie », n’aura visiblement pas résisté longtemps au réel.

    Les Identitaires ont dénoncé l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils étaient aux côtés des habitants de Pontourny, qui réclament la fermeture d’un centre obligeant d’honnêtes citoyens à côtoyer des islamistes radicaux dans un village jusqu’alors sans histoires.

    Il s’agit de la réaction saine d’un peuple qui veut rester maître chez lui et qui refuse de voir s’installer à proximité de l’école de ses enfants des propagandistes de l’islam conquérant. Aveuglée par le mythe d’une société multiculturelle en déliquescence, notre classe politique n’a pas pris la mesure de cette menace mortelle pour notre pays. Les concessions acceptées par l’État ne peuvent que faire le lit de la charia.

    Il faut en finir avec l’angélisme. Il faut en finir avec la croyance que l’on peut transformer un serpent en un rossignol. Il faut fermer les centres de déradicalisation, à commencer par celui de Pontourny.

    Les djihadistes de retour de Syrie doivent être déchus de leur nationalité, condamnés et enfermés dans des prisons spécifiques. On ne « déradicalise » pas le cancer. On le soigne en éliminant les tumeurs.

    Fabrice Robert, directeur national à l’action des Identitaires

    Texte publié initialement par Boulevard Voltaire

    http://fr.novopress.info/

  • De deux catégories de malfaiteurs en politique : les «très-court-termistes» et les «très-long-termistes»

    La formation – ou la déformation – de l’opinion repose très naturellement sur des réflexes où les émotions, les passions, les opinions occupent tout le devant de la scène, reléguant dans l’ombre voire en coulisse rationalité et réflexion. Rien de nouveau. Rien de nouveau non plus dans l’exploitation faite par les démagogues politiques et médiatiques (ce qui est tout un) de cette constante du corps électoral.

    J’ai déjà eu l’occasion d’observer (sous le titre « Sa Majesté Mensonge ») (*) que ledit mensonge n’était plus seulement l’outil de la politique : il en est devenu l’essence même.

    Pourtant, nos contemporains, présumés éclairés, s’accordent pour affirmer que le fondement de toute réflexion ce sont les faits, avérés si possible. Des faits qu’il s’agit de collecter, de vérifier, puis de classer. Le classement « utile » des faits, c’est-à-dire celui qui permet de prendre des décisions, s’opère selon les trois catégories classiques : le certain, le probable, l’inconnu (ou au moins l’invérifiable).

    Ce type de distinction est insoutenable pour les démagogues : ils ne peuvent prendre le risque de soumettre à un tel contrôle de vraisemblance les prédictions, ni les opinions sur lesquelles ils fondent leurs projets – ou leurs promesses : leur posture, c’est forcément d’affirmer. Leur argumentaire, c’est de plaire.

    Ils sont condamnés à mentir. La voie de l’objectivité, de la « vérité scientifique » leur étant interdite, il ne leur reste que celle de l’opinion, et de l’appel à l’opinion de leur public. A la rencontre de deux ignorances.

    Les politiques SAVENT qu’ils mentent. Mais aussi qu’ils DOIVENT FAIRE CROIRE pour en tirer un profit.

    Comment s’appelle ce processus, qui revient, par l’usage d’une fausse qualité ou par l’emploi de manœuvres frauduleuses, à tromper une personne physique ou morale pour la déterminer, à son préjudice, à fournir un service ou à consentir un acte qui l’oblige ? Eh bien je viens de citer l’article 313-1 à 3 du Code pénal qui définit l’escroquerie.

    Cependant, ces malfaiteurs de la politique que sont les démagogues (aujourd’hui, l’opinion publique a quelques raisons pour assimiler « politique » et « démagogues ») se positionnent, dans leur usage du mensonge, en deux catégories aussi efficaces l’une que l’autre : d’un côté les « très-court-termistes », de l’autre, les « très-long-termistes ».

    Les politiciens sont comme vous et moi : confrontés à une multitude de questions qui comportent beaucoup d’inconnues. S’ils l’avouent, ils sont disqualifiés d’avance. Il faut affirmer. Alors, en fonction de leur tempérament ou de leur culture, ils optent entre deux manières de masquer ou de faire oublier leur incompétence.

    Faire oublier, c’est l’attitude « très-court-termiste »

    Il s’agit aujourd’hui de l’attitude le plus généralement adoptée, sans jamais l’avouer, par les politiques. Elle consiste très simplement à n’avoir pas d’autre horizon, pas d’autre échéance que de gagner la prochaine élection. Celle de l’an prochain, celle de dans trois semaines ; et de caler leur discours sur cette échéance.

    L’opinion le sait et leur en fait couramment reproche, mais ils n’en ont cure : non seulement ils ne peuvent pas faire autrement, mais en outre cette posture est, de leur point de vue, d’une rationalité impeccable. Elle se nourrit en effet de deux composantes : l’électoralisme et l’hyperréalisme.

    L’objectif prioritaire sinon unique du politicien, c’est d’être élu puis réélu. En d’autres termes, d’accéder au pouvoir puis de s’y maintenir. Pour cela, les impératifs catégoriques sont, d’abord, de ne pas déplaire à l’électorat, ne rien faire qui puisse être perçu comme « douloureux » par leurs différents électorats. (« Electorat » doit se mettre au pluriel, en effet, car il faut tenir compte de groupes de citoyens aux intérêts différents voire divergents.)

    Le proverbe dit : « On ne peut contenter tout le monde et son père ». Mais le politicien doit passer son temps à démentir ce précepte. On aboutit donc à une double escroquerie : dans le discours, il faut mentir à tout le monde ; dans la pratique, il ne faut surtout pas faire ce que l’on a dit, ce qui débouche sur le plus parfait immobilisme possible.

    C’est ce que, de l’avis général, nous vivons en ce moment.

    Attention : cette constatation ne veut pas dire que l’attitude du mensonge général et immobile soit une garantie de succès électoral. La constance dans le mensonge repose sur une conviction des politiques : « Une élection à la fois ; de toute façon “ils” auront oublié et je pourrai leur servir les mêmes ou bien je changerai de mensonges pour la prochaine ».

    Mais il arrive qu’ « ils » n’oublient pas. Il arrive aussi que l’immobilisme crée un marasme tel que les électeurs s’en aperçoivent, à leurs dépens (par exemple quand plus de la moitié des membres d’une famille se retrouve au chômage ou subit des agressions à répétition au point de devoir déménager).

    Mais, succès ou pas, les politiques y sont condamnés : celui qui pratique le mensonge n’est pas sûr d’être réélu. Mais celui qui ne le pratique pas est sûr d’être éliminé. En ce sens il s’agit d’une attitude totalement réaliste  après moi le déluge. Oui, mais après moi.

    Les adeptes du très-court-terme ont d’ailleurs à leur disposition une référence illustre : le saint patron des très-court-termistes – et des interventionnismes d’Etat – John Maynard Keynes dont l’expression « A long terme, nous serons tous morts » est vivace dans les mémoires.

    L’attitude très-long-termiste

    A l’autre extrémité du mensonge politique on trouve l’attitude « très-long-termiste ». Là il s’agit de masquer, de flouter.

    Elle repose sur un constat simple : à très long terme personne ne peut prétendre même entrevoir ce qui va se passer. Les adeptes du très-long-terme, en matière de confrontation des scénarios, jouent sur du velours.

    1. Celui qui prédit sur le très long terme ne court aucun risque d’être un jour démenti et encore bien moins de connaître ou d’assumer les conséquences de ce qu’il annonce, ni de ce qu’il préconise.
    2. Il n’a donc besoin d’autre critères pour fixer sa position que ses propres sentiments, son propre tempérament, sa propre conviction. Son succès dépend donc exclusivement de son habileté rhétorique.
    3. Conséquence induite : les très-long-termistes se divisent entre optimistes et pessimistes, ce qui donne lieu à des joutes oratoires très appréciées des amateurs de jeux du cirque… quoique sur la base de

    Le très-long-termisme est la terre d’élection des idéologies, des croyances religieuses et des sectes. Le slogan qui représente, historiquement, l’expression de l’optimisme très-long-termiste est celui qui annonce « les lendemains qui chantent ».

    Le très long terme, c’est l’échéance de Marx-Lénine-Staline, qui préparaient l’homme nouveau. C’est l’échéance d’Adolf Hitler qui voulait faire ressurgir la race aryenne pure. C’est l’échéance fétiche de tous ceux qui, de Platon (hé oui !) à Pol Pot en passant par Rousseau se sont donné pour dessein de « changer l’Homme » avec comme résultat concret d’avoir réussi à « changer », en effet, quelques millions d’hommes en cadavres.

    Le très long terme, aujourd’hui, ne serait-ce pas l’échéance sur laquelle se positionne déjà la « superclasse mondiale » avec la participation de la fondation Gates comme de Paul Ehrlich, qui militent pour une Terre peuplée seulement d’un milliard ou 1,5 milliard d’humains ?

    Entre le raisonnement à très long terme comme celui à très court terme, pourtant, il existe des similitudes frappantes : d’abord, en ce qu’ils donnent, l’un comme l’autre, à ceux qui les pratiquent, un maximum de chances de raisonner faux ; ensuite, dans le discours de certains politiques, ils ne sont nullement incompatibles, au contraire. Sur la question des frontières européennes, par exemple :

    La classe politique ultra-majoritaire d’aujourd’hui est bien contrainte, pour des raisons alimentaires immédiates, de s’inscrire dans la conformité européiste : quiconque s’en éloigne se trouve immédiatement « privé de dessert » par sa formation politique. Cela, c’est évidemment une approche « très-court-termiste ».

    Il n’y a pas de trace d’idéologie là-dedans : la posture est la même chez les Républicains et au PS dont les principes « idéologiques » sont formellement inconciliables mais qui se retrouvent unanimes pour affirmer que l’Europe c’est l’avenir et la puissance.

    Si on leur fait observer que cette Europe a surtout fait la preuve de ses limites et de ses inconvénients voire de ses tares rédhibitoires, que cette Europe a surtout prouvé son impuissance à assurer sa sécurité et sa capacité à organiser la concurrence déloyale entre systèmes économiques et sociaux trop dissemblables, ils répondent en chœur « C’est normal mais c’est passager, à long terme. Vous verrez : l’Europe c’est le salut pour tous ».

    Et voilà comment les TCTistes se rangent, quand ça les arrange, derrière la bannière du très long terme…

    Tout cela est bien beau, me dira-t-on, mais alors sur quelle période faut-il se situer pour raisonner sainement ?

    – Heureusement, n’étant pas politicien, je n’ai pas à me soucier d’affirmer au risque de trahir la vérité.
    – Malheureusement, la réponse ne peut être que relative et conditionnelle.

    Elle est en effet fonction de deux variables :

    – Quelle est la durée de vie des informations « certaines » dont nous disposons et quel est leur degré de certitude ?
    – Qu’est-ce qui, à l’échelle d’une vie humaine – et de ses projections (enfants, petits-enfants) – nous intéresse vraiment ?

    En d’autres termes, que sommes-nous prêts à accepter pour nos petits-enfants, ceux que nous avons vus naître et grandir, ceux qui ne sont pas des concepts lointains mais des êtres de chair, ceux dont le sort – qui se déroule sur la durée du prochain siècle – ne peut nous laisser insensibles ?

    Si j’ose dire, cette feuille de route séculaire tombe bien : c’est celle sur laquelle nous pouvons encore nous autoriser à prévoir avec une petite chance de vraisemblance.

    Quelle courte vue ! Quel égoïsme ! hurleront les idéologues très-long-termistes.

    Peut-être. Mais comme au-delà nous sommes rigoureusement incapables même de « reconnaître le terrain », à quoi sert d’y poser des mines sur le chemin d’avenir de nos enfants ?

    Comme diraient les Américains « Donnez-moi une seule bonne raison » de risquer de voir une AK 47 massacrer mes enfants au prochain coin de rue, soi-disant pour ouvrir les bras à des « réfugiés » qui viennent de partout sauf des zones de guerre ? pour faire chanter les lendemains d’enfants dont rien ne dit qu’ils existeront ? pour peupler les trottoirs de nos villes de « familles syriennes » qui n’ont jamais vu la Syrie ?

    Donnez-moi une seule bonne raison d’exposer mes petits-enfants à passer leur vie au chômage ou, à échéance de 20 ou 30 ans, à travailler 50 heures par semaine pour un salaire équivalant à 400 euros par mois, pour le bonheur de partager la « richesse » avec des peuples de remplacement issus de pays qui ont été incapables de développer leur économie depuis qu’ils s’autogouvernent ?

    Donnez-moi une seule bonne raison de croire à ce que vous affirmez, vous qui depuis le début du XXe siècle n’avez pas cessé de masquer vos crimes derrière vos mensonges ?

    Donnez-moi une seule bonne raison de ne pas voir ce qui crève les yeux (enfin… qui aimerait bien nous les crever) : la conjonction, la collusion hurlante entre le plus cynique, le plus inhumain des mondialismes capitalistes, avide de peuples asservis et sous-payés à consommer, et ce gaucho-mondialisme qui s’autoproclame « alter » mais se met au service objectif du premier qui le nourrit grassement de ses subventions !

    Julius Muzart 2 mars 2017

    (*) Voir aussi : « Sa Majesté Mensonge »

    http://www.polemia.com/de-deux-categories-de-malfaiteurs-en-politique-les-tres-court-termistes-et-les-tres-long-termistes/

  • Macron, le candidat du lobby pharmaceutique - Journal du mercredi 8 mars 2017

  • La droite a toujours promis mais n’a jamais rien fait !

    Auriez-vous la mémoire courte ?

    J’avoue être surpris quand je vois des auteurs de Boulevard Voltaire vouloir sauver le soldat Fillon, le soutenir bec et ongles au nom de la défense de la vraie droite et larmoyer sur cette pauvre Penelope, recluse dans son château. Messieurs, je vous le dis : attention, auriez-vous la mémoire courte ?

    Souvenez-vous, pour les plus âgés, à la suite des attentas du GIA algérien à Paris, Charles Pasqua, en 1986, alors qu’il était ministre de l’Intérieur, déclarait : « Il faut terroriser les terroristes, car la guerre est engagée. » Pourtant, le combat contre l’islamisme est toujours aussi présent, il n’a pas été éradiqué, il a simplement muté en sortant du simple cadre algérien.

    Souvenez-vous, en juin 1991, au cours d’un dîner-débat du RPR, Jacques Chirac prononçait un discours particulièrement explosif :

    « Notre problème, ce n’est pas les étrangers, c’est qu’il y a overdose. Il est certain que d’avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d’avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français, qui habite à la Goutte-d’Or, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15.000 francs, et qui voit sur le palier, à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50.000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [Applaudissements nourris] Si vous ajoutez à cela le bruit et l’odeur [rires nourris], eh bien, le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n’est pas être raciste que de dire cela. Nous n’avons plus les moyens d’honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s’impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s’il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d’une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu’ils ne paient pas d’impôts ! […] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu’il y a un problème de l’immigration. »

    Jean-Marie n’aurait pas dit mieux, il aurait même été moins féroce.

    Résultat néant : rien n’a été entrepris et l’immigration continua de plus belle !

    Souvenez-vous, Sarkozy, le 19 juin 2005, dans la cité des 4.000 à la Courneuve : « Dès demain, on va nettoyer au Kärcher la cité. On y mettra les effectifs nécessaires et le temps qu’il faudra, mais ça sera nettoyé. » Interpellé quelques jours plus tard à l’Assemblée sur le sujet, il persiste et signe : « Il faut nettoyer le quartier des trafics et des délinquants, réitère-t-il, avant d’ajouter : « Je ne retire rien. Je ne regrette rien. Je ferai ce que j’ai dit et nous aurons des résultats. Cela prendra le temps qu’il faudra. »

    Hélas, cinq mois plus tard, les banlieues s’embrasaient et, douze ans après, il y a toujours plus de zones de non-droit. Quant au fondamentalisme, il se porte à merveille dans les quartiers.

    Ce que n’ont pas compris certains, c’est que la droite n’a pas de volonté affirmée quand il s’agit de l’immigration et de l’islamisme. Dès que la gauche et les « racailles » s’opposent à ses mesurettes et descendent dans la rue, la droite abdique et, comme la seiche, lâche son écran de fumée avant de reculer et de fuir.

    Les mots de François Fillon, dimanche sur France 2, en apportent d’ailleurs la preuve : « Ma principale adversaire, c’est madame Le Pen » (il n’a cité ni Macron ni Hamon). Ne vous illusionnez pas : le candidat de la droite se pliera comme ses « illustres » prédécesseurs au politiquement correct s’il accède en mai au pouvoir.

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/droite-a-toujours-promis-na-jamais-rien,317829

  • Marine Le Pen sous-estimée dans les sondages ?

    Selon François Hollande (dans le Monde) :

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    Michel Janva