magouille et compagnie - Page 1676
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L’UNICEF, une arme de migration massive ! - Journal du mercredi 1er mars 2017
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Les immigrés d'abord
A Hayange, en Moselle, le préfet a réquisitionné un hôtel pour y loger plusieurs dizaines d'immigrés. Fabien Engelmann, le maire FN, dévoile à Minute ce qui est fait pour ces migrants, et tout ce qui lui est refusé pour ses concitoyens.
"J’ai dit que nous étions d’accord pour que des SDF français soient hébergés dans cet hôtel et que, dans ce cas, le Centre communal d’action sociale de la ville pourrait même les aider avec le chantier d’insertion que nous avons mis en place. Evidemment, on m’a répondu que ce n’était pas possible.
Pourquoi ?
On m’a répondu: « Vous savez, les SDF français, en règle générale, ils préfèrent rester à la rue. » Ce n’est pas entièrement faux. Mais il faut se poser la question du pourquoi ! Prenez les SDF français de Paris : quand il fait décidément trop froid, on les entasse dans une salle de sport, où ils ne disposent d’aucun espace personnel et où, évidemment, il y a des vols. Ce n’est pas du tout ce qui est offert aux demandeurs d’asile ou pseudos demandeurs d’asile ! Là, ces demandeurs d’asile sont chouchoutés. Ils ont une chambre d’hôtel avec tout le confort : toute la literie a été changée, ils ont des placards, ils ont un beau coin cuisine, un coin machine à laver – avec sèche-linge. Tout cela n’a pas de sens. Les directives de l’Etat conduisent au suicide de la France et je finis par me demander si ce n’est pas volontaire. Tout est fait pour augmenter l’invasion migratoire, et pour le faire au détriment des Français nécessiteux, qui sont pourtant légion. [...]
Quand je demande à l’Etat d’augmenter les effectifs de la police nationale ou d’essayer de me trouver un petit peu d’argent pour rouvrir les urgences de l’hôpital de proximité – elles ont fermé, tout a été centralisé à Thionville –, on me répond qu’il n’y a pas d’argent. Or pour cet hôtel réquisitionné, l’Etat va verser 30 000 euros par mois au propriétaire pour la location de la bâtisse, plus environ cinq euros par jour et par personne. [...]
Il y a peu de temps, le Samu m’appelle sur mon portable. Ils me disent en substance : “Voilà, on a une demandeuse d’asile, 32 ans, 5 enfants et pas de mari. Elle doit être hospitalisée d’urgence, on ne sait pas quoi faire des cinq gosses.“ J’étais supposé faire quoi ? Nounou ? C’est à la préfecture ou au conseil départemental de gérer ça. Sauf que c’était un dimanche et que le dimanche, évidemment, vous n’avez personne au téléphone. Sauf le maire et ses adjoints… Je me suis donc arrangé avec la directrice du foyer, qui est venue garder les enfants pendant que la mère était aux urgences, évidemment aux frais de l’Aide médicale d’Etat… Et pendant ce temps-là, nous avons des personnes âgées, dont la retraite est parfois de 400 euros – vous vous rendez compte ? –, qui n’osent pas venir nous demander de l’aide en mairie parce qu’elles ont honte… [...]"
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Peuple, le mot qui fâche les élites mondialisées
Est-ce la peur de souffrir de la comparaison avec l’accueil assez unique, particulièrement chaleureux reçu hier par Marine lors de sa visite? François Fillon a curieusement reporté sa visite au Salon de l’agriculture, prévue depuis très longtemps sur son agenda officiel, sans préciser les raisons de ce report. Son porte-parole Jérôme Chartier, en pleine pensée magique et fustigeant le populisme, expliquait pour sa part doctement ce matin sur France Inter au micro de Patrick Cohen que l’abandon de l’euro ferait perdre 450 milliards aux épargnants français! Pourquoi s’arrêter en si bon chemin et ne pas avancer le chiffre de 900 milliards? Une banqueroute complète précédant une invasion de sauterelles et de crapauds? Après tout c’est peu ou prou ce qui devait se produire après la (ré)élection de Vladimir Poutine, et récemment avec la victoire du Brexit et de Donald Trump. Le mensonge sur la monnaie unique est ressassé par une fumeuse propagande européiste aujourd’hui battue en brèche par des centaines d’économistes de premier plan et plusieurs prix Nobel. Mentir ou se cacher la tête dans le sable comme le font les écuries présidentielles bruxelloises achèveront de les discréditer.
Ce qui pour le coup n’est pas de l’ordre du fantasme ce sont les liens du candidat Fillon avec des puissances d’argent qui n’ont pas d’état d’âme souverainiste et patriotique. Libération rappelait que M. Chartier était impliqué dans « le Cercle de réflexion, think tank » baptisé Les Entretiens de Royaumont, sis en l’abbaye du même nom (Val-d’Oise). « A la manœuvre, Jérôme Chartier, élu local et intime de Fillon. Ex-maire de Domont (Val-d’Oise). » « les Entretiens de Royaumont font défiler une étonnante faune politico-financière, invitée à disserter sur des thèmes réputés transpartisans. Hollande, alors premier secrétaire du PS, s’y est collé en 2009, sur le thème Rêvons le capitalisme. Un an plus tôt, un étonnant aréopage avait colloqué pour structurer la croissance française : Valls, Sapin et Cahuzac à gauche, Fillon, Guaino ou Copé à droite. La liste des sponsors des Entretiens de Royaumont : Axa, BNP Paribas, Total, Orange… Beaucoup de leurs patrons sont des proches, voire des intimes de Fillon. C’est le cas d’Henri de Castries fidèle entre les fidèles, qui espérait bien entrer au gouvernement une fois son candidat à l’Elysée. En tant que patron d’Axa, il est d’ailleurs déjà directement client de 2F Conseil, la société de Fillon (200 000 euros). Patron de Total, Patrick Pouyanné est, lui, l’ex-directeur de cabinet de Fillon au ministère des Télécommunications. Ou encore Augustin de Romanet (secrétaire général de l’Elysée sous Chirac et président d’Aéroports de Paris), à la fois financier et intervenant aux colloques. »
Dans un autre registre, le journal du macroniste Patrick Drahi expliquait hier à ses lecteurs que l’indignation des frontistes devant la cabale judiciaire dont ils sont l’objet sentait le réchauffé: « Acharnement judiciaire en période électorale? Le FN a le même argument depuis trois ans » . Il n’est pas venu à l’idée de nos détracteurs que si cet argument est effectivement répété c’est qu’il correspond à la réalité vécue par le FN depuis que le prévaricateur socialiste Martin Schulz, épaulé alors par Christiane Taubira, a lancé cette abracadabrantesque persécution. Une justice qui a jugé également que l’épithète de fasciste (dixit Jean-Luc Mélenchon) pour qualifier Marine n’était pas condamnable. « Dans son arrêt, la Cour, qui juge la bonne application du droit, estime que les propos poursuivis, outrageants pour Marine Le Pen mais exprimant l’opinion de leur auteur, dans le contexte d’un débat politique, au sujet des idées prêtées au responsable d’un parti politique, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression.» Liberté d’expression toujours à géométrie variable et dont le périmètre n’est pas le même en fonction de la personne qui en use constate Bruno Gollnisch.
C’est devant un autre tribunal que François Hollande a choisi d’attaquer le camp national et patriotique. Nous l’avions annoncé, et c’est une première sous la Ve République, il s’est rendu lundi au siège du Grand Orient de France (GODF) , dont le nouveau grand sachem est Christophe Habas, pour discourir et assister à la cérémonie 300 ans de franc-maçonnerie, 300 ans d’émancipation (sic). M Habas, qui était le candidat adoubé par son prédécesseur, le très extrémiste Daniel Keller, avait mené « dans son premier discours interne au Convent (le 26 août 2016), une charge très offensive contre le FN… et l’extrême-droitisation des politique (…). La laïcité a-t-il notamment déclaré est une laïcité d’intégration et d’émancipation et non pas la laïcité identitaire et xénophobe du Front National qui a récupéré ce principe pour masquer ce qui n’est jamais qu’un racisme dirigé contre l’Islam, contre les Islam, dans une volonté d’essencialisation dangereuse qui ne connaît pas la réalité historique et sociale de cette religion.»
Aux propos convenus, d’une grande indigence et malhonnêteté intellectuelles du nouveau grand maître de cette secte, a répondu la tirade toute aussi peu finaude et biaisée d’un François Hollande en pleine tournée d’adieux. Devant la quinzaine d’obédiences maçonniques, il a rendu hommage aux grands ancêtres se plaçant symboliquement sous leur protection et leur magistère : « La République sait ce qu’elle vous doit, et je sais que vous serez toujours là pour la défendre, et je serai moi aussi toujours là (…) pour prendre cette responsabilité». Le plus calamiteux des présidents de la Vème république a aussi fait mine de comprendre que dans son discours à Nantes, Marine avait menacé les fonctionnaires, alors qu’elle dénonçait les pressions dont ils sont victimes de la part duSystème politique, les appelant à garder leur neutralité à ne pas céder au « gouvernement des juges », à ne « pas contrecarrer la volonté du peuple ».
Peuple… encore et toujours le mot qui fâche nos élites mondialisées, peuple français dont les grands orientaux et beaucoup plus largement tous les bénéficiaires des prébendes et des fromages ripoupblicains ont tant peur qu’il siffle dans quelques semaines la fin de la récréation...
https://gollnisch.com/2017/03/01/peuple-fache-elites-mondialisees/
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Marion Maréchal-Le Pen dénonce la complicité du gouvernement avec les émeutiers et le Syndicat de la Magistrature
Marion très indignée répond aux questions de Cnews (Ex-ITélé) et accuse le gouvernement de lancer des attaques de rue et de s’accoquiner avec certains juges corruptibles, pour masquer ses responsabilités, son bilan catastrophique et les sommets de son impopularité:
Quelques citations:
« Il n’y a pas d’emploi fictif, tout le monde connaît Madame Griset, il n’y a aucun enrichissement personnel. » L’OLAF est un organisme aux mains de nos adversaires politiques au Parlement européen », On peut se poser la question de la formation qui est dispensée par le syndicat de la Magistrature, très politisée ». « Qu’on ne s’étonne pas des suspicions contre la Justice, y compris dans l’affaire Fillon ». « Marine Le Pen a un discours extrêment fort sur l’identité, mais aussi sur les petites entreprises ». « La question de la souveraineté ne va pas sans la question de l’identité ». « Une souveraineté islamiste ne m’intéresse pas! » « Mélenchon va parler de l’identité, comme Fillon va parler de la souveraineté, mais l’un et l’autre se gardent d’aller au bout de la logique. » « Il ne peut y avoir de souveraineté de la France sans identité »
Photo de tête: Hier mardi 28 février, Marion et Marine Le Pen se sont retrouvées au Salon de l’Agriculture où elles ont bénéficié d’un accueil chaleureux de la part des exposants.
Voir également: Marine Le Pen remporterait la Présidence au second tour selon un dernier sondage – Les VRAIS chiffres dévoilés. Des sondages récents ont été effectués en pleine attaques judiciaro-médiatiques qui démontrent qu’à deux mois des élections présidentielles de 2017,contrairement à 2012, Marine Le Pen dispose désormais d’une grande réserve de voix pour le second tour. Ainsi elle passe du premier tour à 27% au second tour à 45%, alors que ses adversaires potentiels du second tour, tant Emmanuel Macron (-7%) que François Fillon (-5%) sont en pleine dégringolade au second tour. Une dynamique qui, en toute logique, devrait se confirmer, voire s’amplifier…
emiliedefresne@medias-presse.info
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La soi-disant Indépendance des pouvoirs en France ripoublicaine
Bernard Plouvier
Depuis Montesquieu – qui reprenait les billevesées d’un juriste-politicien intellectuellement fort malhonnête, le sieur Marcus Tullius Cicero -, il est devenu classique de pérorer sur l’indépendance des trois pouvoirs : Exécutif, Législatif et Judiciaire.
Ce faisant, on oublie la tyrannie religieuse, qui passe allègrement du spirituel au temporel quand un clergé y trouve son compte, et les facéties du soi-disant 4e pouvoir, celui d’informer-désinformer l’opinion, qui fut toujours au service des opinions politiques du rédacteur ou de ses (plus ou moins généreux) bailleurs de fonds.
L’actualité nous démontre, une fois de plus, qu’en France, cette « séparation » n’existe pas et que la Justice est au service de qui détient la réalité du Pouvoir, c’est-à-dire les puissances d’argent. Durant la Grande Guerre, le collaborateur juif de Clemenceau, Édouard Ignace, sous-secrétaire d’État à la Justice militaire a dit : « Rien n’égale la servilité de la Cour de cassation ».
Il semble que cette attitude, bien connue de tous les historiens étudiant le second épisode de la Guerre civile européenne du XXe siècle – soit les années 1940-45 et les suivantes qui ne furent guère très honorables -, puisse être étendue à d’autres secteurs directement dépendants du Garde des Sceaux.
Alors qu’il était bien parti dans la course à l’échalote élyséenne, François Fillon est touché en plein essor par d’opportunes révélations provenant de son camp et de celui du mignon-Macron, relayées par un journal dont les scoops ne vivent que de dénonciations.
La pourriture politicienne atteignant des records dans notre Douce France, on se serait attendu à davantage de retenue du côté d’un Parquet financier qui a, en principe et en pratique, bien d’autres affaires à traiter et de plus urgentes que l’emploi népotiste, qu’aucune loi n’interdit… quant à savoir si tel emploi correspond à un travail réel ou non, c’est tellement difficile à juger ! Qu’on demande aux excellences socialistes condamnées pour « emploi(s) fictif(s) » et qui se retrouvent ENSUITE bombardées ministres ou sous-ministres.
NON ! En pleine pré-campagne électorale, il est urgent, voire « urgemment-urgent », d’ouvrir une information contre un candidat qui n’aime ni les Francs-maçons ni les gens de la gauche-caviar.
À l’évidence, si Fillon et sa smala s’avèrent innocents (mais on ne le saura qu’APRÈS les élections), il faudra révoquer pour partialité, qui fleure la forfaiture, tous les magistrats qui auront trempé dans la décision d’ouverture de l’information judiciaire. Car c’est une forfaiture que de mêler la Justice au débat politique.
Enfin, ces nobles juges et procureurs devraient retourner à leurs manuels de Droit constitutionnel : le fondement de la Démocratie est l’égalité de tous les citoyens devant la Loi. Donc, si l’on ouvre une information contre le candidat Filon, il faut en ouvrir une simultanément à l’encontre de TOUS les élus pratiquant un népotisme qui pourrait être suspect d’emploi fictif… on va décimer les deux Chambres, en plus des assemblées régionales et du Parlement européen !
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BFMacron ou la grosse artillerie anti-Marine…
Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Pen.
Si ce n’est pas un mot d’ordre, ça y ressemble beaucoup. La coïncidence serait trop forte pour qu’elle en soit vraiment une. Nous savons que tous les grands candidats du cénacle (sauf Marine Le Pen) ont derrière les bureaux rédactionnels parisiens des hommes à eux, et pas des moindres. Mais c’est le dernier-né de la galaxie politique qui semble faire la course en tête dans ce domaine. On a la nette impression que certains médias ont reçu récemment l’ordre de passer à la vitesse supérieure pour appuyer le chouchou en perte de vitesse dans les sondages et attaquer la candidate du FN.
Pour l’instant, on laisse Fillon à ses affaires sans trop l’enfoncer car Macron aura besoin d’une partie de ses voix au deuxième tour en cas d’élimination. C’est donc sur Marine que converge le feu destructeur médiatique, puisque c’est là que se trouve le plus grand danger pour le système.
Même si Le Monde de Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse caracole en tête du peloton anti-Marine Le Pen, il semble qu’au sein de la presse dite indépendante, celui qui vire en tête avant la dernière ligne droite est bien « BFMacron ».Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Penpour le premier tour des élections présidentielles. On prend soin d’inviter Florian Philippot, qui est chargé de monter au front télévisuel pour donner le change de l’impartialité, mais on l’attend au virage en invitant, non pas des contradicteurs soucieux de débattre, mais des bombes télévisuelles chargées de lui exploser à la figure. David Doucet, rédacteur en chef des Inrocks, en est la dernière illustration la plus flagrante. Titillé par une Nathalie Levy qui avait, pour l’occasion, retourné sa veste de journaliste de service pour endosser celle de procureur anti-Marine, il n’a eu de cesse de déstabiliser Philippot, qui est resté d’un calme olympien. On couvre le meeting de Marine Le Pen à Nantes mais on s’astreint, non pas à essayer de décortiquer ses propos, mais à la détruire dans les analyses post-meeting.
L’establishment parisien a sorti sa grosse artillerie pour défendre un homme du sérail bancaire. L’ex de chez Rothschild se sent pousser des ailes puisqu’un de ses appuis, Matthieu Pigasse, vient, lui, de chez Lazard Frères et parle le même langage. Pour couronner ce tout béni par la finance internationale, il faut savoir que la nouvelle coqueluche des affaires, le Franco-Israélo-Marocain Patrick Drahi – dont la société SFR a une participation de 49 % dans NextRadioTV, maison mère de BFM TV et RMC -, doit un retour d’ascenseur à Emmanuel Macron, qui lui a ouvert beaucoup de portes et facilité quelques prises de participations.
La boucle du noyautage télévisuel est bouclée…
http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrelenoir/bfmacron-grosse-artillerie-anti-marine,316260
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M. Cazeneuve, seriez-vous coupable de collusion avec les casseurs ?
Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs.
Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs, en totale impunité, pendant deux jours dans les rues de Nantes où Marine Le Pen avait invité ses électeurs à venir l’écouter au Zénith. Le résultat n’a pourtant pas été à la hauteur de ce que pouvaient espérer M. Cazeneuve et ceux qui se sont ouvertement prononcés pour la victoire de M. Macron. Malgré l’attaque en règle de plusieurs bus amenant les militants au rassemblement mariniste, la salle était pleine.
Pendant deux jours, la ville a donc été livrée à quelques centaines de jeunes antifas et autres extrémistes. Les forces de police et de gendarmerie avaient pourtant été dépêchées en nombre pour faire face aux hordes de casseurs. Mais on les a vues reculer dès que les ninjas cachés sous leurs cagoules s’avançaient vers eux. Malgré les dizaines de grenades lacrymogènes, au bout de 48 heures, on comptait seulement huit interpellations, qui se sont terminées par quatre misérables gardes à vue.
De la vaste rigolade, car en face, il y eut onze blessés dont un gendarme brûlé au second degré par un cocktail Molotov. Le policier a témoigné sous anonymat, tout en précisant que ses collègues et lui ne vont pas tarder à dire ce qu’ils ont sur le cœur à visage découvert, tant ils sont écœurés.
« J’ai honte de ma hiérarchie. Honte de ce gouvernement, honte de la préfecture et de toutes ces personnes planquées derrière des bureaux et leur idéologie malsaine. Cela fait des mois, des années, que les mêmes manifestations se déroulent à Nantes. Les noyaux durs des zadistes sont identifiés nominativement. Les noyaux durs des groupes d’extrême gauche sont identifiés… Mais le fait est que rien n’est fait, en plein état d’urgence, pour les empêcher de nuire. »
Et d’accuser non seulement le gouvernement mais aussi la Justice, qui n’applique pas la loi :
« On pourrait faire des arrestations préventives si la Justice le permettait, profitant des nouveaux pouvoirs légaux apportés par l’état d’urgence. On pourrait aussi, pour la plupart des manifestations qui ne sont pas déclarées, arrêter tout le monde dès le début, placer en garde à vue toute la troupe et faire en sorte que les personnes armées ou les meneurs écopent de peines de prison ferme. La loi le prévoit. Il suffit de l’appliquer.
Selon lui, ces manifestants sont souvent des gamins qui profitent du mythe du Black Bloc pour faire peur : « Il ne faut pas que les gens se fient aux images : derrière les uniformes noirs et les masques à gaz, il y a parfois des gamins, très jeunes. » Ce jeune policier explique aussi que l’utilisation du gaz lacrymogène est inefficace et « qu’il ne sert pas à grand-chose si ce n’est à énerver tout le monde ». Et d’ajouter que lui et ses coéquipiers sont pourtant formés aux techniques d’encadrement et d’arrestations massives : « Il suffit d’entourer les 300 fauteurs de trouble. Et d’arrêter massivement. Nous aurions trouvé des armes, et tous les leaders qui s’étaient réunis dès le vendredi soir sur Nantes. »
« On va nous rétorquer la crainte des dérapages et des violences policières. Mais à partir du moment où vous êtes avec une arme, cagoulé, dans un cortège bien spécifique, c’est que vous cherchez quelque chose, non ? »
Sa conclusion exprime le ras-le-bol de ces policiers que Cazeneuve et son inexistant ministre de l’Intérieur envoient au casse-pipe à chaque manif sans qu’ils puissent ni se défendre ni faire respecter la loi.
« Le laisser-faire des manifestations d’ultra-gauche, c’est la même chose que lorsqu’on vous apprend que mes collègues ne vont plus dans certains quartiers perdus. C’est politique. C’est de la frousse. C’est du renoncement. C’est de la lâcheté. Et cette responsabilité, c’est ma hiérarchie, ce sont les gouvernements successifs, et donc l’État, qui la portent. »
http://www.bvoltaire.fr/florisdebonneville/m-cazeneuve-seriez-coupable-de-collusion-casseurs,316374
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LES SANGLOTS LONGS DES PHOTOS CHOCS
Pieter Kerstens
Depuis des décennies, les journalistes de tout bord et les photographes chassant le sensationnel nous ont proposé une pléthore de clichés abominables destinés à faire pleurer Margot et influencer son jugement.
Kim, Omayra, Elian, Angélica, Loubna, Léonarda, Aylan, etc…
Publier en « scoop » des photos de fillettes et de garçons blessés ou décédés relève de la manipulation des esprits pour conduire l’opinion vers une attitude plus « souple » ou mieux encore, afin de créer une réelle adhésion au but recherché. C’est bien P.Robert, photographe de guerre, qui avait déclaré : « La dictature de l’émotion permet de faire l’économie des vraies questions. »
Notre devoir de mémoire nous rappelle la photo de Pham Thi Kim Phùc (Viet-Canadienne), 9 ans brûlée au napalm le 8 juin 1972, courant dans les rues dévastées du village de Trang Bang, à 60 kilomètres de Saïgon. Ce cliché de Nick Ut fera le tour du monde et vaudra à son auteur d’obtenir le prix Pulitzer.
L’opinion mondiale était ainsi préparée à accueillir les futurs boat people…
Puis, en 1985, une télévision colombienne diffusa durant 60 heures un reportage montrant l’agonie de Omayra Sanchez, 13 ans, prisonnière de la boue du volcan Nevado del Ruiz et sa lutte contre la mort filmée en direct…
Exploiter l’innocence des enfants est crapuleux. Politiser et utiliser comme moyen de chantage des situations impliquant des mineurs est une ignominie. J’en veux pour exemple ce que j’ai vécu à La Havane le 12 juin 2000 : une manifestation monstre regroupant plus de 500.000 enfants et étudiants des écoles, lycées et universités de la seule province de la capitale, pour réclamer le retour d’Elian Gonzales.
Cette histoire fit le tour du monde, occupa la presse internationale pendant plusieurs mois et finalement le fils pu retrouver son père à Cuba, lequel refusa à plusieurs reprises l’asile politique offert par les USA. Par ailleurs les tribunaux fédéraux américains lui avaient aussi donné raison et ordonné le rapatriement de l’enfant dans sa ville natale de Matanzas.
Plus, encore plus et toujours plus d’invasions migratoires.
Durant l’été 2007, les lobbies immigrationniste n’ont pas chômé et en Belgique, la saga de la petite équatorienne Angélica avait fait pleurer Margot dans sa chaumière durant des semaines et provoqué une crise diplomatique imbécile. Comment une mère sud-américaine et sa fille avaient-elles pu vivre durant 5 ans à quelques kilomètres de la Capitale de l’Europe, sans visa, sans titre de séjour et totalement hors-la-loi ?
Essayez donc de faire la même chose en Suisse, au Qatar, aux Seychelles, en Chine, au Mali ou à Cuba.
Une telle situation était évidemment la conséquence du laxisme et de la décadence de gouvernements successifs, manipulés par les pressions et le chantage permanent des sectes droits-de-l’hommiste et des ennemis de l’identité et de la civilisation européenne.
Depuis Maastricht en 1999 (Traité qui allait nous amener le mieux-vivre et le bien-être permanent) et les accords de Schengen, nos frontières sont devenues de vraies passoires et année après année, les saisies de cocaïne, de cannabis et autres drogues ou produits de contrefaçons ne cessent d’exploser !
Nous avons été les témoins d’un afflux sans cesse grandissant d’individus jeunes, masculins et en bonne santé, amenés chez nous par des filières mafieuses qui se livrent à la « traite humaine » en surfant sur la vague émotionnelle et la sensiblerie des populations européennes soumises au poids des mots et au choc des photos !
Il faut avoir vécu et constaté l’empressement des touristes obèses de la plage de Corralejo à Ténériffe à apporter de l’eau, des casse-croûtes et des couvertures aux africains débarquant de leurs pateras (équipées de 2 moteurs 100cv Yamaha, de GPS, de nourrices de carburant et de paniers de fruits, au départ de Saint-Louis du Sénégal, ndlr) pour le croire !
Et quelles furent les arrière-pensées des instigateurs de la photo du cadavre du petit Aylan, prise sur une plage de Bodrum en Turquie, au printemps 2015, anticipant un tsunami d’immigrés déferlant en Europe ?
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Corruption des élus : L’action Française dénonce « Vos fraudes sont nos impôts ! »
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Quand la presse française et américaine inventent une déclaration de Trump
Source : OJIM – « Quand la presse française et américaine inventent une déclaration de Trump »
Bien connue pour son suivisme vis-à-vis des médias américains, la presse française a à nouveau sauté sur une occasion d’égratigner Donald Trump… au risque de se ridiculiser.
Lundi 19 février, Le Monde et Libération (entre autres) publiaient deux articles au titre racoleur, estimant que Donald Trump avait « inventé un attentat en Suède ». Car outre-Atlantique, la polémique fait rage. Lors d’un rassemblement en Floride dimanche, le président américain a vu ses propos déformés par les grands médias (qui lui sont majoritairement hostiles).
Ces derniers ont en effet prêté au Président des propos, qu’il n’a pas tenu en ces termes exacts, l’accusant d’avoir inventé un attentat survenu la veille du meeting, en Suède. L’affaire, largement relayée, a créé toute une polémique allant jusqu’à faire réagir les autorités suédoises. Voici ce que Trump déclarait ce jour-là : « You look at what’s happening last night in Sweden,» Mr Trump said. «Sweden. Who would believe this? Sweden. They took in large numbers. They’re having problems like they never thought possible. » À aucun moment il n’est question d’attentats, mais simplement de « problèmes ».
D’ailleurs, Le Monde et Libération ont eux-mêmes traduit par : « Regardez ce qui se passe en Allemagne, regardez ce qui s’est passé hier soir en Suède. La Suède, qui l’aurait cru ? La Suède. Ils ont accueilli beaucoup de réfugiés, et maintenant ils ont des problèmes comme ils ne l’auraient jamais pensé. » Là aussi, pas de traces d’un quelconque attentat. Et pourtant… « Quand Donald Trump invente un attentat en Suède », titre Libération, qui précise plus bas que le président « a laissé la Suède perplexe, voire goguenarde, lors d’un discours prononcé samedi où il devisait sur la crise des réfugiés et l’insécurité dans le monde, et a évoqué un attentat commis dans le pays scandinave — qui n’a en fait jamais eu lieu ».
De son côté, Le Monde titrait : « Donald Trump invente un acte terroriste en Suède. » Plus bas, le quotidien du soir ajoutait : « Pour étayer son propos, Donald Trump a même voulu en fournir la preuve séance tenante : la Suède, pays particulièrement accueillant, vient de subir un attentat, dit-il. » C’est en tout cas la version qui était disponible en ligne lundi en début de matinée. Mais à 11h26, la phrase avait été modifiée en : « Pour étayer son propos, Donald Trump a même voulu en fournir la preuve séance tenante : il a sous-entendu que la Suède, pays particulièrement accueillant, venait de subir un attentat. » Le Monde a-t-il l’ombre d’un doute ? Le titre n’a pas été modifié pour autant.
Durant la campagne électorale, une large majorité des médias américains a tout fait pour dénigrer, diaboliser et freiner le candidat républicain afin d’empêcher son élection et faire triompher Hillary Clinton. Quelle ne fut pas leur surprise le soir de l’élection du diable en personne… Désormais, ces mêmes médias semblent concentrés sur une autre mission : pourrir au maximum l’administration et l’action de leur Président, ce qui est tout de même assez incroyable.
En France, c’est encore pire, l’hostilité ne se justifiant que de très loin. Pendant la campagne, nos médias se sont montrés d’une extrême partialité pour une élection pourtant étrangère. Cette fois, ils se sont contentés de surfer sur la polémique en suivant aveuglément leurs confrères américains, montrant que la claque de novembre dernier ne leur avait pas servi de leçon. Bien peu déontologique, surtout pour un médias, Le Monde, qui s’est depuis peu érigé en autorité morale du journalisme, auto-proclamé chasseur de « fake news » avec son tristement célèbre Décodex…